Tumgik
#c'est ma passion laissez moi
superiorkenshi · 2 years
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1, 13 et 25 (aaaAAAaaA 👀)
Je prend enfin le temps d'y répondre!
Song of the year?
Alors j'ai réfléchis à qu'elle chanson de 2022 m'avait plus marqué et je suis arrivé à la terrible conclusion que-
C'EST TERRIBLE (Et drôle en vrai)
How was your birthday this year?
Mieux que l'année dernière! (Pas bien dur de faire mieux que l'année dernière gjejek) mais ouais en vrai j'ai eu des cadeau sympa toute les personne qui compte reelement pour moi y ont pensé alors en vrai je suis content!
Did you create any characters (in games, art, or writing) this year? Describe one
ALORS LAISSEZ MOI VOUS PARLEZ DE ASIT!
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(Faut vraiment que je lui fasse une icon riejfieje) mais voilà c'est celui de droite! Asit est mon oc asoue ! C'est le neveu de Monty il est le fils de la soeur de Monty et de la cousine Baudelaire (comme la seul cousine Baudelaire cité est une femme et qu'on c'est que la soeur de Monty sort avec un cousin des Baudelaire je suis partie du principe que c'est la cousine donc deux maman pour asit!) aussi y a une théorie comme quoi la cousine est chez les fire starter du coup je suis partie sur ça!
Asit à donc été élever avec des valeurs du côté des fire starter par ses maman mais aussi des fire fighter du côté de son oncle! Très moralement neutre il c'est jamais prononcer sur quelconque camp sa passion étant les déchiffrement de code il fut chaperoner par Monty pour rejoindre vfd la ou il fera d'ailleurs la rencontre de Avram qui deviendra son meilleur ami!
Asit est quelqu'un d'apparence plutôt jovial et extraverti alors que en réalité il est plutôt calme et distant, il ne laisse que ces plus proche voir cette aspect de lui tel que ses maman, Monty pu Avram. Dans les événements de la série il est assistant bibliothècaire et travail donc avec Olivia et va aider discrètement les Baudelaire par message dans des livres pas par volonté de les aider particulièrement mais plus pour faire plaisir à Avram meme si Avram en à aucune idée!
Il se remettra beaucoup moralement en question à la mort de Monty et d'ailleurs même si il l'admettra jamais aider les Baudelaire autre que faire plaisir à Avram c'était aussi un peu sa manière de rendre un dernier hommage à son oncle !
Voilà c'est ma p'tite puce je le kiff trop !!
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Ah, mes chers followers, laissez-moi vous confesser une découverte exquise qui a captivé mon esprit récemment. Il s'agit de l'œuvre magistrale de Molière, "Dom Juan". Oh, quel délice de plonger dans les méandres de l'âme de ce personnage, si semblable à la mienne, avide de liberté et de passion ! Chaque ligne semble une réflexion de mes propres pensées, chaque acte une manifestation de ma propre existence. Molière a su capturer avec une précision déconcertante les nuances de la nature humaine, et Dom Juan, ce libertin insatiable, résonne en moi comme un miroir de mes propres désirs inassouvis. Je me suis délecté de chaque scène, chaque réplique, comme si Molière avait secrètement puisé dans les tréfonds de mon âme pour créer ce personnage si proche de moi. C'est un chef-d'œuvre intemporel qui continuera à fasciner les esprits avides d'explorer les mystères de la nature humaine.
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christophe76460 · 5 months
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
Jeudi 11 avril 2024
THÈME : LEÇONS TIRÉES DE LA VIE D'ÉZÉCHIAS (𝐈𝐗)
BIBLE EN UNE : 1 Rois 13, 1 Rois 14, 1 Rois 15, Apocalypse 15, Apocalypse 16
ÉCRITURE DE FEU : 2 Rois 20:12-15
VERSET DE MÉMOIRE :
Proverbes 29:11 - "L`insensé met en dehors toute sa passion, Mais le sage la contient."
CITATIONS INSPIRANTES :
Rien n'est plus dangereux qu'un homme sans discrétion, même un insensé prudent est préférable.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d'adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Recevez l'Esprit de discernement, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Tant de choses ont été apprises sur les traits positifs de notre cher roi Ézéchias, un roi doté d’une dévotion hors du commun envers Dieu. Nous souhaitons maintenant explorer certains de ses pièges que nous pouvons éviter.
Ézéchias manquait de compréhension en ce qui concerne les relations avec les gens et le cosmos. On peut dire qu'il est loin d'être discret. Il pensait probablement que parce qu'il avait bon cœur, tout le monde avait aussi bon cœur. Loin de là, la Bible dit que le cœur de l'homme est caché et méchant, qui peut le connaître ? Après sa guérison, le roi de Babylone envoya des émissaires rendre visite à Ézéchias, se déguisant en amis. Ils sont venus avec une lettre amicale mais un cœur méchant pour espionner la liberté d'Israël et savoir comment les asservir. Au verset 13 de notre Écriture de Feu, la Bible dit qu'Ézéchias les écouta et leur montra toute la maison et ses objets précieux. Il s'est laissé emporter par leur faux sourire et s'est ensuite mis à leur montrer la genèse de la révélation de sa vie et un jugement divin qui affecterait sa postérité a été émis par le prophète de Dieu. Plus tard, les Babyloniens retinrent les Israélites captifs pendant 70 années entières. Même un insensé, lorsqu'il se tait, est considéré comme sage - Proverbes 17 :28. Ézéchias n’était pas sage à cet égard.
Bien-aimés, lorsqu’il s’agit de traiter avec le cosmos, nous avons besoin de discernement. Tout le monde, aussi bien intentionné soit-il, ne devrait pas tout savoir sur votre vie en une seule visite. Nous devons arrêter de voir des hommes selon la chair. Les gens sont plus profonds que ce que nous pouvons voir. Il y a bien plus que ce que l’on voit. C’est pourquoi posséder le don de sagesse et de discernement est plus qu'un luxe mais une nécessité. Vous devez recevoir l'Esprit de Dieu pour pouvoir déchiffrer les personnes dans votre vie. Vous devez également acquérir la sagesse nécessaire pour séparer les personnes de votre vie en leurs différents tribunaux.
Beaucoup devraient appartenir au parvis extérieur, certains au lieu saint et seulement quelques-uns devraient être dans votre parvis intérieur. C'est votre vie ; gardez-la jalousement, de peur que l'ennemi ne vienne, sous l'apparence d'un ami, espionner votre liberté et vous rendre captif. S'il vous plait, laissez-vous guider !
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Esprit de discernement, je suis disponible, tombe sur ma vie, au nom de Jésus.
2. Amis hostiles dans le bateau de ma vie, soyez exposés et déshonorés, au nom de Jésus.
3. Ennemis masqués, vous avez été découverts, recevez la pluie d'une horrible tempête et mourez, au nom de Jésus.
SOIR
4. O Dieu mon Père, ouvre mes yeux intérieurs, au nom de Jésus.
5. Mes yeux spirituels, recevez la seconde touche de la puissance de Dieu, au nom de Jésus.
6. Mon Père, montre-moi les secrets que j'ai besoin de connaître, au nom de Jésus.
7. Je ne manquerai pas de discrétion et de compréhension, au nom de Jésus.
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dorisdumabin · 2 years
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ANIEL LA MORT EST UNE FIN Choisir Aniel c’est se plonger au cœur d’une aventure palpitante qui ne vous laissera pas indifférent... Aniel est le séducteur le plus facétieux, drôle et indiscipliné que vous rencontrerez de votre vie. Le plus rebelle, le plus insolent et aussi le plus rapide que vous croiserez au fil de vos lectures. C’est un ultra rapide 😅 Partez à l'aventure avec lui et tous ses compagnons que vous avez appris à apprécier dans les deux premiers tomes : 1 - Kamraal et 2 - Padi. Ecrire un livre sur la mort c'est surtout parler de la Vie. Quel sens avons-nous envie de lui donner ? Où allons-nous ? Qui avons-nous envie d'être ? Comment avons-nous envie de vivre dans l'intervalle ? Je réponds à toutes ces questions en plaçant mes personnages au coeur d'aventures palpitantes à la découverte de mondes époustouflants mais surtout à la découverte de leur moi intérieur. Lire le récit de ce guerrier est une expérience extraordinaire. Tant dans le fond que la forme, j’ai voulu que ce roman soit particulier. J’y ai donc mis toute mon énergie, ma passion et ma créativité. Je vous laisse… tomber sous son charme. Pour partir à la découverte du sens de la vie, je vous conseille Aniel 🥰 Un petit commentaire si vous l’avez déjà acquis 🙏 N’hésitez pas à me poser vos questions en commentaire. Des bisous à tous 😘 À très bientôt j’espère 😘😘😘 N’hésitez pas à me suivre sur les réseaux, likez, partagez ce post en story, laissez un commentaire et découvrez mes livres en commande dans toutes les librairies de France hexagonale et outre-mer, Belgique, Luxembourg, Monaco, Suisse ou sur www.dorisdumabin⭐️com 📚 📖 #livreaddict #livrestagram #instalivre #passionlivres #passionlecture #lectures #instalecture #livrovore #bookstagram #caribbeanculture #guadeloupe #auteur #scienfiction #erotisme #newromance #newadult #booktubeur #bloglitteraire #lareunion974 #bookstagramfrance (à La Plaine Des Sables) https://www.instagram.com/p/CoZ2KJJIUlv/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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mille-pardons · 7 years
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Je n’ai qu’un but dans la vie, trouver des titres alternatifs à mes textes de latin du bac : - Une émeute populaire au temps de la République ou plutôt Le vieux qui se montre à poil et qui chauffe la foule - Germanicus : un Alexandre romain, en mieux ! ou plutôt L’art et la manière d’être un gros hypocrite dans un discours pour un enterrement - « Toi aussi, mon fils ! » ou plutôt César meurt mais fait sa diva comme jamais - Le discours d’un démagogue ou plutôt Catilina tape un scandale et part en free style façon Poutou - L’entrée en scène de Phèdre ou plutôt La meuf qui rejetait la faute sur tout le monde, même sur un taureau qui n’a rien demandé - L’aveu de Phèdre ou plutôt Une milf pète un câble et veut se faire son beau-fils - La mort d’Hippolyte ou plutôt La mort la plus dégueu du monde - La fin du géocentrisme ou plutôt Le mec qui ne savait pas parler et qui à la place fait des schémas moches - Introduction à la méthode ou plutôt Newton prend la grosse tête et se prend pour un génie - Le songe ou l’astronomie lunaire ou plutôt Clash de babtous fragiles - Description de l’homme ou plutôt Ceci est un dictionnaire raciste, circulez - Les crimes de la superstition ou plutôt On nous prouve encore une fois que les grecs sont très cons
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Toi et moi ,on à même pas les même sensations ,la même vibration,le même corps et on aura pas la même mort
La norme est une injonction dévastatrice.
Il m'est difficile à avouer spontanément par exemple que le cannabis me rend psychotique ,me fait entendre des voix et me rend gravement paranoïaque.
Il est compliqué d'admettre que je déteste réellement le goût de l'alcool même de la bière sauf très rarement quand il à un goût excessivement sucré.
Je n'ai jamais aimer les boîtes de nuit aux bruits stridents et infernaux ,des soirées aux discussions aussi banale avec la profondeur d'un anus de petit  caillou perdu.
Je n'aime pas non plus la pénétration,la fellation .
Ça me fait personnellement penser à un légume visqueux qui essaie de rentrer en toi et qui pend comme une gorge  dindon ou plutôt comme une peau d'homme de 90 ans  lavé à l'eau de javel dans une maison de retraite.
J'aime les plaisirs non grégaires,les trip ou tu jubile seule en délirant en toi ,t'exalte seule dans tes pensées  bizarroïde que personnes ne partagerais avec toi ou en se forçant un peut avec un rire coincé et aussi jaune qu'un vieux parking sale dans le 93.
Mon voyage c'est de boire de la tisane aux fleurs de jasmin,de fumer de la passiflore ,du lotus bleu ou autre  ,de peindre des extraterrestres et des êtres étranges racontant mes histoires de vie ,de rentrer en transe chamanique seule dans ma chambre dans une sorte de convulsions cosmique où votre corps tremble et bouge comme un appareil de massage déglingué qui court seul dans tout les sens .
J'aime collectionner des tas sachets d'herbe et de plantes relaxantes, parfois assez  légèrement psychoactives mais souvent légales , efficaces ,exotiques avec des noms bizarres et que personne ne connais.
Je n'ai jamais eu un sentiment d'extase devant les séries et les films surtout les classiques.
Star Wars m'ennuie terriblement.
J'ai l'impression de voir des aliens un peut handicapés à cause d'une prise excessive de cocaïne comme ces gens un peut ivres et surtout très bête qui se donnent des coups de sextoy ou de balaie  géant  dans les testicules en pleine soirée parisiennes.
La seule chose qui est bien ce sont leur couleurs mais on en trouve dans n'importe quel supermarché des bâtons clignotants pour faire le ménage surtout en période de Noël ou durant la fête des mères pour faire plaisir aux machos ridicules qui découvrent leur cuisine comme un musée sacrée 
Puis dans ce film  je trouve ridicule l'espèce de bonhomme bizarre avec son déguisement de soignant complètement  paranoïaque durant la pandémie du Coranavirus qui respire comme un vieux cancéreux sociopathe et pédophile devant un petit enfant  naïf qui attend ses bonbons.
