#-Tu vois la vache
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C'est l'histoire de trois vampires qui font un concour de sang. Le premier arrive avec les dents pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le chien la, je l'ai mordu. Le 2ème avec la bouche pleine de sang. Le commentateur lui dit. Comment ta fait? -Tu vois la vache, je l'ai mordue. Le 3ème avec la tête pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le poteau, ben moi je l'ai pas vu.
#C'est l'histoire de trois vampires qui font un concour de sang.#-Comment ta fait?#-Tu vois le chien la#je l'ai mordu.#Comment ta fait?#-Tu vois la vache#je l'ai mordue.#Le 3ème avec la tête pleine de sang. Le commentateur lui dit.#-Tu vois le poteau#ben moi je l'ai pas vu.
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Taureau puissant demandé sur Bavalliers 90800
Coucou mon chéri, je suis Clarabeklle. 32 ans et comme tu vois avec mon haut imprimé aux taches de vache, j'ai des gros pis ! Une paire de mamelles a te donner l'eau à la bouche non ? Je recherche justement un taureau bien puissant pour venir se charger de moi ! Je vis sur Bavalliers dans le Territoire de Belfort, tu passes me traire ? Écrire à Clarabelle
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Premier jour avec une activité au Pérou!
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Le commencement a été un peu lent, puisque j'ai attrapé un bus de plus et fait environ 4h30 de route ... Avec des bébés poussins dans des caisses sur le toit qui ont pioupiouté tout le trajet ! A noter qu'ici, je sens que le concept de bus va disparaitre au profit de ces espèces de petites camionettes ... Ce qui ressemble beaucoup au Cambodge!
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Une fois en ville (bienvenue à Chachapoyas!), je commence bien évidemment par un bon déjeuner ... Rempli d'ingrédients étranges. Voici du "charqui de olluco", de la viande séchée avec un tubercule local, c'était super bon !
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Puis je pars en direction du mirador de Huancas Sonche, qui surplombe un immense canyon ! Mine de rien, il fait presque 1km de profondeur quand même ...
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Quand je m'approche du bord, j'entends la rivière qui coule en bas, j'adore ce son ...
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Comme j'arrive plutôt tard, je ne peux malheureusement pas aller jusqu'au deuxième mirador (qui est quand même à 4km), tant pis !
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J'en profite pour longer un peu le canyon, où je tombe sur des invités inattendus ... (Et je ne parle pas du soleil qui a décidé de ressortir le bon de son nez ! Le pire c'est qu'on a crevé de chaud toute la matinée dans ce maudit bus sans clim, et qu'il a commencé à pleuvoir en arrivant ...)
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Et ce soir, je goûte une autre spécialité locale, aussi à base de viande séchée ! Je ne suis par contre officiellement vraiment pas fan de cet espèce de maïs blanc, il est particulièrement insipide :(
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Ah oui, petit moment marrant : j'ai attrapé une mini camionnette pour redescendre en ville, et on ne prend pas le même chemin qu'à l'aller. Quand je demande au chauffeur pourquoi on fait le tour, il me regarde d'un air désespéré, en mode "mais c'est quoi cette touriste", et me repond ... "Ben tu vois bien qu'il y a des vaches. Et des troncs d'arbres! "... Qui sont en effet apparus spontanément en plein milieu de la route dans l'heure et demie qui s'est écoulée !
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[FR] Live Opening Drama BAE
Personnages : Allen Sugasano, Anne Faulkner, Hajun Yeon. Notes : Pour un maximum d'immersion, je vous recommande vivement d'écouter l'audio original en parallèle. >>Voici l'audio complet sur Spotify<< Autre note, Anne est un personnage genderqueer qui aime briser les codes, j'ai donc utilisé une écriture inclusive pour iel :) /!\ Triggers warning /!\ Vagues allusions à de la transphobie et du sexisme.
Allen: C’est tout ce qu’y a, hein ? Il n’y a pas foule.
