Tumgik
#cadeau danseuse
fantasyplusimpression · 7 months
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(via Coque et skin adhésive iPad avec l'œuvre « Portrait d'une danseuse lumineuse » de l'artiste Fantasyplus)
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simbelmyneswriting · 1 year
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Jours 10 - Le musicien fantôme
Roseanna relâcha la manivelle après l’avoir actionnée pendant plusieurs minutes et Orpheon s’éveilla. C’était la réalisation de son père qu’elle appréciait le plus, l’ami proche avec qui elle avait tant dansé devant les gens du beau monde, ces gens qui s’arrachaient les créations de son père à prix d’or.
Il ne restait plus rien de ces créations, elle avait vendu tout ce qu’elle avait pu et donné le resté aux musées - dons anonymes pour préserver le génie et la mémoire de son tendre père. Elle n’avait gardé qu’Orpheon, en tout cas jusqu’à maintenant, une montre portant l’effigie de son père et la seule photo existante d’eux trois - Theophilius, le Musicien Fantôme et Roseanna. Elle avait uniquement gardé la réparation des montres et automates anciens, en plus des modifications nécessaires à son état - expérience du bateau de Thésée à elle seule, était-elle toujours le Magnum Opus de Theophilius Lutz? Sa petite fille chérie, l’étoile de son ciel comme il aimait à l’appeler ? Ou bien était-elle une création toujours changeante, toujours en construction, proche du processus que les humains de chair appelaient “évoluer” ? Est-ce qu’il aurait apprécié toutes ces modifications ?
“Tu es. C’est assez.”, lui dit La Voix, autre présence constante dans sa vie depuis qu’elle avait ouvert ses yeux de nacre et de saphir sur le monde. “Je sais, je sais…”, répondit l’automate tout haut alors qu’elle observait Orpheon, au rythme du rouleau à picots dictant ses mouvements et la musique sortant de l’instrument. Cela devenait difficile de le déplacer, mais l’idée de le revendre rendait l’automate presque malade. Il serait tellement mieux dans un musée, peut-être celui de Neufchâtel ? Ou bien dans la Maison de Robert-Houdin, à Blois ? Lyon et La Rochelle pourraient aussi convenir, c’était un fait… Mais l’idée la déprimait grandement. C’était le seul automate que Theophilius et Roseline, sa femme, avaient créé ensemble. Sept mois plus tard, cette dernière décédait en tentant de donner naissance à leur enfant. Dix ans plus tard, après avoir étudié les travaux de Vaucanson, Jaquet-Droz et Merlin, Roseanna était née.
Ou plus exactement, elle avait pris vie après plusieurs tours de manivelle, tout comme Orpheon. Elle n’avait alors aucune conscience, aucune liberté, une danseuse sur son piédestal, accompagnée du Musicien Fantôme dans les grands salons et les palais luxueux de toute l’Europe. Magnifique duo que leur créateur considérait comme ses enfants, une petite excentricité bien vite pardonnée au génie qu’il était. Mais, en effet, ses premiers mois de vie avaient été vides d’âme, une mécanique complexe effectuant des tâches simples et répétitives et ce, jusqu’à ce cadeau d’un prince bavarois : un cœur de cristal tenant confortablement dans la paume de la main. Theophilius avait alors retravaillé le mécanisme interne de la jeune danseuse pour y inclure le joyau, car rien n’était trop beau pour La Danseuse Fantôme, sa belle et gracieuse enfant.
Et tout avait changé.
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swedesinstockholm · 2 years
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journal de let’s move pt.3
24.01
j’étais chez édith ce soir pour répéter avec le groupe, j’aime pas édith, elle a décrété que c’était moi qui allait me charger d’acheter un cadeau à cybille, sans vraiment me laisser le choix de refuser sinon je passais pour une feignasse ingrate. elle a écrit un texte un peu neuneu en plus qui commence pour si belle cybille et je sais pas pourquoi ça m’énerve autant, je veux la garder pour moi toute seule, c’est pas une tasse et des chocolats que je veux lui offrir, c’est moi toute entière, et en guise de carte, je veux lui écrire un roman. je pensais à mon poème de lundi dernier qui s’appelle ce que la sibylle m’a dit, et à toute mon histoire avec la figure de la sibylle de cumes, et puis cybille la danseuse qui apparait dans ma vie au même moment où je fais mes débuts sur la scène littéraire belge avec la sibylle et qui a réussi l’exploit de me faire danser en public et d’aimer ça ET qui m’a offert l’opportunité de chanter seule sur la scène du grand théâtre. je sais pas, qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire? 
elle dit pestacle au lieu de spectacle. je suis sûre qu’à dix ans je serais déjà tombée amoureuse d’elle. ou elle m’aurait fascinée en tout cas. elle a ce truc de jolie fille à l’aise qui a de la répartie qui m’a toujours fascinée, qui saute sur les gens avec son petit corps de danseuse et qui charme tout le monde avec ses longs longs cheveux bruns lisses et sa peau un peu matte de fille du sud, sa baby face et sa douceur d’ange. à un moment je la regardais monter les marches avec un panier à linge sous le bras, dans sa veste à capuche bariolée et ses deux tresses de boxeuse, et je me l’imaginais chez elle en train de faire une machine, dans sa vie de tous les jours, avec ses enfants.
26.01
je viens de me passer de l’huile d’arnica sur les cuisses avant d’aller au lit, j’adore les périodes où je dois me passer de l’arnica sur les cuisses, ça veut dire qu’il se passe des choses. ce soir pendant la générale on a enfin vu la partie techno post mary poppins qui m’angoissait parce qu’y a pas de choré, y faut juste se lâcher, et c’était la meilleure partie de tout le spectacle. zéro trace du trauma, je l’ai jeté à la poubelle, par dessus l’épaule comme dans la choré d’america, celle qui fait je mange, je réfléchis, poche billets billets je jette tout je vomis vomis on m’attrape on m’attrape on m’étrangle je tombe par terre. j’avais pas envie que ça s’arrête, j’avais envie que tous les projecteurs soient braqués sur moi en train de m’agiter dans tous les sens au milieu de la salle. c’était inédit. j’ai écrit à m. que j’étais guérie. j’ai l’impression que tout un nouveau monde s’ouvre à moi. je veux plus rien faire d’autre que d’être sur scène de chanter et de danser. toute autre occupation est nulle. sauf écrire.
pendant que j’attendais le tram pour rentrer je regardais éléonore qui discutait avec les musiciens sur le quai d’en face, ils le prenaient en sens inverse pour rentrer à l’hôtel et je les enviais avec chaque fibre de mon corps, je les enviais tellement que ça me faisait mal. éléonore est ma nouvelle louisa. nos regards arrêtent pas de se croiser depuis le weekend dernier et il m’en faut pas plus. j’ai vu sur fb qu’elle était mariée à une femme et maintenant je l’aime encore mille fois plus qu’avant. après avoir chanté je me suis assise à côté d’elle sur une caisse et elle m’a dit que j’avais très bien chanté mais je crois que ça faisait partie de la scène et puis à la fin de la choré d’all that jazz cybille s’est relevée avec son cul contre le mien et je veux pas retourner à ma vie de non scène. en attendant le tram une femme m’a dit c’est vous qui chantiez sur scène au début? on aurait dit une pro!  UNE PRO. pour la générale j’avais peur que le stress me fasse un trou noir ou que ça m’étrangle la voix mais non ma voix était bien là et moi aussi, je me sentais comme à la maison, dans mon élément, j’arrive toujours pas à croire que ce soit tombé sur moi. si ç’avait été quelqu’un d’autre à ma place j’aurais pas survécu à ma jalousie.
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jpbjazz · 27 days
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LÉGENDES DU JAZZ
EDDIE HENDERSON, LE TROMPETTISTE DE L’AME
“I couldn’t be a good doctor unless I was healed, and music is the thing that heals me. Music is like therapy—it puts me at ease with who I am. Then I can relate to other people and spread the joy.”
- Eddie Henderson
Né le 26 octobre 1940 à New York, Eddie Henderson est issu d’une famille musicale. Son père avait fait partie du groupe Billy Williams and the Charioteers, le plus populaire ensemble vocal de couleur des années 1940. Sa mère avait été danseuse au célèbre Cotton Club et était amie avec Billie Holiday, Sarah Vaughan et Lena Horne.
Henderson avait neuf ans au moment de la mort de son père. Henderson avait quatorze ans lorsque sa mère s’était remariée avec un médecin de San Francisco où la famille était déménagée en 1954. Même si son beau-père ne l’avait pas vraiment encouragé à poursuivre une carrière musicale, Henderson avait étudié la trompette, le flugelhorn et la théorie de 1954 à 1956 au San Francisco Conservatory of Music. Il avait même joué avec le San Francisco Conservatory Symphony Orchestra. Mais comme Henderson l’avait expliqué plus tard, il en avait alors beaucoup à apprendre et ne connaissait pratiquement rien du jazz à l’époque. Il avait déclaré: “I could play the trumpet, but I knew nothing about jazz.”
Son beau-père étant le médecin de plusieurs musiciens célèbres comme John Coltrane, Dizzy Gillespie et Duke Ellington, cela avait permis à Henderson d’être présenté à nul autre que Miles Davis, qui avait même habité dans la maison de ses parents lors d’un de ses passages dans la ville en 1957. Davis, qui s’était pris d’affection pour Henderson, qui était encore adolescent à l’époque, l’emmenait même à ses concerts. Comme Henderson l’avait expliqué plus tard, “That’s when the musical light came on.’’ Conscient du potentiel d’Henderson comme trompettiste, Davis avait continué de l’encourager tout au long de sa carrière. Après la mort de Davis, Henderson lui avait éventuellement rendu hommage en mai 2002 en participant à l’enregistrement de l’album So What, qui comprenait des pièces associées au trompettiste. Comme Henderson l’avait précisé à l’époque, “Miles is so very special to me because when I was in high school he stayed in my parent’s house when he came through San Francisco. I was going to the conservatory then studying classical music. I saw him do all these songs live that I recorded on the tribute album.” Durant son adolescence, Henderson avait également fréquenté de grands noms du jazz comme John Coltrane, Cannonball Adderley, Philly Joe Jones et Wynton Kelly, qu’il avait rencontrés dans le cadre d’un festival de musique local.
Henderson avait été exposé pour la première fois à la trompette par Sarah Vaughan, qui l’avait emmené au célèbre Théâtre Apollo de Harlem pour assister à un concert de Louis Armstrong. C’est d’ailleurs Armstrong qui avait donné ses premières leçons à Henderson, grâce aux relations que sa mère avait au Cotton Club. Après avoir suivi des cours pendant un an, Henderson avait joué la pièce “Flight of the Bumble Bee” devant Armstrong, qui lui avait fait cadeau plus tard d’un livre contenant les transcriptions de ses solos et dans lequel il avait écrit la décicace: “To Little Eddie. You sure sound good. Keep playing. Love, Satchmo.”
