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Série Géométrie.
Des spirales (et après, VRAIMENT !, dodo !!)
- Pointe de Penmarc'h (Bretagne), Phare d'Eckmühl
- Barcelone, la Sagrada Familia
- Pointe de Penmarc'h (Bretagne), Phare d'Eckmühl
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La Bibliothèque nationale d’Espagne : histoire et lieux
Jérémy Chaponneau effectue son stage de 4e année à la Biblioteca nacional de España, à Madrid. Voir la carte des stages
Rien n’est moins dépaysant que de voyager en Europe d’une bibliothèque nationale à une autre. Pour un Français, a fortiori usager et initié à la Bibliothèque nationale de France, le séjour à la Bibliothèque nationale d’Espagne ne présente rien de déroutant, d’autant plus que les deux bibliothèques procèdent d’un esprit comparable, la Parisienne ayant servi de modèle à la Madrilène au début de son histoire.
J’imagine que les lecteurs de ce blog, s’il y en a, sont coutumiers des salles de travail de Tolbiac ou de Richelieu ; aussi je ne vais pas expliquer en détail ce qu’est une bibliothèque nationale, ni tout ce qui, à Paris ou à Madrid, est identique. A dessein j’insisterai sur les différences, souvent imperceptibles au premier abord, des détails, une histoire, une atmosphère qui distinguent la bibliothèque espagnole de ses consœurs.
Je travaille au département des manuscrits, incunables et livres rares de la Bibliothèque nationale d’Espagne depuis un mois. Tous les matins, profitant des trois minutes pendant lesquelles s’allume l’ordinateur, regardant à la ronde les cartons et les livres sur les charriots, les collègues qui s’activent dans la salle de travail, je pense au mot que Voltaire attribue à Louis XIV : depuis 1700, c’est bien connu, « il n’y a plus de Pyrénées ! ». C’est tout à fait vrai si l’on compare dans les grandes lignes le fonctionnement de la Bibliothèque nationale d’Espagne à celle de la Bibliothèque nationale de France et si l’on s’intéresse au travail concret des agents, qui, comme à Paris, sont regroupés en trois catégories – facultativos (conservateurs), ayudantes (bibliothécaires), auxiliares (magasiniers) –, travaillent entre 37 heures et demie et 40 heures par semaine, conservent des collections typologiquement identiques, cataloguent selon les mêmes normes (ISBD, MARC) et organisent le service en salle de lecture selon les mêmes procédures.
Salles de lecture du département des manuscrits (au fond, la salle Cervantes, que j’évoquerai dans un prochain article)
Placée sous la tutelle du ministère qui a la responsabilité de la Culture, la Bibliothèque nationale d’Espagne est dotée du statut de grand établissement (organismo autónomo), qui lui confère une autonomie financière et administrative comparable à celle de la Bibliothèque nationale de France[1]. L’établissement est organisé en quatre directions, selon une structure hiérarchique relativement centralisée qui laisse peu de liberté aux départements qui ont la responsabilité des collections : une direction technique (dirección técnica) qui supervise l’ensemble des départements scientifiques ; une direction de la Bibliothèque digitale et des systèmes d’information ; une direction culturelle, qui s’occupe de la diffusion ainsi que du musée de la bibliothèque ; une direction de l’administration et du personnel (gerencia). C’est peu ou prou le schéma organisationnel de la BnF, même si les délimitations des directions sont différentes. Au sein de la direction technique, il n’y a pas ici de séparation entre des départements qui seraient « spécialisés » et d’autres qui seraient « thématiques » et la plupart des départements regroupent des collections qui à Paris seraient séparées. Les collections madrilènes se répartissent en cinq départements : Beaux-arts et cartographie ; Musique et audiovisuel ; Manuscrits, incunables et livres rares ; Périodiques (Control bibliográfico de revistas) ; Information bibliographique (Referencias)[2].