Hajun: Je te prie de ne pas demander l’impossible. Cette salle de concert est déjà pleine à craquer.
Anne: N’en demande pas trop, on devrait déjà se contenter de ce qu’on a.
Allen: Se contenter de ça ? Ça n’a aucun intérêt si la salle n’est pas remplie au point de devoir refouler des gens à l’entrée.
Anne: Eh ben, j’imagine que tu as raison… Honnêtement, ça ne fait vraiment pas beaucoup de monde.
Hajun: Et tu as un plan pour ramener plus de gens ?
Allen: Nan, notre seul plan, c’est faire du bon son… c’est tout.
Anne: Toi, tu ne changeras donc jamais, hein…
Allen: Je vais prouver notre valeur avec ma musique.
Groupie 1: Hajun-kun ! Est-ce que je peux me prendre en photo avec toi ? J’ai… j’ai tous les magazines dans lesquels tu figures et…
Hajun: Je vois ! Je suis heureux de l’apprendre. Eh bien… Me laisseriez-vous apparaître dans vos rêves ce soir ?
… Ha, amusez-vous bien, et au plaisir de vous revoir ! [1]
Anne: Une réaction digne du Noble Souriant.
Hajun: C’est l’un des secrets de la réussite dans la vie.
Anne: Si tu le dis.
Ah désolé.e, je vais vite faire un tour aux toilettes alors vous pouvez déjà aller à l’espace VIP sans moi.
Allen: ‘dacc.
Hajun: Hmph, j’y vais aussi.
* * *
Groupie 2: (La vache, cette meuf là-bas à l’air super bonne !)
Hé, hé toi là, onee-san ! [2] C’est les chiottes des mecs ici, qu’est-ce que tu fous là ? Me dit pas que tu te sentais tellement seule que tu pouvais pas te retenir ?
Anne: (Haha, on dirait qu’il y a encore des idiots qui ne me connaissent pas. J’imagine que je pourrais un peu m’amuser avec lui…)
Et si c’était le cas, qu’est-ce que tu ferais, onii-san ? [3]
Groupie 2: Bah, je… avec moi…
Hajun: Assez.
Groupie 2: Hein ? C’est quoi ton putain de problème toi ? Les choses commençaient à devenir intéressantes–
Anne: Attends, Hajun !
Hajun: Anne, ne perds pas ton temps à jouer avec cette chose, partons.
Groupie 2: Qu’est-ce que tu viens de dire espèce d’enfoiré ?! Fais gaffe à ta langue–
Hajun: Il y a un problème ? Crois-moi, cette personne est bien trop compliquée à gérer pour une médiocrité de bas-étage telle que toi.
Groupie 2: Ugh…
Anne: Pas besoin de pousser le bouchon, je ne faisais que le taquiner un peu. Enfin bon, il ne m’intéresse plus maintenant… Allons-y.
Hajun: [se heurte au groupie] Oh, désolé. Est-ce que ça va ?
Anne: [soupir] Toi alors… Comment tu fais pour garder le sourire après un échange pareil ?
* * *
Allen: Vous êtes à la bourre. Vous étiez où ?
Hajun: Anne s’est de nouveau fait.e dragué.e par des ivrognes.
Allen: ‘tin… Dans ce genre de situation, écarte-toi gentiment de la source de conflit au moins.
Tu es déjà assez incrompis.e comme ça.
Anne: Ah ? Et c’est quoi le problème avec ça ? Je te l’ai déjà dit, je veux vivre comme bon me semble.
Allen: Oh… désolé.
Anne: Pour commencer, Allen, le seul mot que t’as tout le temps à la bouche c’est ta musique–
Hajun: Okay, okay, on se calme.
Anne: Hé, quelque chose est tombé.
Hajun: Oh, pardon.
Allen: C’est quoi ? Une sorte de lettre ?
Hajun: Je me demande ce que c’est.
