#bugatti genève

[shiftingh001]

Bugatti

[olaqueenbeeofastrology]

@swatch-blog @swatchus

@toryburch

@gemstone-network @gemstonesilverjewelryus @gemstones @jewelry @fashion @crystalgems-blog @youtube @google @yahoo @bing @twobigblondes @consignmentcouture @christiesauctions @sothebys-pe-blog @sothebys @qvc @qvcuk @twitter @tv-moments @variety @thr @watchestobuy @watchesparadise @bestbuy @biglots @target @watchrepairlondon @vintage @watchrepair @vintagewatchesdepot @vintagewatchesandjewellery-blog @gemstone-network @baldassarreted @gemstonesilverjewelryus @gemstones @jewelry @fashion @crystalgems-blog @youtube @google @yahoo @bing @twobigblondes @consignmentcouture @christiesauctions @sothebys-pe-blog @sothebys @qvc @qvcuk @twitter @tv-moments @variety @thr @taylor13 @lizzo

@youtube @yahoo @google @thr @variety @instagram @yellowtaxi @lyft @twitter @tumblr @yahoofinance @money @fortune @forbes @wsj @dalailama @uscopyrightoffice @wholefoods @olaqueenbee @olatransits @olavay @pinkjonperry on @instagram

@vogue @ebay @thr @variety @nytimes @seattletimes @latimes @time @google @forbes @etsy @tvguide @pbs @nytimes @tissot @raymondweil @luxurywatchguy1 @calibercrown @rolex @bugatti @burberry @burberry

#gemstone bulk lot

#diy craft lot$

@gemstone-network @gemstonesilverjewelryus @gemstones @jewelry @fashion @crystalgems-blog @youtube @google @yahoo @bing @twobigblondes @consignmentcouture @christiesauctions @sothebys-pe-blog @sothebys @qvc @qvcuk @twitter @tv-moments @variety @thr @watchestobuy @watchesparadise @bestbuy @biglots @target @watchrepairlondon @vintage @watchrepair @vintagewatchesdepot @vintagewatchesandjewellery-blog @gemstone-network @gemstonesilverjewelryus @gemstones @jewelry @fashion @crystalgems-blog @youtube @google @yahoo @bing @twobigblondes @consignmentcouture @christiesauctions @sothebys-pe-blog @sothebys @qvc @qvcuk @twitter @tv-moments @variety @thr @taylor13 @lizzo @youtube @yahoo @google @thr @variety @instagram @yellowtaxi @lyft @twitter @tumblr @yahoofinance @money @fortune @forbes @wsj @dalailama @uscopyrightoffice @wholefoods @olaqueenbee @olatransits @olavay @pinkjonperry on @instagram @vogue @ebay @thr @variety @nytimes @seattletimes @latimes @time @google @forbes @etsy

[wrooom]

Bugatti La Voiture Noire 

"• Prototype / concept-car présenté le mardi 5 mars 2019 au salon international de l'automobile de Genève 2019."

By Alexandre Prevot in Le Grand-Saconnex, Switzerland

[businessimmo-revuedepresse]

Une leçon d’immobilier de luxe avec Eric Arnoux, promoteur immobilier des Billionnaires.

Il refuse de dévoiler les noms de ses riches clients. On dit pourtant que c’est lui qui a trouvé la demeure d’exception de grand joueur de foot anglais, que s’est lui qui se cache derrière le design de la luxueuse propriété d’une actrice, chanteuse et styliste américaine et que la villa contemporaine de luxe d’un oligarque dans le sud de la France, c’est encore lui. Dernière cliente en date : Cristal, la sœur jumelle de la fée Clochette. Pour nous, après d’acharnées relances, le discret Eric Arnoux se confie. L’homme fuit la notoriété et la visibilité médiatique depuis le début de sa carrière. Eric Arnoux ne parle pas aux médias. Eric Arnoux n’aime pas se mettre en avant.

PureConcept, son Groupe international de design immobilier a connu la crise, la jalousie et les trahisons multiples, la diffamation digitale et juridique, le dénigrement massif, Eric Arnoux a pardonné et a tourné la page. Il en a tiré toutes les leçons afin de reconstruire durable sur les fortes fondations du passé. L'enfant terrible de l'immobilier de luxe revient au sommet, discrètement mais surement. Dans des créneaux plus responsables, écologiques et durables. Rencontre avec ce promoteur immobilier international qui a séduit les plus grandes fortunes du monde qui le considère comme un héros du luxe capable de leur offrir n’importe quel rêve immobilier, aussi complexe techniquement soit-il à réaliser, aussi fou dans son design comme dans sa décoration.