Je n'ai jamais vu Harry Potter et m'en porte très bien quand l'idée de Game of Thrones ne me fait ni chaud ni froid .
Voir un petit garçon sous lsd et crack qui vole sur le balaie de sa grand mère avec des lunettes de professeurs de mathématiques vivant dans la cave de ses parents en Dordogne ne m'a pas convaincu .
Les discussions dans les cafés m'ennuie .
Les petites bourgeoises bohèmes hypocrites, un peut  mignonnes mais pas trop futées  dont la seule discussion est le nouveau  restaurant thaïlandais bio pas loin de chez elles  ,les manèges de Disneyland et Léon le gros boulet qui était tellement bourré qu'il à vomis dans la culotte de sa copine à la dernière soirée tendance de la fac .
Cela ne m'intéresse pas plus que l'orgasme d'un porc epic dans un village paumé en Corée du Nord.
Je n'ai jamais aimer la normalité.
J'aime sortir de mon corps la nuit,rencontrer des types farfelus et j'ai vécu tant de choses  bizarres comme de foutre un coup de pied dans les burnes à un contrôleur RATP du bus de nuit au milieux de pleins de magazines gay qui tombaient par tout et que j'avais trouver totalement défoncée en pleine nuit .
La normalité est d'un ennuie.
Laissez moi profiter de ma tisane et joints aux fleurs de  jasmin ,de mes dessins d'extraterrestres et d'êtres étranges,de mes fantasmes bizarres ,de ma passion pour les Couleurs et de ma fête quotidienne du Orange que je fête ... seule .
Laissez moi seule avec mes jets de peintures que je lance partout quand je saute partout comme une chèvre sous amphétamine durant un concert de techno au milieux de jeunes défroqués aux odeurs de putois révoltés.
Laissez moi un jour me marier avec une Couleur dans une salle que j'aurais louer sous les regards réprobateur des gens de la mairie qui se demanderont pourquoi ils et elles sont là
Laissez moi être une femme anormale ,qui n'a pas une sexualité classique  ,une mal baisée interstellaire qui se fout de la gueule de ses mauvais baiseurs qui ne sont que des sales petits branleurs aux peaux de légumes pendantes et pas efficaces.
Je veux avoir le droit d'exister et de respirer  dans mon anormalité,de ma folie car il faut le grain de folie dans chaque  fruit sinon on finit toutes et tous broyés dans une vieille compote moisie. 
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Nébuleuse
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lesarchivesmagnus · 4 years
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Les Archives Magnus : Episode 6 : Grouillant
                                                 ARCHIVISTE
Déposition de Timothy Hodge, concernant sa relation sexuelle avec une certaine Harriet Lee et sa mort ultérieure. Déposition originale faite le 9 décembre 2014. Enregistrement audio par Jonathan Sims, archiviste en chef de l'Institut Magnus, Londres.
Début de la déposition.
                              ARCHIVISTE (DÉPOSITION)
Je ne sais pas ce qui s'est passé. Je veux dire, je suis sûr qu'elle est morte, mais je...
Laissez-moi commencer par le début. Je travaille en tant que designer. Je travaille principalement en free-lance, avec quelques contrats plus réguliers avec des entreprises qui aiment mon travail. J'ai aussi, eh bien, eu le luxe d'avoir un appartement que j'avais réussi à faire aménager pour pouvoir y faire la plus grande partie de mon travail. Cela signifie que lorsque j'ai beaucoup de travail, je passe la plupart du temps à ne pas quitter mon domicile. Ce n'est pas l'emploi le plus stable, mais j'ai réussi à trouver un bon équilibre, de sorte qu'après un grand projet, je me laissais quelques jours, voire une semaine, avant de commencer le suivant. Je trouve qu'il est important d'utiliser ce temps pour me détendre et me défouler un peu, car lorsque j'ai du travail, je finis souvent par rater les week-ends habituels. L'alcool et les boîtes de nuit sont mes méthodes de relaxation préférées, généralement dans Camden ou Old Street, et même si j'admets que je ne suis pas exempte d'utiliser des drogues occasionnellement, je jure que j'étais extrêmement sobre lorsque tout cela a eu lieu.
Cette nuit-là en particulier, c'était il y a environ trois semaines maintenant, je venais de terminer un gros travail pour un de mes clients les plus exigeants et je voulais me défouler un peu. Malheureusement, aucun de mes amis n'était libre pour se joindre à moi - ce qui n'est pas surprenant puisque c'était un jeudi de la mi-novembre - et cela ne valait donc pas la peine de se rendre en ville. Heureusement, j'habite à Brixton, ce qui signifie que j'ai quelques options décentes presque à ma porte, et il se trouve que je sais que le Dogstar organise une soirée de club assez décente le jeudi. J'ai décidé d'y aller et de m'amuser.
J'ai fini par m'amuser. Malgré la foule et la musique, je ne me sentais pas aussi déchaîné que ce à quoi je m'attendais, mais j'ai bu un peu et j'ai beaucoup dansé. D'accord, je n'étais peut-être pas aussi sobre que je l'ai dit plus tôt, mais je n'aurais certainement pas dit que j'étais ivre. Je ne cherchais pas particulièrement à m'envoyer en l'air ce soir-là, mais je sais que je ne suis pas un type peu attirant et je vis localement, donc je suis toujours attentif, dirons-nous, à toute possibilité de me trouver un partenaire. Il approchait minuit quand je l'ai vue. Elle était maigre et avait ce regard d'étudiante qui aurait pu lui donner entre dix-neuf et vingt-huit ans. Ses cheveux étaient longs, teints d'un rouge profond au henné, et elle portait des collants déchirés et trop d'eye-liner. Exactement le genre de fille que je recherche.
Elle était en train de traîner sur la piste de danse et je n'ai pas perdu de temps pour essayer d'attirer son attention. Mais c'était plus difficile que je ne l'avais imaginé, car son attention semblait se concentrer principalement sur les portes. Au début, j'ai cru qu'elle attendait quelqu'un, mais plus je l'observais, plus je voyais la nervosité dans ses yeux, peut-être même la peur ? C'est à ce moment-là qu'elle m'a remarqué, et nos deux regards se sont verrouillés, vous comprenez ? Elle s'est approchée et nous avons commencé à danser ensemble. Elle était très douée, bien meilleure que moi, et elle dansait sur un rythme doux et fluide que j'ai pensé "tortillant".
Je lui ai proposé de boire un verre, mais elle a refusé, préférant me demander de l'eau, que je suis allé lui chercher avec joie. Je ne pouvais pas vraiment l'entendre avec la musique, mais on ne va pas à ces soirées pour discuter. En plus, je l'ai entendue haut et fort quand elle s'est penchée et m'a demandé si je la désirais. J'ai dit oui. Avec le recul, c'était stupide, bien sûr, mais elle était belle et il y avait quelque chose dans sa façon de bouger qui m'a vraiment attiré. Elle a souri quand j'ai dit oui, et pendant un moment, cela ressemblait moins à un sourire d'anticipation qu'à un sourire de soulagement.
L'extérieur du Dogstar était beaucoup plus calme et nous avons pu discuter. Elle m'a dit qu'elle s'appelait Harriet et qu'elle était très contente d'apprendre que je vivais dans le coin, car c'était une nuit froide. Elle m'a tenu le bras fermement pendant que nous marchions vers ma rue. Au début, j'ai pensé que c'était pour se réchauffer, car elle n'avait pas de manteau et je doutais que la veste légère qu'elle portait tienne bien chaud. Mais quand je l'ai regardée, j'ai vu qu'elle regardait les alentours de la même façon qu'elle avait regardé la porte plus tôt. Sa nervosité était encore plus évidente maintenant et elle regardait attentivement chaque rue que nous passions. Je lui ai demandé si quelque chose n'allait pas, et j'ai essayé de lui dire que je vivais dans un quartier agréable, qu'elle était parfaitement en sécurité, ce genre de choses. Elle a hoché la tête et a acquiescé, mais elle semblait encore nerveuse.
Quand nous étions à peu près à mi-chemin, elle a commencé à se gratter les bras. Au début, je pensais qu'elle les frottait juste pour se réchauffer, mais après quelques secondes, il est devenu clair qu'elle les grattait assez fort, laissant des marques rouges visibles là où ses ongles s'enfonçaient. Je commençais à soupçonner que quelque chose n'allait pas, et j'ai demandé à Harriet s'il y avait quelque chose qui clochait, quelque chose que je devrais savoir. Elle a simplement insisté pour que nous rentrions chez moi le plus vite possible. J'ai accepté, car je me suis dit que quel que soit le problème, nous pourrions le régler plus facilement dans mon appartement que dans les rues froides à minuit.
Lorsque nous sommes arrivés dans mon immeuble, elle regardait par-dessus son épaule, presque paniquée. J'ai suivi son regard mais je ne pouvais rien voir, alors j'ai rapidement ouvert la porte d'entrée et je l'ai laissée entrer. Elle a semblé se détendre un peu une fois que nous étions tous les deux dans le couloir relativement chaud avec la porte bien fermée derrière nous. Mon appartement était au troisième étage et même si, comme je l'ai dit, je ne vis pas dans un mauvais quartier, j'avais une serrure supplémentaire sur ma porte. Harriet s'est visiblement détendue quand elle l'a vue, et encore plus quand elle était fermée. Les regards nerveux et les grattements de ses bras se sont arrêtés presque immédiatement.
Je lui ai proposé un café ou un thé pour se réchauffer. Elle a juste demandé un verre d'eau, en disant qu'elle ne se sentait pas très bien. Nous nous sommes assis et, une fois que je lui ai apporté de l'eau et préparé un café pour moi, nous avons parlé un moment. Mon instinct avait raison - elle était étudiante, elle étudiait l'art. Elle n'était pas à Londres depuis longtemps, disait-elle, elle était originaire de Salisbury et avait trouvé ça... compliqué ces derniers temps. Lorsqu'elle a marqué une pause, j'ai vu dans ses yeux les traces de la panique que j'avais vue dans la rue.
Je lui ai demandé de me dire ce qui n'allait pas, j'ai dit que quelque chose la dérangeait clairement et que j'aimerais l'aider. Elle s'est tue pendant quelques instants, puis a hoché la tête. Elle m'a dit qu'elle avait été agressée avant-hier soir, bien que la façon dont elle a prononcé le mot "agressée" donne l'impression qu'elle n'était pas sûre. J'ai juste hoché la tête et l'ai laissée continuer de parler. Elle habitait à Archway, dans une rue appelée Elthorne Road, et rentrait chez elle vers minuit lorsqu'elle a vu une femme allongée face contre terre sur le trottoir. La femme portait une longue robe rouge et Harriet a dit qu'elle la voyait bouger dans la lueur orange des lampadaires, comme si quelque chose bougeait en dessous.
Harriet était près sa maison, qu'elle partageait avec plusieurs autres étudiants, elle a donc dit qu'elle était peut-être moins prudente qu'elle n'aurait dû l'être et qu'elle s'était approchée,  demandant à la femme si elle avait besoin d'aide. Il n'y a pas eu de réponse, mais tout mouvement s'est arrêté et la robe rouge est restée très immobile.
Soudain, bien plus vite que ce à quoi Harriet aurait pu s'attendre, la femme s'est levée d'un bond et a sprinté directement vers elle, la saisissant par les épaules et la poussant contre un mur voisin. Cela s'est passé si vite qu'Harriet a dit qu'elle n'avait jamais vraiment pu voir la femme à part sa robe, une tête aux longs cheveux noirs mats et de larges yeux fixes. La femme lui a grogné quelque chose, mais Harriet n'a pas pu distinguer les mots. Elle a essayé de demander ce que voulait l'agresseur, mais en le faisant, elle a ressenti une douleur soudaine à l'estomac, comme si elle avait été poignardée, ce qui est exactement ce qu'elle pensait qu'il s'était passé. Elle m'a dit qu'elle était tombée par terre et qu'elle avait perdu connaissance presque immédiatement.
Quand elle s'est réveillée, la femme en robe rouge avait disparu. Harriet s'attendait à se retrouver allongée dans une mare de sang provenant de sa blessure à l'estomac, mais elle n'a pu trouver aucune trace de blessure nulle part, à l'exception de quelques écorchures aux genoux à l'endroit où elle était tombée par terre. Elle avait titubé jusqu'à la maison et avait essayé de dormir.
Depuis ce moment, elle a dit qu'elle voyait cette femme partout où elle allait. Elle avait l'impression d'être suivie tout le temps et ne pouvait pas rester chez elle, car chaque fois qu'elle le faisait, c'était comme si un poids la tirait vers le bas. Sa peau lui démangeait tellement que ça en devenait presque insupportable. Harriet avait apparemment essayé d'aller voir la police, mais elle a dit qu'en approchant de la gare, elle avait été prise d'une nausée si forte qu'elle a vomi sur le trottoir. Elle avait essayé d'aller à l'hôpital, mais ils lui ont simplement dit qu'il n'y avait rien de manifeste et de prendre rendez-vous avec son médecin. Elle avait passé les trois derniers jours à errer dans les cafés, les bars et les clubs, partout où il y avait suffisamment de monde pour qu'elle se sente en sécurité. Elle ne savait tout simplement pas quoi faire.
