#c'est pété putain
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avatars (400 x 640): benjamin voisin, signés lune/soeurdelune
#je voulais faire un truc stylé parce que#c'est un de mes fc favoris#mais mon cerveau n'est pas d'accord#c'est pété putain#benjamin voisin#benjamin voisin avatars#avatars#avatars rpg#400x640#forum rpg#ressources rpg#voltaire saint-armand
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Je sais que j'ai des chances d'être lu mais bah la race je peux pas la laisser gagner comme ça .Si je dois partir , elle partira avec moi
Enfin vu l'épisode purée j'ai kiffé voir Vérosika dire les termes à blitzo. Car en vrai Blitzo me rappel une bonne amie , je ne l'ai jamais hein...mais pareille je lui ai donné beaucoup de chose et ma rendu que de la toxicité de l'aide de l'attention . Et ça n'a pas affecté que moi mais tout mon serveur on est pas aussi nombreux que les ex de Blitzy mais on est un sacré paquet . Je crois que ça c'est mal terminé car on est pas aller dans son sens à elle , disons vouloir être aidé mais quand les gens se bougent pour elle bye et ça nous a tous usé et affecté de différente manière
Comme Vérosika on a finit par passer pour les méchant de l'histoire. Tu ne peux pas décemment dire que tu as pas passé d'excellent moment avec nous alors que j'ai le souvenir de t'avoir vu rire avec nous . Tu ne peux pas dire je vous ai rien demandé alors que tu étais la première à vouloir des explications des rectifications. On a pas été parfait mais c'est l'ensemble de tes comportement qui nous a poussé a bout nous qui voulait de donner tellement . Puis de ce que je t'ai vu faire ailleurs , le parfait inverse de ce que tu aspirais avec nous . Chez nous c'était mauvais mais ailleurs ça passe.
L'épisode m'a poussé a écrire ceci pour mettre vraiment un point final au conflit car je sais l'image qu'on a de tes amis et on en a rien a pété continue on sait ce qu'on vaut ce qu'on a voulu faire pour taider . Le personnage de ce petit diablotin te correspond bien plus que n'importe lequel dans tout l'univers de Vizie .
Il ne suffit pas de dire je veux changer , il a aussi la volonté et l'envie de vraiment le faire . Avoir des difficulté social ou relationnel ne peux pas tout expliquer , ne peux pas tout pardonner ce n'est pas un putain de totem d'immunité et c'est encore moins une tare !
Finally saw the episode, I really enjoyed seeing Vérosika say the terms to blitzo. Because in real life Blitzo reminds me of a good friend, I never have eh... but the same I gave her a lot of choice and gave me only the permission of the help of attention. And it didn't just affect me but my whole server, we're not as numerous as Blitzy's exes but we're a hell of a lot. I think it ended badly because we didn't go in her direction, let's say we wanted to be helped but when people moved for her bye and it used us all and affected us in different ways Like Vérosika we ended up being seen as the villains of the story. You can't decently say that you didn't have a great time with us when I remember seeing you laughing with us. You can't say I didn't ask you anything when you were the first to want explanations of the corrections. We weren't perfect but it was all of your behavior that pushed us to the limit, we who wanted to give so much. Then what I saw you do elsewhere, the perfect opposite of what you aspired to with us. At home it was bad but it's OK elsewhere. The episode pushed me to write this to really put an end to the conflict because I know the image we have of your friends and we don't care, keep going, we know what we're worth, what we're worth something I wanted to do to help you. The character of this little imp suits you more than any in the entire Vizie universe
It is not enough to say I want to change, he also has the will and the desire to really do it. Having social or relational difficulties can't explain everything, can't forgive everything, it's not a fucking totem of immunity and it's even less a defect!
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France, 2024:
- T'as pris combien toi ?
- 1 an et toi ?
- 5 ans.
- 5 ans ? Putain mais t'as fait quoi ?
- Un soir, alors que tout le monde dormait dans la maison, j'ai entendu un bruit dans le salon, je pensais que c'était ce putain de chat qui avait fait tomber un truc. J'y suis allé pour aller voir et là, à peine en sortant de la chambre, y'a un mec qui m'a foutu un couteau sous la gorge. Il m'a amené dans le salon où y'avait un autre gars. Ils m'ont mis à genoux et ils sont allés chercher ma femme et mes enfants. Ça avait l'air de les faire rire. Quand mes enfants sont arrivés, j'ai vu qu'ils étaient terrorisés...
- Ils ont quel âge tes gosses ?
- 4 et 10 ans. Donc là, ces deux connards ont commencé à leur faire peur, comme si c'était un jeu. Tu vois, au début, j'étais tétanisé, mais quand j'ai vu la terreur dans les yeux de ma petite dernière, j'ai pété un plomb.
- Qu'est-ce que t'as fait ?
- Y'avait une paire de rollers Peppa Pig qui traînait à côté du canapé, j'ai profité d'une seconde d'inattention et j'ai réussi à assommer un des deux gars et l'autre s'est jeté sur moi, j'ai pris un coup de couteau dans le bide mais j'ai réussi à le faire tomber, là j'étais dans une rage de malade et je lui ai défoncé le crâne avec les rollers. Le mec est mort avant l'arrivée des secours. Le pire c'est que c'était même pas moi qu'ils visaient, c'était la maison de mon voisin, c'est le maire de ma ville.
- C'est chaud comme histoire. Mais je pige pas, t'étais chez toi, tu t'es défendu, je vois pas ce que t'as fait de mal.
- La juge n'en avait rien à foutre, soit disant que ces deux enfoirés avaient eu une enfance difficile. Bon et sinon, toi, pourquoi t'es là ?
- J'ai imité l'accent africain pendant un repas de famille.
France, 2024:
- How much did you take?
- 1 year and you?
- 5 years.
- 5 years ? What the fuck did you do?
- One evening, while everyone was sleeping in the house, I heard a noise in the living room, I thought it was this fucking cat that had dropped something. I went there to have a look and there, as soon as I left the room, there was a guy who put a knife to my throat. He took me into the living room where there was another guy. They put me on my knees and went to get my wife and children. It seemed to make them laugh. When my children arrived, I saw that they were terrified...
-How old are your kids?
- 4 and 10 years old. So there, these two assholes started to scare them, as if it was a game. You see, at first, I was paralyzed, but when I saw the terror in my youngest's eyes, I lost my temper.
- What did you do ?
- There was a pair of Peppa Pig rollerblades lying next to the sofa, I took advantage of a second of inattention and managed to knock out one of the two guys and the other threw himself at me, I took a stab in the stomach but I managed to make him fall, then I was in a mad rage and I smashed his skull with the roller skates. The guy died before help arrived. The worst thing is that it wasn't even me they were targeting, it was my neighbor's house, it was the mayor of my town.
