#ben moi je l'ai pas vu.
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C'est l'histoire de trois vampires qui font un concour de sang. Le premier arrive avec les dents pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le chien la, je l'ai mordu. Le 2ème avec la bouche pleine de sang. Le commentateur lui dit. Comment ta fait? -Tu vois la vache, je l'ai mordue. Le 3ème avec la tête pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le poteau, ben moi je l'ai pas vu.
#C'est l'histoire de trois vampires qui font un concour de sang.#-Comment ta fait?#-Tu vois le chien la#je l'ai mordu.#Comment ta fait?#-Tu vois la vache#je l'ai mordue.#Le 3ème avec la tête pleine de sang. Le commentateur lui dit.#-Tu vois le poteau#ben moi je l'ai pas vu.
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23 avril
encore une journée de rêve dans la vie de lara w., ce matin je me suis entrainée à chanter you still believe in me au piano en essayant de trouver les bons accords, et puis vu que j'arrivais toujours pas à écrire je suis de nouveau partie me promener dans un endroit que je connaissais pas, cette fois j'ai pris le bus jusqu'à la gare cents/hamm et en arrivant devant une église j'ai vu le plus GROS avion que j'avais jamais vu, juste au dessus de ma tête, on aurait dit un de mes rêves catastrophe sauf que personne n'est mort et aucun avion ne s'est écrasé, j'ai juste perdu l'équilibre sous le choc et parce que j'avais la tête en l'air. en baissant les yeux j'ai vu un bac à fleurs à étages qui ressemblait à une pièce montée ou à une fontaine et je me suis dit à cet instant précis que voir des gros avions passer dans le ciel était une très bonne raison de ne pas mourir et que je pourrais peut être remplacer les trajets à la pierre plantée dans la voiture de h. par des excursions à proximité de l'aéroport. de là je suis descendue dans une vallée par la forêt, j'y étais déjà allée mais pas de ce côté-là, j'ai reconnu l'odeur de l'alzette. je l'ai longée pendant une éternité en marchant sur une petite route déserte sans savoir où j'allais, puis j'ai pris un petit chemin dans la forêt et au bout d'un moment je suis remontée et j'ai atterri dans des champs de colza à bonnevoie. magique. j'ai marché jusqu'à la gare et je suis rentrée en bus. à la maison j'ai mangé du pain grillé avec du beurre de cacahouète et une demie pomme et puis au lieu d'écrire j'ai ouvert instagram où tout le monde avait l'air particulièrement prolifique, f. s. avance bien dans son roman, c. b. fait une performance aux halles de schaerbeek demain et r. est trop occupé par la pièce de sa soeur pour écouter les morceaux que je lui envoie. mais en ce moment ça va avec lui. ça va!!!
25 avril
j'écoutais l'interview d'un humoriste qui vient de réaliser son premier film à la radio et il racontait qu'avant il était cuisinier (je crois) et puis ses parents lui ont LOUÉ une salle à AVIGNON pour qu'il puisse faire son spectacle, ça leur a coûté 10000 euros et ils ont dit au pire on perd 10000 euros, ben oui, et puis un soir un producteur de laurent ruquier ou je sais pas quoi était dans la salle etc etc. autre histoire entendue à la radio: la fille d'un photographe connu qui était agente d'artistes et puis elle a lu un livre sur la botanique et la permaculture et elle est devenue maraichère mais elle préfère dire food gardener et maintenant elle adore sa vie. et moi hier soir pendant que je faisais mon lit je pensais à r. et à sa soeur qui font tous les deux les métiers que j'aimerais faire, même si soyons sérieuse deux minutes je serai jamais musicienne, et je pensais à a. qui me disait de faire des études de biologie marine, et je me demandais pourquoi j'assumais pas de dire aux gens que je voulais faire du spectacle vivant. enfin si je sais pourquoi, mais en plus de ça c'est un monde qui m'est totalement opaque et j'ai aucune idée de comment me lancer là-dedans. et si je retourne à l'école pour devenir bibliothécaire j'aurai pas le temps de m'occuper de ma carrière dans le spectacle vivant. est-ce que je m'en occupe maintenant que j'ai le temps? non, mais une fois que je me serai lancée dans ma carrière de bibliothécaire ce sera définitif. je préfère rester flotter dans le limbo des possibilités.
hier soir j'étais de nouveau sur le site du magasin de musique de sandweiler à choisir un micro et tout ça en calculant combien ça me coûterait en tout avec le synthé, mais j'ai l'impression que j'arriverai jamais à franchir le pas 1. parce que j'ai peur de dépenser de l'argent et 2. j'ai trop peur d'être nulle et d'avoir gaspillé de l'argent pour rien. j'ai peur de prendre des risques. je me fais pas confiance. quand j'ai dit à r. que je voulais faire du stand-up il a dit go! le monde a besoin de toi lara et je sais pas pourquoi ça m'a énervée. c'est un peu comme quand on me dit que je suis forte, dans le sens courageuse. go fuck yourself je suis tout sauf courageuse et le monde a pas besoin de moi. j'espère qu'il aura jamais le malheur de me dire que je suis forte parce que je risque de lui mettre une gifle.
27 avril
à la philarmonie ce soir j'ai eu des pensées très bizarres en écoutant l'orchestre jouer et plus particulièrement pendant le boléro de ravel, je pensais à mon fantasme de cuisiner avec r. et sa fille dans sa petite cuisine et je me disais c'est quoi ce fantasme de vie domestique là? qu'est-ce que ça veut dire? aurais-je envie... de fonder une famille?? et puis je me suis imaginé...tomber enceinte de r.??? est-ce que j'ai envie d'avoir un bébé?? et puis je me suis dit non il a déjà une fille, je peux très bien me contenter d'une belle-fille et j'ai commencé à m'imaginer en famille recomposée avec lui et c'était bien et j'avais pas du tout envie de me rappeler que ça n'arrivera jamais. et puis j'ai pensé à la naissance de sa fille, au moment où sa copine a du partir à l'hôpital, ou peut être qu'elle a accouché à la maison, à l'état dans lequel il devait être, à sa joie, à son excitation, à sa terreur dans doute, et puis au rêve qui tourne au cauchemar, et je me suis de nouveau demandé ce qui s'était passé pour qu'on lui enlève la garde de sa fille pendant deux ans VAZY c'est pas r. qui m'envoie mille photos de sa fille en me demandant si je trouve qu'elle lui ressemble (non) alors que j'étais en train de parler de sa naissance dans mon journal?? c'est quoi cette sorcellerie?? ils passent le weekend chez sa mère à la campagne. demain ils vont réparer son vélo et faire une tarte aux pommes.
BON. autres pensées de la philarmonie ce soir: pendant la fin du boléro de ravel j'avais envie de crier des trucs par dessus la musique et je me suis dit qu'il faudra que je le propose à r., de crier des trucs par dessus sa musique. j'ai aussi beaucoup pensé à mon livre, je l'ai enfin repris cette semaine et je me pose beaucoup de questions sur le style. j'arrive pas à décider si je pars plus dans la poésie ou plus dans le journal. pendant les danses polovtsiennes de borodine j'ai tranché pour le journal, you do you, ça sert à rien de se renier, et puis je me suis rappelé de rebeka rebeka qui est du journal et qui est un texte tout à fait légitime. mais j'ai vraiment du mal à m'y mettre. j'ai passé l'après-midi à regarder parlement dans mon lit cet après-midi. je sais pas pourquoi je me suis prise de passion pour les institutions européennes, à force de passer devant le parlement à bruxelles et de voir le grand drapeau européen flotter à la fenêtre tous les lundi soirs à la chorale. la série est ultra romancée et caricaturale mais elle satisfait mon envie de contenu eurocratique. lundi dernier à la chorale il manquait un ténor et quelqu'un a dit wilfried est à strasbourg, comme si c'était un truc qui allait de soi, et ça m'a fascinée, et maintenant que j'ai regardé la série ça me fascine encore plus, alors que bon y a vraiment pas de quoi être fascinée.
c'est pas vrai il est une heure et demie et j'ai mon cours de lux demain matin mais r. m'a flingué mon sommeil une fois n'est pas coutume alors que j'ai littéralement failli m'endormir pendant le début du boléro parce que c'est leeent et moi j'aime quand c'est rapide et surtout quand c'est FORT, j'aime le bombastique, surtout dans la musique classique, mais dans les autres musiques aussi, j'aime quand ça explose et quand ça crie et quand ça fait du bruit, et r. il m'impose que du doux tout le temps, du doux du doux et de l'ultra doux, ultra zacht en néerlandais, comme le pq, et j'aime l'ultra doux aussi, mais au fond du fond je suis pas une ultra douce, je suis une bombastique. une grandiloquente. une pompeuse. et pendant moussorgski je pensais au concert/dj set de rebeka warrior à bruxelles hier soir et je pensais à ma vie de retraitée avant l'heure et même si j'adore les concerts à la philarmonie et que j'avais des frissons tout le temps, presque tout le temps, ça m'aurait quand même plus dit d'aller percer mes tympans chez rebeka. j'ai de nouveau commencé à me creuser la tête pour trouver une solution à tout ça, j'espérais que moussorgski m'aiderait à avoir une illumination soudaine avec sa musique pompeuse, musique pompeuse pour fille pompeuse, mais à part mes fantasmes familiaux et mon envie de crier, aucune idée ne s'est présentée à moi.
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Ghoulcy Week 2024 Day 4 SFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy. Le thème du jour 4 est doigt pour un doigt. Bonne journée à tous et bonne lecture.
Ce fut le troisième soir, au moment du repas, que Lucy le remarqua. Là sur la main de Cooper qu'elle observait pour des raisons tout à fait légitime, son doigt était greffé. La goule s'était cousu son doigt à elle sur sa main.
« Mais je rêve ! C'est mon doigt ! » Ne put-elle s'empêcher de clamer.
« Ben oui. J'allais pas recoudre le mien après que tu l'ai bouffé et balancer dans la merde. »
« Alors de une je ne l'ai pas « bouffé » mais juste arraché avec les dents » Cette remarque fit éclater de rire l'homme et l'air indigné de la jeune femme ne fit qu'empirer son hilarité. « Et je l'ai juste recraché par terre, j'allais pas le garder en bouche. »
« De toute façon ce qui est fait est fait, poupée. Maintenant ton doigt m'appartient, à moins que tu ne tentes le cannibalisme à nouveau. »
« NON ! » Lucy inspecta ses mains à elle et ne pu s'abstenir de dire la chose suivante. « Avec mon doigt nécrotique on dirait qu'on à fait un échange. Comme un lien à vie. » Les paroles furent murmurer mais la goule les entendit parfaitement et au vu de sa tête, la jeune femme pensa avoir fait une bourde. Une moue triste se dessina sur son visage tandis qu'elle refusa de porter son regard sur l'homme à nouveau.