Deux piscines à débordements, un hammam, un sauna, une salle de cinéma et un garage souterrain pour 6 Rolls-Royce et 2 Bugatti. La luxueuse villa récemment terminée de près de 1500 m2 en Suisse est une jolie vitrine du savoir-faire immobilier de luxe d'Eric Arnoux et de son groupe PureConcept Real Estate.

Cette luxueuse maison contemporaine est en effet l'une des dernières constructions d'un homme d'affaires français installé en suisse pendant 15 ans au parcours peu banal : le promoteur immobilier Eric Arnoux. Cet ingénieur en bâtiment français a commencé à faire fortune à la fin des années 90 en construisant des chalets très haut de gamme dans le village authentique de Megève.

Megève, Courchevel, Paris ou la Côte d’Azur sont ses terrains de jeu privilégiés. Mais la Suisse n'est pas en reste, avec notamment le pourtour du lac lémanique et particulièrement Genève, où il a résidé. Retour sur cette ascension entrepreneuriale fulgurante. Affichant un large sourire, Eric Arnoux s'amuse dans ses nouvelles activités ce passionné de design immobilier de luxe. Sa devise donne le ton: "value for shareholders and fun". Deux objectifs qu'il semble atteindre. Depuis la crise économique et la pression des banques et des grandes sociétés de gestion pour la création d’un fond d’investissement côté, les trahisons et spoliations subies il y a quelques années, ce bouillant quinquagénaire a préféré tourner la page des difficultés économiques qu'il a traversé. Le plus vite possible. Pas question de ruminer la tentative de pillage de son groupe par des proches à qui il avait fait confiance. La croissance économique fulgurante lui avait attisé toutes les jalousies des plus irrationnelles. Si cet humaniste, modeste et empathique, se montre à présent très discret sur cet épisode, il devient intarissable lorsqu'il parle de ses nouvelles activités immobilières de luxe... Plein d'humour et d'humeurs, il sait décrire, des heures durant, ses projets immobiliers de luxe, les pépites artisanales aux réalisations exceptionnelles dans lesquelles il a investi son talent et son temps, sa vision et sa méthode de construction si enviée.

"Plutôt que d'entrer dans un autre groupe immobilier de luxe, j'ai préféré recommencer à zéro, confirme l'entrepreneur. « J’ai souhaité reposer les fondations de PureConcept. » détaille Eric Arnoux, CEO de PureConcept.

Eric Arnoux, ce coup de cœur de l'immobilier de prestige. Son flair pour les bonnes affaires l'a notamment poussé à investir des millions d’euros personnels et financés par les grandes Banques de la place (dont 60 millions d’euros de dettes adossés à 200 millions d’euros d’actifs) avant le retournement de la politique bancaire, les diverses tentatives de dépossession et l’atteinte à ses intérêts par des personnes proches du dossier. Eric Arnoux est un homme serein qui a fait et fait toujours confiance à la justice.

C'est le cas de très grosses banques comme BNP Paribas, via ses filiales suisse et luxembourgeoise, mais aussi Safra Sarasin, la banque CIC ou la Société Générale. Désirant renforcer le pôle design ultra-luxe de son groupe PureConcept, Eric Arnoux estime pouvoir réaliser une dizaine de projets du même ordre tous les ans. Le renforcement dans le design de yacht donne une autre dimension à l’artiste. Rendez-vous donc à l'an 2020 pour des nouvelles réalisations de prestige. Son premier coup de codeur immobilier remonte en fait à 1995. Un banquier de la BBL lui parle alors d'une ferme abbatiale du 17e siècle, reprise par des familles de la région d'Ophain, dans le Brabant wallon.

"Dans le monde de l'immobilier, on répète souvent que le premier, le deuxième et le troisième critère qui comptent sont l'emplacement, souligne l'homme d'affaires. Située près d'une sortie d'autoroute, la ferme offrait un atout majeur. Je me suis donc lancé dans le projet et j'ai entièrement rénové cette ferme devenue la référence locale de l'immobilier de luxe."

