#bonnets rouges
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xoxoemynn · 7 months ago
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Ed Teach positively belting out El Tango de Roxanne from Moulin Rouge (whyyyyyyyy does my HEARTTTTTTTT cryyyyy???? FEEEEEEEEELINGS I CAAAAAAAAAN'T FIGHT????) while he's doing chores around the inn and Stede sneaking up on him and attempting to do all the low gravelly Roxanne, you don't have to wear that dress tonights bits except he goes too low and has a coughing fit and then they just end up collapsing in a fit of giggles and decide to have a proper tango around the kitchen.
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digitalfashionmuseum · 1 year ago
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Gouache Drawing, ca. 1794, French.
By Jean-Baptiste Lesueur.
Portraying a jacobin in grey trousers, a brown coat, a striped waistcoat, and a bonnet rouge.
Musée Carnavalet.
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philoursmars · 1 year ago
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La semaine dernière, j'ai retrouvé mes amis Julien et Katie à Remoulins dans le Gard (Languedoc).
Le petit village de Saint-Bonnet, dans le Gard, mais on sent l'ambiance provençale : platanes, fontaine, vieux sur leur banc...
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chic-a-gigot · 3 months ago
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La Mode illustrée, no. 40, 1 octobre 1866, Paris. Toilettes de Mme Bréant-Castel, 58, rue Ste. Anne. Envois de la Mon. de Commission Générale. 53, Rue d'Hauteville. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe en sultane lilas (tissu en poil de chèvre, très-fin), bordée avec une bande de poult-de-soie violet, surmontée d'une engrelure en passementerie noire, perlée de jais; corsage montant, plat; péplum à ceinture, droit par devant, à pointes sur les côtés et par derrière, de même tissu que la robe et reproduisant la même garniture. Chapeau en tulle lilas, entièrement bordé de violettes; petites brides violettes en ruban, larges brides lilas en tulle.
Lilac sultana dress (very fine goat hair fabric), edged with a band of purple poult-de-silk, topped with a black braid engrelure, beaded with jet; high, flat bodice; peplum with belt, straight in front, pointed on the sides and behind, of the same fabric as the dress and reproducing the same trim. Lilac tulle hat, entirely edged with violets; small violet ribbon straps, wide lilac tulle straps.
Robe en poult-de-soie noir, à fines rayures maïs; sur toutes les coutures de la robe, coupée en pointe et sur son bord inférieur, se trouve une fine corde de soie maïs; veste bretonne (brevetée, dépôt chez Mme Bréant-Castel, rue Sainte-Anne, 58 bis), faite en drap blanc, et doublée de fin drap rouge, découpé à l'emporte-pièce, et dépassant un peu le drap blanc; les poches, les entournures et les épaules sont ornées de bandes de drap blanc, brodées en soies de couleurs vives; les poignets des manches sont garnis avec des bandes pareilles; sur le côté de droite un carré de drap blanc contient le portrait brodé d'une paysanne bretonne. Col et poignets droits en toile unie. Sur le tête petit bonnet composé d'un carré en guipure, posé de telle sorte que l'une des pointes du carré se trouve sur le front, l'autre sur le chignon, tandis que les deux autres pointes soutiennent les barbes faites en guipure et velours rouge; nœud de velours rouge sur le carré de guipure.
Black poult-de-soie dress, with fine corn stripes; on all the seams of the dress, cut into a point and on its lower edge, there is a fine corn silk cord; Breton jacket (patented, deposited at Mme Bréant-Castel, rue Sainte-Anne, 58 bis), made of white cloth, and lined with fine red cloth, cut with a die, and extending slightly beyond the white cloth; the pockets, armholes and shoulders are decorated with strips of white cloth, embroidered in brightly coloured silks; the cuffs of the sleeves are trimmed with similar strips; on the right side a square of white cloth contains the embroidered portrait of a Breton peasant woman. Straight collar and cuffs in plain cloth. On the head a small bonnet composed of a guipure square, placed in such a way that one of the points of the square is on the forehead, the other on the bun, while the other two points support the beards made of guipure and red velvet; red velvet bow on the guipure square.