Ce dernier ne savait pas quoi penser. Après qu'elle l'ait sauvé au Super Duper Mart, il avait décider sur un coup de tête de coudre son doigt sur sa main, pour avoir un souvenir permanent de l'habitante d'abri. Il avait remarqué son doigt mort aussi et s'était fait la même réflexion qu'elle, maintenant ils étaient liés. Cette idée le trottait dans l'esprit depuis qu'ils avaient pris la route ensemble, deux personnes complètement opposées réunis par tellement de choses, unit dans une même quête et qui sans le vouloir c'était marqué l'un et l'autre. Cette dernière pensée réveillait en lui un sentiment enfuit depuis longtemps. La petite tueuse était à lui et son index le prouvait d'une certaine manière.
« Quand je me suis mariée à l'abri, j'ai pas eu d'alliance. Toute les mariées utilisaient la même robe donc il y avait pas vraiment de budget alliance. Cet échange de doigts pourraient passer pour des alliances morbides. » La jeune femme rigola à sa propre phrase avant de comprendre l'impact de ses mots. « Mais bon sang, faut vraiment que j'apprenne à me taire. »
La jeune MacLean était tellement absorber dans ses propres pensées qu'elle ne vit pas la goule combler la distance qui les séparait et se poster à genoux devant elle. D'un mouvement brusque mais quand même tendre, il releva son menton pour qu'elle n'ait d'autre choix que de lui faire face.
« Tu veux de l'aide pour la fermer, c'est avec plaisir, poupée. » Ces mots furent le seul avertissement qu'elle eu avant que l'homme ne l'embrasse passionnément. Elle se laissa complètement allé, ce baiser était parfait et elle ne se rendit compte qu'à cet instant à quel point elle le désirait. Depuis leur rencontre Cooper résidait dans ses pensées sans jamais les quittés, une obsession constante dont elle refusait même de se séparer. Plus ils voyageaient ensemble plus la femme voulait la goule. Son physique mais aussi son esprit l'intriguait, la fascinait. Elle le désirait et commençait même à l'aimer, elle ne pouvait plus le nier.
Durant cette étreinte, une folle idée traversa Cooper, une pensée qu'il voulait alors réaliser. Lucy lui rendait son baiser avec tout autant de ferveur, elle avait radicalement conquit le cœur de l'homme et il voulait qu'elle en prenne les responsabilités, celles qu'il venait, en ce moment, de décréter. Pour ce faire, l'homme vint délicatement prendre l'index nécrotique de sa compagne avec son doigt recousu.
« Moi, Cooper Howard, te prends comme épouse, promets de te rester... » commença la goule juste après avoir mis fin au baiser.
« Attends, attends... T'es vraiment entrain de me demander en mariage là ? On se connaît à peine. »
« Ton premier mari tu le connaissait pas du tout et c'était un pillard, tu es sérieusement entrain de faire la difficile maintenant alors que c'est toi qui a balancé la première cette histoire de mariage. Et c'est pas une demande, c'est un mariage tout simplement. » Cooper ramener leur doigts toujours lier afin d'embrasser celui de celle qu'il voulait épouser. « On est connecté par plus que ces simples doigts, nos vies entières se sont entremêlées et cela il y a plus de deux siècles. Depuis que je t'ai vu, je n'ai cessé de penser à toi et franchement dans ce monde pourri, j'ai bien l'impression que tu es un des seuls trucs qui en valent la peine donc oui je veux que tu m'appartienne afin d'être sûr de pouvoir te garder pour toujours auprès de moi. Et toi tu veux quoi ? »
La jeune femme était tourmenté, au départ elle ne savait pas quoi penser mais les mots de l'homme résonnèrent en elle et ils faisaient sens. Ils étaient liés depuis des siècles autant rendre ça officiel même si c'était seulement entre eux.
« Je te veux toi, ça, nous. »
« Parfait, poupée, on reprend donc. Moi, Cooper Howard, te prend, Lucy MacLean, comme épouse et promets de te rester fidèle, dans le bonheur et dans les épreuves, et on va en avoir un paquet ici, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer tous les jours de ma vie. »
« Moi, Lucy MacLean, te prend, Cooper Howard, comme époux et promets de te rester fidèle, dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer tous les jours de ma vie. »
A la fin de ses vœux, Cooper embrassa à nouveau leurs doigts entremêlés avant de poser ses lèvres sur les siennes. Cela faisait à peine une semaine qu'ils voyageaient ensemble et Lucy l'épousait déjà, elle était complètement folle. C'était même sûre et certain mais tout ce qu'elle ressentait en cet instant fut une énorme joie. Comme si un brouillard immense s'était dissipé dans son esprit. Être marié à la goule ne lui déplaisait pas du tout, c'était même le contraire. La nuit risquait d'être longue et mouvementé pour les deux époux mais ils avaient hâte. Ils avaient tant de choses à découvrir, des mystères à résoudre et des personnes à sauver. Mais maintenant et ce jusqu'à la fin de leur vie, ils feraient tout ça ensemble.
#fallout#ghoulcy#ghoulcy week#ghoulcy week 2024#lucy maclean#the ghoul#vaultghoul#cooper x lucy#cooper howard
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#Algérie #Peinture
Baya Mahieddine
Baya, de son vrai nom Fatma Haddad, épouse Mahieddine, née le 12 décembre 1931, près de Bordj el Kiffan (Fort-de-l'Eau, aux environs d'Alger) et morte le 9 novembre 1998 à Blida, est une peintre algérienne, qui signe ses œuvres de son prénom usuel.
Biographie
1931-1942 - Une enfance orpheline
Le père de Baya, Mohammed Haddad ben Ali meurt le 9 avril 1937. En 1938 ou 1939 sa mère, Bahia, se remarie à un commerçant de Kabylie, déjà marié et père de nombreux enfants. Baya et son jeune frère Ali sont alors emmenés dans la région de Dellys. Baya y travaille à l'occasion dans les champs et est bergère. « Peut-être que j'ai été inspirée par les femmes de Kabylie qui s'habillent de couleurs éclatantes. (...) Je suis à la fois kabyle et arabe et j'ai vécu en Kabylie, à Tizi-Ouzou, pas très longtemps, mais je me souviens d'avoir vu les femmes travailler l'argile. C'est peut-être pour cette raison que je m'y suis mise toute seule, et que j'adore la terre et la poterie », confiera-t-elle.
Le 5 décembre 1940 sa mère, Bahia Abdi, appelée Bahia bent Ali, meurt à son tour. « J'ai l'impression que cette femme que je peins est un peu le reflet de ma mère (...) et que j'ai été influencée par le fait que je ne l'ai pas très bien connue, que j'ai été imprégnée de son absence ». Baya adopte le prénom de sa mère dont elle signera plus tard ses œuvres.
Quelques mois après la mort de leur mère, la grand-mère maternelle de Baya, Fatma, ramène en 1941 avec elle les deux enfants dans la famille de leur oncle, près de Bordj el Kiffan au douar Sidi Mohammed. Doublement orpheline et non scolarisée, Baya y aide sa grand-mère, ouvrière agricole, en travaillant souvent durement, seule petite fille employée aux champs, dans les fermes maraîchères des colons des environs. Dans celle, horticole, de la famille Farges elle rencontre Marguerite Caminat (1903-1987), peintre et sœur de la propriétaire, qui avait quitté Toulon où elle était bibliothécaire en 1940 pour fuir les mesures du régime de Vichy et s'établir à Alger avec Franck Mac Ewen (Francis Jack Levy Bensusan Mac-Ewen, 1907-1974) qu'elle avait épousé en août 1939 et dont elle se séparera en 1945 et divorcera quatre ans plus tard. Les Farges ont notamment été les premiers en Algérie à acclimater les « oiseaux de paradis » (Strelitzia reginae) qui n'ont pu qu'impressionner Baya.
1943-1952 - Premières œuvres
Marguerite Caminat, « française égarée en colonie » comme l'a dit Assia Djebar, va jouer un rôle majeur dans la destinée de Baya. En octobre ou novembre 1943, en accord avec la grand-mère de Baya, elle la prend chez elle à Alger où, ayant quitté la ferme Farges, elle s'est installée. Baya y rend des services dans un appartement au 5 de la rue d'Isly (aujourd'hui Rue Larbi-Ben-M'Hidi) tout en allant chaque semaine chez sa grand-mère jusqu'en 1946. Marguerite Caminat lui fait simultanément donner des cours particuliers pour qu'elle apprenne à lire et écrire.
Encouragée par le couple, Baya commence vers 1944, après ménage et courses, à modeler des personnages ou des animaux fantastiques en argile puis à réaliser des gouaches. « Je me suis mise à peindre parce que Marguerite peignait : elle faisait des miniatures et de la peinture sur soie pour des lampes. Elle était mariée à un peintre anglais, un portraitiste. Elle, elle faisait des miniatures avec des femmes, des fleurs, des oiseaux. (...) Un jour qu'ils n'étaient pas là, j'ai pris les pinceaux et je me suis lancée. J'ai d'abord commencé par m'inspirer de revues que l'on recevait à la maison et qui étaient destinées aux enfants. Par la suite, Marguerite me donnait du papier, des pinceaux, des crayons... Elle partait au travail et me laissait faire ». Il est possible que la rencontre du catalogue, envoyé par Franck Mac Ewen, d'une exposition présentée à Paris par le British Council en 1945 de Peintures d'enfants anglais ait renforcé son désir de peindre.
Marguerite Caminat fait constater en 1947 les traces de mauvais traitements que Baya subit de la part de son oncle quand elle séjourne chez sa grand-mère. En février le juge (cadi) des orphelins d'Alger confie la tutelle de Baya, jusqu'à sa majorité, à Marguerite Caminat. « Je vivais dans une maison pleine de fleurs : la sœur de Marguerite avait un magasin de fleurs à Alger. Ils adoraient, tous, les fleurs, il y en avait partout dans la maison. Il y avait beaucoup d'autres belles choses, d'autres beaux objets (...). À la maison ma mère avait des Braque, des Matisse. (...) Il y avait des oiseaux dans la maison. J'adore aussi les papillons que je voyais chez certains de nos amis qui collectionnaient des papillons de toutes les couleurs. ».