- It's a hot story. But I don't understand, you were at home, you defended yourself, I don't see what you did wrong.
- The judge didn't give a damn, saying that these two bastards had a difficult childhood. Well, if not, why are you here?
- I imitated the African accent during a family meal.
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Compilation de réponses écrites au sujet de l'univers de Steam Powered Giraffe
Hare : Ass-où-quoi ??
The Skull : Mauvais Becile. C'est là que Ignatius a fini.
Hare : … Ignatius ? Bon sang, je n'ai pas pensé à lui depuis des lustres. Où as-tu entendu ça ?
The Skull : Becile Industries. J'ai obtenu un travail chez eux et ai entendu par hasard des… rumeurs. Des soupçons sur son travail, sur ce qui lui est arrivé. Je suppose qu'il a pété les plombs.
Hare : Hein ! Il était vraiment spécial. Je n'ai jamais aimé la façon dont il me regardait, comme s'il me désassembler du regard. J'ai toujours pensé qu'il aller devenir un ermite fou.
Hare : … Je suppose qu'il a suivi les traces de Pa' après tout.
The Skull : …
Hare : …
Hare : Eh bien, voilà ta réponse. Nous n'avons aucune idée de ce à quoi ressemble Ass-land ou quoi que ce soit. Bonne chance avec ça.
Note du traducteur: Ass signifie cul en anglais.
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Hare : Je n'ai jamais rencontré ce type. Ce qui le place au-dessus du reste de la famille.
The Skull : J'ai travaillé pour sa société, mais c'est tout. Il semble intelligent. Et il est un beau parleur. C'est assez pour être dangereux. Franchement, je suis satisfait de le garder à distance.
Hare : Hé, ouais…
Hare : …
Hare : Dis, euh…
Hare : Est-ce que… est-ce qu'on sait exactement quel est son lien de parenté avec Pa' ?
The Skull : … Euh.
Hare : Je veux dire, ça doit être par Norman, non ? C'est le dernier que nous ayons vraiment connu.
The Skull : Je… ne sais pas.
Hare : Mais bon, hé. Il aurait pu voler le nom, devenir célèbre rapidement grâce à la mauvaise réputation.
The Skull : …
The Skull : Je dois y aller.
The Skull : Je vais faire un peu de... « Recherches. »
Hare : Oups ! Que quelqu’un dise à Buster qu’il est sur une liste noire ! Hahaha !
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Hare : Ha ! Qu'est-ce que je ferais dans le Wisconsin ? Traire des vaches ? C'est ça, oui. Ce n'est pas comme si quelqu'un me conduirait là-bas non plus. Je n'ai pas le fric, je n'ai pas le temps. C'est pourquoi je n'y suis jamais allé. Je ne suis jamais euh... allé en dehors de la ville. *tousse*
The Skull : Je suis allé à Santa Ana une fois, avec Maître Becile.
Hare : Ah ouais ? Comment c'était ?
The Skull : … C'était une ville.
Hare : … C'est vraiment tout ce que tu vas me dire.
The Skull : Ce n'est pas comme s'il s'intéressait aux visites touristiques.
Locksmith : Quelles vies terriblement déprivées de tout que vous menez ! Ne jamais être témoin des sources culturelles qui parsèment notre continent, et encore moins notre globe. Admirer les paysages et les odeurs des montagnes et des déserts, contempler l'art immuable des maîtres artisans, savourer un spectacle en direct, sachant qu'il ne pourra jamais être reproduit. Comme je désire ardemment cette liberté de voyager ; Le Caire est splendide à cette époque de l'année.
The Skull : Et comment diable le saurais-TU ?
Locksmith : ...
Locksmith : National Geographic.
Note du traducteur : National Geographic est une chaîne culturelle qui parle d'histoire et de géographie populaire dans les pays anglo-saxons.
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Hare : Oh, tu veux dire Papa. Papa le merveilleux. Papa le génie. Monsieur Grand Maître-Des Robots. Monsieur A-Fait-Un-Million-De-Choses. Monsieur Peut-Pas-Trouver-Une-Autre-Petite-Amie. Le gars qui a fait jeter mon Pa' en prison. Le gars qui a ruiné sa réputation et l’a rendu fou. Le gars qui a « gagné ! » Le gars qui a pu vivre heureux pour toujours, riche et célèbre !
Hare : Colonel Peter A.-putain-Walter, le putain de Premier !
Hare : Le gars qui a construit Rabbit.
Hare : NIQUE CE TYPE.
The Skull : Dieu. Tu as tout fait sortir de ton système ?
Hare : TAIS-TOI.
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Hare : Le son que fera Rabbit quand je la jetterai enfin dans les égouts. Suivant.
The Skull : Je n’écoute pas leurs conneries.
Lockslith : De la même manière, je m’abstiens de m’adonner au style rudimentaire des Walters. Une fois a suffit pour trouver que l’orchestration faisait défaut.
Dee : Non.
The Jack : Ju Ju Magic.
Hare :
The Skull :
Locksmith :
Dee :
The Jack : HAHAHAHAHA !
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<- Précédent --- Suite ->
Directions
#spg#steam powered giraffe#becile bots#becile boys#Hare Becile#The Skull Becile#Locksmith Becile#The Jack Becile#Dee Becile#askbox answers#text answers#traduction française
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Résilience
Dans cinq jours, ma fille célèbrera ses 20 ans, et les préparatifs battent leur plein ! J'ai reçu son cadeau hier... Bah je vais rien divulguer, c'est des airs pods, les sines sont pétés. C'est même pas un truc classe, je me sens nul. Elle a invité toute la famille (moi et mon ex, donc) . Vingt ans, c'est un sacré cap, putain, je me réjouis pour elle ! Mais, pour ajouter à l'ambiance, devinez qui sera là... Le remplaçant que mon ex a trouvé, environ le lendemain, un type que je ne peux m'empêcher de qualifier de "maïs transgénique" depuis 16 ans.
Jpp de peser le pour, le contre, le jamais, le pourquoi pas.
Mon corps est-il suffisamment résilient. Si j'avais le soutien d'amis, de famille... Mais je vais pas en parler. Mes dilemmes internes, j'en cause pas. Un peu à mes chats, et encore, ils comprennent pas trop.
J'ai mis en place des stratégies d'adaptation : gestion du stress et communication avec moi-même et mes centres émotionnels ; tenter de leur retrouver un équilibre, mais c'est tellement le bordel. Nous redevenons un peu capables de ressentir des émotions positives et de renouer des relations sociales.
Offrir du soutien, nous protéger, tenter le pari du mieux-être émotionnel et viser la santé mentale... Et... Illuminer le monde, extérieur, intérieur, et aussi bien que possible ce qui m'entoure.