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cressida-jayoungr · 1 year ago
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One Dress a Day Challenge
November: Oscar Winners
Moulin Rouge / Zsa Zsa Gabor as Jane Avril
Year: 1952
Designer: Marcel Vertès
So, this is the other Moulin Rouge! This one is a Toulouse-Lautrec biopic starring Jose Ferrer, and I confess that I didn't even know it existed until I started looking up the academy awards. It's quite the visual feast! I particularly liked this recreation of a dress worn by Jane Avril in one of Toulouse-Lautrec's most famous depictions of her. The poster doesn't show a lot of details of the dress, due largely to the pose and the angle; so the designer, Marcel Vertès, did a good job of interpreting it.
Her bonnet is particularly interesting. The high crown would have been very old-fashioned for the 1890s, and the sort of wooly texture of it is very unusual (which is to say, probably a Hollywood invention). The orange and black feathers, as well as the black tie under the chin, are very true to the original art.
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chicinsilk · 7 months ago
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Harper's Bazaar June 1958
Tan Arnold wears a pink swimsuit held up by a single strap. Swimsuit designed by Givenchy forJantzen, in Celanese acetate, Lastex and nylon. Mr.john's large parasol straw hat under a pink swimming cap. “Watteau Rose” lipstick by Juliette Marglen, matching Nail Glacé.
Tan Arnold porte un maillot de bain rose retenu par une seule bretelle. Costume de bain conçu par Givenchy pour Jantzen, en acétate Celanese, Lastex et nylon. Grand chapeau de paille parasol de Mr.john sous un bonnet de bain rose. Rouge à lèvres "Watteau Rose" de Juliette Marglen, assorti à Nail Glacé.
Photo Louise Dahl-Wolfe
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justineportraits · 9 months ago
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Evelyne Sie Les Bonnets Rouges 2020
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thebusylilbee · 5 months ago
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
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vancruejovi · 4 months ago
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A little playlist of underrated songs for you all 🎶
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(Art is by the very talented @magentasnail ✨)
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cuddleswinchester · 7 months ago
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falling into my baby Winchesters feelings
Charles was eight years old, sitting in the stuffy drawing room with his sister, Honoria.  They were sharing tea on a set of china worth more money than everyone in the North End had in their bank accounts, combined.  He was sent home from his boarding school, prior to the end of term, because the whole establishment was being shuttered until further notice.  The train was crammed full to capacity, but Charles still felt alone for the duration of his journey through the city, with the other passengers stumbling over each other and groaning like branded cattle while he tried to read his book.  Some of the boys in his class had said they needed to go home and help their parents, and Charles did not understand what they meant, even when they mentioned jobs in factories or at street-corner newsstands.  All Charles needed to do, to be useful to his parents, was keep his sister company, so the nursemaid could be let go.  It wasn’t a problem; he enjoyed spending time with Honoria.  
She was four, perpetually sniffly, and shy.  She sat on the tufted chair across the table from Charles, kicking out her legs, paying no mind to the doll Mother had placed in her lap.  It was an exquisitely pretty little thing, in Charles’ opinion, not that he would admit to gazing at it.  Her porcelain face managed to convey softness, with blushing cheeks and dewy eyelashes.  She was dressed in a white christening gown, with a lace bonnet and bow granting femininity to her precious bald head.  It was only that morning Mother had taken her out of the box, a new plaything to keep Honoria occupied, with all that commotion going on downtown and Father pacing in his study with the radio at full volume and half the household staff being sent out.  The trouble was, Honoria was not interested in the toy.  Mother had set it down without instilling any imagination in it, whatsoever.  
Once Mother left the room, Charles quietly offered the doll a cup of cream from their tea-setting, and Honoria gave him a smile, albeit a puzzled one. 
“Let me hold her,” Charles said.
He offered his arms forward, accepting care of the doll before Honoria’s restless fidgeting could send her plummeting to the hardwood floor, where she might shatter.  Her clothing was delicate, her porcelain limbs were cold to the touch, but her face was friendly, when Charles tucked her into the crook of his arm and rocked her, gently.  Honoria watched with wide eyes.
“I’ll show you how to, ah…” Charles did not think she seemed like a toy to be played with; she seemed like a lovely baby girl, completely dependent on him.  He touched the doll’s rouged cheek, more gently than the sponge that had painted it.  “I’ll show you how to take good care of her.”