En mai 1947 le sculpteur Jean Peyrissac, ami de Marguerite Caminat, montre des gouaches et une sculpture de Baya à Aimé Maeght, de passage à Alger. En novembre, une exposition est présentée à Paris par Maeght dans sa galerie. Le cadi Mohamed Benhoura, qui épousera Marguerite Caminat, après sa séparation d'avec Franck Mac Ewen, en 1952, participe avec elle à son organisation. André Breton, Jean Peyrissac et Émile Dermenghem préfacent le numéro 6 de Derrière le miroir qui lui est consacré. L'exposition connaît un vif succès. Dans une lettre datée du 24 novembre Albert Camus écrit au cadi Benhoura : « J'ai beaucoup admiré l'espèce de miracle dont témoigne chacune de ses œuvres. Dans ce Paris noir et apeuré, c'est une joie des yeux et du cœur. J'ai admiré aussi la dignité de son maintien au milieu de la foule des vernissages : c'est la princesse au milieu des barbares. ». Le peintre Mohammed Khadda, qui appartient à la même génération que Baya, commentera plus tard : « On s'extasie sur la spontanéité primitive de cet art, on découvre avec un émerveillement non exempt de paternalisme, l'expression naïve à l'état brut, vierge, sauvage enfin ». Baya découvre Paris et rencontre les peintres de la galerie Maeght, notamment Georges Braque.
En 1948 elle se rend au début de l'année avec Marguerite Caminat aux rencontres littéraires de Sidi Madani, près de Blida, où elle a probablement l'occasion de croiser ou retrouver de nombreux écrivains et peintres. Simultanément le magazine Vogue publie en février la photo de Baya avec un article d'Edmonde Charles-Roux. Par ailleurs Jean Dubuffet, qui séjourne plusieurs fois en Algérie à El-Goléa, rend visite à Baya, souhaitant probablement l'inclure dans le courant de l'Art brut. Il se réjouira trente ans plus tard de l'entrée de ses gouaches dans la Collection de l'art brut de Lausanne.
Durant l'été 1948 Marguerite Caminat et sa nièce Mireille Farges (qui se mariera en 1956 avec Jean de Maisonseul), accompagnent Baya à Vallauris. « Chez Marguerite, de temps à autre, je faisais des sculptures. Pour la cuisson nous allions chez une amie qui cuisait son pain dans un four traditionnel, j'y glissais mes modelages. Lorsque j'en faisais beaucoup, je ne savais pas où les faire cuire. Comme Marguerite connaissait bien les célèbres poteries de Madoura, elle avait des contacts à Vallauris, elle a décidé qu'on irait là-bas ». Baya y réalise des sculptures en céramique dans la poterie Madoura et y côtoie Picasso qui travaille dans l'atelier voisin. Durant l'automne 1950 elle revient à Paris chez les Maeght, visite les musées, se rend chez les Braque. De retour à Alger elle se remet à peindre dans le nouvel appartement, boulevard du Telemly, de Marguerite Caminat. Malgré son succès parisien elle ne bénéficie d'aucune reconnaissance de la part des milieux artistiques algérois, à l'exception de Jean Sénac et Jean de Maisonseul.
Dès 1950 Sénac publie en avril dans le deuxième numéro de la revue Soleil qu'il anime Chansons de la boqqala, recueil illustré de trois de ses dessins, avec un portrait de Baya par Sauveur Galliéro. Il organise simultanément une exposition des Peintres de la revue Soleil à laquelle participe Baya parmi 17 artistes dont Bouqueton, Sauveur Galliéro, Pelayo et Fiorini, Ali-Khodja, Mohamed Ranem et Bachir Yellès. Baya, selon l'article que Mohammed Dib écrit pour Alger républicain, y est présente. Dans le troisième numéro de la revue Soleil Sénac dédicace en juillet à Baya son poème « Le prix d'une telle indigence » et en décembre dans la revue Consciences algériennes, dirigée par André Mandouze, « Matinale de mon peuple ». Baya participera également aux expositions organisées par Sénac, en juillet 1951 à la librairie Rivages d'Edmond Charlot à l'occasion de la publication du numéro six de la revue Soleil, et en octobre 1953 pour la présentation à la galerie Le Nombre d'Or de sa nouvelle revue Terrasses, auprès de Benaboura, Nallard, Maria Manton, Henry Caillet, de Maisonseul, Simian et Galliéro.
1953-1961 - Les années de silence
En 1952, Baya est, à sa majorité, remise par le cadi d'Alger, son tuteur légal qui la place à Blida (qu'elle ne quittera plus) dans la famille, OULD ROUIS Boualem, un enseignant d'arabe au lycée franco-musulman jusqu'à son mariage selon le rite musulman en 1953, comme seconde épouse, avec le musicien arabo-andalou et chef d'orchestre El Hadj Mahfoud Mahieddine (1903-1979), d'une trentaine d'années plus âgé qu'elle et déjà père de huit enfants. « Passé le bal irréel de Cendrillon », Baya, qui donne elle-même naissance entre 1955 et 1970 à six enfants, demeure durant des années dans l'impossibilité de poursuivre son œuvre. « Quand je me suis mariée en 1953, j'ai arrêté. Je n'ai repris qu'en 1961. Quand on se marie, ce n'est plus pareil. Quand je suis arrivée ici chez mon époux, c'était un petit peu dur de continuer à travailler dans ce milieu. Et puis je n'avais plus ce contact avec le monde extérieur. J'étais dans la maison, je devais rester dans la maison, alors pourquoi peindre ?. Dans le climat de la guerre d'Algérie les manifestations culturelles se font rares, le mari de Baya arrête ses activités artistiques, les « libéraux » sont inquiétés, Jean de Maisonseul se trouve en 1956 emprisonné sans raison et ne doit sa libération qu'à des articles d'Albert Camus, la librairie d'Edmond Charlot est plastiquée en 1961. « On ne pouvait s'exprimer comme on le voulait », confiera Baya. « Maintenant je ne peins plus », écrit-elle en décembre 1961 à Marguerite Caminat, réinstallée en France à partir de 1957.
1962-1982 - Nouvelles œuvres
Baya a repris son itinéraire créatif en 1962 « quand le Musée National d'Alger a acheté de [ses] anciennes peintures (...) récupérées chez Maeght ». Baya va recommencer d'abord à sculpter puis, grâce aux encouragements dès décembre 1962 de Mireille et Jean de Maisonseul à peindre : « C'était Noël et je me souviens, ils m'avaient dit: 'Voilà, on t'offre le matériel pour travailler' (...) j'ai ensuite parlé à mon époux qui a été d'accord pour que je reprenne. (...) Mon mari a été gentil, il m'a encouragé à travailler. (...) À la maison, il y avait des instruments de musique partout. De vivre au milieu de tous ces instruments m'a influencée. ». Dans une lettre datée du 30 novembre 1962 elle confie à Marguerite Caminat : « Je vais commencer par la terre et la peinture après ». Elle lui confirme en décembre « j'ai commencé à faire de la terre » et en février 1963 « je suis plongée dans la terre ». Baya inaugure une nouvelle étape de son parcours et en revient quelques mois plus tard à la gouache : « Un souffle d'espoir anime Baya. Elle va pouvoir s'exprimer et, en même temps, apporter une aide financière à sa maisonnée. Elle reprend alors ses gouaches malgré les charges de la vie quotidienne et son isolement » écrit Lucette Albaret.
En juillet 1963, une salle entière est consacrée à des gouaches de Baya datant des années 1945-1947 lors de l'exposition marquant la réouverture du musée d'Alger dont Jean de Maisonseul est responsable. Elle participe quelques mois plus tard à l'exposition Peintres algériens organisée pour les Fêtes du 1er novembre et préfacée anonymement par Jean Sénac. Trois de ses gouaches, l'une de 1948 appartenant au musée d'Alger et deux autres, nouvelles, datées de 1963, sont présentées en avril 1964 à l'exposition Peintres algériens, préfacée par Edmond Michelet et Mourad Bourboune, au Musée des arts décoratifs de Paris et, en avril-mai, deux autres, de 1964 à l'exposition inaugurale de la Galerie 54, fondée et dirigée par Jean Sénac. La première exposition personnelle (Vingt peintures récentes) de Baya à Alger après l'indépendance de l'Algérie est présentée par Edmond Charlot à la galerie Rivages en mars 1966.
Denis Martinez et Choukri Mesli l'invitent à partir de 1967, sur la proposition de Jean Sénac, à participer aux expositions du groupe Aouchem qu'ils ont fondé, en mars à Alger et juin à Blida. Le Centre culturel français d'Alger, en 1967, octobre 1969 et 1976, la galerie de l'Union nationale des arts plastiques (UNAP) en 1970, 1971, 1973 et 1974, puis, en 1977, la galerie Racim qui lui a succédé, organisent régulièrement à Alger de nouvelles expositions personnelles tandis que des œuvres de Baya sont présentées dans de nombreuses expositions collectives. En 1972 Baya effectue avec son mari un pèlerinage à La Mecque33. Elle perd ses premiers soutiens : en 1973 Sénac est assassiné, en 1975 Jean de Maisonseul quitte à sa retraite Alger pour Cuers.
Baya expose en 1977 à la Maison de la culture de Tizi Ouzou, en 1978 au Centre culturel français d'Annaba, en 1979, 1980 et 1982 au Centre culturel français d'Alger. Elle se rend en 1979 et, après les débuts d'une grave maladie, en 1982 en Tunisie à l'invitation de Rachid Koraichi. Après la mort de son mari en juillet 1979 elle se consacre entièrement à ses gouaches « pour satisfaire son besoin de créer et beaucoup pour élever dignement ses enfants auxquels elle est profondément attachée et qu'elle aidera toute sa vie ». En 1980 Marguerite Caminat pour Baya récupère 57 céramiques des années 1940 abandonnées dans l'atelier Madoura de Vallauris..
1983-1998 - Consécration internationale
À partir des années 1980 Baya est placée, avec Aksouh, Benanteur, Guermaz, Issiakhem, Bel Bahar, Khadda et Mesli, parmi les artistes de la « génération de 1930 » (tous ces peintres étant nés autour de cette année) qui, après les précurseurs des années 1920, ont été les fondateurs de l'art pictural algérien moderne.
Une première exposition rétrospective hors d'Algérie de ses œuvres est organisée à Marseille en novembre 1982 au musée Cantini, préfacée par Gaston Deferre et Jean de Maisonseul. Le président François Mitterrand et le ministre de la culture Jack Lang assistent à son vernissage. Baya, venue de Blida, rend visite à cette occasion à Marguerite Caminat qui depuis sa retraite habite à Cuers près de Mireille et Jean de Maisonseul, juqu'à sa mort en 1989. Le Centre culturel français d'Alger et le Centre culturel algérien de Paris l'exposent en 1984 en sa présence, le Centre culturel français d'Oran et la galerie de l'Aurassi d'Alger en 1985.
