#Quentin le surveillant
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Quentin et un autre prof d'anglais : le revival
Il y a genre 2 semaines, j'étais de loge d'un examen d'anglais (en gros j'étais dans une salle pour accueillir les candidats et 2 profs dans la salle d'à coté faisaient passer les oraux) et parmi les deux profs d'anglais, il y avait une prof avec qui je m'entends hyper bien, qui est adorable et y avait un autre prof d'anglais hyper mignon que je n'avais jamais trop vu parce qu'il partage son service entre mon lycée et un autre établissement Du coup ça se passe bien on rigole bien et voilà. A chaque fois qu'on se croise, le prof d'anglais me fait des grands sourires, des coucous etc je pense qu'il est dans mon équipe hein bref je trouve ça sympa et je le croise mardi pour lui montrer mes super belles chaussettes avec la reine Elizabeth II et ça le fait beaucoup rire et il les valide
Du coup je me suis dit que j'allais tenter de le pécho, de voir ce que ça donne mais je ne sais pas comment l'aborder. Et c'est pas hier, je passe en salle des profs pour discuter vite fait avec la madame prof d'anglais qui me sort "oui Quentin avec les autres profs d'anglais on se fait un restau ensemble mais comme je t'aime bien et que tu t'entends bien avec nous ça te dirait de te joindre à nous ??" et j'étais là en mode "OUI avec plaisir" et j'arrive à demander indirectement si le prof d'anglais en question sera là et elle me confirme que oui du coup intervention divine je vais pouvoir manger avec eux ça va être cool
Je suspecte légèrement que cela soit un gay-tapant (riez svp la blague m'a fait rire) et que je sois invité parce que potentiellement je peux plaire au monsieur prof d'anglais MÊME SI je m'entends effectivement très bien avec les autres profs d'anglais donc je ne veux pas me faire de films
#avoir un pattern avec les profs d'anglais ?#désolé je comprends pas#peut être un peu#quentin le surveillant#c'est un autre prof d'anglais#ça n'a rien à voir avec l'autre prof d'anglais#le drama de ma vie amoureuse#ça ne s'arrête jamais#oopsi
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Crédit photo: Samuel Mottier Ce mercredi soir, le CP Fleurier a livré une véritable démonstration de force en s’imposant 13-1 face aux Neuchâtel Young Sprinters, devant 183 spectateurs rassemblés à la Patinoire de Fleurier. Dès les premières minutes, les joueurs locaux ont imposé leur rythme, dominant chaque aspect du jeu. Un premier tiers à sens unique La soirée s’est rapidement engagée sous de bons auspices pour Fleurier. À 07:04, Dylan Matthey-de-l’Endroit a ouvert le score, bien servi par Robin Fuchs, avant que Victor Gudel ne double la mise à la 14e minute, puis Quentin Pecaut n’aggrave encore le score deux minutes plus tard, portant le tableau à 3-0 au terme du premier tiers-temps. Explosion offensive dans le deuxième tiers Le deuxième tiers-temps a vu le CP Fleurier totalement surclasser leurs adversaires avec une avalanche de buts. Quentin Pecaut a trouvé à nouveau le fond du filet à la 22e minute, avant que Soren Marquis, Victor Gudel, et Kenny Camarda ne s’ajoutent à la fête. La séquence de buts s’est intensifiée, avec Florent Marthaler, Dylan Matthey-de-l’Endroit, et une nouvelle réalisation de Pecaut. En moins de 30 minutes de jeu, le score était déjà de 10-0, un véritable cauchemar pour les visiteurs. Le changement de gardien des Neuchâtelois après le sixième but n’aura rien changé à la dynamique : Nathan Andreini, remplaçant de Rohan von Elm, a lui aussi été assailli de toutes parts. Réaction tardive des Young Sprinters Malgré cette domination sans partage, Neuchâtel a tout de même sauvé l��honneur grâce à Lucas Weibel, qui a inscrit l’unique but des visiteurs à la 47e minute. Mais cela n’a fait que réveiller la soif de buts des Fleurisans, qui ont inscrit trois nouvelles réalisations dans les dernières minutes, scellant une victoire éclatante 13-1. Un Quentin Pecaut inarrêtable Quentin Pecaut a été l’homme du match, inscrivant cinq buts et offrant deux passes décisives. À ses côtés, Loïc Pecaut, Victor Gudel, et Florent Marthaler ont également brillé, tout comme Robin Fuchs, impliqué dans plusieurs actions décisives. Le CP Fleurier, en pleine forme, a donc littéralement écrasé les Neuchâtelois, confirmant leur statut d’équipe redoutable cette saison. Le public, bien que peu nombreux, a assisté à une performance exceptionnelle de ses favoris, qui promettent de maintenir cette dynamique pour les prochains rendez-vous. Avec une telle performance, le CP Fleurier a marqué les esprits et reste une équipe à surveiller de près cette saison.
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Joseph en Égypte [suite] Ainsi, Joseph invita Pharaon à prendre des précautions, à placer un intendant avisé à la tête du royaume et à nommer des commissaires pour prélever, sur les récoltes des sept années d'abondance qui allaient débuter, un cinquième de la production, afin de faire des provisions de nourriture - essentiellement du blé -, des réserves qu'il faudrait placer sous la surveillance de gardiens, à l'intérieur des villes, afin de les conserver précieusement, en prévision des famines à venir. Ces propos valurent à Joseph l'admiration du roi d’Égypte et des serviteurs de ce dernier. Pharaon, ébahi d'avoir vu cet esclave hébreux interpréter avec clarté des songes prémonitoires nébuleux puis apporter une solution raisonnable aux problèmes annoncés par ces présages d'opulence et de mort, décida de le placer à la tête de son pays. - Seul mon trône m'élèvera au-dessus de ta fonction d'administrateur de l’Égypte, lui annonça-t-il, l'élevant ainsi brutalement du rang d'esclave, à celui de conseiller du roi. Ces propos furent suivis d'actes : Pharaon se défit de l'une de ses plus belles bagues, un signe de pouvoir, qu'il passa de sa main à celle de Joseph. Ce dernier fut ensuite revêtu de nobles habits de lin blanc et paré d'un collier d'or ; puis il fut autorisé à monter sur un char qui suivait celui de Pharaon, et à l'approche duquel le peuple d’Égypte devait s'agenouiller. - Te voici gouverneur d'un pays où chacun t'obéira au doigt et à l’œil, déclara Pharaon à Joseph, auquel il donna le nom de Tsaphnath-Paenéach, avant de lui offrir pour épouse Asnath, fille de Poti-Phéra, prêtre d'On. Âgé de trente ans, Joseph visita le pays d’Égypte. Pendant les sept années de très grande fertilité que connut le pays, il organisa le stockage des productions des champs dans les villes que ces terres agricoles voisinaient. Ainsi, le blé se trouva emmagasiné en quantités cyclopéennes dans l'ensemble des contrées gouvernées par Pharaon. Avant que ne débutent les sept années de famine annoncées par un songe prémonitoire du roi d’Égypte, l'épouse de Joseph, Asnath, mit au monde deux garçons. Au premier de ses enfants, le père, heureux et comblé, donna le nom de Manassé que l'on peut traduire par "Cause d'oubli", en signe de gratitude envers l’Éternel. - Car Dieu m'a fait oublier toutes mes peines, dit-il, plein de reconnaissance, en sa qualité d'ancien esclave vendu par ses propres frères à des marchands et hissé ensuite au rang d'administrateur du pays d’Égypte, aux côtés de Pharaon. Au deuxième de ses fils, Joseph donna le nom d'Éphraïm, qui signifie "Double-récompense", parce Dieu lui avait permis de devenir père une seconde fois en plus de lui avoir procuré une existence opulente et emplie de satisfactions. Comme Joseph l'avait annoncé, une terrible famine survint, frappant de nombreux pays. Mais, pour sa part, l’Égypte était riche de très grandes provisions de blé vendu au peuple, qui ne manquait donc pas de pain. Et de nombreux étrangers au royaume de Pharaon accoururent pour acheter, affamés, un peu de ces graines roboratives.