Très fier de son enfance, Henderson avait ainsi résumé ses débuts dans la musique:
‘’I have a pretty imposing show business heritage. My mother was one of the dancers in the original Cotton Club. She had a twin sister, and they were called The Brown Twins, and they used to dance with Bill ‘’Bojangles’’ Robinson and the Nicholas Brothers. That film of Fats Waller doing ‘’Ain’t Misbehavin’’’ where the lady sits on the piano and he sings to her ? That’s my mother. And my father sang with Bill Williams and the Charioteers, who were like the number one black singing group in thje nation - over and above the Ink Spots and the Mills Brothers.
My real father died when I was nine, and my mother remarried a doctor in San Francisco, and so I guess that influenced me to pursue medicine as well. But I never stopped the music. Ever since I was nine years old. Louis Armstrong was literally my first trumpet teacher, in person, because my mother knew all of these people. Duke Ellington, Count Basie. Billie Holiday was my mother’s roommate. Sarah Vaughan was my mother’s roommate. She knew Dizzy Gillespie from her days dancing in the chorus line in front of Cab Calloway’s big band, when Dizzy was just starting out in the section. All these people used to come over to the house, and to me they were just average people. Little did I know’’ (rires).
Après avoir étudié durant un an à l’Université de San Francisco, Henderson s’était querellé avec son beau-père et avait décidé de ‘’faire un homme de lui’’ et de se joindre à l’US Air Force en 1958. Désapprouvant sa décision de devenir musicien, son beau-père avait même qualifié Henderson de “bum on the waterfront.’’ Loin de se décourager, Henderson s’était servi de ces critiques pour aller plus loin. Comme il l’avait expliqué des années plus tard: “I had to fill my commitment of spite to my stepfather just to prove him wrong.”
Passionné de patinage sur glace, Henderson s’était vu refuser l’entrée d’un club de patinage de San Francisco à son arrivée en Californie en raison de sa couleur, mais il avait obtenu sa revanche dans l’armée en se joignant au Denver Figure Skating Club. De fait, Henderson excellait tellement comme patineur qu’il avait remporté une médaille de bronze dans le cadre des Midwestern Figure Skating Championships à Minneapolis en 1960, devenant ainsi le premier Afro-Américain à se mériter cet honneur.
Stationné à la Lowry Air Force Base de Denver au Colorado, Henderson avait quitté l’Air Force en 1961 pour entreprendre une formation préparatoire en médecine à l’Université de Californie à Berkeley avant d’entrer à l’école médicale de l’Université Howard à Washington, D.C. Étudiant studieux et appliqué, Henderson avait quand même trouvé le temps de jouer de la trompette dans les clubs le soir et de se rendre à New York pour entendre les plus grands noms du jazz durant les weekends. Henderson expliquait: “I never missed a class in high school or medical school. I would go to class from 8am to 5pm every day, then go home and study, from 5:15 to 9:15pm, and then from 9:15 until 2am learn how to play jazz.’’ Même si ses confrères étudiants avaient prédit que cette routine rigoureuse finirait par le rattraper, Henderson avait décroché son diplôme avec succès alors que plusieurs de ses pairs avaient échoué.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir décroché un bacclauréat en zoologie de l’Université de Californie à Berkekey en 1964 et une maîtrise en médecine de l’Université Howard quatre ans plus tard, Henderson était retourné à San Francisco où il avait fait son internat de 1968 à 1969. Poursuivant parallèlement sa carrière musicale, Henderson avait aussi joué à l’occasion avec John Handy, Joe Henderson, Big Black et Philly Joe Jones.
De 1969 à 1971, Henderson était devenu médecin-résident au Clinical Research Ward, qui était rattaché au Langley-Porter Institute de l’Université de Californie à Berkeley. Il était alors assez inhabituel pour un Afro-Américain d’obtenir un poste de médecin-résident. Comme l’expliquait le Dr Ira Glick, qui dirigeait le programnme de résidence de Berkeley à l’époque: “It was unusual to have an African American in the residency at that time. Eddie was a very interesting guy, very smart. He worked all day as a resident and played nights in the Fillmore district.” Glick et Henderson ne s’étaient pas revus jusqu’en 2019, alors que le trompettiste était allé présenter une lecture à La Nouvelle-Orléans en 2019.
Henderson s’était particulièrement fait connaître comme membre du groupe Mwandishi d’Herbie Hancock dont il avait fait partie de 1970 à 1973 et avec qui il avait enregistré trois albums, Mwandishi (1971), Crossings (1972) et Sextant (1973). Parmi les membres du groupe, on remarquait outre Henderson et Hancock, de brillants jeunes innovateurs comme Bennie Maupin au saxophone, Julian Priester au trombone, Buster Williams à la contrebasse et Billy Hart à la batterie.
Comme il l’avait fait durant ses études à l’école de médecine, Henderson soignait les gens le jour et se produisait le soir dans les clubs comme le célèbre Keystone Korner de San Francisco. Ironiquement, même si plusieurs musiciens de jazz s’étaient mérités le surnom de ‘’Doc’’ (Doc Severinson, Doc Pomus, Doc Cheatham, Doctor John the Night Tripper entre autres), peu d’entre eux étaient de véritables médecins.
Henderson était également très apprécié des musiciens de tournée qui faisaient régulièrement appel à lui pour les accompagner dans le cadre de leurs concerts. En 1972, Henderson avait publié un premier album comme leader, Realization, qui avait été suivi d’Inside Out l’année suivante. Les albums avaient été enregistrés avec Hancock et les autres membres du groupe Mwandishi. Ironiquement, même si Henderson avait obtenu une certaine reconnaissance pour son travail avec Hancock, ses propres albums avaient souvent été considérés comme trop ‘’commerciaux’’ par les critiques.
De 1968 jusqu’à la fin des années 1980, Henderson avait continué d’alterner entre la musique et la médecine. Le fait d’avoir joué avec Hancock avait d’ailleurs ouvert des portes à Henderson. Comme il l’avait expliqué lui-même,
‘’When I was in San Francisco, for 10 or 11 years while I was practicing medicine, I would be at the Keystone Korner every night and all the major groups, all my heroes, who came through to play would hire me to play with them. All the iconic groups, Art Blakey, Dexter Gordon, McCoy Tyner, Max Roach, they’d all hire me because I had played with Herbie Hancock. I didn’t have to move to New York to play with these greats. That allowed me to play while I was still practicing medicine. I had a very lucrative career in San Francisco.’’
Après la dissolution du groupe Mwandishi en 1973, Henderson avait travaillé avec d’autres grands noms du jazz comme Pharoah Sanders, Norman Connors, Mike Nock, les Jazz Messengers d’Art Blakey (durant trois mois jusqu’à ce que Blakey décide de couper son salaire !), Dexter Gordon, Roy Haynes, Jackie McLean, Joe Henderson, Elvin Jones, Johnny Griffin, Bobby Hutcherson, Billy Harper, Slide Hampton, Benny Golson, Max Roach et McCoy Tyner.
Retourné dans la région de la baie de San Francisco en 1975, Henderson avait travaillé dans une clinique de Haight-Ashbury comme médecin généraliste. Henderson précisait: “It was an ideal situation. I never wore a suit. A lot of patients were street people.”
Au cours de la même période, Henderson s’était joint au groupe de jazz latin Azteca. Il avait également dirigé ses propres groupes. Le travail d’Henderson avec des groupes de jazz-fusion était d’ailleurs évident sur les autres albums qu’il avait enregistrés comme leader, dont Sunburst (1975) et Heritage (1976). Henderson avait même obtenu un grand succès sur le palmarès Billboard avec le simple “Prance On” tiré de l’album Comin’ Through (1977). La pièce, qui avait également connu du succès en Grande-Bretagne, avait atteint la 44e position du palmarès britannique en novembre 1978.
ÉVOLUTION RÉCENTE
Après avoir pris sa retraite de la médecine en 1985, Henderson était devenu musicien à temps plein. À l’époque, sa mère était très malade, et Henderson avait tout laissé tomber pour lui venir en aide. Il expliquait: ‘’In 1985, my mother called me and said she couldn’t make it financially anymore by herself in New York because she was sick. I dropped everything, quit my practice, and moved back to New York to help my mother. I worked at the transit authority for about six months, but my musical career was really taking off, so I quit that job.’’ La mère d’Henderson est finalement décédée en 1994.
Après s’être longtemps fait connaître comme musicien de jazz-fusion, Henderson était retourné vers un jazz plus acoustique dans les années 1990.
Au cours de sa carrière, Henderson avait enregistré vingt-six albums comme leader, en plus de collaborer à une douzaine d’autres albums comme accompagnateur. Aujourd’hui âgé de quatre-vingt-quatre ans, Henderson dirige toujours son propre groupe, The Cookers, avec qui il voyage régulièrement en tournée. Préoccupé par l’avenir de la relève, Henderson tente également de transmettre sa passion du jazz aux nouvelles générations comme professeur au Oberlin College’s Conservatory of Music. Depuis 2007, il enseigne également à la Juillard School of Music. Décrivant son travail de mentor, Henderson avait précisé:
’’I think it’s so important to pass on the things I’ve learned in my career to the upcoming generation of talented musicians who, just like me, want to pursue a career in music. It’s like a relay race. I’m just passing the baton of the knowledge that I got from my predecessors to them so that the tradition can go on into the future. Another joy I get from my students is it keeps me on my toes. A lot of them are very talented—it makes me start practicing! [chuckles] I’ve learned a lot from them, too. It’s a reciprocal process and that’s the beauty of it.’’
Commentant sa passion pour la musique, Henderson avait expliqué: “I couldn’t be a good doctor unless I was healed, and music is the thing that heals me. Music is like therapy—it puts me at ease with who I am. Then I can relate to other people and spread the joy.” Marié à Natsuko Henderson, Henderson est également le père de Cava Menzies, une musicienne et éducatrice. La mère et la fille d’Henderson ont d’ailleurs écrit certaines des compositions de ses albums.
En 2024, Eddie Henderson a fait l’objet d’un documentaire de Michelle Carpenter intitulé ‘’Dr. Eddie Henderson: Uncommon Genius.’ Le film a été présenté en grande première sur les ondes du réseau PBS. On a également consacré une exposition à Henderson intitulée ‘’Time and Spaces: The Life of Eddie Henderson.’’ L’exposition a été présentée du 1er février au 21 avril 2024 à la U Denver Experience Gallery.
Considéré comme un des meilleurs trompettistes de l’histoire du jazz, Henderson est particulièrement reconnu pour la subtilité de son jeu même s’il avait toujours été un peu sous-estimé. Lorsqu’il avait publié l’album Inspiration en 1995, Henderson n’avait pas enregistré avec une compagnie de disques majeure en deux décennies. L’année suivante, Henderson avait publié Dark Shadows, qu’il considérait comme un des sommets de sa carrière. Il expliquait: ‘’I think Dark Shadows has a little more depth, musically and emotionally. It represents the way I like to play - very much of an ensemble thing. I like painting a collective musical picture rather than a self-portrait. That’s the way I feel about music in general.’’ Commentant l’enregistrement de l’album, Henderson avait ajouté:
‘’In terms of everything that was going on my life at the time, it was apropos. My mother passed away while I was making this album, and my wife Natsuko Henderson was a source of great love and support to me during those times, allowing me to be a creative person - she’s the most important person in my life. I think that accounts in part for the reflective mood of the album. I actually recorded ‘’Goodbye’’ shortly before my mother passed. Things like that have a way of seeping into your being. So I have a thing for that tune - I hate to say goodbye.’’