À Paris au musée national des Arts d'Afrique et d'Océanie puis à la Vieille Charité Marseille Lucette Albaret, qui anime l'ADEIAO et, proche de Baya, rédige plusieurs de ses biographies, présente ses œuvres une première fois en 1987 lors d'une exposition collective (Algérie, Expressions multiples (Baya, Issiakhem, Khadda). Baya participe par ailleurs à plusieurs expositions collectives en Europe, Contemporary Art from the Islamic World à Londres, Signes et désert en 1889 à Bruxelles où elle se déplace avec Arezki Larbi, Denis Martinez et Choukri Mesli, et aux États-Unis, Forces of Change. Artists of the Arabic World en 1994 à Washington. En 1991 deux expositions de ses gouaches sont organisées à Paris, en mai à la galerie Maeght (œuvres de 1947_1950), en septembre par Lucette Albaret à la galerie Maître Albert et un Hommage à Baya a lieu au Musée national des Beaux-Arts d'Alger. Une exposition itinérante est présentée d'avril 1994 à janvier 1995 dans les centres culturels français du Maroc (Rabat, Marrakech, Meknès et Tétouan). En janvier 1998 une exposition des gouaches de Baya a lieu à la galerie Maeght et plusieurs de ses œuvres figurent en septembre dans l'exposition Peintres du Signe à la Fête de l'Humanité où elle se rend. Avant même la fin de la Décennie noire Baya, qui n'a pas accepté de quitter, la région devenue dangereuse, sa maison et son jardin, avenue Ahmed-Megherbi, meurt à Blida le 9 novembre 1998.
Après la mort de Baya
De nombreuses expositions sont présentées en Algérie (Oran, galerie M en 1993 ; Musée national Zabana d'Oran, 1998 ; Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 1998 et 2007 ; Hydra, galerie Sonatrach, 2006), aux Émirats arabes unis (Charjah, 2021), en France (Rungis, 1998 ; Tarascon et Clermont-Ferrand, 1999 ; Paris, ADEIAO, 2000 ; Laval, 2001 ; Arles, musée Réattu, 2003 ; Saint-Hilaire-de-Riez, 2007 ; Vallauris, Musée de la céramique, 2013 ; Paris, Institut du monde arabe, 202238), aux États-Unis (New York, 2019).
L'œuvre
Dans ses gouaches, autour du rose indien, du bleu turquoise, des émeraudes et violets profonds, un trait épuré, en marge de toute géométrie figée, vient cerner sans hésitation ni repentir les silhouettes et les coiffes de « Hautes Dames », figures de la Mère énigmatique, les motifs qui recouvrent leurs robes, ceintures et foulards. Dans des compositions qui ne cessent de jouer sur de fausses symétries, l'image se referme rigoureusement, à travers l'équilibre des espaces et des tons, le dialogue sans fin des arabesques, sur un espace autonome, résolument irréalisé. Baya construit un univers clos, exclusivement féminin, tout à la fois reclus et souverain.
Les objets qui entourent ces « Dames » se détachent, sans nulle ombre, disposés les uns au-dessus des autres sur les différents registres d'un unique plan dans une vision qui refuse toute perspective illusionniste. Dès les premières gouaches de Baya apparaissent vases et cruches, bouquets et fruits. Deux décennies plus tard compotiers et coupes, au-delà des pastèques et raisins, débordent d'une multitude de fruits et poissons indistincts. Posées sur tables ou étagères, lampes et lanternes les accompagnent, et de nombreux instruments de musique, violes et violons, cythares et mandores, luths, lyres et harpes.
Quand ses gouaches s'aventurent hors de l'intimité des intérieurs, émergent des îles, cernées de poissons, peuplées de huttes serrées les unes contre les autres et d'arbres où veillent de nombreux oiseaux. L'exubérance de la forme et l'intensité de la couleur y font remonter, notait le romancier Jean Pélégri « à un temps antérieur à l'apparition de l'homme, où les choses et les créatures étaient encore incertaines et encore mêlées, où les arbres poussaient sous les eaux, où les poissons, avant de parvenir à leur état, habitaient les racines des plantes et montaient dans leurs tiges ».
Réceptions
« Je parle, non comme tant d'autres pour déplorer une fin mais pour promouvoir un début et sur ce début Baya est reine. Le début d'un âge d'émancipation et de concorde, en rupture radicale avec le précédent et dont un des principaux leviers soit pour l'homme l'imprégnation systématique, toujours plus grande, de la nature.(…) Baya dont la mission est de recharger de sens ces beaux mots nostalgiques :'l'Arabie heureuse'. Baya, qui tient et ranime le rameau d'or. »
André Breton, dans Baya, Derrière le Miroir, Galerie Maeght, Paris, novembre 1947
« Baya est la sœur de Schéhérazade. Schéhérazade, la tisserande des mots qui éloignent la mort. Schéhérazade, cette autre femme qui fabule pour compenser sa réclusion. Nous voici donc dans le conte, avec ses univers merveilleux (titre d’une œuvre de 1968). Baya abroge les formes, les classifications et les dimensions : l’oiseau s’étire et devient serpent, arbres et cahutes poussent de guingois, les vases se ramifient, deviennent arborescents comme des queues ou des huppes d’oiseaux. Dans cette sorte de village des origines où cases, arbres et oiseaux sont emmêlés, les paysages et objets baignent dans l’informulé et la liberté du monde placentaire. Aucun centre de gravité n’est admis. Tout l’effort de l’artiste est tendu vers la recherche d’une sorte d’harmonie prénatale que la découverte du monde normé, balisé, anguleux nous a fait perdre ».
Tahar Djaout, Schéhérazade aux oiseaux, dans Algérie-Actualité no 1146, Alger, 1er -7 octobre 1987
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Mars 2024
Livres
❤️🩹 Cleopatra and Frankenstein, Coco Mellors C'est un peu long à démarrer mais la fin est incroyable, j'ai beaucoup pleuré. C'est un livre rempli de personnages remplis de défauts mais auxquels on est tout de même attaché. J'adore lire des histoires sur des gens qui font des mauvaises choses mais qui ne sont pas pour autant des méchants, ça m'aide à me rappeler que dans la vie, tout n'est pas blanc ou noir. C'est une notion sur laquelle je travaille beaucoup en thérapie.
🌹 Minuscule folle sauvage, Pauline de Tarragon J'adore ce genre de BD, c'est adorable et je ne peux pas m'empêcher de me reconnaitre dans toutes les réflexions qui y sont faites.
🌱 Le merveilleux royaume des humains, Tarmasz et Chariospirale J'ai participé au financement participatif du livres parce que j'aime beaucoup le travail des deux artistes. Et bien je ne suis pas déçue, les couleurs de la BD sont incroyable, super vives, ça ressemble beaucoup à de l'impression en risographie je trouve. J'adore.
🚬 Ernestine, Salomé Lahoche Le contraste entre les couleurs vives, les dessins tout mignon et l'humour noir est parfait. 5/5, ça me ferait presque apprécier les enfants.
🌊 Il y a longtemps que je t'aime, Marie Spénale Quand j'ai vu que Marie Spénale avait sorti une nouvelle BD, j'ai couru vers la librairie la plus proche pour l'acheter. Rien que pour la couverture ça vaut le coup, ce rose la pouah incroyable. Je pourrais passer des heures à juste regarder la composition des cases. L'histoire est très belle et poétique, j'ai vraiment adoré.
Films
🛩️ Upgraded, Carlson Young (2024) Les comédies de mensonges … 🥱😴
🍷 La disparition de Michel Houellebecq, Guillaume Nicloux (2014) 💢 Dans Michel Houellbecq, on entends "hell" deux fois et je pense que ça représente très bien le film.
🍄 Dans la peau de Blanche Houellebecq, Guillaume Nicloux (2024) 🍿 Franchement ça m'a souvent dégouté, mais il y a quand même quelques blagues qui m'ont fait rire donc je dois le signaler.
Séries
👓 Saiki Kusuo no Ψ Nan S01⏳ Ça fait super logntemps que je voulais regarder cet animé et puis la je suis tombée sur un tiktok qui en parlait alors ça me l'a rappelé. Comme je n'avais pas grand chose à regarder et que c'est disponible sur Netflix, c'était vraiment parfait. Et ben je suis fan, l'humour me fait pas mal penser à Nichijou par moment (qui est mon animé préféré de tous les temps probablement) donc à voir si ça ne s'essouffle pas avec le temps comme il y a 3 saisons. Mais pour l'instant, je rigole devant chaque épisode.
🏝️ Lost S03 ⏳
Jeux vidéo
🦄 Unicorn Overlord ⏳ Le dernier VanillaWare est sorti ! Je l'attends depuis longtemps et encore plus depuis que je me suis décidée à faire tous les jeux de ce studio. Pour l'instant, c'est un mix entre Fire Emblem (le côté tactique des combats et l'évolution des personnages), Final Fantasy IX (pour la quêtes des mineurs qui me fait beaucoup penser aux chocographes) et euh ben c'est tout ce qui me vient. C'est super beaucoup, les persos sont beaucoup trop stylés (Aramis ❤) et il y a un perso qui s'appelle Miriam donc que demande le peuple en fait (je m'appelle Myriam).
🎀 Princess Peach Showtime Enfin un nouveau jeu avec Peach en héroïne. Je l'attendais depuis sa présentation dans un Nintendo Direct. Le jeu est super mignon, les costumes sont vraiment chouettes mais après en terme de difficulté, c'est très tranquille (ce qui moi me va parfaitement). La j'ai "fini" le jeu mais il y a tout un post game qui s'est débloqué donc je suis a peu près à la moitié vu qu'il faut repasser dans tous les niveaux. Pas sûre de tout finir cela dit.
Musique
🟣 Guts (spilled) 💖 La version Deluxe de l'album Guts est enfin sorti ce qui veut dire que je vais enfin avoir accès à la poste "obsessed" sur Spotify ! Pour le coup, je suis "obsessed" depuis que je l'ai entendu au hasard à la fin du vinyle que j'ai acheté. Je crois que le fait de tomber sur une piste caché ajoute beaucoup. Pour l'instant je n'ai pas encore trop écouté les autres chansons.
Sorties culturelles
🎭 Richard III, La Sorbonne R m'a proposé de l'accompagner voir la pièce Richard III à la Sorbonne. Il y avait le choix entre deux performances : une version avec que des acteurs hommes et une autre avec que des femmes. On a choisi la version féminine mais ce qu'on ne savait pas, c'est que c'était joué entièrement en ancien français. J'ai du comprendre 1/8 de la pièce, j'ai du regarder le synopsis sur mon téléphone pendant la représentation pour capter un peu ce qui se passait un minimum. Les actrices étaient vraiment trop mignonne, ça m'a rappelé qu'un jour, je voudrais vraiment voir une représentation de la troupe du Takarazuka ! (et si possible la Rose de Versailles)
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💖 : Favoris | 💢 : Flop | ⏳ : En cours | 🔁 : Revisité | 🏆 : 100% | 🍿 : Cinéma
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LECTURES DE 2024 : Randy Shilts et la fake news du patient zéro - Clément Xavier & Héloïse Chochois
Lecture terminée le 15 octobre 2024 (102/100)
- Mais enfin, pauvre pêcheur, la Gay Prise est sacrée, un moment de communion où les homosexuels doivent être solidaires les uns des autres. Ta place est dans la rue, parmi nous, pas dans ton journal de réactionnaires. - Notre place doit être partout, justement. - Travaille au moins pour la presse gay comme the Avocate ou Village Voice. Ce n'est pas ce qui manque à San Francisco. - Je ne veux pas prêcher que les convertis, je veux m'adresser à tout le monde. Et je suis sûr qu'ils sont moins réacs qu'il n'y paraît, au Chronicle. - Hé ben, si on n'est pas assez bien pour toi... débrouille-toi tout seul. Judas!