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Il est possible de passer à côté de Boulevard de la Mort
Boulevard de la mort (death proof) est un film Grindhouse réalisé par Quentin Tarentino sorti en 2007,
Stuntman Mike, un ex-cascadeur et un réel psychopathe surveille trois jeunes amies à Austin. Arlène, Shanna et Julia font un arrêt dans un bar et croise le chemin de ce serial killer des grands chemins en utilisant sa voiture, une Chevrolet Nova. A la sortie du bar, il raccompagne une autre cliente Pam qui va rapidement voir la mort arrivée alors cette voiture protège de la mort… mais seulement pour le pilote. Dommage ! C’est le début de la course contre la mort pour les jeunes femmes face à ce personnage balafré.
Un film très seventies avec de nombreux clichés à des films de série B. Même si à mon avis on se perd un peu dans des dialogues parfois inutiles mais on reste accroché au film pour la qualité de la réalisation, notamment les scènes de course poursuites. Cependant, le film n’est pas à posséder absolument dans sa collection… même si Quentin Tarentino est à la réalisation.
Il est possible de passer son chemin… et même la bande annonce
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Voici à quoi ressemblerait la première liste de Thierry Henry ! Zaïre-Emery, Barcola...
Tous les regards sont tournés vers la première liste de Thierry Henry, les attentes sont élevées pour ce nouveau chapitre des Espoirs français. Comment l'ancien Bleu va-t-il marquer son empreinte ? Décryptage. Une première liste attendue avec impatience pour Thierry Henry La première liste de Thierry Henry est sans doute l'une des plus attendues du monde du football français. L'ancien attaquant des Bleus, désormais à la tête des Espoirs, se trouve face à une mission délicate. Il devra préparer son équipe pour les confrontations contre le Danemark et la Slovénie. Mais au-delà de ces rencontres, l'objectif majeur reste la qualification pour l’Euro Espoirs 2025. Lire aussi : - Salaire, projet de jeu, liste ? Les premières confidences de Thierry Henry Les critères de sélection d'Henry Pour cette première liste, Thierry Henry a des critères bien précis en tête. Les joueurs potentiels doivent être nés après le 1er janvier 2002. Cela ouvre la porte à une nouvelle génération de talents, et certains noms commencent déjà à circuler. Quentin Merlin et Johann Lepenant, absents précédemment, pourraient faire leur grand retour. D'autres, comme Castello Lukeba, Bradley Barcola, Ryan Cherki et Elye Wahi, sont également mentionnés. Cependant, la situation d'Arnaud Kalimuendo demeure incertaine, selon RMC Sport. Thierry Henry : Les surprises possibles de la liste Henry, connu pour ses choix audacieux, pourrait bien nous réserver quelques surprises. Il a été particulièrement impressionné par Warren Zaïre-Emery, un nom à surveiller de près. De plus, Guillaumes Restes, le jeune gardien, a reçu une pré-convocation, signe que Henry le suit attentivement. Et si l'entraîneur décidait d'aller encore plus loin ? Il n'écarte pas la possibilité d'inclure des joueurs de la génération 2005 ou 2006, montrant ainsi sa volonté de rajeunir l'équipe et d'apporter du sang neuf. Une collaboration étroite avec les autres sélections Pour établir sa liste, Thierry Henry n'a pas travaillé en solitaire. Il a consulté les sélectionneurs des U20 et U19, cherchant à avoir une vision globale des talents à sa disposition. Cette collaboration s'inscrit dans une démarche plus large, celle d'une synergie entre les différentes catégories de l'équipe nationale. Voir aussi : - Après Marcus, Képhren Thuram se dirige vers un grand d'Europe ! Équipe de France Espoirs : La constitution d'un staff solide Au-delà des joueurs, la réussite d'une équipe repose aussi sur son staff. Henry est en étroite collaboration avec le DTN, Hubert Fournier, pour finaliser son équipe technique. Jérémie Janot a été choisi pour prendre en charge les gardiens, un choix qui témoigne de la volonté d'Henry de s'entourer de professionnels reconnus. Robert Duverne est également envisagé pour le poste de préparateur physique, un rôle clé dans la préparation des joueurs. Un nouveau départ pour les Espoirs ? La première liste de Thierry Henry s'annonce donc riche en enjeux et en surprises. Entre le retour de certains joueurs, l'arrivée de nouveaux talents et la constitution d'un staff solide, l'ancien attaquant des Bleus montre qu'il est prêt à relever le défi. Les discussions sont toujours en cours pour finaliser le staff en vue des JO 2024, preuve que Henry ne laisse rien au hasard. Les fans attendent avec impatience cette liste, symbole d'un nouveau départ pour les Espoirs français. ________ Pour retrouver toute l'actu foot, rendez-vous sur notre page Facebook ou sur notre page Twitter ! Read the full article
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LES COPAINS
A Ambert le 2 juillet 2023
Court déplacement ce week-end dans le département voisin du Puy de Dôme pour participer à la cylo Les Copains qui attire toujours la foule : plus de 3000 cyclistes sur l’évènement avec des parcours allant de 1 à 3 jours avec même l’ascension du Puy de Dôme quelques jours avant le tour de France pour ces formules sur plusieurs jours. Pour moi ce sera la cyclosportive du dimanche où 4 parcours chrono sont proposés et comme cette année l’épreuve n’est plus dans le challenge Cyclo Tour Rotor, la « pression » d’un bon résultat est moindre et je pars pour faire les 156km et 3210m de D+. Autre changement notable par rapport à l’an dernier, c’est la météo puisque qu’on repart sur ce qui semble être le fil rouge de cette année, avec un temps bien maussade : brouillard sur les sommets et bruine plus ou moins forte avec des routes détrempées pour nous accueillir !
Mal aiguillé malgré un dossard prio (décidément cette année…) je me retrouve heureusement en pole position du 2eme sas (l’équivalent du fin fond du sas prioritaire !). Bien 200 coureurs à remonter avec un départ rapide cette année où il me faudra 6kms pour parvenir en tête de peloton mais en ayant tout de même géré l’effort à fournir : le peloton était assez étiré, sur route large donc pas besoin de bien frotter et j’ai un peu pris mon temps. Juste bien échauffé, j’ai le temps de discuter avec Clément Cambier qui m’annonce quelques clients à surveiller comme le vainqueur sortant Nicolas Chadefaux ou Benjamin Buchetet et Alban Lacaille juste à mes côtés. La 1ere difficulté se profile après 13km : la montée de Grenier (5,5kms à 3,8%). Ça part sur un bon tempo autour des 4,7w/kg avant une 1ere attaque puis une 2eme : le duo ne creusant que peu l’écart, ça ressort de nouveau avec Clément et un ou deux autres alors j’y vais à mon tour mais sitôt revenu sur l’avant ça se relève et cette bosse se termine tranquillement sur un petit tempo principalement imposé par ma personne.