L’album avait été enregistré avec un quartet composé du pianiste Kevin Hays, du contrebassiste Ed Howard et du batteur Lewis Nash. Henderson poursuivait:
‘’I’ve been lucky to have the opportunity to keep this same personnel together for four years, every Monday night at Visiones. So I think that’s a big part of the sound on Dark Shadows. Somebody might make a mistake, and there’s so much compassion between the cats, they just go with you, so overybody plays wrong together. They’ll make it right. They’ll make it sound like it’s an arrangement - that’s the real beauty in playing music together.’’
Dans les notes de pochettes de l’album, le critique Chip Stern avait décrit le style d’Henderson de ‘’nuancé’’ et de ‘’ravissant.’’ Stern avait précisé : ‘’A level of expression forged from contrasting degrees of darkness and light, tender reticence and bodacious exultation. In Eddie Henderson’s hands, the trumpet is a storytelling instrument of tremendous beauty... not as maudlin sentiment but graceful mastery...’’
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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buxberg · 2 months
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Charlie Hunnam grimpe avec confiance au sommet d'Hollywood, obtenant des rôles dans des films au box-office et des séries télévisées dans lesquels le monde entier l'a reconnu
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Ayant accepté la gloire, l'acteur de la vie reste un homme travailleur qui aime la solitude et ne se soucie pas de l'opinion des autres. L'Anglais aux yeux bleus est intéressant pour son charisme et son charme, ainsi que pour son approche consciente du développement de carrière. Charlie est né sous le signe du zodiaque du Bélier en 1980 au Royaume-Uni. Les parents n'ont pas vécu longtemps ensemble. Le père du futur artiste, engagé dans le recyclage de la ferraille, a laissé sa femme avec deux enfants lorsque le garçon avait 2 ans.
Selon Hunnam, sa mère, danseuse et femme d'affaires, a bien assumé le rôle de mère célibataire et 10 ans plus tard, elle s'est remariée. Bientôt, la future star eut deux frères plus jeunes. Enfant, Charlie souffrait de dyslexie. À l'école, le gars était un peu rebelle, se bagarrant souvent avec ses pairs, il a donc dû quitter le gymnase et suivre une éducation à la maison.
Il entre ensuite au Collège d’Art et de Design, où il étudie le cinéma. Très jeune, il reçoit une offre pour devenir mannequin professionnel, mais le destin le conduit au cinéma.
Charlie est apparu pour la première fois à la télévision à l'âge de 17 ans. Cela s'est produit à cause d'une rencontre fortuite la veille de Noël. Ce jour-là, Hunnam s'est rendu dans un magasin de sport pour acheter des baskets comme cadeau pour son frère. De bonne humeur (non seulement à cause de l'anticipation des vacances, mais aussi à cause de l'influence de l'alcool), le jeune homme a commencé à danser et à agir étrangement. Et bientôt, remarquant qu'une dame l'observait depuis la rue, il lui envoya un baiser.
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suis-nous · 1 year
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lephotomarion · 2 years
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Cher Arc-En-Fil,
Je sais pas si tu étais au courant que je m’entrentinais cette semaine, mais je t’ai aperçu à plusieurs reprises depuis le 21. Hier encore t’étais là (même aujourd’hui). Je t’avoue qu’avant vendredi, ça faisait quelques jours que j’avais quelques noeuds emmêlés entre mon coeur et ma tête. Je sentais que ça ne me permettait pas tellement de m’entrentiner librement et d’avoir l’attention totale auprès de ma Tribu et ça m’embêtait. J’ai essayé de secouer pour m’en débarrasser mais c’était plutôt coriace. Mon Aurore m’a dit souvent « quand ça bloque pivote ». 
Alors, j’ai pris mon courage à 2 coeurs et je suis passée voir le Marin chez les artisans du port (là où les goélands volent à travers les hublots). Le Marin tu connais pas tu dis ? Tu sais, c’est celui qui renverse les cafés, pas sur ma salopette non, plutôt sur le bitume. Ou s’il le renversait sur ma salopette, alors il le faisait dorer et ça donnait du café doré. Je lui ai expliqué que j’avais quelques noeuds coincés. Il s’est assis et il a écouté comment je me suis emberlificotée le Fil. Puis après, il a déroulé le sien, m’a raconté comment il l’avait exploré, en funambule. J’ai enroulé mon Fil autour de mes doigts et je lui ai déclaré que j’allais en faire un Phare dans la nuit. J’ai senti que mes noeuds se sont dénoués. J’ai humé l’odeur du café doré, celui qu’il a versé dans ma vie, sur un plateau, rouge. Je suis repartie sur la musique, en danseuse. 
Donc je te disais qu’on t’a aperçu hier, en arrivant à la cabane, après la marche. T’avais fait tomber des étoiles de pluies, fines, sur nos peaux. Le soleil brillait et transperçait la pluie. 
J’aurais voulu te dire 2-3 trucs, mais j’ai juste eu le temps de te photographier une fois puis j’ai filé, accueillir le reste de ma Tribu parmi les fleurs de tables, les noeuds en papier volants, les bougies filées et la musique cielante. J’ai glissé mon appareil photo au fond de mon sac, pour être pleinement présente (ouais j’aime pas tellement l’avoir quand l’amour prend place). 
Comme maintenant tout le monde est rentré, je peux m’exprimer sereinement. 
J’imagine que t’as dû te lier à la Lune, à MaColline et Moncâlin entre le 21 et hier soir. 
Je t’avoue que j’ai un peu de la peine à m’en remettre. Je sais pas si c’est parce que mes parents m’ont mise au monde le premier jour du printemps, mais j’ai le coeur qui déborde. Déjà que le lendemain du 21 c’était larme sur larme, aujourd’hui, c’est rebelote. Je crois que c’est mon coeur qui, quand il reçoit une explosion d’amour, le lendemain il déverse le tout en océan pour me faire goûter le sel de mer. Alors un regard, un câlin, un mot ou une musique et c’est parti, je baigne. 
Je sais pas non plus si c’est permis de recevoir autant d’amour. C’est pas pour me pavaner sous ton ciel, mais franchement, ma Tribu, elle y est pas allée molo côté coeur. Elle a pris ses flèches arc-en-ciel, tirée et visée dans mon mille. Je suis pas certaine que je m’en remettrai. Les mots volants, dansants sur le papier, dans les airs, les lunettes noires des Hommes de ma vie, les regards, les bras, les danses et tout ce qui se dit pas mais qui se sent, c’est beaucoup pour un petit corps de trentenaire. J’ai parfois l’impression de vivre 30 vies en 1. Tu pourras peut-être un jour m’expliquer ce qui m’arrive ? 
Bien sûr, j’avais enfilé ma salopette et j’y avais précieusement glissé l’Escargot  parce qu’Il pouvait pas être là & le Coquelicot Rouge parce qu’Elle se baigne au Portugal. Et voilà, faut que je te raconte. Déjà que j’avais pleuré au moins 8 fois (heureusement que j’avais un mascara résistant), dans la soirée, Ma Reine, elle se pointe dans la couleur du couloir et elle me lance avec son regard qui me pénètre en plein fouet : « j’ai encore un cadeau pour toi Marion ». Elle me dit : Je peux te le donner maintenant ? Je souris, lui dis : « maintenant c’est bien pour toi ? » Elle hésite, je vois qu’elle va vérifier chez elle et elle me répond : « non après ». J’avais déjà senti que c’était intense. J’imaginais que ça allait être une toute petite boîte en carton ou quelque chose comme ça, qui devait lui venir du fond du coeur. 
Et plus tard, au bout de la table, j’étais près du feu, debout et elle me lance « alors je te donne mon cadeau ». Elle me dit : « Faut que tu viennes dans mes bras ». Alors moi je m’y glisse, parce que c’est le meilleur endroit du monde. Elle me dit en me soulevant « je dois te faire tourner dans les airs », elle me fait tourner dans les airs, me colle un baiser comme jamais, me serre de toute ses forces et elle me dit dans mon Oreille : C’est de la part de ton Aurore, elle m’a demandé. Et moi, là, je me mets à pleurer. Mais pas des larmes hein. Pleurer de sanglots. Elle me serre fort, comme elle le fait d’habitude quand on sait toutes les deux que les mots ne seront jamais à la hauteur. 
Tu vois l’alignement ? Je me suis souvent dit (et j’en ai toujours parlé aux deux) que j’avais parfois l’impression que c’était comme si j’avais 2 amoureuses et que j’avais peur qu’elles se sentent en rivalité. Et là, mon Aurore elle l’avait glissé dans le creux de l’oreille de ma Reine. Les femmes de ma vie s’étaient alignées et j’ai reçu tout leur amour d’un coup mélangé. Je crois que c’est à ce moment là que mon coeur a explosé. 
Le lendemain, autour d’un thé, on compostait la soirée  avec ma Jonquille et mon Pruneau. Ma Jonquille me raconte qu’elle a relaté à mon Pruneau ce qui s’était passé (cf à l’événement de tourner dans les airs) et qu’en lui racontant elle avait pleuré et lui aussi. Là, on se remet à pleurer tous les trois. On a ri et on s’est dit qu’on était vraiment une Tribu de "schlagué.e.s du galetas”. Mais moi ma Tribu, c’est ce que j’ai de plus précieux au monde. On peut tout m’enlever, mais pas ça. Je suis une guerrière et j’y veillerai toujours et je sais que t’y veilles toi aussi. 
Cher Arc-En-Fil, je ferais bien un tour sur ton dos, me reposer un peu de toute cette intensité. Si tu croises l’amour, dis-lui qu’il a tout donné en deux jours et qu’il peut me laisser un peu tranquille ces prochains temps. Promis, je serai bientôt à nouveau réceptive, j’ai juste besoin de digérer. 
Mon Arc-en-Fil, 
J’ai tiré le fil, 
Je l’ai tricoté, 
Je leur ai tissé un Tapis Rouge, parce que comme dit le Chat : 
« Y a-t-il plus belle occasion qu’un anniversaire pour déclarer sa flamme à ceux (celles) qu’on aime ? »
&
J’ai fêté, 
Honoré, 
Tripé
Tourné
Dansé
Valsé
Rocké
Rapé
Roulé
Pleuré
Aimé
Merci de prendre soin de la Lune, Macolin et Moncâlin pour que j’aie le temps de digérer tout ce amour débordant. Vous viendrez m’aider, quand je retournerai sur mes pattes, pour le moment je plane et je pleure d’amour!