Ma 102ème lecture de l'année a été la bande-dessinée "Randy Shilts et la fake news du patient zéro" écrite par Clément Xavier et dessinée par Hélo��se Chochois.
Résumé : 1981. Tout juste embauché au San Francisco Chronicles, Randy Shilts reçoit l'appel d'un homme affirmant être atteint d'une maladie rare et improbable, et quand il commence à se renseigner sur cette histoire, il découvre que cette maladie ne semble atteindre que les personnes homosexuelles et, malgré tous ses efforts pour prévenir la population sur cette pandémie, absolement tout le monde refuse d'aborder le sujet. Ainsi, peut-être que ça seule solution est de déformer la réalité pour être enfin entendu.
CW/TW: mention de religion, homophobie, maladie, SIDA, prison, hôpital, maladie, mention de morts, fake news, violences physiques...
J'ai trouvé cette BD par hasard, la couverture m'ayant attiré, et le résumé également, alors je n'ai pas réfléchi et je l'ai prise!
Je l'ai lue dès que je suis rentré chez moi, et elle était vraiment chouette! :) Cette BD est une biographie, celle de Randy Shilts (ce qui semble évident vu que c'est le titre de la BD, mais voilà), qui est le journaliste qui a manipulé la vérité autour du SIDA pour tenter d'alerter le plus de monde possible sur le sujet pour empêcher les morts de se multiplier. Ce faisant, il a répandu une fake news énorme qui a été terrible pour les personnes homosexuelles dans les années 80 - il est notamment à l'origine de la fake news du patient zéro. Plus tard dans sa vie, il a cherché à corriger ses torts et à rétablir la vérité.
Bref, cette biographie était très intéressante! Je ne sais pas à quel point elle est fidèle et à quel point des libertés ont été prises, car c'est la première fois que j'entends parler de lui, mais ça m'a donné envie d'en savoir plus sur cet homme! (bon, malheureusement, il n'y a qu'une seule de ses œuvres qui a été traduite et pas celle qui m'intéresse sur sa volonté de rétablir la vérité sur le SIDA alors je devrais la trouver en anglais)
Je recommande cette BD. C'est très intéressant d'en savoir plus sur cet homme et cette époque.
#pal#livres#lectures de 2024#Randy Shilts et la fake news du patient zéro#Clément Xavier#Héloïse Chochois
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Dreamed of the Wonder Woman movie (I swear, it officially was it) but while not remembering anything and halfway through the characters switched to Leverage characters
I met the first guy, the Colonel, first. He was played by David Harbour, idk either. I immediately forgot his name. I was in the passenger seat of his car when we trailed a train full of prisoners. But at the same time we had to go past it and warn Les états généraux if what was going on. But each time I thought "okay this time on peut les dépasser", something came up on the opposite side of the tracks.
Halfway through we had somehow gotten past them but I have no idea how. Le temps était pourri de chez pourri, un bel orage. Sur la route il y avait des groupes de sangliers et des bisons. J'ai pensé "??? Il y a des bisons en Angleterre ??" mais je l'ai pas dit tout haut pcq ben ça aurait fait con. Donc on arrive à la ville, on lâche la voiture viteuf et on se précipite. Je lui demande "Tu sais où c'est, les états généraux" et il dit "fuck, je me souviens plus" et là il y a un gars assis à la terrasse, en train de boire une bière qui se lève et nous dit qu'on a pas le droit de se garer là. Je demande pour combien on peut se garer là. Il me donne un prix exorbitant. Je lui ris au nez et on fait demi-tour. Mais on abandonne là la voiture pcq on a vu dans la foule Peters et l'autre meuf, alors la situation est encore plus urgente que l'on pensait.
On essaie de les garder à l'œil mais c'est pas facile dans la foule, surtout qu'on avait aussi aperçu Diana et son mec qui s'appelait aussi Peters dans cette version, me demandez pas pourquoi. Donc le colonel me dit qu'il faut trouver la cible dans la foule et je lui demande "euh, la cible, c'est les gentils ou les méchants ?" et il se tourne vers moi, vachement vénère, rouge de colère et tout, "LES DEUX !!" et moi je fais "okay c'est bon..." et bref je vois les gentils ! Woo ! Je fais signe au colonel alors on s'approche en douce mais pas trop, tout en cherchant les allemands dans la foule. Là dessus, une voix (clairement allemande) appelle "Peters !" et notre Peters répond "Oui ?" en même temps que le méchant, qui était vraiment juste à côté. Pcq ce con s'était aussi approché des méchants. Et genre. Juste à côté. Et pas fichu de se dire que la voix allemande ne lui parlait pas. Bref, avec le colonel on s'éloigne, et je vois deux silhouettes proches de Peter's qui reculent aussi.
Je les approche (c'est Sophie et Parker de Leverage) et je dis en gros on a le même but et on va les aider à récupérer Peters à la condition qu'ils nous fassent entrer dans les états généraux. Elles me disent okay et là dessus une meuf débarque et fait "moi aussi je veux aider !" et je soupire pcq je la reconnais et qu'elle fait chier mais elle est digne de confiance, alors je fais bon okay. Et sur ce on se trouve une petit table dans une brasserie. Et là c'est moi qui doit présenter tout le monde. Et je me goure monstrueusement à chaque fois. La meuf qui vient de nous rejoindre ? Cookie. Sophie ? Cocktail. Parker? J'avais son nom mais elle réclame une sauce aussi alors je dis "euuuh, Mayo?" et elle est contente. Et c'est un gros bordel et Sophie débat si elle achète un sac ou non, et elle finit par dire "de toute façon, si je ne me décide pas, c'est gratuit" et je suis en mode "euuuh vous étiez pas réformées ?" mais je dis rien pcq c'est pas mes oignons. Sophie décide que le sac va bien avec ses sandales hautes et décide de l'acheter (elle ne le paye à aucun moment) et Parker a besoin d'un sac pour mettre des oranges, jsp, donc elle en prend un aussi, sans le payer plus que Sophie.
Quand on sort, il neige et il y a plein de traîneaux de père Noël avec des fois des bébés chelous dedans, genre il y en avait un avec un bébé qui avait des cheveux thuya, et les sourcils et tout. Vraiment glauque. On avance, on avance, et je dois répéter les noms des gens à Cookie et je me goure à chaque fois et puis au final je me réveille.
Pour les stats: pas de genre discernable, jsp le nom
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Chapitre 2: L'intégration
J'ai raccompagné Castiel jusqu'à la porte et on s'est dit au revoir. Ouf, quelle journée , vraiment. J'engloutis des pâtes en vitesse avant d'aller me coucher. Vraiment, c'étais une grosse journée. Démone est montée sur le lit pour dormir en boule à côté de moi. Je me suis endormi en passant à la journée d'aujourd'hui.
PDV Jane
DRING! DRING!
Jane:ta g*ule *appuie sur snooze*
DRING! DRING!
Jane: Ah , c'est pas vrai *appuie encore*
DRING! DRING!DRING! DRING!
Jane:grrrr*le débranche*
DRING! DRING!DRING! DRING!DRING! DRING!
Jane: Quoi? C'est quoi ça? Je l'ai débranché. Alors, si c'est à ça que tu veux jouer.... PDV Castiel J'étais arrivé devant la maison d'la gamine. Ça faisait une éternité que je sonnais sans réponse. Si ça se trouve, elle doit déjà être partie. Et là, je vis un réveil tombé de la fenêtre et attertir à côté de moi. Nan.... mais elle est folle. Je continuai à sonner. PDV Jane Jane: Ca t'apprendras à vouloir jouer à ca avec moi
DRING!
Jane: o.o , c'étais pas le reveil c'était la porte. rooohhh, fais ch*er! Qu'est-ce que vous voulez? Il faut jamais me demander de réfléchir le matin. Je dégringolai les escaliers pour aller ouvrir la porte. Quel crétin peut sonner à une heure pareil?
Jane:*ouvre la porte et surprise* Castiel?! Cast: le seul et unique Jane: Qu'est-ce que tu fous ici? Cast: ben...j'apporte les trucs pour ta chienne Jane: ah, c'est vrai...t'aurais pu passer plus tard, non? Cast: nope...et vu comment tu m'accueilles, j'ai bien fait de passer *sourire pervers* Jane:hein?
J'ai mis un peu de temps pour comprendre ce qu'il voulais dire pas la. Et puis...merde... J'étais habillé en soutien gorge et avec un TRÈS mini short. Faut dire qu'il faisait chaud cette nuit, alors. Je rougis instantanément.
Cast: Quel accueil parfait pour un dieu comme moi Jane: tais-toi. Bon entre, je reviens.
Je courus au premier pour me préparer. Aujourd'hui, je mis un un chandail à spaghetti noir et mauve avec une jupe carreautée noire. Je portai des talons et était maquillé légèrement.
Jane: chuis prête Castiel:ben..on y va J'ai fermé la porte et commencé à marcher quand Castiel m'interpella.
Jane: quoi? Castiel: euh...j'suis pas à pied Je me suis retournée pour lui faire face. Jane: T'es en quoi, en bicyclette,je présume? Cast: non...en moto. J'admirais la moto que Castiel me pointai. Elle était rouge et noir. Wow!
Cast: tiens, un casque. Jane: ok...*met le casque* Castiel a embarqué sur sa moto et je me suis assise derrière lui. Nous sommes arrivée au lycée en 5 minutes. Castiel a garé sa moto, puis nous sommes partis en direction de nos amis. Pendant qu'on se dirigeait vers l'arbre pour aller voir nos amis, je sentais le regard noir de certaines filles sur moi. C'est quoi leur problème, j'ai rien fait!
Jane: Salut Rosa: Salut, vous deux. Depuis quand vous arriver en même temps? Cast: Depuis que je suis allé là chercher ce matin Jane: Bon il faut qu'on aille en classe, là On avait français avec Mme Fourleau. Elle me faisait bien rire, elle étais tellement désordonnée La fin de l'avant-midi approchai.
