#bisous et cœur sur toi aussi :)))))
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OHOHOH!!
Je me présente ici en tant qu'anon pour renverser la tendance! tu devineras très vite qui je suis! (un indice: :)) )
❤💚❤💚❤💚❤💚❤💚❤💚❤💚❤💚❤
Je voulais te souhaiter un joyeux noël et te laisser une petite surprise! juste un p'tit sketch vite fait ne connaissant pas encore assez t'es goût! (mais cela je compte bien le changer en revenant bientôt dans tes ask!) Je te fais de gros bisou et cœur sur toi! <333
Lien du cadeau! :
https://i.postimg.cc/QdN3wPSV/fROG.jpg
Ooooooooo Kenshi, je suppose :D
Elle est incroyable cette petite grenouille je l'adore haha elle est trop mignonne <3 et elle est aro en plus, moi qui croyait que personne n'est parfait ❤️ j'avoue que je n'ai rien fait pour toi parce que j'ai fini mon internat hier soir donc j'ai eu aucun temps pour rien faire mais c'est sur ma to do list donc get ready for a surprise~
Et j'ai vraiment été démasquée du coup haha même si c'était prévisible donc je sais pas si je reviens en anon ou pas, je crois ce sera selon la ✨ vibe ✨ X)
Mais elle est trop mignonne j'adore look at this absolute baby c'est mon fond d'écran maintenant :) (c'est un screen de quand je l'ai mis en place vu que comme c'est verrouillage je peux pas screen le vrai écran :( )
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je ne veux plus
écrire de beaux poèmes
je ne veux plus
puiser dans ma tristesse
cultiver l'attente
je ne veux plus être mon propre terrain de jeu je veux
tisser une intimité avec toi
non les poètes ne disent pas toujours "je veux ken"
parce que les poètes ne se mettent pas toujours
dans les situations les plus faciles ou plutôt
les poètes rendent public que l'amour n'est pas
une situation facile et que comme tout le monde
ils désirent et la tendresse fait tanguer le cœur parfois plus qu'un orgasme
et comme tout le monde les objets de désir ont
un travail des amis un concert ce-soir des émotions un passé un enfant deux enfant trois neveux une tante un peu omniprésente un animal de compagnie des kilomètres entre nous une passion et ce n'est pas nous un boss d'autres gens à texter un loisir un voyage de prévu un plan de vie
c'est pour cela qu'ils nous manquent, cela n'a rien avoir avec leur
sourire leur regard qu'on soutient à toute heure du jour et de la nuit leurs gestes marques d'affection fossettes yeux profonds mains douces mains caleuses mains grandes poignets avant-bras épaules cul torse cuisse mollet ventre dos danse leur rire le fait qu'il nous dise merci leur capacité à nous créer des souvenirs d'un rien pour les autres mais vraiment beaucoup pour nous cette main sur notre épaule leur capacité à mettre la lumière sur nous de ne plus nous faire sentir seul de nous apaiser hop d'un coup par leur présence ce bisou sur la joue ce câlin cette pression inhabituelle cette surprise ce cadeau ce temps ce cadeau cette compagnie ce cadeau alors je dis
merci à toi aussi
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Ramener Votre Cœur À La Vie - TASM!Peter Parker
Marvel Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Résumé : Ta mère et May ont arrangé un rendez-vous entre toi et Peter en pensant que vous étiez fait l'un pour l'autre, toutefois vous penser que ça ne marchera pas.
Warnings : mention de la mort de Gwen et d'Oncle Ben, mention de relation toxique (pas de détail), anxiété, un peu d'angst, fin heureuse, ditees-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 3.4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Electric Touch par Taylor Swift Feat. Fall Out Boys (Taylor's Version) (From The Vault)
Tes vêtements sont éparpillés de partout dans ta chambre. On dirait un véritable chantier, mais ça ne t’arrête pas pour autant. Tu continues de fouiller dans ton placard à la recherche de la tenue parfaite. Enroulée dans ta serviette de bain, le désespoir prend un peu plus possession de ton corps. Tu n’aurais jamais dû écouter ta mère. Au moins, tu ne serais pas dans cette situation. Tu pousses un grognement de frustration quand on frappe à ta porte de chambre. Tu invites la personne à entrer et ta mère apparaît.
-Tu n’es toujours pas prête ? Il va arriver dans une trentaine de minutes !
-Oui, maman, je sais ! rétorques-tu, sèchement avant de prendre une voix plus douce. Désolée. Je sais pas quoi mettre, j’en ai marre.
-Mets quelque chose dans lequel tu te sens bien.
-Plus facile à dire qu’à faire ! Je ne trouve que des défauts à tous mes vêtements. Je sais même pas pourquoi je t’ai écouté, en fait. Je le connais même pas et on a déjà un rendez-vous. Ça se trouve, ce gars est quelqu’un d’horrible, commences-tu à déblatérer en faisant les cent pas. Enfin, tu le connais pas réellement non plus. Tu sais juste ce que ta collègue, May, t’a raconté. Peut-être qu’elle a embelli la réalité !
-Je ne connais peut-être pas Peter personnellement, mais je l’ai déjà vu plusieurs fois et tu l’as aussi vu une fois, je te rappelle. Tu l’as même trouvé mignon.
-Je l’ai vu cinq minutes il y a deux ans, ça ne compte pas vraiment.
-Je suis sûre que Peter est quelqu’un de gentil, affirme ta mère en caressant ta joue pour te calmer. Pour te le prouver : quand May oublie d’amener son repas, il l'emmène toujours avec un grand sourire et un bisou sur la joue. Il l’accompagne souvent au travail quand il fait nuit. Et toutes les fois où je lui ai parlé, je l’ai trouvé très poli. Tu crois vraiment que je t’aurais arrangé un rendez-vous avec le premier venu ? J’ai de l’instinct, ma puce.
-Je ne suis toujours pas convaincue. On s’est à peine échangé trois messages et c’était juste pour s’assurer que c’était toujours bon pour aujourd’hui. Et puis, ça se trouve, je ne vais même pas lui plaire. Et même si ça fonctionne ce soir, qui dit que ça durera dans le temps ? Mes histoires se finissent toujours mal. C’est bon, je vais annuler, c’est mieux, déclares-tu en tentant de prendre ton téléphone, mais ta mère te l’enlève de tes mains.
-Tu ne vas pas annuler. Respire, détends-toi, ça va aller, dit-elle avec douceur. Écoute, je sais que ta dernière relation avec George s’est mal passée et que tu en as beaucoup souffert, mais tu ne peux pas continuer à fermer ton cœur à de nouvelles rencontres, car tu penses que tu vas retomber sur une autre version de lui. Et puis, même si le courant ne passait pas entre toi et Peter, ce dont je doute, tu aurais au moins fait un pas en avant. Tu n’as pas à avoir peur. Allez, enfile ça et tu verras, tu seras belle et à l’aise dans tes vêtements, ajoute ta mère en te donnant une robe mi-longue. Je dois aller au travail. Préviens-moi quand tu es rentrée, d’accord ? Faites attention à vous. Ça va aller, ma puce, j’en suis sûre.
Ta mère t’embrasse une dernière fois sur le front avant de quitter ta chambre. Tu pousses un long soupire puis, tu finis de te préparer. Pendant que tu fais ton maquillage, tu ne peux t’empêcher de regarder ton téléphone, attendant un potentiel message de Peter t’informant que le rendez-vous est annulé. Ta mère avait réussi à faire descendre ton anxiété, mais tes peurs ont vite repris le dessus une fois seule à nouveau. Pour toi, ce rencard peut se terminer uniquement de deux seules façons : soit ça finit mal et tu as le cœur brisé, ce qui est probable, soit il se finit bien et ton cœur peut enfin guérir, ce dont tu doutes. Tu te demandes si Peter est dans le même état que toi.
La réponse est simple : il est encore plus en panique que toi. Il a seulement accepté ce rendez-vous pour faire plaisir à Tante May. Depuis la mort de Gwen, il s’est beaucoup renfermé, mais, à présent, il veut faire des efforts. Toutefois, parmi ces efforts, il n’avait pas inclus “sortir avec d’autres personnes”, surtout si c’est pour mettre une autre personne qu’il aime en danger. Il ne veut pas reproduire ce qui s’est passé avec Gwen. Au début, il avait essayé d’y échapper, mais May a tellement insisté qu’il a fini par céder. Pour lui, ce rencard est une ultime tentative pour voir si sa vie amoureuse peut marcher tout en étant Spider-man. Il aimerait que ça fonctionne pour une fois, mais il ne peut s’en empêcher d’être pessimiste.
Sachant que votre rendez-vous est en fin de journée, Peter a décidé de faire sa patrouille quotidienne un peu plus tôt. Il n’y a pas grand-chose qui sort de l’ordinaire, par conséquent, il arrive à rentrer chez lui pile à temps pour se préparer. Au moins, même si ce rendez-vous est catastrophique, il est sûr qu’il sera à l’heure.
En entrant dans sa chambre, il enlève vite sa tenue de Spider-man et se jette sous la douche. Dans son placard, il prend d’abord la première tenue qui lui tombe sous la main puis, il commence à paniquer.
“C’est un premier rendez-vous, je peux pas mettre n’importe quoi”, se dit-il.
Il s’apprête à se changer quand il se demande pourquoi est-ce qu’il se casse tant la tête alors que ça ne va pas aboutir. Il ne va sûrement pas te plaire ou vice-versa. Alors, il renfile son tee-shirt noir et se regarde rapidement dans le miroir. Sa tenue est décontractée, peut-être un peu trop pour un premier rendez-vous. Il devrait peut-être ajouter une veste. Il ne voit pas vraiment quelle différence ça fait. Il n’arrive pas à deviner si sa tenue va. Après tout, il ne veut pas faire trop d’effort, mais d’un côté, il a envie d’en faire un peu. Tu mérites d’avoir un rencard avec un mec à peu près présentable. Il finit par troquer son tee-shirt noir pour un bleu foncé. C’est un peu moins triste, n’est-ce pas ? Quand il regarde l’heure, il voit qu’il n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps et s’occupe de ses cheveux en faisant sa coupe habituelle. May l’interrompt rapidement pour lui signaler qu’elle part au boulot.
-T’es mignon comme ça, je suis sûre que Y/N sera de mon avis.
-J’sais pas, marmonne Peter en se tournant vers May.
-Crois-moi, c’est déjà le cas. Sa mère m’a dit que tu lui avais tapé dans l'œil, affirme-t-elle avec un grand sourire.
-Ça ne veut pas dire que ce rendez-vous sera bien. Je ne suis même pas sûre de vouloir sortir avec quelqu’un d’autre, Tante May.
-Peter, je sais que la mort de Gwen a été compliquée pour toi, mais tu ne peux pas rester enfermé dans une boucle où Gwen est encore à tes côtés, commence May en posant ses mains sur les épaules de son neveu. Tu dois avancer. Ça ne veut pas dire que tu vas l’oublier. Gwen sera toujours dans ton cœur et c’est normal, mais ça ne veut pas dire que personne d’autre ne doit rentrer. Et puis, ce rendez-vous n’est pas obligé de se finir sur une relation amoureuse. Peut-être que tu te feras une nouvelle amie et ça, ça sera déjà un grand pas. Je suis déjà fière de voir que tu t’autorises à avancer, malgré la douleur.
-Elle me manque, murmure Peter en regardant le sol.
-Je sais, mon grand.
-Tu crois que la douleur s’arrête un jour ?
-Je crois que ça devient plus facile de vivre avec, répond May délicatement. Tu sais, maintenant, j’arrive à penser à ton Oncle Ben sans avoir mon cœur qui se déchire complètement. J’arrive à penser d’abord aux bons souvenirs avant de me rappeler qu’il n’est plus là. Ça ira bien pour toi aussi, Peter. J’en suis sûre.
Peter fait un dernier sourire à sa tante alors qu’elle quitte la pièce. Quand Peter est prêt, il regarde son téléphone et voit que tu n’as pas annulé à la dernière minute, il n’a donc pas d’autre choix que de partir prendre le métro. Logiquement, il devrait arriver à sept heures pile chez toi pour que vous puissiez aller au diner à une quinzaine de minutes de ta maison.
