#bien content de planifier vivre par là en fait
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Jvais a la plage genre une fois tous les 38 du mois mais les plages bretonnes..... Ok vous m'avez là....
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Axel Allétru – Sans rancune la vie. Rien n'est impossible!
Axel Allétru : d’abord, espoir du moto-cross et maintenant, 12 fois champion de France et recordman en 50/100 m nage libre. « Quoi de neuf », quelqu’un dira « un autre athlète avec du talent, mais il y en a plein ». Eh non, ce n'est pas comme ça. Axel a fait tout ça après une terrible chute de la moto. Paraplégique à 20 ans, il a repris à mordre la vie à plein dent. Un succès après l’autre, Axel devient conférencier pour partager son message de motivation. Rien n’est impossible ! Mesdames et Messieurs, Axel Allétru. Axel Allétru : l’importance de la résilience « Lève-toi et range tes affaires ! » . « Ah, comme il fait beau, aujourd’hui j’ai envie de faire une escalade ! » . Non, mes lectrice, je ne suis pas folle, mais combien de fois vous avez dit où pensé comme ça ? Simple et facile, n’est-ce pas ? Toutefois, essayez de penser à comme c’est difficile de répondre à un ordre de sa maman ou exprimer une envie par exemple, lorsque des médecins vous disent que vous ne pourrez plus marcher. Tout d’un coup, les choses quotidiennes, avec peu de valeur, deviennent pour nous un nouveau défi. C’est ce que s’est passé pour Axel Allétru, 29 ans et déjà 12 fois champion de France et recordman en 50/100 m nage libre. Il y a 9 ans, suite à une terrible chute de la moto, Axel devient paraplégique. « C’est la fin » quelqu’un dira. Non, c’est le début pour Axel de déployer les ailes et « prendre de la hauteur ». On a rencontré ce grand athlète de Lille, pour parler avec lui de sa vie et de son message de résilience. Bonjour Axel Allétru et mille mercis d’être là avec nous de Ô Magazine, c’est un honneur ! On sait ce qu’il t’est arrivé, Axel. De toute façon, c’est vraiment remarquable ton envie de te mettre débout, dans tous les sens. Pourquoi tu parles de résilience ? « Bonjour à vous et merci c’est un plaisir. Oui, tout est commencé quand j’avais 20 ans. J’étais un jeune espoir du moto-cross et tout se passait bien. Après une chute, tout est changé et j’ai dû vraiment, reprendre ma vie. Bien-sûr, ça a été traumatisant, surtout car j’étais en plein développement physique, d’écouter les médecins qui ont été catégoriques : je n’aurai jamais plus marché. Mais ça n’existait pas pour moi. Je voulais marcher à nouveau et je ne voulais pas me contenter du fauteuil. Loin d’être facile, mais c’est ça ce que j’ai fait. Je me suis levé et maintenant, je marche sur des béquilles et grâce à des prothèses qui permettent à mes chevilles d’avoir un angle droit. La résilience est obligatoire pour s’en sortir d’une situation comme celle-ci. Il faut accepter ce qu’il nous est arrivé et il faut, surtout, ne pas vivre dans le passé. On doit travailler dur sur nous-mêmes et la résilience est la seule chose qui nous permet de rebondir. Il faut toujours penser au moment présent et essayer de planifier le futur, parce que ce sera dans le futur qu’on vivra notre vie. Pas d’excuses donc et toujours envie de rêver ». Quand tu parles de l’instant présent, est-ce que tu penses qu’on ne donne pas de valeur aux choses quotidiennes ? « Oui, tout à fait. Mon accident m’a permis de reconsidérer plein de choses et de pouvoir relativiser. Tout ce qu’on juge ordinaire comme se lever le matin, faire du footing ou aller faire une escalade, c’était très difficile pour moi au début. En revanche, je peux dire que cette escalade là, moi je l’ai faite vraiment, malgré les difficultés. Bien-sûr, j’ai sacrifié beaucoup de choses mais à présent je fais plein de sports comme le vélo, la nage, l’escalade. Choses que personne ne pensait pas que je pouvais faire. Donc il faut absolument vivre dans le moment présent et profiter pour de vrai, des choses quotidiennes, les plus simples, car elles sont la voie plus rapide pour aboutir des résultats plus grands ». On a lu de toi aussi en tant que conférencier. En fait, tu gères des conférences aussi dans les entreprises. Pourquoi ? « Bah, tu vois, les entreprises représentent le marché du travail et elles sont évidemment intéressées par le développement des employés. Ça arrive de rencontrer dans la vie des petites ou des grandes difficultés. Ça nous donne des soucis de confiance. Dans mes conférences je veux démontrer qu’on est tous productifs, que chaque personne peut être un très bon professionnel et contribuer à faire grandir une compagnie. Il ne faut jamais abandonner ou arrêter de rêver. Nos rêves, nos ambitions, sont la lumière sur notre parcours de vie. Ils nous disent la vérité sur notre nature qui est destinée au succès, au bonheur. Le pouvoir du mental est à la base de ce travail et des phrases comme « Je n’arrive pas » ou « Je ne suis pas capable » sont des fausses croyances. Moi, je suis porte-parole de ce message et je m’engage de le diffuser aussi dans les écoles. C’est très important d’inspirer avec un message positif les jeunes, parce qu'une histoire comme la mienne a un grand impact sur eux. Il faut faire comprendre aux jeunes que tout ce qu’il nous arrive c’est un cadeau de la vie, c’est un nouveau terrain de jeu où on peut grandir et découvrir ce qu’on est ». Quand tu vas dans les écoles pour parler aux jeunes, il t’est arrivé de rencontrer des filles ou des garçons dans ta même situation ? Et parler à eux, c’est une aide pour toi aussi ? « Oui bien-sûr, je rencontre toujours des jeunes avec des problèmes. Je me rappelle qu’il y avait une fille de 20 ans, qui avait eu un grave accident en voiture. Et puis une autre fille qui m’a contacté en me disant qu’elle avait perdu une partie de sa jambe. Il s’agit de filles très jeunes comme moi à l’époque de ma chute et c’est très important pour moi de parler avec ces filles et ces garçons en leur démontrant que rien n’est impossible. C’est ma mission de parler à eux. Les ondes positives véhiculées à travers mes conférences sont une aide pour moi aussi. Dans ma vie, j’ai vécu plusieurs vies, je me suis levé, j’ai recommencé à pratiquer du sport car je crois dans sa valeur. Le sport est la clé pour s’en sortir d’une situation de déprimé et de malaise. De plus t’as la possibilité de faire quelque chose de positif pour ta vie, de te concentrer sur le bien-être de ton corps ». #Jepeux2020 c’est le hashtag que t’as lancé sur tes réseaux sociaux. Est-ce que t’as envie de nous expliquer ? Il peut faire quoi exactement Axel Allétru ? « Oui, #Jepeux2020 c’est le nouveau défi de la Team Allétru. J’ai pensé que j’avais envie de participer à la compétition de rallye, le Paris-Dakar, mais pas dans l’équipe paraplégique. Je vais compéter auprès des valides et pour moi c’est vraiment une autre occasion pour démontrer à tout le monde, que même un athlète paraplégique comme moi, il peut faire cette compétition. J’utiliserai des pédales spécieux pour bien conduire ma voiture de rallye. J’ai hâte de concourir et je voudrais inviter les gens à partager leur défi, un challenge prévu en 2020, sur cette plateforme: https://www.jepeux2020.fr/ . Il faut transmettre aux gens qu’on est fait pour rêver, pour avoir toujours de nouvelles ambitions, comme dans mon cas et cette plateforme est une occasion pour partager ses propres propositions pour la nouvelle année. Donc #Jepeux2020 ce n’est pas seulement le Paris-Dakar, mais c’est un nouveau terrain de jeu de la vie que j’accueille avec joie ». Pour conclure Axel : tu dirais quoi à une fille qui a eu ton même accident et qui se voit moche dans le miroir ? https://www.youtube.com/watch?v=9vZbGXHOEQU&feature=emb_title « Je lui dirais que la vrai beauté commence de l’intérieur et qu’elle ne doit pas regarder seulement à l’extérieur des choses et des personnes. Je lui dirais qu’il y a toujours, pour tout le monde, de nouvelles choses à faire et d’autres obstacles à briser. Toi aussi, tu peux ». Merci à ce grand athlète pour son témoignage qui nous fait comprendre la véritable valeur de la vie. J’invite toi qui lis en ce moment, toi qui vis peut-être des petites ou des grandes difficultés, à découvrir l’histoire de Axel Allétru et ses conseils pour mieux vivre, en lisant son livre 28 principes pour rebondir . Parce que toi aussi, tu peux « prendre de la hauteur ». Read the full article
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Une nouvelle partie de moi ...
Je crois que je suis en train de découvrir une nouvelle partie de moi. Une nouvelle façon de créer, de m'exprimer, un outlet pour m'amuser, pour alléger mon énergie.
Le sexe. J'adore cette activité. Alors avec Yannick, ça promet.
Enfin je l'espère.
Je me demande ; à quoi ça va me servir de m'exprimer ainsi ?
Quel message vais-je envoyer à l'Univers en m'exprimant comme ça?
je sais, j'ai l'air coincée à trop penser à tout cela, mais je ne veux pas me lancer dans qqch qui me sabote. Moi, je veux have sex, m'amuser, avoir des orgasmes, être aimée au lit, puis continuer mon parcours. C'est tout.
et entretenir une belle amitié avec Yannick. qu'il ne m'oublie pas après. je sais qu'il a déjà bcp à faire mais quand même. lol.
je veux planifier chacune de nos rencontres avec bcp de créativité, de romantisme, et de glamour, bcp de féminité, de sensualité je veux vivre une expérience fulfiling pour satisfaire la femme que je suis. ma sexualité je la vis pour répondre aux besoins de la femme en moi. mon corps de femme a besoin de caresses, d'attention et d'érotisme. c'est normal et évident que j'aime ça.
pour ce qui est de mon coeur, là c'est autre chose. mais j'ai compris au fond de moi que j'ai besoin de vivre cette relation. aussi injuste que cela puisse paraître, j'arrive à m'en contenter, je peux ainsi utiliser cet espace pour me consacrer à moi, à mon jardin secret. je ne peux attendre que mon coeur comprenne. j'ai besoin de vivre cette situation avec Yannick. j'ai compris des choses et ça me suffit. je sais me protéger, et voice out mes désirs.
ça me tente trop. je sais pas ce qu'on va faire exactement. comment ce sera. mais j'en ai tellement envie. j'ai aussi envie de moments de fun avec lui. de juste voyager avec lui, d'aller à la mer, d'aller manger au resto just for fun, d'aller se balader rien que pour le plaisir. aller randonnée. etc... puis have sex pour couronner le tout. :)
mais je ne sais pas si c'est faisable d'attendre ce genre de choses de lui. à tout moment, la fille peut le rappeler et lui dire d'arrêter avec moi. ??? voilà. je dois m'attendre à cette éventualité. il ya ce risque. je dois me faire à l'idée qu'il lui appartient avant tout.
ce qui me touche dans cette situation, c'est que ça fait moins d'un mois et Yannick arrive à se confier à moi, sans problème. Il me dit bcp de choses. Il en est lui-même très étonné. lol. je ne m'en suis pas vraiment rendu compte, mais lui si. J'espère que ça durera vraiment entre nous. il est trop chou, ce gars de 38 ans. il a l'air enfantin par moment. son innocence et son côté gamin me touchent énormément. je l'aime bien comme ça, il me parait bcp plus accessible. il ne me fait pas peur. j'adore sa façon d'être. c'est un gars génial. :) stp Maman Divine, accorde-nous, à Yannick et à moi, de vivre des moments forts en amitié : sorties, balades, soirées, diners, moments d'extase au lit, juste des choses qui font vibrer nos deux âmes. je sens qu'il y a qqch de spécial qui se tisse entre nous. Merci d'écarter cette fille de sa vie pour qu'on puisse s'épanouir. J'accepte la suite que tu nous donnes. Tout te revient de toute façon. Merci de répondre à nos besoins. !) Je t'aime Maman Divine. JE t'aime vraiment. JE sais pas si c'est beaucoup mais c'est sincère. à chaque moment de ma vie, je t'aime Maman Divine. je me sens bien. ça a l'air un peu chaotique mais j'aime bien ce que je vis en ce moment. voilà pqoi j'y accorde autant d'attention.
Maintenant, je te laisse faire pour la suite. à toi de jouer! :)
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The legend of Zelda: Majora’s Mask, trois jours pour sauver le monde
Deux ans après Ocarina of Time, en 2000, sort Majora’s Mask, suite quelques peu controversée du titre culte de la Nintendo 64. Controversée de par sa durée, bien moins longue que son prédécesseur, ses thèmes bien plus sombres ainsi que son système de jeu assez particulier. Ce dernier point peut s’avérer frustrant pour certains joueurs, les faisant arrêter le jeu avant la fin.
Pour ces différentes raisons, le titre a connu un succès moindre qu’Ocarina of Time malgré ses qualités. Cela n’a toutefois pas empêché le titre de ressortir, en 2015, sur Nintendo 3DS dans une version remasterisée. Mais que peut bien apporter cette nouvelle version du jeu ?
Un « remake » sans grande nouveauté
Si vous vous attendez à du nouveau contenu pour ce Majora’s Mask 3D, passez votre chemin. Contrairement à Ocarina of Time, cette nouvelle version se contente de reprendre le jeu de base sans ajout, contrairement au boss rush d’Ocarina of Time. Le seul ajout consiste en une pierre Sheikah donnant des indices pour ceux se retrouvant bloqués.
Plutôt que de réelles nouveautés, ce remake améliore certaines mécaniques de l’original. On notera le chant du temps accéléré qui permet maintenant de choisir précisément l’heure à laquelle on souhaite explorer Termina. Le journal des Bombers est également plus pratique avec un emploi du temps précis des habitants de Termina et la possibilité de mettre un rappel à une heure précise pour ne pas louper un événement.
Le système de sauvegarde est aussi moins contraignant. Dans l’original, celle-ci n’était possible qu’en remontant le temps pour revenir au jour de départ. Dans cette nouvelle mouture, il est désormais possible de sauvegarder grâce à diverses statues de hiboux disséminées à travers le monde.
Cette version se permet également des modifications dans l’obtention de certains objets. Tout a été fait pour rendre le jeu moins frustrant et punitif qu’à l’époque. Et ça marche ! On retrouve bien entendu une refonte graphique et sonore donnant un petit coup de jeune au soft sans pour autant en faire le jeu le plus beau de la console.
Nous parlons ici des nouveautés ! Cependant, pour ceux qui n’ont jamais touché à Majora’s Mask et qui veulent se lancer avec cette version : de quoi ça parle ?
Termina, trois jours avant la fin du monde
Peu de temps après la fin d’Ocarina of Time, nous retrouvons Link et Epona dans une forêt sombre, à la recherche d’une amie disparue. C’est là que Skull Kid, accompagné de deux fées, vole l’ocarina et la monture de Link. S’ensuit une courte poursuite au cours de laquelle le héros tombe dans un trou tel Alice tombant dans le terrier pour rejoindre le pays des merveilles. Au fond de ce dernier, Link confronte Skull Kid mais finit transformé en peste mojo ! Impuissant, il continue sa route et pénètre dans une étrange tour. Là, un vendeur de masques explique qu’on lui a dérobé un… masque maudit très dangereux et qu’il nous donnera un moyen de redevenir humain si on le lui ramène. Hors, Link ne dispose que de trois jours pour réussir. C’est alors le début d’une course contre la montre pour sauver l’étrange monde de Termina, menacé par la lune prête à tomber sur le monde.
Voici, en résumé, les bases du scénario de Majora’s Mask qui va vous faire vivre encore et encore les trois mêmes jours pour espérer arrêter Skull Kid.
Un jeu court mais riche à la fois
Trois jours, c’est le temps qu’il vous reste pour sauver Termina ! Mais trois jours, c’est trop court pour tout faire surtout en sachant que, pour espérer arrêter Skull Kid, il va falloir explorer quatre temples situés aux quatre points cardinaux du monde.