(Dans ma tête)
(c'est un tel bordel)
(que je me raccroche à l'élastique de petite culotte qu'on m'a accroché autour des chevilles quand j'ai dit "ok, je saute !")
(Et dans ma vie)
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Y a moi qui reviens du Québec avec l'envie de ne plus du tout me disputer avec ma famille puis t'as mon père qui pète un câble parce que j'ai pris un morceau de baguette sans cul et du coup il doit en avoir un avec un cul. C'est quel genre de gamineries ça? Et quand je dis qu'il a pété un câble, il a carrément commencé une dispute hein. Il est monté dans sa chambre en râlant. Choisissez bien le père de vos enfants svp. J'ai trop la haine putain.
C'est trop injuste que je doive me coltiner un gros gamin qui se remet jamais en question en guise de père. Qu'il aille se faire foutre.
(15/01/2023)
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https://www.fanfiction.net/s/14399227/1/39
NOTE DE L'AUTEUR : premier vrai BKDK que j'écris et qu'est ce que s'était un réel plaisir. Bon, un hurt/comfort sans doute bancale mais je suis beaucoup trop fière de l'avoir terminer (genre une nuit d'insomnie de pure labeur) avec presque 3000 mots où j'explore le point de vue d'Izuku dans un plus où loins long OS.
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RÉSUMÉ : Izuku Midorya qui se réveille avec l'impression de ne plus jamais pouvoir affronter le monde.
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Izuku Midoriya se réveilla à la voix de son héros préféré. Un son qui, d'ordinaire, lui était fort agréable et qui suffisait à le motiver pour se lever et affronter la journée de cours auquel il se devait d'assister.
Mais pas aujourd'hui.
Aujourd'hui, les encouragements qu'All Might, lancer à travers le haut-parleur de son téléphone, ne lui procurait rien de plus qu'une migraine fatiguée, mais surtout l'envie de se terrer sous sa couette, et ne plus jamais en ressortir pour le reste de la journée après avoir, au préalable, pété son portable contre le mur pour pouvoir faire taire une bonne fois pour toutes les paroles répétitif de son mentor.
Résigné, pourtant, de devoir se rendre en classe, affronter une journée chargée, fatigué d'avance devant les montagnes de choses qui lui semblaient impossible à terminer entre, et les entraînements, et les devoirs, et les confrontations sociales, Izuku chercha à tâtant l'objet de ses malheurs et mis fin aux supplices qu'il lui procurait. Il ne put, cependant, empêcher une once de culpabilité de le faire se tasser encore plus sous sa couette face à cette pensée.
C'est vrai quoi, après tout Izuku était un apprenti héros ! Rêve qu'il chérissait depuis sa plus tendre enfance, et qu'il s'appliquait à réaliser de jour en jour. En plus, All Might lui a offert cette chance, celle que l'on ne reçoit qu'une seule fois dans une vie. Il lui avait offert la possibilité de poursuivre ce qu'il a toujours voulu accomplir : venir en aide aux autres, avec le sourire, celui de l'espoir, de la sécurité, et quelque part, de la satisfaction d'avoir accompli quelque chose de beaucoup plus grand que soit. All Might lui a ouvert les portes, en grand, très grand même, vers un avenir qui lui semblait jusqu'alors inaccessible, alors bien sûr qu'il méritait de la part d'Izuku bien plus que des remarques peut flatteuses d'un putain d'adolescent en pleine crise existentielle et qui n'avait même pas les jugeotes pour se lever de son lit ! Qu'il pouvait être pathétique, bon sang !
Izuku sursauta et se rendit vite compte qu'il rêvassait depuis un petit bout de temps lorsqu'il entendit une deuxième vague d'encouragement de la part d'All Might. À nouveau, il cliqua sur une touche de l'écran de son téléphone pour éteindre le réveil, et décida cette fois de se lever pour de bons. Bien que maussade et sans grande conviction, il rejeta sa couette sur le côté, se leva puis pris la direction de la salle de bain d'un pas mécanique.
«. Putain de nerd, regarde où tu mets tes putain de pieds ! »
C'était sur, Izuku allait définitivement finir raide mort par une crise cardiaque avant que la journée n'avait réellement pu commencer et il n'aurait même pas encore pris sa dose de caféine ! Saloperie ! Son regard encore embrouillé de sommeil croisa son mal celui carmin de ce qu'il reconnue être son ami d'enfance, expression du visage déformé, même d'aussi bon matin, par ses sourcils froncé d'une moue réprobatrice. Izuku, toujours l'esprit en vrac mis un temps considérable à remettre véritablement ses idées en place, le visage grimaçant, prêt à s'excuser.
Seulement, Katchan le scruta durant le temps d'un flottement qu'Izuku eu à peine conscience d'avoir provoqué, comme à la recherche d'une quelconque faille, un plie soucieux entre ses sourcils blondes à peine perceptible. Plie qui d'ordinaire était visible pour Izuku qui le connaissait si bien, mais qui, cette fois-là, lui passait loin au dessus de la tête. Katchan ne laissa donc pas le temps à Izuku, de toute façon trop perdu, à dix mille lieux du lycée, de prononcer quoi que ce soit pour reprendre son chemin dans un « tchk ! » un brins agacer et de disparaitre d'un pas moins colérique que d'habitude, mais colérique quand même, au détour d'un couloir.
Izuku semblait presque soulager de le voir s'en aller, mais plus soucieux de son futur retard s'il ne se dépêchai pas plus vite à se préparer, il continua sa traversée jusqu'à la salle d'eau commune et accueilli avec grâce de ne plus avoir à tombé sur l'un de ses camarades de classe, peu enclin pour l'instant de s'encombrer d'une autre présence quelquonque. Presque soulager, donc, puisque maintenant il subsistait en lui cette sensation d'inachevé, comme s'il avait oublié un détail super important. Il y pensera plus tard. Izuku acciona le robinet et un jets dos glacer le menaça assez vite de claquer des dents.
******
« Ochaco ! Je... Pardon ! Je ne voulais pas... Est ce que tu a mal ? Il faut te ramener à Recovery Girls ! Je suis vraiment désolé, je... Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. J'étai- »
« C'est bon, Midoryia, ça ne sert à rien de paniquer, on va l'emmener à l'infirmerie. Toi, tu n'as rien ? »
« Non... Mais- »
« T'occupes. Ida, Todoroki, vous vous occupez d'Uraraka. Je vous rejoins. »
« Oui professeur ! »
Penaud, Izuku regarda ses amis traversée le terrain d'entrainement jusqu'à rejoindre l'enceinte du bâtiment, Ochaco lui lançant à la volée un sourire qui se voulait réconfortant. Mais il eux tout l'effet inverse. Izuku s'en voulu que d'avantage d'avoir pue blesser son amie, de manière aussi stupide qui plus est. La culpabilité s'enfonça dans son estomac jusqu'à le faire déglutir, ramenant par automatisme son doigt à la bouche pour en ronger les ongles, la tête baissée.