Ce petit nombre de départements s’explique par les dimensions relativement modestes de la BNE par rapport à la BNF. La taille, c’est ce qui frappe le plus le visiteur parisien : qui connaît la fourmilière de Tolbiac et l’énorme machine des bords de Seine ne peut qu’être surpris par le calme des lieux madrilènes et le petit nombre des agents qui y travaillent, 400 environs, tous corps confondus, pour près de 15 millions de documents.
Mais il faut dire que, même si depuis 1985 elle est juridiquement « chef du système espagnol des bibliothèques », la place de la Bibliothèque nationale dans le paysage culturel et documentaire espagnol est bien différente de celle de la BNF en France. Faites parler ici les gens des bibliothèques patrimoniales du pays, vous entendrez très vite dans la conversation les mots « comunidades autónomas » et « universidades ». « Régions », « universités » : entend-on souvent ces mots dans les couloirs de la rue de Richelieu ? Vous comprendrez très vite que le patrimoine bibliographique espagnol est beaucoup plus éparpillé sur le territoire qu’en France, et que la Bibliothèque nationale d’Espagne, pour être le plus grand dépôt de livres du pays, n’écrase en rien le paysage. Elle doit compter, même pour la gestion du dépôt légal[3], avec les bibliothèques des communautés autonomes, dont certaines comme celle de Catalogne se parent même de l’épithète « nacional ». D’une façon générale, les communautés autonomes, les couvents, les universités conservent un patrimoine bibliographique beaucoup plus important que celui de nos bibliothèques municipales, ce qui interdit à la BNE de jouer pleinement le rôle de modèle normatif et de pilote du réseau des bibliothèques. C’est parfois heureux, comme le montre par exemple la cohérence, la clarté et la beauté de la Biblioteca Digital Hispanica qui, centré sur le thème de l’hispanité et consacré aux collections de la bibliothèque, ressemble peu au fourre-tout de notre Gallica. Bien plus, on découvre que la Bibliothèque nationale d’Espagne ne conserve pas l’ensemble des collections autrefois royales : schématiquement, les livres des premiers Habsbourgs (Charles Quint et Philippe II) se trouvant à la Bibliothèque de l’Escorial, ceux de leurs successeurs (Philippe III, Philippe IV, Charles II) à la Real Biblioteca du palais royal de Madrid, le noyau des collections de la BNE, c’est le fonds constitué par le premier roi Bourbon et mis à la disposition du public dès l’origine de l’institution.
Nous voilà donc renvoyés à l’histoire. Rien de plus naturel dans un papier chartiste. Le passé distingue ; il est cette part de soi irréductible, quand bien même votre vie est identique à celle de vos prochains. Cela vaut aussi pour les institutions.
Le portrait de Philippe V par Miguel Jacinto Menéndez se trouve depuis 1726 dans le salon d’honneur. Il est aujourd’hui dans la salle des actes. [Source : BNE]
En 1711, l’approbation par Philippe V du projet proposé par son confesseur Pierre Robinet de créer une « Librairie publique » (Libreria Pública) sur le modèle de la Bibliothèque du Roi française, s’inscrit dans le cadre d’une politique culturelle imitée de celle de Louis XIV et destinée à manifester la symbiose entre la nouvelle dynastie, l’héritage culturel espagnol et les élites intellectuelles du royaume[4]. Installée à proximité du palais royal et du couvent de l’Incarnation, ouverte au public en 1712, dotée de statuts par le décret royal du 2 janvier 1716 modifiés par les Constitutions de décembre 1761, et dépositaire du dépôt légal institué, sur le modèle français, par une cédule royale du 26 juillet 1716, la bibliothèque est conçue au XVIIIe siècle comme un instrument au service de la monarchie, ce qui se traduit du point de vue institutionnel et administratif par la co-direction exercée par les confesseurs du roi jusqu’en 1761 et l’incorporation du personnel à la Maison du roi en 1761.