Heureusement, pour avoir le temps de tout faire, vous pouvez compter sur votre ocarina qui, quand vous le souhaitez, peut vous ramener à l’aube du premier jour. Notez cependant qu’une fois revenu au début du cycle, vous perdez tous vos consommables (flèches, bombes, contenus des flacons…). Si jamais vous trouvez que le temps passe trop vite, le ralentir est possible grâce à une mélodie précise.
Comme précisé plus haut, le jeu est composé de quatre donjons avant l’ultime boss du jeu, ni plus ni moins. Cela nous donne une quête principale plus courte que son prédécesseur. À noter que ces différents temples proposent des énigmes intéressantes rendant leur exploration parfois ardue. Malgré ce faible nombre de donjons, cet opus conserve tout de même une certaine durée grâce à un contenu annexe riche.
En plus des quarts de coeurs, on trouve dans ce jeu la collecte des masques (24 au total) qui est loin d’être de tout repos. Il est aussi possible de sauver quatre grandes fées en retrouvant, dans chaque donjons, 15 petites fées parfois bien dissimulées. Lié à tout cela, Link peut aussi résoudre les différents problèmes des habitants de Termina. Ces missions, plus ou moins longues, sont étalées sur les trois jours avec un cheminement qui n’est pas toujours simple. Heureusement, le journal des bombers est là pour aider le joueur. Celui-ci répertorie toutes les quêtes ainsi que les différentes étapes déjà effectuées par le joueur. De même, les horaires des PNJ sont notés avec, comme dit ci-avant, la possibilité de mettre un rappel. À noter que certaines quêtes sont dépendantes les unes des autres et doivent être terminées entièrement sous peine de devoir les refaire du début une fois le temps remonté !
Malgré le journal, faire le jeu à 100 % s’avère difficile sans guide ou notes. Le côté frustrant s’exprime ici par l’impossibilité de tout faire dans la limite des trois jours. Cependant, une fois cet état de fait accepté, planifier ces trois journées devient un plaisir et on ne se lasse pas de refaire moult fois la même boucle temporelle.
En termes de gameplay, on retrouve les mêmes équipements classiques de la série (bombes, arc, grappin, flacons…). La nouveauté se trouve du côté des nombreux masques utilisables. Chacun possède un pouvoir unique (par exemple le masque du lapin permet au héros de courir plus vite). Les masques principaux permettent même de se transformer ( en mojo, en goron ou encore en zora) avec, pour chacune de ces transformations, des coups et capacités uniques. À noter que la plupart des masques sont optionnels et se débloquent en résolvant des quêtes.
Passons maintenant à une rapide présentation des thèmes du jeu plus sombres que les précédents opus. On peut notamment penser à l’idée de fin du monde, la présence assez forte de la mort et des âmes en peine. Ces différents thèmes ont pu perturber certains joueurs plus habitués aux thèmes plus légers de la série.
Majora’s Mask est un très bon jeu n’ayant pas eu le succès escompté. Il est plaisant à jouer avec un gameplay efficace et original malgré quelques problèmes de visée et des boss au design parfois douteux et à la difficulté moindre que le reste du jeu. Le côté frustrant du titre n’est pas énormément présent une fois la répétitivité des trois jours et l’impossibilité de tout faire dans ce laps de temps acceptées. Malgré tout, de par sa plus grande complexité (notamment la limite de temps qui force à bien calculer lorsque l’on se lance dans l’exploration d’un donjon), ce n’est pas forcément l’opus conseillé pour se lancer dans la série des Zelda. Cela n’empêche pas Majora’s Mask d’être jeu à faire pour ceux qui aiment la licence du héros au bonnet vert.
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La case départ
Indice mini-fée: sacres, références sexuelles, déprime
2020, 28 Septembre.
3 semaines.
C’est le temps que ça m’a pris pour virer sur le top. OR DID I ? Je me suis tiré aux cartes, hier. Je préfère ne pas le faire trop souvent. Lorsque je les ai achetées, je me pigeais souvent. J’imagine que j’avais soif que le criss pour des réponses. Mais, j’ai réalisé, tout comme l’horoscope, et n’importe quel discours de croissance personnelle… que le but réel, c’est d’avoir un dialogue avec l’univers. Puis moi, j’ai eu une pas pire engueulade avec elle (on dit : un univers, mais peut-être qu’on se trompe sur le sexe de l’univers… Eille, j’aime ça comme titre. Peut-être qu’on se trompe sur le sexe de l’univers.) En écoutant You Are Loved de Josh Groban, je me suis tiré en y croyant à moitié, et en appréhendant les forces occultes qui allaient venir me posséder, et me déposséder à la fois, et me ravir du pouvoir que j’ai sur ma destinée. Bref. C’est pas arrivé. Le dialogue que j’ai eu face à ma situation présente était même étonnamment juste. Ça parlait de contraintes, de fardeau, de guérison, d’identification à ses émotions, et de créativité. Ça parlait des vraies affaires.
Je l’ai tu conté, quand j’ai badtripé ? J’ai finalement reparlé à mon petit Churros après. Il m’a dit qu’il faisait de l’anxiété… qu’il était anxieux ? Une couple de trucs, revenir à un rythme de vie plus en phase avec ses démarches… Ouin; crédible. Légitime. On a fait une vidéo la semaine passée. Je semblais avoir pris peur pour rien. Enfin… pas pour «rien».
Il m’a dit qu’il aurait plus de temps cette semaine. Mais notre courte discussion par texto hier s’est arrêtée sur moi, et je n’ai pas eu de réponse à ma question : tu me diras quand tu as du temps cette semaine. Question-affirmation. Ça fait une journée, et je suis de retour à la case départ. La case départ… N’est-ce pas la case des aux revoirs ? «Va-t’en.» Va-t’en, douleur, doute, stress, vampire, et maudit agace et hypocrite, et criss de branleux. Voilà ce qui bout depuis deux semaines. Ça, et bin de l’incompréhension. Voilà ce que je pense : la dynamique s’est peu à peu enlignée vers moi qui relance. Et maintenant qu’il sent qu’il m’a acquis, quel est l’intérêt de me contacter ? C’est probablement la chose qui me pique le plus. J’étais content de plonger dans un échange où je me sentais bien, et où je m’amusais. Pourquoi le cacher ? Mais pour une raison que j’ignore, les flamboyants comme moi, on se fait tout le temps avoir. Pendant trois semaines, les échanges se sont enfilés rapidement, et avec plaisir. Et puis, tout d’un coup, Churros a repris ses jetons, ne m’a plus rien dit—sinon si peu—et j’ai réalisé que j’avais sauté des étapes, ou des informations. Parce qu’après tout, je le connais pas, Churros. Vraiment pas beaucoup. Mais pour moi, c’était secondaire. Je voulais le connaître, le reste, je m’en sacre tu. Le problème—ou plutôt l’enjeu, c’est : j’ai besoin, MOI AUSSI, de sentir qu’on veut me connaître. Je ne suis plus sûr que ce soit le cas.
La solution est simple. On recule d’un pas. On réajuste le tir en maudit, parce que là, ça marche plus, mais plus pantoute ! J’ai passé une nuit blanche, je me suis fait du sang d’encre au moindre silence, et progressivement, sans que je m’en rende compte, pendant que monsieur Churros planche sur une vidéo, travaille, etc, etc, moi j’ai coupé dans mes projets et j’ai consacré plus d’énergie dans cette relation. GROSSIÈRE ERREUR. J’écoutais Florennce99 parler de son parcours (que j’ignore encore parce que ce sont les premières vidéos que j’écoute d’elle) de rupture avec un gars, si j’ai bien compris, parce que justement, il était question qu’elle lâche la vidéo. Éh bien, la voilà, la cristie de vérité, en plein dans ma face. J’ai lentement cessé d’être moi. J’ai pensé que Churros serait une source inépuisable de réconfort, et de bonheur. Puis aujourd’hui, j’en aurais eu besoin en câlisse. Mais monsieur me boude, ou monsieur s’anxiose, ou monsieur peut bin crisser ce qu’il veut ! Je suis fâché, parce que j’ai l’impression que ça s’arrête là, quand je commençais justement à y prendre goût, et je comprends pas, parce que tout semblait m’indiquer que lui aussi. Tout ça pour dire que s’il y avait eu un moment où j’aurais pu bénéficier d’un bon moment, ç’aurait été aujourd’hui. Mais je suis tanné, Churros, de te courir après. Puis aussi, je comprends pas. Encore. Si je suis si plate que ça, t’as qu’à me le dire. Puis sinon, je comprends pas. Encore. Si t’as envie de me voir, 1 : ça paraît crissement pas. Puis 2 : c’est pas parce que t’es occupé que tu peux pas m’envoyer un petit texto, une photo, ou juste se faire une vidéo. Mon pronostic : la relation a surchauffé. Maintenant, ça le stresse, même s’il veut pas me le dire (pourquoi—OK, POURQUOI ? Le monde veut pas le dire, les choses comme ça, invisibles, sous-jacentes ? ‘me semble que ce sont les choses qui sont LE PLUS IMPORTANTES à dire.) Ça se dit ! Ça se dit, tabarnak ! En tout cas, c’est clair : s’il faut que je lui tire les vers du nez, oublie ça tout de suite. Donne-moi juste une osti de bonne dernière baise pour la route, puis on repart. À la case Repart.
Je suis fâché parce que j’ai été troublé par Churros, c’était pas mon genre de gars, mais justement j’étais tanné de mon genre de gars, puis comme un bon Bob L’Éponge, j’ai tout absorbé. Apprendre l’espagnol en flirtant. Apprendre quelqu’un. Toucher. Faire l’amour dans le placard au travail. Se trouver des surnoms. On dirait que dans la tête à Churros, tout ça est là, accessible, et il peut y accéder en tout temps. On dirait, en fait, que ça fait aucune différence que ça soit accessible ou pas. Il me texte pas, puis il continue à mettre des stories sur instagram. Sans moi. C’est quoi, l’affaire ? Je m’attendais tu à ce qu’il arrête de vivre pour moi ? Peut-être que oui. Car, au final, c’est ce que moi, j’ai fait. Bravo, le sans-dessein.
J’en reviens à me manquer, et à être hors de moi comme je ne l’ai jamais été. Puis je veux pas ça. Moi, le criss de niaisage, j’ai donné. Fait que : non. J’espère ! qu’on sera bons amis. Mais ça regarde pas bien pantoute pour le reste. Puis c’est bin correct comme ça. Après tout… On a même pas dépassé la phase de fréquentation. Puis, à vrai dire, je me demande si on y est jamais entré, dans cette putain de phase, selon les critères de Churros-branleux. J’en ai parlé à quelques-uns, de notre décollage trois-semaines-à-se-parler-à-tous-les-jours. Certains d’entre eux m’ont répondu que c’était «bin intense». Oui et non. J’avoue m’être senti un peu confus par rapport à certaines questions. Mais je ne suis pas d’accord. On aurait pu ralentir, on aurait pu se donner rendez-vous dans une semaine. Et non pas juste me ghoster en me laissant en plan. Ha ! Après trois semaines au quotidien ! L’histoire de mes fréquentations.
***
J’en reviens à You Are Loved. À Grosh Joban. À il y a un an, deux, à il y a même pas deux mois. J’étais bien, célibataire ! Un mois plus tard, je dors plus, je suis en criss, je m’appartiens plus, je me sens mal, je l’ai tout le temps derrière la tête, alors que je l’imagine pas, lui, s’en faire du tout—aucune manifestation. Comment, merde, suis-je passé de ça à ÇA ? Comment ça se fait que j’avais mes projets cordés (mais pas encore débrouillés), que le but était défini, même si lointain, puis que là, un mois plus tard, je me ramasse de-même ? J’ai bien géré ces trois semaines. Assez bien. Mais c’est quand ça a commencé à se débalancer que j’ai complètement perdu les pédales. Résultat ? Je suis de retour à être juste une criss de grosse bouette informe. Je me reconnais plus. Mais pire, je suis de retour dans la pire souffrance de ma vie. Ce sentiment de ne rien valoir. Absolument rien. Parce que l’autre ne m’accorde pas l’attention attendue. L’attente attendue, tellement longtemps attendue ! Puis quand finalement, j’ai arrêté d’attendre, pour attendre encore—ironie !—mais attendre différemment, les choses ont chié solide. Mais j’avance quand même un peu. J’arrive à repousser un peu plus loin le délai d’attente. À repousser ma date d’expiration en relation—puis j’expire vite ! C’est drôle. Je m’attache si rapidement. Mais je viens pas vite, par contre. Je peux me masturber longtemps avant de venir. Résultat ? Grosse bouette. Je le sais même pas si Churros apprécie mon écriture. J’ai pas l’impression que Churros me voit. C’est moi qui ai posé les questions. Il s’est juste habitué à me partager sa vie. C’est généreux. Mais je ne me sens pas prisé. Je ne me sens pas retenu. Je ne me sens pas désiré. Je ne me sens même pas choyé. Je me sens juste comme une osti de bonne ration de malbouffe—qui a certes durée trois semaines—qu’on a tôt fait de disposer. Ça goûte bon. Mais c’est purement pratique. On s’en câlisse tu de ma yeule.
Je suis pris par la coordination d’un événement qui me prend trop de temps et d’attention pour l’organisation que je possède, fait que je fais ça, puis le reste du temps, frustré et exténué, je me jette sur Netflix. Fait que ma vie, depuis deux semaines environ, c’est ça : Stresser, organiser, planifier, coordonner, réviser, aller travailler, transport, Netlfix. Lever tard, coucher tard. Puis souvent, pas assez de sommeil. La bouffe, on en parle même pas. Je suis gras comme jamais, prêt à être embroché et rôti. Puis dans tout ça, Churros me fait la yeule, en prétextant qu’il est occupé. J’adore ma vie, parfum de pandémie. La covid sera bientôt troisième vague, elle aussi. Comme les cafés branchés.
Ces temps-ci, je me rappelle que je peux haïr ma vie. C’est plutôt rassurant de voir que ça m’arrive de moins en moins. Bien souvent, c’est l’amour qui déclenche ma fureur. Je ne pensais pas que je pouvais être aussi hystérique—ah ! J’avais une idée de ma théâtralité, mais je pensais pas que c’était aussi facilement déclenchable. Au-delà des actions de Churros, ce que je déplore le plus, c’est ma responsabilité dans tout ça. Parce qu’au final, Churros peut bien faire ce qu’il veut. Si ça le rend heureux, pourquoi vouloir le contrôler ? Je suis qui, moi, après tout, pour juger de ce qu’il devrait faire ? C’est juste que je me sens la marde sur un moyen temps, ces jours-ci. And it really isn’t that great. Mais bon, c’est un peu évident…
***
J’avais envie d’en parler à Mille-Feuilles… Combien c’est con… Je le vois bien, ce qui se passe ! Je le sais bien que je prends pas les bonnes décisions, que je suis pas bien avec moi, que je le projette sur l’autre. Que le développement de cette relation est le fruit de tout le reste. Ce n’est pas un hasard, ce silence, cette hypocrisie menaçante, et cette détresse que je vis à la moindre trace de rejet… Il y a des jours, je ne sais plus qui je suis. Tout ce que je vois, c’est l’osti de gros échec, avec la bedaine bien visible en-dessous de son uniforme tank top noir, qui l’amincit à peine. Tout ce que je suis capable de me dire, en me voyant dans le miroir, c’est à quel point je suis gras, puis que maintenant qu’il y a vraiment plus personne pour en vouloir, je peux plus me le cacher. Tout ce que je vois, c’est un criss d’attardé qui a toujours pas décollé sa vie pendant que le restant de la planète entière avance, réussit, fait des choses intéressantes. Mais pas moi, non. Non, moi je moisis toujours dans des criss de postes de second plan, puis je suis donc poli puis bon, puis juste assez drôle pour bien faire mon travail, puis m’en faire passer une couple, jusqu’à tant que je me tanne puis que je reparte la machine. Tout comme les relations, d’ailleurs. Tout ce que je vois, c’est tout ce que j’ai pas fait, tout ce que je ne suis pas. Et je ne me sens jamais rassasié. Je ne me sens jamais arrivé. La vie devient vite dérisoire à ce rythme-là. Et bien, j’y pénètre, dans la saison des dérisions. J’suis t’écoeuré. J’ai envie de varger sur tout le monde. Je m’endure plus pantoute. Je n’entends plus ma voix. Mes rêves. Et je ne me reconnais plus.