« Midoryia. »
Izuku avait, de façon pitoyable, perdu le contrôle sur son alter, donnant ainsi par inadvertance une raclée de renom à son amie au pouvoir de gravité, son revêtement intégral à un pourcentage supérieur à ce que le jeune apprentie avait l'habite d'encaisser. Il l'avait envoyé s'encastrer violement contre un bâtiment en ruine alors qu'ils s'affrontaient pour un exercice où il jouait le vilain à attraper et elle le héros. Ça avait trop vite déraper avant qu'Izuku ne prenne réellement conscience de la situation, l'esprit encore sous le choc qui parvenait difficilement atteindre son cerveaux qui avait, lui, décidé de dysfonctionné comme de la bouillie de merde.
Et quelle merde, bon sang ! Il était trop dans les nuages, trop à côté de la plaque, trop dans sa tête et pas suffisamment ancré dans le bas monde qui semblait n'attendre que ça de lui, qu'il revienne ! Mais aujourd'hui, plus que les autres jours il était complètement déglingué. À l'ouest. Et Ochaco était envoyé à l'infirmerie pour une raison aussi stupide. Foutrement stupide en plus !
« Midoryia ! »
Izuku finit par percevoir la voix rauque de son professeur monter à peine plus haut qu'à l'accoutumée. Quand il le vit enfin, il fut frapper par le regard perçant que l'adulte lui lançait, le clouant dans une appréhension qui le paralysa sur place. L'adulte le détailla un instant, semblant étudier la meilleure démarche à suivre pour sans aucun doute le sanctionné, et c'est lorsqu'il lâcha un soupir résigné qu'Izuku remarqua vraiment le léger éclat d'inquiétude dans ses yeux cerné et injecté de sang dû au manque de sommeil. Bien que tout de même pris par la surprise, - enfin... son professeur devait probablement s'inquiéter pour sa camarade de classe envoyé à l'infirmerie - Izuku resta silencieux, peu soucieux d'aggraver encore plus son cas, puisqu'il lui était certain que toute cette situation n'allait pas finir classé sans suite.
« Rappels toi que tu te trouve en filière héroïque. C'est tout à fait normal de finir envoyé à l'infirmerie. Je ne dis pas que le fait que tu perde le contrôle de ton alter soit une bonne choses, mais je compte sur toi pour te surpasser la prochaine fois et en tirer une leçon. »
« Mais, professeur Aizawa, je- »
« À moins que tu ne veuille réellement que je décide de te sanctionné par un renvoie temporaire, auquel cas je devrais faire de même avec tout tes autres camarades de classe puisque, de toute évidence, le risque zéro à un entraînement de futurs héros n'existe pas, je vais te laissé méditer et réfléchir aux points que tu dois améliorer pour progresser dans ton apprentissage. »
Sous le regard aiguiser et le ton sans appel que lui adressa son professeur principal, bien qu'éternellement une lichette mornes, Izuku, se sentant déjà mieux, ce poids dans son estomac toujours foutrement présent, il ocha frénétiquement la tête, le message étant passé. Il ne voulait surtout pas provoquer un renvoie, bien que temporaire, général de la classe. Son estomac se noua rien qu'à cette pensée
« Bien. »
*********
Izuku ne comprenait vraiment pas pourquoi il se sentait maussade, de mauvaise humeur, peu propice à des activités qui, d'ordinaire, lui faisait du bien. À peine il s'était senti fébrile d'excitation à l'annonce d'un nouveau documentaire sur All Might et sa récente retraire qui revenait sur les évènements de Kamino. Si ce n'était pas pue la merde ça ! Il avait juste une envie, à lui faire peur, de ne rien faire, de rester allongée sur son lit et contempler de toutes les façons possibles, et inimaginable, le plafond de sa chambre. Une activité fort contre productif et qui le ralentissait considérablement de son objectif. Mais il n'arrivait juste pas à faire autrement, de quoi le laisser totalement agacer envers sa propre personne. Une boule de ressentiment inexplicable s'était installé dans le fond de sa forge et lui faisait rageusement picoter le coin des yeux. Sérieux ! Il se sentait juste trop minable de ne rien faire, de rester là, d'être autant... Autant dans un putain de mauvais jour.
Un contrecoup de tout ce travail acharné, sûrement, à rester éveillé jusqu'à pas d'heure pour se faire engueuler par Katchan parce qu'il n'était pas foutue de terminer ses devoirs plus rapidement, à s'entraîner comme un fou furieux pour rattraper l'écart qui le maintenait aussi éloigner de ses autres camarades de classe, ayant chacun un alter qu'ils avaient su maîtriser depuis bien longtemps avant lui, à supporter le poids des responsabilités qu'être le porteur, l'héritier du One For All impliquait, les enjeux et les dangers allant avec, surtout depuis que le symbole de la paix avait déposé sa retraite, à toujours, toujours, toujours, toujours encore, faire en sorte de mettre à bien ses principes de futur héros, être disponible pour aider ses camarades, son entourage, les aider à avancer, à faire mieux, à toujours aller plus loin...
Il était pathétique, vraiment. Izuku se sentait faible, démuni, de ne pas pouvoir continuer et poursuivre ce qui lui avait toujours sembler simple à faire. Ça devrait être une putain de routine ! Une habitude d'une simplicité presque insultante. Il se devait d'être meilleur, de braver les limites, parce qu'il était élèves à UA quoi ! Toujours Plus Ultra ! Alors pourquoi ? Pourquoi, aujourd'hui, il n'arrivait tout simplement pas à faire aussi simple que de bouger de ce foutue lit, allonger comme une larve à l'existence quasi pitoyable ? Il se sentait pitoyable. Il était terriblement pitoyable. Ça faisait peine à voir, franchement.
Et sa dérivation dans la journée face à Ochaco n'arrangeait en rien son état. Il avait clairement merder.
Toujours le regard river sur le plafond, les pensées en vrac, Izuku n'entendit pas les premiers coup contre sa porte, pas avant que celles-ci ne deviennent plus brutes, pressés. Il aurait presque pue sourire face aux martèlements caractéristique du manque de patience et de délicatesse de son amie d'enfance. Il aurait pu s'il n'était pas sur le point de fondre en larmes à nouveau. Il n'avait même pas remarqué avoir pleurer, bon sang ! Izuku s'empressa d'ailleurs d'essuyer ses joues, en espérant que sa détresse ne soit pas trop flagrante, et para rapidement un sourire avant que le blond explosif ne venait a décider qu'il prenait trop son temps pour venir l'ouvrir et ainsi lui permettre de venir lui explosé la porte à la figure, auquel cas Izuku se sentirai profondément embêter.