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thebrickinbrick · 7 months ago
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
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Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
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These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
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Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
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Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
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Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
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Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
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Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
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J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
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The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
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In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
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clove-pinks · 7 months ago
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LE BONNET ROUGE ! It was great to see this on an American patriotic design at the River Raisin National Battlefield Park Museum: back when we used to openly borrow symbols from Revolutionary France.
This was near the Kentucky in the War of 1812 exhibit, where a manniquin looks sadly at some mysterious maple(?) candies that he can never reach. (There was a car flying a Canadian flag in the parking lot, who knows.)
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They also had some manniquins representing British forces, with Broad Arrow and Board of Ordnance markings on their equipment (the other B.O.)
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The museum collection is modest, but they had some nice displays of flintlock firearms with paper cartridges and a good selection of books in the giftshop.
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digitalfashionmuseum · 1 year ago
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Gouache Drawing, ca. 1794, French.
By Jean-Baptiste Lesueur.
Portraying a man in brown trousers and coat, and a bonnet rouge, and a woman in a white skirt, brown bodice, and blue shawl.
Musée Carnavalet.
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hannibalzero · 6 months ago
Note
Do you ever think that Arthur had to get all dolled up for a mission?
I believe so! Much to Arthur’s displeasure.
It’s different when he wants to dress up showing off his secondary gender. He has a few nice corsets and simple dresses/pants, lace up boots. Maybe a bonnet (he hasn’t worn that bonnet in years. Won’t get rid if though.) Nothing to fancy. He’s no diamond of the season or anything special.
At least in his mind.
Dutch likes to ignore Arthur’s secondary gender. A simple disappointment to him, until it’s useful!
That’s when Dutch orders Molly to…really doll Arthur up. They are after a rich man that enjoys male omegas. A rare man as it were.
This used to be Hosea’s job way back when.
Meanwhile Arthur over hearing this:
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A day of beautiful-fying by Mrs.O’Shea and being dragged to the parlor. Is the stuff of nightmares.
Cleaned like he has the plague, skin scrubbed until passable soft. Face clean shaven and washed with lye soap, covered in some sort of cream to make him pale. Rouge and eye liner, lips painted a bright red. corset tighter than anything. Showing off his large chest Arthur prefers. The corset snatched tightly to show of his hips. Not including the under dress, belt and garders with stocking too. High heeled boots, gloves, hat, handbag, parasol and gun he hides….somewhere.
Molly throws her hands up, she has done all she can do to turn a cowboy into a debutant.
Arthur is still a thick and strong man, so he feels absolutely foolish in all this lace and frill. It’s a nice blue and white though, really shows off his thick strong chest.
The lipstick is nice though…
Charles keeps looking at his lips.
Wonder how many kisses Arthur can get away with before ruining his make up? Maybe twelve if Molly wasn’t watching. Charles needs some kisses…
Sadly Dutch is forcing Arthur into the stagecoach before Arthur gets a chance to test his luck.
Later~
Arthur don’t mind being the damsel in destress if a certain axe welding outlaw is the one to run off with him. ❤️ but the rest of the gang doesn’t need to know that part nope nope.
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chic-a-gigot · 6 months ago
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La Mode nationale, no. 272, 11 juillet 1891, Paris. No. 1. — Costumes de bains de mer. Bibliothèque nationale de France
(1) Costume de bain, en anacoste bleu-marine. Corsage froncé, décolleté en carré sous un galon blanc fantaisie. Jupe courte, garnie de deux galons et d'une ceinture semblable. Pantalons au-dessous du genou. Grand chapeau de paille. Grand manteau de bain en tissu éponge.
(1) Swimming suit, in navy blue anacoste. Gathered bodice, square neckline under fancy white braid. Short skirt, trimmed with two braids and a similar belt. Trousers below the knee. Large straw hat. Large terry cloth bath coat.
(2) Costume de bain forme marine, en lainage crème. Corsage ouvert sur une chemisette crème et bleue, encadré dans un revers de lainage bleu, se terminant au bas du corsage, boutonné. Pantalons courts, garnis par une bande bleue. Manches semblables à la chemisette. Souliers de bain, attachés en cothurnes. Chapeau de paille blanche et bleue, posé sur un bonnet de toile cirée.