La luxueuse rénovation terminée, les dépendances sont louées à des PME de la région tandis que le corps du bâtiment est dévolu à l'organisation d'événements pour les peoples. Les grandes pièces, décorées de souvenirs des voyages comme le tableau du Little Emperor peint par un artiste chinois contemporain, peuvent accueillir jusqu'à 1.000 personnes. Pour asseoir la notoriété de la vieille ferme, Eric Arnoux n'est pas un adepte de la publicité. "Cela coûte fort cher et les retombées sont limitées", estime-t-il, l'opinion bien arrêtée sur le sujet. Il croit plus dans l'impact du bouche à oreille entre les familles fortunées qui lui font confiance. Et cette politique porte rapidement ces fruits puisque la ferme accueille, en général, trois événements par semaine, sans compter les mariages de grandes familles. D'autres projets à l'étranger sont également venus étoffer son pôle immobilier de luxe. En France d'abord, plus précisément dans les Alpes, où il a investi plus de 100 millions d’Euros dans l'immobilier de luxe. Aux États-Unis ensuite, ou il a développé une société immobilière en Floride début des années 2010, puis Dubaï ensuite, où il a acquis un succès et le respect des familles locales sur sa qualité de réalisation.

Mais Eric Arnoux reste avant tout un entrepreneur, un designer, un créateur. Son savoir-faire compte dès lors différentes interventions et participation dans des artisans d'exceptions. Il aime mettre la main à la pâte, comme le confirme une autre de ses devises : "Les pieds sur terre, les mains au travail et les yeux vers le ciel."

Eric Arnoux est d'abord un passionné. Il veut être actif. Pas question de jouer aux riches potiches. Sa longue expérience dans l'immobilier d’extra luxe le pousse à se réinventer constamment. « On ne fait bien que ce que l'on connaît bien. » dit Eric Arnoux.

Créateur d’un nouveau concept et « brand » dans l’hôtellerie et l’hospitality, avec une vision exceptionnelle sur l’avenir et l’eco-responsable, sera les développements des années 2020.

Ses critères de sélection sont stricts. Il choisit ses clients et ses projets immobiliers. Il ne fait que du sur-mesure d'exception. Et il accorde autant d'importance aux personnes qui portent le projet qu'aux aspects techniques ou financiers.

Immobilier de Luxe : comparer, toujours comparer, pour se surpasser et atteindre les sommets du Luxe. Pour percevoir les évolutions du marché, Eric Arnoux est un adepte fervent du lateral thinking. Tout comme ses associés, Eric Arnoux parcourt donc le monde pour comparer. Surtout les USA, le middle EAST, où il passe 10 jours par mois en déplacement, afin de visualiser les changements dans le secteur de l'immobilier de luxe, et l’hospitality.

"J'adopte la formule du management by walking around, décrit-il. Comme les Etats-Unis et le Middle East ont deux ou trois ans d'avance sur nous, il est important d'être là pour sentir les nouvelles tendances du marché du luxe immobilier." Eric Arnoux a profité de son arrêt d'activité pendant la crise et les « règlements de comptes » pour redéfinir la stratégie de croissance de PureConcept. "Nos projets immobiliers passés nous apportent une réelle solidité du savoir-faire, très peu de créateurs, designers ont une telle expérience d’autant de projets réalisés de par le monde ». « L'expérience d'Eric Arnoux, sa connaissance unique dans l’immobilier de luxe et sa vision stratégique constituent, pour la société, des atouts fondamentaux. » dit l'un des collaborateurs à ses côtés depuis plus de 20 ans. PureConcept a notamment développé ses activités autour d'un concept unique, l'immobilier de luxe qui devient maintenant durables et écologiques.

Un pied aux USA, un autre en Europe, un troisième au Middle East. Pour Eric Arnoux, un chef d'entreprise qui veut comprendre le monde dans lequel vivront ses enfants dans 15 ans doit avoir un pied aux USA, un autre en Europe et un troisième au Middle East. Suivant son principe à la lettre, Eric Arnoux a décidé de renforcer l'aventure commerciale aux pays émergents. "Vu leur importance démographique, l'évolution de ces pays et de leurs millionnaires est incontournable", évalue-t-il. Eric Arnoux est aussi l'apôtre des bonnes oeuvres. Ses exigences de dividendes sont limitées. "Il a une culture familiale de l'entreprise qui favorise des investissements long terme, constate un pater familias. Je ne suis pas amateur de gros coups à court terme dit Eric Arnoux. Je préfère inscrire mon action dans la durée. Ce qui m'intéresse, c'est que mes entreprises grandissent et affichent de solides résultats financiers durables avec une comptabilité tenue avec rigueur et exigence." Le risque de banqueroute est loin, il suffit de ne pas faire appel à l’emprunt. Bref, les pieds sur terre, les mains au travail et les yeux vers le ciel, Eric Arnoux s'amuse.

