#brunocoulais
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THE HARMONIST Bruno Coulais
MEET THE HARMONY. HARMONY IS THE SOURCE OF BEAUTY. HARMONY BEGINS WITH A SMILE. FIND YOUR HARMONY...
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Coraline & The Cat
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AAAAAAA me encanta esta película
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Il compositore francese #BrunoCoulais è tra i destinatari quest'anno del premio alla carriera ai #WorldSoundtrackAwards che verranno presentati al Film Fest di Gent il 22 ottobre. La sua musica spazia dal successo francese del 2001 The Crimson Rivers fino all'epico documentario Winged Migration e all'acclamata pellicola d’animazione Wolfwalkers. Un anno chiave è stato il 1996 laddove con la colonna sonora per il documentario Microcosmos ha vinto il suo primo di tre César. Successivamente la canzone "Vois Sur Ton Chemin" del lungometraggio Les Choristes ha fatto guadagnare a Coulais e al regista Christophe Barratier una nomination all'Oscar per la migliore canzone originale. Collabora regolarmente con lo studio di animazione irlandese Cartoon Saloon dando vita alla colonna sonora della loro trilogia folcloristica composta da: The Secret Of Kells , Song Of The Sea e Wolfwalkers. Le colonne sonore più recenti di Coulais includono Maigret di Patrice Leconte, il documentario The Forestmaker di Volker Schlöndorff e l' atteso film d'animazione Wendell & Wild di Henry Selick. https://www.instagram.com/p/Cfqo0CCsGi_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Favourite fall/autumn/Hallowe’en movies: Coraline! A Focus Features & LAIKA production.
Composer: Bruno Coulais
Release Year: 2009
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Brendan et le secret de Kells
Le cadeau que je nous ai offert à Mimiko et moi-même pour nos anniversaires (^_^)
Titre original : The secret of Kells Réalisateur : Tomm Moore Co-réalisateur Nora Towmey Scénario de Fabrice Zidkowski, d'après l'oeuvre originale de Tomm Moore Musique de Bruno Coulais Coproduit par Cartoon-Saloon (Irlande), les Armateurs et France 2 Cinéma (France), Vivi Film (Belgique) 2009 Durée : 75 minutes site officiel Synopsis : Brendan, jeune moine, vit à Kells sous la tutelle de son oncle, l'abbé Cellach. Ce dernier ne pense qu'à une chose : construire des remparts assez solides pour protéger Kells des terribles Vikings qui ravagent l'Irlande à cette époque (9e siècle). C'est ici que frère Aidan, grand enlumineur et gardien d'un livre inachevé, vient se réfugier. Le vieux moine prendra Brendan sous son aile et l'initiera à son art. Poussé par Aidan, Brendan va quitter pour la première fois la forteresse et pénétrer dans la forêt où il rencontrera Aisling, un (ou plutôt une) esprit de la forêt qui l'aidera dans sa quête.
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La bande-annonce : Brendan et le secret de Kells Brendan et le secret de Kells Bande-annonce VF [...] Read the full article
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Dicen que hasta el espíritu más orgulloso puede doblegarse con amor. -Coraline y la puerta secreta- 🌑La otra madre🌑 #photooftheday #prhasesoftheday #coraline #blackandwhite #movie #movieprhases #laotramadre #henryselick #brunocoulais #blackandwhitephotography #grunge #sicksadworld #sony #sonycam #blackandwhitephotographer #guanajuato #mexicoandando #woman #pensative #patriciapalestino #coralineylapuertasecreta #streetphotography #street #tumblr (en Guanajuato)
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SONG OF THE SEA (2014) Tomm Moore a débarqué en 2009 avec l’inattendu et magifique THE SECRET OF KELLS, chef-d'œuvre d’animation au style inédit sur grand écran et enchanteur au possible, doté d’une fluidité exemplaire de d’un cachet graphique sublime: l’irlandais quitte la terre ferme pour ce nouveau conte féérique qu’est SONG OF THE SEA. On se souvient d’un KELLS incroyable, qui mélangeait subtilement un background de mythologie celtique à un visuel dessiné rappelant avec justesse de propos l’art de l’enluminure: le réalisateur nous offrait ainsi une sacrée belle histoire à la direction artistique très belle, desservie par le travail du talentueux compositeur français Bruno Coulais, ainsi que celui du groupe irlandais Kila. On fredonne encore aujourd’hui la mélodie de l’entêtante chanson “Pangur Ban”, séquence-clé totalement représentative de la magie de KELLS: SONG OF THE SEA étant l’effort du studio Cartoon Saloon -celui de Moore-, force est de constater que des similitudes évidentes le rattachent à son prédécesseur, à commencer par cette imagerie typique du réalisateur. En effet, le design en apparence épuré de SONG OF THE SEA dissimule en son sein de jolies surprises, à