Après une descente peu pentue mais sinueuse où les virages furent pris prudemment, on traverse Arlanc pour se diriger sur le 1er gros morceau du jour : la côte de Montravel (6,2kms à 7,1%) sur laquelle est installée un challenge grimpeur (tout comme le col du Chansert un peu plus tard). Avec Clément on a la même idée de jouer le chrono en se laissant glisser dans le peloton et c’est parti pour près de 20’ d’effort : à fond il faut se frayer un chemin sur l’étroite route pour parvenir de nouveau en tête mais je suis limite pour suivre mon camarade qui prend quelques longueurs d’avance avec 2-3 gars dont Benjamin : à près de 6w/kg je préfère prendre mon rythme et gérer l’écart ; un peu plus loin je raccroche les wagons avec notamment Aurélien Gay qui attaque sitôt rentré. De nouveau dans les cordes, je recolle un peu plus haut pour une fin de grimpée un peu moins soutenu : on est à peine une dizaine avec déjà des écarts intéressants alors que Clément attaque au sommet pour s’adjuger le meilleur temps. On a alors une quinzaine de kms plutôt descendant où on roule correctement avant un petit relâchement et des relais peu efficaces surtout dans les parties qui remontent un peu. Sans surprise quelques hommes font leur retour pour se retrouver une quinzaine du côté de St-Martin-des-Olmes.
Toujours très chaud et offensif Clément attaque très fort dans le mur traversant le village : seul Benjamin s’accroche et c’est sauve qui peut pour les autres ! après une rapide descente jusqu’à Valeyre le duo possède une bonne vingtaine de seconde d’avance pour la côte de Bunangues (7,8kms à 5%). Le pied est assez raide, Aurélien et Quentin Navarro sont les plus rapide à mettre en route ; j’y vais sans hésiter, imité par Nicolas qui contre sèchement nous laissant sur place ! Le groupe explose et je me retrouve avec Quentin qui collabore bien au début avant de rester dans ma roue : plus personne en visuel mais à 5w/kg voir plus j’ai bon espoir de maintenir voir réduire l‘écart et au bout de quelques minutes nous avons enfin le quatuor de tête en visuel : Clément, Benjamin, Aurélien et Nicolas qui se sont regroupés vont peut-être temporiser légèrement et au bout de quelques minutes supplémentaires on parvient à rentrer du côté de la Rodarie qui marque la fin des plus forts pourcentages. La suite est plus roulante et je récupère un peu dans les roues : à 6 cela semble cette fois être le bon coup d’autant que la suite bien vallonnée est avalée à bonne vitesse et les relais tournent bien. Nouvelle descente très humide après Valcivières : ça reste rapide mais sans prise de risque pour se diriger vers Job où du travail nous attend ! En effet ici est le pied du Col du Chansert (8,6kms à 6,5%) et c’est la 2eme ascension chrono du jour : j’assure un bon tempo au début mais c’est insuffisant pour Benjamin qui monte un cran de plus : je m’accroche mais ça devient compliqué autour des 5w/kg. Quentin a sauté de suite et je ferme la marche du groupe encore quelques instants avant de lâcher quelques mètres mais sans vraiment faiblir ; du coup l’écart se stabilise et je reviens même dans les roues pour un sursis qui saute sur une nouvelle accélération : je tente de hausser le rythme mais les 4 hommes semblent filer pour de bon cette fois, avant que Clément ne craque à son tour ! Je ne lâche pas l’affaire et reviens sur lui avant de faire encore illusion d’un retour, l’écart étant faible mais à un peu plus de 3km du sommet on va définitivement être décroché : devant ça ne faiblit pas, tout le contraire de nous où je vais juste tenir les 300W sur la fin de ce col.
Avec 1’40 de débours au col, sauf incident ou défaillance les jeux semblent fait : c’est les 4 et 5eme places qui devraient nous revenir mais Clément un peu juste ne se sent pas trop de faire le col du Béal et émet l’idée de bifurquer sur le 133km pour aller le gagner. Ce n’était pas vraiment mon idée mais aux vues de la situation sportive et météorologique avec encore du brouillard et certainement de la pluie l��-haut je valide cette option et nous poursuivons dans la descente puis la remontée sur St-Pierre-la-Bourlhonne où on se fait bien confirmer que les 3 hommes de têtes sont restés sur le 156km. Connaissant bien les lieux pour y être passé les 2 dernières éditions, je fais le guide dans la descente sur Vertolaye toujours détrempée, puis on se dirige sur la dernière difficulté du jour : la montée de Bertignat (6,3kms à 3,7%).
Cette montée très roulante ne peu servir à nous départager : de force sensiblement égale ici, bien compliqué de faire une différence alors on roule bon tempo et gros plateau (un bon 300W malgré le faible pourcentage). Au sommet encore 13kms principalement descendant pour rallier l’arrivée où on a la chance d’avoir une moto pour nous ouvrir la route et ainsi prévenir les concurrents des autres parcours : le temps s’améliore et la route s’assèche enfin pour finir main dans la main (en vérifiant que personne ne revienne de l’arrière !). Ayant gagné les 2 précédentes éditions je laisse volontiers mon camarade passer 1er tout en sachant bien que s’il avait fallu disputer le sprint final, j’aurai eu peu de chance de l’emporter (en plus une arrivée pas top avec virages, passages pavé et concurrents des autres parcours un peu partout sur la route…). Un peu plus tard, c’est Nicolas qui remporte pour la 2eme fois le 156km devant Aurélien, Benjamin ayant dû abandonner sur crevaison : on aurait donc pu jouer le podium du 156km… si on avait su…
Au bilan c’est une bonne journée avec des records perso un peu partout sur le parcours. Même sur le Chansert je n’étais pas si mal avec seulement 5’’ de plus que l’an dernier. Une bonne fin aussi avec encore de la force dans la montée de Bertignat même si le fait d’être à deux a dû stimuler un peu plus. Bien sympa d’avoir pu terminer avec Clément et on notera une belle organisation que même la pluie n’a pas contrarié : pratiquement pas de voiture sur des parcours loin d’être simple. Un seul bémol concernant la remise des prix toujours très (trop) tard ici : annoncée pour 16h, démarrée à plus de 16h30 ; heureusement que nous n’avions pas trop de route à faire pour rentrer ; il faudrait quand même penser à ceux qui viennent de loin ou ceux des petits parcours qui doivent attendre plus longtemps que le temps qu’ils ont passé sur le vélo !!!
Classements
Sur le site de l’épreuve : https://www.cyclolescopains.fr/ ou celui du prestataire : https://chronospheres.fr/evenements/detail/Les-Copains-Cyfac-913
Classement de 133km sur ce lien
Strava
https://www.strava.com/activities/9373738551/
#Les Copains#les copains cyfac#ambert#Monts du Forez#resultat#cedric richard#roue des grands bois#specialized elite shop
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Les vidéos du colloque « Lutter contre le frelon asiatique » sont en ligne
See on Scoop.it - Insect Archive
Ce colloque introduit par Axel Decourtye (directeur général de l’ITSAP) ; était organisé par l’ITSAP-Institut de l’abeille et le Muséum National d’Histoire Naturelle. Il est intitulé « Lutter contre le frelon asiatique : piéger, surveiller, protéger, localiser et détruire ».