Prof: Bon, dans quelques cours vous devez faire un poème et vous allez le réciter devant la classe. ???: Est-ce que le sujet est aux choix? Prof: oui, mais il y a des limite, hein Bon il manquait plus que ça: un poème et un oral. Pfffff! Bon, vu que l'avant-midi est fini, on peut aller diner. Comme d'habitude, Rosa nous parlait de tout et de rien
Rosa: Dites les filles, on pourrait aller magasiner demain Iris: Je peux pas, j'ai du retard à rattraper Mélodie: J'ai de la paperasse à régler avec Nathaniel Violette: je peux pas..désolé Rosa: oh ok, et toi Jane? Jane: ben...ça me dérange pas, là Rosa: cool, \^.^/, demain à 13h devant la crèmerie Jane: Ok noté Après le diner , on était en math et j'étais assi à côté de Castiel.
Cast: *en assoyant* ça va, gamine Jane: ouais, ca peut aller et toi Cast: correct, pour l'instant La prof de math n'arrêtait pas de me fusiller avec un regard noir. Faut dire, qu'elle a pas oublier pour hier. Elle cherchait un moyen de m'humilier à tout prix
Prof:Mlle Fletcher, redressez-vous sinon vous finirez par vous endormir Avant que je puisse lui en placer une, la directrice a fait irruption dans la classe. Ils sont où mes lunettes ''anti-rose'' quand on en a besoin.
Dirlo: Bonjour, les élèves. Je viens vous parler d'un événement spécial. On approche à grand pas de la fin du mois. Alors, le comité a décidé d'organiser un bal de la rentrée. Participation obligatoire pour tout le monde sous peine de 10 jours de colle. Un bal? bof...moi et les bals
Dirlo: Vous devez vous trouver un cavalier ou une cavalière. Il y aura aussi l'élection du roi et de la reine du bal. Ah la galère. Faut que je trouve un cavalier. Et qui j'vais inviter j'connais à peu près personne. Ah oui, je peux demander à Natha-machin. Je suis sûre que ça lui dérangerait pas et puis...
Cast:*coupe mes pensées*toi, t'y vas avec qui? Jane: En quoi ça te concerne, piment rouge? Cast: La vache, ta vraiment un sale charactère Jan: Regarde qui parle Cast: pff, donc tu répond? Jane: Oui, j'y vais avec nath, nath, Nathaniel, c'est çà! Cast: ah Jane: En quoi, il y a un probème? Cast: non, rien Je pris mon cell pour regarder l'heure, vu qu'il n'y avait pas d'horloge dans ce local. Bon, un cours et c'est finit. PDV Castiel J'allais lui demander , mais elle y va déjà avec l'autre conn*rd. pfff...qu'est qu'il a de plus que moi? Bon, c'est pas grave, c'est pas les nanas qui manquent *plus tard* PDV Jane Je finnissais avec le cour d'Histoire. Quand la cloche a sonné, Castiel n'était pas là. Peut-être qu'il voulait sécher? PDV Castiel J'étais parti sur le toit, je voulais plus aller en cours. Cette file, elle me perturbe vraiment. Au même moment, j'ai senti quelque chose vibrer dans ma poche.Ttiens, c'est le portable de Jane. Qu'est qui fout là? C'est un messge de sa mère
De:Maman
À: Jane
Salut, ma chérie. Je t'écrivais juste pour te demander, si tu vas bien. De mon côté, ça gallère donc ca se peut que ça prendra plus de 6 mois, ce voyage. Je te laisse.
bisou,bisou
Maman
Hein? Sa mère est en voyage d'affaire. Pendant 6 mois, voilà pourquoi ses parents étaient pas là? Et son père? Bon, faudrait que je lui rende..... Ou...bien...bien j'attend qu'elle se rende compte qu,elle l'a perdu. Bon, je me casse. PDV Jane Les cours étaient finis, j'ai pris mon stock pour mes devoirs et me suis dirigée vers la cour. Castiel est toujours pas là. Il se comporte différemment depuis tout à l'heure. Je vais demander à Lysandre, peut-être qu'il sait quelque chose. Tiens, le voilà.
Jane: Et Lysandre!
Il ne m'a pas attendu, alors je me suis mise à courir vers lui
Jane:Lys! Lys: oui Jane: J'peux te poser une question Lys: oui Jane: c'est à propos de castiel Lys: plait-il? Jane: Euh...voila, est-ce que tu sais pourquoi Cast est parti Lys:il m'a dit qu'il se sentait pas bien jane:ah, est-ce que j'aurais fait quelque chose de mal? Parce qu'il m'évite depuis l'après-midi. Lys: Cela ne me regarde pas, mais peut-etre que tu devrais lui demander en personne. Jane: ouais, j'avoue Bref, ça veut dire que je rentre à pied aujourd'hui. Je suis retournée à la maison. C'étais vendredi enfin! Demain, je vais maganiser avec Rosa. Tiens, le téléphone sonne. (conversation téléphonique) Jane:allô ???: allô, c'est Rosa, pourquoi tu réponds pas? Jane:hein? Rosa: oui, sa fait plus de une heure que jt'appelle sur ton portable Jane:... Rosa: alors Jane:euh..jte rappelle, ok? Rosa: ouais, si tu veux Où est-ce que j'ai foutu ce portable? Après dix minutes de recherche , j'ai abandonné. Peut-être que je devrais l'appeler ainsi je saurai où est-ce qu'il est? Ça sonnait au téléphone, mais nulle part dans la maison, bizarre, et puis quelqu'un décrocha.
???: Allô, je me demandai combien de temps t'allais prendre pour t'en rendre compte. Jane: Castiel? Cast: Ou ton dieu si tu préfère Jane: non je préfère pas et qu'est que tu fous avec mon portable? Cast: euh, tu la laisser traîner et je l'ai ramassé jane: bon, tu comptes me le rendre quand? Cast: Qui a parlé de te le rendre Jane: castiel... Cast:*raccroche* Non mais, quel effronté ce mec. Si c'est comme ça, moi j'vais aller chez lui. Mais, j'connais pas son adresse. Ah, j'vais appeler Lysandre.
Jane: Allô, Lys Lys: oui Jane:tu peux me donner l'adresse de Cast Lysandre: pourquoi? Jane: je voudrais aller récupérer quelque chose Lys: ok, attend , jte la donne Je notai l'adresse sur un bout de papier. J'enfilai un chandail et attacha un pull à ma taille, il va faire froid ce soir. Pas très féminin, amis au diable la féminité quand il s'agit aller chercher mon cellulaire.
J'arrivai devant chez Castiel en moins de cinq minutes. Qui sait ce qu'il peux faire avec mon portable? Faut dire qu'il habite pas loin. J'ai sonné...
Cast: oh...gamine, t'es là en quel honneur Jane: rends-le-moi Cast: De quoi tu parle Jane: De mon portable Cast: Ça je sais pas, je l'ai pas Je suis rentré en le poussant et me suis dirigée vers sa chambre. Elle était assez classique. Je me suis mis à fouiner dans ses tiroirs
Cast: Oh la, qu'est que tu fais Jane: Je cherche mon cell J'ai vu que j'avais commencé à l'énerver, tant mieux.
Cast: Cherche ou tu veux tu le trouvera pas
Il avait raison. Pendant que je continuai à le chercher, un sourire moqueur se dessina sur son visage. Rah...il m'énerve!
jane:Il est où Cast:... jane: Bon...qu'est-ce tu veux? Cast: euh...un bisou Jane: Cours toujours Cast: bon , j'en connais une qui va chercher longtemps Jane:*soupir* Cast: alors? Jane: rah...tu m'énerve, ok. il s'approcha de moi tandis que je reculais vers le mur. La je pouvais pas y échapper. Nos lèvres se touchèrent. les siennes étaient douces et avait un goût légèrement fruité.
Jane: *rougit et regarde, ailleurs* mon portable Cast:* rouge aussi* T-tiens le voilà.
Il sortait mon portable de sa poche. Rah...j'aurais dû m'en douter, quel cruche je suis.
Jane:*invente une excuse* Bon, je dois y aller ma mère doit m'attendre à la maison Castiel: Ca m'étonnerait qu'elle puisse t'attendre Jane:quoi? Castiel: ben... elle en voyage d'affaire, non? jane: oui et comment tu sais sais ca? Castiel: ben... tu as reçu un texto de sa part, et je l'ai lu Quoi? Il a tripoté mon portable! Grrrrr! J'en reviens pas. Gardons son calme.
Jane:Ta quoi? ah, pis laisse faire. ok, j'y vais
Je cherchai mes clés dans mes poches, mais les ne les trouvais pas.
jane: Et merde Castiel: quoi? Jane: j'ai laissé mes clés à la maison. Castiel: et alors Jane: chez moi, la porte se ferme automatiquement, alors... Cast: bon..alors t'as qu'a squoitter chez moi. jane: hein? Cast: ben...à moins que tu veuilles geler dehors jane: ok..c'est bon Un malaise s'installat. Après deux minutes, Castiel a rompu le silence.
Cast: ta faim jane: euh..oui Cast: pizza Jane: oui! Après une attente interminable, la pizza arriva. On a mangé.
Jane: on regarde un film Castiel: ouais, mais je choisi Jane:pourquoi? Castiel: parce que de un :tu skoite chez moi et de deux: j'ai pas envie de me taper un film genre Twilight. jane:....ok*boude* Castiel: J'ai Scream 4 à moins que ta peur des films d'horreur jane:pfff...moi non!(OUI!!!) Castiel: Si tu le dis Castiel a mis le DVD. On a écouté le film. Sans m'en rendre compte je me suis réfugiée dans son chandail, pendant les scènes de peur. À la finf du film Castiel semblait tout rouge
Jane: Ça va Cast: oui Puis, je remarqua que j'étais toujours collée contre lui et agripper à ses bras. Je le lâcha et me sentis un peu gêné.
Jane.oh là là Cast: quoi? Jane: c'est vraiment j'ai pas mon pyjama Castiel: ben...c'est pas grave, tu peux toujours dormir en soutif *sourire pervers* jane: ah,non! Castiel: Je te niaise *part et reviens* tiens un t-shirt Jane:merci Castiel: J'ai pas de pantalon à ta taille donc... Jane: Ça va. Ta une couverture et un oreiller supplémentaire Castiel: Pourquoi? Jane: ben...je dors sur le canapé Cast: Non , tu peux dormir avec moi jane: non, ca va Je m'installa sur le canapé. Castiel, dans la chambre. Pourtant, je n'arrivais pas à dormir à cause du film d'horreur. Je me suis dirigé vers la chambre
Jane: Cast, je te dérange? Castiel:beh...oui je dormai, qu'est-ce que tu veux? Jane: Ton film, il m'a traumatisé, je peux dormir avec toi? Cast: Tu deviens raisonnable Jane:... Castiel: Viens, t'inquiète, je te ferais rien...du moins pas tant que tu sera pas endormi *souris pervers* de Castiel
Jane: Crétin
Je me suis allongé dans son lit. J'étais encore perturbé donc je bougeait beaucoup. Castiel, m'a alors pris dans ses bras pour que j'arrête de bouger. Quelque minutes plus tard, j'étais endormis dans ses bras. ------------------------------------------------------------------------------ J'espère que ça vous a plus. J'veux vos commentaires!