En savoir plus sur Eric Arnoux : 

https://www.linkedin.com/in/eric-arnoux-b6514519a/

https://twitter.com/EricArnoux2

https://fr.scribd.com/user/492733873/Eric-Arnoux

https://www.arabnews.com/node/1198146/corporate-news

https://www.instagram.com/arnoux_eric/ 

https://www.eric-arnoux.org

https://www.pureconceptlevel.com

https://www.doyoubuzz.com/arnoux-eric 

https://eric-arnoux.wixsite.com/pureconcept

https://www.viadeo.com/p/002zn2c5tabk09s

[bengeneva91-blog]

L’entreprise Marc Robin Automobiles Genève est née de la passion de Marc Robin pour le marché de l’automobile de Luxe. En effet, après de nombreuses années à des postes de hautes responsabilités chez de prestigieux constructeurs automobiles, celui-ci a décidé d’ouvrir sa propre structure en 2015.

L’entreprise Marc Robin Automobiles Genève s’est vite démarquée et il est devenu l’un des leaders romands de la vente automobile. L’entreprise apporte son expertise afin d’assister les particuliers dans la vente de leurs véhicules. La société achète et revend des véhicules, principalement des véhicules exclusifs, correspondant à la clientèle que Monsieur Robin a côtoyé durant toutes ses années d’exercice. Marc Robin Automobiles propose aussi un service de recherche personnalisée. Si un client a un besoin spécifique, l’entreprise cherche le véhicule correspondant aux attentes du client.

Il s’agit d’une société anonyme située à Genève comme son nom l’indique, exactement à Petit-Lancy, à l’écart du centre-ville comme un grand nombres de garages.

L’entreprise est formée d’une petite équipe familiale. Effectivement, Marc Robin travaille ici avec sa femme, Evelyne, ainsi que Monsieur Dominique Roserens.

Marc Robin dispose de diverses fonctions dans le poste qu’il occupe. Celui-ci est à la tête de son entreprise. Il se considère alors comme un entrepreneur, mais aussi un chef de concession, un courtier en automobile... Dans l’entreprise, Marc accomplit de nombreuses missions, similaires à celles que j’ai accompli au cours de ce stage. Il s’occupe de la vente des voitures, mais aussi des achats, en passant par le service après-vente ainsi que toute la gestion administrative que cela nécessite.

Avant d’atteindre ce grade, Monsieur Robin a eu un parcours détonnant, ses expériences l’ont mené́ là où il est aujourd’hui, et celui-ci possède un cursus faisant rêver tout passionné d’automobiles :

·     Directeur de la concession Bentley - Bugatti de Genève de mars 2013 à décembre 2014

·     Chef de marque – Porsche – aout 2003 à mars 2013

·     Vendeur – Mercedes Benz. – aout 1993 à aout 2003

·     Conseiller de vente – Citroën – janvier 1983 à juillet 1993

Il était d’ailleurs le meilleur vendeur chez Porsche durant sa carrière en tant que chef de marque, ce qui nous amène à parler de Dominique Roserens, qui lui aussi, présente un parcours surprenant. Monsieur Roserens a effectivement été directeur général du garage l’Athénée à Genève, regroupant les concessions Mercedes-Benz, Rolls-Royce, Bentley, Ferrari et Maserati, de 1988 à 2001. C’est à cette époque que Mr. Robin et lui-même se sont rencontrés. Monsieur Roserens avait embauché Mr. Robin chez Mercedes après avoir été fortement suggéré par l’un de ses compères.  Puis, celui-ci est passé directeur du groupe AMAG Genève (importateur et vendeur du groupe Volkswagen) de 2001 à 2016. C’est alors qu’il a décidé de redébaucher Marc Robin pour l’embaucher au sein de la concession Porsche du Groupe AMAG. Désormais, Monsieur Roserens s’occupe essentiellement d’apporter des contacts ainsi que de trouver des véhicules pour l’entreprise Marc Robin Automobiles.

Monsieur Roserens agit essentiellement en tant qu’investisseur dans l’entreprise Marc Robin Automobiles. Il ne gère que très peu les ventes. Cependant, celui-ci s’occupe de trouver et d’acheter certains véhicules grâce à ses nombreux contacts et notamment des véhicules neufs à très bon prix.

Madame Evelyne Robin, de son coté, s’occupe de la comptabilité de l’entreprise.

Concernant les résultats de l’entreprise, Marc Robin Automobiles Genève SA vend en moyenne 100 véhicules chaque année et dégage aussi des bénéfices du service après-vente proposé aux clients, ainsi que du gardiennage de certains véhicules.