l’exemple de ces personnages druidiques, ou encore de la sorcière-hibou: on ne peut s’empêcher d’évoquer ici GHIBLI -plus précisément LE VOYAGE DE CHIHIRO (2001) en ce qui concerne cette protagoniste-, le dessin animé regroupant dans ses thématiques quelques sujets semblables du même acabit, ainsi que dans sa mise en scène, la scène d’”illumination” étant sensiblement une version améliorée de celle des gemmes phosphorescentes dans la caverne sous-terraine du CHATEAU DANS LE CIEL (1986). Là o�� KELLS revisitait un ancien texte latin pour nous plonger dans un monde médiéval-fantastique envoûtant, SONG OF THE SEA prend la route de la mer, en répétant son efficace formule de duo héroïque, composé cette fois d’un frère et de sa sœur cadette: en fond de trame, un père triste, une mère disparue et une enfant muette. Un cadre changeant, de par son époque -il y a des voitures- qui n’empêche pas Morre d’aller chercher la magie, la rendant de ce fait plus spectaculaire car contrastant avec son époque contemporaine: les rencontres et interactions avec les éléments et individus fantastiques gagnent en impact, mettant en lumière la narration d’un pitch ensorceleur. S’écartant peu à peu d’un cadre “normal”, SONG OF THE SEA nous charme peu à peu et nous emporte avec lui à la découverte de cet “Autre Monde“, le Tír na nÓg, célèbre nom issu tout droit des mythes nordiques: car derrière cette quête faussement infantile, Moore insuffle un héritage culturel -aujourd’hui s’effaçant hélas peu à peu- à son public, qui non seulement satisfait de consommer une œuvre d’art, en intègre des indices, des bribes, qui le pousseront -peut-être dans des années- à se pencher sur le folklore en question. Petit aparté, le groupe de black metal/shoegaze français Alcest, qui s’inspire au fil de sa carrière de plus en plus près à la nature et à ses représentations/interprétations artistiques, a sorti l’album Souvenirs D’un Autre Monde (2007), où l’on peut y trouver la chanson Tir Nan Og: sans se référer directement à KELLS, il est rassurant de notifier que l’intérêt manifesté pour ce pan culturel, cet univers mystique si particulier, subsiste ailleurs que dans le cinéma. Par respect pour vous, aucun spoil ne sera mentionné dans cette review, qui voit ainsi sa longueur raccourcie: rassurez-vous, SONG OF THE SEA peut dérouter, au départ, par ce contexte inédit jusqu’alors par le studio Cartoon Saloon. Débutant dans une réalité morose -si on la compare à KELLS- pour ensuite entretenir notre intérêt, SONG OF THE SEA délivre tout son potentiel à mi-chemin, et va plus loin que jamais, séduisant nos rétines -le chara-design, toujours aussi mignon mais avec une identité graphique propre-, faisant battre notre cœur -les animaux, et cette magie quasi-onirique splendide-, et réchauffant agréablement nos tympans -la chanteuse Lisa Hannigan est de retour, toujours pour le meilleur (à coté y’a Nolwenn Leroy qui chante le générique en deux versions, bref c’était pas obligé mais ça marche assez bien!...). Que demander de plus, sinon que Cartoon Saloon gagne en polularité et continue à nous livrer des œuvres de qualité: quand on a Brendan Gleeson dans les doubleurs, ce serait malhonnête que de faire le difficile: on souhaite à Tom Moore un long parcours professionnel, et que la persévérance de sa créativité -et liberté- totale de son boulot d’artisan paye -il a mis sur le commerce une version papier de KELLS, réalisée par ses soins: ok, le gars fait aussi des bd- perdure le plus longtemps possible. On est absorbés dans ces mondes sous-marins, subjugués par les environnements prodigieusement mis en valeur à chaque plan: une dinguerie. Le folklore irlandais et les selkies, c’est la marque de fabrique de Cartoon Saloon, SONG OF THE SEA ne dérogeant pas à la règle, plus enchanteur que Merlin himself: il y a un GHIBLI en Irlande, et nous avons très hâte de voir THE BREADWINNER (2017), premier film de Nora Twomey (proche collaboratrice de Moore qui a coréalisé KELLS) toujours chapeauté par le studio. En attendant a critique de ce dernier, n’hésitez pas à vous procurer SONG OF THE SEA, que vous ayez visionné KELLS ou non: indispensable alternative pour les allergiques à la japanimation, et solution ultime pour briser le bouclier des réfractaires au dessins animés, vous aurez compris que l’un ET l’autre sont d’absolus indispensables, en plus d’être de véridiques chefs-d'œuvre sur tous les plans, concept total et à part entière. Un sans-faute, encore une fois intemporel et pour tous les âges, beau et intelligent... Une ovation grandiloquente pour le Somptueux. SEA SEA LA FAMILLE /20