« J'arrive, Katchan, j'arrive. »
Même sa voix manquait d'enthousiasme, constata t-il amèrement.
« Grouille toi, le nerd, j'ai pas que ça à foutre me taper la discut' avec ta putain de porte ! » maugréa Katchan, prenant visiblement son mal en patience pour ne pas avoir à en venir employer les grands moyens.
Mais Izuku ne lui donna pas ce plaisir, ouvrant la porte à la volée en lui adressant un vulgaire sourire qui devait plus se rapprocher de la grimace au vue de l'expression dubitatif de l'explosif, pas enrouler pour un sous. Bien que Katchan étant Katchan, il avait toujours cet air énervé coller au visage avec les sourcils formant une seule et même ligne. Ce qui donnait parfois un mélange assez surprenant qu'Izuku trouva irrémédiablement adorable.
« Salut- »
Le blond n'attendit pas d'être invité pour se frayer un passage entre Izuku et la porte, connaissant de toute façon le chemin à prendre pour qu'il vienne demander de l'aide. Izuku se sentit au passage être tirer dans sa chambre par la taille, une main chaude de Katchan le tenant fermement pour qu'il ne puisse pas tomber, le faisant lacher un minuscule cri de surprise qui lui traversa la trachée alors que la porte claqua derrière lui. Il sentit, pas la ensuite, son corps se faire jeter puis rebondir sur le lit dans un bruit étouffer de frottement de tissu, où il faillit avaler sa salive de travers. Le corps plus chaud de Katchan l'enlaça rapidement dans une étreinte aussi tendre que le blond en était capable, après que ce dernier vienne au préalable posé une assiette sur son bureau, sans doute de quoi le nourrir puisque Izuku n'avait pas sentit la force de dîner avec le reste de sa classe en revenant des cours, s'était directement diriger dans sa chambre pour broyé du noir.
Katchan coinça la tête d'Izuku dans le creux de son cou où le parfum de caramel brûlé et de gel douche au citron le frappa, et où des mèches blondes venaient lui chatouiller doucement le nez.
« Oh ! »
Il se passa quelques secondes durant lequel seul leurs respiration gouvernaient sur le silence de la quiétude que sa chambre leur offrait. Izuku ne l'avait pas remarqué, trop longtemps plonger dans sa propre tête pour y faire réellement attention, mais la pénombre avait gagné dans la pièce, ne laissant que les quelques lampadaires au dehors du dortoir et la lune pour les éclairé, alors même que la nuit remplaçait le jour. Il lâcha un long soupire, les yeux fermés, afin de savourer cette proximité fort en réconfort que Katchan lui offrait dans son étreinte. Il se sentait peut à peut apaiser, presque débarrassé de pensées parasites, retirant le voile qui semblait lui avoir obscurcit les sens toute la journée durant. Ce fut la voix un brins rauque de Katchan au dessus de sa tête, le museau sans doute enfouis dans sa chevelure sapin, qui venait troublé ce silence, arrachant à la volée quelques frissons à sa colonne vertébrale.
« Je te connais, sale nerd. » la voix de Katchan s'éleva à peine, soucieux de préserver cette bulle de tranquilité qui les enveloppait.
C'était sans doute vrais. Ils se connaissaient tout les deux depuis bien trop longtemps, chacun beaucoup trop présent dans la vie de l'autre pour que ce ne soit pas le cas. Et si Izuku savait déchiffrer chaques mimiques de ce visage brute, souvent déformer par les tiques nerveux, s'était forcément aussi le cas pour le blond qui pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert.
Une pensée qui arracha à Izuku un sourire bref.
Katchan ne disait rien de plus, n'avait pas besoin d'en dire plus. Ils se comprenait mieux que quiconque, même dans les silence les plus opaque. Izuku ocha tout simplement la tête, heureux et reconnaissant de la présence de son amoureux. Katchan n'était peut être pas le plus doué en mots de réconfort, mais il bataillait si fort pour qu'Izuku puisse le comprendre par n'importe quel geste, par n'importe quel frémissement de ses muscles, parce que son corps entier était doué de paroles, un language corporel qu'Izuku avait prit la peine d'apprendre, au gré du temps. Et Izuku percevait ainsi tout les signes d'amour, d'affection que le blond avait à son égard, beaucoup plus parlant que n'importe quel autre mots sur terre.
Un « Je suis putain de là aujourd'hui où tu te retrouve au plus bas, et je serai encore là lorsque le putain de bonheur te fera crever comme l'imbécile heureux que tu es. » communicatifs qui résonnait dans ce silence qui les entourait.
S'était peut être une mauvaise journée, comme il y en aura plein d'autres, un putain de jour sans, mais ce n'était pas grave, ils étaient maintenant deux pour l'affronter et toujours avancer. Et tant qu'ils seront ensemble, alors Izuku, même durant les moments de doutes, trouvera la force auprès de son univers, de son Katchan, pour se relever.
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Je sors de chez le médecin et là un mec à vélo se pose à côté du trottoir et me dit "salut" par réflexe par je réponds "salut" sauf qu'en fait le mec je ne le connais pas ???
Et là of course il me sort "t'es vraiment belle" avec un air bovin (j'aime pas cette expression parce que les vaches sont hyper intelligentes mais bref vous avez compris)
J'ai pété un boulon dans ma tête, je lui ai sorti "Y'A AUCUNE MEUF A QUI CA FAIT PLAISIR, FAUT ARRETER DE FAIRE CA" genre super fort, il m'a dit "d'accord" d'une petite voix et il est parti, je pense que ça l'a calmé le pépère
Et maintenant je culpabilise parce que j'ai senti que je l'avais blessé mais mdr pourquoi c'est moi qui culpabilise ????
Eduquez vos fils putain
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Se prendre en main
En ce début d’année 2024, voici le tumblr réanimé momentanément (je viens de réaliser que mon dernier post date de près de trois ans *tousse). Glory hallelujah !
Il s’est écoulé plein de choses depuis mes aventures de gaufrier, et ce n’est pas faute d’avoir eu envie d’y écrire… Mais c’est une petite phrase qui m’a donné envie d’y déposer quelques mots.
Un peu de contexte ne fera pas de mal. J’ai récemment décidé de changer de psychiatre à la suite de quelques déconvenues (peut-être feront-elles l’objet d’un post, peut-être pas. Je me laisse la liberté de choisir, mais ça a été tellement surréaliste que ça mérite sa place ici) (oui au fait, ça fait un petit moment que j’en vois, des psychiatres, mais pas d’inquiétude, je ne mords pas et c’est pas contagieux). Et j’ai pensé que ce serait bien d’avoir une lettre de recommandation de ma wonder-généraliste à remettre au futur nouveau psy. Rendez-vous pris, donc, j’y vais et je rencontre la remplaçante de ma généraliste. Comme elle ne me connaît pas, je lui explique ma démarche, on discute de mon traitement, de qui me suit pour telle chose, comment ça se passe en ce moment, etc. Je lui demande également une liste de psychiatres, au cas où le courant ne passerait pas avec Futur Nouveau Psy. Puis, souriante, elle me dit ceci : “Bravo pour vous prendre en main, en tout cas, c’est bien.”