Dans le métro, Peter commence à stresser de plus en plus en pensant à ce qu’il pourrait te dire. Après tout, il ne te connaît pas. Vos conversations seront sûrement vides et si c’est le cas, le rendez-vous va être très, très long. Alors qu’il réfléchit à une question qu’il pourrait te poser pour briser la glace, le métro s’arrête abruptement. Peter regarde par la vitre et voit qu’ils ne sont pas arrivés à une station. Soudain, une voix interrompt les interrogations de Peter et des personnes à côté de lui en informant :
“Chers voyageurs, nous vous informons que nous avons actuellement un problème technique. Nous faisons tout pour régler la situation au plus vite. Nous nous excusons pour ce désagrément.”
Peter soupire en entendant l’information. Il risque d’être en retard. Super. Il sort son téléphone pour te prévenir, mais bien évidemment, son téléphone n’a pas de réseau.
Pour lui, cette panne sonne comme un présage, il n’aurait pas dû accepter ce rencard. Même si toute cette histoire ne se termine pas comme avec Gwen, le fait est que ça ne marchera pas, c’est sûr. Il aimerait ne pas souffrir à nouveau, mais Peter a l’impression d’être allergique au bonheur.
Peter tente de calmer son anxiété en repensant aux mots de Tante May et range son téléphone avant de prendre son mal en patience jusqu’à ce que la situation soit réglée.
De ton côté, tu attends Peter, assise sur le canapé du salon. Il est bientôt sept heures, il devrait arriver d’une seconde à l’autre. Une fois de temps en temps, tu jettes un coup d'œil par la fenêtre, mais tu ne le vois pas arriver. Plus les minutes passent et moins tu arrives à tenir en place.
“Respire, détends-toi, ça va aller”, la voix de ta mère résonne dans ta tête en vain.
Tes yeux voyagent entre la fenêtre et ton téléphone, les deux ne t’apportent aucune nouvelle sur l’arrivée de Peter. Tu commences à te mordre la lèvre en t’imaginant les pires scénarios. Il t’a peut-être posé un lapin ? Non, ta mère t’a assuré qu’il était gentil donc il ne l’aurait pas fait. Tu as peut-être donné la mauvaise adresse ? Tu regardes tes messages et découvres que tu n’as pas fait d’erreur. Peut-être que tu as mal compris le jour et l’heure ? Tes messages prouvent que tu ne t’es pas trompée. Il lui est peut-être arrivé quelque chose de grave, alors ? Non, tu ne peux pas commencer à imaginer des choses horribles. Il a juste du retard, rien d'autre. N’est-ce pas ?
Tu attends encore un peu et quand la demie est passée, tu lui envoies un message pour savoir où il est. Tu n’obtiens pas de réponses. Tu commences à ronger tes ongles alors que ton cœur bat de plus en plus vite, le stress devenant trop important. Tu n’arrives pas à comprendre et tu commences à douter de tout ce rendez-vous. C’était clairement une erreur, tu n’aurais jamais dû accepter. Tu aurais aimé que ça marche pour une fois, mais tu sembles être maudite. Tu avais raison, tu vas avoir le cœur brisé et ce rencard va mal se finir - si Peter finit par arriver.
Après plus de quarante minutes bloqué dans le métro, Peter descend enfin à ta station. Il se faufile entre les gens en courant, ne voulant pas être plus en retard. Cinq minutes plus tard, il voit enfin ta maison au loin. Quand il passe devant la fenêtre de ton salon, tu le vois courir telle une furie. En regardant ton téléphone, tu vois que c’est huit heures cinq. Il a plus d’une heure de retard, à cette réalisation, tu lèves les yeux au ciel. Il a intérêt à avoir une bonne excuse. Tu as déjà donné dans les mecs qui ne sont pas ponctuels, tu n’as pas besoin d’un de plus !
Quand il est devant ta porte, il passe rapidement une main dans ses cheveux, prend une profonde inspiration avant de frapper. Il patiente un instant avant que tu ouvres la porte. En te découvrant, Peter est subjugué par ta beauté alors, il reste planté, là, à ne rien dire. Quand tu lui lances un regard, il reprend ses esprits avant de parler.
-Je suis terriblement désolé pour le retard. J’étais bloqué dans le métro et…
-Un message n’aurait pas été de trop, l’interromps-tu sèchement.
-J’avais pas de réseau. J’en ai eu quand je suis enfin arrivé à la station. En temps normal, je suis ponctuel, je te promets. Je suis désolé de t’avoir fait attendre. Tu as sûrement pensé que je t’avais posé un lapin et c’est normal, mais ce n’est pas mon genre. J’ai essayé de faire au plus vite quand le métro a redémarré, explique Peter et tu sens qu’il est sincère. Tout est ruiné, n’est-ce pas ? Ce n’était pas mon but. Je comprendrais si tu ne voulais plus qu’on sorte ce soir.
-Je veux bien qu’on sorte. Le métro est tombé en panne, ce n’est pas de ta faute, assures-tu en souriant.
En entendant ta phrase, Peter te fait un sourire. Même s’il n’avait pas forcément hâte pour ce rendez-vous, le fait est qu’il s’est engagé avec toi et il met un point d’honneur à tenir ses promesses.
Tu prends ton sac à main et fermes la porte de chez toi. Peter te laisse passer en premier et vous marchez en direction du diner. Sur le chemin, tu demandes à Peter de te donner un peu plus de détails sur la panne du métro, ignorant par quel sujet commencer la conversation.
Quand vous êtes installés à votre table, vous continuez d’échanger des banalités. Juste en vous regardant, on peut deviner que vous n’êtes pas à l’aise, vous ne savez pas comment agir avec l’autre. Aucun de vous n’ose commencer une conversation profonde, comme si vous aviez oublié comment agir lors d’un premier rencard. Tu contemples même l’idée d’inventer une excuse pour partir. La discussion reste embarrassante jusqu’à ce que vous commandiez à manger. Après avoir évoqué une énième banalité, Peter lâche un soupire avant de prendre la parole :
-Je suis sûr que cette situation est aussi gênante pour toi que pour moi. C’est ta mère et ma tante qui ont organisé tout ce rendez-vous, mais ça n’a pas à être aussi embarrassant. Je ne sais pas pour toi, mais c’est mon premier rencard depuis un moment et je suis un peu rouillé. Ma dernière relation s’est terminée… de manière tragique, disons et donc, on a pas forcément besoin de se mettre de grandes attentes pour ce soir. On devrait juste apprendre à se connaître sans s’attendre à quelque chose en particulier et juste voir où ça nous mène, si ça te convient.
-Ça me convient, acceptes-tu en poussant un soupir de soulagement. Ma dernière relation s’est mal terminée également. C’était assez toxique, et j’avoue que j’ai du mal à être à l’aise.
-Alors, allons-y doucement. Pas besoin que ça soit un grand rendez-vous romantique, apprenons simplement à être à l’aise avec une nouvelle personne. Qu’est-ce que tu en dis ?
-Je suis d’accord avec toi.
À partir de ce moment, la tension quitte votre table, vous laissant vous découvrir tranquillement. Peter te pose quelques questions sur le livre que tu as lu dernièrement et rapidement, vous parlez de vos centres intérêts, qu’ils soient communs ou non.
Finalement, vous arrivez à passer un bon moment. Tu rigoles plusieurs fois, suite à des remarques de Peter. On ne t’avait pas fait rire de cette façon depuis longtemps. Peter est tout de suite sous le charme de ton rire, adorant la manière dont ton visage s'éblouit. Peter te parle un peu plus de lui et tu dois avouer que tu apprécies de plus en plus sa personnalité. Ta mère avait raison, Peter est quelqu’un de réellement gentil. À certains moments, vous rentrez un peu plus en détails de vos anciennes relations, sans trop vous attarder, certaines blessures encore trop fraîches, mais vous comprenez que l’un comme l’autre, vous avez encore un peu de chemin à faire, mais vous n’êtes pas contre l’idée de le faire ensemble.
Après avoir mangé, vous restez encore un peu au restaurant, ne voyant pas les minutes défilées. Quand vous finissez par partir vers les vingt-deux heures passées. À peine dehors, tu as un frisson à cause de la fraîcheur de la nuit. Peter le remarque et te propose sa veste. Tu essayes d’abord de refuser, mais il insiste et tu finis par accepter. Alors qu’il te la mets sur tes épaules, sa main droite frôle ta peau et tu frissonnes à nouveau, mais pas à cause du froid, ton cœur bat également plus rapidement, mais pas à cause de l’anxiété. Son toucher était comme électrique et en relevant la tête, tu vois Peter proche de toi et tu te dis qu’il est encore plus beau à cette distance. Tu essayes de ne rien laisser paraître alors que vous commencez à marcher vers chez toi.
Sur le chemin, vous continuez à discuter et tu aimerais que ce moment n’ait jamais de fin. Tu n’aurais pas pensé que tu aurais pu te sentir autant connecté avec un autre homme aussi rapidement. Pour Peter, il n’aurait jamais cru qu’il arriverait à s’autoriser à regarder une autre femme que Gwen. Tante May avait raison, Gwen est toujours dans son coeur, mais il n’est plus aussi contre de laisser quelqu’un d’autre rentrer. Peut-être pas tout de suite, mais si tu devais le faire, il en serait content.
Quand vous êtes devant ta porte d’entrée, tu redonnes la veste à Peter et tu espères secrètement toucher sa main, mais le vêtement t’en empêche. Tu souris à Peter alors qu’il finit de parler du début de sa théorie sur le multivers.
-C’était vraiment bien ce soir. Je ne pensais pas passer un aussi bon moment, sourit-il.
-Moi non plus. J’avais beaucoup d’appréhension.
-Je te comprends.
-Tu sais, je ne serais pas contre l’idée de refaire quelque chose dans le genre, commences-tu en évitant son regard. Je serais contente de voir où ça nous mène, même si on prend notre temps.
-J’en serais content aussi. Est-ce que tu crois que ça serait trop rapide si je te disais que tu es très belle ? J’y ai pensé toute la soirée et je me suis dit que je devais te le dire avant de partir et de regretter d’avoir rien dit.
À son compliment, tes joues se mettent à chauffer alors qu’un sourire prend place sur ton visage que Peter trouve plus que mignon. Savoir qu’il t’a fait sourire réchauffe son coeur.
-Ce n’est pas trop rapide, j’apprécie le compliment. Tu es mignon également. Et tu crois que ça serait trop rapide si je t’embrassais la joue ? demandes-tu et Peter se fige. Tout de suite, tu regrettes ta question et tu ne sais plus où te mettre. Désolée, je suis allée trop loin, je n'aurais pas dû le dire.
-Je m’y attendais pas, c’est tout, mais ça me dérangerait pas.
Légèrement embarrassée, tu te rapproches de Peter et poses ta main sur sa joue avant d’embrasser sa joue droite. En sentant ce contact sur sa peau, Peter ne respire plus pendant une seconde. Il ne pensait pas que ton toucher serait aussi éléctrique contre sa peau. Le baiser était court, mais il l’a en mémoire. Il sait qu’il va y repenser chaque seconde de la journée. Quand tu t’éloignes, tu souhaites une bonne nuit à Peter avant de rentrer chez toi. Peter reste planté jusqu’à ce que ta porte soit totalement fermée puis, il quitte ton porche, un grand sourire aux lèvres.
Tous les deux, vous repensez à cette soirée avec tendresse. Vous savez que ce n’est que le tout début, mais vous savez déjà que l’un comme l’autre saura ramener votre cœur à la vie. Vous avez déjà envie de vous revoir et peut-être que ça vous prendra un peu de temps avant de vous autoriser à tomber amoureux à nouveau, mais ce n’est pas grave. Pour une fois, vous savez que ça va bien se passer.
Marvel Masterlist
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« Un amour impossible » (chapitre gratuit)
L'amitié et l'amour se ressemblent, pour qu'une relation dure dans le temps, faut l'entretenir, la laisser s'épanouir, vivre chaque jour comme si c'était le dernier, savourer chaque instant passé ensemble...
Quand je regarde mes deux meilleurs amis, je me dis sans cesse que notre amitié et faites pour durer, que l'on seras toujours inséparables comme nous le sommes depuis l'enfance, nos visages ont changé, nos corps aussi, nous avons gagnés en maturité, mais nous sommes toujours les mêmes, les sales gosses qui font des conneries, mais maintenant que nous sommes adultes...on en subit les conséquences.