À ce moment-là, Harriet pleurait et je me sentais complètement con d'avoir soulevé la question. J'ai marmonné quelques excuses. Je ne sais pas ce que j'ai dit, j'essayais juste de la faire se sentir mieux. Je ne sais pas ce que j'attendais, mais je ne m'attendais certainement pas à ce qu'elle m'embrasse à ce moment-là. Je sais, je sais, elle était vulnérable et je suis un... Mais je jure que je n'essayais pas de profiter de la situation. Je lui ai demandé encore et encore si elle était sûre, mais elle n'a pas cessé de hocher la tête et m'a traîné jusqu'à la chambre. Bref, on a couché ensemble. Il n'y a pas grand-chose à dire à ce sujet, vraiment. La chose importante, c'est ce qui s'est passé après.
Alors que nous étions allongés sur le lit, épuisés, j'ai appuyé ma tête contre son épaule. J'allais dire quelque chose ou autre, mais avant de pouvoir le faire, j'ai senti quelque chose bouger. C'est difficile à décrire exactement, mais ce n'est pas son épaule qui a bougé, c'était quelque chose à l'intérieur, sous la peau. Ça se tortillait très légèrement contre ma joue.
Je me suis assis d'un bond, mais la seule indication qu'elle avait remarquée quelque chose d'anormal était qu'elle s'était penchée et avait gratté distraitement l'endroit où j'étais couché. J'ai commencé à me détendre, à m'allonger à nouveau ; peut-être l'avais-je imaginé. Mais à ce moment-là, elle s'est retournée et a gémi de douleur soudainement. Ses yeux se sont élargis et elle a serré son ventre très fort. J'ai essayé de voir ce qui n'allait pas, j'ai demandé si je pouvais l'aider, mais elle m'a repoussé.
Je ne savais pas quoi faire, alors j'ai couru vers la salle de bain. J'avais l'esprit complètement embrouillé et je ne me souvenais pas si j'avais des antidouleurs ou de médicaments pour les indigestions. Ou devais-je appeler une ambulance ? Je n'étais pas sûr, et j'ai fini par fouiller dans mon armoire à pharmacie, à la recherche de... je ne sais pas ; de tout ce qui aurait pu m'aider. J'entendais encore Harriet gémir à l'agonie depuis la chambre, et je venais de me décider à appeler une ambulance, quand j'ai entendu quelque chose qui m'a arrêté net.
Il est difficile de décrire vraiment le son qui venait de la chambre. Le mieux que je puisse faire serait de dire que cela ressemblait à... un œuf qui tombe sur un sol en pierre ; une sorte de bruit de craquement humide. Puis le silence. Harriet ne faisait plus aucun bruit. Je suis retourné lentement, très lentement, vers la chambre. La porte était ouverte, mais je n'avais pas allumé la lumière, donc il y avait peu de choses à voir à l'intérieur, sauf l'obscurité. J'aurais pu allumer la lumière dans le couloir, je suppose, mais quelque chose en moi me disait que je ne voulais pas voir l'intérieur de cette pièce. Je me suis arrêté au seuil. Le seul éclairage était un mince éclat de lumière provenant d'un réverbère extérieur passant par la fente des rideaux.
Vous devez m'excuser. Ce que j'ai vu est difficile à décrire sur papier, mais c'est la seule façon d'expliquer pourquoi j'ai dû faire ce que j'ai fait. Pourquoi mettre le feu à mon appartement et rester nu dans les rues d'hiver jusqu'à l'arrivée des pompiers était bien mieux que de passer une seconde de plus dans cet endroit. Et oui, j'admets ici avoir mis le feu moi-même. Montrez cette déposition à la police, je m'en fiche, j'ai juste besoin de quelqu'un pour comprendre.
La pièce était méconnaissable à mon retour. Il y avait une forme sur le lit, là où Harriet avait été couchée, mais ce n'était plus elle. Je pouvais à peine distinguer quelque chose d'humain, même de loin, dans la pile de chair déformée qui restait maintenant. Le lit lui-même était lisse et brillant, avec un liquide sombre qui s'écoulait des draps et sur le sol. Mais ce qui me répugnait vraiment, ce qui m'a fait fuir comme je l'ai fait, c'était ce qui bougeait et se tortiller sur tout cela. Ils couvraient toutes les surfaces : le sol, le lit, ce qui avait été Harriet, même le plafond. Une couverture épaisse et mouvante de vers pâles qui grouillaient.
L'appartement a brûlé durant un long moment.
                                                   ARCHIVISTE
Fin de la déposition.
Cette histoire est préoccupante. Pas à cause de l'expérience de M. Hodge, même si je suis sûr qu'elle a été très bouleversante. Si c'était vrai, bien sûr. En fait, le rapport de police que Sasha a pu obtenir jette le doute sur une grande partie de son histoire. Si l'appartement de M. Hodges a effectivement pris feu le 20 novembre de l'année dernière, il n'y avait apparemment aucune preuve d'incendie criminel et aucun reste humain n'a été trouvé à l'intérieur, bien que l'incendie ait été maîtrisé bien avant que la structure du bâtiment ne subisse des dommages importants. Ils ont trouvé de la matière organique carbonisée dans la chambre, mais elle a été testée et n'était apparemment pas humaine, bien que le rapport n'indique pas si sa source a été déterminée.
Je dirai qu'il y a un lien avec la disparition signalée d'une certaine Harriet Lee, une étudiante de Roehampton qui a été portée disparue peu après que cette déposition ait été faite. Elle semble correspondre à la description donnée ici. Mais ce n'est pas vraiment ce qui me préoccupe non plus, bien qu'il s'agisse évidemment d'une perte tragique, etcétéra.
Non, ce que je trouve assez alarmant, c'est que si le souvenir que M. Hodge se fait du récit de Harriet est correct et qu'elle a été attaquée par une femme en robe rouge à Archway, alors cela correspond à la description et à la dernière localisation connue de Jane Prentiss. Je ne trouve aucune preuve que mon prédécesseur ait donné suite à cette déposition, j'ai donc pris la décision de signaler celle de M. Hodge à l'ECDC. Nous n'avons pas été en mesure de le localiser pour demander un entretien supplémentaire, et s'il a eu des rapports avec l'une des victimes de Prentiss, alors il faudra s'occuper de lui le plus tôt possible. J'espère juste qu'il n'est pas déjà trop tard.
Fin de l'enregistrement.
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delicieuse · 4 years
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Ma passion pour le porte-carte
Les portes carte sont pour moi l’invention la plus géniale, juste après le smartphone :-) Laissez moi vous expliquer... A l’heure actuelle, tout est miniaturisé : les papiers d’identité, les moyens de paiement, mais tout n’est pas encore digitalisé ou intégré dans une puce électronique. Donc tant que ce ne sera pas fait, un porte carte sera toujours essentiel...
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Un porte carte : un portefeuille de poche avant ultra compact
L'achat d'un portefeuille de poche à l'avant vous permettra de garder vos objets de valeur là où vous les voulez, c'est-à-dire dans un endroit sûr. En mettant votre portefeuille dans votre poche avant, vous aurez la tranquillité d'esprit que vous procure le fait d'avoir vos cartes de crédit et votre argent liquide dans un endroit beaucoup plus sûr que votre portefeuille arrière, tout en vous offrant un accessoire suffisamment petit pour que vous ne compromettiez pas votre confort et que vous puissiez même mettre votre téléphone portable dans la même poche. Comme votre portefeuille se trouve désormais dans votre poche avant, la facilité d'accès est également un avantage : vous pouvez le sortir rapidement et en extraire ce dont vous avez besoin pour effectuer vos transactions. Ils sont plus petits ou, en d'autres termes, plus minces que les portefeuilles traditionnels, de sorte que vous pourrez les ranger dans votre poche avant sans avoir à vous soucier du fait qu'elle se gonfle maladroitement.
Des designs dans tous les styles, comme un portefeuille classique.
Les différents styles de portefeuilles de poche avant disponibles sur le marché sont notamment les suivants : portefeuille à deux, trois ou quatre volets, portefeuille à un seul volet et même porte carte avec pince à billets, qui vous permet de profiter du meilleur des deux mondes et d'accéder très facilement à votre argent, sans parler du fait qu'il s'agit d'une tendance. En ce qui concerne les matériaux, vous pouvez acheter un portefeuille de poche avant fabriqué à partir d'une myriade de matériaux, allant du cuir fine fleur de veau, du cuir taché au cuir craquelé, du cuir multicolore aux motifs ourlés contrastés et même des matériaux biodégradables et des motifs comme le plaid ou le tissage. Parmi les plus célèbres créateurs de porte-cartes, citons Fossil, Wanger, Koffer, Dosh ainsi que de grands noms du design comme Gucci et Louis Vuitton.
Caractéristiques et autres avantages du porte-carte
Le portefeuille peut être doté de caractéristiques telles que des fenêtres transparentes pour les permis ou les pièces d'identité, des pochettes à fermeture éclair pour la monnaie, un panneau rabattable avec plus de fentes pour les cartes de crédit, une fois que vous pouvez même choisir de personnaliser votre portefeuille en embossant ou en débosselant des mots ou des dates, ou même en gravant du texte dans le porte-monnaie si vous optez pour un portefeuille à pince à l'avant.
Vous pouvez aussi bénéficier de la protection RFID sur certains modèles, afin de ne pas vous laisser voler vos données...
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Et la pince à billet dans tout ça ?
La pince à billet, c’est l’extrême de l’extrême en terme de minimalisme. Juste de quoi serrer des billets entre eux avec une carte de crédit. Ca paraît simpliste et vintage, et pourtant cela reste totalement dans le vent, très chic, un brin rétro, mais surtout extrêmement pratique... Hyper léger, personnalisable à votre nom, couleur argent ou doré, personnellement j’en ai toujours une avec moi. Si vous cherchez une bonne boutique en ligne, je vous conseille d’aller ici, ils ont une collection complète de porte-carte et de pince à billet, tout simplement génial.
Le porte carte : un atout pour votre santé
Maintenant que vous savez tout ce qu'il y a à savoir sur l'obtention d'un portefeuille de poche avant, le choix vous appartient en ce qui concerne le style et le créateur chez qui vous voulez l'acheter, mais peu importe le portefeuille que vous achetez, sachez que vous économiserez votre dos et votre fessier à long terme. D'accord, cela peut sembler obscur, mais des recherches ont montré que le fait de porter un poids inégal dans votre poche arrière peut vous déséquilibrer et vous causer des douleurs dorsales, et ajouter encore plus de traumatisme lorsque vous vous asseyez sur votre portefeuille, car cela provoque une irritation nerveuse dans le milieu et le bas de votre dos, ainsi que dans vos jambes, dont vous ne serez plus jamais victime ! Cela peut vous permettre d'économiser l'argent que vous ne dépenserez pas pour des cures du dos comme l'acupuncture, les analgésiques, les visites chez le chiropracteur et bien d'autres choses encore !
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klayros · 5 years
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Victoria Thérame, autrice féministe de polars délirants
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Je viens de dévorer deux romans de Victoria Thérame, en tombant dessus de manière hasardeuse, et c'est de la frappe ! Je m'en viens vous en toucher deux mots… ou peut-être un peu plus.
Depuis cet été, on peut dire que je suis à fond dans les polars, ce genre qui ne m'avait jamais intéressé auparavant me tient en haleine depuis des mois. J'ai commencé avec « La Sorcière » de Camilla Läckberg (que je vous conseille lourdement) et depuis plus rien ne m'arrête.
Il y a deux semaine, on a mis entre mes mimines deux romans de Victoria Thérame (« Staboulkash » et « Sperm River – Aventures rocambolesques de Béatrice Verly, dite Béverly »). Je ne connaissais ni l'autrice ni ses romans. Et voici ce que j'ai découvert…
1) Déjà, cette meuf a été journaliste pour la revue « Sorcières » !
« Sorcières » était une revue littéraire, artistique et féministe entre 1975 et 1982. Je suis tellement déçue de ne pas l'avoir connue. Si quelqu'un à un vieux numéro dans son placard, je suis preneuse, contactez-moi de toute urgence !
Voici un extrait de son manifeste (attention, c'est beaucoup trop bien) :
« Pourquoi sorcières ? Parce qu'elles guérissaient. Ou empoisonnaient. Rien là de surnaturel. Elles étaient les soignantes, les guérisseuses du peuple. Elles étaient les sages-femmes, aidaient les femmes à la naissance, à la vie. Elles pouvaient aussi les aider à se libérer de grossesses non désirées. C'était un peu trop ! « L’Église déclare, au XIV siècle, que si la femme ose guérir, elle est sorcière et meurt » (Michelet). Est-ce un hasard si la lutte pour la liberté de l'avortement est une des premières grandes luttes de femmes, actuellement ? Comme les sorcières, brûlées par l’Église au bénéfice de la Médecine, des milliers de femmes, ici et maintenant, ont été tuées ou mutilées par l'Ordre des prêtres et l'Ordre des médecins. Et ce n'est pas seulement de liberté qu'il s'agit. Cette lutte est une mise en cause des rapports de reproduction (et de production) qui ébranle les sous-bassements de la société. La société phallocratique s'est édifiée, érigée sur la mise à l'écart, pire sur le refoulement de la force féminine. La révolution qui vient va tout bouleverser, elle est irrépressible, inexpiable. Je voudrais que « Sorcières » soit un lieu ouvert pour toutes les femmes qui luttent en tant que femmes, qui cherchent et disent (écrivent, chantent, jouent, filment, peignent, dansent, dessinent, sculptent) leur spécificité et leur force de femmes ».   Xavière Gauthier : Sorcières n°1, 1975
Marguerite Duras et Françoise Dolto ont d'ailleurs contribué à cette revue. Un peu la classe.