Fait que : oui. Je pense que c’est une bonne chose que Churros me force à être sacré là avec moi. Parce qu’en fait, j’ai plus rien à lui offrir. Je suis dans l’avidité, la dépendance. Parce que… j’ai peur de ne plus jamais faire l’amour de même. D’aimer apprendre une langue de même. De rire de même. J’ai surtout peur… de ne jamais m’aimer. Je ne pense pas que je m’aime. Et ça me rend triste. Je ne crois pas en ce que je crois. Je déteste parler de mon roman. Les gens ne comprennent pas que ce n’est pas un roman, c’est ma voile pour partir. Quitter la case départ, puis l’osti de case départ ! J’ai tu hâte de la laisser derrière moi ! Mais non ! Je n’ai pas le sentiment de l’avoir quittée ! Je m’impatiente ! Je suis tanné ! Fatigué ! Épuisé ! Je ne sais plus si je suis réellement qui je crois être. Parce que je ne le suis pas. Je ne l’incarne pas. Je ne le montre pas. Je… n’y crois pas. Alors, c’est ce que j’obtiens en retour. Des postes, des fonctions, des relations qui ne croient pas vraiment en ce que j’ai à offrir. Des relations qui me laissent tomber en plein milieu. Probablement parce que je fais la même chose avec moi.
Une chose me semble claire. C’est bon. C’est bon que je m’insurge contre le comportement crissement inconséquent de Churros, c’est bon que je veule me sentir désiré, puis que je le laisse mariner pendant deux semaines. C’est bon que je prenne conscience de tout ça, que je manque surtout d’amour-propre, et que c’est la cause de beaucoup de mes symptômes irritants. C’est bon que je lutte, que je sois plein de marde ? En nettoyant la pièce principale au travail aujourd’hui, j’ai gueulé avec Josh : You Are Loved. À quel point j’ai besoin de me le rappeler… À quel point j’apprécie pas qui je suis, ce que j’ai à offrir… À quel point je ne suis jamais que «gras» «lourd», trop ci, trop ça… Pas assez, JAMAIS assez… pour les autres. Mais surtout pour moi…
Revenir à la case départ.
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Pour mieux gérer notre temps et notre argent, le plus simple serait sans doute d’aller vivre dans un monastère reculé, sans Internet ni compte en banque ! Mais comme Dieu ne nous appelle pas à quitter le monde, voici quelques idées pour garder une gestion saine de ces deux ressources précieuses.
Trois principes
Souviens-toi que notre société nous ment
A travers les publicités omniprésentes ou les mauvais exemples que nous voyons de personnalités et de personnages de films et séries, le monde accentue notre égoïsme naturel et notre désir de disposer de notre temps et de notre argent pour notre propre plaisir. Nous devons donc demander régulièrement pardon à Dieu pour cela mais aussi parce que nous croyons pouvoir acheter les faveurs de Dieu avec notre argent ou nos bonnes œuvres.
Nous avons besoin de la grâce de Dieu pour nous transformer en profondeur.
Souviens-toi que tout appartient à Dieu
Il est non seulement le créateur de toutes choses mais aussi l’inventeur de la notion même de temps. Ce n’est pas mon argent ou mon temps que je gère, ce sont ceux de Dieu (Aggée 2.8). Dieu nous prête du temps et de l’argent pour accomplir nos missions sur terre. Nous ne sommes que des gestionnaires, à nous d’en être reconnaissants en paroles et en actes !
Ce n’est pas mon argent ou mon temps que je gère, ce sont ceux de Dieu.
Souviens-toi qu’il faut vivre dans l’urgence
Jésus peut revenir d’un moment à l’autre, et l’Évangile doit être annoncé à tous les peuples d’ici-là. Notre temps et notre argent nous permettent donc de prendre part joyeusement à la grande mission. Si c’est vrai pour toi, cela doit se voir sur ton compte bancaire et dans ton agenda ! En tant que chrétien racheté, Dieu met en nous des désirs renouvelés pour le servir avec ces deux ressources.
Trois conseils
Planifie
Le paiement de ton loyer ne doit pas te surprendre ! Pour cela, fais un budget prévisionnel avec une répartition de tes dépenses en fonction de tes besoins et de ceux de ta famille, de la mission et des impôts que tu payes sans râler (Luc 20.22)…
De la même manière, il est important de planifier ton organisation personnelle, pour vivre le conseil de l’Ecclésiaste : « il y a un temps pour tout ». Il faut donc connaître tes priorités, c’est-à-dire les tâches qui sont importantes et/ou urgentes dans ta vie. Cela t’aidera à refuser ce que tu ne dois (ou ne peux) pas faire, voire à déléguer ce qui devrait être fait par quelqu’un autre.
Investis pour l’éternité
Pour montrer ta reconnaissance et ta dépendance à Dieu, prends l’habitude de donner joyeusement à ton Église et à des missions une part de tes revenus. Combien ? Le plus possible ! Dis-toi que ce n’est pas ton argent que tu donnes à Dieu, mais l’argent de Dieu que tu lui rends. Ou que tu gardes pour toi ! Plus tu aimes Dieu, plus tu donneras avec confiance. Attention, la réciproque n’est pas toujours vraie !
Avec ton temps aussi, tu peux investir pour l’éternité. Quoi que tu fasses, fais-le de tout cœur pour Dieu. Sois encore plus généreux avec ton temps qu’avec ton argent, parce qu’il a encore plus de valeur. Alors, comme disait Jim Elliott, « où que tu sois, sois-y à 100% ! »
Contente-toi de ce que tu as
L’Apôtre Paul avait un secret, il avait appris à se contenter de ce qu’il avait. Il écrivait en Philippiens 4.13 :
« J’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. ».
Si nous partagions tous son secret, la gestion de l’argent serait bien plus facile !
De la même manière, dors bien et n’oublie pas que tu n’es pas Dieu : tu peux dormir parce que tu sers le Dieu qui ne dort pas ! La suractivité est aussi révélatrice de notre manque de confiance en Dieu, de nos idoles, ou de notre besoin démesuré de prouver quelque chose. Au contraire, Jésus règne, alors vivons en paix et considérons-le comme notre plus grand trésor.
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Cet article a été écrit pour le magazine Ta jeunesse dans le cadre du congrès « Une vie de défis » qui a eu lieu à l’IBG. Reproduit avec leur aimable autorisation.
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Les meilleurs gadgets publicitaires pour les courses à pied.
1. Pourquoi imprimer des cadeaux d’affaires avec votre logo pour les événements de course à pied ?
La tendance à vivre plus sainement incite beaucoup de gens à aller marcher, faire du jogging ou encore de la course. De plus en plus d’événements s’adressent à ce groupe de personnes. La composition de celui-ci est dès lors très hétérogène, allant des enfants aux personnes plus âgées, en passant par les ados et les jeunes adultes. Bref, tous ceux qui veulent bouger.
Oui, envoyez-moi des infos sur des product media imprimés pour des courses à pied >>
La Gallo-Romaine, Le Jogging du Télévie, Le jogging d’Houfalize, Les Color Runs, … presque Chaque ville Belge a aujourd’hui sa course annuelle. Et ces événements de course à pied ont énormément gagné en popularité ces dernières années. Ce qui fait de ce public un groupe reconnaissant de votre action avec gadgets ?
Vous avez là une horde de coureurs, un large public, de nombreux organisateurs et collaborateurs, sans oublier une grande attention de la part des médias. Qu’est-ce qu’un spécialiste du marketing peut souhaiter de plus pour diffuser son logo ?
Dans quel but peut-on utiliser des cadeaux d'affaires pour les événements de course à pied ?
Le lancement d’un nouveau produit : boissons gazeuses, boissons énergétiques, eaux, barres protéinées.
La notoriété : vu le grand nombre de participants, vous pouvez attirer l’attention sur votre logo lors de l’événement lui-même, mais aussi dans les médias et après, lors de la réutilisation de votre product media avec votre logo.
Cela peut se faire au moyen de cadeaux d’affaires qui seront distribués aux participants avant le départ, au moyen de récompenses à l’arrivée, ou encore en distribuant les gadgets avec votre logo aux supporters, collaborateurs et sympathisants de l’événement.
2. Quand vaut-il mieux planifier votre action impliquant des cadeaux d’affaires avec logo en Belgique ?
Voici, pour vous aider, le calendrier des événements de course à pied organisés en Belgique.
Les City Runs
Les Marathons et semi-marathons
Les 10 miles
Le Spartacus Run, une course d’obstacles
La plupart des actions pour ce genre d’événements exigent d’importants tirages de gadgets avec impression de votre logo. Il est donc crucial de les commander à temps. En commandant vos cadeaux d’affaires avec impression trois mois à l’avance, vous aurez une marge de sécurité.
Comme les coureurs qui doivent franchir la ligne d’arrivée, nous devons nous aussi pouvoir respecter le délai de votre commande.
Pour les commandes en Europe, nous avons besoin de temps pour la production. Pour les commandes provenant d’Extrême-Orient, c’est cette fois le transport qui prend du temps.
3. Quels sont les product media idéaux pour les événements de course à pied ?
Un gadget puissant pour les courses sera aussi utilisé par les participants après l’événement, lors de la pratique de leur sport. Ce qui prolongera la visibilité de votre logo et renforcera votre impact.
Même chose pour les gadgets bien choisis destinés au public. Les gens seront contents de pouvoir réutiliser votre gadget lors d’autres événements et ils continueront ainsi de diffuser votre message.
4. À quoi faire attention lors du choix d’un product media pour les événements de course à pied ?
La durabilité
Le conditionnement
Le stock
La durabilité : inspirés par la tendance écologique, de plus en plus de spécialistes du marketing veillent à éviter les gadgets à usage unique ou jetables. Imaginons que 1 000 personnes participant à un événement, en franchissant la ligne d’arrivée, jettent votre product media dans la poubelle (ou pire à côté). C’est une image à laquelle aucun spécialiste du marketing ne veut penser en planifiant son action. Mieux vaut donc opter pour des produits locaux (pour réduire l’empreinte écologique) et pour des produits et matières premières recyclables.
Le conditionnement : l’expérience nous montre que le mieux, c’est que ces gadgets soient livrés en vrac et surtout pas emballés individuellement dans un sac en polyéthylène. Cela facilitera leur distribution lors de l’événement et évitera une montagne de déchets inutiles.
Le stock : étant donné le nombre élevé de courses à pied proposées, vous pouvez aussi commander un stock de gadgets avec votre logo pour plusieurs événements. Nous pourrons les stocker pour vous et les livrer par événement sur le lieu de celui-ci.
Oui, envoyez-moi des infos sur des product media imprimés pour des courses à pied >>
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Chanson d’Elmalih dans une interview personnelle: « L’image provocatrice derrière moi »
Fre News 24h Chanson d’Elmalih dans une interview personnelle: « L’image provocatrice derrière moi »
« Jusqu’à présent, j’ai gagné 12 livres, ce qui est vraiment une bonne chose, car je reçois chaque livre d’amour », déclare-t-elle. Elmalih song, L’un des principaux modèles en Israël. « C’est un nouveau corps, et je l’apprécie totalement et je sais que la majorité sortira avec le bébé, donc tout va bien. »
Elmalih, 30 ans, S.W.Marié cette année à l’immobilier juif italien Michael Zanzuri, A subi deux avortements avant cette grossesse. « La vérité est que je ne mérite plus d’en parler. J’ai parlé et révélé de donner à tous ceux qui vivent ça, mais en ce moment je suis ici et maintenant. »
Au septième, elle admet qu’elle devient déjà un peu lourde. « Et ma mère m’a aussi prudemment demandé si je faisais quelque chose sur les lèvres, parce que mon visage gonflait davantage, mes joues aussi, et la vérité que je l’aime », dit-elle en riant.
Et si nous faisons déjà des injections et du Botox – êtes-vous en faveur? « Pas pour le moment, mais si nécessaire, faites-le. Aussi en termes de chirurgie plastique, chaque femme se sentira complète avec elle-même et fera tout ce qui la fera ressentir de cette façon, mais de bon goût, bien sûr. »
Le visage d’Israël, mais n’appartient qu’à moi
Ces dernières semaines, une tempête a éclaté autour de la campagne du ministère du Tourisme dans laquelle il joue. La campagne, publiée à Londres, a reçu des critiques furieuses selon lesquelles il s’agit de sexisme pur. Dans la campagne, qui passe dans les bus, Elmalih en maillot de bain a l’air sexy. À la suite des plaintes, WIZO a contacté le ministère du Tourisme dans une lettre, indiquant que son bureau gouvernemental avait choisi de faire la publicité d’une femme en maillot de bain plutôt que les paysages et les valeurs culturelles que l’État avait à offrir. « Cela fait partie d’une campagne entière, et nous avons adapté les serrures pour chaque endroit. Sur les plages de Tel Aviv, j’ai été photographié en maillot de bain et à Jérusalem, j’ai été photographié dans les vêtements en conséquence. Quiconque pense à moi et se soucie de tout cela, mais je suis très content de cette campagne, je n’y renoncerais pas et j’aimerais en filmer 20 autres. Je fais juste ce qui est le mieux pour moi, et personne ne m’oblige à faire quoi que ce soit. Faire des choses que je ne veux pas faire « , explique-t-elle.
À ma question, si elle se définit comme féministe, elle répond: « Cela dépend beaucoup. Tout d’abord, j’aime vraiment les femmes fortes, mais chaque histoire en elle-même. Il y a une histoire avec laquelle je serais moins d’accord, et il pourrait y avoir une histoire avec laquelle j’associerais beaucoup. Trop extrême dans mes opinions, mais je suis là. Oui, il est très important pour moi de travailler, il est toujours important d’être à part entière. Ma carrière est quelque chose que je construis depuis près de 12 ans, et je ne l’abandonnerais pas – c’est amusant pour moi, ça me donne un lecteur, C’est agréable de se lever le matin, quand vous avez quelque chose à faire, surtout si vous aimez ce que vous faites, personne ne peut prendre le contrôle de vous. ».