#story#as fanfic#mcl fanfic#castiel amour sucre#mycandylove#fanfic#mcl fanart#my candy love#amour sucre
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J'ai pas un gros diplôme : c'est grave ?
Moi, Grompf, je n'ai pas un gros diplôme. Je n'ai pas non plus écrit d'articles scientifiques dans des revues à comité de lecture.
C'est grave ?
Ça dépend.
Imaginons que quelqu'un vienne vous dire que Grompf n'a pas de doctorat ou qu'il n'a pas de travaux de recherche à son actif. Ben... Ça risque de vous en toucher une sans faire bouger l'autre (pardon mesdames).
Peut-être même que certains ou certaines d'entre vous vont répliquer un truc du genre : "Mec, si tu veux critiquer Grompf, pourquoi tu cherches pas à argumenter sur le fond de ses propos ?"
Mais imaginons que, moi Grompf, je me mette à raconter que je suis titulaires de tel diplôme ou que je suis chercheur...
Là, c'est un autre cas de figure, non ?
Dans ces conditions, si quelqu'un vient vous dire que Grompf n'a pas de doctorat ou qu'il n'a pas de travaux de recherche à son actif, ben... Ça risque de vous perturber. Ça risque d'entamer la confiance que vous avez en mes propos.
Parce que si je vous raconte que j'ai tel diplôme, que j'ai accompli tel travail... Et bien ce sont des propos que je vous tiens, et c'est moi qui prend la responsabilité d'en faire un sujet de discussion. Et si vous, vous en parlez, vous êtes en train de parler du fond de mon propos.
En plus, s'il s'avère que je vous ai raconté du pipeau à ce sujet, vous allez vous dire que je vous ai peut-être raconté du pipeau sur pas mal d'autres sujets.
Vous voyez.
Et je rajoute encore une couche. Poussons un peu plus loin le cas de figure.
Imaginons que, moi, Grompf je me mette à raconter que je suis titulaires d'un doctorat, que je suis chercheur, que j'ai des publications scientifiques à mon actif, des trucs du genre... Et qu'en plus je m'en serve plus ou moins systématiquement comme argument quand je cause de certains sujets.
Imaginons que j'y aille à fond à ce petit jeu.
Imaginons que non seulement je vous ai pipeauté sur mon CV, que non seulement je m'en serve comme argument... Mais qu'en plus je vous jette mon CV à le gueule pour vous dénigrer si vous osez me contredire sur le fond de mes propos.
Ben, ouais, avec un parcours comme le mien, si vous, là, vous vous permettez de venir me contredire, c'est forcément que vous êtes jaloux, ou mal intentionné, ou un truc du genre. Non ?
Ouais, je sais. Ça paraît vachement gonflé. Mais imaginons que je sois assez gonflé pour jouer à ça.
Vous avez pigé.
La question de mon CV, c'est important selon le contexte.
Et oui, si je vous ai menti sur mon CV, et bien oui, c'est un problème (Je vous propose de laisser de côté ici les théories à la con selon lesquelles la vérité et le mensonge, c'est des concepts plus ou moins dépassés, concepts auxquels ont doit pas trop accorder d'attention).
Et ce mensonge, ça serait encore plus un problème si mon CV je l'ai balancé à la gueule de mes contradicteurs, en les faisant passer pour des cons ou pour les méchants de service.
Forcément, vu l'actualité, vous pensez au cas Aberkane. Et c'est un cas typique.
Si vous critiquez le fond du discours, on va invoquer son parcours prestigieux et vous reprocher de vous croire plus compétent que lui.
Si vous remettez en doute son parcours prestigieux, on va vous reprocher de ne pas parler du fond du discours.
Et si vous critiquez le fond du discours tout en remettant en doute son parcours prestigieux, on va vous accuser d'acharnement.
Et tout ça ne concerne pas qu'Aberkane, le cas de figure est fréquent.
J'avais été très frappé à l'époque par le cas de Jean-Dominique Michel, qui racontait n'importe quoi en se présentant comme un des plus grands experts mondiaux en santé publique. Et ça lui avait plut��t bien réussi, lui ouvrant les portes de quelques grands médias et lui valant une popularité énorme sur les RS et auprès de certaines personnalités publiques.
Didier Raoult, au début de la pandémie de Covid, c'était un bel exemple aussi.
Vous me direz que Raoult, lui, il a de vrais diplômes. Sauf qu'il avait joué largement sur son prestige lié à son nombre de publications et à des trucs comme ça... Et que très rapidement des gens ont relevé de gros problèmes avec ça (sur le nombre record de publications scientifiques à son nom, mais pas que). Et cette carrière prestigieuse était brandie comme un argument choc, aussi bien pour soutenir ses théories que pour accuser de tous les maux celles et ceux qui remettaient en cause les propos d'un si grand scientifique.
Et vous aviez le même phénomène. Il racontait des conneries sur le Covid, sur la chloroquine, etc. Et quand des gens le relevaient, ça gueulait en mode "Comment ? Vous osez remettre en doute la parole du plus grand scientifique du monde ?". Et quand des gens faisaient remarquer que le gars traînait de sacré casseroles, ça gueulait en mode "Pourquoi vous n'essayez pas d'argumenter sur le fond de son propos ?"
Et puis bon, si les gens démontaient à la fois ses propos sur le Covid et la légende qu'il s'était bâtie sur sa carrière, là, ça gueulait en mode "Pourquoi cet acharnement ?"
Vous voyez la mécanique.
Je finis avec deux remarques.
D'abord, si je suis assez tordu aux genre de petits jeux décrits plus haut, j'arriverai à présenter directement toute critique de mes propos comme une attaque personnelle contre moi. Ça demande un peu d'entraînement et un fan's club dévoué.
Si, si.
Bon, moi j''arrive pas vous faire une démonstration.
Je suis pas entraîné à ça, j'arrive pas à le faire. Et j'ai pas assez de followers sur les réseaux sociaux (et en plus je crains qu'ils ne soient suffisamment malhonnêtes pour accepter de jouer à ce jeu de cons).
Mais en théorie, c'est possible. On devrait pourvoir arriver au stade où toute personne se permettant de mettre en doute un de mes propos se verra accuser d'acharnement contre Grompf, de jalousie, etc.
Deuxième remarque : dans les faits, celles et ceux qui s'intéressent aux experts bidons et aux mythos qui gonflent leur CV, s'intéressent quasiment toujours aussi au fond du discours. Il n'y a AUCUNE opposition entre les deux.
C'est tout le contraire même.
Si vous remarquez qu'on vous raconte n'importe quoi, ça vous fera douter de l'expertise affichée par l'auteur du propos.
Et un CV enjolivé ou une expertise brandie avec un peut trop d'assurance, ça vous poussera à aller fouiller de plus près dans le discours de la personne. C'est même un sacré indicateur à bullshit ça.
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Se jeter à l'eau
SE JETER À L'EAU
Première partie : l'éveil des sentiments
Kylo Ren n'est qu'un enfant perdu, abandonné de ses parents, rejeté par son tuteur, tombé sous la coupe d'un maître pervers qui l'a patiemment pris dans sa toile depuis sa conception. Et pourtant, quelque chose va se réveiller. Les sentiments de Kylo sont bruts, vulgaires, violents.
Quelque chose s'est réveillé m'avait déclaré mon maître
Qu'il me faudrait découvrir, enlever et lui remettre.
Comment faire alors qu'en moi un feu ne veut s'endormir
Quand il rejette la paix que je voudrais acquérir ?
Celle dont on m'a tant parlé se retrouve prise au piège
Elle ne peut me résister je la cerne et je l'assiège
Voici le sabre de Ren avais tu vu rien de tel ?
Je te prend comme une mariée et je t'emmène à l'autel.
Prisonnière à ma merci je sillonne tes chemins
Géographie de ton âme tout est mis en examen.
L'estuaire et la vallée, je franchis les deux collines
Et m'attarde à la cascade que je voudrais libérer !
Pour ma rage tu t'échappes et j'écharpe qui s'oppose
Qui de moi te mets à part je l'affronte et je m'impose.
Tu résistes et je recule je dois pourtant te montrer
Ce qui nous a réveillé et nous fit nous rencontrer !
Deuxième partie : assumer ses sentiments
Kylo laisse la place à Ben. La Force démarre une nouvelle ère en connectant Ben et Rey. Pour ce qui est de se jeter à l'eau avec sa première déclaration, il faudra attendre la troisième partie !
La rage qui brûle en tes yeux reste mon premier émoi
Qu'importe la cicatrice car je l'ai reçue de toi.
C'est un soleil sur ma joue ; où ça ? Plus loin ! Déraper !
Et te voilà face à moi qui peut donc nous connecter ?
Tu ne vois que Skywalker, la Force s'éveille en toi
Tu voudrais de sa pitié ? Pourtant Elle coule en toi.
Je n' veux plus de leur pitié mais toi tu sais qui je suis
Je l'ai vu dans ton regard, tu vas savoir qui je suis.
Ces embruns autour de toi mais moi je ne vois que toi
Tu dis que je suis un monstre, t'es tu demandée pourquoi ?
Je n'oublie pas ton regard quand tu fuyais dans les bois.
Il ne reste sur mon gant, que quelques gouttes de toi.
La Force qui nous connecte nous met à nu tous les deux
Je n'ai plus rien à me mettre, rien qui me cache à tes yeux
Tu vois bien que le passé nous rend faibles et nous enferme
Laisse mourir le passé c'est un piège qui se referme.
Plonge ! Et jette toi à l'eau ! Tu penses t'être trompée ?
Il n'y a pas de réponses te voilà juste trempée
Vois tu ce feu qui réchauffe ? sache que tu n'es pas seule
Nos deux mains tendues se touchent : « Toi non plus tu n'es pas seul »
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C'est l'histoire de trois vampires qui font un concour de sang. Le premier arrive avec les dents pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le chien la,je l'ai mordu. Le 2ème avec la bouche pleine de sang.Le commentateur lui dit. Comment ta fait? -Tu vois la vache,je l'ai mordue. Le 3ème avec la tête pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le poteau, ben moi je l'ai pas vu.
#-Comment ta fait?#-Tu vois le chien la#je l'ai mordu.#Comment ta fait?#-Tu vois la vache#je l'ai mordue.#-Tu vois le poteau#ben moi je l'ai pas vu.
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L'adoubement II
Ma toute première fic érite/publiée sur AO3 (si vous voulez allez lui donner un peu d'amour c'est par ici)
Je me suis rendu compte que je l'avais jamais mise sur Tumblr. C'est juste 200 mots mais à l'époque c'était déjà beaucoup pour moi �� (et en vrai ca l'ai toujours des fois)
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L'adoubement II
La porte se referma et un Perceval penaud fit face à Bohort et Léodagan
Bohort : - Alors, vous l'avez vu ?