7 septembre 2022 par rome | Catégorie: Actualités, Biologie, Lutte |
Piéger, surveiller, protéger, localiser, détruire
Ce colloque introduit par Axel Decourtye (directeur général de l’ITSAP) ; était organisé par l’ITSAP-Institut de l’abeille et le Muséum National d’Histoire Naturelle. Il est intitulé « Lutter contre le frelon asiatique : piéger, surveiller, protéger, localiser et détruire ». Ce colloque s’inscrit dans un programme qui est financé depuis six ans par le ministère de l’Agriculture, par FranceAgriMer et par l’Union Européenne via le programme apicole européen qui appuie le développement d’innovations et leur transfert vers les apiculteurs.
Dans ce cadre, il nous a semblé pertinent d’organiser ce type d’évènement sur le sujet de la surveillance et de la lutte contre le frelon asiatique, tant l’enjeu pour la filière de lutter contre ce prédateur de l’abeille domestique est grand. Il s’agit également d’un sujet très médiatisé. Ces deux ingrédients – un grand intérêt pour la filière et une portée symbolique dans les médias – ont provoqué l’engagement d’une multitude d’acteurs de la recherche publique, de la recherche privée, et de beaucoup d’apiculteurs qui ont dû expérimenter des solutions sur leurs ruchers.
Nous voilà donc aujourd’hui face à un écosystème d’acteurs riche et complexe. Des acteurs qui peuvent rentrer en concurrence sur les financements ou intervenir dans les médias pour proposer leur solution. Face à ce constat, nous avons voulu faire une sorte de « point focal » sur l’état des lieux de la recherche appliquée et du développement d’outils et de méthodes aidant à la lutte. Nous avons fait le choix de mettre l’accent sur des sorties de la R&D qui soient les plus opérationnelles possible.
Ces deux jours ont permis de présenter des solutions prometteuses pour les apiculteurs, qu’elles soient issues du terrain ou sorties des laboratoires. Une conférence introductive de Denis Thiéry a donné une vision transversale et historique de la lutte contre ce prédateur. Nous avons enchaîné ensuite sur une première session dédiée à protéger les ruchers. La deuxième session avec d’autres intervenants était centrée sur la localisation des nids du frelon et leur destruction. La troisième sur le piégeage et, finalement, la dernière session a abordé la surveillance. Quentin Rome a clôturé le colloque sur la récente mauvaise nouvelle venant de la région PACA : l’arrivée d’un nouveau frelon exotique sur le territoire métropolitain, Vespa orientalis.
Les vidéos et les actes du colloque sont à retrouver directement sur le site internet de l’ITSAP.
Bernadette Cassel's insight:
Scoops en relation :
Colloque virtuel 8 et 9 novembre 2021 Lutter contre le frelon asiatique - De inpn.mnhn.fr - 29 octobre 2021, 19:06
Le point sur la lutte contre le frelon asiatique : Piéger, surveiller, protéger, localiser, détruire - De blog-itsap.fr - 9 décembre 2022, 18:29
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Le numéro 15 de Mon Lapin Quotidien sort ce vendredi 6 novembre en librairie ! - Un numéro placé sous le signe de la surveillance, du contrôle, du fichage et qui offre sur ses ses douze pages, un espace circulaire de quatre centimètres de diamètre afin d’offrir à nos lectrices et lecteurs les joies de l’espion d’antan, les sensations du voyeur, les frissons du flic... - Les six disques manquants, imprimés recto-verso, portent les lettres, les dessins et les mots de Matti Hagelberg, Christelle Enault, Muzo, Quentin Faucompré & Killoffer, Charles Burns, Étienne Lécroart, Joël Hubaut, Emmanuel Rabu, Hector de la Vallée et de Willem. Réunis dans une enveloppe, ils seront envoyés aux abonné.es de Mon Lapin Quotidien ! - Commandez ce numéro chez votre libraire voisin ou bien abonnez-vous et recevez les fameuses rondelles : https://ift.tt/3ev2MsW -- Ophélie Paris — view on Instagram https://ift.tt/3kaytcs
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Reading de Nacht Reading 2019
my favourite books of the year
my overall favourite book of the year:
martin hägglund "this life why mortality makes us free" (2019)
postcyberpunkstompf:
01 ken liu (ed) "broken stars: contemporary chinese sf in translation" (2019)
02 cory doctorow "radicalized" (2019) 03 dave hutchinson "the return of the incredible exploding man" (2019) + dave hutchinson "nomads" (2019) + dave hutchinson "thumbprints" (1978) + dave hutchinson "torn air" (1980) + dave hutchinson "the push" (2009) + dave hutchinson "the villages" (2002) ... damn that elusive "paradise equation" (1981) ... 04 tade thompson "rosewater" (2016) + tade thompson "rosewater insurrection" (2019) + tade thompson "rosewater redemption" (2019) 05 desirina boskovich (ed) "lost transmissions: the secret history of sf & f" (2019)
06 hannu rajaniemi & jacob weisman (eds) "the new voices of science fiction" (2019) 07 gardner dozois (ed) "the very best of the best: 35 years of the year's best science fiction" (2019) 08 jonathan strahan (ed) "the best science fiction & fantasy of the year, volume thirteen" (2019) 09 robert markeley "kim stanley robinson modern masters of sf" (2019) 10 allan kaster (ed) "the year's top hard sf stories 3" (2019)
11 olivier girard (ed) "bifrost 96 la revue des mondes imaginaires: william gibson" (2019) 12 mario guglielminetti "web is over. parabola ed esplosione di ubuweb, l'antiprofilo" (2019) 13 bryan thomas schmidt (ed) "infinite stars: dark frontiers" (2019) 14 baoshu "the redemption of time" [2011] (2019) 15 cixin liu "the supernova era" [2003] (2019)
16 l. x. beckett "gamechanger" (2019) 17 gareth l powell "fleet of knives" (2019) 18 chen qiufan "waste tide" [2013] (2019) 19 derek künsken "the quantum garden" (2019) 20 gregory benford "rewrite: loops in the timescape" (2019)
21 james s.a. corey "tiamat's wrath" (2019) + james s.a. corey "auberon" (2019) 22 jim al-khalili "sunfall" (2019) 23 peter f hamilton "salvation lost" (2019) 24 neal asher "the warship" (2019) 25 jonathan strahan (ed) "mission critical" (2019)
26 jack mcdevitt "octavia gone" (2019) 27 elizabeth bear "ancestral night" (2019) 28 ian mcdonald "moon rising" (2019) 29 carmen maria machado (ed) "the best american sf & f 2019" (2019) 30 valerie valdes "chilling effect" (2019) 31 simon morden "bright morning star" (2019) + s. j. morden "no way" (2019) 32 neil stephenson "fall or, dodge in hell" (2019) 33 graham edwards "string city" (2019)
klassikstompf:
01 arno schmidt "bottom's dream" [1970] (2016) ... & still reading ...