~~~~~~~~~~
Tout a commencé à Paris, mes parents venait de divorcer et ma mère avait décidé que le mieux pour nous serait de recommencer une nouvelle vie dans cette magnifique ville.
Avant de partir, ma mère m'emmena chez mon père pour que je puisse lui dire au revoir, ça me déchirait le cœur de devoir le laisser, je voulais qui reste ensemble, je voulais qu'on soit une famille comme avant.Je serrais mon père extrêmement fort, je voulais plu le lâcher, je pleurais à chaudes larmes, il allait profondément me manquer, mes amis aussi et ma famille. Mon univers était chamboulé, je détestais ma mère pour cela, je la détestais de m'arracher à tout ce qui me tenait à cœur, je la détestais de détruire ainsi mon cocon.
Mon père me relève la tête, me regarde fixement, droit dans les yeux et s'exclame...
Mon père :"sois forte ma Chérie, ce n'est pas un adieu, juste un au revoir" dit-il calmement
Moi :"papa, je veux rester ici...je ne veux pas aller là-bas...s'il te plaît, laisse moi rester avec toi, s'il te plaît."Dis-je en pleurant et en me serrant contre lui
Mon père :"tracy écoute moi ma puce dit-il en me forçant à le regarder, tu viendras à la maison les week-end et les vacances, je te promets tout ira bien, tout seras comme avant...tu dois faire preuve de courage, on ne sera peut-être plus dans la même ville, mais mon amour pour toi restera toujours intact...je t'aime fort ma Chérie,ne l'oublie jamais" dit-il en me serrant une dernière fois et en me donner un bisous sur mon front.
Ma mère décide de m'arracher à lui, pendant que mes larmes et mes hurlements déchirent l'air, je ne veux pas partir, j'implore mon père, mais il reste sourd même si je lis une profonde tristesse dans ses yeux. Nous prenons la route direction Paris en suivant le camion de déménagement.
Mes yeux regardent par la fenêtre de la voiture, le paysage défile à toute allure, mais la tristesse qui se noie dans mon cœur et lourde à porter, les larmes coules sur mes joues d'un geste rageux, je les retire et repense à ce que mon père m'a dit" soit forte", je dois être forte même si ça me crève le cœur.
Mes yeux s'affaissent peu à peu, les émotions de la journée ont raison de moi et je m'endors paisiblement dans la voiture qui continue de rouler vers notre destination... Vers le commencement d'une nouvelle vie.
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C'était une bonne journée,
Ce genre de journée ou tu n'as pas envie que ça se termine.
Te revoir être avec toi, ce ciel bleu, ce doux soleil qui réchauffe la peau et ton sourire qui réchauffe mon cœur.
Toi aussi volant, ma main te caressant la nuque, et passant par tout les centimètres carrés de celle-ci. Lentement je m'imprégne de ta peau, t'es cheveux dans la nuque, le lobe de ton oreille... Passer ma main contre ta peau et sous ton t-shirt, me réchauffer la main tout en continuant à te carresser. Te voir le sourire au lèvre pendant ce temps là. Sentir cette excitation monter en moi et savoir que de ton côté aussi tu ne restais pas insensible...
On aurait pu imaginer une journée autrement avec plus d'intimité, de câlins, de bisous... Mais je suis tellement contente de l'avoir passé avec toi, d'avoir rigolé comme ça, et d'avoir fini sur une belle note.
💚💙
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Gabin c’est mis en couple enfin il l’a afficher et elle aussi , sa copine.
En vrai ça me fait un peu bizarre ça m’a fait retourner dans le passé
Je ne l’aime plus mais je l’ai aimé enfin je l’aimerais toujours pour de vrai comparer à tout mes exs
Quoique chacun a toujours un parti dans mon cœur
Sauf toi Léo t’es une merde va canner
Antoine ça me ferait un truc de le voir en couple mais à part son ex il a eu personne c’est bizarre mais il trouvera la bonne un jour. Ça me ferait moin bizarre parce qu’il m’a bq blessé et je sais qu’on collait pas ensemble même s’il était jeune et moi aussi je crois ne jamais lui pardonner de m’avoir forcer à faire ma première fois
Sam aura toujours une petite place mais comme j’ai toujours penser ça sera toujours amical je n’ai jamais éprouvé de l’amour du désir pour lui seulement j’avais envie de partager des moments avec lui de parler avec lui
Léo t’es une merde y’a rien a. Dire sur toi pour l’instant j’en parlerai un jour si jai le courage peut être
Tout les autres je vous compte pas vraiment comme des exs hein vous m’en voudrez pas
Mais Sam Antoine Gabin Léo vous êtes des exs
Toi Gabin je considère que j’ai mérité que tu me quittes j’avais qu’à ne pas parler à ben aucun intérêt je m’en veut même si je sais que d’après toi tu m’as quitté parce que tu voulais avoir d’autre expérience et tout et tout mais bref je me demande toujours si j’avais être autrement si j’avais pu changé les choses si tu serais rester avec moi
J’ai toujours de fort souvenir sur notre premier rencard notre premier bisous j’en ai pas bq sur notre premier appart comme si ça avait durer 2mînutes
Je me souviens de notre rupture à l’appart
On aurait peut être jamais du se mettre en appartement
T’étais tout le temps droguer
T’as commencer à me mentir enfin c’était dur
Je déteste ben il savait que j’étais en couple
Pourtant c’est de ma faute
Bref j’arrive même pas à ne pas mentir ici comment je pourrais ne pas mentir en vrai
C’est chaud
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Garde aussi pour toi de précieux temps de solitude pour calmer les vagues sur le lac de ton âme, et surtout pour entendre les musiques qui chantent au fond de ton cœur, ainsi, tu te connaîtras et tu entrera dans le pays de la paix et de l’équilibre.
Là seulement, tu découvriras le chemin qui mène au cœur des autres. »
Ne soyez pas avare de compliments, de beaux gestes, d’acte de gentillesse et de la compassion envers votre prochain…
Bisous pour une super semaine...…love 💕🌟💕🌟
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Chapitre 7 : Yulia, la lumière de mon âme...
Elle me manque. Tout le temps. A chaque secondes. Son visage ancrée dans ma tête.
Je suis dans cette silencieuse chambre blanche, je n'ai presque pas dormi de la nuit.
Ma jambe me faisait mal, mais l'absence de Yul' me fait encore plus mal.
La seule pensée qui me réconforte c'est le fait qu'elle va venir me voir aujourd'hui.
On est tôt le matin, je ferais mieux de dormir un peu. Mais je ne peux pas, c'est la première fois que je n'arrive pas à dormir, c'est dingue.
Un peu plus tard, l'hôpital se réveille, j'entends des enfants.
Je commence à repensée à ma nuit où j'ai perdu ma virginité, je n'aurais jamais cru la perdre avec une fille. Même si Yulia n'est peut être pas la femme de ma vie, je suis fière de l'avoir fait avec elle. C'est la plus belle chose que Yulia a pu m'offrir. Je l'aime plus que tout.
Soudainement, j'ai à nouveau envie d'elle, envie de l'embrasser, envie de la voir. Pour cela il faudra que j'attende encore des heures.
« Comment va ta jambe ? »
« Ca pourrait allait mieux... »
« Ok. Ca ne te dérange pas si un garçon partage la chambre avec toi ? »
« Non, pas du tout, ça me fera de la compagnie. »
L'infirmière quitte la chambre. Je suis à nouveau seule, avec pour seule occupation, penser.
Dans l'après midi, il est déjà installer le p'tit bonhomme. Il est là pour un problème de cœur, je n'en sais pas plus, je n'en ai pas besoin. Il à des cheveux bruns et des petits yeux bleus, un petit bout d'homme, très gentil.
Il s'appelle Lev, il a alors 10 ans à tout casser. Très bavard, et mignon tout plein.
« Tu t'appelles comment ? »
« Lena. »
« Moi c'est Lev, ça veut dire lion ! »
« Je sais. Tu me l'as déjà dis Lev. »
Je passe ma main dans ses cheveux, il me sourit et buvant un peu d'eau.
Je m'occupe de lui pendant que ses parents sont absents. Ce soir Yulia viendra me voir, nous ne pourrons faire aucun geste l'une envers l'autre, au risque du petit.
« Tu veux jouer ? »
« Oui, mais à quoi ? »
« Au docteur ! »
Je souris amusée, il se lève de son lit, et se dirige vers moi.
« Tu sais comment on y joue ? » me demande-t-il.
« Pas vraiment. Et toi ? »
« Bah non, j'ai dis ça comme ça. »
Je rigole, c'est un drôle de garçon.
Il renifle avant de me dire :
« T'as un petit copain ? »
« Oui. »
« Moi aussi ! Mais elle n'est pas là ! »
« Elle viendra te voir ? »
« Je sais pas, je m'en fiche ! »
Je suis surprise de sa réponse, puis je souris à nouveau, tout les petits sont comme ça, ils ne savent pas encore se qu'est l'amour.
« Tu ne l'aimes plus alors ? »
« Nan, j'aime quelqu'un d'autre ! »
« Ah oui ? Qui est-ce ? »
« C'est toi ! »
Je rougis et lui souris en caressant sa joue, il me dépose un petit bisou sur la mienne et sors quelque chose de sa poche.
« Tu pourrais quitter ton copain pour moi ? »
Je rie, il me regarde avec insistance.
« Je ne sais pas. Je ne pense pas, tu es trop jeune. »
« Bah si tu veux je grandis plus vite ! »
« Il ne faut pas être pressé, tu sais. »
« Tu veux pas te marier avec moi ? »
Il prend ma main et passe une bague autour de mon index, mauvais doigt, mais il est jeune. Lev est un garçon spécial, c'est vrai qu'il peut être gamin des fois, mais je le trouve très mûr pour son age.
Je n'ai pas répondu à sa question, je propose un jeu de société pour passer le temps et changer de sujet.
Il gagne à chaque fois, je me demande si il n'a pas le même age que moi des fois.
Au fil des heures, je m'attache à ce petit bout, on devient amis, même si il prétend m'aimer, cela ne compte pas pour moi. Je m'amuse mais en même temps, Yulia me manques de plus en plus.
« Si à la prochaine parti je gagne tu m'embrasses ! D'accord ? »
« Sur la joue ? »
« Nan sur la bouche ! » déclare-t-il joyeusement.
« Lev...Je... »
Le garçon commence à faire un regard implorant, et puis après tout ce n'est qu'un baiser.
Cela ne va rien changer, et puis cela fera un heureux.
Après quelques minutes de jeux, il finit par gagner et me rappelle :
« Un bisou ! Ouais ! »
Il s'approche de moi, tout content, et m'embrasse. C'est à ce moment là que Yulia décide d'entrée dans la chambre...
Une surprise. Il fallait que ça arrive. Elle me regarde, je la regarde. A mon plus grand malheur, Lev se permet de lui demander :
« Salut, c'est pourquoi ? Tu es qui ? »
« Je...Heu..., répond Yulia qui semble ne rien comprendre. »
Elle me regarde, un regard insistant. Je suis certaine qu'elle est vue ce baiser, mais j'ai l'impression qu'elle ne m'en veut pas. Ce qui l'embête c'est qu'elle ne comprend pas la situation.
« Lev, soit gentil, apporte moi une verre d'eau, tu veux bien ? »
« Oui bien sûr ma chérie ! »
Je recroise le regard de Yul' où j'arrive à lire sur ses lèvres un « Ma chérie ? » bien interrogateur. Je lui souris, gênée. Lev passe à côté de Yulia en la regardant comme une bête curieuse. Il referme la porte, ma brune s'avance un peu, je tente de lui expliquer mais elle me coupe :
« C'est qui ce p'tit cornichon malpoli ? »
Je lui lance un sourire amusé.
« C'est Lev, le garçon qui partage ma chambre. »
« Et... Ce garçon, il t'embrasse quand il a envie ? »
Tout en disant ça elle fait des gestes, je ne peux m'empêcher de sourire, j'aime Yulia toute entière, jamais je ne pourrais me passer d'elle.
« Mais non, c'est juste parce qu'il à gagner à un jeu, et qu'il m'a donné cette condition, ce n'était rien. »
Elle se rapproche encore, je me sens un peu idiote à l'attendre comme ça dans mon lit alors qu'elle, elle me nargue en s'approchant bien doucement.