Pour mener à bien son programme de rénovation de l’érudition et d’exaltation de l’union de la monarchie et de la nation espagnole, l’institution peut compter sur de grands bibliothécaires, eux-mêmes parfois bibliophiles comme Gregorio Mayans y Siscar (entre 1733 et 1740), ou érudits comme Blas Antonio Nasarre (bibliotecario mayor entre 1735 et 1751) ou son successeur jusqu’en 1783 Juan Manuel de Santander. Ces hommes, qui jouent le même rôle ici que notre abbé Bignon, en dépit des difficultés relatives au financement et au manque de personnel, accomplissent une œuvre remarquable d’acquisition et de catalogage.
Le noyau de la collection, ce sont les 6000 volumes, manuscrits et imprimés, amenés de France en Espagne par Philippe V en 1700, auxquels on a ajouté, dès 1712, le fonds de la Biblioteca de la Torre Alta del Alcazar, dite bibliothèque de la Reine mère, constitué par les Habsbourgs (2600 volumes), ainsi que plusieurs bibliothèques d’opposants au Bourbon confisquées pendant la guerre de Succession, notamment celles du marquis de Mondéjar (qui contenait celle de Gaspar Loaisa) et du duc d’Uceda (qui contenait celle de la cathédrale de Messine, avec son exceptionnelle collection de manuscrits grecs). Pendant tout le XVIIIe siècle, on achète à tour de bras, souvent en bloc, les bibliothèques d’aristocrates, d’érudits et de bibliophiles ; Nasarre conclue d’avantageux marchés, en échangeant avec les dominicains d’Ávila et de Plasencia ou d’autres bibliothèques conventuelles lots de livres récents considérés comme utiles contre lots de manuscrits précieux ou d’incunables ; et, sans compter le dépôt légal, une ordonnance royale de 1750 attribuant à la Bibliothèque un droit de taxe sur la vente des livres l’autorise à percevoir cette taxe sous la forme d’ouvrages qu’elle ne possède pas dans ses collections. De grands catalogues accompagnent la formation du fonds, notamment ceux de l’infatigable bibliothécaire Juan de Iriarte qui rédige en 1729 le catalogue des livres de géographie et d’histoire (Regia Matritensis Bibliotheca Geographica et Chronologica), en 1730 celui des mathématiques (Regia Matritensis Bibliotheca Mathematica), entre 1739 et 1742 celui des manuscrits grecs (Regiae Bibliothecae Matritensis Codices Graeci Manuscripti).
La rapidité avec laquelle la Bibliothèque publique de Madrid s’est constituée témoigne de la vitalité culturelle du royaume à l’époque de la Ilustración. Après la guerre d’Indépendance (1808-1814), et surtout à partir du moment où la Bibliothèque cesse d’être propriété de la Couronne et devient Bibliothèque nationale (1836), l’enrichissement des collections (hors dépôt légal) passe par la multiplication des achats des bibliothèques de particuliers, à un moment où, plus tard qu’en France, se structure un marché bibliophilique spécifique, et par une plus grande fréquence des dons. Mais surtout les décrets de désamortissement (desamortización) pris par les gouvernements libéraux (en 1820-1823, 1836, 1841, 1855) permirent l’entrée d’importants fonds monastiques, en particulier ceux des couvents madrilènes, tandis que la mise en œuvre inégale du « désamortissement culturel » en 1869, visant à transférer au patrimoine national les œuvres d’art et les livres détenus par les cathédrales, les monastères et les ordres militaires, enrichit notamment la Bibliothèque des fonds exceptionnels des cathédrales d’Ávila et de Tolède. Comparables, dans leur visée, aux confiscations révolutionnaires, les désamortissements, en pratique, n’eurent cependant pas les mêmes conséquences : étalés dans le temps, incomplètement et difficilement mis en œuvre, ils n’ont pas entraîné un afflux de livres vers Madrid aussi volumineux et incommode qu’à Paris, d’autant plus que la Bibliothèque eut à subir, dans la captation des biens culturels désamortis, la concurrence des bibliothèques universitaires.