On dirait que ça nous est adressé. Quand est-ce que c’est arrivé là…?
Anne: Et ? Y a quoi à l’intérieur ? C’est une lettre de fan ? Un avis d’expulsion ?
Allen: Hé Hajun, fais voir !
Anne: Qu’est-ce qu’y a ? T’es tout pâle. Y a une photo incriminante de toi et de ton ex à l’intérieur ?
Allen: … Paradox.
Anne: Allen, qu’est ce que–
Hajun: Club Paradox ?
Anne: Paradox… Ce Club Paradox ?
Allen: Ouais ! Tous les rappeurs fantômes le connaissent !
C’est dans ce club que le tout premier Concert Fantôme a pris place il y a dix ans ! Impossible de parler de hip-hop sans mentionner Paradox aussi ! Même aujourd’hui encore, on en parle toujours–
Hajun: C’est bien le berceau de la légendaire équipe Buraikan, pas vrai ? J’ai déjà entendu cette histoire un million de fois.
Anne: Hajun, laisse-le au moins dire ça aussi : “un jour, je surpasserai Buraikan !”
Allen: En moins d’un an, ils ont réussi à monopoliser le top des chartes dans chaque pays… Leurs ventes avoisinent les deux milliards de CDs ! Ils sont l’origine et aussi la crème des concerts fantômes ! Et… Ils sont aussi un obstacle que nous devrons surmonter coûte que coûte.
Anne: Et donc, qu’est-ce que Paradox nous veut au juste ?
Hajun: Cette lettre est suspecte, nous ne savons toujours pas si elle est bien réelle non plus.
Anne: Intéressant pas vrai ? Regardons ce qu’il y a à l’intérieur.
Hajun: Invitation [4]… Alors c’est bien une invitation.
Anne: On dirait qu’il y a un autre papier à l’intérieur. Lisons-le.
Allen: … Je vois. En gros, les nouveaux proprios vont organiser un évènement pour décider quelle équipe est la plus forte.
Hajun: Oh ? Intriguant n’est-ce pas ?
Allen: Ouais, seulement s’ils tiennent leur parole.
Hajun: Effectivement.
Allen: Paradox est une salle de concert qui a disparu il y a dix ans de cela, au même moment où Buraikan ont pris leur retraite.
Anne: Je peux encore comprendre la disparition d’artistes, mais… Pourquoi Paradox a disparu au juste ?
Allen: Ça… J’en sais pas plus que toi. En une nuit, ils se sont comme évaporés sans laisser de traces derrière eux.
Hajun: Ça a l’air encore plus suspicieux maintenant. Cette invitation doit sûrement être une sorte de blague ou une plaisanterie.
Allen: Je sais pas quel est leur but, mais ils ont des couilles d’utiliser le nom de Paradox comme ça.
Anne: Hein ? C’est quoi ça ? Qu’est-ce qu’y se passe ?
Hajun: Anne ? Il y a un problème ?
Anne: Regarde ça.
Hajun: Hm ? Hein ? Mais c’est…
Anne: Hé... p’têt… p’têt que c’est pas une blague ? [Iel parcourt les réseaux sociaux]
Il y a un tas de posts à propos de Paradox sur les réseaux.
Ça se répand à vitesse grand V.
Allen: Laisse moi voir...! [Il tend le bras et attrape le téléphone]
Ça a l’air bien réel…
Dans ce cas... Paradox est bien...!
Hajun: Une mystérieuse invitation et un club supposé avoir disparu il y a une décennie...
Tout ça semble un peu trop poussé pour être une simple blague, non ?
Allen: Ouais.
Anne: Alors… J’imagine que cette invitation est bien réelle ?
Hajun: Ne faisons pas de conclusions hâtives.
En tout cas, la crédibilité de cette lettre vient définitivement de grimper en flèche.
Anne: Hé, plutôt tu as dit que cette invitation pourrait déterminer l’équipe la plus forte, mais comment déterminer un truc pareil ?