Je m’en vais dormir sous les Sorbiers. Je dois me reposer, demain j’aligne cours de : guitare, piano & danse sous le même soleil. Je te souhaite une bonne nuit.
Avec tout l’amour de mon corps & du monde (s’il en reste, j’ai un peu souci d’avoir tout pris),
L’entretineuse entrentinée
PS : Je suis amoureuse de la vie. C’est fort et je sais plus quoi en faire. 
PS * : Quand je l’ai lu à mon Pruneau et ma Jonquille, je m’arrête 4 fois sous les sanglots océaniques. Elle, elle pleure et Lui, il ouvre l’armoire et me tend une serpillère et me dit que je vais pouvoir, un jour me réorienter comme lacrimologue, pour les gens qui n’ont plus de larmes. Il termine par un« t’as un coeur gros toi ». 
PS **J’ai pas tout dit, j’en garde un peu pour mon jardin secret, même si je sais qu’il a tendance à déborder dans mes yeux. 
PS*** ça fait 18 fois que je relis mon texte et qu’à chaque fois, je découvre des erreurs d’orthographe. Si t’en vois encore, Merci de considérer ça comme une tige d’amour débordantE, ça libérera ma tête ;)
PS**** Ma Reine m’a raconté que son collègue a mis au Monde une petite Marion le 21.03.23, sans savoir. On aura toujours 30 entre nous. Mon Arc-En-Fil, envoie-lui un comme toi & de mon côté, je lui enverrai un bout de ce texte (adapté & ajusté ou pas), avec un origami, promis. 
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demaindemaitre · 2 years
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"Danseuse au repos", Jean-Louis Forain (1852-1931). Nos reproductions rehaussées à la main apporteront à votre décoration d'intérieur un cachet unique. Elles feront également un cadeau de choix et original. D'abord imprimées sur du papier haute-qualité, nos reproductions sont ensuite rehaussées et colorisées à la main avec pastel, fusain, sanguine, pierre noire et même gouache selon les œuvres. Une déco sans pareil à un prix très abordable! 📐 Plusieurs formats 🖼 Possibilité d'encadrement 🚚 Livraison rapide dans le monde entier. 🇫🇷 Made in France Suivez-nous pour plus d'informations, promotions, offres spéciales, concours et plus encore. #homedecor #walldecor #oldmasters #decorationinterieur #drawing #dessin #art #cadre #artprint #interiordesign #decoration #oldmasterdrawings #wallart #classicaldrawing #dessinancien #decomurale #jeanlouisforain #masterdrawing #tableau #frame #decohome #artmoderne #faitmain #portait #affiche #ideedeco #danseuse #peinture #encadrement https://www.instagram.com/p/Cn4vj1zNljU/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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openthedoor · 2 years
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HOMETOWN SMILE
Linmini découvrit un montage vidéo sur elle, depuis sa plus tendre enfance. Batiste lui expliqua qu’il avait fait appel à Seon Min, Si Hyuk et d’autres encore pour lui offrir un petit bout de tranches de vie. Jimini observait avec attention. Il connaissait celle qu’il aimait mais sans doute pas autant que ceux qui avaient vécu avec elle. Il découvrit Linmini bébé, dans les bras de son père qu’elle n’avait finalement que peu connu avant son décès dans un accident de moto. Puis se souvint d’elle, petite, en la voyant courir, à six, sept ans dans les couloirs de Big Hit quand lui commençait à être trainee. Il la vit grandir et découvrit les frasques de Linmini en France.
Oh dit elle, j’avais oublié ça. Elle expliqua à sa mère que lors d’un week-end familial avec la famille de Ani, elle avait découvert les joies du char à voile avec la soeur de Ani. C’est génial Bat, ton cadeau est extraordinaire. Je peux en faire une copie pour maman ?
Tu en fais ce que tu veux, il est à toi. J’ai des copies de sauvegarde si un jour tu as un souci mais en attendant admire…
Et Linmini découvrit le spectacle de danse.
Skate, je te conseille de regarder aussi.
Skate qui bavardait avec Gabriela tout en mangeant se figea. Eh Bat, je croyais que c’était pour Lin Mi, pourquoi je me retrouve dessus.
Parce que c’est plus drôle et puis tu es son jumeau au cas où tu aurais oublié.
Rha fit il en se découvrant tout jeune puis il sourit en entendant Hope dire :
En fait, vous avez suivi des cours de danse si je comprends bien, c’est le même genre de gala que je pouvais faire à l’école. Par contre, la danseuse qui t’accompagne dégage beaucoup de magnétisme je trouve.
Skate pouffa, tout comme Manon, Linmini, Batiste et Seon Min..
Cette dernière ajouta. Je me souviens, tu filmais tout le spectacle à l’époque dit-elle à Batiste. Manon, toi tu avais conçu tous les costumes et c’est grâce à ton appel visio que j’avais pu assister au spectacle. Merci petite puce lui prenant la main.
Seon Min adorait les enfants de Ani, quand elle était venue voir ses enfants pendant leurs années scolaires en France, elle avait beaucoup appréhendé. Ani et les siens l'avaient rassurée, et adoptée ; comme tous ceux qui la cotoyaient de près. Elle s’était sentie libre d’agir, bien plus facilement qu’en Corée où la société est encore très patriarcale.
Tous se turent pour assister à la représentation. Ce fut JK qui de suite reconnut la musique, mais c’est…
Zero O Clock, dit Tbear.
C’est vrai dit Skate, on avait dansé sur cette chanson.
Qui ça on ? demandèrent les garçons ? Elle est belle celle qui t’accompagne. C’était ta copine ?
Skate explosa de rire en regardant Ani.
La tribu resta absorbée par la danse, c’était très aérien. Skate en costume de ville et la danseuse dans une tenue de danseuse au long voile, masquée. Comme un ange qui vient soulagée la charge mentale du travail.
Le portée les fit s’exclamer.
C’est étrange dit subitement Tbear, on dirait. Il ne termina pas sa phrase, Manon venait de lui donner un coup de coude.
Vint ensuite la danse de Linmini. Elle apparue allongée sur un lit. Un chanson de Eminem et Rihanna lança une danse tout en rythme qui subjugua Jimini.
Au final, la tribu ne se retint plus d’applaudir. Ouah…
Park félicita sa nièce, tu nous caches tes talents ; peut-être que je devrais te faire une place chez Big Hit dit il.
Très peu pour moi ajeossi, je préfère ma liberté actuelle.
Tu m’avais caché ton talent, lui dit Jimini les yeux encore envahis par les images qu’il venaient de voir. Tu es magnifique quand tu danses, lui dit-il en souriant de ce petit sourire carnassier qu’il avait quand quelque chose lui plaisait beaucoup.
Y a des chambres pour ça lui lança discrètement Yoongi pour lui rappeler qu’on était en famille.
Tbear intervint, Batiste tu mets pause s’il te plait. Vous savez qui danse avec Skate ? demanda t-il.
Nous on sait déjà dit Batiste, englobant ceux présent lors du gala. Océane intervint, avec Jun, on pense qu’on a trouvé aussi. Alors que le groupe se lançait dans des spéculations pour savoir qui savait vraiment, ce fut Si Hyuk qui subitement déclara, d’un voix un peu rêveuse.
C’est Ani !
⚠️ Cette histoire est une pure invention sortie de mon esprit en ébullition. Toute utilisation sans mon accord est interdite.
#fiction #mystorie #btsmemes #bts.bighitofficial #bangtan sonyeondan #kim seokjin #kim namjoon #min yoongi #jung hoseok #jeon jeongkook #kim taehyung #park jimin #korean #rm #btsv #btsjk #love story
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fantasyplusimpression · 7 months
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(via Impression montée avec l'œuvre « Portrait d'une danseuse du ventre » de l'artiste Fantasyplus)
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swedesinstockholm · 3 months
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8 juin
elles étaient très politisées, elles parlaient des Grand sujets (me too, judith godrèche, est-ce que les valeurs féministes sont compatibles avec l'hétérosexualité? est-ce que le personnel est politique? EST-CE QUE LE PERSONNEL EST POLITIQUE?) quand leur amie au prénom de reine médiévale et au mullet blond est arrivée on s'est assises par terre sur le trottoir parce qu'elles fumaient cigarette roulée sur cigarette roulée et j'étais en train de mourir de fatigue à petit feu appuyée contre mon poteau qui me rentrait dans le dos, à chaque fois que je me levais j'avais l'impression d'avoir 150 ans. quand elles ont mis une chanson de green day j'ai pas osé leur dire que j'écoutais ça à l'époque où c'est sorti. je leur ai pas dit mon âge parce qu'au début v. m'a demandé si je vivais avec ma mère comme ça chill en faisant mes choses de mon côté depuis la fin de mes études et j'ai dit oui (mais pas chill par contre) et je voulais pas qu'elles sachent combien de temps ça faisait exactement que je vivais "comme ça." pas après l'avoir entendue parler de sa carrière de danseuse-acrobate et de ses tournées et de son job d'administratif pour plusieurs compagnies et des droits du travail au rabais quand on a le statut d'intermittente etc. j'avais trop honte.
à mesure que la soirée avançait je devenais de plus en plus mutique, même si finalement on était que toutes les quatre + le copain de v. qui est arrivé vers minuit dans son mini pull noir moulant et son accent allemand à couper au couteau. à la fin j'ouvrais plus la bouche du tout, par flemme, par habitude, je sais pas. j'étais de plus en plus mutique et s. était de plus en plus soûle et donc de plus en plus veloutée. je devais me forcer à pas trop la regarder de peur de la mettre mal à l'aise alors je regardais beaucoup trop sa copine v. vers une heure et demie du matin je me suis fait un petit cadeau et je suis allée me réfugier sur la couette blanche dans le lit-couchette très cosy caché derrière des rideaux au fond de l'atelier. j'ai pas dormi et j'avais toujours froid mais c'était le paradis par rapport au trottoir. j'entendais v. qui répondait à tous les mecs qui passaient devant l'atelier et qui faisaient des commentaires et quand ils disaient rien elle faisait du harcèlement de rue à l'envers. quand un type est rentré dans l'immeuble d'en face elle a crié eh griezman! et a. a demandé pourquoi tu l'appelles griezman? et elle a dit parce qu'il lui ressemble, par contre ils ont pas les mêmes mollets, alors qu'il était là à cinq mètres sur le trottoir d'en face. je pouvais pas m'empêcher de souffrir pour les voisins aussi qui devaient se taper leurs jacasseries et la musique et leur petit concert improvisé avec deux mecs qui passaient par là avec une guitare et qui ont commencé à jouer je ne veux pas travailler de pink martini avant de repartir comme ils étaient venus.