[theluxurylifestylemagazine]

1 of 1 Bugatti La Voiture Noire at Le Salon de Genève. By: @dario.fontana https://www.instagram.com/p/BvIVmcNnhOR/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=uy4bjdnr5dnw

[airmanisr]

Mansory Bugatti Vivere Diamond Edition by Moti - Bugatti Veyron 16.4 by Laurent ERRERA Via Flickr: Salon de Genève - Geneva International Motor Show Road Trip Audi Sport 2018 Toulouse - Ingolstadt www.facebook.com/RoadTripAudiToulouse/

[anmodelcars]

Quelles nouveautés du salon de Genève 2019 êtes-vous le plus impatient d'avoir en 1/18 ou 1/12? Which ones of the new cars presented at the 2019 geneva motor show are you the most exited to own on 1/18 scale or 1/12 scale? #genevamotorshow #aventadorsvjroadster #lavoiturenoire #koenigseggjesko #ferrarif8tributo #amggtroadster #lamborghini #bugatti #scale118 #scale112 #modelcars #supercars #koenigsegg #porsche #astonmartin #bwm #mclaren #mercedes #ferrari https://www.instagram.com/anmodelcars/p/Bu1fEwhAbOF/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=174sp2ac2tz4i

[rawkustv]

Carbon bug with an audience as usual. : #bugatti #bugattichiron #carswithoutlimits #carbonfiber #genevainternationalmotorshow #rawkustv (at Beau-Rivage Genève) https://www.instagram.com/p/Burxa-fhl6j/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1udsnfa38icmr

[supercarchannel]

« La Voiture Noire » a été dévoilée hier au salon de Genève. Commandée par un collectionneur anonyme Bugatti, cette voiture devient la plus chère au monde avec près de 14 millions d’euros!!! #nolimit #genevamotorshow #bugatti #lavoiturenoire (à Salon International De L'automobile De Genève - 84 Ème Édition) https://www.instagram.com/supercar__channel/p/Buq0pntAMsz/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=vbmz4s33rzfg

[placesandfood]

El día de hoy fue el último día del #genevamotorshow2017 y nos lanzamos a conocer esta magno evento, checa algunos de los carros que nos encontramos. . . . . . #motorshow #autoshow #genevaautoshow #Geneva #Geneva #auto #F1 #bugatti #honda #astonmartin #pininfarina #geneve #genevemotorshow2017 (at Salon international de l’automobile Genève)

[bengeneva91-blog]

Mes missions

Avant toute chose, comme vous avez pu le lire dans la description de l’entreprise, les missions étaient très diverses. En effet, dans les grandes concessions il y a du personnel pour chaque tache, or dans ce cas ce n’était pas le cas, ce qui n’était pas à m’en déplaire. Bien au contraire, cela m’a permis de traiter toutes les activités du marché de la vente automobiles. Cependant, j’occupais officiellement le poste de Courtier automobile au même titre que Monsieur Robin.

Par ailleurs, au début de mon stage, je devais découvrir le monde automobile Suisse. Mon tuteur m’a alors appris de nombreux éléments importants qui différent par rapport au marché et à la législation française. A savoir qu’en Suisse par exemple, les plaques d’immatriculation sont interchangeables, il est possible d’immatriculer deux véhicules avec un seul jeu de plaques. Le propriétaire ne paie alors l’assurance que pour la voiture dont l’assurance est la plus chère. Une plaque n’est alors pas rattachée à un véhicule mais à un conducteur. De plus, en Suisse il n’y a pas de malus écologique comme en France, mais il y a des taxes annuelles qui varient en fonction des émissions de CO2 et du canton dans lequel le véhicule est immatriculé.

Mise en place d’une newsletter :

Dans un premier temps, j’ai eu pour mission de mettre en place une Newsletter. Il a donc fallu commencer par créer une base de données clients à partir de la boite mail de Monsieur Robin ainsi que des contrats de vente des véhicules mais aussi d’un fichier client Porsche de Monsieur Robin. J’ai donc inscrit dans un fichier Excel le nom, le prénom, ainsi que les données personnelles (mail, numéro de téléphone, véhicule acheté) des clients de l’entreprise.