Allen: Comme je l’ai déjà dit avant, on dirait qu’ils vont rassembler plusieurs équipes grâce à ces invitations pour déterminer qui est le meilleur à l'issue d’un tournoi.
Il y aura quatre équipes au total.
Ce sera un tournoi à la ronde, et l’équipe qui reçoit le plus de votes du public gagnera un prix de dix milliards de yen, ainsi que la chance de défier Buraikan en personne...! [5]
Hajun: Haha ! Ils ont vraiment tout donné pour cet évènement !
Anne: Avec une telle intrigue, impossible de savoir si c’est du pipeau ou pas !
Allen: Ouais... Mais ça reste une opportunité inédite.
Si on peut confronter Buraikan, nous nous rapprocherons de notre but !
Anne: Eh bien, j’imagine que tu as raison, mais…
Hajun: Si Buraikan font leur grand retour, ils devront forcément être présents au Club Paradox, après tout. Si nous réussissons à les battre là-bas…
Allen: Nous deviendrons des légendes vivantes !
Et puis, si possible, je veux aussi juste les rencontrer face à face.
Anne: Eh beh, il faut savoir doser M. Hip-hop Maniaque.
Hajun: Nous ne savons toujours pas si tout ça est bien réel. Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Anne: Au point où on est, autant tomber droit dans leur piège.
De plus, si nous arrivons à gagner les dix milliards… je dis pas non.
Hajun: Je suis aussi partant. Mais bon, si tu divises les dix milliards en trois, il nous restera un peu plus de trois milliards chacun... Une modique somme d’argent.
Allen: [soupir] ... Quand je te parle, ma notion d’argent part vraiment en vrille.
Est-ce que tous les fils de conglomérats sont comme ça ?
Anne: Sérieux, le meilleur truc à propos de Hajun c’est son visage, mais y a pas que ça qui est tordu chez lui.
Hajun: C’est un honneur de recevoir un tel compliment !
Anne: J’aime bien ce côté-là.
Hajun: Qu’est-ce que tu vas faire, Allen ?
Allen: Même si c’est une chance sur dix mille, il y a toujours une infime probabilité de pouvoir défier Buraikan. C’est une assez bonne raison pour participer.
Anne: Je savais que t’allais dire ça.
Allen: Donc, c’est décidé.
Hajun: “Maintenant que c’est décidé, nous sommes dans l’obligation de gagner”... C’est ça ?
Anne: Est-ce qu’on a vraiment le choix ?
Hajun: Eh bien, même si on manquait cette opportunité, il viendra un jour où le monde entier me reconnaîtra.
Anne: Reconnaîtra le fait que tu es une personne au cœur noir ?
Hajun: Anne.
Anne: Oh non, j’ai peur~
Allen: Quoi qu’il en soit, si le retour de Paradox s’avère être vrai, on n’aura pas meilleure scène que ça dans nos vies.
Qu’importe qui seront nos adversaires, nous gagnerons avec notre musique !
Hajun: Nous les anéantirons avec brio sur cette immense scène... Et les transformeront en faire-valoir !
Anne: Ça serait bien qu’ils ne soient pas faciles à battre.
Hajun: Maintenant que nous nous sommes décidés... Il va falloir composer une nouvelle chanson.
Allen: Ouaip. Pour ça je vous donne rendez-vous dans ma chambre demain matin.
Je vous préviens direct : on n'aura pas le temps de faire un break.
Anne: Okay. Dans ce cas, faisons en sorte de rendre tout ça le plus amusant possible !
Allen & Hajun: Ouais !
* * *
[Bruits de touches de clavier]
Allen: Raaah, putain !
Hajun: Même si tu t’énerves, ça ne fera pas avancer la composition plus vite, tu sais ?
Allen: On doit être au top du Paradox Live, y a rien d’utile à produire quelque chose vite fait bien fait !