02 jorge luis borgès "borgès restored (the author's preferred translations)" (2016) 03 julie orringer "the flight portfolio" (2019) + julie orringer "the invisible bridge" (2010) 04 pola oloixarac "savage theories" (2017) + pola oloixarac "dark constellations" (2019) 05 simon critchley "memory theatre" (2014)
06 gabriel josipovici "hotel andromeda" (2014) 07 david keenan "for the good times" (2019) 08 wg sebald "vertigo" [1990] (1999) + wg sebald "the emmigrants" [1992] (1996) + wg sebald "the rings of saturn" [1995] (1998) + wg sebald "austerlitz" (2001) 09 luis chitarroni "the no variations "diary of an unfinished novel" [2007] (2013) 10 julián ríos "larva: a midsummer night's babel" [1983] (1991)
11 césar aira "birthday" [2001] (2019) + césar aira "three novels" [1990-2000-1997] (2018) 12 tom mole "the secret life of books" (2019) 13 lucy ives "loudermilk or the real poet or the origin of the world" (2019) 14 lászló krasznahorkai "baron wenckheim's homecoming" [2016] (2019) 15 lucy ellmann "ducks, newburyport" (2019)
16 lars iyer "nietzsche & the burbs" (2019) 17 d harlan wilson "the psychotic dr. schreber" (2019) 18 andrew gallix (ed) "we'll never have paris" (2019) 19 chris kelso (ed) "i transgress" (2019) 20 john crowley "the solitudes" [1987] (2007) + john crowley "love & sleep" (1994) + john crowley "daemonomania" (2000) + john crowley "endless things" (2007) ... (the aegypt cycle)
polarstompf:
01 carlos ruiz zafón "the labyrinth of the spirits" [2017] (2018)
02 volker kutscher "the fatherland files" [2012] (2019) 03 andrea camilleri "the overnight kidnapper" [2015] (2019) + andrea camilleri "the other end of the line" [2016] (2019) 04 mick herron "joe country" (2019) + mick herron "this is what happened" (2018) + mick herron "nobody walks" (2015) 05 john le carré "agent running the field" (2019)
06 guillaume musso "la vie secrète des écrivains" (2019) 07 luke mccallin "the man from berlin" (2013) + luke mccallin "the pale house" (2014) + luke mccallin "the divided city" (2016) 09 henry porter "brandenburg" [2005] (2019) + henry porter "firefly" (2018) + henry porter "white hot silence" (2019) 10 mitch silver "the bookworm" (2018) + mitch silver "in secret service" (2007)
11 alan judd "the accidental agent" (2019) 12 philip kerr "metropolis" (2019) 13 ian rankin "westwind" (2019) 14 jo nesbø "the knife" (2019) 15 david hewson "devil's fjord" (2019)
16 barry forshaw "crime fiction: a reader's guide" (2019) 17 a.a. dhand "one way out" (2019) 18 martin holmén "clinch: the stockholm trilogy 01" (2016) + martin holmén "down for te count: the stockholm trilogy 02" (2017) + martin holmén "slugger: the stockholm trilogy 03" (2019) 19 michael kestemont "de zwarte koning" (2019) 20 soren sveistrup "the chestnut man" [2018] (2019)
21 tim mason "the darwin affair" (2019) 22 patrick conrad "good night, charlie" (2019) 23 chris pavone "the paris diversion" (2019) 24 dov aflon "a long night in paris" (2019) 25 arne dahl "hunted" [2017] (2019)
RIP ANDREA CAMILLERI !
gedächtnisstompf:
01 martin hägglund "this life: why mortality makes us free" (2019) / "this life: secular faith & spiritual freedom" (2019)
02 derrida "la vie la mort: séminaire (1975-1976)" (2019) 03 jean-luc nancy "derrida, suppléments” (2019) 04 jean-françois bouthors et jean-luc nancy "démocratie! hic et nunc" (2019) 05 hannah arendt "de vrijheid om vrij te zijn" (2019) + hannah arendt "nous autres réfugiés" (2019)
06 mckenzie wark "capital is dead": is this something worse?" (2019) 07 johan schokker & tim schokker "extimiteit: jacques lacan's terugkeer naar freud" (2000) 08 gerhard richter & ann schmock (eds) "give the word: responses to werner hamacher's 95 theses on philology" (2019) 09 ranja n gosh "philosophy & poetry: continental perspectives" (2019) 10 shoshana zuboff "the age of surveillance capitalism" (2019)
11 kate zambrano "screen tests: stories & other writing" (2019) 12 daniele carluccio "roland barthes lecteur" (2019) 13 jean-clet martin "la philosophie de gilles deleuze" (2019) 14 mitchell dean & daniel zamora "le dernier homme et la fin de la révolution: foucault après mai 68" (2019) 15 arnon grunberg "vriend & vijand: decadentie, ondergang & verlossing" (2019)
16 kwami anthony appiah "de leugens die ons verbinden: een nieuwe kijk op identiteit" [2018] (2019) 17 quentin meillassoux "science fiction & extro-science fiction" (2015) 18 roberto calasso "het onbenoembare verleden" [2017] (2019) 19 lydia davis "essays" (2019) 20 denise riley "time lived, without its flow" (2019)
poesisstompf:
zoë skoulding "footnotes to water" (2019)
platterstompf:
01 rick moody "on celestial music, and other adventures in listening" (2012)
02 yann courtiau "frictions: ce que la littérature a fait à la musique et ce que la musique a en a fait" (2019) 03 vivien goldman "revenge of the she-punks: a feminist music history from poly styrene to pussy riot" (2019) 04 garrígos, triana & guerra "god save the queens: pioneras del punk" (2019) 05 jon savage "this searing light, the sun & everything else: joy division the oral history" (2019)
06 richard beck "trains, jesus, and murder: the gospel according to johnny cash" 07 mark lanegan "sleevenotes" (2019) 08 jason williamson "jason williamson's house party: sleaford mods 2014-2019" (2019) 09 gallix, hill, & rose (eds) "love bites: fiction inspired by pete shelley" (2019) 10 greg laurie "johnny cash the redemption of an american icon" (2019)
11 marc vos & toon loenders "siglo xx: opdat de dood ons levend vindt & het leven ons niet doodt" (2019) 12 david sandilands & david keenan "go ahead & drop the bomb (memorial device pamflet)" (2019) 13 guillaume belhomme "pop fin de siècle" (2019) 14 chris bohn (ed) "the wire" (magazine) (2019) 15 sylvain sylvain "there's no bones in ice cream: sylvain sylvain's story of the new york dolls" (2018)
16 debbie harry "face it" (2019) 17 jaime gonzalo "poder freak: una crónica de la contracultura vol III" (2014) 18 matthew bower & samantha davies "talisman angelical" (2017) 19 darryl w bullock "the world's worst records: an arcade of audio atrocity vol I" (2013) + darryl w bullock "the world's worst records: another arcade of audio atrocity vol II" (2015) 20 steve zisson (ed) "a punk rock future" (2019) / ivar muñoz-rojas "underground babilonia" (2019)
bilderstompf:
01 didier ottinger "bacon en toutes lettres" (2019)
02 antoni tàpies "cap braços cames cos" (2012) + antoni tàpies "mahlerei und graphik" (2011) 03 laura oldfield ford "savage messiah" (2019) 04 fred vermorel "dead fashion girl: a situationist detective story" (2019) 05 françois schuiten & jaco van dormael "le dernier pharaon" (2019)
06 ken krimstein "the three escapes of hannah arendt: the tyranny of truth" (2018) 07 erik bindervoet & saskia pfaeltzer "aldus sprach nietzsche's zuster" (2019) 08 anthony n fragola & roch c smith "the erotic dream machine: interviews with alain robbe-grillet on his films" (2006)
cyclostompf:
01 bernard chambaz "petite philosophie du vélo" (2019)
02 filip osselaer "de man die doodging (vervolgens mosselen bestelde, de rekening vroeg en verdween): el tarangu, josé manuel fuente" (2019) 03 peter schmink "de cultus van het lijden: een vrije oefening" (2006) 04 laurent willame "les lieux sacrés du cyclisme: 15 pélérinages à faire avant de crever" (2019) 05 jonas heyerick (ed) "bahamontes: uit liefde voor de stiel" [magazine] (2019)
06 johnny vansevenant "1969, het jaar van eddy merckx" (2019) 07 edwin winkels "la vuelta: heroïsche verhalen uit de ronde van spanje" (2019) 08 frederik baeckelandt "fausto coppi (les héros 04)" (2019) 09 harry pearson "the beast, the emperor & the milkman: a bone-shaking tour through cycling’s flemish heartlands" (2019) 10 peter cossins "the yellow jersey / le maillot jaune" (2019)
11 thijs zonneveld "het panini album" (2019) 12 thijs zonneveld "de fiets, de fiets & nog veel meer sportverhalen" (2019) 13 willy vangenechten "hoe word je een wielerfan (en blijf je er een)?" (2019)
some wissenschaftstompf & autres divertissements ...:
01 robert macfarlane "underland: a deep time journey" (2019)
02 george van hal & ans hekkenberg "het kosmisch rariteitenkabinet" (2019) 03 josey waley-cohen "only connect: the difficult second quiz book" (2019)
… tsundoku !