Et qu’en est-il du harcèlement sexuel, de devoir y faire face? « Tout d’abord, cela a toujours existé. Je ne sais pas si c’est spécifiquement ma profession, mais – cela arrive, et la question est de savoir comment vous réagissez à ces choses et comment vous vous comportez. Si quelqu’un se tourne vers moi et que je ressens un peu une sorte de harcèlement, il sera condamné à perpétuité Je ne vais pas essayer du tout, et j’ai toujours été comme ça – même quand j’étais mannequin. J’ai eu beaucoup de bonnes suggestions dans le monde de la modélisation, prendre des photos pour des campagnes qui étaient très grandes, qui pourraient élever ma carrière à cette époque. , Et j’ai refusé parce qu’on m’a dit «Gib & Take». En ce qui me concerne, si je ne vais pas dormir la nuit et que je souris et que je me regarde – un Ça ne me dérange pas, car au final – plus on va loin, plus on veut aller plus loin, on ne sera jamais satisfait, et je m’en suis rendu compte dès le début de ma carrière. Je n’ai jamais accepté de faire quelque chose dont mon cœur n’était pas complet Millions pour cent. Et je suis heureux avec ça à ce jour – pas de regrets, parce que le fait que je me suis retrouvé dans un endroit très respectable, en plus – je dors avec un sourire la nuit, ce qui est écrasant pour moi. «
Mamans, jeans skinny et digestion
Nous nous rencontrons dans un café à Zahla. Elmalih est radieuse et douce de la tête aux pieds, et tous les regards sont sur elle à chaque instant. Aucune cagoule sur son visage ne trahit la portabilité de cette année et la route vers une grossesse. «Trois premiers mois Je restais enceinte – On m’interdisait de faire de l’exercice et je devais m’allonger au lit la plupart du temps, mais cela s’est bien passé, car il est tombé sur moi pendant les vacances. Maintenant, Dieu vous bénisse, tout se passe parfaitement. Ça a été des mois difficiles parce que j’ai l’habitude de faire un marathon avec moi toute la journée, et soudain je ne peux pas. Je vomis aussi, également handicapé pour le lit, et je veux aussi dormir toutes les heures. C’est quelque chose que mon corps ne sait pas, et je me dis – je vais essayer de le surmonter, et plus j’essaye de le surmonter, mieux je me sens, alors je me suis rendu et j’ai abandonné. Mon médecin est très heureux que je me sente de cette façon, car il a dit: « Si vous vous sentez de cette façon, cela signifie que la grossesse est survenue. » C’est la seule chose qui m’a réconfortée à ce stade. Aujourd’hui encore, je suis très autonome, je fais de l’exercice, je mange bien et je travaille. Ma mère me disait toujours que la grossesse n’est pas une maladie, ce qui est vraiment vrai – si vous pouvez la gérer correctement, alors tout va bien. «
Elmalah a l’air calme. « Êtes-vous excité? », Je demande. « La vérité est, » un sourire se dessina sur son visage. « J’espère que je vais être une très bonne mère, pas anxieuse ni lâche. Je consulterai les bonnes personnes, avec qui je pense, pourront me donner les meilleurs conseils pour devenir une mère calme et saine d’esprit. C’est très important, car finalement je crois tout Que l’enfant passe par l’enfance lui lance pour plus tard, et je veux que mon enfant ait une enfance des plus incroyables là-bas. Je digère les choses très rapidement. Je peux faire des changements très rapides dans le cerveau, et comprendre qu’aller avoir un bébé – c’est l’un d’entre eux. Je pense toujours à l’avenir – comment Combinez cela avec le travail, comment je deviens la meilleure mère du monde en même temps, et lentement je me retrouve à répondre que M. Je suis très conscient, et je pense que c’est un avantage. Certaines personnes disent que c’est un désavantage, et être trop conscient n’est pas bon. Personnellement, j’aime ça moi-même. Je n’entre pas dans les points d’interrogation « Que sera-t-il? », Je planifie toujours ma vie Mais, vous savez, la vie a ses surprises, et ce n’est pas toujours ce que vous prévoyez qui se passe « , rit-elle. » Cela m’est arrivé plusieurs fois dans ma vie – et tout va bien.
« Donc vous faites un recalcul – c’est bien aussi. Précisément parce que je suis une personne très consciente et perfectionniste, j’ai peur de l’inconnu, de ce qui va se passer à la naissance. La façon dont je réagis après la naissance est aussi quelque chose qui me stresse vraiment, et c’est pourquoi je travaille avec moi-même. » C’est pourquoi je me suis dit pendant des années si je voulais un enfant. Après le divorce, je ne savais pas si je voulais être lié à quelqu’un pour la vie et ne pas savoir ce qui allait arriver. Mais la vie m’a amené à une situation que je fais, et je pense que si je n’étais pas Ce faisant, je le regretterais beaucoup plus tard. »
Vous rêvez d’une grande famille? « Je veux au plus deux ou trois enfants. Michael en veut plus, et ce ne sera pas le cas – avec un point d’exclamation! Soulignez le point d’exclamation », dit-elle en riant. « Selon moi, il me faudra encore deux ans pour amener le prochain enfant. »
Êtes-vous un peu inquiet si votre corps se rétablit après la naissance? Après tout, votre corps est votre travail. « Il n’y a aucune crainte qu’après la naissance, je n’obtienne pas de campagne parce que le corps n’est pas revenu. Je vous dis qu’il est peu probable que cela se produise, parce que je suis consciente de moi pendant la grossesse, et je sais qu’après la naissance je reviendrai à moi-même. Je ne pense pas que je quitterai la salle d’accouchement en jeans skinny « J’ai un estomac et c’est une première naissance, donc je n’en ai aucune idée. C’est une structure corporelle complètement différente. Je ne sais pas ce qui va m’arriver, mais ce que ce sera. »
Et qu’en est-il du berceau? « Complètement un borax de pomme de terre. J’adore ça, mais je ne le mange pas tous les jours. Et je peux aussi en manger cinq par jour. Je ne suis pas de ceux qui envoient Michael au milieu de la nuit. Il est le plus fou de nous. Il mange de la glace tout d’un coup, et ne maintient pas la nutrition du tout, « Et il essaie de me pousser aussi, mais je ne suis pas intéressé. Je ne sais pas ce qui lui est arrivé. Je pense qu’il a reçu toutes les hormones, et je suis resté sain d’esprit et stable. »
Elmalih a épousé Michael, comme avant, jusqu’au mariage à Rome. « Nous prévoyons de vivre dans le pays », dit-elle fermement. « Il est impossible de savoir ce que sera l’avenir, mais en ce moment je suis vraiment dans la direction du pays. J’ai ma carrière ici et Michael a bougé. Je n’ai rien à faire à Rome. Je pense que si j’y allais, je serais un peu pauvre avec moi-même. » Vous êtes Israël, laissez-le comme je suis le visage d’Israël – je ne dis pas qu’à cause de cela, je ne me vois vraiment pas élever mes enfants ailleurs.J’aime la religion, je suis une personne croyante, je viens d’une famille religieuse, et je ne suis pas non plus une personne qui aime Je pense que visiter Rome ou ailleurs est accablant pendant une semaine ou deux, mais après cela, mon âme veut déjà rentrer chez elle. TS – Je ne suis pas là, je suis très bon ici, j’ai aussi rêvé d’une carrière à l’étranger et je rêvais de faire Sports Illustrated et Victoria Sixers. J’étais fou de tout à ce sujet. Aujourd’hui, je suis plus détendu. Je n’ai aucun rêve de faire une très grande carrière internationale, mais je n’exclus pas, bien sûr. «
Le monde de Pike et la nostalgie du passé
«Je pense que j’ai laissé cette image provocatrice bien derrière moi», confie-t-elle. « Je ne suis pas là depuis quelques années. Les gens se souviennent peut-être de choses provocantes, ce que je ne regrette pas, mais aujourd’hui je suis totalement ailleurs dans ma vie. Je pense que tout ce que j’ai fait dans la vie m’a conduit là où je suis aujourd’hui, et je ne regrette rien « La porte cette fois n’est pas provocante pour moi, elle est dans une bonne section, dans une section très haute et très belle et j’aime le style. »
N’êtes-vous pas un peu inquiet des talkbacks que nous savons tous que cela va arriver? « Je ne lis pas les talk-back, ce n’est pas intéressant. Dans la vie, je n’ai pas laissé les bruits de fond décider quoi que ce soit pour moi. J’ai mon personnel permanent qui va de pair avec moi depuis plusieurs années, et avec qui je consulte et à ce jour nous avons pris de très bonnes décisions. Il ne se soucie pas de moi, et je ne suis pas celui qui, s’il écrivait un mot désobligeant, d’une manière ou d’une autre, prendrait courage ou s’endormirait avec lui. Je suis très complet avec moi-même, mon chemin, mes décisions. Personne n’est parfait, et même celui qui écrit Le Talkback n’est pas parfait, il vaut donc mieux se regarder d’abord, puis se laisser aller au Talkback. C’est dommage que c’est ainsi que fonctionne notre monde. «
« La modélisation est un travail, mais je suis conscient que la modélisation qu’elle était autrefois n’est plus ce qu’elle est aujourd’hui. » C’est Instagram « , déclare Elmalih, qui est maintenant non seulement le représentant du ministère du Tourisme, mais aussi le mondial Danone, Head & Shoulderers et Partner ICONZ.
«Je suis une personne qui aime beaucoup l’instant, même si le monde entier va vers ce truc virtuel, virtuel. C’est triste, et vous devez savoir vous ajuster, et si vous ne vous connectez pas – pas à tout prix. Je télécharge du contenu, mais pas tous les jours, et je ne crée pas de stratégies. Aujourd’hui, de nombreux nouveaux modèles se trouvent sur Instagram, que je trouve très Pikey. Vous pouvez acheter des adeptes et des lacs et vous pouvez déchiqueter et faire tellement de choses qui sont terriblement fausses, qu’à la fin du monde extérieur les achètent et les croient. Ils avaient l’habitude d’aller à un million d’auditions et d’efforts, et d’aller à l’étranger, avec un sac, des talons et de l’argent, et se casser le dos pour obtenir des dizaines de milliers de shekels. Aujourd’hui, il vous suffit de télécharger une photo sur Instagram, de la déchiqueter, de l’investir en ligne Un mannequin commence à acheter des abonnés, apportant de bons relations publiques, et l’histoire est terminée – le nom et la vague, et tout le monde a acheté le bluff soi-disant.
Mais avec tout cela, vous avez choisi d’être le partenaire d’ICONZ de Partner House. « C’est vrai. C’est une chaîne israélienne d’accessoires de mode pour téléphones portables que Partner a achetée, et aujourd’hui tout a l’air. Ils ont des produits qui complètent votre look total et vous permettent de faire correspondre votre style avec votre téléphone portable. Ils s’inspirent des plus grandes marques de mode du monde, et aujourd’hui la couverture mobile est Un accessoire de mode pour tout. Je suis très attaché à la marque. «
« Mon rêve en ce moment est une invite télévisée. Je pense que j’ai atteint un stade de ma carrière où je peux le faire. Si vous me l’aviez demandé il y a deux ans, la réponse était catégoriquement ‘Non’, mais aujourd’hui c’est peut-être quelque chose. Je n’ai pas de plan de rêve spécifique. Que ce sera quelque chose de bien, que je me sentirai fourni là aussi.
« Prime Time est très inconfortable pour moi, mais la voie n’est évidemment pas facile. Guider les émissions en direct est un défi pour moi aussi. J’aime avancer lentement et en toute confiance, mais c’est totalement ma direction aujourd’hui. Je crois que lorsque vous vous concentrez sur un seul objectif, vous l’atteignez – Vous ne pouvez pas vous concentrer sur quelques choses ensemble – et ma tête est actuellement sur une directive, et dans le pays. Je ne vise pas à agir, mais j’ai le talent, et je peux le faire. Au début de la grossesse, j’ai eu une audition pour un rôle principal et je l’ai eu, mais nous avons réalisé que c’était du tournage Au début de la grossesse, et c’est pour ça que c’est tombé. Je ne l’ai pas trop regretté, mais je me suis dit: « Ça ne devrait pas être » et si ça arrive plus tard, c’est écrasant. «
Et enfin, vous devez nous révéler vos secrets de beauté « Je ne viens promouvoir personne, mais j’utilise les produits de la ferme Zingbaum depuis des années. Ils font de mon mieux pour la peau. Je m’assure de me laver le visage tous les soirs. En ce qui me concerne, je ne vais pas me coucher avec du maquillage. » Je me lève avec une éruption cutanée sur tout le visage, parce que je suis très sensible à la peau, je bois trois litres d’eau par jour, je mange des légumes et des fruits dans le cadre d’une routine nourrissante, parce que tout ce que vous mettez dans votre corps – c’est ce que vous voyez, mais bien sûr si j’ai maintenant des pizzas ou des pâtes , Je mange, je connais juste Menan, et j’ai aussi des cosmétiques incroyables, des ministres et des méchants, que je vais depuis des années et ils font tout pour moi. « Mon visage est aussi mon travail, donc je dois aller pour le mieux. »
Chanson d’Elmalih dans la campagne ICONZ (Photo: Shoka Cohen)
Photo: Ado Lavi Production et stylisme: Eyal Ezzer Maquillage et coiffure: Michaeli Man pour « Solo »
Vêtements: H&M, Zara Bottes: Aldo, Spring Boucles d’oreilles: H.stern
Fre News 24h Chanson d’Elmalih dans une interview personnelle: « L’image provocatrice derrière moi »
http://frenews24h.com/chanson-delmalih-dans-une-interview-personnelle-limage-provocatrice-derriere-moi/ Source: http://frenews24h.com/
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Des papiers peints pour son premier appartement
Emménager chez soi pour la première fois (même si c’est en location) est une étape importante vers l’indépendance et l’autonomie. Enfin, on est libéré des conventions strictes et des idées de style immobiles des parents et tuteurs ! Ceux qui n’ont jamais vécu qu’avec leur famille peuvent maintenant étaler leurs affaires dans (généralement) plus d’espace et apprécier beaucoup plus de liberté s’agissant de leur façon de vivre. Pour les couples et les jeunes familles, leur premier chez soi ensemble marque le début d’une nouvelle vie.
Mais quelle que soit la situation, la décoration murale joue un rôle très important dans son premier chez soi, et les papiers peints font certainement partie des préférences de nombreuses personnes qui ont pour but de créer une ambiance stylée, confortable. Ce guide expliquera quels éléments devraient être pris en compte avant de sélectionner le papier peint qui convient, ce dont il faudrait discuter avec son propriétaire avant de commencer le projet, et la manière de parvenir à des résultats parfaits. Dans certains cas, il faudra enlever le papier peint avant de déménager ailleurs, et il est par conséquent essentiel de choisir le bon type de papier peint.
Analyser la propriété et trouver les concepts de pose de papier peint adaptés
Vous avez trouvé le logement de vos rêves et vous êtes impatient de vous essayer à la réalisation de vos idées créatives. Mais, afin de parvenir aux meilleurs résultats possible, il est utile de passer d’abord un peu de temps à analyser et planifier. Parce que même les concepts les plus ingénieux devraient être compatibles avec les conditions réelles.
De toute évidence, chaque demeure est différente s’agissant de sa taille et de sa disposition. Le premier chez soi peut être une construction neuve ou récemment rénovée, ou il peut se situer dans une maison plus vieille pour laquelle le propriétaire est content que l’on redécore les murs. Ce qui suit énumère chaque étape individuelle pertinente pour choisir et poser du papier peint dans son premier chez soi.
1. Analyse des types de murs
Dans quelle condition sont les murs de la nouvelle maison ? Cette analyse est à la base de la manière dont vous devez procéder. Il y a un certain nombre de possibilités :
du papier ingrain blanc, récemment posé ou peint
d’autres papiers peints standard, par exemple en fibres de verre ou des papiers peints texturés, récemment posés ou peints
du plâtre brut
du plâtre lisse avec une couche de peinture ou sans
des papiers peints posés par le propriétaire
des revêtements muraux spéciaux, par exemple des briques vitrifiées ou des lambris muraux
Selon la situation initiale, la nouvelle décoration murale demandera plus ou moins d’efforts — ou peut-être sera-t-elle même impossible (par exemple avec des murs en briques vitrifiées ou avec des matériaux similaires, si le propriétaire désire qu’ils restent inchangés). Il est possible de poser du papier peint sur des murs en plâtre brut ou en plâtre lisse peint, mais cela demande un peu plus d’efforts et de préparation, ainsi que l’approbation du propriétaire. Il est aussi utile de réfléchir à la période pendant laquelle vous habiterez probablement là. S’il s’agit d’une durée limitée, la décision ne sera pas la même que pour une location à long terme illimitée. Il faut trouver un équilibre entre les efforts, les coûts et les avantages.
2. Aborder les questions fondamentales avec le propriétaire
Avant de faire vraiment des projets pour l’aménagement intérieur et le choix du papier peint, et selon la situation initiale, vous devrez peut-être demander l’approbation de votre propriétaire. Des changements structurels ou architecturaux devront aussi être approuvés par le propriétaire. Quand il s’agit de choisir le papier peint, les propriétaires ont leur mot à dire, car ils devront toujours anticiper s’agissant du prochain locataire. Ils pourraient demander que l’on enlève le papier peint si son modèle et son genre diminuent potentiellement les chances de trouver un nouveau locataire. En général, les propriétaires ne limitent pas les choix de leurs locataires trop rigoureusement, mais la décision définitive est souvent prise quand de possibles futurs locataires visitent l’endroit. S’ils n’aiment pas le papier peint, le propriétaire peut exiger qu’il soit enlevé. Les clauses dans le contrat de location exigeant que l’on enlève les papiers peints avant de déménager sont illégales. Cependant, des accords individuels sont tout à fait envisageables. En outre, cela peut être différent si le logement loué avait été rénové avant qu’on y emménage, et s’il montre des signes d’usure. Par conséquent, il vaut toujours mieux discuter de toutes ces questions pertinentes avec le propriétaire.