Je réponds en rigolant : “Ben, je n’ai pas trop le choix, donc bon…”
La discussion se termine peu après, je repars avec lettre et liste. Et de quoi cogiter. Elle m’interpelle, sa phrase.
Parce que ce que j’ai répondu, c’est vrai. Je n’ai pas le choix.
Surtout que, de base, mon jeu est un peu pourri : je n’ai pas choisi de me coltiner des troubles de l’humeur, des troubles de l’anxiété et le charmant package qui vient avec, en plus de ce qui les a fait émerger et de ce qui les alimente encore aujourd’hui. Ce n’est pas un choix que de se trimballer de potentielles prédispositions, un cerveau qui fait n’importe quoi avec sa production de cortisol et sa gestion de la sérotonine, et un passé qui parfois passe encore difficilement.
Je ne choisis pas les moments où je me retrouve effondrée devant ma thérapeute ou à réévaluer ma liste de priorités, où l’accomplissement du jour, c’est d’avoir tenu le coup au boulot, de m’être changé les idées ou d’avoir sorti les poubelles.
Et, comme je le disais, je n’ai pas le choix. Plus précisément, je me suis imposé de ne pas avoir le choix. Je me suis retrouvée dans des situations où j'y étais obligée. Autrement…
J’aurais pris des décisions plus que merdiques à tous les niveaux.
J’aurais saboté ma propre vie et, par extension, celle des êtres qui m’entourent.
J’aurais été insupportable au quotidien, j’aurais vu mes proches en souffrir, j’aurais vu le désarroi et la fatigue dans leurs yeux. Sans doute auraient-ils lâché l’affaire.
J'aurais pété un câble, tout bonnement.
Je n’aurais sans doute été plus là.
Enfin je dis ça, mais en vrai, ça et ce que j’ai dit avant, ce n’est pas prévu au programme, hein, vous en faites pas <3 Pour de vrai. J’ai moi-même la larmichette en écrivant, surtout avec mon bébé-chat, aka le Kraken, qui dort pas loin.
(Bon, histoire de détendre l'atmosphère, je vous mets des petites chouettes qui se font des câlins. Promis, ça va aller <3)
M’est venue l’idée de chercher la définition de “se prendre en main”.
Déjà, je trouve dans les premiers résultats un site d’un entrepreneur spécialisé en développement personnel (ça commence mal), qui affirme ceci : “Prendre sa vie en main c'est cesser de vouloir et commencer à faire. Passer à l'action est alors impératif. N'attendez plus et agissez !”
Mais va jouer dans le mixeur avec tes kits de formation holistique, putain…
Voici ce que le Wiktionnaire énonce : “Se reprendre, s'assumer, se responsabiliser”. C’est déjà un peu mieux, mais erf…
Ce qui me gêne, dans l’idée de “se prendre en main”, c’est en sous-texte tout ce qu’on brandit encore aux personnes en proie à des troubles de la santé mentale :
“Tu déprimes ? Arrête !”
“Tu te complais là-dedans”
“Tu sais, ta vie n'est pas si terrible...”
“Tu sais, untel a vécu ça et ça, et il s’en est sorti”
“Quand on veut, on peut”.
C’est ce qui rend notre société si pénible dans son injonction à mieux se connaître, à tirer de chaque échec le positif, à “prendre soin de soi” en permanence et autres bullshit de développement personnel linkedinien instagramesque de mes fesses. La culpabilité quand on n’y arrive pas, justement, quand on n’a pas la force de “se prendre en main”, quand c’est à la limite de la douleur de tenir. Quand on se fait des nœuds au cerveau entre la fatigue, les pensées persécutrices, l’envie de tout envoyer balader et la lutte pour ne pas couler.
Et, me dis-je, est-ce que je me prends si bien en main ? Je n’en suis pas certaine, à vrai dire. Je continue de me coucher à pas d'heure, faire du sport relève d’une lointaine utopie, je procrastine à mort sur certains trucs, et ne parlons pas de mon tapis de yoga qui attend désespérément que je le ressorte de son rangement. J’ai toujours des moments où ça ne va pas, où une petite voix me crie “menteuse !” quand j’essaie de profiter de l’instant présent, où je ne me fais absolument plus confiance. J’ai peur de perdre les personnes qui sont chères à mon cœur, à force d’exprimer mon mal-être. J’ai peur de vivre l’épisode, l’épreuve “de trop” qui me feront basculer. J’ai peur de finir entre autres comme mon père, à qui j’ai l’impression de trop ressembler déjà. Ça revient souvent dans la dépression, ça, “j’ai peur que ça ne s’arrête jamais”. “J’ai peur.”
Mais cette remplaçante, elle ne me connaît pas. Nul doute qu’elle voulait être gentille avec moi. Et peut-être qu’elle n’avait pas tort de me féliciter. Parce qu’à un moment donné, j’ai pris la décision de me sortir du marécage. J’ai décidé que je ne pouvais pas rester seule face à mes démons et mes guerres intérieures. J’ai décidé qu’il était temps de demander de l’aide. Et toutes ces décisions, je les prends à chaque fois que je me sens tomber. J’élabore des routines et des stratégies, je tente des trucs, je revois ma liste de trucs à faire à l’aune de mon énergie. Je tâche d’être indulgente avec moi-même. Je me repose sur les choses qui marchent.
Peut-être que c’est ça, me prendre en main. Peut-être que c’est pas si mal, en fait. Peut-être que je devais l’entendre.
(Les illustrations sont tirées de ce merveilleux blog)
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Les enfants. La soirée d'hier était spectaculaire.
Déjà je sors avec le L word ça y est c'est officiel. Bon faudra discuter un peu parce que ça s'est fait vite mais la signature a été posée.
ENSUITE (c'est la partie horny) J'AI ENFIN EU DROIT À CETTE PUTAIN DE ROBE DE MAID.