« Bon, arrête de jouer et embrasse moi. »
« J'dois jouer à un jeu pour pouvoir t'embrasser comme je veux ? »
Ma brunette reste sérieuse, je lui souris, malgré ses phrases, et ce taquinage, qu'elle me fait souvent. Puis elle éclate de rire, je suis son rire, et elle me saute dessus.
Enfin nos lèvres se croisent, mon cœur s'accélère, je suis heureuse. Elle ouvre sa bouche, je fais de même, nos langues se croisent, nos lèvres sont soudées.
Je ne redoute plus rien, même plus Lev. Personne. Je suis bien. C'est l'important.
« Tu m'as manquée... »
Ses mots me font fondre, je lui dis pareil, et je l'embrasse à nouveau.
Peut être quand on sera vieilles toutes les deux, des embrassades comme ça, il n'y en aura plus alors, j'en profite, je profite de mon amour réciproque.
« Si je n'aurais pas cette p*t*in de blessure, nous serions allez quelque part, un endroit où il y a un lit, tu sais pourquoi un lit n'est ce pas, et où on peut être sûres d'être seules pendant des heures... »
« J'en connais peut être un... » me susurre-t-elle sensuellement.
Je frémis. Elle a toujours su parfaitement me déstabiliser. Mon sourire est pris par ses lèvres, encore une fois, plusieurs fois elle m'embrasse, plusieurs fois je l'embrasse.
« Eh ben, fait de la magie, enlève moi cette blessure ! »
« Si je savais faire ce genre de chose, je l'aurais déjà fait ma belle. »
« Je sais ma douce. »
J'aime ces petits noms qu'on se donne, quelque chose de gentil, qui fait très « couple », mais c'est quelque chose qui me procure un sentiment de sécurité et de bien être, à chaque fois.
« Bon, faut faire style qu'on est amis, j'veux pas choquer Lev. »
« Bah, on va le convertir, il va aimer les mecs vite fait. »
Je lui tape gentiment sur l'épaule pour la punir des conneries qu'elle peut dire, et pourtant j'y rigole, Yulia est une fille unique, je ne veux pas la perdre.
« Pôv' gamin, qu'est ce que ça va être quand t'aura des gosses ? Tu vas aussi leur apprendre à aimer une personne du même sexe ? »
« Ca dépend avec qui j'fais les gosses, ma femme m'aidera à ne pas faire de connerie. » dit-elle en me regardant droit dans les yeux.
« Ta femme tu dis ? Parce que tu crois que tu vas être lesbienne toute ta vie ? »
« Si c'est avec toi, pas de problème. Pourquoi, tu ne crois pas que ça va durer ? »
Elle haussa d'un ton, je sais que je ne devrais pas dire des choses comme ça, mais la dernière fois que je me suis plongé dans le futur, je me suis noyé dans la réalité.
Je ne veux plus vivre ça, même si je sais que avec Yulia, notre relation est incassable.
« Si, j'y crois dur comme fer, mais j'ai peur Yul', peur de te perdre. »
« Crois moi, y'a pas plus meilleure que toi en p'tite copine. »
« Hé hé, je sais. » fis-je ironiquement.
Je lui caresse la joue en ajoutant :
« Tu peux me croire, moi aussi j'ai la meilleure petite amie du monde. »
« Oh oh, c'est trop de compliment pour moi, je sens mes chevilles enflées ! »
Elle rigole, et ce sourire quand elle rie, magnifique. Je l'embrasse en coupant son rire, elle est surprise, mais elle prolonge le baiser, pour mon plus grand bonheur.
« J'ai besoin de toi pour vivre... »
« Je veux t'avoir à mes côtés quand je mourrais... »
Ainsi, nous nous chuchotions des choses comme ça, j'étais dans ses bras.
Cela faisait une demi-heure que Lev n'était pas revenu, mais je ne m'inquiéter pas, dans les bras de Yulia, plus rien existe à par elle est moi...
« Si un jour je meurs, je ne veux pas que tu pleures car ce sera à toi que j'offrirais mon cœur... » me chuchote-t-elle d'un air sérieux et romantique.
Je regarde au dessus de moi, elle me regarde puis se penche pour m'embrasser, elle décolle ses lèvres un instant puis m'embrasse à nouveau, ce sont ses petites poses qui rende le moment beaucoup plus marquant et intense.
« Yulia, je t'aime, je t'aime et je t'aime, ma vie c'est toi rien que toi... »
Ces derniers furent prit encore une fois par les lèvres de ma chérie, de façon a se qu'elle absorbe mes phrases, qu'elle les retienne, quelque chose que seule moi peut vraiment comprendre.
Notre histoire d'amour est tellement forte que même pas des mots suffirait à la décrire.
Je l'aime, et je ne saurais vous décrire ce que je ressens quand je l'embrasse.
Il y a une semaine, je n'osais rien lui dire, mais le seul contact avec sa peau me procurer une joie indescriptible, je pourrais l'admirais des heures en train de dormir, mon cœur à toujours battu plus vite quand nous avions de contact avec notre peau.
Des ailes me poussent quand elle me prends dans ses bras, et quand elle m'embrasse... Je m'envole...
Mais je m'envole avec elle... Pas toute seule.
J'aimerais dire pour toujours, mais on ne sait jamais ce que nous réserve le futur.
« Elle est quand ton opération ? »
« Demain... »
« Aïe...Demain on a cours, il faudra que je rattrape les cours. Les tiens aussi. Mais rassure toi, je serais là le soir et le plus longtemps possible. »
Je lui souris pour la remercier de son attention envers moi, elle me renvoie un sourire charmeur. C'est à c'est moment là que mes lèvres aiment rencontrer les siennes.
Puis j'essaye de me retirer de ses bras, je sens que Lev ne vas pas tarder, je ne veux pas prendre de risque.
« Lev ne va pas tarder, Yul'... »
Elle me reprends dans ses bras et m'embrasse. Baiser passionné.
Sa main se pose sur ma nuque, elle prolonge notre baiser, nos lèvres sont pressées l'une contre l'autre, l'insistance de la main de ma brune contre ma nuque m'empêche de reculer. Mais cela ne me pose pas de problème.
Ensuite, ses lèvres se posent sur mon coup, je frissonne.
Mais je me retire et lui tire la langue.
« Allez vas-y, enfuis toi de mes bras, je me vengerais... » dit-elle en rigolant.
Je me retourne vers elle.
« C'est pas moi qui veut choquer les p'tits ! »
« Oh oh ! Tu me cherches Katina ! »
« Oh oh géant vert ! Je te trouve Volkova ! »
Il y a un instant de silence, et nous éclatons de rire en même temps.
Lev entre dans la chambre, Yulia s'effraya un peu, et moi je continuai à rire.
Elle me fit une tape dans l'épaule pour que j'arrête de me foutre de sa gueule, mais c'était tellement rare de la voir s'effrayer.
Lev ne fait pas attention à nous et va chercher son sac.
« Tu fais quoi Lev' ? » demandais-je.
« Je cherche mon sac, j'ai rencontré une fille dans le couloir, on va jouer au cartes ensemble ! »
Il sort ses cartes, les regarde et jette un rapide regard à nous deux.
« Bon salut les filles ! »
« Ouais bye ! » lance Yulia comme si elle n'en avait rien à faire.
Le garçon s'en va aussitôt, je regarde Yulia, elle me sourit, comme d'habitude.
L'infirmière entre, et nous informe que dans 10 minutes ce sera la fin des visites.
Yul' et moi faisons un soupire collectif, et sur le moment, cela nous fait rire.
« Le temps passe trop vite... »
« Oui, en plus grâce à toi j'ai pas mal à la jambe, tu l'savais ça ? »
« Mmh, chuchote-t-elle, nan... »
Elle s'approche de moi et m'embrasse avec désir, son corps se presse contre le mien, position agréable.
Les 10 minutes se passe trop vite, nous nous embêtes comme des gamins et nous nous taquinons.
Je ne sais pas si se faire chier mutuellement est un plaisir ou juste de la drague mais je sais que faire ça nous rapproche, même si nous sommes ensemble.
L'infirmière entre à nouveau, et Yulia qui était en train de me chatouiller avait les mains posaient sur ma poitrine...
Yulia se retourne vers la dame et se retire aussitôt, limite rouge comme une tomate.
L'infirmière fais un sourire amusée et déclare avec un soupçon de regret dans sa voix que c'est la fin des visites.
Elle se retire, elle sait que les au revoirs sont personnelles.
Je n'arrête pas de parler de ma brune, elle doit se douter de quelque chose.
« Je t'aime... »
« Moi aussi je t'aime... »
Nous nous embrassons avec tellement de passion que j'me demande si on pourra s'en passer un jour.
Elle essaye timidement de toucher ma langue avec la sienne, je la rencontre, et le baiser devient immédiatement plus intense et plus intéressant.
Mais elle c��de, devant respecter les règles.
Un bisou rapide, un au revoir de la main, et elle disparaît de la pièce.
Mon cœur se sent vide à nouveau, et je n'aime pas cette impression.
J'entends sa voix, je souris.
Mais sa voix devient de plus en plus forte. J'entends de l'agitation, puis une autre voix, mais masculine.
J'entends quelque chose se briser, j'entends des gens courir.
J'essaye de sortir de mon lit, mais ma jambe refuse.
J'ai l'impression que des gens se batte, il y a beaucoup d'agitation.
C'est décidé, je prends les béquilles, sort du lit.
Quand j'ouvre la porte...
Je n'arrive pas à croire ce que je vois...
J'arrive à peine à le croire...
Moi qui croyais que Yulia avait changée, décidément, son caractère de feu ne l'a pas quitté.
Je la vois, plaquant un mec contre le mur, un mec qui est au bahut, je reconnais sa tête.
Elle lui décroche une droite, le garçon essaye de se débattre mais en vin, la force de la brune est bien trop forte...
Puis, il réussit à lui donner un coup de pied dans le ventre, Yulia relâche sa prise, il lui donne ensuite un coup de poing.
A ce moment, mon cœur se serre, je ne supporte pas que l'on frappe la personne que j'aime, je me surprends à gueuler « ARRETEZ » et Yulia se retourne vers moi, elle me regarde, surprise. Le mec, n'ayant pas entendu ce que j'ai crier, continue sa bagarre.
Trop tard pour la prévenir, un nouveau coup.
Elle se défend, mais trop tard, les médecins les séparent.
Je vois les enfants, les malades devant leur chambre, spectateurs de ce spectacle surprenant.
Ma brune s'engueule avec une infirmière, on l'envoie dehors, et son dernier regard s'adresse à moi. Un regard énervé mais désolé. Un regard qui me reste dans la tête pendant un bon moment.
Le petit merdeux s'essuie le coin de la bouche, je suppose un de ses amis avec lui, ils rigolent ensemble, se foutant de la gueule du médecin.
Je n'arrive pas à y croire, les patients non plus.
Dans quel monde vit on ?
Le médecin finit par l'envoyer paître et je peux distinguer un joli doigt d'honneur adressé au médecin encore une fois, il disparaît sous les regards choqués des autres.
Je retourne dans ma chambre, il faut que je me calme, il faut que je sache, je dois comprendre...
Pourquoi a-t-elle fait ça ?
Qui est ce mec ?
Qu'est ce qu'il fout là ?
Je m'allonge sur le lit, les questions pleins la tête.
Je sais que ce que je raconte ne peut pas être bien compréhensible, mais en racontant ce qu'il se passe dans ma vie j'essaye de faire de mon mieux pour qu'on me comprenne, j'essaye de décrire correctement mes sentiments envers Yulia, mais comment faire si les mots manquent ?
J'aimerais pour une fois, que les choses s'arrêtent, que Yulia et moi soyons seules, sans ces problèmes derrière nous, sans les cours qui nous pourrissent la vie, sans ces gens qui ne comprennent pas, sans ces ennuis.
Nous avons traversaient tellement d'épreuves, il serait temps de dire stop...
Mais le temps ne passe pas, les minutes se foutent de moi et les secondes, n'en parlons même pas.
Dans la soirée, l'infirmière me raconte ce qui s'est passé.