3. Considérations pratiques pour poser et enlever du papier peint
Tous les papiers peints design et à motif existent avec une couche de support papier ou intissée. Pour les papiers peints avec une couche de support papier (ou papiers peints traditionnels), un temps d'imbibition spécifique est nécessaire après que l’on a appliqué la colle à papier peint et avant que l’on puisse poser le papier peint au mur. Selon la surface, on ne peut enlever ces types de papier peint qu’après les avoir humidifiés ou on peut les arracher du mur à sec. Dans cette dernière hypothèse, la couche supérieure s’enlève alors que la couche de support en papier reste sur le mur comme un papier d'apprêt, ou on peut l’enlever en l’humidifiant puis en la grattant. Les papiers peints avec une couche de support intissée ont deux avantages : la colle à papier peint s’applique directement au mur, ainsi il n’y a pas de temps d'imbibition et les lés de papier peint sont beaucoup plus légers parce qu’ils sont secs. Plus tard, on peut décoller ces types de papier peint du mur sans laisser de traces.
Comme il s’agit de votre premier logement, vous pourriez bien sûr ne pas vouloir économiser et choisir un modèle de papier peint plus prestigieux. Plusieurs papiers peints design demandent une grande patience, de la rigueur et des compétences lors de la pose. En voici quelques exemples : les papiers peints à effets spéciaux ou métalliques, les papiers peints à billes de verre ou floqués. Vous pouvez trouver une multitude d’informations s’agissant de ces papiers peints inhabituels dans les catégories correspondantes dans notre magasin. Pour les papiers peints particulièrement lourds, il est recommandé d’utiliser une combinaison de colle à papier peint et de colle à dispersion afin d’améliorer la force adhésive. Cependant, cela a des conséquences sur le procédé pour les enlever. Pour ceux qui n’osent pas se lancer eux-mêmes dans des projets de pose de papier peint, il y a toujours les professionnels. Il suffit de consulter votre peintre ou décorateur local.
Nous sommes souvent confrontés à la question de savoir si c’est une bonne idée de poser un nouveau papier peint par dessus de vieilles couches de papier peint. Il y a quelques exceptions, mais en général — et afin de parvenir aux meilleurs résultats — la réponse est assurément : non ! Pour plus d’informations, veuillez lire notre blogue de conseils Poser du papier peint par-dessus un vieux décor mural — est-ce possible ?
4. Disposition de la pièce et positionnement convenable des meubles et accessoires
Même quand nous visitons pour la première fois ce qui pourrait devenir notre nouveau logement, nous avons tendance à prévoir où les choses iront. Pour des appartements plus grands avec des pièces séparées pour différents espaces de vie, la planification est généralement assez facile. Les appartements plus petits, par exemple quand la cuisine et le séjour sont dans une seule pièce, posent un peu plus de problèmes. L’espace donné doit être utilisé aussi intelligemment que possible. Il en va de même pour les petites chambres ou salles de bains, ou pour un couloir étroit. S’il y a des éléments architecturaux particuliers comme des plafonds ou des murs hauts, des rebords ou de petits coins ou alcôves, il faut les prendre en compte quand on prévoit la décoration intérieure et murale. Tout d’abord, on crée un plan d’aménagement intérieur qui consiste en un plan au sol pour les différents aspects du mode de vie et pour la disposition des meubles et des accessoires conformément à l’espace offert.
5. Fonctionnalité et caractéristiques du papier peint
Les papiers peints de créateurs avec leurs motifs et matériaux fabuleux n'ont pas seulement un impact positif sur l’aspect et l’ambiance d’une pièce. Selon leurs caractéristiques, ils présentent aussi un certain nombre d’avantages fonctionnels. Par exemple, les papiers peints lavables, lessivables et brossables conviennent pour des endroits très utilisés et des pièces où une certaine humidité sera présente, par exemple des salles de bains, des cuisines, des chambres d’enfants, des entrées et des couloirs. Les papiers peints textiles et les papiers peints floqués ont des propriétés isolantes et qui conservent la chaleur. Les papiers peints naturels en fibres végétales, en bambou et en liège ont des propriétés de régulation de l’atmosphère d’une pièce et augmentent le sentiment général de bien-être de chacun.
6. Règles pour choisir un papier peint et préférences personnelles
Tout d’abord, il convient de remarquer que quand il s’agit de choisir des papiers peints, les règles ne sont plus du tout aussi strictes qu’elles l’étaient. Cependant, il y a des indications basiques qui sont toujours valides, particulièrement s’agissant des couleurs, des associations de couleurs, de la taille des motifs, de la disposition des motifs, du style des motifs et pour ce qui concerne la taille de la pièce, la hauteur du plafond, les plafonds mansardés, la lumière naturelle et l’ambiance. Mais quand il s’agit de choisir un papier peint, les principaux déclencheurs sont bien sûr le goût personnel et l’intuition.
Parfois, la tentation de transformer sa première maison en la villa Villekulla de Fifi Brindacier ou de créer la synthèse d’idées d’aménagement intérieur ambitieuses est irrésistible. En théorie, il n’y a rien de mal à ce concept — pour autant que tous ceux qui habitent dans la maison soient contents. Mais la spontanéité et une approche improvisée conduisent rarement à la bonne décision.
Imaginez que vous devez réorganiser une très grande collection de livres selon les sujets. Qu'en pensez-vous ? Votre premier essai sera-t-il le bon, ou aurez-vous besoin de restructurer votre plan plusieurs fois avant qu’un système qui fonctionne s’élabore ? C’est cela — il y a de très grandes chances que vous devrez repenser et modifier votre système. Il en va de même pour votre premier logement. Vous devez vous installer, faire des changements ici et là, déplacer des meubles, etc. Nous avons une astuce pour vous : réalisez certaines de vos idées et laissez de la place pour des adaptations.
Si vous tenez compte des trucs suivants (qui ne sont pas des règles), le succès est garanti :
Des papiers peints avec des couleurs claires pour le fond ou le motif avantageront les pièces sombres avec peu de lumière naturelle ou seulement de la lumière artificielle (de petites salles de bains, un grenier) et les pièces petites ou étroites.
On peut séparer de grandes pièces, spacieuses en des zones différentes avec des papiers peints design ou des motifs intéressants.
Des motifs horizontaux font paraître des murs et des plafonds hauts plus bas, des murs et des plafonds bas peuvent être visuellement « étirés » en choisissant des papiers peints avec des motifs verticaux.
On a besoin d’une certaine distance pour voir les motifs à grande échelle, larges et ceux avec des effets visuels et une profondeur de structures afin qu’ils produisent tout leur effet.
Les couleurs sont des baromètres de l’humeur, elles influencent nos émotions et nos perceptions, et peuvent faire paraître une pièce plus grande et plus large (couleurs claires) ou plus petite et plus étroite (couleurs sombres). Les nuances de rouge, d’orange ou de jaune sont énergisantes, encouragent la convivialité, augmentent la vitalité et la motivation et ont un effet inspirant et qui améliore l’humeur. Le vert et le bleu sont parfaits pour des pièces dans lesquelles l’accent est mis sur la concentration, la relaxation et la clarté des idées. Le violet est une couleur magique, sensuelle ; elle réveille les pouvoirs méditatifs et encourage l’équilibre et la stabilité. Dans de nombreuses pièces, elle convient mieux comme un accompagnement. Le blanc est pur, clair, et offre un contraste idéal aux autres couleurs de papier peint. Le noir, d’un autre côté, est une teinte rebelle qui, utilisée comme couleur pour le fond ou pour le motif, donne de la profondeur à la pièce.
Souvent, un mur d'accent suffit pour donner à la pièce une aura intéressante, significative.
On néglige souvent le sujet du sol quand on planifie les éléments de la décoration murale. Selon son type, son matériau et sa couleur, il peut détonner avec le nouveau papier peint, nuisant ainsi à l’effet général. Il est par conséquent important de réfléchir aux sols ainsi qu’aux meubles et aux accessoires dès le début afin de créer un sentiment d’harmonie.
Bien sûr, le plan directeur ultime n’existe pas, après tout, nous ne sommes que des humains. Cependant, il est logique d'utiliser des échantillons de modèles pour prendre ces décisions difficiles. Pour chaque modèle de papier peint dans notre magasin, il y a une possibilité de « Commander/Imprimer un échantillon ». Un échantillon de modèle original clarifiera toutes les caractéristiques d’un modèle spécifique, particulièrement ceux qui ont des surfaces ou des structures inhabituelles ou des détails complexes.
Notre blogue contient de nombreux guides avec des astuces utiles, des solutions pour des problèmes variés qui peuvent se poser ou pour choisir ou sélectionner un papier peint, par exemple :
Agrandir visuellement un couloir étroit
Comment tapisser des plafonds mansardés ou pentus
Choisir un papier peint pour les enfants qui est adapté à leur âge
from Papier peint des années 70 Blog https://www.papierpeintdesannees70.com/lookbook/blog/des-papiers-peints-pour-son-premier-appartement
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Des papiers peints pour son premier appartement
Emménager chez soi pour la première fois (même si c’est en location) est une étape importante vers l’indépendance et l’autonomie. Enfin, on est libéré des conventions strictes et des idées de style immobiles des parents et tuteurs ! Ceux qui n’ont jamais vécu qu’avec leur famille peuvent maintenant étaler leurs affaires dans (généralement) plus d’espace et apprécier beaucoup plus de liberté s’agissant de leur façon de vivre. Pour les couples et les jeunes familles, leur premier chez soi ensemble marque le début d’une nouvelle vie.
Mais quelle que soit la situation, la décoration murale joue un rôle très important dans son premier chez soi, et les papiers peints font certainement partie des préférences de nombreuses personnes qui ont pour but de créer une ambiance stylée, confortable. Ce guide expliquera quels éléments devraient être pris en compte avant de sélectionner le papier peint qui convient, ce dont il faudrait discuter avec son propriétaire avant de commencer le projet, et la manière de parvenir à des résultats parfaits. Dans certains cas, il faudra enlever le papier peint avant de déménager ailleurs, et il est par conséquent essentiel de choisir le bon type de papier peint.
Analyser la propriété et trouver les concepts de pose de papier peint adaptés
Vous avez trouvé le logement de vos rêves et vous êtes impatient de vous essayer à la réalisation de vos idées créatives. Mais, afin de parvenir aux meilleurs résultats possible, il est utile de passer d’abord un peu de temps à analyser et planifier. Parce que même les concepts les plus ingénieux devraient être compatibles avec les conditions réelles.
De toute évidence, chaque demeure est différente s’agissant de sa taille et de sa disposition. Le premier chez soi peut être une construction neuve ou récemment rénovée, ou il peut se situer dans une maison plus vieille pour laquelle le propriétaire est content que l’on redécore les murs. Ce qui suit énumère chaque étape individuelle pertinente pour choisir et poser du papier peint dans son premier chez soi.
1. Analyse des types de murs
Dans quelle condition sont les murs de la nouvelle maison ? Cette analyse est à la base de la manière dont vous devez procéder. Il y a un certain nombre de possibilités :
du papier ingrain blanc, récemment posé ou peint
d’autres papiers peints standard, par exemple en fibres de verre ou des papiers peints texturés, récemment posés ou peints
du plâtre brut
du plâtre lisse avec une couche de peinture ou sans
des papiers peints posés par le propriétaire
des revêtements muraux spéciaux, par exemple des briques vitrifiées ou des lambris muraux
Selon la situation initiale, la nouvelle décoration murale demandera plus ou moins d’efforts — ou peut-être sera-t-elle même impossible (par exemple avec des murs en briques vitrifiées ou avec des matériaux similaires, si le propriétaire désire qu’ils restent inchangés). Il est possible de poser du papier peint sur des murs en plâtre brut ou en plâtre lisse peint, mais cela demande un peu plus d’efforts et de préparation, ainsi que l’approbation du propriétaire. Il est aussi utile de réfléchir à la période pendant laquelle vous habiterez probablement là. S’il s’agit d’une durée limitée, la décision ne sera pas la même que pour une location à long terme illimitée. Il faut trouver un équilibre entre les efforts, les coûts et les avantages.
2. Aborder les questions fondamentales avec le propriétaire
Avant de faire vraiment des projets pour l’aménagement intérieur et le choix du papier peint, et selon la situation initiale, vous devrez peut-être demander l’approbation de votre propriétaire. Des changements structurels ou architecturaux devront aussi être approuvés par le propriétaire. Quand il s’agit de choisir le papier peint, les propriétaires ont leur mot à dire, car ils devront toujours anticiper s’agissant du prochain locataire. Ils pourraient demander que l’on enlève le papier peint si son modèle et son genre diminuent potentiellement les chances de trouver un nouveau locataire. En général, les propriétaires ne limitent pas les choix de leurs locataires trop rigoureusement, mais la décision définitive est souvent prise quand de possibles futurs locataires visitent l’endroit. S’ils n’aiment pas le papier peint, le propriétaire peut exiger qu’il soit enlevé. Les clauses dans le contrat de location exigeant que l’on enlève les papiers peints avant de déménager sont illégales. Cependant, des accords individuels sont tout à fait envisageables. En outre, cela peut être différent si le logement loué avait été rénové avant qu’on y emménage, et s’il montre des signes d’usure. Par conséquent, il vaut toujours mieux discuter de toutes ces questions pertinentes avec le propriétaire.
3. Considérations pratiques pour poser et enlever du papier peint
Tous les papiers peints design et à motif existent avec une couche de support papier ou intissée. Pour les papiers peints avec une couche de support papier (ou papiers peints traditionnels), un temps d’imbibition spécifique est nécessaire après que l’on a appliqué la colle à papier peint et avant que l’on puisse poser le papier peint au mur. Selon la surface, on ne peut enlever ces types de papier peint qu’après les avoir humidifiés ou on peut les arracher du mur à sec. Dans cette dernière hypothèse, la couche supérieure s’enlève alors que la couche de support en papier reste sur le mur comme un papier d’apprêt, ou on peut l’enlever en l’humidifiant puis en la grattant. Les papiers peints avec une couche de support intissée ont deux avantages : la colle à papier peint s’applique directement au mur, ainsi il n’y a pas de temps d’imbibition et les lés de papier peint sont beaucoup plus légers parce qu’ils sont secs. Plus tard, on peut décoller ces types de papier peint du mur sans laisser de traces.
Comme il s’agit de votre premier logement, vous pourriez bien sûr ne pas vouloir économiser et choisir un modèle de papier peint plus prestigieux. Plusieurs papiers peints design demandent une grande patience, de la rigueur et des compétences lors de la pose. En voici quelques exemples : les papiers peints à effets spéciaux ou métalliques, les papiers peints à billes de verre ou floqués. Vous pouvez trouver une multitude d’informations s’agissant de ces papiers peints inhabituels dans les catégories correspondantes dans notre magasin. Pour les papiers peints particulièrement lourds, il est recommandé d’utiliser une combinaison de colle à papier peint et de colle à dispersion afin d’améliorer la force adhésive. Cependant, cela a des conséquences sur le procédé pour les enlever. Pour ceux qui n’osent pas se lancer eux-mêmes dans des projets de pose de papier peint, il y a toujours les professionnels. Il suffit de consulter votre peintre ou décorateur local.
Nous sommes souvent confrontés à la question de savoir si c’est une bonne idée de poser un nouveau papier peint par dessus de vieilles couches de papier peint. Il y a quelques exceptions, mais en général — et afin de parvenir aux meilleurs résultats — la réponse est assurément : non ! Pour plus d’informations, veuillez lire notre blogue de conseils Poser du papier peint par-dessus un vieux décor mural — est-ce possible ?