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2) Victoria Thérame est publiée à l’Édition des Femmes !
Pour celleux qui ne le savent pas, il s'agit d'une maison d'édition lancée en 1972 par des femmes du MLF et du collectif Psychanalyse et Politique.
Elles éditent des œuvres de femmes, sur les femmes et l'émancipation féminine. Elles ont notamment édité George Sand et Virginia Woolf, sisi.
Un des premiers succès en librairie pour cette maison d'édition est « Hosto Blues » de Victoria Thérame et le premier best-seller est « Du côté des petites filles » d'Elena Gianini Belotti. Je n'ai pas encore lu « Hosto Blues », mais « Du côté des petites filles » est selon moi un livre à lire de toute urgence, pour tous et toutes. Allez-y, go go go !
Bref tout ça pour dire que cette maison d'édition est beaucoup trop cool !
3) Victoria Thérame est une personne super, ça devrait être un argument suffisant… non ?
« Les femmes de cette époque, nous étouffions, humiliées, désespérées, révoltées, la tête dans les murs. La misogynie nous écrasait chaque jour. Nous n'en pouvions plus de l'injustice qui nous était faite, du mépris qui nous entourait. Privées d'études, cantonnées dans des métiers pénibles, inférieurs, mal payés. En finir avec ce vieux monde ! Dans toutes les assemblées de femmes – sans hommes, car les hommes venaient pour insulter, ricaner, freiner ce mouvement révolutionnaire et leur présence rendait muettes certaines femmes habituées à plier devant eux -, dans toutes ces assemblées, chacune racontait, pleurait, criait sa souffrance, les abcès se crevaient et la misère, l'oppression de la vie féminine montait comme une vague énorme que rien, désormais, ne pourrait arrêter » Victoria Thérame.
Voilà voilà, maintenant qu'il est communément admis que cette femme déchire, on va passer à ses deux romans.
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Staboulkash
« Staboulkash, je ne savais pas ce que ça voulait dire. Ce soir, je me l’explique mieux : une machine noire qui s’élance et défie la mort. » Victoria Thérame.
Jaki a une vie plutôt banale, un boulot banal, une relation toxique banale…
Mais elle, elle est loin d'être banale, et elle décide de se tirer sur la piste du bonheur et de l'indépendance, de la liberté.
« Jaki, elle est morte, Jaki, elle en peut plus. Vous l'avez trop usée […] J'ai choisi de vivre envers et contre tout. Je me laisserai plus noyer par votre impuissance volontaire et morbide ! »
Elle quitte tout, suit la trace d'un parfait inconnu et se jette dans sa véritable passion, la musique. Jaki est pianiste, elle vit sa vie en musique, pense, ressent et voit en musique. On rencontre des personnages et des lieux extraordinaires, on se laisse flotter sur la poésie musicale de Jaki, et aussi, voire surtout, par ses névroses qui nous bercent jusqu'à une sorte de sommeil éveillé, de songe étrange. Dans ce roman, la musique est une arme, une fierté, un poème, une rêve, une folie, une vérité, une âme. Mystères et obsessions se mêlent délicieusement dans une tornade rythmée et à travers des événements complètement extravagants.
« Et pourquoi Agatha était-elle dans la chambre de Jean ? Et si Agatha, c'était Jean ? Qu'Agatha soit le travesti de Jean ? Les ai-je déjà vu ensemble ? … Cette maison me donne des tournoiements étranges et des interpénétrations de personnages… mon monde se pétrit dans ma tête, s'amalgame, joue, s'amuse ! Tout est possible ! Tout est mélangé ! Tout est un mouvement perpétuel ! »
Jaki est un personnage incroyable. Je me demande souvent si je la pense au bord de la folie, ou si je pense qu'au contraire c'est un des personnages féminins les plus réalistes et censés que j'aie pu lire… Et je crois que c'est exactement les deux. Allé, ça vous donne pas un peu envie de la suivre dans ses multiples enquêtes ? Même si elle ne vous plaît pas, ses ami(e)s vous convaincront bien assez rapidement. Place aux marginaux et aux artistes, dans un décor spectaculaire ! Force et paillettes.
« Zette s'est accroupie contre mon tabouret à sa manière habituelle ; je me souviens de son regard, la première fois… brasier ardent, rougeoiement… j'aspire de toutes mes forces à te débarrasser de Jarby… à nous débarrasser de cette oppression, de cette menace sur le Corsaire... »
En réalité, j'arrive pas à me dire avec certitude que ce roman est bel et bien un polar. C'est bourré de mystères, d'enquêtes… mais il ne s'agit pas spécifiquement de crimes, et la police prend très peu de place dans le roman. Si vous l'avez lu, j'aimerais vraiment avoir votre avis sur la question !
« Rien n'est bizarre maestrina ! Tout s'explique un jour ou l'autre ! »
Au fait, Staboulkash a obtenu le prix Jean Macé en 1982, ouais ouais.
Sperm River – Aventures rocambolesques de Béatrice Verly, dite Béverly
Là, pour le coup on est vraiment sur un polar. Un polar vraiment chelou, mais un polar quand même.
« Quatre vieilles dames seules assassinées à l'arme blanche et à la scie. Coupées en morceaux vivantes. Elle s'introduit chez elles en prétextant qu'elle leur livre des fleurs. Tu parles, les vieilles, négligées de tous, si elles sont curieuses et heureuses de recevoir des fleurs ! »
Béverly bosse dans un hôpital, en service psychiatrie, et son boulot a tendance à déborder à grands flots sur sa vie privée. Amoureuse d'un ancien patient et apparemment poursuivie par une présumée meurtrière… Laissez-moi vous dire qu'elle va se laisser happer dans un bordel innommable !
C'est vraiment un polar complètement barré, que j'ai adoré ! Et je vous invite à aller suivre l'enquête de la demoiselle.
« J'eus du mal à m'endormir. Je rêvais que Réginald était réellement le géant roux de la Samar. Échanger un malade mental contre un sportif ! Retrouver ce que j'avais vécu avec Sylvain… Parler, danser, rire, dans une éclaboussante énergie ! Au lieu de ce labyrinthe gluant et noir que j'avais aux trousses »
Victoria Thérame… MERCI !
Merci de créer des femmes fortes, des femmes vraies, des femmes brisées, des femmes barrées, des femmes passionnée, des femmes courageuses, des femmes assumées.
D'ailleurs ! Vous avez entendu parler du Staunch Book Price ? Il s'agit d'un prix qui récompense l'auteur d'un thriller dans lequel aucune femme n'est "battue, harcelée sexuellement, violée ou tuée."
Je pense qu'il est important de représenter les violences infligées aux femmes, parce qu'elles sont une réalité pour beaucoup d'entre elles. Mais à un moment, ça existe aussi les femmes fortes, intelligentes et courageuses. Donc merde, il n'y a pas UNE image de la femme (faible, victime), il y en a MILLE bon sang de bois !
Tout ça pour dire que je salue grandement cette initiative de Bridget Lawless !
Les autres livres
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menasearpg · 2 years
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Concept
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Il fut un temps ou créer des forums étaient une véritable passion, pour moi. J'aidais les gens à créer le leur puis je passais au suivant. Sauf que petit à petit, malheureusement, est venu ce qu'on appel communément un burn-out. À force de tous les jours créer quelque chose, d'écrire des textes ne m'appartenant plus au final, d'aider à la conception d'un univers qui ne serait pas le mien et le faire 7j/7, 340 jours par année (je prenais quelques fois des congés haha) je n'en pouvais plus du tout. J'ai donc du arrêter totalement mon passe-temps et me reposer, calmer mon état qui était en dernier sous un stresse tellement intense que juste penser à un forum me faisait pleurer.
Seulement, aujourd'hui, l'envie est revenue petit à petit. L'envie d'avoir mon propre univers, mes propres écrits, quelque chose m'appartenant réellement pour une fois. C'est comme cela que l'idée de Menasea m'est venue. Il faut savoir qu'écrire est une véritable passion pour moi, quelque chose que je fais sur mon temps libre. Je ne suis pas payée, mais les annexes à rallonge et les forums avec de gros système, c'est mon dada. Ainsi, si vous n'aimez pas les textes complexes, je suis désolé mais Menasea n'est pas pour vous (ou alors je peux vous aidez à vous y faire si vous le souhaitez). Laissez moi vous présentez ma vision du forum ;
Pour moi, le minimum de lignes/mots est contradictoire. C'est bien d'en avoir un, mais en même temps lorsqu'un forum en contiens un j'ai tendance à le fuir. Ainsi, la seule limite sera lors des événements commun au forum. Vos rp devront contenir au maximum 700 mots.
En ce qui concerne l'activité, j'aimerais un forum assez actif. C'est pourquoi Menasea demandera 1 rp par mois minimum. À savoir que pour aider, vous pourrez faire des quêtes solo, qui compteront dans votre minimum de rp.
Il faut savoir que j'ai un grand amour dans la vie et dans les forum rpg, les systèmes d'évolutions poussés. C'est pourquoi sur Menasea, tout ou presque contiendra un système d'évolution. Ainsi, non seulement les royaumes, les quêtes ainsi que les guildes en auront, mais également les classes, les races ainsi que les métiers.
Tout sera créé de A à Z, même si possiblement quelques inspirations viendront d'éléments connues. Ainsi, par exemple, ne soyez pas étonnez si parmi les peuples du forum vous retrouvez un peuple ressemblant aux elfes.
Il y aura à disposition de nos membre une entière section appelée "librairie collaborative" (ou nom autre) afin que nos membres adorés puissent collaborer à l'évolution et l'amélioration de notre univers. Ainsi, vous pourrez proposer de tout, que ce soit une annexe, un texte administratif, un évent voir même une prochaine version.
Si vous le souhaitez, vous pouvez rejoindre ce serveur discord afin d'être tenu au courant de l'avancer du projet, mais également y participer si vous le souhaitez. https://discord.gg/9mwHQTAVan
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christophe76460 · 6 months
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
lundi 04 mars 2024
THÈME : CONTINUE À CROIRE (𝟐)
BIBLE EN UN AN : Josué 3, Josué 4, Josué 5, Philippiens 3, Philippiens 4
ÉCRITURE DE FEU : 1 Rois 18:41-44
VERSET DE MÉMOIRE :
Hébreux 10 :36 - "Car vous avez besoin de persévérance, afin qu`après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis."
CITATIONS INSPIRANTES :
Avec une foi persistante, vous accomplirez votre destin haut en couleur.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR:
Recevez la grâce de continuer à croire en Dieu au bon moment, au nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Hier, nous avons souligné que chaque croyant doit faire preuve d’une foi persistante. Certaines batailles ne seront pas gagnées et certains problèmes ne seront pas résolus à moins que vous ne fassiez preuve d’une foi persistante et inébranlable – une foi qui continue à croire en Dieu face aux épreuves et aux tentations qui s’étendent sur une longue période. Nous avons ajouté que tel était le genre de foi dont Abraham et Sara ont fait preuve avant d’avoir Isaac. C’est le genre de foi qui a amené Samuel à choisir Anna. C’est le genre de foi dont vous avez besoin aujourd’hui.
Bien-aimé, le diable sait que ta victoire est liée à ta foi inébranlable et persistante. C'est pourquoi il attaque la foi des croyants. Il l'a fait aux patriarches, Jésus, Pierre et Paul, entre autres. À une occasion, Jésus a dit à Pierre que l’ennemi voulait que sa foi échoue (Luc 22 : 31-32) afin de tronquer son ministère et sa destinée ainsi que les choses glorieuses pour lesquelles le Seigneur l’a utilisé plus tard dans sa vie. Dieu merci, Jésus a prié pour Pierre et a fait avorter le programme du diable. Cher lecteur, peu importe ce que l’ennemi vous réserve, ne laissez pas votre foi échouer ou vaciller. Continuez à croire en notre Dieu tout-puissant et toujours fidèle. Il répond toujours aux prières ; faites également confiance à son timing et il viendra pour vous, au nom de Jésus.
N'abandonnez pas votre rêve ou votre vision. Ne perd pas la foi. La foi qui échoue ne produit jamais de bons résultats. Continue de croire. Élie a prié pour la pluie que Dieu avait promise. Il a prié avec précision et avec passion, mais la réponse n'est pas venue tout de suite. Il envoya son serviteur regarder vers la mer à la recherche d'un signe de pluie. À la septième fois, le serviteur vit un petit nuage de la taille d'une main d'homme. La pluie est finalement tombée après trois années de sécheresse. Prier sept fois indique la persistance dans la foi d'Élie (1 Rois 18 : 41-44).