Perceval : - Qui, le roi ?
Léodagan : - Non, sa nouvelle maîtresse.
Perceval : - Quelle nouvelle maîtresse ?
Léodagan : - Attendez, vous vous foutez de moi ? Vous venez d'en sortir. La bonne femme avec lui, vous l'avez vu ou pas ?
Perceval : - Bah non, elle était de dos mais je pense qu'elle avait perdu un truc parce qu'elle était à genoux.
Bohort : - Et le Roi ?
Perceval : - Il était debout devant elle. Je crois bien qu'il était en train de l'adouber.
Léodagan : - L'adouber, dans la salle de bain, c'est une blague ?
Perceval : - Ben je sais pas moi. Il avait les deux mains posées sur sa tête et il regardait le ciel en priant.
Bohort : - La Reine va être effondrée ...
Perceval : - Effondrée ? J'irai pas jusque là. Elle était à genoux d'accord mais elle avait pas l'air de souffrir plus que ça.
Bohort et Léodagan échangèrent un regard septique
Léodagan : - Attendez, c'est la reine avec lui, là-dedans ?
Perceval : - Bah oui. Mais pourquoi il l'adoube si elle est déjà reine. Reine c'est pas au-dessus de chevalier ?
Un bruyant râle masculin se fit entendre de l'autre côté de la porte.
Léodagan : - Mouais, mais du coup c'est pas comme ça qu'on va avoir un héritier.
#Kaamelott#script format#Perceval#Bohort#Léodagan#l'aboudement#pendranievre#arthur x guenièvre#funny#my art#J'ai un humeur tout cassé
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6x09 : Dies irae
Arthur : Vous avez lu tout ça ?
Guenièvre : C’est vos mémoires, c’est ça ? Non, j’ai pas lu. J’ai eu peur de tomber sur des trucs…
Arthur : Des trucs qui vous concernent ?
Guenièvre : Bah non, plutôt des trucs qui me concernent pas. Il y en a?
Arthur: Des trucs qui vous concernent pas, je sais pas. Dans l’absolu, tout devrait vous concerner mais... des trucs que vous n'avez jamais su, oui, y en a.
Guenièvre : Ah. Des gros trucs ?
Arthur: Mon premier mariage, par exemple.
Guenièvre: Ah oui. Quand même… Là, on est plutôt sur du gros truc.
Arthur : Tout est dedans, à peu de choses près. Lisez-le quand même, quand je serai mort ! Y a rien de.. voilà ! Mais, c’est pas plus mal de savoir. Il y a probablement quelques machins que vous pourriez éclaircir...
Guenièvre : Pourquoi vous me l‘avez jamais dit ?
Arthur : Je sais pas, je voulais pas vous faire de mal.
Guenièvre : Et il y a pas un moyen que vous mourriez pas ?
Arthur : D’après les Druides d’ici, non. J’arrive pas à refaire le sang qui me manque.
Guenièvre : Le sang qui vous manque, moi je l'ai vu.
Arthur : C’est-à-dire?
Guenièvre : Le sang qui vous manque, je l'ai vu. Je dors avec ma mère, maintenant, en Carmélide. Toutes les nuits. Parce qu’à chaque fois que je ferme les yeux, je vois tout le sang qui vous manque. Par terre. Avec vos coupures au poignet et vos yeux vides. Vous m’avez jamais avoué votre premier mariage mais ça, vous me l’avez laissé voir.
Arthur : Je vous l’ai laissé voir... J’ai rien laissé voir du tout, moi ! Je me suis buté, c'est tout…
Guenièvre : Ah si! Si si si! Il y en a d’autres, des moyens de se buter ! Se jeter du haut d’une falaise, par exemple ! ça, ça emmerde personne ! Mais vous, c’est pas ça que vous avez fait ! Vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j’avais moi-même fait couler !
Arthur : Peut-être.
Guenièvre: Peut-être quoi ?
Arthur : Peut-être que j’ai voulu vous empêcher de dormir. Vous et les autres. Peut-être que j’ai voulu empêcher tout le monde de fermer l’œil. Peut-être que j’ai voulu vous mettre la faute sur le dos.
Guenièvre : Eh ben c’est pas gentil.
Arthur : Non. Non. C’est pas gentil. Mais bon, je le referai plus.
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Bip bip c'est le questionnaire surprise de l'anon
Evidemment n'y répond que si tu en as envie 🙂
1° Personnage(s) préféré(s) ?
2° Ship(s) préféré(s), si tu en a un (pas obligatoire) ?
3°Dynamique(s)/ Paire(s)/ relation(s) préférée(s) (amis/famille/ennemies/Brotp etc) ?
4° Des OCs dont tu aimes parler ?
5° N'importe quoi qui t'intéresse +++ dans Kaamelott ?
6° Plutôt angst ou fluff ?
7° Ton anniversaire ?
Merci beaucoup et bonne journée à toi 🤍
coucoouu anon !
1 - oh ben vous me connaissez, arthur stan n°1 je l'ai enfanté moi même
2 - hm je sais pas si j'ai un pref pref mais prob arthur/venec
3 - j'aime bien friends to lovers, et j'aime bien aussi enemies to lovers dans le concept, mais vu que j'en ai jamais écrit et que je lis quasi pas de fanfic j'ai pas trop eu l'occasion d'explorer ce truc là, MAIS un jour je ferai un aelis/demetra des familles parce que ce concept n'est-il pas incroyable ?
4 - j'ai déjà dit quelque part que j'étais pas très très OC mais quand même en vrai... morlen... @umi-klouh où es-tu mon unique lectrice potentielle si je voulais faire un spin off sur morlen mdr j'adore cet enfant
5 - plus le temps passe plus la s6 est numéro 1 dans mon cœur, le truc du héros orphelin/bâtard, les trucs de manipulation politique, l'ambiguité de l'histoire d'amour, les trucs anti-colonialistes, et me lancez même pas sur la séquence du rêve dans dies irae
6 - hmmm angst
7 - 1er mars 😎
merci à toi anon t'es cute
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Insomnie.
Celle ci je l'ai vu venir parce que ce soir mon amoureux n'a pas été très délicat.
Il a dit (à mon fils qui demandait ce qu'on faisait ce WE) :" demain, JE vais visiter une maison"
Alors oui, c'est lui tout seul qui va acheter une maison (quand il l'aura trouvé). MAIS on y va ensemble.
J'ai déjà beaucoup beaucoup de mal à me projeter avec lui depuis notre rupture de fin août alors là comment dire.... Quand je dis beaucoup de mal c'est que tout ce qui dépasse 15 jours à l'avance, je n'y crois pas je dis oui ok on fera ça mais une petite voix me dit "si on est toujours ensemble".
Et puis il m'a dit :"je sais que je te manque beaucoup quand on se voit pas une semaine et que c'est compliqué pour toi, plus que pour moi, moi j'ai besoin de me retrouver avec moi c'est important et c'est vital même". Mais gars c'est pas compliqué quand on se voit pas, tu me manques c'est normal mais pas non plus au point d'être mal et heureusement ! Je lui ai rappelé que lors de notre rupture (de son fait) je ne serais jamais revenue preuve que j'arrivais très bien à vivre sans lui.
Je ne sais pas si c'est de la maladresse, si c'est une façon pour lui de garder le contrôle, si il ne m'aime finalement pas assez ou pas comme je l'imagine ou s'il ne se rend même pas compte de la portée de ses mots mais moi ben ça me fait me demander si tout ça, nous deux, ça a du sens et à cette heure là, je doute.
Alors oui on est bien ensemble, c'est beau, c'est du partage, de la complicité, des rires, des discussions, des orgasmes (beaucoup), mais est-ce suffisant ?
Je ne sais pas, je ne sais plus.
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3057, jour 11 après l'accident
(dame de cœur)
Ok, c'était pénible, mais j'ai un sac...
La difficulté n'était pas trop dans le tissage lui même, mais l'ennuie, une fois dans le rythme. Avoir les mains occupés avec une activité mécanique sur laquelle je n'est pas besoin de me concentrer me laisse beaucoup trop de temps disponible pour gamberger. J'ai bien faillit avoir une attaque de panique en considérant mes chances de survit. Pour me changer les idées, j'ai commencé à nommer les choses autour de moi.
J'ai nommé mon point d'eau Bopotablang ( le début de la vie ) ( Oui je sais, mais j'ai le droit d'être un peu dramatique ).
Mon Woppifien est un peu lointain donc excusez moi si je fais des erreurs. Mais ça fait parti du jeu pour m'occuper l'esprit.
Le truc que j'ai décrit hier comme un lézard à écailles, ressemble en fait plus à... ben en fait, un mélange entre un lézard, un rat et un poisson. Il a des pâtes arrières plus longes que celles de devant et s'enfuit en courant comme un rat. C'est curieux d'ailleurs car le gravier de lave est instable et il me semble hasardeux de sautiller ainsi. Je suppose que les écailles forment une bonne protection contre le sol abrasif. Ses couleurs sont peut être un signe qu'ils sont vénéneux. En tous cas, je n'ai vu aucun des animaux volant s'en approcher. Il passe de longs moment immobile au soleil donc je soupçonne qu'ils ont le sang-froid. Je n'ai pas pu déterminé ce qu'il mange. Je l'ai nommé wigofshang (rat de lave).
Les fruits que je mange pour survivre, je les nomme ranhei (amertume). Pas envie de les détailler plus pour le moment.
En ce qui concerne les volants, je n'ai pas pu les observer aussi bien que je l'aurais voulu. Ils ne se pose pas là où je pourrais les observer le mieux, ni sur la plage, ni sur l'eau. Ce qui me laisse penser que je trouverais un sol moins pénible en remontant vers l'intérieur des terres. (ça tombe bien, c'est le plan). J'ai pu néanmoins pu les observer planer et plonger pour pécher. Difficile de dire si j'ai vu deux espèces à ce stade, ou s'il s'agit d'un dimorphisme. Les individus des deux groupe n'ont pas de queue. Un des groupes affiche des couleurs plutôt froides tirant sur le cyan, comme la couleur du ciel, tandis que l'autre affiche plutôt des couleurs entre le orange et le mauve. Les premiers chasses plutôt en journée et les autres aux levés et couchés de soleil. Le deuxième groupe a également une crête lui courant le long du dos, qu'il peux apparemment déployé à volonté. Ils ont aussi tendance à rester plus longtemps dans l'eau. J'ai nommé les premier yeme mapegnlaor (plongeur bleu) et les seconds gep maweiro (nageur de feu).
Il faut vraiment que je bouge demain, il n'y a pas tant de truc à nommer par ici... [[Première Entrée]]
[[Entrée Précédente]]
[[Entrée suivante]]
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