4. Disposition de la pièce et positionnement convenable des meubles et accessoires
Même quand nous visitons pour la première fois ce qui pourrait devenir notre nouveau logement, nous avons tendance à prévoir où les choses iront. Pour des appartements plus grands avec des pièces séparées pour différents espaces de vie, la planification est généralement assez facile. Les appartements plus petits, par exemple quand la cuisine et le séjour sont dans une seule pièce, posent un peu plus de problèmes. L’espace donné doit être utilisé aussi intelligemment que possible. Il en va de même pour les petites chambres ou salles de bains, ou pour un couloir étroit. S’il y a des éléments architecturaux particuliers comme des plafonds ou des murs hauts, des rebords ou de petits coins ou alcôves, il faut les prendre en compte quand on prévoit la décoration intérieure et murale. Tout d’abord, on crée un plan d’aménagement intérieur qui consiste en un plan au sol pour les différents aspects du mode de vie et pour la disposition des meubles et des accessoires conformément à l’espace offert.
5. Fonctionnalité et caractéristiques du papier peint
Les papiers peints de créateurs avec leurs motifs et matériaux fabuleux n’ont pas seulement un impact positif sur l’aspect et l’ambiance d’une pièce. Selon leurs caractéristiques, ils présentent aussi un certain nombre d’avantages fonctionnels. Par exemple, les papiers peints lavables, lessivables et brossables conviennent pour des endroits très utilisés et des pièces où une certaine humidité sera présente, par exemple des salles de bains, des cuisines, des chambres d’enfants, des entrées et des couloirs. Les papiers peints textiles et les papiers peints floqués ont des propriétés isolantes et qui conservent la chaleur. Les papiers peints naturels en fibres végétales, en bambou et en liège ont des propriétés de régulation de l’atmosphère d’une pièce et augmentent le sentiment général de bien-être de chacun.
6. Règles pour choisir un papier peint et préférences personnelles
Tout d’abord, il convient de remarquer que quand il s’agit de choisir des papiers peints, les règles ne sont plus du tout aussi strictes qu’elles l’étaient. Cependant, il y a des indications basiques qui sont toujours valides, particulièrement s’agissant des couleurs, des associations de couleurs, de la taille des motifs, de la disposition des motifs, du style des motifs et pour ce qui concerne la taille de la pièce, la hauteur du plafond, les plafonds mansardés, la lumière naturelle et l’ambiance. Mais quand il s’agit de choisir un papier peint, les principaux déclencheurs sont bien sûr le goût personnel et l’intuition.
Parfois, la tentation de transformer sa première maison en la villa Villekulla de Fifi Brindacier ou de créer la synthèse d’idées d’aménagement intérieur ambitieuses est irrésistible. En théorie, il n’y a rien de mal à ce concept — pour autant que tous ceux qui habitent dans la maison soient contents. Mais la spontanéité et une approche improvisée conduisent rarement à la bonne décision.
Imaginez que vous devez réorganiser une très grande collection de livres selon les sujets. Qu’en pensez-vous ? Votre premier essai sera-t-il le bon, ou aurez-vous besoin de restructurer votre plan plusieurs fois avant qu’un système qui fonctionne s’élabore ? C’est cela — il y a de très grandes chances que vous devrez repenser et modifier votre système. Il en va de même pour votre premier logement. Vous devez vous installer, faire des changements ici et là, déplacer des meubles, etc. Nous avons une astuce pour vous : réalisez certaines de vos idées et laissez de la place pour des adaptations.
Si vous tenez compte des trucs suivants (qui ne sont pas des règles), le succès est garanti :
Des papiers peints avec des couleurs claires pour le fond ou le motif avantageront les pièces sombres avec peu de lumière naturelle ou seulement de la lumière artificielle (de petites salles de bains, un grenier) et les pièces petites ou étroites.
On peut séparer de grandes pièces, spacieuses en des zones différentes avec des papiers peints design ou des motifs intéressants.
Des motifs horizontaux font paraître des murs et des plafonds hauts plus bas, des murs et des plafonds bas peuvent être visuellement « étirés » en choisissant des papiers peints avec des motifs verticaux.
On a besoin d’une certaine distance pour voir les motifs à grande échelle, larges et ceux avec des effets visuels et une profondeur de structures afin qu’ils produisent tout leur effet.
Les couleurs sont des baromètres de l’humeur, elles influencent nos émotions et nos perceptions, et peuvent faire paraître une pièce plus grande et plus large (couleurs claires) ou plus petite et plus étroite (couleurs sombres). Les nuances de rouge, d’orange ou de jaune sont énergisantes, encouragent la convivialité, augmentent la vitalité et la motivation et ont un effet inspirant et qui améliore l’humeur. Le vert et le bleu sont parfaits pour des pièces dans lesquelles l’accent est mis sur la concentration, la relaxation et la clarté des idées. Le violet est une couleur magique, sensuelle ; elle réveille les pouvoirs méditatifs et encourage l’équilibre et la stabilité. Dans de nombreuses pièces, elle convient mieux comme un accompagnement. Le blanc est pur, clair, et offre un contraste idéal aux autres couleurs de papier peint. Le noir, d’un autre côté, est une teinte rebelle qui, utilisée comme couleur pour le fond ou pour le motif, donne de la profondeur à la pièce.
Souvent, un mur d’accent suffit pour donner à la pièce une aura intéressante, significative.
On néglige souvent le sujet du sol quand on planifie les éléments de la décoration murale. Selon son type, son matériau et sa couleur, il peut détonner avec le nouveau papier peint, nuisant ainsi à l’effet général. Il est par conséquent important de réfléchir aux sols ainsi qu’aux meubles et aux accessoires dès le début afin de créer un sentiment d’harmonie.
Bien sûr, le plan directeur ultime n’existe pas, après tout, nous ne sommes que des humains. Cependant, il est logique d’utiliser des échantillons de modèles pour prendre ces décisions difficiles. Pour chaque modèle de papier peint dans notre magasin, il y a une possibilité de « Commander/Imprimer un échantillon ». Un échantillon de modèle original clarifiera toutes les caractéristiques d’un modèle spécifique, particulièrement ceux qui ont des surfaces ou des structures inhabituelles ou des détails complexes.
Notre blogue contient de nombreux guides avec des astuces utiles, des solutions pour des problèmes variés qui peuvent se poser ou pour choisir ou sélectionner un papier peint, par exemple :
Agrandir visuellement un couloir étroit
Comment tapisser des plafonds mansardés ou pentus
Choisir un papier peint pour les enfants qui est adapté à leur âge
Source: https://www.papierpeintdesannees70.com/lookbook/blog/des-papiers-peints-pour-son-premier-appartement
from Papier Peint Des Années 70 https://papierpeintdesannees70.wordpress.com/2019/01/11/des-papiers-peints-pour-son-premier-appartement-2/
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Chroniques des Fées d'Hiver - 4e histoire
Troisième soirée au chalet
Le récit de la petite fée aux ailes rouges et vertes terminé, je me rendis compte que mes hôtesses me considéraient d’un drôle d’air. Je suivi leur regard et notais, confus, qu’ayant concentré mon attention sur l’historiette, j’en avais oublié ma collation.
J’engloutis avec moult formules de politesse et d’excuses ma boisson, devenue tiède, et les quelques douceurs qui avaient été rassemblées devant moi. Apaisées, mes charmantes hôtesses retrouvèrent le sourire et une fée, un peu plus âgée que les autres, entama une nouvelle parabole.
Ruban Gros-grain Quelqu'un vous aime bonhomme de neige émotif par HorizonOfArt
La désastreuse grève des mois de l’année
Ce qu’il faut savoir pour comprendre ce qui suit, commença la fée plus âgée, c’est que les Dieux se souciaient peu, dans ce temps si reculé, du bien-être de leurs inférieurs hiérarchiques. Et cette arrogance, tu t’en doutes peut-être, barde, ne fut pas sans conséquences…
De mémoire d’homme, vois-tu, les créatures qui peuplent cette terre ont toujours été habituées aux saisons et aux mois de l’année qui régissent celles-ci. Or de mémoire de fée, parole, il n’en fut pas toujours ainsi. Car oui, il y a bien des siècles de cela, les mois de l’année, en ayant assez d’être si peu considérés par les Dieux, décidèrent de faire entendre leurs revendications de bien originale façon.
Je me souviens que c’est le fougueux mois de Mai qui, le premier, lança cette idée : cesser d’aider Dame Nature dans ses tâches quotidiennes et dans celles sur le long terme tant que les Dieux et Déesses dans les cieux ne reconnaissaient pas l’utilité et le travail des mois à leur juste valeur.
Une fois émise, cette pensée rallia bientôt le suffrage des autres mois et avant peu, se mit à régner sur terre un épouvantable chaos. Débordée, Dame Nature ne savait plus où donner de la tête. Il n’y avait plus de logique ni de suite dans le défilé des saisons. Il y eut des jours de grêles accompagnés de violentes tempêtes alors qu’apparaissaient ci et là des embellie si chaude que les blés et les fleurs poussaient à quelques mètres de hauts monticules de neige. Les arbres majestueux, censés raviver leurs bourgeons, secouaient leurs feuillages d’où tombaient de pleins sacs de feuilles mordorées au milieu des primevères.
Cette étrange situation dura plusieurs semaines car ni les Dieux ni les mois ne voulaient céder. Ce fut la grande colère de Dame Nature, souhaitant récupérer ses aides au plus vite, qui les départagea. Comme tu le sais sans doute, barde, la Grande Mère sait se montrer d’une patience infinie, mais lorsque la coupe est pleine, elle est d’autant plus rapide à laisser déborder son courroux.
Elle déclencha des cataclysmes propres à faire trembler les cieux. Elle fit tant et si bien que les Dieux, paniqués, réunirent les mois devant leur conseil pour entendre, enfin avec sérieux, ce qu’ils avaient à dire. Il fut décidé que Janvier, en tant que vénérable aîné, serait le porte-parole des mois tandis que Dame Nature occuperait la place de conciliatrice.
– Voilà des siècles que nous assistons la Grande Mère et nous avons toujours veillé à exécuter notre travail du mieux possible, commença Janvier, mais nous en avons assez d’être aussi transparent. Nous prodiguons notre aide parce que nous le voulons bien et non parce que nous n’avons pas le choix. Or vous, Dieux de tous horizons, ne respectez pas notre travail. Pour vous, nous sommes insignifiants et ne valons pas la peine d’être concertés pour quoi que ce soit. Eh bien, il est temps que cela change.
– Et qu’attendez-vous de nous dans ce cas ? demanda Zeus en se massant les tempes.
– Nous voulons, à compter de ce jour, être régulièrement consultés, informés et faire parti des discussions concernant l’année à venir lorsque celles-ci ont lieu.
Une vague de murmures de réprobation courut dans le camps des divinités. Mais Dame Nature y mit bien vite le holà en frappant le sol d’un coup sec de son long bâton noueux de juge.
– Et si nous accédons à cette demande, voulut confirmer Zeus, reprendrez-vous le travail sans faire plus d’histoires ?
Janvier hocha la tête sans se départir de son air de rigide sévérité.
– Si vous tenez parole, nous ferons de même. Si vous essayez de nous jouer un tour à votre façon, nous ferons de même. Dorénavant, et pour que tout soit clair, nous allons calquer notre comportement sur le vôtre.
Une nouvelle vague de protestation parcouru les rangs divins. La souveraine Dame Nature, leva une main ferme pour ramener le silence avant de prendre la parole.
– Zeus et vous autres dieux de tous horizons. J’ai moi aussi réfléchi au problème de mes précieux aides et je suis parvenu à trouver une solution qui, je le pense, saura contenter tout le monde.
– Nous vous écoutons, honorable mère.
– Eh bien, lorsqu’un système ne fait plus ses preuves, il faut en changer et cela n’est pas si compliqué lorsque tous les protagonistes y mettent du leur.
La vénérable appuya ses dires d’un regard lourd de sens qu’elle glissa avec une lenteur soutenue sur chacun des convives avant de continuer.
– Je propose que dorénavant, les discussions de l’année se tiennent les 12 premiers jours de Janvier, qui seront également à partir de maintenant, les 12 premiers jours de l’année. Il existe douze mois, je suggère donc qu’à l’avenir, chaque mois reçoive la parole dans l’ordre qui suit : le premier jour pour Janvier, le deuxième pour Février, le troisième pour Mars et ainsi de suite jusqu’à Décembre qui pourra se faire entendre le douzième jour. En procédant de cette façon, nous aurons plus de temps pour planifier l’année et décider de ce qui sera bon pour la terre et les hommes dont nous avons la charge. Toutes les parties seront gagnantes.
Les deux camps se concertèrent entre eux lorsque leur respectable médiatrice signifia qu’elle avait terminé et qu’elle attendait à présent la décision de toutes les parties.
De fait, les conditions données étaient idéales pour tout le monde et il ne fallait pas être grand Clerc pour en voir le bien fondé, c’est pourquoi la prise de décision fut rapide.
– Nous acceptons ce nouvel accord sans restrictions et nous engageons à le respecter pour le reste de notre immortalité, ratifia Zeus de tout le poids de son autorité.
– Et nous déclarons à notre tour accepter et respecter cet accord pour les siècles des siècles selon le bon vouloir de notre bienfaitrice, déclara Janvier sur un ton solennel.
C’est ainsi que la vie de tous les êtres vivants, Dieux, Nature, Mois et Hommes repris son cours dans la sérénité. Nous, fées des Chroniques, furent chargées de conserver cette histoire et de la faire connaître aux hommes le moment venu. Ceci est ta mission, barde.
De plus, lorsqu’on te demandera pourquoi il est important de bien vivre les 12 premiers jours de l’année, tu pourras à présent répondre que c’est une tradition importante car ces 12 premiers jours représentent les 12 mois et influenceront la façon dont tu vivras ton année…
Étiquettes-cadeau Paquet d'esprit d'hiver de Joyeux Noël par FantasyCandy
Sac féerique de cadeau de jeu d'hiver de licorne par RenderlyYours
Il était une fois sac fourre-tout par LitLogic
#fées#chroniques#contes#légendes#dieux#déesses#origines#nouvel an#traditions#premiers jours de l'année
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Axel Allétru – Sans rancune la vie. Rien n'est impossible!