« Nous avons entendu du bruit, et dès que nous sommes arrivés, nous avons vu Yulia qui se battait brutalement avec un jeune homme. Ils ont renversés beaucoup de choses, le couloir était dans un sale état... »
« Mais est ce que vous savez pourquoi ils se sont battus ? »
« Non, mais en tout cas, ils s'insultaient beaucoup. »
« Quoi comme insultes ? »
« Pervers, salop, obsédé, fils de pute... Je pense que Yulia ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait, mais elle était vraiment très énervée. »
« Et le mec a riposté avec ses poings ? »
« Oui, mais il l'a aussi insulter, de pute, salope, conasse... Bref, des jolis gros mots à ne pas dire ! »
Lev n'était pas là, nous pouvions parler librement, mais j'avais du mal à comprendre le geste de ma brune, je suppose que le mec l'a cherchée et l'a trouvée sans doute... Mais comment ? Avec quels mots ?
« Ecoute Lena, le médecin a déclaré qu'il expulsait Yulia, tu ne pourras pas la voir demain... Ni les autres jours d'ailleurs. »
« Mais, ce n'est pas de sa faute ! »
« Peut être, je ne sais pas, mais elle s'est battu, dit des injures, elle a était très agressive... »
« Et alors, elle voulait juste se défendre ! »
Yulia ne pourra pas me voir demain, le jour de mon opération, le jour où j'avais besoin d'elle.
Je ne suis pas fâchée contre elle, mais contre le médecin.
J'suis sûre qu'il ne l'a même pas écouté.
Depuis que j'étais avec Yulia, elle ne se battait plus, à par si on l'a cherchait vraiment, elle a changée, mais ça, on ne le changera pas.
Et puis, c'est son tempérament de feu qui m'a plu.
Elle m'as montrée son monde, avec douceur, sans jamais me vouloir de mal, elle m'a protégée, mise sous son aile...
Elle était tellement gentille avec moi.
Nous avons vécus tellement de choses, elle, qui m'a sauvée d'Edouard, qui s'est battu contre Tamara pour moi. Elle avait fais tellement de choses pour moi...
Si vous croyez qu'il n'y pas beaucoup de différence entre l'amitié et l'amour, vous vous trompez.
Imaginez sortir avec votre meilleure amie, ce ne sera pas pareil. Pas du tout.
Quand vous êtes amie avec un garçon par exemple, et que vous finissez pas sortir avec lui, ce n'est pas la même chose, il y a plus de soucis, quand on est en couple on partage la même vie, les même soucis amoureux...
Au début, Yulia était ma meilleure amie, mais je savais que c'était différent de toute mes autres amitiés (bien que je n'en n'ai pas eu beaucoup), Yulia m'a montrée l'amour, m'a montrée la joie de vivre.
Je me rappelle cette fête, avec ma sœur...
C'est aussi grâce à Yulia que j'ai su que ma sœur était lesbienne.
Et ça, je n'y aurais jamais penser, en même temps, c'est super d'avoir une sœur lesbienne, mais si jamais elle tombe amoureuse de la même fille, c'est pas génial, heureusement qu'elle avait Mina.
Oui, parce que moi, j'pense qu'on peut pas résister à ma Yulia.
« Bon, passe une bonne nuit. Repose toi, tu as journée chargée demain. »
« Oui, merci. »
Elle s'en va, et dix minutes plus tard, Lev entre.
« Lenaaaaaaaaaaaaa ! »
« Lev... » souffle-je doucement.
Il court vers moi, je le prends dans mes bras, nous avons un moment de silence avant qu'il me dise :
« T'as vu la bagarre qu'il y a eu aujourd'hui ? »
« Oui. »
« J'ai eu peur moi, mais on sait même pas qui a gagné ! »
« Moi je sais, c'est la fille ! » dis-je fièrement.
« Ouais, elle est super forte, mais le garçon lui a donné un bon coup de poing. »
« Oui, tu sais pourquoi ils se sont battu toi ? »
Décidément cette question est ancrée dans ma tête.
« Y'a une fille qu'arrêter pas de dire que c'est parce qu'il est amoureux de l'amie de la fille qui s'est battu ! »
« Oh non... »
« Quoi ? »
« Rien rien. Je suis fatiguée. Il est tard, on dort ? »
« J'ai pas envie ! »
« Attention l'infirmière va venir te voir et va crier ! »
« Bah qu'elle vienne. »
Je rie avec lui, il s'installe sur son lit, et sort ses cartes de la poche de son jean.
Il se gratte la tête, pose les cartes sur la table de chevet et se met en pyjama, je regarde le mur sans le voir, mes yeux se ferment...
Le sommeil s'empare de moi, je me sens partir.
« Lena ! Lena ! »
On me secoue, j'ouvre les yeux, Lev me regarde, petite bouille d'ange.
Je me redresse, cligne plusieurs fois des yeux. Et demande :
« Qu'est ce qui a ? »
« Tu veux pas m'aider à dormir, j'arrive pas ! »
« Je veux bien t'aider ! »
« D'accord, parce que, quand je suis à la maison, maman me raconte une jolie histoire pour m'endormir. »
A ce moment là, j'ai la nostalgie de mon enfance, j'oublie quel age j'ai, et commence à lui raconter une histoire d'amour semblable à la mienne, sauf avec un garçon et une fille.
Il est bien enfoncé dans son lit, et m'écoute attentivement.
Des fois il me coupe et me dis :
« C'est quand qu'ils sont ensembles les deux amoureux ? »
Je lui souris et lui répond :
« Bientôt. »
Je me rends compte que mon histoire d'amour avec ma brunette a mis du temps à ce former.
Il y a eu Edouard, ensuite le problème avec mes parents, mon accident et j'en passe.
Pourtant, toutes ces choses font partie de notre histoire.
Sans elles, nous n'en serions pas là.
Je contourne certains passages qui ne sont pas pour lui, vous devez savoir lesquelles, mais à ma grande surprise, Lev demande sans aucune gêne :
« Et c'est quand qui font l'amour ? »
Je rigole, mais son air sérieux me choque, il a 10 ans comme même...
J'avais oubliée que les jeunes savent déjà comment font les grands, mais à cet age, on a pas besoin de savoir ça. Mon dieu, ils ne savent même pas encore ce qu'est l'amour et même, quand ils parlent vulgairement de sexe, les petites ne savent ce que c'est.
« Heu, ils le font à la fin. »
« Ils le font pour ce faire plaisir ou pour avoir un bébé ? »
Je me sens gênée et commence à transpirer, je n'aime pas quand les gamins parlent comme ça alors je rétorque :
« Ca ne te regarde pas, c'est leur vie privée. »
« Ouais, mais si c'est une histoire qu'on raconte, on a le droit de le dire, vu qu'elle existe pas l'histoire ! »
« Et si elle existe vraiment ? »
Il rigole, et me répond simplement :
« C'est impossible d'avoir autant de problèmes en si peu de temps ! »
« Si c'est possible ! »
« Nan, parce que déjà, y'aura jamais de mecs capable de vouloir tuer la princesse, et aussi c'est impossible d'aller aussi souvent à l'hôpital et, si c'aurait été vrai, ils seraient tous en prison voilà ! »
« Si tu le dis ! Moi j'te crois pas ! »
« Tant pis, j'te parle plus ! »
Je suis surprise de sa réponse, il fronce les sourcils et me boude pendant quelques minutes, avant que je me rende compte qu'il est très sérieux.
« Allez Lev, un lion fait jamais la gueule ! »
Il ne répond pas.
« Lev ! Si tu me réponds j'te fais un bisou ! »
Toujours pas de réponses.
« Tu veux vraiment me faire la tête aussi longtemps ! »
Je me lève, même si j'ai mal à la jambe, et va à son lit, il ne me regarde pas et s'enfoui sous sa couette.
« Je sais où tu es ! »
Je commence à le chatouiller, je retrouve mes 10 ans, il ne résiste pas, il rigole à s'étouffer, je rigole moi aussi, une vraie gamine.
Une vraie gamine qui pense toujours et encore à sa Yulia.
Une gamine amoureuse.
Ouais, ça doit être ça.
Lev fait la paix avec moi, même si j'aime jouer avec lui, j'espère qu'en sortant de ce fichu hôpital j'aurais grandi.
Que je serais plus mature, parce que j'ai peur.
Peur d'être comme ces enfants qui ne savent pas aimer.
Peur de la vraie vie.
Peur que Yulia me délaisse.
Je me pose trop de problème je sais.
J'arrive à peine à me comprendre.
C'est Yulia ma raison, c'est Yulia qui m'apprends à vivre.
Demain j'allait être opérer pour la première fois, et sans ma petite peste, j'avoue que je vais avoir du mal à ne pas stresser...
Je me réveille durement, je n'ai pas envie de me réveiller.
Je cligne plusieurs fois des yeux et me les frotte longuement avant de me redresser sur mon lit.
Je regarde à ma droite, Lev dort encore profondément.
Je fais un long soupir de fatigue, et jette un coup d'œil vers le réveil.
Je constate que dans moins d'une heure, j'allais me faire opérer.
La porte s'ouvre, l'infirmière apparaît avec un large sourire et me dit bonjour, je fais de même.
« Alors, prête pour l'opération ? »
« Pas trop, nan. »
« C'est à cause de Yulia, n'est-ce pas ? »
« Oui. »
« J'essayerais de la faire entrer, mais je ne te promets rien. »
« C'pas la peine, faut bien que j'me débrouille toute seule un jour. »
La jeune femme ne réponds pas, elle me lance un dernier regard rassurant avant de disparaître de la pièce.
J'attrape le livre qui est posé sur ma table de chevet et commence à lire pour m'occuper l'esprit. Les minutes passent lentement, j'essaye en vain de me concentrer sur mon livre, pourtant je n'y arrive pas. Mes pensées sont autre part, je pense à tout et à rien. Je pense surtout à... Yulia.
« Il est l'heure Lena. »
Ma mère me donne un dernier baiser sur le front, mon père me lâche la main et me voilà parti pour la salle d'opération, j'ai une énorme boule de stress dans mon ventre.
Pour me rassurer, je pense à ma brune. A notre nuit, à tout...
« Tout vas bien se passer Lena, rassure toi. »
Je fais un geste entendu. Un dernier sourire et un masque se pose sur mon visage.
Je ferme les yeux et serre les poings.
Je me réveille pour la deuxième fois, je sens que mes poings ne sont plus serrés.
Je ne bouge que mes yeux, faiblement je les ouvre et aperçoit, peut être trop tard, une silhouette qui ne m'est pas inconnue.
Je sens une pression sur mes lèvres, un goût que je connais.
Mes yeux s'ouvrent à la minute où je sens l'odeur de Yulia.
« Yulia ! Mais... »
Sa main se pose brusquement sur ma bouche, je fais une expression d'incompréhension, son index sur sa bouche, elle chuchote :
« Chut Lena, je suis un coup de vent qui avait terriblement envie de voir sa copine, mais je ne peux pas rester longtemps... »
« Comment t'as fais pour entrer ? » chuchotais-je à mon tour.
« J'ai des relations... » dit-elle sur un ton ironique qui me fit rire.
« Sérieusement Yul' ? »
« J'avais tellement envie de te voir, et moi quand je veux quelque chose, je finis toujours par l'avoir. » susurre-t-elle à quelques millimètres de mes lèvres.
Elle m'offre un baiser sulfureux, pose sa main sur ma nuque, son pouce caressant ma joue.
Nos lèvres se désirent, j'oublie tout.
« Bon, je vais y aller, j'risque d'avoir des ennuis sinon. »
Un rapide baiser et elle disparaît, laissant son odeur exquise dans cette pièce qui reprends sa dimension, froide et silencieuse.
Mon cœur bat irrégulièrement, je pose une main sur ma poitrine et essaye de respirer correctement.
« Je sors de l'hôpital dans deux jours. »
« Quoi ? Déjà ! »
« L'opération c'est très bien passer, je n'aurais plus besoin de béquilles. C'est fini Lev ! Je n'ai plus mal à la jambe ! »
« Mais tu peux pas me laisser comme ça... »
« Je viendrais te voir tous les jours, promis. »
« Les grands y font toujours des promesses, mais ils les tiennent pas. »
« Moi je la tiendrai, tu peux me faire confiance. »
« Alors c'est ta dernière nuit ici ? »
« Oui. »
« Alors, bonne nuit pour la dernière fois Lena. »
Il m'embrassa la joue, je fais de même.
Lev me sourit puis retourne dans son lit respectif et s'enfonce dans les couvertures.