Le problème des bibliothécaires du XIXe siècle n’est pas tant, si l’on peut dire, un problème de digestion que de place. Chassée en 1809 de son siège initial à cause de l’aménagement par Joseph Bonaparte de l’actuelle plaza de Oriente, la Bibliothèque, qui a besoin d’espace, vit une histoire mouvementée de déménagements successifs et de prospections immobilières. On décide en 1857 la construction d’un nouvel édifice destiné aux archives, à la bibliothèque et au musée archéologique, dont la reine Isabel II pose la première pierre en 1866. C’est l’actuel bâtiment, premier au nord des grands édifices culturels qui ornent le Paseo del Arte[5]. Le chantier est lent, retardé par l’instabilité politique et les modifications du projet initial. C’est finalement l’architecte Antonio Ruiz de Salces qui achève la construction du palais de la bibliothèque, qui ouvre ses portes en 1896.
Le hall d’entrée
D’une certaine façon, après l’installation dans son site actuel, on a l’impression que la Bibliothèque nationale entre dans une période de sommeil. C’est sans doute une impression fausse, liée à l’absence d’entrée de fonds extraordinaires, de réalisations d’envergure, de transformations institutionnelles avant la fin des années 1950, car pendant la Deuxième République, sous la première direction de Miguel Artigas (1930-1936), sont prises une série de mesures peu spectaculaires mais essentielles en ce qu’elles concernent un acteur souvent malcommode, parfois oublié : le lecteur… On réorganise la salle de lecture (Salón de lectura) en le dotant d’ouvrages de consultation. On aménage une salle réservée aux étudiants, aux ouvriers, aux classes populaires, transférée à cause de l’affluence dans un espace plus grand au centre de l’édifice, l’actuel Salón general. On présente les premières expositions. Mais il ne fait guère de doute que la situation politique de l’Espagne du début du xxe siècle a eu des conséquences sur la vie de la Bibliothèque. La Guerre civile a entraîné la fermeture et l’évacuation des collections les plus précieuses près de Valence, en même temps que plusieurs bibliothèques privées de toute l’Espagne, au fur et à mesure du déplacement du front, ont été transférées à la Bibliothèque nationale.
Le Salón general (salle de lecture des monographies modernes et des périodiques)
(Une des salles attenantes à l’accueil)
Conformément aux orientations du régime, l’Espagne franquiste place sous la tutelle de la Bibliothèque plusieurs services qui lui permettent de jouer un rôle centralisateur dans l’organisation du système des bibliothèques espagnoles : service de défense du patrimoine artistique (1938), Hémérothèque nationale (1943), service national de la lecture (1947), service national de documentation et de bibliographie (1952), commission de coordination bibliographique (1955), ces deux derniers services intégrés en 1970 dans l’Institut bibliographique hispanique (1970). Surtout, le décret de dépôt légal en 1957 impose l’exécution de cette obligation, qui était jusqu’alors assez mal respectée[6]. Toutes ses dispositions structurelles et opérationnelles préludent aux transformations conduites à partir des années 1970, qui introduisent à la Bibliothèque les standards internationaux, technologiques (mise en place progressive de l’automatisation à partir de 1982), intellectuels (adoption de règles de catalogage standardisées en 1985), logistiques (construction à Alcala de Henares de tours qui servent de dépôt, dont l’une est robotisée, qui ont une parenté lointaine avec celles de Tolbiac mais font plus penser au site de Bussy-Saint-Georges), ou culturels (création du Musée du livre, aujourd’hui Musée de la Bibliothèque, en 1995).