Anne: Eh bien, tu as raison, mais…
Hajun: Je me demande ce qu’il ne va pas. Cet essai ne m’a pas l’air si mal.
Allen: Essayons de changer l’approche du beat sur la partie de Anne. Okay, encore une fois !
* * *
[Allen frappe son poing sur le bureau]
Allen: Ça ne va pas... non, non, non !!
Anne: Hé, Allen~ Si ça continue, nos poumons vont exploser avant d’avoir fini ce foutu morceau…
Hajun: Allen, quelle partie tu n’aimes pas ?
Allen: Notre base… La partie qui est censée devenir le cœur est beaucoup trop faible.
Il n’y a pas que le talent qui compte. Il y a aussi les émotions… les vibes !
Anne: On ne peut rien faire de plus à propos de ça… On commence à être épuisé, et puis…
Allen: Bande d’idiots ! Vous croyez vraiment que ça ira comme ça !?
Est-ce que vous avez déjà oublié la raison pour laquelle on tient nos microphones en premier lieu !?
Hajun: Oublié, tu dis ?
Ne dis pas de choses aussi insensées. De toute ma vie, il ne s’est pas passé un seul jour sans que je me rappelle de la raison pour laquelle j’ai commencé la musique.
Anne: Moi aussi. Cette... cette vieille sorcière…
La personne qui m’a séparé.e de mon père… Je ne lui pardonnerai jamais.
Allen: C’est ça. On les obligera à reconnaître notre juste valeur. Le public, la société, et… les parents qui nous ont rejetés !
Hajun: Sans exception…
Tous sans exception, je les mettrai à genoux devant moi.
Anne: T’as raison…
T’as totalement raison ! On va carrément tout défoncer avec BAE !
Allen: On ne vaut rien si on arrive pas à percer ici.
Si on continue comme ça, on restera des moins-que-rien.
Non... nous ne serons rien du tout.
On finira comme des chiens errants qui ont fui leur chez-soi.
Anne: Jamais j’accepterai ça de mon vivant, et même après ma mort !
Hajun: Même si on meurt, on ne sera jamais complètement disparus.
Allen: La victoire n’est qu’une simple étape pour nous.
En plus de gagner, nous devons prouver notre existence au monde entier.
Ça ne sert à rien de continuer si on n'arrive même pas à monter cette première marche.
Hajun: Dans ce cas… Il n’y a qu’une chose à faire.
Anne: Ouais, et on va le faire.
Allen: Oubliez le talent. Pas grave si vous n’utilisez pas les paroles qu’on a préparées, vous n'avez qu’à faire un micmac avec toute cette énergie au plus profond de vous !
Transpercez le public insondable de vos voix !
* * *
[Gazouillis d’oiseaux en fond]
Anne: Oh non… Je me suis endormi.e…
Hé, Hajun ! Hajun...!
Hajun: Que… quoi...? Anne ?
Ce plaid... C’est toi qui l’as...?
Anne: Non, j’étais déjà allongé.e sur le sofa quand je me suis réveillé.e.
Alors ça doit être Allen...?
En parlant du loup, où est-ce qu’il est ?
Hajun: Je vais aller le chercher.
Anne: Ah, je viens avec toi ! [Ils toquent à la porte avant de l’ouvrir]
Allen: Ah, Hajun, Anne. Vous êtes réveillés.
Hajun & Anne: Allen !
Allen: Je l’ai finie.
Anne: Tu l’as terminée !? Alors, comment elle est !?
Allen: –ien…
Anne: Hein ?
Allen: Je vais aller dormir… Je suis… à ma limite…
Hajun: Ah, il s’est évanoui.
Anne: Se pousser à bout comme ça… Il porte bien son surnom de M. Hip-hop Maniaque.
Hajun: [bâille] ... Au moins, on dirait qu’il est enfin satisfait.
Allen: On va… tout défoncer…
Anne: Allez, Allen, va te mettre au lit.
Hajun: Anne, laisse-le dormir.