Bien qu’oint, David n’accéda pas au trône avant plusieurs années. Alors qu’il traversait des épreuves et des épreuves, il a continué à croire en Dieu et il a tenu sa promesse au temps voulu. De la même manière, Joseph a reçu de Dieu le rêve de sa destinée colorée alors qu’il était adolescent ; Pourtant, pendant plus d’une décennie, il a traversé des épreuves avant que Dieu n’intervienne et ne réalise son rêve avec brio.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Je continuerai à croire parce que Dieu répond toujours aux prières, au nom de Jésus.
2. Père, donne-moi la grâce qui est assez grande pour m'emmener dans ma terre promise, au nom de Jésus.
3. Je reçois la grâce d'être imparable et de tuer des géants, au nom de Jésus.
SOIR
4. Père, donne-moi la foi d'Élie pour verrouiller et ouvrir les cieux, au nom de Jésus.
5. Père, donne-moi la foi qui a intronisé David malgré les défis et les oppositions auxquels il a été confronté, au nom de Jésus.
6. Mon Père, donne-moi la foi persévérante et qui réalise les rêves que tu as donnée à Joseph, au nom de Jésus.
7. O Dieu, lève-toi et réponds à ton nom dans ma vie, au nom de Jésus.
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((Suite))....Instance n°996-Partie 04: «Les travers d'une enfance triste et sombre: Non à la violence faite aux femmes» (👤❌️).
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Keubeng.T.P.R
第一个非洲👤✡️
Ma chère mère, peut-être que là où elle est, elle est en paix avec elle même et heureuse, du moins je le lui souhaite, mais que dire de Dieu, où était-il, que fessais t-il, pourquoi n'a t'il rien fait, les anges ils existent pourtant, mais pourquoi vivre si c'est pour souffrir.
Je me repense la journée du dimanche et revois le Pasteur ce matin là, nous rappeler que l'amour de Dieu surpasse tout. À présent je sais quel est la limite entre, le bien et le mal, entre l'amour et la haine, entre la foi et la folie. Et cequi est pour cela, la foi et la folie ne sont séparer que que par deux lettres: (L) et (E)
Ces deux lettres pour moi ne signifie que (Liberté) et (Équilibre), mais pour ma mère, j'espère quelle est libre et enfin en équilibre, en paix.
Certaines histoires de nos vies mérites parfois d'être mise à jour, pour s'en libérer du poids, accepté d'avancer, de se reconstruire, de prendre un nouveau départ tout en s'efforcant de croire et de voire en la vie que du positif. C'est une chose importante, car pour certains, des situations de vie malheureuse, si elles n'ont personnes pour confident peuvent les conduites au suicide. À toutes ces personnes, ces Hommes, ces femmes , ces enfants, ces jeunes, ayant subis des situations désastreuse dans l'enfance, l'adolescence, ou en relation amicale, sentimentale ou professionnel, ne vous laissez pas frustré par la dureté de la vie, ne vous laissez pas intimité par votre passé, vous pouvez créer un futur plus beau, plus chaleureux, plus joyeux pour vous et votre famille. Aucune situation difficile n'est éternel, l'espoir et la confiance sont source de force.
.........Fin de la Publication de l'instance n°996.
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#Violence#nonviolence#Femmes#Hommes#mariage#Amour#loves#Amitié#Désir#Rencontre#Sensation#Sentiments#iloveyou#Jet'aime#Embrassemoi#kissme#Aime#Passion#Dévotion#Émotion#Sensation#Vivreensemble#Semarié#Heureux#Amoureux#Joyeux#Bonheur#Joie#Honnêteté#Sincérité#Intégrité#Union#Mariage#Voeux#Pureté#Enfants#Parents#Famille#Relation#Partenaire#Conjoint
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yes-bernie-stuff · 3 years
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Dimanche 18 Juillet
Livre de Jérémie 23,1-6.
Quel malheur pour vous, pasteurs ! Vous laissez périr et vous dispersez les brebis de mon pâturage – oracle du Seigneur !
C’est pourquoi, ainsi parle le Seigneur, le Dieu d’Israël, contre les pasteurs qui conduisent mon peuple : Vous avez dispersé mes brebis, vous les avez chassées, et vous ne vous êtes pas occupés d’elles. Eh bien ! Je vais m’occuper de vous, à cause de la malice de vos actes – oracle du Seigneur.
Puis, je rassemblerai moi-même le reste de mes brebis de tous les pays où je les ai chassées. Je les ramènerai dans leur enclos, elles seront fécondes et se multiplieront.
Je susciterai pour elles des pasteurs qui les conduiront ; elles ne seront plus apeurées ni effrayées, et aucune ne sera perdue – oracle du Seigneur.
Voici venir des jours – oracle du Seigneur–, où je susciterai pour David un Germe juste : il régnera en vrai roi, il agira avec intelligence, il exercera dans le pays le droit et la justice.
En ces jours-là, Juda sera sauvé, et Israël habitera en sécurité. Voici le nom qu’on lui donnera : « Le-Seigneur-est-notre-justice. »
Psaume 23(22),1-2ab.2c-3.4.5.6.
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d'herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l'honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m'accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j'habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
Lettre de Paul Apôtre aux Éphésiens 2,13-18.
Frères, maintenant, dans le Christ Jésus, vous qui autrefois étiez loin, vous êtes devenus proches par le sang du Christ.
C’est lui, le Christ, qui est notre paix : des deux, le Juif et le païen, il a fait une seule réalité ; par sa chair crucifiée, il a détruit ce qui les séparait, le mur de la haine ;
il a supprimé les prescriptions juridiques de la loi de Moïse. Ainsi, à partir des deux, le Juif et le païen, il a voulu créer en lui un seul Homme nouveau en faisant la paix,
et réconcilier avec Dieu les uns et les autres en un seul corps par le moyen de la croix ; en sa personne, il a tué la haine.
Il est venu annoncer la bonne nouvelle de la paix, la paix pour vous qui étiez loin, la paix pour ceux qui étaient proches.
Par lui, en effet, les uns et les autres, nous avons, dans un seul Esprit, accès auprès du Père.
Évangile de Jésus-Christ selon Marc 6,30-34.
En ce temps-là, les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné.
Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. » De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart.
Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux.
En débarquant, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
 - © AELF, Paris
« Il fut saisi de pitié envers eux, parce qu'ils étaient comme des brebis sans berger »
Sauver est un acte de bonté. « La pitié du Seigneur est pour toute chair ; il fait des reproches, il forme, il enseigne, comme un berger le fait avec son troupeau. Il a pitié de ceux qui reçoivent sa formation et qui s'empressent de s'unir à lui » (Si 18,13s). (...)
Les gens en bonne santé n'ont pas besoin du médecin, tant qu'ils vont bien ; les malades au contraire recourent à son art. De la même manière, dans cette vie, nous sommes malades par nos désirs répréhensibles, par nos intempérances (...) et autres passions : nous avons besoin d'un Sauveur. (...) Nous les malades, nous avons besoin du Sauveur ; égarés, nous avons besoin de celui qui nous guidera ; aveugles, de celui qui nous donnera la lumière ; assoiffés, de la source d'eau vive dont « ceux qui en boiront n'auront plus jamais soif » (Jn 4,14). Morts, nous avons besoin de la vie ; troupeau, du berger ; enfants, d'un éducateur : oui, toute l'humanité a besoin de Jésus. (...)
« Je panserai celui qui est boiteux et je guérirai celui qui est accablé ; je convertirai l'égaré et je les ferai paître sur ma montagne sainte » (Ez 34,16). Telle est la promesse d'un bon berger. Fais-nous paître comme un troupeau, nous les tout-petits ; maître, donne-nous avec abondance ta pâture, qui est la justice ! Sois notre berger jusqu'à ta montagne sainte, jusqu'à l'Église qui s'élève, qui domine les nuages, qui touche aux cieux. « Et je serai, dit-il, leur berger et je serai près d'eux » (cf Ez 34). (...) « Je ne suis pas venu, dit-il, pour être servi mais pour servir. » C'est pourquoi l'Évangile nous le montre fatigué, lui qui se fatigue pour nous et qui promet « de donner son âme en rançon pour une multitude » (Jn 4,5; Mt 20,28).
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borderloune · 7 years
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Coming out?
Pourquoi c'est si important de faire un coming out? Pourquoi faut-il dire au monde "je suis gay, lesbienne, bi, trans, as, etc"? On ne verra pas quelqu'un s'assoir devant ses proches et annoncer "je suis hétéro", ça paraîtrait ridicule, non? Alors pourquoi on est censé le dire lorsqu'on ne l'est pas? Et quoi, nous, gens qui osent aimer, on devrait se plier à devoir le dire à la terre, comme si on était censé prévenir que nous ne sommes pas normaux, que nous sommes différents des autres êtres humains. Au fond qu'es ce que ça change d'aimer un être ou un autre, ça reste de l'amour, ça reste la passion d'aimer et d'être aimés. Tant qu'on aime, tant qu'on est heureux, tant qu'on est sûr de ce qu'on est, tant qu'on est libre, c'est ce qui compte, peu importe les avis de nos proches ou des gens en général. Es ce un crime d'aimer, de découvrir à travers une personne les meilleures parties de nous, d'oser embrasser en public la personne pour qui notre coeur bat? Es ce un crime de vouloir le bonheur, de s'être battu pour conquérir le coeur d'une personne? Et vous gacheriez ce bonheur? Vous briseriez avec vos mentales totalement ridicules le folle amour qui unie deux personnes? Puis c'est quoi cette idée ridicule qu'on doit annoncer à nos parents qu'on est autre qu'hetero? Je n'irais pas devant mes parents leurs "annoncer" ma sexualité, il le découvriront un jour, et s'ils réagissent mal, qu'es ce que ça peut me foutre? Ce n'est pas eux qui aiment la personne, qui se donnent corps et âme à elle, mais moi, on se fiche que ça leur conviennent du moment que moi ça me convient. Merde, laissez nous vivre heureux un peu, on aime qui on aime, on ne le décide pas, et si ça ne vous plait pas c'est pareil, et puis vous ne pourrez rien n'y changer. Un sexe n'aime pas un sexe, mais un coeur aime un coeur, peu importe le corps qui enferme ce coeur. Alors osez aimer, jusqu'à en crever, aimez en vous foutant de l'avis du monde.
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traitor-for-hire · 4 years
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Les quatre filles March - Chapitre 21
Laurie fait des bêtises, et Jo rétablit la paix
Également disponible sur AO3
Le visage de Jo le jour suivant offrait un spectacle fascinant, car le secret lui pesait, et elle trouvait difficile de ne pas prendre l'air mystérieuse et importante. Meg le remarqua, mais ne prit pas la peine de la questionner, car elle savait que la meilleure façon d'agir avec Jo était de se plier à la loi des contraires, aussi se sentait-elle sûre que sa sœur lui dirait tout si elle ne lui demandait rien. Elle fut donc plutôt surprise quand Jo ne rompit pas son silence mais prit un air condescendant qui l'agaça profondément. En retour elle affecta un air de réserve digne, et se consacra à sa mère. Jo se trouva donc livrée à elle-même ; car Mrs. March avait pris sa place de garde-malade, et lui avait enjoint de se reposer, de faire de l'exercice, et de s'amuser après son long confinement. Amy n'étant pas là, Laurie était son unique refuge ; et, pour autant qu'elle appréciait sa compagnie, elle ne pouvait s'empêcher de l'appréhender un peu à ce moment, car il était un taquin incorrigible, et elle craignait qu'il ne lui soutire son secret.
Elle avait bien raison ; car le malicieux jeune homme n'eut pas plus tôt soupçonné un mystère qu'il se consacra à le découvrir, mettant Jo à rude épreuve. Il tenta de l'enjôler, de l'acheter ; il se moqua, menaça et gronda ; feignit l'indifférence pour la prendre par surprise ; déclara qu'il était au courant, puis qu'il s'en moquait ; et enfin, à force de persévérance, fut conforté dans l'idée que cela concernait Meg et Mr. Brooke. Indigné de ne pas avoir été mis dans la confidence par son tuteur, il se mit en œuvre d'imaginer des représailles adéquates à cette offense.
Pendant ce temps Meg avait apparemment oublié cette affaire, et était absorbée par les préparations pour le retour de son père ; mais tout à coup un changement sembla se faire en elle, et, durant un jour ou deux, elle ne fut plus elle-même. Elle tressaillait quand on s'adressait à elle, rougissait quand on la regardait, restait très silencieuse, et s'asseyait pour coudre avec une expression timide et troublée. Aux questions de sa mère elle répondit qu'elle allait très bien, et elle réduisit Jo au silence en la suppliant de la laisser tranquille.
« Elle le sent dans l'air - l'amour, je veux dire - et elle succombe très vite. Elle a la plupart des symptômes, elle est agitée et contrariée, elle ne mange pas, ne dort pas, et broie du noir dans son coin. Je l'ai surprise en train de chanter "le ruisseau à la voix argentine", et une fois elle a dit "John," comme tu le fais, et est devenue aussi rouge qu'un coquelicot. Qu'est-ce qu'on va faire ? » dit Jo, l'air parée à toutes les extrémités, même les plus violentes.