vers une heure et demie s. est venue me tapoter les chevilles pour me demander si je préférais rentrer chez elle à st. denis avec le dernier métro et elle elle rentre en vélo ou si on allait dormir chez a. à picpus et elle monterait sur le vélo d'a. et moi je prendrais son vélo, son gros vélo électrique avec son sac à dos accroché qui pèse une tonne + mon propre sac à dos, et donc elle me demandait si je préférais mourir agressée dans le métro toute seule à deux heures du matin quelque part entre belleville et st. denis ou mourir dans un accident de vélo. j'ai mis un moment à peser le pour et le contre pendant qu'elle me regardait droit dans les yeux sans bouger avec son regard velouté et sa voix veloutée, j'avais l'impression d'être prise au piège dans une marmite de confiture qui bouillonnait sur le feu. finalement j'ai choisi l'accident de vélo, qui me semblait moins traumatique. vers trois heures elle est de nouveau venue me tapoter les chevilles pour me dire qu'a. allait nous commander un uber mais son application marchait pas et elle gesticulait dans tous les sens parce qu'elle avait l'alcool moins tranquille que s. et le frère de v. lui dictait le code du wifi qui marchait pas et s. et v. dansaient un slow au milieu de la pièce et j'avais l'impression de jamais avoir été aussi fatiguée de ma vie.
quand le uber est arrivé elles l'ont toutes abondamment félicité pour son demi-tour au fond du passage et puis elles ont passé tout le trajet à le bombarder de questions sur son activité de chauffeur uber, sur ses droits et ses horaires, les droits qu'ils avaient obtenus récemment et ceux qu'ils avaient perdus au fil des années et c'est quand la prochaine manif et la cotisation pour la retraite et qui c'est qui fixe les tarifs et c'est quoi qui va changer par rapport aux j.o. etc. moi je regardais les façades défiler dans la nuit dans un état quasi hallucinatoire à cause de la fatigue et je posais aucune question. quand on est arrivés dans sa rue j'avais l'impression d'être à bruxelles à cause des arbres, y avait de la musique dans l'ascenseur, un bel escalier en bois, du parquet qui craque et une monstera sur la cheminée. j'ai dormi dans la chambre de sa soeur qui est orl ou un truc comme ça et qui était en vacances à rennes chez son copain. je savais pas si j'allais dormir avec s. comme on avait dit ou si elle allait dormir avec a. alors je me suis mise côté mur et puis quand j'ai entendu qu'elle allait se coucher chez a. j'ai pris un peu plus de place dans mon lit aux draps bleu ciel et à la couette ultra moelleuse mais j'arrivais pas à dormir parce que je pensais à la narratrice du livre de miranda july. finalement le mec plus jeune qu'elle sur qui elle a un crush fantasmait sur elle depuis le début lui aussi. évidemment. c'est miranda july.
ce matin s. avait une réunion sur son ordi alors j'ai beaucoup discuté avec a. et câliné son chat. on a parlé du trek de sa soeur au népal après ses études de médecine, elle me disait qu'elle voyageait plus parce qu'elle voulait pas participer à l'industrie du tourisme et qu'elle préférait explorer son propre pays d'abord, mais qu'elle jugeait pas sa soeur pour être partie au népal. quand je lui ai raconté mes voyages j'arrêtais pas de dire "je sais plus c'était y a longtemps" et "ah mais à l'époque" etc et je me demande si ça lui a mis la puce à l'oreille sur mon âge. je suis vraiment en train de me transformer en n. j'ai raconté à absolument tout le monde que j'allais peut être déménager à berlin cet été. j'ai même invité s. et a. à venir m'y voir en partant, comme si j'y habitais déjà. à un moment s. m'a demandé de but en blanc elle fait quoi ta mère? en me regardant droit dans les yeux. j'ai dit elle est secrétaire médicale et la tienne? elle a dit elle est épicière à montmartre et j'ai dit wow c'est romanesque. je me suis demandé si elle me posait cette question parce qu'elle trouvait que j'avais pas assez d'opinions sur les choses et qu'elle se demandait dans quel milieu social j'avais grandi ou si elle voulait juste estimer mon niveau d'aisance matérielle.
je viens de recevoir une avalanche de messages vocaux de r. j'ai éteint mon téléphone sans les ouvrir avec une légère boule dans le ventre. l'autre jour n. m'a envoyé un message vocal de six minutes pour m'expliquer la situation de la coloc et évidemment je m'attendais à une mauvaise nouvelle parce que je suis encore traumatisée par ceux de r. de l'été dernier, avant lui personne m'envoyait des messages vocaux donc maintenant les deux sont liés à jamais, les longs messages vocaux et les nouvelles dévastatrices.
à midi une fois que je me suis retrouvée seule j'ai eu tout le loisir de penser à lui en écoutant deerhoof pendant que je me promenais sur la coulée verte, c'était bien là-haut avec mes petites chansons dreamy, j'avais l'impression d'être encore en partie plongée dans mon état hallucinatoire de la veille parce que j'avais faim et le soleil me tapait dessus et j'étais émerveillée par toutes, mais toutes les façades des immeubles. j'ai marché jusqu'à bastille, j'ai mangé une pomme et une banane au bord du canal et puis j'ai refait le trajet en sens inverse jusqu'à bercy en passant par les quais. à bercy une femme avec des flyers m'a demandé si j'allais au concert de star academy ce soir et je sais pas pourquoi mais c'était le meilleur moment de ma journée. ça m'a émue de voir des fans hardcore de star academy déjà assis sur les marches, le stand de merch avec les tshirts star academy, je sais pas, un truc de nostalgie sans doute, même si j'ai jamais été fan au point de vouloir aller les voir en concert. je suis passée à la cinémathèque pour aller faire pipi avant le bus et j'en ai profité pour acheter un cadeau d'anniversaire à maman à la boutique, très satisfaite de cette bonne chose de faite à la dernière minute.
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jpbjazz · 7 months
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LÉGENDES DU JAZZ
DJANGO REINHARDT, INVENTEUR DU JAZZ MANOUCHE
‘’His technique is awesome! Even today, nobody has really come to the state that he was playing at. As good as players are, they haven't gotten to where he is. There's a lot of guys that play fast and a lot of guys that play clean, and the guitar has come a long way as far as speed and clarity go, but nobody plays with the whole fullness of expression that Django has. I mean, the combination of incredible speed – all the speed you could possibly want – but also the thing of every note have a specific personality. You don't hear it. I really haven't heard it anywhere but with Django.”
- Jerry Garcia
Né le 23 janvier 1910 à Liberchies, en Belgique, Django Reinhardt était le fils de Jean-Eugène Weiss, un violoniste et pianiste manouche ambulant établi à Paris qui utilisait le nom de sa femme Laurence Reinhardt, une danseuse, afin d’éviter la conscription. Le certificat de naissance de Django le décritvait sous le nom de ‘’Jean Reinhart, fils de Jean Baptiste Reinhart, artiste, et de Laurence Reinhart, maîtresse de maison, domiciliée à Paris.’’
JEUNESSE ET ÉDUCATION
Un certain nombre d’auteurs ont prétendu que le surnom Django était un terme manouche signifiant ‘’I awake’’. En réalité, le terme pouvait aussi être un diminutif de Jean. Django a passé les premières années de sa vie sur les routes d’Italie, de France et d’Algérie avant de s’établir à Paris. C’est à Paris que Django avait commencé à jouer du violon, du banjo et de la guitare. Le père de Django aurait joué de la musique dans un groupe familial composé de lui-même et de ses sept frères. Une ancienne photographie montre d’ailleurs le groupe avec le père de Django au piano.
Django a commencé à jouer de la musique très jeune. Après avoir appris à jouer du violon à l’oreille (il n’avait jamais appris à lire musique), Django avait reçu un banjo en cadeau à l’âge de douze ans. Django avait vite appris à jouer en imitant les gestes des musiciens qu’il admirait, parmi lesquels on remarquait Jean ‘’Poulette’’ Castro et Auguste ‘’Gusti’’ Malha, sans oublier son oncle Guiligou, qui jouait du violon, du banjo et de la guitare. Django était tellement talentueux et précoce pour son âge que l’accordéoniste Vetese Guerino l’avait engagé pour l’accompagner dans des bals. Django avai seulement dix-huit ans lorsqu’un autre accordéoniste, Jean Vaissade, l’avait invité à enregistrer un premier disque.
Dès l’âge de quinze ans, Django gagnait sa vie comme musicien dans les cafés, souvent en compagnie de son frère Joseph.  
À cette époque, Django ne jouait pas encore de jazz, même s’il en avait probablement déjà entendu et qu’il était sans doute intrigué par le type de jazz pratiqué par des musiciens américains exilés comme Billy Arnold. Django avait reçu une éducation très rudimentaire et avait appris à lire et à écrire seulement une fois parvenu à l’âge adulte, grâce à l’aide de Gérard Lévesque et Stéphane Grapelli.
Malgré ces lacunes, tous les espoirs semblaient permis pour le jeune Django. C’est alors que la fatalité avait frappé.
UN MARIAGE ET UN ACCIDENT
À l’âge de dix-sept ans, Django avait épousé Florine ‘’Bella’’ Mayer, une femme qui habitait dans le même établissement gitan que lui. Le couple avait été marié selon la coutume gitane, ce qui signifiait qu’il ne s’agissait pas d’un mariage officiel reconnu par la loi française. L’année suivante, Django avait réalisé le premier enregistrement de sa carrière. Sur cet enregistrement de 1928, Django avait joué du banjo et accompagné les accordéonistes  Maurice Alexander, Jean Vaissade et Victor Marceau, ainsi que le chanteur Maurice Chaumel. À l’époque, le nom de Django était déjà connu internationalement, en particulier de l’Anglais Jack Hylton, qui était venu en France spécialement pour l’entendre. Hylton lui avait même offert de l’accompagner en tournée à Londres.
Django n’avait pas encore eu la chance de jouer avec son nouveau groupe qu’il avait falli perdre la vie. Dans la nuit du 2 novembre 1928, Django était allé dormir dans la voiture qu’il partageait avec sa femme dans une caravane. Par inadvertance, Django avait renversé une chandelle, ce qui avait mis le feu à la substance extrêmement inflammable dont sa femme se servait pour fabriquer des fleurs artificielles. Le wagon n’avait pas tardé à être encerclé par les flammes. Le couple était parvenu à s’enfuir, mais Django avai été gravement brûlé sur une grande partie de son corps.
À la suite de l’incidennt, Django avait dû être hospitalisé durant dix-huit mois, mais il avait toujours refusé de se faire amputer la jambe droite. Déjango était éventuellement parvenu à se rétablir et avait même réussi à marcher sans avoir à se servir d’une canne. Cependant, le quatrième et le cinquième doigt de la main gauche de Django avaient été gravement brûlés. Les médecins avaient même prédit qu’il ne pourrait plus jamais jouer de la guitare. Refusant d’abandonner, Djangp avait progressivement retrouvé sa dextérité grâce à une guitare que son frère Joseph avait fait modifier spécialement pour lui. Joseph était d’ailleurs lui aussi un guitariste accompli. Même si Django n’avait jamais recouvré l’usage de ses deux doigts, il était parvenu à récupérer sa virtuosité en se concentrant sur son index gauche et ses doigts du milieu de la main.