may your home be safe from tigers, leroy, x HNY!
... the annual out of control TBR pile ...
postcyberpunkstompf
ada hoffmann "the outside" (2019) adrian tchaikovsky "children of ruin" (2019) alastair reynolds "shadow captain" (2019) + alastair reynolds "permafrost" (2019) annalee newitz "the future of another timeline" (2019) charlie jane anders "the city in the middle of the night" (2019) farah mendlesohn "the pleasant profession of robert a heinlein" (2019)gareth l powell "ragged alice" (2019) greg egan "perihelion summer" (2019) ian creasey "the shapes of strangers" (2019) jo walton "lent" (2019)
kameron hurley "the light brigade" (2019) karl schroeder "stealing words" (2019) megan o'keefe "velocity weapon" (2019) neil clarke (ed) "the eagle has landed: 50 years of lunar sf" (2019) nina allan "the silverwind" (2019) paul di filippo "aeota" (2019) peter swirski "stanislaw lem: philosopher of the future" (2019) + peter swirski & waclaw m osadnik (eds) "lemography: stanislaw lem in the eyes of the world" (2019) richard kadrey "the grand dark" (2019) rudy rucker "million mile road trip" (2019) simon ings "the smoke" (2019)
klassikstompf
alex landragin "crossings" (2019) enrique vila-matas "mac's problem" [2017] (2019) joseph scapellato "the made-up man" (2019) kevin breatnach "tunnelvision" (2019) michel houellebecq "serotonin" (2019) nell zink "doxology" (2019) roberto bolaño "the spirit of science fiction: a novel" (2019) samanta schweblin "mouthful of birds" (2019) sergio pitol "mephisto's waltz: selected short stories" (2019) will eaves "murmur" (2019)
polarstompf
johan op de beek "het complot van laken" (2019) jon steinhagen "the hanging artist" (2019) juli zeh "empty hearts" (2019) max hertzberg "operation oskar" (2019) + max hertzberg "berlin centre" (2019) peter robinson "many rivers to cross" (2019) tony belloto "bellini & the sphinx" [1995] (2019)
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J'ai officiellement reçu ma dernière fiche de paie en tant qu'AED, et une journée de grève faite il y a littéralement 6 mois n'a toujours pas été retirée. Je sais que le karma (et les impôts lol) vont venir me chercher pour que je rembourse mais j'ai décidé d'être delulu et de me dire qu'ils ont oublié et que c'est un cadeau financier qu'ils me font car je suis trop beau et trop intelligent
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Au chevet des eaux douces La qualité des eaux douces va devenir un enjeu crucial avec le réchauffement climatique. Lilaea, une entreprise créée par deux jeunes chercheuses à Saint-Quentin, propose ...
La qualité des eaux douces va devenir un enjeu crucial avec le réchauffement climatique. Lilaea, une entreprise créée par deux jeunes chercheuses à Saint-Quentin, propose des appareils qui facilitent leur surveillance.
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Un chapeau et un trench-coat, ajustés avec un soin maniaque : cette panoplie fétichisée fait office de seconde peau pour Jeff. Il est un fantôme, un taiseux au masque inexpressif. Obsédé par la maîtrise, ce géomètre du crime circule vite, sans laisser de traces. Le code de l’honneur, le destin en marche, la noblesse maléfique du gangster : Jean-Pierre Melville récupère les stéréotypes du polar et les exacerbe en éliminant le superflu — psychologie, expressivité, dialogues. Demeurent le décor et des automates tirés à quatre épingles. Alain Delon impressionne la pellicule, comme jamais sans doute, sous le regard d’un cinéaste fasciné, transi d’amour. Le sublime frise le ridicule (comme souvent) dans cette histoire d’hommes, de narcissisme morbide. Qui est Jeff ? Le dernier des anges déchus ? L’homme qu’on aimerait être ? Un schizophrène, enfermé tel le bouvreuil dans sa cage ? Nous voilà captifs de ces filatures et de ces pas résonnant dans le métro. [Par Jacques Morice – Télérama (avril 2018)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Réalisé en 1967, soit la même année que Playtime de Jacques Tati et Week-end de Jean-Luc Godard, deux films également hantés par la question de l’aliénation moderne, Le Samouraï est devenu, au fil des décennies, le film emblématique du cinéma de Jean-Pierre Melville, mais plus largement, un polar existentiel et culte dont l’influence, des États-Unis au Japon, sera considérable. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
ON SET – LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967)
ON SET – LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967)
ON SET – LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967)
ON SET – LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967)
ON SET – LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967)
Avec son tueur à gages mystérieux et presque mutique interprété par Alain Delon qui endosse ici l’un des rôles phares de sa carrière, son style minimaliste et précis, sa capacité à élever un film de genre (le polar) au niveau d’une tragédie antique, sa valorisation du détail aussi bien vestimentaire (le chapeau de Jef, icône du genre transformé en fétiche) que pictural, Le Samouraï est devenu, au fil des ans, un immense réservoir de motifs dans lequel de nombreux cinéastes sont venus puiser, de Quentin Tarantino (Reservoir Dogs) à John Woo (The Killer), en passant par Alain Corneau (Police Python 357), ou encore Michael Mann (Le Solitaire). Vaguement inspiré de Tueur à gages, un film réalisé par Frank Tuttle en 1942 et adapté d’un roman de Graham Greene, Le Samouraï fait subir au film noir américain un traitement qui évoque, au même moment, la démarche entreprise par Sergio Leone avec la mythologie du western classique hollywoodien. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Mais là où le réalisateur de Il était une fois dans l’Ouest revitalise un genre alors exsangue en hypertrophiant ses codes (style baroque, violence exacerbée), Melville vise une forme d’épure minimaliste qui emprunte autant au film noir américain (le rituel du tueur à gages, la dimension tragique de son existence, la rencontre avec la Mort, ange noir incarné par Cathy Rosier) qu’à la culture nippone (la fausse citation du Bushido qui ouvre le film, le masque impassible de Jef Costello). Si Le Doulos ou encore Le Deuxième souffle étaient encore comptables d’un certain pittoresque français (la vie du milieu montmartrois dans Bob le flambeur), Le Samouraï prend ses distances par rapport à la réalité française et multiplie notamment les effets d’invraisemblance, à l’image de la peinture du 36 quai des Orfèvres qui semble calquée sur un commissariat new-yorkais, ou des moyens hors-du commun déployés par les forces de police pour filer un simple suspect. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Le Samouraï marque une césure incontestable dans l’œuvre de Melville, le point culminant d’une maturité artistique enfin atteinte : avec Le Cercle rouge et Un Flic, son dernier film en 1972, Melville affinera son univers et ses personnages, poussera un cran plus loin cette idée selon laquelle un récit, au fond, devrait pouvoir se passer d’histoire et se concentrer tout simplement sur la description de quelques comportements humains mais, au fond, tout est déjà dans Le Samouraï, son dixième film. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Les neuf premières minutes du film sont “ muettes” : une chambre bon marché pauvrement éclairée par deux fenêtres. Un chant d’oiseau monotone. La fumée de cigarette qui s’élève nous conduit à un lit où est couché un homme (Alain Delon). Il finit par se lever et caresse une cage à oiseaux d’un paquet de billets de banque coupés en deux. Puis il cache l’agent, enfile son trench-coat et en remonte le col. Face au miroir, il met son chapeau dont il redresse le bord et quitte l’appartement. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Dans la rue, il monte dans une DS Citroën, pose quelques clés de contact à côté de lui et les essaie à tout de rôle. Le moteur tourne, il démarre. Dans un quartier parisien triste, il entre dans un garage étroit. Aussitôt, un mécanicien ferme la porte, pose une nouvelle plaque d’immatriculation, kui donne des papiers, de l’argent et – sur un claquement de doigts – un revolver. Notre homme repart, gare son véhicule devant un immeuble, en descend et se dirige vers un appartement. La porte s’ouvre et une jeune femme blonde (Nathalie Delon) dit « Jeff ». C’est le premier mot prononcé dans le film. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Jeff Costello est un tueur professionnel, le début du film ne laisse aucun doute là-dessus en nous montrant ses attributs : le trench-coat, le chapeau, la liasse de billets et le revolver. Avec une efficacité foudroyante, Jean-Pierre Melville nous entraîne dans l’univers sombre de son héros, un monde déshumanisé, viril, qui semble soumis à ses propres normes et ses règles strictes. Les couleurs réduites, aussi froides qu’artificielles, du film nous font immédiatement sentir que Le Samouraï est plus qu’une simple variation des films noirs américains. Il s’agit d‘une quintessence, d’une fascinante abstraction du genre, emplie de la vision du monde pessimiste du réalisateur. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Le film s‘ouvre sur une citation soi-disant extraite du Livre des Samouraïs : “Il n’y a pas de plus profonde solitude que celle du samouraï ; si ce n‘est celle du tigre dans la jungle, peut-être.” La solitude de Costello, samouraï au bord de l’autisme, est traduite par la métaphore de l’oiseau en cage dans son appartement. Le gazouillis stupide ne renforce pas seulement le silence glacé qui entoure l’homme, il donne aussi à sa solitude quelque chose de forcé, de pathologique. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
La vie de Costello semble n’être constituée que de rituels ; ses gestes ont l’air étudiés et mille fois répétés. Leur automatisme muet dénué d‘émotions ne lui laisse manifestement aucune liberté d’action : quand une jolie femme l’aguiche depuis sa voiture à un feu, il continue de regarder droit devant lui, impassible. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
La relation de Costello envers sa maîtresse Jeanne, interprétée par Nathalie Delon, son épouse à la ville à l’époque, correspond à ce schéma. Quand il lui rend visite au début du film, il le fait pour des raisons purement professionnelles – il a besoin d’un alibi. Elle le lui fournit volontiers, bien qu‘avec désillusion : « J’aime quand tu viens me voir, dit-elle, car tu as besoin de moi. » [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Costello fait ce qu’il a à faire avec une froide précision. Après qu’il a abattu le patron d‘une célèbre boîte de nuit, la police l’interroge et le confronte à des témoins, mais son alibi tient la route. Pourtant, cette fois, le plan de Costello ne fonctionnera pas. Le commissaire (François Périer) sent instinctivement qu’il est coupable et le fait surveiller. Le commanditaire du meurtre ne souhaite pas prendre de risques et veut faire tuer Costello au moment où il vient chercher son dû. Blessé au bras, le tueur peut s’échapper, mais ce n’est que partie remise — avec la police et les gangsters à ses trousses, comment pourrait-il s’en sortir ? [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
La puissance de ce film qui marquera la naissance d’un style que l’on appellera dès lors “melvillien”, doit évidemment beaucoup à la présence d’Alain Delon, à son jeu hiératique et minéral, à l’impassibilité dont l’acteur et le personnage qu’il interprète témoignent en toutes circonstances. (…) Dénué de toute psychologie apparente, peu disert, amateur de répliques laconiques (« Je ne perds jamais, lance-t-il à ses compagnons de jeu, jamais vraiment ») Costello se déduit de ses actes. C’est un personnage abstrait dont l’opacité amplifie la force métaphysique. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Si Delon deviendra, à partir du Samouraï, l’acteur fétiche de Jean-Pierre Melville dernière manière (Le Cercle rouge et Un Flic), la rencontre entre les deux hommes remonte aux débuts des années 1960. Années de la consécration pour Delon qui s’ouvrent avec l’immense succès public de Mélodie en sous-sol d’Henri Verneuil, dans lequel il joue aux côtés de Jean Gabin, l’un de ses modèles, qu’il retrouvera en 1969 dans Le Clan des Siciliens du même Henri Verneuil. Après Rocco et ses frères (1961) et Le Guépard (1963) tournés avec Luchino Visconti, puis Les Félins de René Clément, Delon succombe aux sirènes d’Hollywood où il part tourner Once a Thief (Les Tueurs de San Francisco) de Ralph Nelson et Lost Command (Les Centurions) de Mark Robson. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Le cinéma de Melville, pour des raisons d’abord historiques, est un cinéma de l’après-coup, après-coup d’un genre, le film noir, dont il magnifiera les codes et les rituels, sur le mode de la célébration funèbre et du tragique mythologique. Après-coup donc, maniériste sans doute, mais surtout moderne dans la façon dont il exige de la part du spectateur une attention particulière aux détails (vestimentaires, visuels, scripturaux, comportementaux… ). [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
LE SAMOURAÏ – Jean-Pierre Melville (1967) avec Alain Delon, François Périer, Cathy Rosier et Nathalie Delon
Voir, c’est déchiffrer, soit l’une des révolutions optiques de la modernité cinématographique. Qu’est-ce qui, dans le plan, importe vraiment ? Que faut-il regarder ? Moins radical que d’autres modernes européens en ce sens que son travail de mise en abyme n’a jamais désamorcé la croyance et le plaisir liés à la fiction populaire, Melville sait combien les apparences sont trompeuses, combien les mêmes habits ne fabriquent pas toujours les mêmes moines, combien la vérité des situations ou des rapports humains se loge parfois au sein d’infimes détails. C’est l’état particulier de la cage du bouvreuil dans Le Samouraï (position du volatile ? plus de plumes ? moins de graines ?) qui indique à Costello le viol de son appartement par deux policiers qui ressemblent à des truands, c’est ce cercle rouge qui, une fois énoncé par le titre du film éponyme, met le spectateur sur la piste d’un exercice ludique, d’un jeu de correspondances et de rimes plastiques, consistant à traquer sans relâche ses occurrences dans le plan. [Jean-Baptiste Thoret – Disparaître de son vivant – Pathé Production]
Aujourd’hui encore, Le Samouraï est l’un des films favoris d’innombrables cinéphiles et il a durablement influencé de nombreux cinéastes. Paul Schrader, par exemple, s’en inspirera dans son script pour le film de Scorsese Taxi Driver (1976), de même que Michael Mann pour Heat (1995). Et s’il ne tarde pas à devenir un film culte, c’est avant tout parce que le réalisateur réussit avec maestria à mettre en valeur l’aura de la star Alain Delon. On décèle dans le visage de l’acteur, beau et froid comme un masque, une dimension tragique qui va bien au-delà du destin individuel du tueur Costello. En incarnant la solitude existentielle, Delon devient une icône du cinéma. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
Les extraits
Fiche technique du film
Réalisé en 1967, soit la même année que Playtime de Jacques Tati et Week-end de Jean-Luc Godard, deux films également hantés par la question de l'aliénation moderne, Le Samouraï est devenu, au fil des décennies, le film emblématique du cinéma de Jean-Pierre Melville, mais plus largement, un polar existentiel et culte dont l'influence, des États-Unis au Japon, sera considérable. Un chapeau et un trench-coat, ajustés avec un soin maniaque : cette panoplie fétichisée fait office de seconde peau pour Jeff.