« Rien, si ce n'est attendre. Laisse-la tranquille, sois gentille et patiente, et le retour de Père arrangera tout, » répondit sa mère.
« Voici une note pour toi, Meg, dans une enveloppe cachetée. Comme c'est bizarre ! Teddy ne cachette jamais les miennes, » dit Jo le lendemain, en distribuant le contenu du petit bureau de poste.
Mrs. March et Jo étaient absorbées par leurs propres affaires, quand un son venu de Meg les fit lever la tête pour la voir en train de fixer la note, l'air apeuré.
« Mon enfant, qu'y a-t-il ? » s'exclama sa mère en courant à elle, tandis que Jo tentait de lui prendre le papier qui avait causé cet éclat.
« Tout ça est un malentendu - il ne l'a pas envoyée - oh, Jo, comment as-tu pu faire ça ? » et Meg se cacha la figure entre ses mains, en pleurant comme si elle avait le cœur brisé.
« Moi ! Je n'ai rien fait ! De quoi parle-t-elle ? » s'écria Jo, abasourdie.
Les doux yeux de Meg brûlaient de colère quand elle tira une note froissée de sa poche et la jeta à Jo en lui disant d'un ton de reproche,
« Tu l'as écrite, et ce méchant garçon t'a aidée. Comment as-tu pu être si grossière, si méchante, et cruelle envers nous deux ? »
Jo ne l'entendit qu'à peine, car sa mère et elle lisaient la note, écrite d'une main reconnaissable.
« MA TRÈS CHÈRE MARGARET,
« Je ne peux contenir plus longtemps ma passion, et dois connaître mon sort avant mon retour. Je n'ose pas encore en parler à vos parents, mais je pense qu'ils consentiraient s'ils savaient que nous nous adorons. Mr. Laurence m'aidera à m'établir comme il faut, et alors, ma douce, vous me rendrez heureux. Je vous implore de ne rien dire à votre famille pour le moment, mais d'envoyer un mot d'espoir aux bons soins de Laurie à
« Votre dévoué
« JOHN »
« Oh, le petit scélérat ! Voilà comment il entendait me faire payer pour avoir tenu la promesse que j'ai faite à Mère. Je vais lui passer un bon savon, et l'amener ici pour qu'il implore pardon, » s'écria Jo, brûlant d'envie d'exécuter une justice immédiate. Mais sa mère la retint, en disant, avec une expression qu'on lui voyait rarement,
« Stop, Jo, tu dois d'abord te disculper. Tu as joué tant de mauvais tours, que j'ai peur que tu n'aies participé à celui-ci.
— Je n'ai rien fait, Mère, parole d'honneur ! Je n'ai jamais vu cette note auparavant, et je ne sais rien à son sujet, je le jure ! » dit Jo, avec une telle ferveur qu'elles la crurent. « Si j'y avais pris part j'aurais fait mieux que cela, et j'aurais écrit quelque chose de raisonnable. J'aurais pensé que tu aurais compris que Mr. Brooke n'écrirait pas quelque chose de ce genre.
— Ça ressemble à son écriture, » bafouilla Meg, en comparant la note avec celle qu'elle avait en main.
« Oh, Meg, tu n'as pas répondu ? s'exclama vivement Mrs. March.
— Si, je l'ai fait ! » et Meg se cacha à nouveau la figure, submergée par la honte.
« Nous voilà dans le pétrin ! Laissez-moi amener ce vaurien ici pour s'expliquer et être sermonné. Je ne connaîtrai pas de répit avant de lui avoir mis la main dessus, » et Jo partit une nouvelle fois en direction de la porte.
« Chut ! Laisse-moi m'occuper de ça, car la situation est pire que je ne le pensais. Margaret, raconte-moi toute l'histoire, » commanda Mrs. March, qui s'assit auprès de Meg tout en retenant Jo, de peur qu'elle ne s'éclipse.
« C'est Laurie qui m'a donné la première lettre. Il n'avait pas l'air de savoir de quoi il s'agissait, commença Meg sans lever la tête. Ça m'a inquiétée au début, et j'ai pensé te le dire ; puis je me suis rappelé combien tu appréciais Mr. Brooke, alors j'ai pensé que tu ne verrais pas de mal à ce que je garde mon petit secret pour quelques jours. Je suis si stupide que j'aimais à croire que personne ne savait ; et, pendant que je décidais de quoi dire, je me sentais comme les jeunes filles dans les romans. Pardonne-moi, Mère, je paie pour ma bêtise maintenant ; je ne pourrai plus jamais le regarder en face.
— Qu'est-ce que tu lui as dit ? demanda Mrs. March.
— J'ai seulement dit que j'étais encore trop jeune pour tout cela ; que je ne souhaitais pas avoir de secrets pour mes parents, et qu'il devait parler à Père. Que j'étais très reconnaissante de sa gentillesse, et que je serais son amie, mais rien de plus, pour un long moment. »
Mrs. March sourit, l'air satisfaite, et Jo battit des mains en s'exclamant, rieuse,
« Tu es presque l'égale de Caroline Percy, qui était un modèle de prudence ! Continue, Meg. Qu'est-ce qu'il a répondu ?
— Il écrit d'une manière totalement différente ; il dit qu'il n'a jamais envoyé de lettre d'amour, et qu'il est navré que ma canaille de sœur, Jo, ait pris de telles libertés avec nos noms. Il est très gentil et respectueux, mais pense à quel point c'est horrible pour moi ! »
Meg se laissa aller contre sa mère, l'image même du désespoir, et Jo fit les cent pas dans la pièce en traitant Laurie de tous les noms. Tout à coup elle s'arrêta, se saisit des deux notes, et, après les avoir examinées de près, dit fermement, « Je ne crois pas que Brooke a jamais vu aucune de ces lettres. Teddy a écrit les deux, et garde la tienne pour s'en vanter auprès de moi parce que je n'ai pas voulu lui dire mon secret.
— N'aie pas de secrets, Jo ; dis-le à Mère, et évite les ennuis, comme j'aurais dû le faire, l'avertit Meg.
— Oh, ma chérie ! C'est Mère qui m'a demandé de me taire.
— Ça ira, Jo. Je vais m'occuper de Meg pendant que tu vas chercher Laurie. J'irai au fond des choses, et mettrai fin pour de bon à de telles plaisanteries. »
Jo s'en fut, et Mrs. March annonça gentiment à Meg les vrais sentiments de Mr. Brooke. « Maintenant, ma chérie, quels sont tes sentiments ? Est-ce que tu l'aimes suffisamment pour attendre qu'il ait une maison pour vous, ou penses-tu rester libre pour le moment ?
— J'ai eu si peur et j'ai été si inquiète, je ne veux pas entendre parler d'amour avant longtemps - peut-être plus jamais, répondit Meg avec irritation. Si John ne sait effectivement rien de cette folie, ne lui dis rien, et fais en sorte que Jo et Laurie tiennent leurs langues. Je ne veux pas avoir été trompée, tourmentée, et être moquée en plus de ça - c'est une honte ! »
Voyant que le caractère ordinairement doux de Meg s'était enflammé, et que sa fierté avait été blessée par ce méchant tour, Mrs. March l'apaisa en lui promettant le silence, et une grande discrétion à l'avenir. À l'instant où le pas de Laurie se fit entendre dans le couloir, Meg fila dans l'étude, et Mrs. March reçut seule le coupable. Jo ne lui avait pas dit pourquoi elle le demandait, de peur qu'il ne vienne pas ; mais il sut dès qu'il vit le visage de Mrs. March, et resta debout à tourner son chapeau entre ses mains avec un air coupable qui le condamna aussitôt. Jo fut congédiée, mais choisit de faire les cent pas dans le couloir comme une sentinelle, craignant vaguement que le prisonnier puisse s'échapper. Le son des voix dans le parloir enfla et décrut pendant une demi-heure ; mais les filles ne surent jamais ce qu'il s'était passé durant l'entretien.
Quand leur mère les appela, Laurie se tenait auprès d'elle avec un visage si repentant que Jo lui pardonna immédiatement, mais elle ne crut pas sage de trahir ce fait. Meg reçut ses humbles excuses, et fut bien réconfortée par l'assurance que Brooke ne savait rien de la plaisanterie.
« Je ne le lui dirai jamais, jusqu'au jour de ma mort ; des chevaux sauvages ne pourraient pas me l'arracher ; aussi pardonne-moi, Meg, et je ferai n'importe quoi pour te montrer à quel point je suis tout à fait désolé, » ajouta-t-il, l'air très honteux de lui-même.
« Je vais essayer ; mais c'était vraiment indigne d'un gentleman. Je ne pensais pas que tu pouvais te montrer si sournois et si malicieux, Laurie, » répondit Meg, qui essayait de dissimuler sa confusion sous un air grave plein de reproche.
« C'était absolument abominable, et je mérite que tu ne me parles plus pendant un mois ; mais tu le feras quand même, n'est-ce pas ? » et Laurie joignit les mains dans un geste si implorant, et leva les yeux d'une façon pleine d'un tel repentir, en parlant de son ton le plus persuasif, qu'il était impossible de le regarder d'un mauvais œil, en dépit de son comportement scandaleux. Meg lui pardonna, et le visage sévère de Mrs. March se détendit en dépit de ses efforts pour rester grave quand elle l'entendit déclarer qu'il expierait ses péchés par toutes sortes de pénitences, et ramperait comme un ver devant la demoiselle offensée.
Jo, pendant ce temps, resta à l'écart, essayant d'endurcir son cœur contre lui et ne réussissant qu'à arborer une expression de parfaite désapprobation. Laurie la regarda une ou deux fois, mais, comme elle ne montrait aucun signe d'adoucissement, il fut blessé, et lui tourna le dos jusqu'à ce que les autres en aient fini avec lui. Alors il lui fit un profond salut, et partit sans un mot.
Sitôt qu'il fut sorti, elle souhaita avoir été plus clémente ; et, quand Meg et leur mère montèrent à l'étage, elle se sentit seule et se languit de Teddy. Après avoir résisté quelque temps, elle céda à son impulsion, et, armée d'un livre à rendre, s'en alla jusqu'à la grande maison.
« Est-ce que Mr. Laurence est ici ? demanda Jo à une femme de chambre qui descendait les escaliers.
— Oui, miss, mais je ne crois pas qu'il soit visible maintenant.
— Pourquoi, est-il malade ?
— Oh, non, miss ! Mais il s'est disputé avec Mr. Laurie, qui est en colère pour une certaine raison, ce qui contrarie le vieux monsieur, alors je n'irais pas le voir.
— Où est Laurie ?
— Enfermé dans sa chambre, et il ne veut pas répondre, bien que j'aie toqué. Je ne sais pas ce que va devenir le dîner, qui est prêt, parce qu'il n'y a personne pour le manger.
— Je vais aller voir quel est le problème. Je n'ai pas peur d'eux. »
Et Jo monta, et frappa vivement à la porte du petit bureau de Laurie.
« Arrêtez ça, ou j'ouvre la porte et je vous fais cesser ! » cria le jeune gentleman sur un ton menaçant.
Immédiatement, Jo cogna derechef ; la porte s'ouvrit à la volée, et elle se précipita à l'intérieur avant que Laurie puisse se remettre de sa surprise. Voyant qu'il était vraiment en colère, Jo, qui savait comment le prendre, afficha une expression contrite, et, se mettant à genoux avec art, dit, implorante, « S'il te plaît, pardonne-moi d'avoir été si dure. Je suis venue me raccommoder, et ne peux pas partir avant de l'avoir fait.
— Tout va bien ; lève-toi, ne fais pas l'idiote, Jo, » fut la cavalière réponse à sa prière.
« Merci, compte sur moi. Puis-je te demander ce qui ne va pas ? Tu n'as pas vraiment l'air de bonne humeur.
— On m'a secoué, et je ne l'accepterai pas ! gronda Laurie, indigné.
— Qui a fait ça ? demanda Jo.
— Grand-père. Si ça avait été quelqu'un d'autre, j'aurais - » et le jeune homme blessé finit sa phrase d'un geste vif du bras droit.
« Ce n'est rien. Je te secoue souvent, et ça ne te dérange pas, dit Jo, apaisante.
— Bah ! Tu es une fille, et c'est amusant ; mais je ne permets à aucun homme de me secouer.
— Je ne pense pas que quiconque oserait s'y essayer, quand tu aurais l'air aussi orageux que maintenant. Pourquoi as-tu été traité ainsi ?
— Juste parce que je ne voulais pas dire ce que ta mère me voulait. J'ai promis de ne rien dire, et je n'allais pas revenir sur ma parole, évidemment.
— Ne pouvais-tu pas satisfaire ton grand-père d'une autre façon ?
— Non. Il voulait la vérité, toute la vérité, et rien que la vérité. Je lui aurais raconté ma part dans cette affaire, si je pouvais le faire sans parler de Meg. Comme je ne le pouvais pas, j'ai tenu ma langue, et j'ai supporté les réprimandes jusqu'à ce que le vieil homme m'attrape par le col. Alors je me suis mis en colère et j'ai filé, de peur que je ne m'oublie.