Par la suite, afin de mettre en place cette emailing, j’ai dû comparer les différents sites hôtes en marge de cette création. J’aurai pu ne pas avoir affaire à un site hôte, cependant ne sachant pas coder ce ne m’était pas possible. Après avoir pris le temps de comparer différents éventuels sites, j’ai décidé avec mon tuteur d’utiliser Mailchimp, un site hôte proposant une offre correspondant à la taille de notre audience. Le cout de cette plateforme est de 15€/mois. La prise en main du site et des outils disponibles a été assez simple, le site étant très intuitif. Ce qu’il a fallu faire par la suite a été de créer plusieurs designs de Newsletter afin de sélectionner celui que toute l’équipe préférait. Pour créer ces designs, j’utilisais aussi Photoshop et Indesign, les designs Mailchimp demeurant trop banaux.

Je créais donc en moyenne 2-3 Newsletter par mois, en adaptant la forme et le nombre de véhicules apparaissant dessus ainsi que la récurrence d’envoi. Nous faisons souvent apparaitre plusieurs véhicules sur la newsletter en en mettant réellement un en avant. Dans certains cas, j’ai aussi décidé de ne faire apparaitre qu’un seul véhicule sur l’emailing afin de concentrer les éventuels prospects sur la dernière offre à pourvoir et non sur d’autres. A chaque Newsletter, je suivais les rapports d’ouverture et de cliques, que je communiquais à mon tuteur.

Réseaux sociaux :

D’autre part, je souhaitais développer l’image de l’entreprise à travers les réseaux sociaux. Marc Robin Automobiles possédant déjà un Instagram et un Facebook, qui n’avait pas été utilisés depuis deux ans, je voulais les remettre au gout du jour. En effet, à l’heure actuelle les réseaux sociaux présentent des avantages notables et un accroissement de visibilité qui n’est pas à négliger. J’ai donc commencé par retrouver les identifiants afin de pouvoir se connecter de nouveau à ces réseaux sociaux. Ce fut une tache peu fructueuse puisque nous n’avons retrouvé que les codes d’Instagram et non de leur Facebook.

Afin de remettre Marc Robin Automobiles sur Instagram, je prenais les véhicules en stock en photo avec mon appareil, que je retouchais par la suite à l’aide du logiciel LightRoom de façon à ce que les couleurs, la luminosité et la clarté des photos correspondent aux photos déjà postées sur leur compte. Le but est d’harmoniser le feed (lefeed sur Instagram c’est l’enchainement des images postées, et un feed se doit d’être harmonieux pour une meilleure réussite auprès des internautes). J’utilisais aussi une application afin de visualiser le feed avec les nouvelles photos avant de les poster réellement sur Instagram. Le choix des hashtags était aussi primordial afin de développer la faible communauté du compte.

J’avais par ailleurs prévu un shooting de certains véhicules dans un bel endroit, cependant les fortes chaleurs m’avait contraint d’abandonner l’idée. Puis nous avons eu certains aspects négatifs des réseaux sociaux qui sont intervenus (des personnes qui voulaient juste essayer des véhicules en faisant croire qu’ils étaient acheteur alors que non…) et nous avons décidé de laisser de côté pour le moment. Ce fut donc peu concluant, il faudrait consacrer plus de temps et de moyens afin de voir de réels résultats, ce sur quoi Monsieur Robin n’est pas encore prêt à investir.

Prospection achat et mise en dépôt de véhicule :

Par ailleurs, j’étais chargé de prospecter pour l’achat de véhicules que nous pourrions vendre par la suite. Monsieur Robin m’ayant indiqué les critères des véhicules à cibler, je regardais quotidiennement les annonces déposées sur autoscout24 par des particuliers dans un rayon de 50km de Genève. Ainsi, les personnes contactées pouvaient venir nous présenter directement leurs véhicules sans que nous n’ayons à nous déplacer. Toujours en sélectionnant des véhicules qui correspondent à notre niche de clients.

Néanmoins, il ne suffisait pas simplement de contacter le vendeur, il fallait, avant toute chose, analyser le prix du marché. Rien ne sert de contacter une personne si son véhicule est trop cher par rapport à ce que celui-ci coute réellement.

Recherche Personnalisée :

Il est arrivé à plusieurs reprises que Monsieur Robin ait eu des demandes de véhicules que nous n’avions pas en stock. Il me chargeait donc, dans un premier temps, de rechercher sur les différents sites d’annonce automobile Suisse si nous trouvions ce que le client demandait. Je devais respecter les éléments demandés par le client ; son budget, ses critères de recherche, la couleur, les options et le modèle souhaité. Cependant, les recherches étaient très variées et je ne pouvais pas tout trouver sur internet, Monsieur Robin se mettait donc à se renseigner auprès de ses contacts. En effet, nous avons eu des demandes pour deux « Bugatti Chiron » en une seule demande, une voiture coutant 3 millions d’euros, mais aussi d’autres Ferrari prestigieuses que nous ne pouvions trouver sur internet.  