Axel Allétru : d’abord, espoir du moto-cross et maintenant, 12 fois champion de France et recordman en 50/100 m nage libre. « Quoi de neuf », quelqu’un dira « un autre athlète avec du talent, mais il y en a plein ». Eh non, ce n'est pas comme ça. Axel a fait tout ça après une terrible chute de la moto. Paraplégique à 20 ans, il a repris à mordre la vie à plein dent. Un succès après l’autre, Axel devient conférencier pour partager son message de motivation. Rien n’est impossible ! Mesdames et Messieurs, Axel Allétru. Axel Allétru : l’importance de la résilience « Lève-toi et range tes affaires ! » . « Ah, comme il fait beau, aujourd’hui j’ai envie de faire une escalade ! » . Non, mes lectrice, je ne suis pas folle, mais combien de fois vous avez dit où pensé comme ça ? Simple et facile, n’est-ce pas ? Toutefois, essayez de penser à comme c’est difficile de répondre à un ordre de sa maman ou exprimer une envie par exemple, lorsque des médecins vous disent que vous ne pourrez plus marcher. Tout d’un coup, les choses quotidiennes, avec peu de valeur, deviennent pour nous un nouveau défi. C’est ce que s’est passé pour Axel Allétru, 29 ans et déjà 12 fois champion de France et recordman en 50/100 m nage libre. Il y a 9 ans, suite à une terrible chute de la moto, Axel devient paraplégique. « C’est la fin » quelqu’un dira. Non, c’est le début pour Axel de déployer les ailes et « prendre de la hauteur ». On a rencontré ce grand athlète de Lille, pour parler avec lui de sa vie et de son message de résilience. Bonjour Axel Allétru et mille mercis d’être là avec nous de Ô Magazine, c’est un honneur ! On sait ce qu’il t’est arrivé, Axel. De toute façon, c’est vraiment remarquable ton envie de te mettre débout, dans tous les sens. Pourquoi tu parles de résilience ? « Bonjour à vous et merci c’est un plaisir. Oui, tout est commencé quand j’avais 20 ans. J’étais un jeune espoir du moto-cross et tout se passait bien. Après une chute, tout est changé et j’ai dû vraiment, reprendre ma vie. Bien-sûr, ça a été traumatisant, surtout car j’étais en plein développement physique, d’écouter les médecins qui ont été catégoriques : je n’aurai jamais plus marché. Mais ça n’existait pas pour moi. Je voulais marcher à nouveau et je ne voulais pas me contenter du fauteuil. Loin d’être facile, mais c’est ça ce que j’ai fait. Je me suis levé et maintenant, je marche sur des béquilles et grâce à des prothèses qui permettent à mes chevilles d’avoir un angle droit. La résilience est obligatoire pour s’en sortir d’une situation comme celle-ci. Il faut accepter ce qu’il nous est arrivé et il faut, surtout, ne pas vivre dans le passé. On doit travailler dur sur nous-mêmes et la résilience est la seule chose qui nous permet de rebondir. Il faut toujours penser au moment présent et essayer de planifier le futur, parce que ce sera dans le futur qu’on vivra notre vie. Pas d’excuses donc et toujours envie de rêver ». Quand tu parles de l’instant présent, est-ce que tu penses qu’on ne donne pas de valeur aux choses quotidiennes ? « Oui, tout à fait. Mon accident m’a permis de reconsidérer plein de choses et de pouvoir relativiser. Tout ce qu’on juge ordinaire comme se lever le matin, faire du footing ou aller faire une escalade, c’était très difficile pour moi au début. En revanche, je peux dire que cette escalade là, moi je l’ai faite vraiment, malgré les difficultés. Bien-sûr, j’ai sacrifié beaucoup de choses mais à présent je fais plein de sports comme le vélo, la nage, l’escalade. Choses que personne ne pensait pas que je pouvais faire. Donc il faut absolument vivre dans le moment présent et profiter pour de vrai, des choses quotidiennes, les plus simples, car elles sont la voie plus rapide pour aboutir des résultats plus grands ». On a lu de toi aussi en tant que conférencier. En fait, tu gères des conférences aussi dans les entreprises. Pourquoi ? « Bah, tu vois, les entreprises représentent le marché du travail et elles sont évidemment intéressées par le développement des employés. Ça arrive de rencontrer dans la vie des petites ou des grandes difficultés. Ça nous donne des soucis de confiance. Dans mes conférences je veux démontrer qu’on est tous productifs, que chaque personne peut être un très bon professionnel et contribuer à faire grandir une compagnie. Il ne faut jamais abandonner ou arrêter de rêver. Nos rêves, nos ambitions, sont la lumière sur notre parcours de vie. Ils nous disent la vérité sur notre nature qui est destinée au succès, au bonheur. Le pouvoir du mental est à la base de ce travail et des phrases comme « Je n’arrive pas » ou « Je ne suis pas capable » sont des fausses croyances. Moi, je suis porte-parole de ce message et je m’engage de le diffuser aussi dans les écoles. C’est très important d’inspirer avec un message positif les jeunes, parce qu'une histoire comme la mienne a un grand impact sur eux. Il faut faire comprendre aux jeunes que tout ce qu’il nous arrive c’est un cadeau de la vie, c’est un nouveau terrain de jeu où on peut grandir et découvrir ce qu’on est ». Quand tu vas dans les écoles pour parler aux jeunes, il t’est arrivé de rencontrer des filles ou des garçons dans ta même situation ? Et parler à eux, c’est une aide pour toi aussi ? « Oui bien-sûr, je rencontre toujours des jeunes avec des problèmes. Je me rappelle qu’il y avait une fille de 20 ans, qui avait eu un grave accident en voiture. Et puis une autre fille qui m’a contacté en me disant qu’elle avait perdu une partie de sa jambe. Il s’agit de filles très jeunes comme moi à l’époque de ma chute et c’est très important pour moi de parler avec ces filles et ces garçons en leur démontrant que rien n’est impossible. C’est ma mission de parler à eux. Les ondes positives véhiculées à travers mes conférences sont une aide pour moi aussi. Dans ma vie, j’ai vécu plusieurs vies, je me suis levé, j’ai recommencé à pratiquer du sport car je crois dans sa valeur. Le sport est la clé pour s’en sortir d’une situation de déprimé et de malaise. De plus t’as la possibilité de faire quelque chose de positif pour ta vie, de te concentrer sur le bien-être de ton corps ». #Jepeux2020 c’est le hashtag que t’as lancé sur tes réseaux sociaux. Est-ce que t’as envie de nous expliquer ? Il peut faire quoi exactement Axel Allétru ? « Oui, #Jepeux2020 c’est le nouveau défi de la Team Allétru. J’ai pensé que j’avais envie de participer à la compétition de rallye, le Paris-Dakar, mais pas dans l’équipe paraplégique. Je vais compéter auprès des valides et pour moi c’est vraiment une autre occasion pour démontrer à tout le monde, que même un athlète paraplégique comme moi, il peut faire cette compétition. J’utiliserai des pédales spécieux pour bien conduire ma voiture de rallye. J’ai hâte de concourir et je voudrais inviter les gens à partager leur défi, un challenge prévu en 2020, sur cette plateforme: https://www.jepeux2020.fr/ . Il faut transmettre aux gens qu’on est fait pour rêver, pour avoir toujours de nouvelles ambitions, comme dans mon cas et cette plateforme est une occasion pour partager ses propres propositions pour la nouvelle année. Donc #Jepeux2020 ce n’est pas seulement le Paris-Dakar, mais c’est un nouveau terrain de jeu de la vie que j’accueille avec joie ». Pour conclure Axel : tu dirais quoi à une fille qui a eu ton même accident et qui se voit moche dans le miroir ? https://www.youtube.com/watch?v=9vZbGXHOEQU&feature=emb_title « Je lui dirais que la vrai beauté commence de l’intérieur et qu’elle ne doit pas regarder seulement à l’extérieur des choses et des personnes. Je lui dirais qu’il y a toujours, pour tout le monde, de nouvelles choses à faire et d’autres obstacles à briser. Toi aussi, tu peux ». Merci à ce grand athlète pour son témoignage qui nous fait comprendre la véritable valeur de la vie. J’invite toi qui lis en ce moment, toi qui vis peut-être des petites ou des grandes difficultés, à découvrir l’histoire de Axel Allétru et ses conseils pour mieux vivre, en lisant son livre 28 principes pour rebondir . Parce que toi aussi, tu peux « prendre de la hauteur ». Read the full article
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HORS-SÉRIE #7 - KURAGEHIME/PRINCESS JELLYFISH (2010) Adapté du manga shôjo -et slice of life- éponyme de Akiko Higashimura paru entre 2008 et 2017, l’anime KURAGEHIME comporte 11 épisodes de 25 minutes chacun: une quantité respectable pour qui veut se mater une série sans devoir planifier un climax fantasmé avant plusieurs semaines/mois/années. Mais ça parle de quoi? La protagoniste principale, la timide Tsukimi Mishita, passionnée de méduses, vit en colocation avec quatre amies dans une vieille résidence: ces dernières sont des otaku irréparables et asociales, à l’opposé du monde dans lequel elles évoluent. Ces cinq jeunes femmes, obsédées par leurs passions respectives -les méduses (merci Captain Obvious), l’histoire de Chine (les 3 Royaumes), les poupées traditionnelles (kimonos et couture inclus), les hommes (très mûrs), et les trains- sont incapables d’interagir normalement avec leurs homologues humains, et se retrouvent quotidiennement dans le salon de la dite résidence, chaque sortie étant un défi pour chacune d’entre elles. Une sixième pensionnaire -que l’on ne verra jamais- est mangaka, vit recluse dans sa chambre, travaillant nuit et jour, et détient le pouvoir sur le petit groupe, car seule à travailler et à gagner de l’argent: Tsukimi et ses collègues communiquent avec elle via des messages papier glissés sous sa porte, autre marque évidente du terme “cassos” pouvant s’appliquer à l’ensemble de la bande. Derrière tous ces masques sommeilleraient peut-être de vraies princesses? Puis un jour, Tsukimi va croiser le chemin de Kuranosuke, une femme -en apparence, du moins- au sublime physique, qui va bouleverser son destin, et celui des autres pensionnaires déjantées de la résidence: presque traitée à la manière d’un extra-terrestre, cette dernière arrivée, synonyme d’ouragan de changements, va, de fil en aiguille, “rejoindre” le petit groupe introverti. Vous l’aurez compris, KURAGEHIME n’est clairement pas orienté action, ni violence, ni boobs qui débordent: sa condition de shôjo/slice of life convient parfaitement à qui veut de l’émotion. Amitié, amour, rires, pleurs, les aspects de la vie de tous les jours répondent à l’appel, et c’est de par cette forme que KURAGEHIME va appuyer là où d’autres se contentent de caricaturer, voire d’ignorer: derrière ce mur geek, bon nombre de thématiques et de réalités vont être exploitées, à l’image du travestissement -que l’on découvre exister pour échapper à la destinée professionnelle prévue par une famille obtue-, ou de la crise de panique -changée en hystérie par les néophytes-, ici tournée en ridicule de façon savante, se changeant parfois en véritable défi dur à vivre pour qui en souffre, dans un quotidien formaté que la plupart des gens ne remarquent pas. La confrontation avec la réalité, effrayante, sera bien présente dans l’anime, qui démontrera avec justesse les moyens pour vaincre ses peurs et trouver des solutions concrètes pour gagner, prendre le dessus grâce à la confiance en soi -et parfois, au culot- KURAGEHIME flatte l’ego, et démontre avec une facilité déconcertante que chaque individu est quelqu’un de beau, de bien, et meilleur qu’il ne pourrait le penser. Sans céder à une évolution changeant définitivement ses personnages, KURAGEHIME est à l’instar d’autres shôjo/slice of life tels que le mignon et culinaire KOUFUKU GRAFFITI (2015) ou encore le plus fantastique mais adorable FLYING WITCH (2016) une valeur sûre de réconfort moral, les enjeux étant plus psychologiques que physiques sans jamais sombrer dans l’ennui. Génial car non prétentieux, ce conte moderne est à voir, pour la bonne humeur qu’il insuffle à qui le regarde, même de loin. Malgré un sentiment de répétition certain mais justifié par le passé mélancolique de l’héroïne sur lequel on revient souvent, KURAGEHIME est très sympathique, d’autant plus que son animation est bonne (couleurs, fluidité), ainsi que ses doublages: petit point positif supplémentaire, l’O.S.T. fait parfois penser à celles des jeux vidéo de la licence ANIMAL CROSSING -chilling-game par excellence-, connue pour son ton relax et mignon. Des qualités techniques évidentes, qui feront office de bonus appréciable si l’on apprécie le style narratif de la série. Attention, des préparatifs obligatoires sont à mettre en place avant le visionnage: on sort le plaid, les gâteaux, et les boissons chaudes pour apprécier encore plus KURAGEHIME, afin de l’engloutir en un jour de cocooning. Et ça tombe bien, la saison s’y prête. THE BEAUTY OF LIFE /20
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CE QUI SE PASSE À UN BOTTLE RELEASE DE DUNHAM… ÇA NE RESTE PAS À DUNHAM, ÇA SE PARTAGE !
Que vous soyez néophytes ou grands amateurs de bières de microbrasseries, vous avez certainement entendu parler des fameux bottle releases de la brasserie Dunham. Forte de ces six années d’expérience, cette brasserie a su rapidement se tailler une place au sein des acteurs principaux de la scène brassicole du Québec, se classant parmi les 100 meilleures brasseries au monde trois années de suite, en plus d’avoir été jugée meilleure brasserie au Canada en 2016. Bien que leurs bières soient distribuées partout dans la province (de même que dans six pays !), les gens de Dunham se permettent une petite gâterie de temps en temps en organisant un bottle release mettant en vedette des bières exclusives. Ces événements sont rassembleurs et toujours bien festifs puisque plusieurs se déplacent de loin afin de pouvoir mettre la main sur les rares bouteilles mises en vente pour l’occasion.
Vous n’avez jamais eu la chance de vous rendre à un bottle release de Dunham ? Pire, de vous rendre à Dunham tout court ? Aucune honte à avoir parce que le 14 octobre dernier, l’équipe des Bars tendres était présente à leur événement d’automne et c’était la première fois que notre Charlie Pouliche international posait les pieds là-bas. Voici comment ça s’est passé :
Pour qu’un bottle release soit considéré comme étant une réussite, ça prend un minimum d’organisation. Personne n’aime faire la file durant de longues heures avant l’ouverture d’une brasserie, ni arriver bredouille lorsque c’est enfin leur tour de choisir leurs bouteilles à cause d’un inventaire écoulé. À Dunham, ils ne sont pas fous : c’est pourquoi ils organisent une pré-vente avant chaque événement où l’amateur assoiffé peut commander le nombre de bouteilles souhaitées avec la certitude qu’arrivé au Jour J, ses achats seront honorés.
Passer une pré-commande nécessite toutefois l’achat d’un billet au coût de 10$. Mais on est bien content d’avoir dépensé ce petit montant quand, une fois dans la file pour récupérer ses bouteilles, on reçoit un verre à l’effigie de la brasserie rempli d’une bière spécialement branchée pour l’occasion. Cet automne, on nous a servi la No Tahoma, une farmhouse déjà bien houblonnée, mais en version extra dry hop.
(Quand Éloi Deit, le maître brasseur, a créé la recette de cette bière, il avait commencé par faire des tests avec le houblon Tahoma et …. c’était pas tant l’fun finalement. Il y a donc été en sens inverse en la brassant avec plein de houblons différents : tout sauf du Tahoma !)
Une fois la commande récupérée, on se dirige vers le bar adjacent à la brasserie. Puisque les choses sont bien faites, la liste de fût est composée de toutes les bières qui étaient lancées en bouteille le jour même, en plus de quelques surprises. C’est donc l’occasion idéale pour goûter aux choses qui n’avaient pas attiré notre attention lors de la pré-commande. Et si jamais vous avez des regrets et que vous réalisez que la Oro Zuur Pamplemousse & Vic Secret, c’est vraiment exceptionnel, qu’à cela ne tienne, Dunham a aussi pensé à vous.
La boutique de la brasserie est toujours ouverte pour les achats effectués sans pré-commande, pour le bonheur des retardataires et pour le malheur de nos regrets. Ces derniers pourront ressurgir le jour où on versera la dernière goutte de notre précieuse Viti Vini Vici cuvée Joly, cette grisette vieillie en fût de chêne et refermentée avec des peaux de raisin Vidal qui ont préalablement servi à faire du vin de glace au vignoble Le Marathonien, de Jean Joly.
La brasserie Dunham n’est pas à visiter que pour sa bière : la cuisine y est également remarquable ! Un petit menu de nourriture sympathique est disponible pour ceux qui préfèrent se prélasser au bar, mais c’est au restaurant de la Table Fermière que les choses se passent vraiment. Sous les commandes du chef Luc Pinard, la carte met en lumière les ingrédients locaux et biologiques de la région. Que tu sois plus du style raviolis aux cèpes ou short ribs de bison braisé, il n’y a aucun risque à sortir de là le ventre vide. Oui, ils ont même une crème brûlée à la citrouille juste pour toi, la basic white girl.
Finalement, Dunham ne serait pas ce qu’elle est sans ses explorations artistiques uniques. Tel un musée, le bar est décoré des plus belles créations de Simon Bossé, le créateur des audacieuses étiquettes de la brasserie. Au deuxième étage se trouve son atelier, Mille Putois, où Simon s’amuse à afficher non seulement ses œuvres mais également ses coups de cœurs provenant d’artistes d’un peu partout dans le monde. Du vrai bonbon pour les yeux.
Dans ce sens, un distributeur bien spécial est installé sur un des murs du bar. Les gens d’expérience se souviendront des Distrobotos, ces anciennes machines distributrices de cigarettes. Elles ont toutefois été rachetées par ARCMTL dans le but de les transformer en distributrices d’art, vendus à 2$ l’unité. Un peu partout au Québec, il est possible d’y acheter des collants, petits livres, sérigraphies, macarons et même des albums de musique… Parlez-moi de ça, recycler une machine qui vendait de la fumée pour en faire une vitrine culturelle facilement accessible au grand public !