Un an après l’incendie, en 1929, Bella avait donné naissance à un fils, Henri ‘’Lousson’’ Reinhardt. Le couple s’était séparé peu après. Le nouveau-né avait éventuellement pris le surnom de la mère de son nouvel époux et était devenu lui-même un excellent musicien. Il avait même enregistré plus tard avec Django.
C’est après sa sortie de l’hôpital en 1930 que Django avait découvert le jazz, principalement en écoutant les disques de Louis Armstrong et de Duke Ellington.
Après s’être séparé de sa femme et de son fils, Django avait voyagé à travers la France et avait joué dans de petits clubs. Django ne poursuivait aucun objectif en particulier, il se contentait simplement de survivre, dépensant au fur et à mesure ce qu’il gagnait. Django était accompagné dans ses voyages par sa nouvelle petite amie, Sophie Ziegler. Surnommée ‘’Naguine’’, celle-ci était une cousine éloignée de Django.
UNE RENCONTRE DÉTERMINANTE
Au cours des années qui ont suivi l’incendie, Django avait poursuivi sa réhabilitation. Il avait aussi commencé à expérimenter sur la guitare que son frère lui avait offerte. Après avoir joué plusieurs genres de musique, Django avait été initié auijazz par une connaissance, Émile Savitry, qui possédait une vaste collection de disques dont ceux de Louis Armstrong, Duke Ellington, Joe Venuti et Eddie Lang. Le duo formé par Venuti et Lang avait d’ailleurs exercé une influence considérable sur le futur duo de Django et Stéphane Grapelli).
C’est en développant son intérêt pour le jazz que Django avait fait la rencontre de Stéphane Grapelli, un jeune violoniste qui partageait ses goûts musicaux. En 1928, Grapelli avait été membre de l’orchestre de l’Hôtel Ambassadeur aux côtés de Paul Whiteman et Joe Venuti . Au début de 1934, Django et Grapelli avaient tous deux été membres du groupe de Louis Vola dans le cadre d’un engagemen au club La Croix du Sud. Bien qu’ils aient été fort différents (Django était un autodidacte et Grapelli avait une formation de violoniste classique), l’étincelle avait jailli immédiatement entre les deux hommes.
De 1934 jusqu’au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Django et Grapelli avaient été les solistes principaux du Quintette du Hot Club de France, qui venait d’être fondé à Paris. Le quintette était devenu éventuellement le groupe de jazz européen le plus influent de son époque. Le frère de Django, Joseph, faisait également partie du groupe, avec Roger Chaput à la guitare et Louis Vola à la contrebasse. Le quintette était un des seuls groupes de jazz à être composé uniquement d’instruments à cordes.
Le 14 mars 1933, Django avait enregistré deux pistes de ‘’Parce que je vous aime’’ et de ‘’Si, j’aime Suzy’’, des pièces chantées qui exigeaient beaucoup de support à la guitare (trois guitares, un accordéon, un violon et une contrebasse). En août 1934, Django avait fait d’autres enregistrements avec des guitaristes, incluant son premier enregistrement avec le quintette. Si la grande majorité des enregistrements du quintette comprenaient une grande variété de cuivres, en plus du piano et d’autres instruments, la structure de base était essentiellement basée sur les cordes. Les premiers enregistrements de Django avaient été produits par les Disques Swing, une étiquette fondée en 1937 par le critique de jazz Hughes Panassié et Charles Delauney, et qui produisait aussi les disques de Coleman Hawkins et Benny Carter.
Aux États-Unis, les Disques Decca avaient produit trois enregistrements du Quintette avec Django à la guitare. Un autre enregistrement réalisé en 1935 était attribué à "Stephane Grappelli & His Hot 4 with Django Reinhardt". Django avait également joué et enregistré avec plusieurs musiciens américains comme Adelaide Hall, Coleman Hawkins (qui avait plus tard fait un séjour à Paris) et Benny Carter. Django avait aussi participé à une jam session et à une émission de radio avec Louis Armstrong. Plus tard dans sa carrière, Django avait joué avec Dizzy Gillespie en France.
En 1938, le quartet de Django s’était produit devant des milliers de spectateurs au Kilburn State Auditorium de Londres. Quelques semaines plus tard, le groupe avait donné une prestation au Palladium de Londres.
L’IMPACT DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Lorsque la Seconde Guerre mondiale avait éclaté, le quintet original de Django était en tournée au Royaume-Uni. Django était rentré à Paris dès qu’il avait appris la nouvelle, mais, afin de ne prendre aucun risque, il avait laissé son épouse au Royaume-Uni. Quant à Grapelli, il était demeuré au Royaume-Uni pour toute la durée de la guerre. Django avait alors décidé de former un nouveau quintet. Hubert Rostaing avait remplacé Grapelli au violon.
Django étant d’origine gitane, le déclenchement de la guerre risquait de limiter la diffusion de sa musique, puisque depuis l’arrivée au pouvoir d’Hitler en 1933, on interdisait non seulement aux Gitans de résider dans les villes, mais on les enfermait dans des camps où la stérilisation était pratique courante. Les Gitans de sexe masculin étaient également tenus de porter un triangle de couleur brune sur leur poitrine afin de les identifier plus facilement. Ce symbole était assez semblable au triangle rose que devaient porter les homosexuels, ou à l’étoile jaune qu’on imposerait bientôt aux Juifs. Mais la persécution ne s’était pas arrêtée là puisque durant la guerre, des Gitans avaient été régulièrement exterminés dans les camps de concentration. En France, Les Gitans étaient utilisés comme main-d’oeuvre servile dans les fermes et dans les usines. On estime que pendant l’holocauste, entre 600 000 et 1,5 million de Gitans ont été exterminés en Europe.
Le troisième Reich n’avait pas une très haute opinion du jazz, qu’il considérait comme une musique décadente. Initialement banni complètement, le jazz avait cependant fini par être toléré, car le nombre d’amateurs en Allemagne et dans les territoires contrôlés par les Nazis n’avait pas cessé de croîre. La sévérité des politiques limitant la circulation du jazz était encore moins rigoureuse en France occupée, selon Andy Fry. En effet, on diffusait du jazz non seulement sur Radio France, la station officielle du régime de Vichy, mais sur Radio Paris, qui était contrôlée directement par les Allemands. Une nouvelle génération d’amateurs de jazz, surnommée les Zazous, était apparue, et avait envahi le Hot Club de France. En plus de cet intérêt accru, plusieurs musiciens américains qui avaient été basés à Paris dans les années trente étaient retournés aux États-Unis au début de la guerre, ce qui avait ouvert plus de débouchés pour les musiciens français. À l’époque, Django était le plus célèbre musicien de jazz en Europe et gagnait beaucoup d’argent, même s’il était constamment menacé d’être arrêté par les Nazis en raison de son origine ethnique.
En dépit de cette menace, Django avait encore accru ses horizons musicaux durant cette période. Grâce à un système d’amplification plutôt rudimentaire, Django avait mis sur pied une sorte de big band doté d’une importante section de cuivres. Il avait également flirté avec la musique classique, écrivant notamment une messe pour les Gitans et une symphonie. Comme Django ne pouvait pas lire la musique, il avait chargé un assistant de transcrire ses improvisations sur papier. Sa pièce intitulée ‘’Rhythm Futur’’ avait d’ailleurs été conçue expressément pour être acceptable aux Nazis.
En 1943, Django avait épousé à Salbris sa conjointe de longue date Sophie ‘’Naguine’’ Ziegler. Le couple a eu un fils, Babik Reinhardt, qui avait suivi les traces de son père en devenant plus tard un guitariste respecté.
Lorsque la guerre avait commencé à tourner au désavantage des Allemands en 1943, un rationnement strict avait été imposé à Paris. Il était devenu de plus en plus difficile pour Django de pratiquer son métier, car plusieurs membres de son entourage avaient été arrêtés ou avaient rejoint les rangs de la résistance.
Même si la première tentative de Django de fuir la France occupée s’était terminée par son arrestation, un amateur de jazz allemand, l’officier de la Lutwaffe, Dietrich Schulz-Köhn, lui avait permis de retourner à Paris. Django avait fait une seconde tentative quelques jours plus tard, mais il avait connu un nouvel échec lorsqu’il avait été arrêté au milieu de la nuit par des gardiens de frontière suisses, qui l’avaient forcé à rentrer à Paris.
L’une des compositions de Django, son célèbre ‘’Nuages’’ (1940), était même devenue l’hymne non officiel de la libération de Paris. La popularité de ‘’Nuages’’ était telle que lors d’un concert à la Salle Playel, la foule avait obligé Django à jouer la pièce trois fois d’affilée ! Dans les magasins, le disque avait été vendu à plus de 100 copies.
Si environ 600 000 Gitans avaient été internés et exterminés durant le ‘’Porajmos’’ (ainsi qu’on appelait le génocide gitan), Django avait eu davantage de chance et avait survécu au conflit.
RENOMMÉE INTERNATIONALE
Après la guerre, Django avait rejoint Stéphane Grappelli au Royaume-Uni. À l’automne 1946, Django avait fait sa première tournée aux États-Unis. La tournée avait débuté au Cleveland Music Hall. Dans le cadre de ce concert, Django était l’invité spécial de l’orchestre de Duke Ellington. À l’époque, Django avait joué avec plusieurs musiciens et compositeurs, comme par exemple Maury Deutsch. À la fin de la tournée, Django avait joué deux fois à Carnegie Hall où il avait été chaudement ovationné. Le premier soir, il avait même donné six rappels.
En dépit de la fierté qu’il avait ressenti pour avoir joué avec Duke Ellington, l’expérience avait été quelque peu décevante, car Django n’était pas un membre à part entière de l’orchestre. Il avait joué quelques pièces à la fin du concert, mais aucun arrangement particulier n’avait été écrit pour lui. Après la tournée, Django avait obtenu un contrat au Café Society Uptown, où il exécutait quatre solos par jour en compagnie du groupe-maison du club. Les performances de Django avaient attiré un large public. Django, qui n’avait pu apporter sa guitare habituelle aux États-Unis, avait dû jouer sur une guitare électrique qu’il avait empruntée. Toujours aussi perfectionniste, Django avait toutefois déploré que cette guitare n’avait pu rendre justice à la délicatesse de son style. Django avait aussi reçu des offres pour aller jouer en Californie, mais celles-ci ne s’étaient pas concrétisées. Fatigué d’attendre, Django était retourné en France en février 1947.
Après son retour en France, Django avait de nouveau tenté de se retremper dans la façon de vivre des Gitans, mais il avait eu de la difficulté à s’adapter à la vie dans la société d’après-guerre. Django participait parfois à des concerts sans amplificateur et refusait même à l’occasion de sortir de son lit. Avec les années, Django, qui avait toujours été imprévisible et indiscipliné, avait acquis une réputation de musicien capricieux, tant auprès des autres musiciens que des amateurs ou des gérants. Malgré tout, Django avait continué de participer bon mal, mal an, au salon artistique de Montmartre, pendant lequel il improvisait avec son fidèle collaborateur, Stéphane Grapelli.