En plus j'ai réussi à le top pour une fois, honnêtement il a dû se laisser faire j'pense mais nsm jui content c'était si beau à voir
D'ailleurs il a gémis mon prénom plusieurs fois j'ai cru que j'allais pété les plombs
J'veux me souvenir de ça toute ma vie
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i’m tired of going to plays and ending up sitting behind someone with a BIG ASS HEAD who KEEPS MOVING like bitch pick an angle and stick to it cuz you don’t have the luxury of discretion rn! anyways i left midway through the play cuz i was hungry and sleepy and now i’m home with a milkshake and i regret nothing except perhaps cursing this person’s head a bit too vigorously i do hope they don’t end up bald as i initially wished... but who has big heads like that smh
#cyrano de bergerac c'est conceptuellement intéressant mais putain qu'est ce que les personnages m'ont pété les nouilles#zéro souci avec cyrano il est plein de fougue et d'humour mais les autres! que des CONS! et j'ai pas les nerfs là mnt tout de suite#la meuf qui jouait roxane a failli me donner un anévrisme
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quand on lui a demandé de choisir entre réglo et mytho il a. il a répondu "un savant mélange des deux. rytho" et me connaissant ça va me hanter longtemps pour de nombreuses raisons dont : les implications
#et le jeu de mots absolument pété#c'est sur jvais juste me retrouver à le dire à voix haute des fois sans aucun contexte#putain je le déteste#bbr#eux
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L'amour, le sexe, l'engagement, le futur... c'est pas fait pour tout le monde
Je suis incapable de me lier aux gens.
C'est un fait, autant je donne tout lorsqu'il est question d'amitié, autant je suis toujours terrifiée à l'idée de me laisser approcher par quelqu'un qui pourrait devenir "spécial" pour moi. C'est chiant. Honnêtement, j'en ai marre... j'en peux plus... je suis fatiguée d'être fermée comme une huître, hermétique, trouillarde. Je me hais pour ça, très fort. Crise d'angoisse, trouillardise, un mauvais mot et "pouf" je prends la fuite, ou m'arrange pour qu'on finisse par me fuir comme la peste noire ! Voilà, j'ai l'impression d'avoir un panneaux "ne m'approchez pas !" autour du cou. Et de toujours décevoir. Pourquoi ? J'en sais rien... enfin... si. J'ai été blessée, dans le cœur, dans le corps, à de trop nombreuses reprises. Mes exigences dépassent le domaine du raisonnable, et je pense qu'inconsciemment, c'est voulu, pour faire fuir, pour ne pas prendre le risque de souffrir. Mieux vaut ne pas tenter que de rater dit-on... Je veux bien que mon inconscient soit d'accord avec ça, mais le conscient en a marre...! Quelques mots et 'hop', c'est fini. J'ai réussi à me faire détester... Alors voilà, j'ai toujours la meilleure excuse du monde... mais p***** ça fait ch*** !
Et les échecs s'accumulent, les uns après les autres... ça à foiré avec Mori, avec Art, et maintenant, j'ai réussi à me faire haïr de "lui". Je suis vraiment très douée pour ça. Je pourrais/devrais m'excuser mille fois, mais ça ne mènerait à rien. "Ma décision est prise" m'a-t-il dit. Quelle décision ? Est-ce vraiment par choix que l'on s'isole ainsi ? Peut-on choisir d'être seul et malheureux ? Non. C'est une putain de trouille, trop de cicatrices, qui font qu'un jour, un soir, comme ça, on pète un câble et, prit de panique et de peur, on envoie tout balader. Bêtement, égoïstement, lâchement, mais c'est fait. Les mots sont dit, ils ne peuvent plus être effacés, et tant pis pour ta gueule ma pauvre petite Ayanna ! C'est fini pour toi ! T'as perdue la partie ! On ne te pardonnera pas cette fois non plus.
Non, je ne joue pas, et non, ce n'est pas par choix. J'ai pété un plomb, un soir, une fois, à cause de toutes ces trahisons, ces sévices, mentaux, corporels, toutes ces souffrances, ce manque de confiance en moi, en l'être humain, en l'autre. J'ai prit peur, j'ai dit de la m erde, et voilà. Mais je ne vois pas en quoi c'est un reproche, un jeu, ou un choix. Je suis juste une pauvre folle qui a pété un câble, par peur d'être approchée, par peur d'être blessée. Bêtement, mais tellement ordinairement... Je suis stupide, oui, mais pas cruelle. Mon intention n'était pas de blesser, juste de préserver, autant que faire ce serait pu, le peu qui me reste de cœur, d'âme, d'estime de moi. Enfin... non, il n'y avait aucun but à cela, aucune raison, aucune réflexion. Seulement de la peur irrationnelle, une "crise" de panique, d'angoisse, de déprime. Appelons ça comme on le sent.
"[...] puis t'es arrivé et j'ai commencé à ressentir ce truc, ce début de quelque chose qui ne prendra jamais forme et que je veux pas voir parce que ça me fout les boules..."
J'aurais vraiment voulu, sortir de ma cage, tenter, y arriver, enfin. Légèrement, sans trop y penser, sans lendemain, ou pas. Me perdre dans le bleu, foncer, sans réfléchir puis voir ce que ça donne... Mais j'ai eu la trouille et ai dit "stop", et quand bien même j'explique que je regrette, le mal est fait, et maintenant, c'est fini. "On ne se battra pas pour moi". La messe est dite, tant pis pour moi. Alors... non, je ne lui reproche rien, j'ai pété un câble, j'assume. Et puis... je sais bien qu'il y a d'autres choses plus importantes, d'autres combats à mener. Je sais aussi que l'on ne s'attache jamais suffisamment à moi pour que l'on se batte pour moi, ou même que l'on insiste plus que ça. Me "quitter" est tellement plus facile qu'essayer de me rassurer (je suppose qu'on ne rassure pas une névrosée dépressive, mal dans sa peau et totalement peureuse). Non, on fait sa vie, on continue sans elle, et c'est tant mieux. T'as plus que tes yeux pour pleurer ma pauvre petite ! C'est bête hein ? Le regret ne suffit pas ! Ce qui est dit est dit ! Tu n'es douée que pour tout foutre en l'air ma pauvre ! Alors excuse-toi encore, pleure, désespère, mais ne sois pas étonnée ! Tu n'es pas une princesse de conte de fées... les Happy End, c'est pas pour toi. Le prince charmant, oublis ! Résigne-toi et sache que tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même !
Après tout... je ne suis ni intéressante, ni attirante, ni "normale", ni séduisante, ni rien de tout ça
Je suis un monstre, un putain de monstre qu'on ne peut pas aimer, pas désirer, pas apprécier.
Je ne suis rien ni personne, juste une gamine trouillarde et vraiment pas jolie, c'est ça, ce que je suis.
Alors bon vent ! Qu'il se porte bien, je l'espère du fond du cœur.
Qu'il aille mieux, qu'il trouve quelqu'un qu'il n'aura pas à "soutenir", car c'est lui qui a besoin de soutient.
Qu'il la gagne sa bataille, je ne lui souhaite que ça.