Je vais le porter jusqu’à son lit. Anne, s’il-te-plaît, va chercher la couverture.
Anne: Compris.
Hajun: Et donc, qu’est-ce qu’il en ait de cette chanson ?
Anne: Le titre c’est... BaNG!!!, hein ?
Venant d’Allen, c’est un choix plutôt surprenant.
Hajun: Tout ce qu’il nous reste à faire désormais c’est de rendre le produit final.
Anne: Hajun, tiens, les écouteurs.
Hajun: Ah, merci beaucoup.
[Bruits de clavier]
Hajun: Oh, c’est vraiment...! Anne, écoute ça !
Anne: Ouais. C’est incroyable...! Incroyable, phénoménal ! Ça sonne super bien !
Hajun: Haha ! J’ai hâte pour le concert.
* * *
Allen: J’arrive toujours pas à croire que j’vais bientôt performer sur la légendaire scène de Paradox…
Ha... Mes genoux sont sur le point de céder...!
Anne: Purée, qu’est-ce que tu fous Allen !?
Hajun: Notre prestation commence bientôt, je te prie d’aller te changer.
Allen: Désolé... J’arrive juste pas à tenir en place...!
Hajun: Haha, quelle piètre chose à dire juste avant un concert.
Imagine avoir froid aux yeux dans un endroit pareil… J’ai peur pour la suite.
Allen: Moi, avoir les chocottes !? Ça s'appelle de la galanterie !
Anne: Ouais, ouais. Ton visage ne dit pas la même chose, Allen.
Allen: Hein ?
Anne: Ce n’est pas commun de te voir aussi nerveux.
Hajun: Tu disais toujours ça, n’est-ce pas ? “Avec ma musique…”
Allen: “… Je vais prouver notre valeur.”
Vous avez raison. Je vous demande pardon à tous les deux. Merci.
Anne: Allez, ressaisis-toi, chef.
Bien, je vais prendre soin de vos coupes. Aujourd’hui est un jour très important, on se doit d’être absolument irréprochables pour le concert.
Hajun: De quoi tu parles ? Je suis toujours irréprochable.
[Un membre du personnel toque à la porte]
M.d.P.: C’est à vous !
Hajun: Compris !
Anne: Allez, vous deux. Demain, on va avoir un contre-cœur assez sévère. [6]
Hajun: Effectivement. Après tout, l’illusion d’aujourd’hui sera plus grandiose que d’habitude.
Je me suis déjà préparé à la fatigue ces prochains jours.
Allen: Ouais. Ce soir, on va foutre la scène en feu !
Anne: On doit montrer le meilleur de nous-mêmes.
Hajun: Oui, c’est parti.
Allen: Montrons-leur le jour où nous deviendrons plus que des moins-que-rien !
[1] Dit en coréen. [2] Onee-san veut dire "grande sœur", mais il peut être aussi employé pour interpeller une femme (mature) inconnue. [3] Onii-san veut dire "grand frère", pareil que pour onee-san, mais employé pour les hommes. [4] Écrit en anglais. [5] Environ 6 667 700 euros. [6] “Trap-reaction” dans la version originale. Plutôt que de traduire littéralement, j’ai décidé de faire un jeu de mots avec “à contrecœur”, contre -> à l’encontre et cœur -> émotions. Remerciements : Même si j'ai fait le plus gros du travail, je me suis quand même aidé de la traduction anglaise réalisée par lechefrita_ (Twitter). Merci aussi à mes amis qui m'ont aidé quand je galérais sur certains passages ^^'
Ah ? Vous êtes intéressés par la musique qu'ils ont réalisée pour le concert ? >>Clique ici pour écouter BaNG!!!<<
#fr#français#french#paradox live#paralive#bae#anne faulkner#allen sugasano#hajun yeon#cd drama#traduction#translation
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L'invitée au carré : Marie-Monique Robin s'intéresse aux microbes
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
Du "Monde selon Monsanto", au monde des microbes, il n'y a qu'un pas, l'enjeu de préserver la biodiversité et du vivant. Depuis 1989, Marie-Monique Robin a réalisé une quarantaine de films d’investigation, s'intéressant aux dictatures, au brevetage du vivant, aux solutions pour demain.