— Ce n'était pas gentil, mais il est désolé, je le sais ; alors descend et réconcilie-toi avec lui. Je t'aiderai.
— J'aime mieux être pendu ! Je ne vais pas me laisser sermonner et rouer de coups par tout le monde, juste pour m'être amusé un peu. J’étais désolé pour Meg, et j'ai demandé pardon comme un homme ; mais je ne vais pas le refaire, quand je n'étais pas en tort.
— Il ne le savait pas.
— Il devrait me faire confiance, et ne pas agir comme si j'étais un bébé. C'est inutile, Jo ; il doit apprendre que je suis capable de m'occuper de moi, et que je n'ai pas besoin de me tenir aux basques de quelqu'un.
— Comme vous êtes soupe au lait, tous les deux ! soupira Jo. Comment comptes-tu régler cette histoire ?
— Eh bien, il devra me demander pardon, et me croire quand je lui dis que je ne peux pas lui raconter la raison de cette agitation.
— Mon pauvre ami ! Il n'en fera rien.
— Je ne descendrai pas avant qu'il ne l'ait fait.
— Allons, Teddy, sois raisonnable ; laisse courir, et j'expliquerai ce que je peux. Tu ne peux pas rester ici, alors quel intérêt à être mélodramatique ?
— Je ne compte pas rester ici longtemps, de toute façon. Je vais m'éclipser et partir en voyage quelque part, et quand je manquerai à Grand-père il se ravisera bien assez vite.
— Je suppose que oui ; mais tu ne devrais pas partir et lui causer du souci.
— Ne me fais pas la morale. J'irai voir Brooke à Washington ; on s'amuse là-bas, et je me distrairai après tous ces ennuis.
— Quel plaisir ce serait ! J'aimerais pouvoir m'enfuir, moi aussi ! » dit Jo, oubliant son rôle de Mentor dans une vision vivace de la vie militaire à la capitale.
« Viens, alors ! Pourquoi pas ? Tu viens et tu fais la surprise à ton père, et je secoue un peu ce bon vieux Brooke. Ce serait une blague formidable ; faisons-le, Jo ! On laissera une lettre disant que nous allons bien, et on partira. J'ai suffisamment d'argent ; ça te fera du bien, et il n'y aura pas de mal, puisque tu iras voir ton père. »
Pendant un moment Jo eut l'air de vouloir accepter ; car, aussi fou qu'était ce plan, il lui convenait très bien. Elle était lasse de jouer les infirmières, et du confinement, elle avait envie de changement, et la pensée de son père ajoutait à la tentation en se mêlant au charme de la nouveauté des camps et des hôpitaux, de la liberté et de l'amusement. Ses yeux pétillaient comme elle les tournait songeusement vers la fenêtre, mais ils tombèrent sur la vieille maison d'en face, et elle secoua la tête avec une triste détermination.
« Si j'étais un garçon, nous nous enfuirions ensemble, et nous amuserions follement, mais comme je suis une pauvre fille, je dois être digne, et rester à la maison. Ne me tente pas, Teddy, ce plan est insensé.
— C'est justement ce qui est amusant, » commença Laurie, avec entêtement. Il mourait d'envie de se libérer de ses obligations, d'une manière ou d'une autre.
« Tais-toi ! s'exclama Jo en se bouchant les oreilles. Je suis condamnée à être convenable, et je ferais aussi bien de m'y résigner. Je suis venue te faire la morale, pas t'entendre parler de choses qui me donnent envie de bondir.
— Je savais que Meg voudrait me décourager, mais je te pensais plus volontaire, commença Laurie, manipulateur.
— Vilain garçon, tais-toi. Assieds-toi et réfléchis à tes péchés, ne va pas en ajouter aux miens. Si j'obtiens de ton grand-père qu'il s'excuse de t'avoir secoué, est-ce que tu abandonneras l'idée de fuir ?
— Oui, mais tu n'y arriveras pas, » répondit Laurie, qui souhaitait se « raccommoder, » mais dont la dignité outragée devait d'abord être apaisée.
« Si j'y arrive avec le jeune, je peux y arriver avec le vieux, » marmonna Jo en quittant la pièce, laissant Laurie penché sur une carte des chemins de fer, la tête entre les mains.
« Entrez ! » La voix rude de Mr. Laurence, comme Jo frappait à sa porte, semblait plus rude que jamais.
« Ce n'est que moi, sir, je suis venue rapporter un livre, » dit-elle platement en entrant.
« Vous en voulez d'autres ? » demanda le vieux monsieur, l'air sombre et fâché, mais tentant de ne pas le montrer.
« Oui, s'il vous plaît, j'aime tellement ce vieux Sam, je pense que je vais essayer le second volume, » répondit Jo, espérant le mettre dans de bonnes dispositions en acceptant une seconde dose du « Johnson de Boswell, » comme il le lui avait recommandé.
Les sourcils broussailleux se redressèrent un peu, tandis qu'il faisait rouler l'escabeau en direction de l'étagère où se trouvait la littérature Johnsonnienne. Jo bondit dessus, et, assise sur la marche la plus haute, feignit de chercher son livre, alors qu'elle cherchait en fait à introduire le dangereux sujet de sa visite. Mr. Laurence semblait soupçonner qu'elle tramait quelque chose ; car, après quelques vifs allers-retours dans la pièce, il lui fit face et prit la parole, si brusquement que Rasselas tomba face contre terre.
« Qu'est-ce que ce garçon a fait ? N'essayez pas de le protéger ! Je sais qu'il s'est attiré des ennuis, à la façon dont il agissait quand il est rentré à la maison. Je n'arrive pas à lui tirer un mot ; et quand j'ai menacé de le secouer pour obtenir la vérité, il a filé à l'étage, et s'est enfermé dans sa chambre.
— Il a bien fait une bêtise, mais nous lui avons pardonné, et nous avons toutes promis de n'en dire mot à personne, commença Jo à contrecœur.
— Ça ne suffit pas ; il ne peut pas s'abriter derrière une promesse faite par des filles aux cœurs tendres. S'il a fait quelque chose de mal, il doit se confesser, demander pardon, et être puni. Dites-moi tout, Jo ! Il n'est pas question que je reste dans l'ignorance. »
Mr. Laurence avait l'air si effrayant, et parlait si vivement, que Jo aurait volontiers pris la fuite, si elle l'avait pu, mais elle était perchée en haut de l'escabeau et il se tenait à son pied, tel un lion sur son passage, aussi devait-elle rester et l'affronter.
« Eh bien, sir, je ne peux rien dire, car Mère l'a interdit. Laurie s'est confessé, a demandé pardon, et a été bien assez puni. Nous ne gardons pas le silence pour le protéger, lui, mais pour protéger quelqu'un d'autre, et cela causera plus de problèmes si vous intervenez. N'en faites rien, s'il vous plaît ; c'était en partie ma faute, mais c'est arrangé maintenant, alors oublions tout ça et parlons du Promeneur, ou de quelque chose de plaisant.
— La peste soit du Promeneur ! Descendez et donnez-moi votre parole que cette tête brûlée n'a rien fait d'ingrat ou d'impertinent. Car si tel est le cas, après toutes vos gentillesses envers lui, je lui administrerai moi-même une bonne correction. »
La menace semblait terrible, mais elle n'inquiéta pas Jo, car elle savait que le vieil homme irascible ne lèverait jamais la main sur son petit-fils, quoi qu'il puisse en dire. Elle descendit docilement, et adoucit l'histoire autant qu'elle le pouvait sans trahir Meg ou omettre la vérité.
« Hum ! Ha ! Bien, si le garçon a tenu sa langue parce qu'il l'a promis, et non pas par entêtement, je lui pardonne. C'est une tête de mule, difficile à manier, » dit Mr. Laurence en se passant la main dans les cheveux jusqu'à avoir l'air d'être sorti au milieu d'une tempête, et cessant de froncer les sourcils, avec un air de soulagement.
« Tout comme moi ; mais un mot aimable me fera obéir quand tous les chevaux du roi et tous ses hommes ne le feraient pas, » dit Jo, essayant de dire un mot en faveur de son ami, qui semblait ne s’être tiré d’un mauvais pas que pour tomber dans un autre.
« Vous pensez que je ne suis pas gentil avec lui, hein ? fut la vive réponse.
— Oh, Seigneur, non, sir ; vous êtes plutôt trop gentil parfois, et un peu trop brusque quand il éprouve votre patience. Ne le pensez-vous pas ? »
Jo était déterminée à dire ce qu'elle avait sur le cœur, et essayait d'avoir l'air calme, même si elle tremblait un peu après son discours audacieux. À son grand soulagement et à sa surprise, le vieux gentleman se contenta de jeter ses lunettes sur la table, et de s'exclamer franchement, « Vous avez raison, jeune fille, c'est bien vrai ! J'aime le garçon, mais il éprouve ma patience plus que je ne peux le supporter, et je ne sais pas comment cela va finir, si nous continuons ainsi.
— Je vais vous le dire - il s'enfuira. » Jo regretta ses mots sitôt qu'elle les eut prononcés ; elle avait voulu l'avertir que Laurie ne supporterait pas plus de contraintes, dans l'espoir qu'il se montrerait plus patient avec le jeune homme.
Le visage rougeaud de Mr. Laurence changea soudain d'expression, et il s'assit en jetant un regard troublé au portrait d'un bel homme accroché au-dessus de la table. C'était le père de Laurie, qui s'était effectivement enfui dans sa jeunesse, et s'était marié contre l'impérieuse volonté du vieil homme. Jo supposa qu'il se rappelait et regrettait le passé, et elle souhaita avoir tenu sa langue.
« Il ne le fera pas, à moins qu'il ne soit vraiment contrarié, et il ne menace de le faire que parfois, quand il en a assez d'étudier. Je pense souvent que j'aimerais venir aussi, surtout depuis qu'on m'a coupé les cheveux ; aussi si nous venons à manquer, faites rechercher deux garçons à bord des bateaux en partance pour les Indes. »
Elle riait tout en parlant, et Mr. Laurence eut l'air soulagé, prenant évidemment le tout comme une plaisanterie.
« Effrontée, comment osez-vous me parler de cette façon ? Où sont passés votre respect et votre bonne éducation ? Bénis soient les enfants, garçons et filles ! Quels tourments ils amènent, et pourtant nous ne sommes rien sans eux, » dit-il en lui pinçant aimablement les joues.
« Allez chercher ce garçon et ramenez-le pour son dîner, dites-lui que tout va bien, et conseillez-lui de ne plus prendre ces airs tragiques avec son grand-père ; je ne l'accepterai pas.
— Il ne viendra pas, sir, il est très mécontent parce que vous ne l'avez pas cru quand il a dit qu'il ne pouvait pas vous raconter toute l'histoire. Je pense que l'avoir secoué l'a vraiment blessé. »
Jo essayait de prendre un air pitoyable, mais devait avoir échoué, car Mr. Laurence commença à rire, et elle sut qu'elle avait gagné la partie.
« J'en suis désolé, et je devrais le remercier de ne pas m'avoir secoué, moi, je suppose. À quoi diable s'attend ce garçon ? » et le vieux monsieur avait l'air légèrement honteux de sa propre irritabilité.
« Si j'étais vous, je lui écrirais une lettre d'excuses, sir. Il dit qu'il ne descendra pas tant qu'il n'en aura pas reçu ; et il parle de Washington, et raconte des absurdités. Des excuses formelles lui feront voir combien il est ridicule, et le rendront plus affable. Essayez, il aime s'amuser, et cette façon est bien meilleure qu'un discours. Je lui porterai votre message, et je lui montrerai son devoir. »
Mr. Laurence lui jeta un regard pénétrant, et mit ses lunettes, en disant lentement, « Vous êtes une petite rusée ! Mais ça ne me dérange pas de faire vos volontés ou celles de Beth. Bien, donnez-moi un bout de papier, et terminons-en avec ces bêtises. »
La note fut écrite dans les termes qu'emploierait un gentleman envers un autre qu'il aurait gravement insulté. Jo déposa un baiser sur le sommet chauve de la tête de Mr. Laurence, et courut glisser la lettre sous la porte de Laurie, en l'incitant, à travers le trou de serrure, à se montrer soumis, convenable, et quelques autres aimables impossibilités. La porte étant de nouveau verrouillée, elle laissa la lettre faire son œuvre, et s'en allait en silence, quand le jeune homme descendit l'escalier en glissant sur la rampe et l'attendit en bas, en disant avec son expression la plus vertueuse, « Quel bon camarade tu es, Jo ! Il ne t'a pas explosé à la figure ? ajouta-t-il.
— Non, il a été plutôt amical, dans l'ensemble.
— Ah ! Je me suis bien fait embobiner ! Même si tu m'as bien laissé tomber tout à l'heure, et que j'étais prêt à aller au diable, commença-t-il d'un ton d'excuse.
— Ne parle pas de cette façon, tourne la page et recommence, Teddy, fiston.
— Je n'arrête pas de tourner de nouvelles pages, et de les abîmer, comme j'abîmais mes cahiers ; et je recommence tant de fois qu'il n'y aura jamais de fin, dit-il avec tristesse.