Une soirée peut se finir tard lorsqu’on s’accoude au bar de Dunham. Depuis quelques semaines seulement, il est maintenant possible de passer la nuit à l’hôtel BOHO, situé juste en haut de la brasserie, pour un prix plus qu’abordable. Plus d’excuse pour profiter du charme pittoresque de l’endroit : c’est l’occasion idéale pour vous planifier une autre aventure dans l’une des brasseries des Cantons-de-l’Est avoisinantes. Non mais, tant qu’à être là, autant en profiter !
En automne, les couleurs éclatantes des arbres et la fraîche odeur des boisés font office d’accessoires non-négligeables lors de la visite de la brasserie. C’est sans contredit le moment parfait pour visiter la région. À notre retour en ville, c’est de ce décor enchanteur dont on se rappellera lorsqu’on ouvrira une de nos précieuses bouteilles en bonne compagnie, afin de partager le bonheur de l’endroit avec ceux qui n’ont pas eu la chance de vivre l’unique expérience qu’est la brasserie Dunham.
Si on se fie à la tendance, un petit bottle release devrait avoir lieu cet hiver, alors que le prochain événement de taille sera probablement prévu autour du moi de mai. Restez à l’affût : au printemps, ce seront les fleurs qui parfumeront le dévoilement de cet événement !
- Audrey Rose
C.P. Audrey Rose
Brasserie Dunham
3809 Rue Principale
Dunham, QC J0E 1M0
http://brasseriedunham.com/
#brasseriedunham#dunham#cantonsdelest#microbrasseries#boirelocal#bières#lesbarstendres#cism893#bottlerelease#automne2017
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Grossesse 1 vs. grossesse 2: les différences
Ma petite puce a désormais 15 mois. Le temps passe tellement vite… c’est fou! Plus jeune, je croyais que le temps filait rapidement entre mes devoirs, mes amis, mes activités et sorties, mais j’ignorais à quel point ça accélère quand on regarde une micro personne découvrir tous les coins de notre univers. En fait, le temps passe tellement vite que je suis maintenant à ma 29 semaines de ma 2e grossesse… ce qui veut dire que d’ici 11 semaines, on accueillera une deuxième petite demoiselle dans notre foyer. Wow. C’est difficile à digérer par moment, mais comme je me trimbale en pingouin d’une destination à une autre et que mon lit est un peu moins confortable chaque nuit, je dois bien me rendre à l’évidence… certaines choses ne change pas durant la grossesse… tandis que d’autre oui! Mes chouettes vont avoir +/- 18 mois de différences. Donc j’ai été 9 mois enceinte. 9 mois exclusivement maman. Puis 9 mois enceinte ET maman. Voici mon expérience entre mes 2 grossesses rapprochées:
Les différences entre une première et une deuxième grossesse:
Les symptômes:
Vous avez déjà entendu que toutes les grossesses sont différentes, même si vous n’avez déjà été enceinte. Dans mon cas, c’est tellement vrai! Oui, j’ai eu des brûlements d’estomacs comme à la première (et non, les grand-mères, ça ne veut pas dire que c’est un garçon.) Oui, j’ai été envahie par le mucus et eu les sinus en feu. Oui, je suis encore prise avec du diabètes gestationnel. Mais est-ce que je me sens étouffée, déprimée, enragée et est-ce que j’ai mal de vivre? Non. Même pas un brin. Honnêtement, je ne suis pas un petit rayon de soleil gambadant dans un pays de licornes et d’anges tout nus non plus… mais je ne suis jamais comme ça. Cette fois-ci, j’ai aussi complètement perdu la faim. Alors que j’ai pris une quantité énorme de poids lors de ma première grossesse, cette fois-ci, je dois me forcer pour trouver l’appétit. Bref, tout ça pour dire que si vous faites parties des mamans qui détestent être enceinte et ont souffert (ou souffrent) de dépression anténatale, vous n’êtes pas damnée à passer par là à chaque fois que vous voulez un bébé. J’ai quand même hâte à la fin, mais ma grande fille me fait souvent oublier mes inconfort de grossesse. Vous n’aviez pas ce petit être qui ensoleille vos journée avant votre première grossesse. Pour moi, elle fait toute la différence!
Les restrictions:
Pas de fromage fins. Pas de viandes froides. Pas d’oeufs à moins qu’il soit bien cuit. Pas de sushis. Pas de poissons s’il y a des risque de métaux lourds. Pas de plaisir à manger s’il vous plaît et avec votre diabètes, surtout pas d’aliments qui réconforte! Bleh.
Oui, je fais attention à ce que je mange et je limite les repas vides, tout comme les aliments non-recommandés. Par contre, j’avoue avoir pris une ou deux gorgées de vin, au moins deux-trois cubes de brie, une délicieuse truite fumée… et jusqu’à maintenant, personne n’est venu me lyncher et ma puce pousse encore très bien dans mon ventre. Étant anxieuse, lors de ma première grossesse, mes aliments étaient passés au peigne fin. Cette fois-ci, je me garde le droit de manger ce qui me plaît, tout en étant raisonnable. Et tout le monde en est bien heureux!
Les commentaires:
Avant de commencer, je dois préciser que j’ai horreur des commentaires des gens durant la grossesse, peu importe laquelle. Je ne comprends tout simplement pas pourquoi, parce qu’une personne est enceinte, des étrangers se permettent des commentaires qu’ils ne feraient jamais autrement…Je vais y revenir dans un autre article, c’est sûr! Par contre, lors de la deuxième, c’est encore plus malaisant...
“-Proche comme ça, est-ce que c’était un accident?” … Euh, je ne savais pas que je devais être transparente comme ça sur ma vie sexuelle avec mes collègues et partenaires d'ascenseurs, mais non. C’était 130% prévu qu’ils soient rapprochés. Es-tu content?
“-Tu portes différemment cette fois-ci, hein!” Certainement. Ce n’est pas le même bébé et mon corps a changé depuis le premier.
“-Ça pousse plus vite au deuxième, hein!” Je me trompe ou tu viens de me traiter de grosse?
“-Avez-vous essayer pour/voulez-vous un p’tit garçon?” Non. On veut un bébé en santé… et peu importe ce qui va se retrouver dans sa couche, ça ne change absolument rien sur le nombre d’enfant qu’on veut avoir ou sur ce qu’on va faire avec eux.
“-Tu as l’air fatiguée.” Ouais. Je le suis. Merci du rappel.
La fatigue:
Y’a pas grand chose qui se compare à être dans ton premier trimestre et avoir à s’occuper d’un bébé en bas d’un an en même temps. J’imagine qu’être dans son premier trimestre, t’occuper d’un autre bébé et d’autres enfants en plus est pire… mais comparé à une première grossesse… où tu penses que tu vas mourir de fatigue? Y’a rien là, finalement! Je reprendrais mon horaire de première grossesse n’importe quand, sans chialer, si je pouvais! Je pense que le fameux “dort quand ton bébé dort” est plus vrai durant cette période qu’avant un seul nouveau-né! Dommage que Penny ne soit plus qu’à une sieste par jour….
Le planning:
Je suis une planificatrice. C’est dans mes veines. Je ne peux pas m’empêcher de planifier, même si j’essai. Avec ma première grossesse, la chambre était fini à 15 semaines. Ma valise d’hôpital faite à 25. Cette fois-ci, je n’ai absolument rien fait de mon premier trimestre. Jusqu’à ce que je connaisse le sexe du bébé, j’ai fait une liste de prénoms potentiels et commencer à réfléchir à la chambre de grande fille de Penny, mais rien planifié pour notre petite deuxième. Encore là, je remercie ma magnifique petite première de me distraire et de me permettre de rester saine d’esprit à la place de m'emmêler les pinceaux dans de la planification trop précoce!
Le mommy-brain:
Ceux qui pensent que c’est faux, j’aurais tendance à vous dire que ça existe. Je ne sais pas pourquoi, ou comment ça arrive, mais je sais que j’ai une belle série d’anecdotes plus nunuches les unes que les autres qui ne me sont jamais arrivées avant d’être enceinte de ma deuxième. Première grossesse: un peu TDA, un peu distraite, mais ca va. Deuxième grossesse: c’est impossible pour moi de quitter un lieu sans oublier au moins 3 choses, dont mes clés et/ou mon cellulaire. Avez-vous déjà embarquer dans un ascenseur, appuyer sur le bouton de l’étage sur lequel vous êtes et attendre un bon 2 minutes avant de vous rendre compte que rien ne se passe, puis finalement réaliser votre bêtise? Non? … euh, moi non plus …
La fatigue:
Est-ce que j’ai mentionné qu’être enceinte en même temps qu’être maman est difficile? Gérer le deuxième trimestre, en plus de faire une tonne d’activité avec votre premier enfant qui est de plus en plus actif, c’est épuisant! L’idée de faire une sieste ou de vous coucher tôt vous traverse l’esprit? Nope. Non. Nada. Pas possible. Votre premier bébé fait une otite et vous réclame durant 4h sans dormir une nuit de semaine. Bon repos!
La vie de famille:
Passer de 2 à 3 a été un plaisir. Penny et moi sommes très attachées l'une à l’autre et petite Penny ne s’endormait qu’avec maman. C’est aussi moi qui donnait faisait le gros de la routine du dodo. Maintenant, et en prévision de l’arrivée de la petite dernière, papa a pris les rennes de la routine dodo et du coucher. C’est magnifique. C’est tellement minions de voir sa petite poupée pleine d’admiration devant son papa, et de se rendre compte à quel point votre mari aime sa fille. C’est très touchant, même si ces moments de tendresses me manque grandement, il faut que je me rende à l’évidence que papa à sa place et que d’ici quelques semaines, je serais malheureusement un peu moins disponible pour ma grande chérie. (chut chut chut, il est trop tôt pour y penser *cue in ugly cry*)
L’état émotionnel:
Une véritable montagne russe! Je ne sais plus où donner de la tête. Je suis anxieuse par rapport à la naissance. J’ai aussi hâte de rencontrer ma petite poupoune. Je suis bien sûr excitée de planifier les détails, faire l’inventaire des jouets et vêtements et de préparer notre séjour à l’hôpital. Par contre, j’ai aussi le coeur qui saigne et je me sens déchirée en deux de déjà détrôner Penny de son rôle d’enfant unique et de l’attention particulière qu’on lui accorde à cause de ce titre. Je suis terrifiée d’avoir fait une erreur et d’avoir décidé d’un deuxième enfant trop tôt, et de marquer Penny à vie, qu’elle change, ou qu’elle se sente remplacée. J’ai peur de mon séjour à l'hôpital. J’ai peur que Penny s’ennuie trop, et qu’elle pense que je l’abandonne. J’ai peur de ne plus avoir assez de temps pour elle. Mais j’ai aussi tellement hâte de voir quelle merveilleuse grande soeur elle va être, avec son petit caractère sûr d’elle même, elle va être une meneuse attentionnée et tendre, mais bien décidée. J’ai hâte de la voir montrer des trucs et des mauvais coups à sa cadette, et de la voir lui faire de gros câlins. Des hauts, des bas, et pas mal tout ce qui se trouve entre les deux.
Et finalement, la fatigue:
C’est peut-être de mon mommy brain, mais je ne suis plus certaine si je vous ai spécifié à quel point être enceinte et être maman peut vous vider d’énergie! Le troisième trimestre - avec votre démarche ralentie, vos nuits courtes et le melon d’eau que vous trimbaler partout dans votre chandail - c’est déjà fatiguant. Ajoutez-y un bébé qui marche et court, qui sait ce qu’il veut, a besoin d’être stimulé, mais peut aussi se mettre à pleurer pour rien ou refuse de s’endormir pour sa sieste et votre patience s’use rapidement, sans parler de vos réserves d’énergie. Par contre, j’assume que c’est une bonne pratique pour la phase nouveau-né+bébé de 18 mois qui s’en vient.
Ouf. Dans quoi je me suis embarquée, déjà? Et vous.. quelles sont vos expériences de première vs. deuxième grossesses? Et combien de temps c’est écoulé entre les naissances de vos enfants?
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Pour mieux gérer notre temps et notre argent, le plus simple serait sans doute d’aller vivre dans un monastère reculé, sans Internet ni compte en banque ! Mais comme Dieu ne nous appelle pas à quitter le monde, voici quelques idées pour garder une gestion saine de ces deux ressources précieuses.
Trois principes
Souviens-toi que notre société nous ment
A travers les publicités omniprésentes ou les mauvais exemples que nous voyons de personnalités et de personnages de films et séries, le monde accentue notre égoïsme naturel et notre désir de disposer de notre temps et de notre argent pour notre propre plaisir. Nous devons donc demander régulièrement pardon à Dieu pour cela mais aussi parce que nous croyons pouvoir acheter les faveurs de Dieu avec notre argent ou nos bonnes œuvres.
Nous avons besoin de la grâce de Dieu pour nous transformer en profondeur.
Souviens-toi que tout appartient à Dieu
Il est non seulement le créateur de toutes choses mais aussi l’inventeur de la notion même de temps. Ce n’est pas mon argent ou mon temps que je gère, ce sont ceux de Dieu (Aggée 2.8). Dieu nous prête du temps et de l’argent pour accomplir nos missions sur terre. Nous ne sommes que des gestionnaires, à nous d’en être reconnaissants en paroles et en actes !
Ce n’est pas mon argent ou mon temps que je gère, ce sont ceux de Dieu
Souviens-toi qu’il faut vivre dans l’urgence
Jésus peut revenir d’un moment à l’autre, et l’Évangile doit être annoncé à tous les peuples d’ici-là. Notre temps et notre argent nous permettent donc de prendre part joyeusement à la grande mission. Si c’est vrai pour toi, cela doit se voir sur ton compte bancaire et dans ton agenda ! En tant que chrétien racheté, Dieu met en nous des désirs renouvelés pour le servir avec ces deux ressources.
Trois conseils
Planifie
Le paiement de ton loyer ne doit pas te surprendre ! Pour cela, fais un budget prévisionnel avec une répartition de tes dépenses en fonction de tes besoins et de ceux de ta famille, de la mission et des impôts que tu payes sans râler (Luc 20.22)…
De la même manière, il est important de planifier ton organisation personnelle, pour vivre le conseil de l’Ecclésiaste : « il y a un temps pour tout ». Il faut donc connaître tes priorités, c’est-à-dire les tâches qui sont importantes et/ou urgentes dans ta vie. Cela t’aidera à refuser ce que tu ne dois (ou ne peux) pas faire, voire à déléguer ce qui devrait être fait par quelqu’un autre.
Investis pour l’éternité
Pour montrer ta reconnaissance et ta dépendance à Dieu, prends l’habitude de donner joyeusement à ton Église et à des missions une part de tes revenus. Combien ? Le plus possible ! Dis-toi que ce n’est pas ton argent que tu donnes à Dieu, mais l’argent de Dieu que tu lui rends. Ou que tu gardes pour toi ! Plus tu aimes Dieu, plus tu donneras avec confiance. Attention, la réciproque n’est pas toujours vraie !
Avec ton temps aussi, tu peux investir pour l’éternité. Quoi que tu fasses, fais-le de tout cœur pour Dieu. Sois encore plus généreux avec ton temps qu’avec ton argent, parce qu’il a encore plus de valeur. Alors, comme disait Jim Elliott, « où que tu sois, sois-y à 100% ! »
Contente-toi de ce que tu as
L’Apôtre Paul avait un secret, il avait appris à se contenter de ce qu’il avait. Il écrivait en Philippiens 4.13 :
« J’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. ».
Si nous partagions tous son secret, la gestion de l’argent serait bien plus facile !
De la même manière, dors bien et n’oublie pas que tu n’es pas Dieu : tu peux dormir parce que tu sers le Dieu qui ne dort pas ! La suractivité est aussi révélatrice de notre manque de confiance en Dieu, de nos idoles, ou de notre besoin démesuré de prouver quelque chose. Au contraire, Jésus règne, alors vivons en paix et considérons-le comme notre plus grand trésor.
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Cet article a été écrit pour le magazine Ta jeunesse dans le cadre du congrès « Une vie de défis » qui a eu lieu à l’IBG. Reproduit avec leur aimable autorisation.
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