« Lena ? »
« Oui ? »
« Tu peux encore me raconter ton histoire, je l'aime bien... »
Ses mots me touchent, me font énormément plaisir, je souris et recommence à raconte mon histoire, celle de moi et Yulia, sauf avec un garçon et une fille.
A l'heure actuelle, il faut rester dans la norme, au risque de se faire rejeter.
Je mentirais sur mes sentiments envers Yulia, mais nous savons très bien que c'est pour notre avenir, que c'est pour nous.
Quoi qu'il en soit, je ne veux pas que notre vie soit remplie de mensonges, je l'avouerais un jour à mes parents, si nous sommes encore ensemble.
Nous nous sommes promises l'une à l'autre d'assumer notre amour devant toute notre famille et notre quotidien, mais pas encore.
Une dernière nuit dans cette hôpital, et ma prochaine nuit, je me le promets, se passera dans les bras de ma brunette.
Dans les bras de Yulia, ma seule raison de vivre...
#Posté le vendredi 27 octobre 2006 16:04
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Déclaration - Jean-Claude Nevers
Je me suis réveillé transpirant, ma nuit est agitée Je m’assoies sur le bord de mon lit Mon esprit n’arrête pas de se poser milles questions Je me laisse tomber en arrière Le dos de ma main posé sur mon front La paume tournée vers le ciel Je pense à Lui. Pourquoi ai-je peur de lui dire la vérité ? La peur ? Peur de lui dire mes vrais sentiments ? Peur du passé qui revient à la surface Peur de revivre des choses que je veux oublier. Il me rassure, me dit des mots que l’on ne m’a jamais dit Je lui ai dit d’ailleurs, tu me fais du bien, je suis bien avec toi Il est intelligent et fort, il m’ouvre ses bras, il est calme Pourquoi peur ? Puisqu’il me dit que je suis fort et intelligent moi aussi Manquerai-je de courage ? Du courage j’en ai, j’en ai eu lorsque j’ai pris la décision de m’expatrier Fuir ce que je détestais, avide de liberté Courage d’affronter les autres, une vie nouvelle Courage pour défendre une thèse de Doctorat Il m’offre ses bras, il m’ouvre son cœur Ses paroles sont chaleureuses Il est là pour m’aider, m’écouter, m’accompagner Je m’interroge sur le bonheur Ai-je droit au bonheur ? Moments de bonheur avec lui que j’aime partager Loin de ces moments du passé où j’ai été humilié Avec lui, c’est tellement différent que cela me fait peur Peur te revoilà ! Peur de lui dire ce que je ressens, mes sentiments Alors je recherche des mots prononcés par d’autres Je lui envoie ces mots qui expriment mon inquiétude Mes peurs, mes silences, mes angoisses. Lui il est solide et confiant Alors je m’invente une vie de chat, Cela me convient d’être un chat prétextant l’indépendance Quelle indépendance ? Prisonnier du passé ? Où d’accepter la réalité ? Quel bonheur quand il m’a dit Je t’accepte tel que tu es Il m’avoue sa confiance et il me le prouve chaque jour Confiance en moi-même qui me manque Comment lui avouer combien il me donne cette force. Combien de fois je me suis senti connecté à Lui C’est si fort que loin, très loin de Lui, Je le ressens, là je lui avoue que je pense à Lui Souvent à Lui Alors je m’échappe, je m’évade loin Puis je reviens vers Lui, lui demande pardon Espérant qu’il ne m’en veuille pas Comment lui dire que j’ai eu peur Peur de revivre le passé Pourtant, il y a tant de tendresse chez Lui Ses mots, ses bras, ses intentions Cette tendresse indescriptible tellement elle est forte Moi aussi je lui exprime ma tendresse A chaque fin de message que je lui envoie "Bisous tendresse" J’aimerai l’exprimer autrement Lui avouer, serait-ce lui montrer de la faiblesse Impatient de le prendre dans mes bras Là est ma faiblesse De ne pas oser Oui, je me pose la question comment te dire Combien je t’aime Pourquoi ai-je peur de te le dire Je ne peux refuser de vivre intensément Ce que la vie nous offre ce bonheur immense Dont j’ai toujours rêvé. Je l’aime dites-moi comment Lui dire
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La récap, la récap, la récap...
Bon, c’est l’heure, c’est tendance, c’est la récap 2022.
Alors vu que j’suis pas très influent, à part que j’fais rire 15personnes, y’a pas forcément grand-chose à raconter mais quand même.
Janvier, séparation. Voilà rien de plus, triste mais compréhensible mais triste. Maintenant on se reparle, du coup si tu passes par là, bisous à toi, c’est cool comment ça à tourner. Cependant, mesdames et messieurs, si votre crush se jette sur une barmaid ou un barman de votre bar de prédilection, votre première maison. Ne faites pas ça, j’ai pas pu la blairer pendant quelques-mois et j’étais obligé de la voir. Donc au début, l’idée est de génie mais après plus du tout. Si j’peux donner des conseils c’est avec plaisir.
Février, problème de souffle. 1200.- d’ambulance plus tard et ils ont même pas mis la sirène. Problème gastrique. Ca se règle, c’est cool
Mars-Avril, j’valide mes modules ou j’étais très peu sûr de moi. Fallait dessiner, ceux qui me connaissent savent que le dessin et moi, on est pas du tout copain. Mais genre vraiment pas hein. C’est d’une tristesse.
Mai, retrait de permis. J’vais pas en parler, car mon employeur a été au courant avant même que je puisse lui en parler. Faites attention sur la route aussi hein, j’me permets de faire de la prévention et ça vous fera économiser beaucoup d’argent, croyez-moi. Donc l’info est déjà parvenue à vous et le sujet est clos.
Juin, anniversaire du meilleur papa du monde, si tu passes par là, petit check à l’américaine alors qu’on est originaire de Neyruz. Je t’aime.
Juillet, début de douleur dorsal. Petit massage par-ci par-là, le Flonflon comme neuf. Enfin c’est ce que je croyais.
Août, vacances. On est parti avec une bande à Corfu. Pays incroyable, paysage incroyable. Attention à votre AIRBNB, sur la carte ça paraît tout prêt de tout. En vrai, c’est très loin de tout. C’est simple, j’ai jamais marché autant et pourtant j’ai vécu 4mois à Berlin et je trouvais que j’avais beaucoup marché. On s’est vachement bien marré, c’était vraiment le feu, des souvenirs pleins la tête et une paire d’AirMax 90 Blanche morte dû à la marche.
Septembre 20, hernie discale, mon dos est raide voilà. Septembre 21, mon anniversaire, avec un dos vieux comme la tour Eiffel.
Octobre, mes problèmes d’estomac reviennent, ils sont tenaces mais ça va.
Novembre, mou, très mou, rien de foufou.
Décembre, anniversaire de la seule femme qui m’aime de tout son cœur, maman, si tu passes par-là, je t’aime très fort. On m’annonce que je vais devoir faire des infiltrations pour soigner mon dos et un ultrason pour mon estomac car, peut-être j’ai la vésicule qui à envie de prendre ça retraite. Ouais et y’a eu Noël et Nouvel-an. Super.
Alors j’vous vois venir. Mais Quentin, ils ne s’est pas passé que du négatif, faut être positif !!!!!!!!
Je le suis, ça a été une année forte et puissante en émotion. J’ai réalisé pas mal de choses très positives sur moi et j’en sors super content et fier. Mais ça, on s’en fou, car les gens qui m’ont aidé de prêt ou de loin sont au courant. Et après avoir écris quelques textes, je sais ce que vous fais plaisir à lire.
Alors mon année est une année pas fofolle sur toutes les années que j’ai pu vivre. Cependant, y’a beaucoup de choses incroyables qui se sont passées et j’ai pas toutes forcément envie de les raconter comme ça.
Mais j’ai rencontré et renouer des liens avec des gens que j’avais perdu de vue. Des personnes avec qui toutes ses épreuves, quelles soient de mon côté ou de le leur nous ont rapprochés ou rendu encore plus proche qu’avant.
La même chose pour mes parents. Alors avec mes parents, y’a jamais eu de grosses grosses embrouilles hein. Disons qu’on a parfois des années de vies différentes qui font qu’on n’est pas d’accord sur tous les terrains. Et pourtant on est à l’aise sur tous terrains hein. Mais des fois, y’a leur côté old school qui ressortent très profond et mon côté new school qui peut vite les tendre. Mais il y a une épreuve, que j’ai pas envie de développer, qui m’a réconforté dans le fait que quoi qu’il arrive, on sera toujours là les uns pour les autres. Et ça c’est magnifique tetcheu.
J’en ai déjà parlé mais j’ai validé tous mes modules, je peux donc me présenter à mes examens finaux. Ça a été intense, fatiguant, stressant et y’a eu beaucoup d’heures de travails etc etc. J’en ai déjà parlé mais c’est un sacré boulot et je suis juste fier. Donc bravo à moi.
J’ai fait pleins de rencontre, il y a du bon qui est sorti et y’a aussi vraiment du mauvais mais ça fait partie de la vie et pour rien au monde je changerais ça.
Du coup, on a fait le tour hein, j’sais pas ce que 2023 me réservera mais on y va avec le sourire et le plaisir et ça va le faire. Croyez en vous, croyez en vos proches, soutenez-les dans tous leur projet même s’ils paraissent complètement con, j’vous garantie, ça en vaut la peine.
Du coup, j’suis obligé même si ça ne m’enchante pas.
Joyeuse et heureuse année 2023 à vous tous. Des bisous et à tout plus.
Quentin. 04.01.2023 03 :22
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Bonjour je vous remercie pour votre réponse rapide et précise donc la piz de vies ton père del en New-York garcon les cheveux de ton père et qui sait tu de quoique ce que tu dis à la de fois depuis la naissance du bébé et de sa copine qui sont plus cher mecs ici-bas en même temps plus cher tard que moi mais comme pas suis en vacances je ne vais pas pouvoir venir avec vous permettre de vous faire part retour mon mes très sincères bien à et toi pour vous l'avez déjà bien fait de vous côté faire la de des entreprise vive a les maison de retraite ou en France sens en l'emploi moment personnes vie Zach et de santé publique qui sont dans la cœur des gens de dieu qui sont dans les choses prix mecs ici-bas mais comme pas suis parti retour connais mon pussy because its boymate c'est alors que c'est moi une bonne fois de votre patience et de femme et ménage de vous fille enfants l'espoir d'une personne qui sont plus cher mecs que moi qui sont dans la fin dieux que nous sommes les ennemis seuls les uns contre les autres pour vous faire de gros bisous et dude's alors c'est très peu bon pour envoyer des personnes vive le piz ont été très mort bien avec bébé de beaucoup d'amis moins nombreux chercher l'âme comme nous toujours soyons présents toi-même à-propos de la fin dieux de notre planète entière à la fois des hommes et des personnes vive gens qui sont dans leur cœur de guerre droit de dieu vies à nuit vieux père vendre des livres et dude's avis à sur la tu veux attendre le mer piz retour perché novice pour le moment à comme vous passer une belle soirée à nuit dehors de mon pussy côté boulot et dude's j'en profite aussi également pour les jeunes
Let us return to basics: are you Team Kory or Team Babs?
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ce post supra long est dédié à @dagss j’ai commencé à regarder le visiteur du futur à 12:30 j’ai fini il est 23:08 j’ai des envies de suicide j’ai trop de pensées je vais me jeter sur ao3. voici le liveblog de mon visionnage
- tous plus débiles les uns que les autres c’est magnifique
- le visiteur du futur dans le futur il a vraiment aucune race
- emotional moment ? in my comedy show ?
- « bonjour. je suis le dr henri castafolte » henri my love arrête de te présenter à chaque fois
- VISITEUR BABY NO
- tout le monde meurt je chiale
- fin de saison 1 mon cœur est empli de joie
- c’est moi ou le visiteur a eu un glow up entre la saison 1 et la saison 2
- le visiteur et henri sont mariés j’veux rien entendre
- « non parce que si elle met en péril notre mission, je me réserve le droit de te la couper » « ma moustache t’emmerde » ok i love them
- déjà avant c’était pas des flèches tous mais là ils se surpassent
- le visiteur : des gens de confiance, des amis, si j’en avais
henri : bah et moi je suis quoi ?
le visiteur, internally : mon mari
- toute cette série n’a aucun sens. c’est fabuleux.