On mesure mal en France le traumatisme récent que représente en Espagne la crise de 2008-2009. Les mesures d’austérités budgétaires prises par les gouvernements Zapatero et Rajoy ont fortement touché la Bibliothèque qui n’a, par exemple, organisé aucun concours de recrutement entre 2009 et 2016, alors même que de nombreux agents partaient en retraite. Le département des manuscrits, incunables et livres anciens, qui remplit les missions dévolues en France au département des Manuscrits et à la Réserve des livres rares, compte une vingtaine de personne tout au plus, quatre bibliothécaires au service des manuscrits et des incunables, cinq au service des imprimés anciens trois à celui de la diffusion et de la gestion de la salle de lecture, ainsi que neuf magasiniers. C’est peu pour la conservation, le classement et la valorisation d’une collection importante (83000 pièces manuscrites, 3200 incunables, 280000 imprimés ancien) et de très grande valeur. Le service des publications (3 agents) n’a pas les moyens humains de produire une revue scientifique ou un bulletin d’information comme la Revue de la BnF ou Chroniques. Et pourtant, quel aspect ça aurait, une Revista qui parlerait du manuscrit du Cantar de Mío Cid, des beatos, des Codices I et II de Léonard de Vinci, des autographes de Lope de Vega, d’une des plus grandes collections de cartes anciennes au monde, des dessins de Francisco de Holanda, des gravures de Murillo et de Goya, d’un poème de Lorca, des 70 000 photographies de la Guerre civile !
Un dernier mot. On appelle ici le siège de la Bibliothèque Palacio de la Biblioteca. Palais est un grand mot : rien de la pompe un peu glacée de notre Très Grande Bibliothèque. Au contraire, malgré le style néoclassique de l’ensemble, avec sa façade à fronton et les deux escaliers monumentaux du vestibule, ce qui frappe un Parisien, c’est l’atmosphère chaleureuse de salon de lecture qui règne dans toutes les parties de l’édifice. Cela est dû sans doute au grand nombre de vitrines, dans le hall, les couloirs ou les salles de lecture, où cohabitent livres du jour, publications de la bibliothèque et facsimilés des trésors manuscrits. Cela est dû surtout à l’omniprésence des figures d’écrivains. Évidemment, dans le petit jardin en bordure d’avenue, le visage amer et puissant d’Antonio Machado a quelque chose d’intimidant[7], et, sur le perron Alphonse le Sage et Saint Isidore et les portiers Cervantes, Lope de Vega, Nebrija ou Vives ont l’air sévère des statues officielles. C’est toute la chorégie des gloires de l’Espagne littéraire qui vous accueille. Mais à l’intérieur, la profusion des portraits de tous les écrivains distingués par le prix Cervantes depuis Borges, chaque toile étant réalisée par un peintre du choix de l’écrivain, fait beaucoup d’effet. On reconnaît là le goût espagnol pour l’incarnation, en même temps qu’une façon simple, pour la Bibliothèque, de se dire. Le nombre des écrivains, tous égaux sur les murs, n’invite pas à l’idolâtrie de l’un d’entre eux. Beaucoup sont encore vivants, ce qui évite à l’ensemble d’avoir la froideur d’un panthéon. C’est une langue et la littérature tout entière qu’on honore – sans grandiloquence excessive, comme une maîtresse en sa maison : « Vérité en deçà des Pyrénées… »
Notes
Real Decreto 1581/1991 del 31 de octubre de 1991.
Signalons que la collection de monnaies a été transférée en 1867 au Museo Arqueológico Nacional, qui aujourd’hui partage le même bâtiment que celui de la Bibliothèque.
La loi sur le dépôt légal du 29 juillet 2011 impose aux éditeurs de déposer auprès de la bibliothèque de la communauté autonome où ils exercent un certain nombre d’exemplaire de leur production, en plus de ceux qu’ils déposent auprès de la Bibliothèque nationale d’Espagne.
Procèdent du même esprit « louisquatorzien » plusieurs des institutions culturelles fondées à Madrid par Philippe V, comme la Real Academia Española en 1714 ou la Real Academia de Historia en 1735.