Achat – Dépôt :

Mes missions comportaient aussi l’achat ou la consignation de véhicules. Cette fois encore, lorsque quelqu’un venait nous présenter son véhicule, il fallait l’accueillir convenablement, établir un premier contact correct, la courtoisie et l’humilité sont de mise. Celui-ci pouvait venir nous vendre son véhicule soit suite aux mails de prospection envoyés via la plateforme autoscout24, ou bien il pouvait aussi s’agir de clients. Le bouche à oreille a aussi permis d’acheter un véhicule sur la durée de mon stage. Il y a aussi eu des rachats sur des véhicules vendus, qui permettent souvent de reprendre le véhicule à un très bon prix.

Dans un premier temps, une inspection du véhicule est nécessaire, de façon à voir l’état générale et la configuration du véhicule. Si le véhicule venait à nous intéresser, dans le sens où celui-ci pouvait convenir à la niche de clients de l’entreprise, je regardais le prix du marché du véhicule afin de savoir à quoi m’en tenir.

Par la suite, j’exposais les différentes prestations que l’entreprise propose, en soit le simple rachat du véhicule ou la mise en consignation du véhicule. Le rachat comptant n’était pas toujours possible pour la structure, pour certains véhicules très onéreux, l’entreprise ne peut se le permettre, il fallait donc adapter en fonction des voitures, de leurs caractéristiques et de l’offre et de la demande de ce type de biens.

Dans le cas où le véhicule correspond à l’entreprise, je faisais une offre. La négociation faisait donc partie intégrante de la mission puisqu’en fonction des personnes, certaines étaient attachés à leurs véhicules et ne souhaitaient donc pas le laisser à un prix permettant de dégager une marge.

Si nous trouvions un accord, par la suite nous remplissions un contrat (d’achat ou de dépôt-vente).

Une fois le véhicule acheté ou laissé en dépôt-vente, je préparais le véhicule pour la mise en vente. Je l’emmenais là où les voitures de l’entreprise sont lavées. Une fois chose faite, je prenais des photos du véhicule. Ces mêmes photos que j’envoyais par la suite à PicDesigner, une entreprise allemande, qui enlève le fond des photos et le remplace avec le nom de l’entreprise inscrit.

Enfin, je mettais le véhicule en ligne, sur autoscout24 et automatiquement sur le site de Marc Robin Automobiles, en ayant préalablement rentré les options, les données techniques de la voiture et en ayant analysé le prix du marché afin d’établir un prix de vente.

Finalement, il fallait disposer le véhicule dans le parc, tout en affichant son prix sur le pare-brise avec des stickers et imprimer la feuille d’information sur le véhicule afin d’afficher les renseignements sur le véhicule.

Vente :

La vente a fait partie intégrante de mes missions même si souvent mon tuteur s’en occupait lui-même, au vu des sommes engagés. Cependant, celui-ci m’amenait souvent à le suivre et à participer. Par ailleurs, Monsieur Robin avait de nombreux rdv à l’extérieur ou bien était occupé avec d’autres clients, à ce moment-là je m’en occupais entièrement. Il s’agissait d’accueillir les clients, de les mettre à l’aise et de prendre contact rapidement. Par moment, il s’agissait seulement de renseignements ou bien tout simplement d’échange entre passionnés. La vente se passait en discutant avec le client de ses attentes, en répondant à ses éventuelles questions sur le véhicule en question, puis d’un éventuel essai dans certains cas. Dans ces cas-là, j’accompagnais le client tout en lui expliquant les fonctionnalités et les avantages du véhicule, tout en écoutant encore ses attentes et ses besoins afin de répondre au mieux à sa demande.

Une fois le client ayant pris sa décision, nous devions remplir quelques contrats. Si celui-ci venait à prendre la voiture en leasing (paiement de mensualité) ou en crédit, il y avait une demande à faire auprès de l’établissement de crédit CashGate. Une pièce d’identité, une fiche de salaire et des informations relatives étaient nécessaires à la demande.

Si la demande venait à être acceptée, ou bien si le client achetait la voiture comptant, nous remplissions un contrat d’achat que les deux parties devaient signer. Un acompte d’environ 10% du cout du véhicule était souvent demandé.