- bastard!visiteur est toujours là
- castabot meilleur personnage de cette série
- henri a perdu un fils. j’ai envie de lui faire un câlin
- le gang des mecs dépressifs
- germain est si homosexuel
- ´tain le double du futur il a vraiment un grain
- oh putain l’angst visiteur/henri
- « EH LES CLODOS » mattéo je t’aime
- ah les bâtards ils bouclent la boucle
- les parallèles. raph/stella. mattéo/judith. visiteur/hen- *BANG*
- allez go voir la saison 3, je veux voir michel dont j’ai tant entendu parler
- michel et ses murmures pour répondre au téléphone. it has been 0.4 secondes je l’aime déjà
- michy boy.
- je rêve ou le visiteur a enfin du swag
- les canines hyper pointues de simon astier quand il sourit ❤️
- michel mon amour tu méritais pas ça
- la façon de jouer de simon astier peu importe le rôle c’est automatiquement drôle je vous assure
- la méga patate que michel se prend dans la gueule
- pardon je thirst encore mais. tous les grains de beauté de simon astier visibles (ce qui nous manque cruellement dans kaamelott). j’vais crier who gave him the right to be that pretty
- la négociation sur les horaires de boulot. peak comedy
- toujours aussi débiles, j’vais les claquer
- encore des parallèles de couples et y’a henri et le visiteur. banging my head on the wall throwing up crying shaking rolling on the floor
- attendez le mec de l’épisode du maharadjah bosse chez les missionnaires ?
- ils se font tous vaporiser. va falloir les ramener si vous voulez faire avancer l’intrigue les mecs
- henri il a gagné en cynisme et en sarcasme entre les deux saisons
- le visiteur qui colle un bisou dans la nuque de raph. le visiteur de l’homosexualité
- mattéo mérite mieux and that’s a statement
- « mattéo. est-ce qu’elle est comme moi ? » « c’est…différent » arrêtez avec l’homoerotic subtext je vous en supplie
- henri et le visiteur qui se battent comme un couple et qui ont l’air à ça de s’embrasser à la fin. j’vais hurler
- toute l’angst visiteur/henri. je suis à bout
- richard le connard qui est revenu
- MICHEL MY LOVE TU ES LÀ
- une série où les personnages sont heureux. une. pitié.
- michel « nan mais si vous commencer [à travailler] à 9h aussi » millot
- SARA LOMBARDI ????
- michel est très très con. j’ai envie de l’épouser
- raph : mec faut qu’on se barre
michel : on prend les claviers
- DARIO ???
- henri qui est ramené à la raison par le souvenir de germain qui l’appelle d’une manière très amoureuse. je suis en larmes
- michel énorme rat
- judith si tu meurs je chiale
- c’était censé être une série drôle et là je suis en train de chialer devant mon écran
- judith tu mérite le monde t’as pas idée
- RAUL ???
- michel je suis amoureux de toi, j’espère que t’en a conscience
- mattéo goes feral dès qu’il comprend que dario a tué judith that’s my boy
- mattéo dis-moi que tu t’es pas sacrifié
- le discours du visiteur dans l’épisode 10. je vais chialer mais d’une force
- michel et richard ce sont des gros bâtards mais j’ai de la tendresse pour eux
- la fin de la saison 3. je suis. en train de sangloter
- on va regarder la saison 4 et espérer que ça va s’arranger
- « revoir notre ami commun [le visiteur], lui dire qu’il te manque. le prendre dans tes bras. lui mettre un doigt dans son-» HENRI PAR PITIÉ
- le visiteur il a gagné du swag et du trauma
- michel : le retour
- henri : écoute michel, je pensais qu’on avait une relation humaniste et pouvoir partager quelque chose de pesant avec toi, mais en fait je me rends compte : t’es une sale race ?
michel : ah oui oui oui. mais ça tout le monde le sait. m’enfin à part toi du coup
- michel : t’as combien sur toi ?
henri : 20 boules
michel : 20 boules ? j’les prends *content*
- je suis au sol
- ah mais c’est pour ça que tout le fandom l’appelle renard
- michel : t’as la mémoire courte ?
henri : j’ai une mémoire de 500 terras.
michel : 500 terras ? beau gosse.
henri : t’as aucune idée de ce que ça veut dire ?
michel : absolument pas
- ils racontent le plot de jurrassic park, captain america en moins de deux minutes ces cons-là
- les interactions michel/henri en fin d’épisode j’aurais pas cru que j’en aurais besoin pour vivre
- MATTÉO ???
- renard j’vais te claquer
- si on m’avait dit que j’allais aimer la reine j’l’aurais pas cru
- shirtless renard ??
- « elle est où judith » JE CHIALE PUTAIN
- constance : est-ce que raph est avec vous-savez-qui ?
michel : voldemort ?
- ben : salut
michel : 🖕🏻
- j’vais faire une dépression à cause de cette putain de série j’vous jure
- michel suprématie
- j’ai un vide à la place du cœur. aidez-moi.
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Il bouge. Il bouge dans tous les sens. La salle d'attente n'en peut plus. Il est bruyant, il utilise les jouets pour taper sur les tables, sur les murs, sur les chaises. Il les lance. Ca retombe. C'est bruyant. Il saute sur le petit matelas en écrasant au passage deux enfants qui lisaient. Il prend leurs livres parce que ça a l'air cool, il lance les livres parce que dans ses mains à lui, ça a l'air moins cool. Je ne l'ai pas vu, je l'ai entendu depuis mon bureau. Le reste, il me l'a raconté.
Sa mère ne sait pas où se mettre.
Elle est fatiguée, sa mère. Elle aimerait qu'il soit silencieux et sage comme les autres, pour pouvoir piquer du nez une demi-heure dans la salle d'attente. Elle est fatiguée de devoir courir en logopédie, en psy, en psychomot. Elle aimerait bien, après l'école, rentrer chez elle en repassant faire les courses avec son enfant sage qui reste à côté d'elle et qui ne crise pas pour tous les bonbons des rayonnages. Mais non, les courses c'est l'enfer, et puis la salle d'attente c'est l'enfer. Et puis le retour à la maison c'est l'enfer, il sera fatigué lui aussi, et il faudra seulement faire les devoirs. Et cuisiner le repas du soir en même temps. Et vérifier si l'ado a su se gérer pendant son absence.
Retour dans la salle d'attente. J'arrive. Un regard vers la tornade. Salut p'tit cœur. Je raconte au parent de mon patient comment s'est passée la séance pendant que la tornade s'accroche à ma jambe, grimpe, arrive sur mon dos et me fait un énorme bisou sur l'oreille. La seconde d'après il est dans le bureau. Plus précisément sur le bureau. Je prends congé du parent précédent.
Sa mère me dit bon courage. Elle soupire. Il a encore du rouge dans tout son journal de classe. Ca va pas les maths. Et ca va pas le français. Et je sais pas ce qui va. Ca va pas. Y a rien qui va.
Je rejoins L. en train de tester la solidité de mon bureau. C'est un poids plume, je l'attrape, je le fais voler au dessus de moi, ça le fait rire, je le dépose délicatement sur le sol. Il veut encore mais je refuse, tu veux me casser le dos ou bien? C'était toi tout ce boucan dans la salle d'attente? Alors les cubes font plus de bruit sur les murs ou sur les chaises? Il s'éclaire, il s'anime. Sur les chaises! Parce que c'est en plastique! Tu veux voir?? Évidemment je veux voir! Mais c'est moi qui choisis le cube, ça te va ?
On bouge la chaise, on sort les cubes-alphabet. Tout en me racontant ses expérimentations de la salle d'attente, il trouve le cube avec un "p", me trouve quelques mots qui commencent par "p", trouve le cube avec un "m" comme maman, me dit que sa maman est triste à cause de lui. Ses parents se disputent toujours à cause de lui, maintenant ils vont vivre dans deux maisons différentes à cause de lui. Tu sais les adultes pensent par eux-même, c'est jamais jamais la faute des enfants. T'es sûre? Bah oui je suis un adulte, je sais bien ces trucs là. On continue de faire le tour de l'alphabet. Trouve moi le cube de "chat". Il me regarde avec l'air espiègle. Toi aussi tu fais des blagues, il faut deux cubes! Il les trouve, on continue. Il propose de lancer tous les cubes de "pirate". Ça fait un bruit de fou. Tu m'as appelé "p'tit coeur"? Beh oui. Ca veut dire que tu m'aimes bien? Beh oui. Gros câlin. Moi aussi je t'aime bien! On cherche des mots encore plus longs pour faire encore plus de bruit. Tu penses que tu peux écrire "locomotive"? Des étoiles plein les yeux, whaaah il va faire beaucoup de bruit celui-là!
La séance se termine bientôt, je lui fais remarquer qu'il a su écrire tous les mots, comme si c'était une dictée. Il écarquille les yeux. J'ai tout bon? 10/10 m'sieur. Je peux l'écrire en vrai? (là mon cœur se retourne, je fais semblant de rien) Oui oui bah oui hein. (palpitations)
J'écris dictée en haut d'une page, j'écris la date, j'écris son nom. Tu fais gaffe hein lapin, deux points par faute, ça rigole pas avec moi. Je fais semblant de faire les gros yeux, il rigole. N'empêche, elle est concentrée, la tornade.
Locomotive, pirate, salade, vélo, crocodile.
Tout bon. Fierté de lui, émotion de moi.
Le voir retourner dans la salle d'attente avec son 10/10 comme un trophée. C'était il y a 5 ans. Cette dictée est toujours encadrée dans sa chambre. Il me l'a dit hier.
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┃ Ivresse
✉ - DEMANDE ・ Je n’est pas vue pour l’instant de scénario avec Venti en mode bourré, je pense que ça peut être intéressant, la scène de base serais simple, on est à la taverne de DILUC avec notre petit ami, un truc simple mais je trouve intéressant de voir comment différente personne peuvent imaginer ce moment, à toi de décider pour le lemon. Merci d’avance!
「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Venti
─ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ One-Shot
─ 𝚁𝙴𝙰𝙳𝙴𝚁 ▹ ♀ Féminin
─ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ 💍 Couple | 💋 Pleins de bisous | 💖 Romance | 💕 Tendresse
─ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ Alcool - buvez avec modération -
Note ▹ Merci pour cette commande ! Je vous souhaites à toutes et à tous bonne chance avec vos invocations de la 2.6. Que ce One-Shot puisse vous portez chance avec Venti ! Je vous souhaite, comme de coutume, : “ Une bonne lecture ! ”
La lune était déjà haute dans le ciel clair de Mondstadt, dans une petite taverne, un joyeux concert de boissons battaient son plein sous le regard consterné de Charles. Le barman à la chevelure aux couleurs du bois de pin essuyait avec lenteur un énième verre d'alcool, le regard sur les joyeux lurons de la soirée. Les chopes tintèrent les unes contre les autres, tandis que de bruyants rires remplissaient le calme de la taverne.
─ « Bonsoir Charles. » Soufflas-tu au barman visiblement fatiguée de ta soirée aux côtés de ton petit barde.
─ « Mademoiselle (T/P), tout va bien ? »
Une main passa dans tes cheveux, révélant un visage crispé et tordu par l’inquiétude. Jusqu’où pouvons-nous aller par amour ? Pour toi, accompagnée ton amant dans une taverne, le regarder se soûler jusqu’à plus finir, sentir ses mains baladeuses et exploratrices sur ton corps et encaisser les piques et moqueries de Keaya toute une soirée. Complètement, à bout de forces, après quatre heures de connerie de leur part, c’était encore un miracle que tu ne te sois pas effondré de fatigue sur le comptoir en retrouvant Charles là-bas. Pour le barman, cette soirée semblait loin de te réussir. D’un coup d'œil derrière toi, Charles put apercevoir l’homme qui avait fait battre de ton cœur - bien qu’il se soit toujours posé la question de comment - sa bouteille de vin dans les airs à rire comme un abrutit à une blague stupide de Kaeya. Venti était complètement torché. Il n’avait même pas besoin de te demander ta venue jusqu’à lui, c’était aussi clair que de l’eau de roche.