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⠀ "Coraline" soundtrack by Bruno Coulais and novella by Neil Gaiman illustrated by David McKean ⠀ #NeilGaiman #DavidMcKean #BrunoCoulais #Coraline #MondoTee #MondoVinyl #soundtrack #album #vinyl #nowspinning #instavinyl #vinyljunkie #vinyligclub #vinylcollection #vinylcollectionpost #vinylcommunity #book #books
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It’s nice to have a friend really belongs in Coraline, @brunocoulais please rescore this film
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#looktoyourpath #BrunoCoulais #VoissurtonChemin #myfavorite #beyonce #malesinger #scruffy
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#TheSoundWeNeed - #Vociinnote & #LunaECinque - #VoisSurTonChemin
Author:Bruno Coulais Solo: Emanuele Montù, Beatrice Bolle, Annalisa VItale Choirs: "L'Una e Cinque" and "Vociinnote" Guitars: Paolo Sinchetto and Marco Andrioletti Bass: Andrea Bastoni Violin: Carlo Perillo Drums: Andrea Kirckoff, Matteo Trevisan Intro arrngement: Gianluca Castelli Arrangement and production: Marco Andrioletti Recorded in Turin, April 2008 at "A&A" recording studio
#Tswn#TheSoundYouNeed#BrunoCoulais#LesChoristes#Vociinnote#Lunaecinque#vocalgroup#video#song#youtube#artesmediaproject#torino#marcoandrioletti#matteotrevisan#djsimma
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GloBeat Plays Film Music If you like the films of #WongKarWai, #WimWenders, #JonathanDemme, #PedroAlmodovar, #JimJarmush, #JohnTurturro #AnthonyMinghella and others you may like listening to this episode. Enjoy listening to #Madredeus #PierreBachelet #LuzCasal #AngeliqueKidjo #JorgeDrexler #Misia #MelinaMercouri #MartaSebestyen #YasminHamdan #EdithPiaf #SecretGarden #GoranBregovic #ConnieFrancis #BrunoCoulais #VladimirCosma and more! To listen to it please stream from https://www.mixcloud.com/jgueron/globeat-plays-film-music/ https://www.instagram.com/p/B7Z996qh_R9/?igshid=1xowcri9uz7zg
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#Coraline soundtrack on black #vinyl. A fun collector's item indeed! #BrunoCoulais #MichaelDePippo #Mondo #BeCarefulWhatYouWishFor
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CROC-BLANC (2018) La France et le Luxembourg s’associent pour donner vie à cette version animée de WHITE FANG, d’après le célèbre roman de Jack London: ce dernier faisant partie des livres obligatoires à lire au moins une fois dans une vie -même si l’on y préfère L’APPEL DE LA FORÊT-, il est tout à fait normal et légitime de voir cette jolie histoire revenir sur nos écrans, avec un cachet visuel assez séduisant. Assez fidèle dans son ensemble, WHITE FANG “2018 EDITION” souffre hélas d’une lacune technique évidente: jouant la carte du minimalisme graphique peint/grossier -un double bon point pour sa cohérence artistique, le film peine à livrer une animation correcte. En effet, on ne comprend pas pourquoi certaines créatures laissent leurs traces dans la neige, pour que le contraire se passe au plan suivant: belles couleurs, sublimes lumières, mais synchro labiale très juste font de WHITE FANG un long-métrage à destiner aux plus petits -ou à celles et ceux peu exigeants envers la physique de l’animation-. Agrémenté par la musique toujours efficace de l’excellent compositeur Bruno Coulais -THE SECRET OF KELLS (2009), par exemple-, on finit par se prendre d’empathie pour ce loup dont la vie sera impactée par la force de la nature, la corruption humaine, et les choix de ces hommes et femmes sans qui rien n’aurait été pareil: on apprécie aussi le fait que les protagonistes humains PARLENT à l’animal, comme s’il était un “véritable individu”, preuve d’une remarquable considération. Car Croc-Blanc est unique, et même si on lui veut du mal, il dégage -scénaristiquement- un charisme auquel il est impossible d’y être étranger: mais constamment, la technique peu moderne du film nous coupe dans le visionnage, demeurant en fait une basique animation-clé à vocation fonctionnelle, au lieu d’insuffler quelque chose de vivant aux mouvements et gestes des personnages/animaux. Ces lacunes, on les retrouve dans cette séquence où plusieurs canidés aboient, laissant à l’évidence transparaître le vain effort d’un bruiteur n’ayant que trois samples d’aboiement à disposition pour nous faire croire à la supercherie. Triste... car bien écrit, et bien doublé -Peul Giamatti, putain!-. WHITE FANG fait les frais de la concurrence, là où tous se jettent pour aller voir le dernier PIXAR, ou toute “idiotie du samedi après-midi en CGI”: et c’est dommage, car le long-métrage a le potentiel pour devenir un classique, qu’il ne sera jamais. Au moins, il a le mérite de donner envie de lire ou relire les romans de Jack London -voire de se pencher à nouveau sur le live-action de 1991!-, et c’est sans doute son meilleur -et seul- argument. PAS SA FAUTE /20
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