De passage à Rome en 1949, Django avait recruté trois musiciens de jazz italiens (un bassiste, un pianiste et un batteur) avec lesquels il avait enregistré plus de soixante pièces en studio. Dans le cadre d’une réunion avec Grappelli, Django avait de nouveau utilisé sa vieille guitare acoustique Selmer-Maccaferri. L’enregistrement de cette session a été rendu public pour la première fois à la fin des années 1950.
De retour à Paris en juin 1950, Django avait été invité à se joindre à une réception donnée en l’honneur de Benny Goodman. À la fin de la guerre, Goodman avait invité Django à venir le rejoindre aux États-Unis. De guerre lasse, Django avait fini par accepter. Mais après s’être rendu compte qu’il ne pourrait servir que de faire-valoir à Goodman (qui n’avait pas été surnommé le ‘’Roi du Swing’’ pour rien), Django s’était ravisé et était demeuré en France.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1951, Django s’était retiré à Samois-sur-Seine, près de Fontainebleau, où il avait vécu jusqu’à sa mort. À la fin de sa vie, tout en se consacrant à sa passion pour la peinture, Django avait continué de se produire dans les clubs de Paris et avait même commencé à jouer de la guitare électrique. Bien qu’il ait toujours été réticent à jouer de cet instrument, Django branchait parfois un micro sur sa vieille guitare acoustique Selmer. Dans les derniers mois de sa vie, Django avait commencé à explorer une nouvelle direction musicale, qui intégrait le vocabulaire du bebop. Malheureusement, les enregistrements réalisés au cours de cette période avaient connu beaucoup moins de succès.  
Le 16 mai 1953, Django sortait à peine de la gare de Fontainebleau après avoir joué dans un club de Paris, lorsqu’il avait été victime d’une hemmoragie cérébrale. Comme c’était un samedi, il avait fallu une journée complète au médecin pour se rendre à destination. Lors de son arrivée à l’hôpital de Fontainebleau, Django était déjà mort. Il avait seulement quarante-trois ans.
RAYONNEMENT INTERNATIONAL
Il est impossible de savoir quelle direction la musique de Django aurait prise s’il avait vécu plus longtemps et s’il avait pu pleinement intégrer les influences du bebop dans ses compositions, mais on ne peut nier que Django était un virtuose qui avait su transcender les limites de son handicap afin de créer un art complètement nouveau.
Pour les guitaristes anglais et américains, il était invraisemblable qu’un musicien autodidacte comme Django ait pu réaliser autant de magnifiques enregistrements compte tenu de son handicap. Comme l’écrivait le guitariste et pédagogue Ian Cruickshank:
‘’It wasn't until 1938, and the Quintet's first tour of England, that guitarists [in the U.K.] were able to witness Django's amazing abilities. His hugely innovative technique included, on a grand scale, such unheard of devices as melodies played in octaves, tremolo chords with shifting notes that sounded like whole horn sections, a complete array of natural and artificial harmonics, highly charged dissonances, super-fast chromatic runs from the open bass strings to the highest notes on the 1st string, an unbelievably flexible and driving right-hand, two and three octave arpeggios, advanced and unconventional chords and a use of the flattened fifth that predated be-bop by a decade. Add to all this Django's staggering harmonic and melodic concept, huge sound, pulsating swing, sense of humour and sheer speed of execution, and it is little wonder that guitar players were knocked sideways upon their first encounter with this full-blown genius.’’
Le journaliste et critique de jazz Hughes Panassié avait commenté en 1942 dans son livre ‘’The Real Jazz’’:
‘’First of all, his instrumental technique is vastly superior to that of all other jazz guitarists. This technique permits him to play with an inconceivable velocity and makes his instrument completely versatile. Though his virtuosity is stupefying, it is no less so than his creative invention. In his solos [...] his melodic ideas are sparkling and ravishing, and their abundance scarcely gives the listener time to catch his breath. Django's ability to bend his guitar to the most fantastic audacities, combined with his expressive inflections and vibrato, is no less wonderful; one feels an extraordinary flame burning through every note.’’
Pour leur part Bill Neil et E. Gates écrivaient en 1945:
‘’Reinhardt set new standards by an almost incredible and hitherto unthought-of technique ... His ideas have a freshness and spontaneity that are at once fascinating and alluring ... [Nevertheless] The characteristics of Reinhardt's music are primarily emotional. His relative association of experience, reinforced by a profound rational knowledge of his instrument; the guitar's possibilities and limitations; his love for music and the expression of it—all are a necessary adjunct to the means of expressing these emotions.’’
POSTÉRITÉ ET HOMMAGES
Le fils aîné de Django, surnommé Lousson (ou Henri Baumgartner), a joué du bebop dans les années 1950 et 1960. Il a adopté le mode de vie des Gitans, mais il a peu enregistré. Le second fils de Django, Babik, avait suivi les traces de son père comme guitariste, mais il avait adopté un style beaucoup plus moderne. Babik a réalisé plusieurs enregistrements avant sa mort en 2001. Après la mort de Django, son jeune frère Joseph avait d’abord eu l’intention d’abandonner la musique, mais on l’avait finalement convaincu de poursuivre sa carrière et d’enregistrer de nouveau. Quant au fils de Joseph, Markus Reinhardt, c’était un violoniste gitan réputé.
Une troisième génération de descendants de Django s’est également illustrée en musique. David Reinhardt, le fils de Babik, avait formé son propre trio. Dallas Baumgartner, le fils de Lousson, étai devenu guitariste et avait voyagé avec les Gitans, même s’il avait attiré peu de fidèles. Un parent éloigné, le violoniste Schnuckenack Reinhardt, s’était fait connaître en Allemagne comme musicien gitan jusqu’à son décès en 2006, et avait contribué à garder l’héritage de Django vivant au cours de la période qui avait suivi sa mort.
Considéré comme un des plus grands guitaristes de tous les temps, et comme le plus important musicien de jazz européen à avoir contribué au développement de la guitare comme instrument de jazz,  Django a composé près de cent pièces au cours de sa carrière.
L’influence musicale de Django avait été limitée au début. Dans les années 1950, l’essor du bebop puis du rock n’ roll avaient rendu l’usage des instruments électrifiés prédominant. Mais avec le développement de la musique folk au milieu des années 1960, les compositions de Django étaient revenues à l’ordre du jour. On avait même consacré des festivals et des concerts à sa mémoire. Aux États-Unis, des guitaristes de jazz comme Charlie Byrd et Wes Montgomery avaient été particulièrement influencés par son style. Byrd, qui avait vécu de 1925 à 1999, avait d’ailleurs cité Django comme sa principale influence.  
De fait, la musique gitane est devenue si populaire après la mort de Django qu’elle avait donné naissance à de nombreux festivals, comme le Festival Django Reinhardt qui se tient le dernier weekend de juin depuis 1983 à Samois-sur-Seine. De nombreux festivals en l’honneur de Django ont aussi lieu chaque année à travers l’Europe et les États-Unis.
Le cinéma a également rendu hommage à Django. En février 2017, le Festival international du film de Berlin a présenté en première mondiale le film ‘’Django’’, une production française réalisée par Étienne Comar. Le film couvre la fuite de Django lors de l’occupation de Paris par les Nazis en 1943 et mentionne tous les périls et les atrocités qu’il avait dû affronter, tout en continuant de composer et de se produire en spectacle. La musique de Django a été réenregistrée pour le film par le Rosenberg Trio, un groupe de jazz hollandais qui a comme guitariste soliste Stochelo Rosenberg.
Un documentaire intitulé ‘’Djangomania !’’ a également été réalisé en 2005. Le film d’une durée d’une heure a été écrit et réalisé par Jamie Kastner, qui a voyagé un peu partout sur la planète afin de documenter l’influence de la musique de Django à travers le monde.
En 1984, le Kool Jazz Festival, tenu à Carnegie Hall et à l’Avery Fisher Hall, a été consacré exclusivement à Django. Des artistes comme Stéphane Grappelli, Benny Carter et Mike Peters et son groupe de sept musiciens y ont effectué des prestations. Le festival était organisé par George Wein. La mémoire de Django est aussi honorée annuellement à Liberchies, son village de naissance.
De nombreux musiciens ont rendu hommage à Django. L’oeuvre la plus connue est certainement la composition du pianiste du Modern Jazz Quartet, John Lewis, intitulée simplement ‘’Django.’’ Plusieurs autres musiciens ont mentionné Django parmi leurs principales influences, et pas seulement des musiciens de jazz. Jeff Beck a décrit Django comme étant, et de loin, le guitariste le plus étonnant de tous les temps, et le considérait presque comme un surhomme. Le guitariste du groupe Grateful Dead, Jerry Garcia, et le guitariste de Black Sabbath, Tommy Iommi, qui avaient tous les deux perdus des doigts lors d’incidents, ont été inspirés par l’exemple de Django. Garcia déclarait dans le Frets Magazine en juin 1985:  
‘’His technique is awesome! Even today, nobody has really come to the state that he was playing at. As good as players are, they haven't gotten to where he is. There's a lot of guys that play fast and a lot of guys that play clean, and the guitar has come a long way as far as speed and clarity go, but nobody plays with the whole fullness of expression that Django has. I mean, the combination of incredible speed – all the speed you could possibly want – but also the thing of every note have a specific personality. You don't hear it. I really haven't heard it anywhere but with Django.”
Nous laissons le mot de la fin au guitariste David Grisman qui avait déclaré: "As far as I'm concerned, no one since has come anywhere close to Django Reinhardt as an improviser or technician."
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SOURCES :
COOKE, Mervyn. L’Histoire du Jazz. Grund, 2014.
‘’Django Reinhardt.’’ FNAC.com, 2022.
‘’Django Reinhardt.’’ Wikipedia, 2022.
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shabanafr · 2 years
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Boucles d’oreilles licornes danseuses en argent 925 avec attache à vis
Ces boucles d’oreilles licornes danseuses pour enfant apparaissent comme de parfaits cadeaux pour les petites filles qui ont l’imagination fertile et qui sont attirées par les personnages féériques qu’elles rencontrent au gré de leur découverte du monde des enfants.
Le personnage mis en avant à travers ces boucles d’oreilles pour fille se veut ici être des licornes danseuses et en tant que telles, ont été habillées d’une tenue de ballerine aux couleurs douces et arc-en-ciel. Il serait tout simplement difficile d’imaginer ces bijoux ailleurs que sur les oreilles de votre petite fille.
Notre bijoutier a ici particulièrement investi dans un design qui évoque avec éclat le monde de l’enfance sans avoir oublié pour autant les critères qui font un bijou noble et valeureux.
Les finitions de ces boucles d’oreilles licornes danseuses sont très soignées et répondent aux goûts des parents les plus exigeants.
Le choix du matériau de fabrication s’est porté sur l’argent 925, noble et précieux, mais aussi adapté aux oreilles sensibles de nos enfants, car les matériaux nocifs tels que le plomb et le nickel ont ici été écartés. Ces boucles d’oreilles pour enfant sont également hypoallergéniques.