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Joseph en Égypte [suite] L’Éternel n'abandonna pas Joseph à son sort. Il demeura auprès de lui et fit en sorte que le chef de la prison où il avait été jeté, à cause du délire orgueilleux d'une femme capricieuse et concupiscente mariée à un homme crédule, - par la faute aussi de ses demi-frères qui l'avaient vendu comme esclave -, lui accorde toute sa bienveillance et sa protection. Tandis que Joseph découvrait les affres de la vie en milieu carcéral, (sa peine grandement adoucie par Dieu à l'insu de tous), il advint ceci : le chef des échansons et le commandant des panetiers du roi d’Égypte offensèrent leur puissant maître Pharaon, lequel les fit mettre en prison. Ils y furent placés sous la surveillance de Joseph. Le temps passa et, une nuit, les deux nouveaux détenus firent chacun un songe dont ils ne parvinrent pas à comprendre le sens. Le lendemain matin, Joseph les trouva accablés de tristesse. Il leur demanda la raison de cette peine soudaine. - Nous avons fait un songe incompréhensible, lui fut-il répondu. Et il ne se trouve personne pour nous en donner l'explication. - Les explications appartiennent à Dieu, leur dit Joseph. Mais peut-être puis-je vous aider ? Le chef des échansons prit la parole : - Dans mon rêve, un cep se dressait devant moi. Il avait trois sarments. Il poussait, sa fleur s'est développée et ses grappes devinrent de beaux raisins mûrs à souhait. J'ai pris de ces fruits, dans la suite de mon rêve, pour les presser dans la coupe de Pharaon que je tenais. Joseph, béni de Dieu, sut immédiatement interpréter ce rêve sibyllin : - Trois sarments ? Cela signifie un délai de trois jours, au terme duquel Pharaon te réhabilitera dans tes fonctions d'échanson. Et tu auras l'honneur de remplir sa coupe de vin, comme auparavant. Lorsque tu seras de nouveau libre et heureux, s'il te plaît, obtiens-moi les faveurs de Pharaon afin qu'il me fasse sortir de ces geôles où le malheur m'a précipité. J'ai été enlevé du pays des Hébreux et je n'ai rien fait qui mérite cette incarcération. Le chef des panetiers, ravi de voir que Joseph savait saisir les présages que les rêves recèlent, se hâta de lui raconter le songe qu'il avait fait : - Cette nuit, en dormant, je me suis vu portant sur ma tête trois corbeilles généralement utilisées pour le transport du pain blanc ; celle du dessus contenait toutes sortes de mets cuits au four et destinés à Pharaon, mangés par des oiseaux. - Les trois corbeilles représentent elles aussi un délai de trois jours après lequel Pharaon te fera décapiter ; ton corps sera pendu et dévoré par les oiseaux. Trois jours plus tard, Pharaon fêtait son anniversaire. Il organisa un somptueux festin au cours duquel, rétabli dans sa charge, l'échanson lui servit du vin. Quant au panetier, il fut exécuté comme cela lui avait été prédit. Tout à son bonheur, l'échanson épargné par Pharaon ne songea plus à Joseph. Il l'oublia.
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PORNOPTICON
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{Gourmandise} Tout a commencé avec un flan aux deux vanilles. Deux vanilles et une pâte merveilleuse lors de la découpe et à la dégustation. Et puis un chef aussi passionné de son art qu'attentionné avec les gourmands qui viennent chercher ses pâtisseries. Nous avons découvert les pâtisseries de Quentin Lechat grâce à nos fiancés préférés qui devaient récupérer un flan au Royal Monceau après un brunch à la maison. Ça tombait bien, c'est à côté de chez nous et sur le chemin de notre jardin, à savoir ce cher Parc Monceau que nous partageons généreusement avec nos voisins d'arrondissement. Nous découvrons un jeune chef (parce que oui, c'est lui qui a assuré la remise de la commande) attentif, adorable, enthousiaste et qui aime très visiblement échanger avec ses clients. Les amoureux sont repartis avec leur flan et moi bien décidée à passer commande très rapidement. Il était léger, crémeux, très parfumé à la façon de la madeleine de Proust: vous ramenant à l'enfance, à la boulangerie chez qui votre grand-mère achetait son pain et un occasionnel flan, tout en étant le meilleur flan que vous ayez jamais dégusté. Deux flans à la vanille de Tahiti et du Mexique plus tard, il a disparu de la carte pour laisser place à une tarte au chocolat de Madagascar. Et quelle tarte! Une pâte fine au cacao, un léger confit de vanille de Madagascar, un caramel au beurre salé très gourmand, une crème chocolatée parfumée et fondante, et un habillage de copeaux de chocolat très croquants et et sublimés par une touche subtile de sel. Extraordinaire. En attendant de pouvoir venir déguster ces merveilles dans les beaux salons du Royal Monceau, il faut surveiller le compte Instagram du chef, chaque mois voit arriver une nouvelle création. La vanille en mars, le chocolat en avril, je commence à être curieuse de ce que le mois de mai va nous permettre de découvrir. Des fraises me plairaient beaucoup, je l’avoue. #patisserie #quentinlechat #royalmonceau #paris #flanvanille #tarteauchocolat #tantquilyauradebonneschosesdanslesassiettes (à 17e arrondissement de Paris) https://www.instagram.com/p/CN0XP7sFj5S/?igshid=i5ng03i2z102
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