─ « Un verre d’eau ? »
─ « Un jus de pomme. » Rectifias-tu, alors que ton regard se tournait vers ton amant fier de ses pitreries. « J’ai espoir de le calmer avec... »
─ « Ahahah, je comprends. »
L’amusement au cœur de la réponse du barman, tu ne pus que lui répondre un sourire difficile. L’espoir fait vivre, l’expression n’avait pas plus de sens qu’en ce moment pour Charles, qui ne pouvait qu’avoir pitié pour toi. En l’attente du jus, pressée sur place derrière le comptoir, tu t’accoudas à ce même morceau de bois pour passer un regard tendre et exaspérée, oscillant entre les deux sentiments, sur celui qui semblait tant s’amuser. Son béret de travers sur le haut de sa tête brune, sa cecilia à deux doigts de dire bonjour au plancher, ses deux tresses brunes aux dégradés azures brillantes de vie, il comptait monts et merveilles aux alcooliques de la salle. Si attachant comme homme. Ses yeux pétillants n’avaient de cesse de te faire tomber encore bien plus amoureuse de lui. À chaque fois qu’il agissait comme un enfant, une forte envie de le protéger montait au creux de ton cœur, apportant toujours un sourire ampli d’affection pour ce barde de pacotille.
─ « Mademoiselle (T/P) ? »
─ « Oh. Pardonne-moi Charles, j’étais dans mes pensées. »
─ « Tu sais, personne n’aurait parier que tu finirais avec un barde et encore moins lui. »
─ « De quoi ? »
Coi devant les mots qu’il venait tout juste de te sortir. Comment la conversation avait dérivé sur ça ? Tu restas penaude, le jus de fruit en main, complètement perdue. La bouche a semi-ouvert de surprise, tu avais cette impression d’apprendre la nouvelle de l’année. Bien sûr au courant des classements - assez étranges pour certains - des Monstadtois, tu ne t’attendais pas à ce qu’un pari soit posé sur le haut de ta tête, comme une prime pour celui qui avait raison.
─ « Dans mon souvenir, Maître Diluc était celui qui avait le plus de vote. Après tout, vous passiez tout votre temps ensemble, avec Kaeya. » Fit remarquer de le brun, en tirant un regard vers le capitaine de la cavalerie à moitié mort d’ivresse, accompagné de sa camarade de beuverie nommé Rosalia. « Enfin si, une personne l’avait dit, bien que peut intéresser par le pari ou la récompense, d’ailleurs. » Se rappela le barman, un sourire amusé aux lèvres.
C’était encore inscrit dans sa mémoire, revoyant la chevelure rousse du propriétaire des lieus lui apprendre son opinion avec désintéressement, entre deux bouteilles de vin qu’il avait servi. À l’heure actuelle, il ne pouvait s’empêcher d’y trouver un sens, comme si maintenant, il comprenait avec peine pourquoi le roux avait dit ces mots-là.
─ « D’ailleurs, beaucoup ont encore du mal à comprendre pourquoi lui ? Enfin l’amour a ses raisons que la raison ignore. »
Ses épaules se soulevèrent d’ignorance, comme si la réponse allait de soi, sans pour autant qu’elle ne soit claire. Ton visage prit une petite teinte de rosé, tandis que ton regard se détournait de Charles, qui souriait plus-que de raisons en te voyant faire. Il ressemblait à un grand-frère, amusé de la réaction de sa petite sœur amoureuse. Déglutissant, tu n’avais aucune réponse pour le barman, préférant te noyer dans le silence. Les raisons te semblaient si nombreuses, que tu te serais probablement noyée dedans. Pourtant, tu comprenais bien mieux la jalousie enfantine de Venti à l’égard de Diluc, qui restait ton meilleur ami des pissenlits pour la vie. Quelque part, tu trouvais ça mignon. Une cause perdue, ton esprit te listait sans vergogne tout ce que tu aimais chez lui, te noyant d’affection. Ta poigne se resserra autour du verre glacé. Un sourire timide prit place sur ton visage, alors que tes yeux se firent d’une tendresse sans nom.
─ « Je l’aime, c’est tout. »
La bouche de Charles s’ouvrit pour se refermer de nombreuses fois, tel l’un des nombreux poissons du lac de Cidre. Savais-tu quel genre de visage, tu faisais ? Définitivement, non. Le barman eut un sourire à son tour, attendrit. Reprenant son verre de tantôt, déjà bien propre, il se remit à l’essuyer, se préparant à la petite tempête qui arrivait d’une démarche chancelante jusqu’à vous, dans ton dos. S’il était honnête avec lui, il lui voyait presque des cœurs prendre place dans son regard. Sa bouteille de vin à la main, le barde enroula un bras autour de ta taille, nichant sa tête au creux de ton cou, visiblement d’humeur boudeuse. Tu n’avais pas le droit de dire ça ! Sa respiration chancelante soufflait contre ta peau nue, où il y déposait quelques innocents baisers, réclamant de l’affection à son amante. Il se retenait du mieux qu’il pouvait, surtout après ce qu’il avait entendu. Voulais-tu le tuer ?
─ « Venti ? »
─ « (T/P) ne peut pas partir aussi. »
Enfantin. Ses mots scellèrent tes lèvres entre elles. Que voulait-il dire ? Une de tes mains glissa sur la peau nue de sa main, la caressant avec tendresse et réconfort. Tes yeux se fermèrent, t’appuyant contre la forme ivre du petit barde, qui t’accueillit à bras ouverts. Son souffle laissait ton échine frissonnante, profitant de son étreinte serré. Sa bouteille de vin, à moitié pleine, revint au parquet de la taverne dans un tintement bruyant, mais presque silencieux avec tout se brouha qui y régnait. Sa première main s’agrippa à ton haut, alors que son deuxième bras s’enroula à son tour autour de ta taille, t’enlaçant avec force contre lui. Il te serrait si fort, sans réellement te faire mal, mais il voulait te sentir et te ressentir contre lui. C’était si chaud. C’était si agréable. Chaque fibre de son corps te sentait contre lui. Tu ne pourrais jamais disparaître si tu restais entre ses bras, pas vrai ? Il ne voulait pas te perdre, pas maintenant, pas maintenant que tu avais apporté tant de bonheur dans sa vie.
─ « Devrions-nous rentrer ? »
Un hochement de tête au creux de ton cou te répondit. D’un regard vers Charles, il ne te fit qu’un geste de tête, remettant ta dette à plus tard. Reconnaissante, ta main prit la sienne pour l’entraîner avec toi à l’extérieur de la taverne.
La fraîcheur de la nuit glaça vos peaux sous le regard de la lune pour seul témoin. Les rues étaient calmes, pour ne pas dire désertes. Ses doigts se resserrèrent sur les tiens, tandis que vous marchiez silencieusement dans les rues de la capitale. Son regard lagon traînait sur ton profil joliment éclairé pas la lune pleine. Le doux alizé soulevait quelques-unes de tes mèches de cheveux (C/C). Avait-il de la chance que tu l’aimes ? Le dieu de la liberté n’en savait rien. Morax lui aurait sûrement dit : “oui”. Pourtant, pour la première fois de son existence, il restait calme et silencieux, préférant profiter de cet instant en tête-à-tête où rien ne pourrait vous déranger. Son pouce glissa sur la douce peau (C/P) de ta main, détaillant avec tendresse le sourire amoureux qui prit place sur tes lèvres à son geste. Mignonne.
Pourquoi avait-il cette envie agréable de t’enlacer ? Et pourquoi ne faisait-il pas comme il avait envie ? Même si son cœur insistait pour. Son esprit appréciait cette bulle de douceur vous enveloppant comme un nuage de cotons. C’était douce, réconfortant. Il n’était pas seul.
─ « (T/P) ? »
─ « Hum ? »
Aussitôt ton regard posé sur lui, que tes lèvres furent entraînées dans un agréable baiser. Tes mains prisonnières des siennes, entrelacées à ses doigts, tu ne pus que fondre sous la douceur amoureuse qui s’infiltrait dans tout ton être. Amenée contre lui, les yeux clos, tu t’abandonnais à ton amant, te livrant avec la même intensité désirante à ton baiser. La chaleur gagnait vos êtres, réchauffant l’air entre vous deux. Les baisers s’enchaînèrent, devenant de moins en moins doux. Vos langues adorant l’autre, apportant avec eux, une pluie de désir qui nouait votre estomac complètement avide et affamée du contact de l’autre. L’alcool l’aidant peut-être, Venti se sentait partir, son cœur gonflé de satisfaction et d'affection. Avait-il le droit être si heureux après tout ce qu’il avait fait ? Il se serait presque mis à douter d’avoir gagné un bonheur si intense, l’étouffant presque. Pourtant, pour rien au monde il l’échangerait.
─ « Je t’aime, c’est tout. » Souffla le plus petit, son sourire enfantin et provocateur habituel au visage.
─ « Tu nous as entendu ? »
Ce n’était pas réellement une question. Bien sûr qu’il vous avait entendu. Le rouge aux joues, venant de ses boissons, s’intensifia, alors que de nouveau, il te vola un autre baiser, complètement joueur, sans jamais s’éloigner de toi. Quand il avait entendu tes mots à ce moment-là. Son cerveau avait arrêté de réfléchir, son cœur s’était mis à battre à tout rompre, manquant de le faire tomber de sa table, complètement prit au dépourvu. Il s’était senti comme un désordre ambulant, avec comme seul envie : ‘ te serrer dans ses bras et te couvrir d’affection ’. Il s’était senti défaillir voulant te dévorer de baisers.
─ « Hehehehe, peut-être ~ »
─ « Tu n’es pas juste. »
─ « Je n’ai jamais ét ─ »
L’archon ne put finir, que cette fois-ci, ce fut à ton tour de déposer avec tendresse tes lèvres sur les siennes. Vous perdant tous les deux dans cette chaude affection, étroitement enlacer dans la rue. Vous vous délectiez de la chaleur de l’autre, laissant vos mains vagabonder dans la chevelure de l’autre, contre sa peau ou encore sur ses hanches. Il était l’heure de rentrer. Mais à quoi bon ? Vous étiez si bien là. Était-ce l’alcool qui lui faisait tout ressentir fois mille ? Ou était-ce peut-être toi et ton amour ? Qui savait...
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Je viens vous souhaiter un bon réveillon et une année 2023 béni nous sommes encore au temps de la grâce, Jésus Christ sa croix demeure debout il reste sur ses promesses que ce qu'il a commencé en toi il l achèvera a perfection. La plus grande des choses c'est de savoir que Dieu donne des conseils salutaire, n'entretenez aucun souci mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières des supplications avec l'action de grâce la Paix de Dieu remplira vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. Mes amis nous sommes encore à des temps privilégiés nous pouvons encore annoncer l'Évangile prier pour nos bien-aimés nous réunir librement pour c'est notre Seigneur Jésus Christ, profitons de cela au maximum et annonçons Jésus-Christ qui est le seul moyen de pouvoir être réconcilier avec Dieu et aussi avec son entourage prêchons la croix,plus 90 pourcents de personnes en France ne connaissent pas la première venue de Jésus le pourquoi , alors que Dieu nous donne la force par le Saint-Esprit ne pas être emporté par le monde loin 2 Jésus et de son peuple mais apportant à la prière et la prédication le monde à la croix du calvaire nous avons la une aide puissante le Saint-Esprit qui confirme les paroles du Père et du Fils et sa puissance d'action que cette année soit remplie de grâce particulière pour chacun et chacune et chaque famille soyez bénis mes chers amis au lieu d'entretenir vos soucis transformer vos soucis en prière et du agira car sa parole le dis bisous fraternel en Christ je crois que bien souvent de te voir demander à Dieu de changer notre cœur use de patience envers chacun voulant que tous arrive à la repentance et la connaissance la vérité que Jésus-Christ est. Dieu a compassion qu'il met en nous ses sentiments , parfois nous prions en disant ainsi seigneur aie pitié alors que Dieu est rempli de désir de sauver il a pitié parce qu'il a envoyé son fils à nous de prêcher l'Évangile en et de laisser le Saint-Esprit agir Dieu nous bénisse tous dans les sentiments en Christ
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ça va sonner totalement random mais toi, je t'aime bien.
(j'explique quand même un peu, que ce soit pas juste ce cri du coeur) Je tombe sur tes posts depuis quelques temps, j'aime bien la façon dont tu rédiges tes billets, avec humour, et aussi le fait que tu prennes le temps de répondre aux gens qui ont des questions, avec franchise mais justesse.
Voilà. Des bisous ^^
Merci c'est chou 😊
Contente que bêtises plaisent.
Cœurs sur toi.
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