— Va manger ton dîner, tu te sentiras mieux après. Les hommes grognent toujours quand ils ont faim, » et sur ces mots, Jo fila par la porte de devant.
« C'est une calamine, répondit Laurie en citant Amy, comme il allait s'excuser humblement auprès de son grand-père, qui fit preuve de la modération d'un saint, et de manières extrêmement respectueuses, pour le reste de la journée.
Tout le monde crut l'affaire réglée, et le petit nuage dispersé, mais le mal était fait, car, bien que les autres aient oublié, Meg se souvenait. Elle ne faisait jamais allusion à une certaine personne, mais elle pensait beaucoup à lui, rêvait plus que jamais, et une fois, Jo, en cherchant des timbres dans le bureau de sa sœur, tomba sur un bout de papier où étaient griffonnés les mots « Mrs. John Brooke » ; ce à quoi elle poussa un grognement tragique, avant de jeter le papier dans le feu, avec l'impression que la blague de Laurie avait précipité le jour maudit.
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lily-yvonne · 4 years
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LES SIGNES
           RUSSIE 2008 
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RUSSIE 2008
http://www.youtube.com/watch?v=GFabBNgo-yk&NR=1
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URUGUAY 2008
http://www.youtube.com/watch?v=YHe--M0Vx-E&NR=1
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MESSAGE DE N.S.J.C., LE 21 FÉVRIER 2009 A 1 H ET A 20 H
 « Ecris, mon Frère bien aimé : Oui, ce sont bien des signes que vous avez vus, mais ce ne sont pas les Miens ! Les croix du ciel, qui se présentent un peu partout, ne proviennent pas de Moi, mais de l'Imitateur. C'est lui qui, en ce moment de confusions, fait de grands prodiges pour vous tromper ; et ce n'est que le début ! Ces signes sont pour vous faire croire qu'arrive bientôt Ma Parousie, alors que ce n'est pas vrai ! Comme Je te l'ai fait écrire, Mon Frère bien aimé, Ma Parousie sera pour plus tard. Je vous en prie, ne vous laissez pas leurrer pas toutes ces fausses croix célestes et tous les autres prodiges, qui n'ont qu'un seul objectif : celui de vous perdre ! Puisque vous avez refusé Ma Grâce et Mon Amour, Je vous ai laissé aux mains de l'Ennemi. Or celui-ci, qui est l'Anti-Christ, a tous les pouvoirs et il met tout en oeuvre, avec ses légions de démons, pour vous leurrer. Tout ce que vous voyez n'est qu'illusion et il est le maître des prodiges. Comme Je l'ai déjà dit, lorsque J'étais sur terre, avant Ma Passion, les signes dont Je parlais sont arrivés. Mais ils ne sont pas de Moi, ni de personne de la Très Sainte Famille céleste. La seule Croix que Je ferai apparaître, au moment voulu et dans un noir intense, est Ma Croix Glorieuse. Celle-ci sera visible de toute la Terre, des deux côtés en même temps ! Ceci ne sera pas un prodige, mais un grand Miracle, car Elle restera ainsi visible aussi longtemps que Je suis resté dans le Tombeau. Ce sera Mon Signe pour tous les peuples, qui arrêtera la guerre et convertira de nombreuses âmes. Merci, Mon Frère bien aimé, de transmettre ce Message. Garde confiance, n'oublie pas que Je suis avec toi, Mon Apôtre bien aimé, et que Je te soutiens dans toutes tes épreuves. Tu iras bien là où Je t'ai dis d'aller, au moment opportun, mais garde confiance. Ma bénédiction est sur toi et ceux qui te sont fidèles. Yeshouah. »
 A la suite de ce Message, j'ai pensé tout haut : "Encore un qui ne sera pas cru, pff, à quoi bon Seigneur ?" Et j'ai pensé cela toute la soirée du 21 février, mais dès le lendemain matin, 22 février 2009, j'avais la réponse suivante :
 « Oui, c'est vrai, ce Message ne sera pas cru par beaucoup, comme pour les autres, mais ton endurance et ta patience vont porter ses fruits. Pour preuve, c'est que les faux prophètes qui trompent l'humanité et qui, eux, sont crus, vont se trouver très bientôt dans la confusion lorsque ce qu'ils annoncent pour ce 25 février n'arrivera pas ! En revanche, toi, Mon Prophète bien aimé, tu sais ce qui va se produire jusqu'à la fin des temps, car Je te l'ai montré en visions et en songes ! Et justement, lorsque ce monde aveugle se rendra compte qu'il a été trompé par les faux prophètes, certains d'entre eux viendront vers toi et les autres resteront dans leur orgueil. C'est un combat de souffrance, dans l'endurance et la patience, que tu mènes, et un jour cette Vérité sera reconnue. Mais Je te le répète : "Reste petit avant de grandir", car aujourd'hui tu subis de douloureuses épreuves, mais très bientôt ta souffrance sera récompensée. Tu sais que toutes les âmes qui ont été choisies, par le Père des Cieux, doivent souffrir. En attendant, Je bénis les quelques âmes qui te soutiennent et ont compassion de tes souffrances, car l'Amour qu'ils te portent, c'est à Moi qu'ils le donnent et cela soulage Mon Divin Coeur. Patience, Mon Frère bien aimé, garde patience, car la récompense est au bout de ton chemin. AMOR PAX LUX VERITAS. Yeshouah. »
                              _________________________________
          Merci, mon Dieu, pour ces Paroles encourageantes ! Il est vrai, avant tout, que votre serviteur n'est qu'un homme et que, parfois, même dans ma Foi inébranlable, il m'arrive d'être découragé. Non pas que ma confiance en Dieu et Ses Locutions s'étiolent, loin s'en faut, au contraire ! Mais il est vrai que lorsque ma souffrance atteint un degré, qui ne peut s'exprimer avec des mots, tant elle est intense, il arrive certains jours où je me sens particulièrement abattu. Oui, c'est bien un combat que je mène au quotidien ! Celui de la lutte constante contre Satan, qui met tout en oeuvre pour aveugler l'humanité, afin de "voler" un maximum d'âmes. Or mes douleurs les plus pénibles sont celles de voir ces âmes, par millions, qui vont chuter inexorablement, si elles ne prennent pas conscience du danger qui les menace ! Voilà pourquoi j'avais écrit, en ce début du mois de février 2009, un fascicule portant le titre : "RÉVEILLEZ-VOUS !", dont le lien direct pour Internet est le suivant :
 http://www.prophete-fr.com/reveillez_vous.pdf
           Alors oui, je suis fatigué parce que, en tant qu'homme, la douleur que je ressens, est très vive. En revanche, en tant que très humble et indigne Envoyé de Dieu, mon rôle est de poursuivre le combat. Et j'ose espérer, qu'avec l'aide précieuse de Dieu, de nombreuses âmes se convertiront avant le terrible Châtiment qui se prépare !...
        En effet, il court en ce moment un bruit ( qui viendrait d'une pseudo prophète ) et par lequel, à partir du 25 février 2009, nous entrerions pour 7 jours dans un contexte du "grand Avertissement", avec une météorite qui serait la cause de nombreux désastres !? Or je me pose la question suivante : d'ou sort cette rumeur qui, actuellement, semble répandre la panique un peu partout ? Et bien votre serviteur vous dit, non, cette prophétie est fausse ! Certes, l'Avertissement est prévu, puisqu'il a été annoncé par les voyantes de Garabandal dans les années 1960, et ceci est à prendre très au sérieux ! En revanche, nul ne peut donner la date exacte quant à cet Avertissement et encore moins pour le grand Miracle qui doit suivre ! La seule personne qui connaisse le jour du grand Miracle est Conchita, l'une des voyantes, et elle ne peut le communiquer que huit jours avant ! De fait, tous ces gens qui annoncent des dates sont des imposteurs et des opportunistes qui veulent faire leur intéressant : "Vanité des Vanités !"... Alors je ne puis que vous conseiller de garder votre calme et de fuir absolument toutes ces personnes qui sèment la zizanie sur le Web et ailleurs !
             Voyez-vous, lorsque Notre Seigneur m'avait demandé d'écrire et de réaliser : "L'ULTIME ALLIANCE", Il m'avait précisé que le grand Miracle aurait lieu après la sortie du Film. Or le Film devait être distribué au mois de septembre 2010. En conclusion, le grand Miracle ne peut avoir lieu qu'à partir de 2011, voire 2012, mais pas avant. De fait, il est inutile de spéculer sur des dates que nous n'avons pas le droit de savoir ! Même votre serviteur l'ignore, car c'est un secret que seule Conchita détient et personne d'autre ! Bien évidemment, il va y avoir un Avertissement, ceci est clair et il n'y a pas l'ombre d'un doute là-dessus. Cependant, et en tant que très indigne Avertisseur de Dieu, jamais je n'ai annoncé que cet Avertissement serait issu d'une météorite, non point ! Par contre, dans les prophéties, que m'a fait la grâce de me transmettre Notre Seigneur, et que vous pouvez lire dans le Dossier Sacré : "L'APPEL DE DIEU...", c'est qu'il y aura bien un astéroïde qui s'abattra sur la Terre, mais pas avant une quarantaine d'années ! En effet, après l'Avertissement, le grand Miracle et le Châtiment exemplaire, doit venir le Roi Henri et le Pontife Pierre qui règneront pendant un certain temps ! Après ce temps écoulé, sera celui de la Parousie de Notre Seigneur qui viendra chercher Ses Élus. C'est seulement après cet épisode, et après une autre guerre, que l'astéroïde s'abattra sur notre planète et la renversera d'un quart de tour. Je suis donc affirmatif à ce sujet, car dans mes visions, il ne m'est pas apparu un autre astéroïde qui viendrait chambouler la terre et ses habitants pendant l'Avertissement.
 Il est vrai toutefois qu'une comète passera assez proche de notre globe terrestre, mais suffisamment éloignée pour qu'il n'y ait pas de répercussions gaves ici-bas. Ceci étant dit, il est exact que l'Avertissement va être impressionnant, même désastreux et le Châtiment va l'être infiniment plus ! Je ne vais pas ici répéter toutes les prophéties que votre serviteur a écrites depuis des lustres, notamment de la page 27 à 36 de : "L'APPEL DE DIEU". La totalité des prophéties n'est pas mentionnée, pour la raison très simple que je n'ai pas trouvé utile d'en écrire davantage. Et il y a certaines visions que je ne souhaitais pas développer, parce qu'elles étaient insoutenables. Notamment, lorsque j'ai vu la destruction de Paris. Cette vision a été tellement horrible que je n'ai pas cru bon de tout révéler. D'autant plus que nombreux sont ceux qui n'y croient pas. Alors, en rajouter un peu plus ne servira pas à convertir des âmes, mais au contraire à les renforcer dans leur raillerie et me discréditer à outrance ! Oui, comme je l'ai écrit en novembre 2008 dans : "L'IGNORANCE, FLÉAU DE L'HUMANITÉ !", la raillerie de mes contemporains fait partie de ma souffrance quotidienne ! Mais comme Dieu m'a toujours répété inlassablement qu'il fallait que je reste "patient" et "petit", alors j'obéis à Notre Seigneur. Bien que, parfois, ma patience ait des limites ! Mais c'est une épreuve douloureuse à laquelle je me soumets humblement, dans l'espoir qu'un jour je deviendrai meilleur que je ne suis. Que la Volonté de Dieu s'accomplisse au travers de Son très humble et indigne serviteur, pour Sa seule gloire et le salut des âmes, y compris la mienne !
 Ci-dessous le lien des Messages de la Très Sainte Trinité à partir de 2004, dont celui du Père éternel, en date du 6 septembre 2008, et celui du Fils, en date du 8 janvier 2009 :
http://www.prophete-fr.com/messages_de_la_ste_trinite.pdf
 Ci-dessous, les liens directs des Dossiers Sacrés :
 "L'APPEL DE DIEU, LA MISSION ET LES PROPHÉTIES" :
http://www.prophete-fr.com/l_appel_de_dieu....pdf
 "L'ULTIME ALLIANCE" :
http://www.prophete-fr.com/scenario_l_ultime_alliance.pdf
 L'IGNORANCE, FLÉAU DE L'HUMANITÉ !:
http://www.prophete-fr.com/l_ignorance__fleau_de_l_humanite__.pdf
 Et enfin je vous transmets mon site que je vous propose de visiter, mais aussi mon Email, si vous souhaitez obtenir des informations complémentaires, non contenues dans les Dossiers Sacrés :
http://www.prophete-fr.com/
 Merci de votre attention et que l'Esprit-Saint vous éclaire en ces temps de confusions.
 Amitié et Fraternité dans le Sacré-Coeur de Jésus et le Coeur Immaculé de Marie.
P.S. Afin    d'affronter l'horreur qui vient, prière de vous munir au plus tôt :
1) D'un    scapulaire de N-D. du Mt Carmel qui doit être apposé et béni par un Prêtre    de la tradition catholique. 2) Acheter, faire bénir et appliquer sur votre    porte la plaque du Sacré-Coeur. 3) Avoir absolument un cierge béni selon le    rite traditionnel catholique. Ce cierge s'allumera seul lorsque les    ténèbres envelopperont la Terre.
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