Moi, je me résigne, et je retiens enfin la leçon. Certaines personnes ne sont pas faites pour être aimées
J'en fais partie.
#amour#aimer#être aimé#être amiée#amoureux#amoureuse#romantique#seule#toute seule#relations amoureuses#pas de chance#pas une incel non plus#texte français#texte#photo#pansexuelle#écrire#écriture#blog#cher journal#tumblr#tumblr girl#monster#monstre#isolée#foreveralone#forever alone#alone#Ayanna
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Quentin et la MGEN, saison 49, épisode 26 :
Vous vous doutez bien que rien ne s'est passé comme prévu lol - J'arrive a les avoir hier et la madame me dit "je vous mets un rdv demain à 16h par contre le centre est à 1h de voiture de chez vous mais vous pouvez déjà déposer sur votre espace personnel vos documents comme votre pièce d'identité". Jusqu'ici je me dis que c'est relou mais ok, j'ai pas le choix donc j'y vais et j'en profite pour déposer tous mes documents en ligne - Je pars de chez moi 1h30 à l'avance histoire de me dire "si y a des problèmes sur la route je suis large". Sauf que Waze a décidé de me faire passer par des routes qui n'existaient pas et de vouloir me faire prendre des rues à contre-sens. Mais bon, j'arrive quand même en avance - La conseillère me reçoit et me dit "ah oui vous avez déjà mis vos documents en ligne", elle fait 3 clics et elle me dit "c'est bon vous êtes à la MGEN" ????? Et là je me dis que c'est une blague, qu'ils me font venir pour rien mais je reste calme
- Du coup je lui dis "et pour mon arrêt de travail et mes indemnités on fait comment ?" et là elle me dit quoi : "comme vous êtes arrêté pour cause de COVID, vous allez recevoir votre paye normalement comme si de rien n'était, la MGEN n'a pas besoin de vous verser des indemnités" ???? Mais c'est une blague les gens ils ont pété les plombs mais je me contient parce que la petite dame, toute gentille, elle n'avait rien demandé la pauvre
- Du coup je reprends le volant en étant vnr et je vais pour me retaper 1h de route POUR UN RDV QUI A SERVI A RIEN ET QUI AURAIT PU ÊTRE UN PUTAIN DE MAIL et sauf que sur la route y a des gens ils savent pas conduire genre j'ai failli mourir 3 fois
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hi mom can you share french jokes please
Hello,
C’est deux oeufs, l’un dit à l’autre “Putain, on se fait chier!” et l’autre répond “Argh! un oeuf qui parle!”
C’est l’histoire d’un têtard qui pensait qu’il était tôt mais il était tard
Que dit une imprimante dans l'eau? J’ai papier
C'est l'histoire de Napoléon qui rentre dans un bar. Il dit "J'ai vaincu". Le barman répond : "Désolé, j'ai que dix-neuf chaises."
Que fait Platon quand ça le démange? Il Socrate
Comment appelle-t-on un jeudi vraiment nul? Une trajeudi
Qu'est-ce qu'une frite enceinte? Une patate sautée
Qu’est-ce qu’une fraise sur un cheval? Une fraise Tagada
Pourquoi la petite fille tombe de la balançoire? Car elle n’a plus de bras
Qu'est-ce qui est vert et qui se déplace sous l'eau? Un chou marin
Pourquoi les anges sont-ils sourds? Parce que Jésus Christ
Quelle est l'arme préféré des vegans? Le lance-roquette
Qu’est-ce qui est orange et qui pue? Une carotte qui a pété
Pourquoi est-ce que Napoléon n'a pas voulu acheter de maison? Parce qu’il avait déjà un Bonaparte
Que fait-on aux voleurs de salade? On les tue
Que dit Frodon devant sa maison? C’est là que j’hobbit
Pourquoi Harry Potter chuchote? Parce que Dumbledore
Qu’est-ce qu’une manifestation d’aveugles? Un festival de Cannes
Qu’est-ce qu’un petit canif? C’est un petit fien
Pourquoi met-on une selle sur un cheval? Parce que si on la met en dessous, on tombe
Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé
And scene!
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mdr désolée petit pavé parce que drama familial lol mais ça me rend ouf en gros je pars dimanche en anjou (putain je sonne comme un chevalier du XIVème siècle qui se prépare pour sa prochaine croisade) avec ma mère et on va passer la semaine avec ma tante, son mari, et deux de leurs enfants avant que mon père nous rejoigne plus tard, et ils viennent en france pour l'été parce qu'ils habitent aux états-unis (en californie) sauf que mon oncle est méga anti-vax 💀💀 ma tante s'est faite vacciner, mon oncle était pas hyper chaud, après il est allé écouter une conférence sur les vaccins il en est ressorti convaincu que les vaccins c'était génial blablabla sauf que sa famille (en france) est hyper parano et que sa mère arrêtait pas de lui envoyer des articles complotistes je sais pas des trucs comme ça, donc une de mes cousines, la plus jeune, a eu sa première dose (parce que la vaccination est ouverte aux mineures en californie il me semble) mais il refuse qu'elle ait sa deuxième dose. ils ont demandé à mon oncle à son boulot de se faire vacciner, en lui envoyant genre 25 emails sur le sujet, il a refusé, résultat il a perdu son emploi 💀 en plus ma cousine du coup n'a eu qu'une seule dose et elle ne peut toujours pas voir certaines de ses amies parce que les parents sont hyper stricts genre tu ne verras pas tes amis avant qu'ilss soient vaccinés (perso je pense qu'elle devrait juste mentir et dire qu'elle a eu les deux doses ça va elle a 14 ans la pauvre c'est pas sa faute si son père a pété un câble) donc ils viennent en france, et restent jusqu'à mi-août sachant qu'il va y avoir des restrictions pour les personnes non-vaccinées mdr.
bref le truc cause beaucoup de drama dans ma famille lol bien sûr mon oncle et ma tante se sont disputés plusieurs fois, avec lui qui menace de divorcer etc mais genre... c'est tellement bas de sa part parce que je vais pas rentrer dans les détails du pourquoi mais mon oncle a plus d'argent que ma tante et vraiment, c'est tellement une position d'homme qui sait qu'il peut prendre l'ascendant sur sa femme en situation de désaccord ça me rend ouf (en plus ils ont mon cousin qui est trisomique donc ça joue aussi) mais je trouve ça hyper macho c'est ouf
donc ma tante est très stressée pour ces vacances et nous a dit de ne pas amener ce sujet sur la table, ce que je comprends, mais ma mère et moi sommes toutes les deux vaccinées donc s'il pose la question je me sens pas de mentir ptdr bref j'espère que ça va bien se passer 💀 j'aurais jamais cru avoir un truc comme ça dans ma famille ni voir mon oncle devenir ce genre d'américain mais la vie est faite d'imprévus je présume
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