Le Paseo del Arte est une artère du centre de Madrid, formée du Paseo del Prado et du Paseo de Recoletos, percés sous le règne du roi Charles III (1759-1788) et bordée aujourd’hui d’importants établissements culturels : du nord au sud, la Bibliothèque nationale (avec, dans la rue parallèle, le Musée archéologique), la fondation Mapfre, la Casa de América, le centre d’exposition CentroCentro, le Musée naval, le musée Thyssen-Bornemisza, le Musée du Prado, le Jardin botanique royal et, un peu au-delà, la Musée Reina Sofia.
Ce décret du 23 décembre 1957 confère la responsabilité du dépôt légal aux imprimeurs et l’étend à tout type de publication écrite, graphique, sonore ou visuelle.
Cette statue est une des celèbres Cabezas d’Antonio Machado sculptés par Pablo Serrano, dont le Musée national d’art moderne à Paris conserve un exemplaire. Installée à la BNE depuis 2007, elle est la dernière d’une série commencée en 1966 dans le cadre de la préparation d’une cérémonie d’hommage au poète à Baeza qui fut interdite par les autorités franquistes.
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du 20 et 21 octobre - découvrir la fiesta à Séville et mourir.
Vendredi 20 octobre commence par une tentative ratée pour aller à une bibliothèque. Sombre histoire de ticket de bus, de l’autre bout de la ville, et de bibliothèque s’avérant minuscule, sans tables ni chaises ni wifi ! Retour à l’auberge ma foi.. Mais je me trouve un petit coin tranquillou pour bosser. Ce que je fais toute l’aprem tranquillement, je pense à Pôle emploi. Ceux qui savent comprendront.
Je fais la rencontre de Mar, mexicain en voyage fort sympathique qui papote avec la terre entière avec une facilité déconcertante. Nous allons en course ensemble, et nous installons pour manger. Là nous commençons à discuter avec Simona et Lili, 2 israëliennes qui voyagent en bosser à distance pour des trucs de marketing. Je découvre la difficulté non négligeable de switcher avec espagnol et anglais et confirme mon niveau nullisime en anglais --’ mais enfin, on s’en sort. Nous papotons aussi avec une thaïlandaise, puis 2 indiens, puis 2 mexicains ! Ouf toute une team. Puis nous partons en ville boire une bière.
La bière s’étant avérée être plusieurs bières, sur une place pleiiiine de monde, de musique, d’alcool, de bonne humeur, de joie et de sourire. Un classique d’un soir de week-end à Séville parait-il :D ça fait un peu rêver !! Puis on se fait embricader en boite de nuit par une espagnole croisée en chemin, une folie.
Bref, une super soirée mais retour à l’auberge à 6h30 du matin. Et ma mort le lendemain. Affreux. Mais bon, on avait réservé la veille au soir, 2 entrées au Palacio Real Alcazar que vous voyez en photo ici même. Un endroit magnifique, d’un autre temps, d’une toute autre culture... Malgré mon état physique pitoyable, c’était waaahouuu !!
Et puis, je suis allé me coucher.
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Exposition « Au pied de la lettre » : repérez, photographiez, postez ! La bibliothèque municipale à vocation régionale l'Alcazar à Marseille et les studios Fotokino font un appel à participation pour leur future exposition « Au pied de la lettre » qui propose au public de découvrir, durant trois mois, les lettres et leur histoire ainsi que leurs relations avec lʼart et avec notre quotidien.
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Je reprends mon projet de présenter la plupart de mes 52461 photos (oui, ça a encore augmenté !).
2004 Marseille.
- Les 6 premières : le Muséum d’Histoire Naturelle, au Palais Longchamp avec se livres anciens, ses coquillages, son crâne d’hydrocéphale (en zoomant, on connaît mieux son histoire !), un oryctérope et un Saint-Pierre (ou Zée pour les joueurs de scrabble !). Puis des vitrines délicieusement surannées.
- les 3 dernières : la nouvelle bibliothèque de l’Alcazar avec sa façade translucide laissant deviner les platanes du Cours Belsunce et sa marquise datant de l’époque où c’était un grand lieu de spectacle
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