C’est donc dans la sécurité que votre petite fille profitera de ses boucles d’oreilles licornes danseuses, des bijoux façonnés pour nourrir les imaginations les plus fertiles, mais aussi pour donner un look attractif aux petites filles sages.
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Enfin, grâce à l’attache à vis qui sert de fermoir à ces boucles d’oreilles licornes, l’adaptation aux enfants est complète puisqu’il leur sera difficile d’égarer ce bijou quelles que soient les conditions et l’environnement dans lesquels il est porté.
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Vous cherchez le cadeau parfait pour une petite fille ? Ne cherchez pas plus loin que nos boucles d'oreilles à vis ! Ces boucles d'oreilles sont parfaites pour les petites filles qui perdent toujours leurs boucles d'oreilles. Grâce au fermoir à vis, il est impossible que les boucles d'oreilles se détachent accidentellement, ce qui garantit la sécurité de votre enfant. De plus, le magnifique motif en forme de cœur fera certainement sourire votre petite princesse. Alors n'attendez plus, commandez dès aujourd'hui votre jeu de boucles d'oreilles à vis
CONSEIL : Vérifier quotidiennement les attaches afin de s'assurer qu'elles ne soient pas dévissées, les enfants bougeant très souvent la nuit.
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openthedoor · 2 years
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Sae Jin prit le cadeau que lui offrait Océane. 
Elle resta muette de stupeur en découvrant ce qui lui avait été offert.
Mais, tu ne peux pas…
Oh mais si et je compte sur toi et Cho Yon dès l’été prochain, bien sûr, Ani est avec moi.
Cho Yon sauta de joie en découvrant le cadeau de Océane et Ani. Yes, yes. elle les embrassa. Vous êtes trop fortes, je voulais augmenter mon temps de travail au café pour les acheter, Sae Jin ne voulait pas, pour que je ne perde pas de temps sur mes études. 
Sae Jin regardait ses amies, les yeux brillants. Je ne sais pas quoi dire.
Eh bien, dis nous de prévoir les lits pour l’été prochain.
Oh fit Tbear en voyant les billets. Il lança alors à ses hyungs ; Elles lui ont offert des billets d’avion non daté, pour la France. 
Ça veut dire que tu seras en France quand on participera aux festivals l’été prochain dit JK  en regardant Cho Yon. 
J’espère bien, lui dit Cho Yon, avec un grand sourire. 
JK était très content, il aimait bien Cho Yon, elle disait toujours ce qu’elle pensait et sa célébrité ne l'intéressait pas du tout. Elle avait ses objectifs, et construisait sa vie. Elle le traitait d’égal à égal. 
Ses Hyungs avaient déjà remarqué, ce que JK ne semblait pas encore mesurer. Il avait trouvé des amis, hors de ses hyungs, ce qui était très bien pour lui ; même nécessaire pour lui permettre de se construire aussi autrement. Il avait aussi rencontré des jeunes femmes, pas forcément des ARMY et il avait appris à se comporter normalement avec elles. Pas comme le séducteur ou le bunny du Bangtan. Il avait compris qu’il pouvait aussi être Jeon Jeong Guk et avoir une vie autre.
D’accord dit Sae Jin à Cho Yon. On fixera les dates ensemble, dit-elle en regardant Océane et Ani.
Sans problème, vous pourrez rester autant que vous voudrez, tout l’été si vous voulez, lui dit Ani.
Merci vraiment, merci. Et Sae Jin offrit son plus beau sourire. Celui qu’elle n’avait pas eu l’occasion d’expérimenter souvent mais qui maintenant revenait plus facilement. Elle avait trouvé une tribu comme disait parfois Cho Yon en prenant l’accent français de Ani.
Alors voyons, Ha Neul, je suis ravie de t’offrir ton cadeau.
Chouette, Ha Neul s’était liée d’amitié avec Sae Jin. Elles avaient le même âge. Avaient toutes les deux travaillé dur au détriment de l’amitié pour finalement très bien se trouver. 
Ha Neul découvrit un magnifique bracelet manchette qui avait été stylisée.
Je sais que ça t’agace de toujours devoir défaire les crochets des bracelets. J’ai pensé que ce serait plus pratique.
Le bracelet avait été gravé au prénom de Ha Neul avec une danseuse qui s’élançait dans un magnifique ciel bleu, comme le symbole de son prénom.
J’adore, merci Sae Jin, je crois que tu me connais trop bien aujourd’hui.
Ha Neul fut la suivante, et offrit son cadeau à Seok Min. Ce dernier sauta de joie en découvrant des billets pour une journée, entre amis, dans un parc aquatique, bref, une journée de jeux. 
Comme je ne doute pas que tu auras ton examen, Hope m’a aidé à trouver le lieu idéal pour fêter ça. 
C’est génial Ha Neul, en fait tu me mets tranquillement la pression lui dit il en riant.
Allez, à mon tour. Seok Min offrit son cadeau à Gabriela. La jeune brésilienne s’était vite familiarisée avec toute la troupe. Elle était sociable et toujours d’humeur joyeuse. Elle découvrit un superbe foulard. Elle en attachait souvent dans ses longs cheveux noirs. 
Seok Min lui sourit, j’ai bien vu que tu l’avais repéré quand on est allé faire le MV de Batiste. J’ai croisé les doigts pour que tu ne l’achètes pas.
Merci Skate lui dit-elle avec son accent plein de soleil. Il me plait beaucoup. Elle le prouva en le nouant de suite dans ses cheveux avec un clin d'œil.
Une fois qu’elle avait terminé, elle offrit son présent à Tbear. Elle espérait bien qu’il lui plairait. 
Tbear ouvrit un petit coffret. C’était un bracelet brésilien, fait main par Gabriela. Elle lui dit en lui mettant au poignet. Chez nous, quand on offre un bracelet, c’est qu’on est ami. Le jour où ce bracelet tombera, il sera temps de venir au Brésil. Je serais ravie de t’accueillir avec toute ta famille dit-elle en regardant Manon. Ce n’est que peu de chose mais j’y ai mis mon amitié dit elle en brésilien ; ce que Skate traduisit.
Tbear était très touché. Pour lui, les cadeaux les plus importants étaient ceux du cœur. Gabriela lui prouvait qu’il avait eu raison de la considérer comme une amie.
Je n’attendrai pas qu’il tombe pour revenir au Brésil. Merci Gabriela. Ton cadeau me touche beaucoup. 
Tbear souriait, il était lui aussi heureux d’avoir trouver autant de gens à aimer en plus de celle qu’il comptait bien épouser, mais ça, patience.
Il se tourna vers Cho Yon avec un gros paquet. 
Oh s'exclama-t-elle en découvrant un blouson en cuir. Tu es fou Tbear.
Je ne suis pas fou, je fais ça pour JK, tu n’arrêtes pas de lui piquer son blouson. Comme ça, il pourra piquer le tien, enfin pas tout à fait, il est plus musclé que toi, tu es toute menue alors j’en ai pris un à ta taille. 
Merci Tbear dit-elle en l’enfilant. 
JK, un peu déçu, ça ne me dérangeait pas tu sais.
Comme ça vous ferez la paire lui lança Tbear avec un sourire complice. Comme un petit couple chuchota t’il plus bas. 
En Corée du Sud, il était courant de voir les jeunes couples s’habiller à l’identique. Tbear savait que JK aimait bien Cho Yon. Il validait, elle était très drôle et très franche. Et peut-être que si elle venait en France l’été prochain…
J’adore Tbear. Tu as bien choisi ton ours, lança-t-elle à Manon, toujours avec sa franchise habituelle ; ce qui fit rire toute l’assemblée.
Le tirage au sort approchait de la fin et parfois le hasard faisait bien les choses.
Cho Yon regarda JK, c’est mon tour lui dit-elle. Sors ton portable…
JK obéit.
C’est bien parce que c’est toi. Océane et Manon auraient dû tenir leur langue. Tu es obligé de mettre tes écouteurs d’accord dit-elle, subitement intimidée.
Alors JK compris. 
Lors d’une de leurs soirées, il avait déjà repéré que Cho Yon avait une jolie voix mais il avait appris avec l’indiscrétion plus ou moins voulue de Océane et Manon, qu’en fait Cho Yon avait une voix magnifique. Il avait alors tenté de la faire chanter mais jusqu’ici elle avait toujours évité.
Il se dépêcha de mettre ses écouteurs et on le vit écarquiller les yeux de surprise puis les fermer avec un sourire sur les lèvres.
Tu lui as enregistré une chanson, demanda Manon ?
Oui, répondit brièvement Cho Yon. 
Laquelle ? 
Scars to your beautiful de Alessia Cara , j’ai un peu adapté dit-elle.
Tu chantes, demandèrent les hyungs.
Oh Non, non non. Je sais chanter juste c’est tout et JK voulait entendre parce que les filles ont vendu la mèche.
Le temps des questions JK avait rouvert les yeux et regardait Cho Yon avec son plus beau sourire. Aucune jeune femme saine d’esprit n’y résisterait et Cho Yon rougit. 
Tu vois, il n’y a pas de quoi en faire un plat… lui dit-elle.
JK mis un peu de temps à répondre et lâcha dans un souffle, avec des yeux humides, tu as une voix d’ange. 
Ses hyungs le regardèrent interloqués. C’était la première fois qu’il voyait JK aussi touchée, il était sensible mais là…
On peut l’écouter nous aussi.
Non dit JK, elle n’est que pour moi. Parlait il de la chanson ou de Cho Yon…
Cho Yon, se sentait confuse et ravie que son cadeau lui plaise.
Merci Cho Yon lui dit-il une fois qu’il se fut repris.
⚠️ Cette histoire est une pure invention sortie de mon esprit en ébullition. Toute utilisation sans mon accord est interdite.
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ilovestilettos · 5 years
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{Giselle} Au Palais Garnier jusqu’au 15 février. LE ballet romantique par excellence, un archétype du genre. Mais quel délice lorsque c’est bien exécuté! Ces messieurs dansent évidemment comme des dieux, mais mon immense coup de cœur et de chapeau va à Dorothée Gilbert et Valentine Colasante, parfaites Giselle et Myrtha. Elles sont absolument parfaites dans ces rôles et elles nous font passer un moment magique. C’était la premiere fois que A. - l’une des filleules de M. Papillon - voyait un ballet à l’opéra, et comme vous pouvez l’imaginer, voir un tel ballet, en ces lieux quand on est une danseuse de 11 ans, c’est une chouette expérience. Alors merci mesdemoiselles Gilbert et Colasante d’avoir été de telles marraines pour A. , nous n’aurions osé espérer plus beau cadeau! #giselle #ballet #operadeparis #dorotheegilbert #valentinecolasante #mathieuganio (à Opéra Garnier) https://www.instagram.com/p/B8MhO1FKsIP/?igshid=yf9fl4j6xf4q
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lemon2jul · 5 years
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Affiche Fleur de Flamenco - Danseuse Sevillane - Cadeau parfait pour une aficionada
https://www.etsy.com/fr/listing/261860768/affiche-fleur-de-flamenco-danseuse
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