(2) Navy swimsuit, in cream wool. Open bodice over a cream and blue shirt, framed in a blue woolen cuff, ending at the bottom of the bodice, buttoned. Short pants, trimmed with a blue band. Sleeves similar to the shirt. Bathing shoes, tied into buskins. White and blue straw hat, placed on an oilcloth cap.
(3) Costume marin pour jeune fille. Blouse en lainage bleu foncé, à larges revers crème, brodés d'ancres bleues, entourant un plastron héraldiquement brodé. Jupe plissée tout autour, brodée d'ancres dans le bas, retenue à la taille sous une ceinture crème. Chapeau de paille, très enlevé, doublé par du tulle à pois plissé, avec ancre brodée. Nœud comète en dessus.
(3) Sailor suit for young girl. Dark blue woolen blouse, with wide cream lapels, embroidered with blue anchor, surrounding a heraldically embroidered bib. Skirt pleated all around, embroidered with anchors at the bottom, held at the waist under a cream belt. Straw hat, very stylish, lined with pleated polka dot tulle, with embroidered anchor. Comet knot above.
(4) Costume italien pour enfant, fille ou garçon, de 4 à 5 ans. Blouse drapée en lainage rayé blanc et rouge, retenue à la taille par une écharpe nouée sur le devant. Grand col blanc retombant dans le dos, et en pointe devant. Chapeau de paille blanche, pointée de rouge, avec fond arlequin en lainage blanc et rouge.
(4) Italian suit for children, girls or boys, 4 to 5 years old. Draped blouse in white and red striped wool, held at the waist by a scarf tied at the front. Large white collar falling in the back, and pointed in front. White straw hat, tipped with red, with harlequin background in white and red wool.
(5) Costume de lainage ivoire uni. Corsage à petites basques, sans petits côtés, entouré par une petite frange boule. Manches bouffantes du haut, serrées dans le bas. Jupe drapée devant et plissée à larges plis derrière. Chapeau de paille blanche, entouré par un froufrou de mousseline de soie ivoire, avec nœud de ruban rouge en crest derrière.
(5) Plain ivory wool suit. Bodice with small basques, without small sides, surrounded by a small ball fringe. Puff sleeves at the top, tight at the bottom. Skirt draped at the front and pleated with wide pleats at the back. White straw hat, surrounded by a frill of ivory silk chiffon, with a red ribbon bow in the crest behind.
Métrage: 9 mètres lainage, grande largeur.
(6) Toilette de lainage rouge. Corsage-jaquette fermé et boutonné, à grandes basques, le tout garni de petit velours noir et de boutons blancs. Col rabattu, poches de velours sur les côtés. Jupe plate devant, plissée derrière, brodée en soie noire dans le bas devant, au-dessus de l'ourlet. Chapeau de paille, à bords enlevés, orné sur le côté par un fouillis de gaze de soie rouge.
(6) Red woolen ensemble. Closed and buttoned bodice-jacket, with large basques, all trimmed with small black velvet and white buttons. Turn-down collar, velvet pockets on the sides. Flat skirt at the front, pleated at the back, embroidered in black silk at the bottom of the front, above the hem. Straw hat, with removed brims, decorated on the side with a mess of red silk gauze.
Métrage: 8 mètres lainage rouge, grande largeur.
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chicinsilk · 3 months ago
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"Jolie Madame de France"
Pierre Balmain Haute Couture Collection Fall/Winter 1958-59. Simone d'Aillencourt wears a two-tone jacket suit, top in red wool cloth and basque in black wool cloth by Raimon, skirt in the same black wool cloth, black leather belt, bonnet in black fox and black leather, large muff in matching black fox.
Pierre Balmain Collection Haute Couture Automne /Hiver 1958-59. Simone d'Aillencourt porte un tailleur à veste bicolore haut en drap de laine rouge et basque en drap de laine noir de Raimon, jupe en même drap de laine noir, ceinture en cuir noir, bonnet en renard noir et cuir noir, grand manchon en renard noir assorti.
Photo Philippe Pottier
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