Nous refixions un rendez-vous pour la suite, puisque nous ne pouvons vendre le véhicule directement, il faut l’emmener à nettoyer, faire les demandes d’immatriculations, obtenir l’attestation d’assurance… Lors de ce rdv, le client devait avoir versé la totalité de la somme restante à payer pour le véhicule afin de procéder à la livraison et à la signature des derniers contrats ; un procès-verbal de livraison, garantissant l’état et les documents fournis avec la voiture ainsi qu’un contrat de garantie. Toujours en pensant bien à actualiser les dossiers, pour avoir les informations sur le véhicule et les différents contrats en cas de problème ou si celui-ci vient à être revendu dans l’entreprise.

La livraison des véhicules était une étape que j’appréciais particulièrement, voir le client ravi était une belle récompense. J’ai personnellement réalisé différents types de livraisons, directement au showroom, ou là où le client souhaitait. J’ai par exemple été livré une voiture à Montreux et chez un client à Genève dans sa somptueuse villa en bord de lac. Lors de la livraison, je donnais le double des clefs, le permis de circulation ainsi que toutes les informations nécessaires à la conduite. Il fallait expliquer le fonctionnement des diverses fonctionnalités. Une question récurrente concernait l’activation du Bluetooth, je demandais donc systématiquement à mon tuteur avant les livraisons comme celui-ci s’activait.

SAV :

Marc Robin Automobiles propose aussi du gardiennage de véhicules. En effet la société dispose de box au sous-sol ou il est possible d’entreposer des véhicules appartenant à des clients. Il faut donc régulièrement les faire tourner afin que ceux-ci ne s’encrassent pas ou que la batterie lâche. A l’exemple de cette voiture très exclusive dont nous nous occupions régulièrement. 

De plus, nous nous occupons aussi d’effectuer les services sur les voitures que les clients achètent au garage. Le client n’avait qu’à déposer sa voiture, nous prenons rendez-vous et nous nous occupons d’emmener et de récupérer le véhicule au garage où a lieu la révision. Toujours dans des garages agréés et qui dépendent de la marque du véhicule.

Administratif :

D’autre part, je devais m’occuper de certains éléments administratifs. Pour chaque achat, il fallait annuler le permis de circulation (carte grise) du véhicule en question. Je me rendais donc régulièrement au service des immatriculations cantonales afin d’annuler ou de faire des demandes d’immatriculation dans le cas d’une vente. A savoir qu’il fallait aller au service des immatriculations du canton dans lequel le client habitait, la plupart du temps Genève pour le canton de Genève et Nyon pour le canton de Vaud. Pour les autres cantons, les clients s’en occupaient eux-mêmes.

Gestion – initiative :

Je décidais aussi régulièrement ou bien à la demande de mon tuteur de changer la disposition des véhicules afin de mettre certaines voitures en valeur en fonction de différents paramètres. Les semaines de beau temps, je mettais en avant les cabriolets par exemple. De plus, cela permet de donner l’impression aux passant de montrer que les affaires tournent. En effet, c’est en moyenne 14000 véhicules qui passent chaque jour devant la vitrine du show-room. Par ailleurs lorsqu’un véhicule exposé à l’intérieur du showroom vient à être vendu, il y a un véritable travail pour le sortir. En effet, l’espace est restreint et pour accéder au véhicule le plus au fond du garage il faut vider toutes les voitures. Je n’ai eu à le faire qu’une fois jusqu’ici et le temps de tout enlever et de tout remettre cela prenait plus d’une heure, en réfléchissant bien évidemment à la nouvelle disposition du showroom.

La gestion des annonces faisait aussi partie de mes missions, encore une fois soit à mon initiative soit à celle de mon tuteur. Par moment, il fallait adapter le prix d’un véhicule en fonction des nouvelles offres afin d’être toujours au prix le plus attractif. Ou bien supprimer une annonce et la remettre pour réapparaitre en tête de liste, pour les véhicules en vente depuis un certain temps.

En tant que passionné de voitures de prestige, je ne supporte pas les belles voitures sales. Or à Genève, la pluie est très salissante, obligeant à emmener les voitures au nettoyage au moins deux fois par mois, chose que nous faisions avec mon tuteur. Je m’occupais aussi de dépoussiérer et enlever les traces de doigts sur les voitures à l’intérieur dans mon temps libre. Mon tuteur m’a appris que la propreté du véhicule représente généralement 30% de la vente.

Divers :

Il arrivait aussi par moment où je devais emmener des véhicules à la carrosserie pour le compte de client dans le cadre du service après-vente ou bien pour les véhicules que nous achetions qui avait besoin de quelques réparations.

Récemment, je me suis rendu à Paris en avion afin d’aller récupérer une voiture que nous avions acheté.