Publié le jeudi 2 janvier 2025 (première diffusion le vendredi 27 septembre 2024)
La Terre au carré
[...]
Les paysans victimes du système
Le père de Marie-Monique Robin le reconnaissait : "Les produits qu'on a mis dans les champs sur notre ferme avant qu'elle ne passe en bio, il n'était pas question de les mettre dans notre jardin potager". Mais la documentariste ne jette pas la pierre aux utilisateurs de pesticides : "Les paysans ont été véritablement embarqués dans un modèle où on leur a beaucoup menti, caché sur la toxicité des produits. Et puis ils se sont retrouvés endettés. Mon grand-père, il n'avait jamais emprunté 0,01 €. Et un jour, mon père me dit "Tu vois le premier tracteur qui est arrivé sur la ferme en 1953, ton grand-père a vendu deux vaches au marché de Parthenay." Puis on a calculé qu'il fallait 80 vaches... Ils travaillent de plus en plus, et sont très endettés. Je rappelle qu'un agriculteur se suicide tous les deux jours, donc c'est un beau désastre et ils en sont conscients. Mais c'est très difficile d'en sortir tout seul si on n'est pas accompagné."
[...]
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Où vas-tu Basile ?
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Line Renaud - Où vas-tu Basile ?
Où vas-tu Basile sur ton blanc cheval perché ? Je vais à la ville le vendre au marché Ton cheval claudique mais vois-tu pour t'obliger Contre une vache magnifique je peux l'échanger
Sitôt dit sitôt fait, bonne affaire se dit Basile Sitôt fait sitôt dit, Basile est un dégourdi
Mais où vas-tu Basile avec cette vache à lait ? Je vais à la ville la vendre au marché Ta vache à la fièvre, la vendre est bien compliqué Contre ma plus belle chèvre veux-tu la troquer ?
Sitôt dit sitôt fait, bonne affaire se dit Basile Sitôt fait sitôt dit, Basile est un dégourdi
Où vas-tu Basile de ta bique accompagné ? Je vais à la ville la vendre au marché Ce n'est pas facile car elle a le dos tordu À la place, prends Basile ce chapon dodu
Sitôt dit et sitôt fait et bonne affaire se dit Basile Sitôt fait sitôt dit, Basile est un dégourdi
Mais où vas-tu Basile avec ce petit poulet ? Je vais à la ville le vendre au marché C'est un vrai squelette jamais tu ne le vendras Pour ce bouquet de violettes tiens, laisses-le moi
(Sitôt dit et sitôt fait) Et bonne affaire se dit Basile (Sitôt fait sitôt dit) Basile est un dégourdi
Mais où vas-tu Basile avec ce bouquet joli ? Ben, ben je vais à la ville Mademoiselle Lili La ville est lointaine donne-moi plutôt tes fleurs En échange pour ta peine tu auras mon cœur
Sitôt dit sitôt fait, oh que je l'aime se dit Basile Sitôt fait sitôt dit, c'est ainsi qu'on se marie
Et dans toute la ville ce mariage fit tant de bruit Qu'on nomma Basile Roi des dégourdis De toute cette histoire la morale est celle-ci Que celui qu'on croyait prendre n'est pas toujours pris
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Réconciliation avec Ésaü
La terrible réalité que redoutait Jacob se produisit en dépit des efforts colossaux qu'il avait fournis pour la fuir : son frère Ésaü venait à sa rencontre, accompagné de quatre-cents hommes à l'air menaçant. Jacob se dépêcha de répartir ses fils en plusieurs groupes qu'il plaça sous la garde de ses deux épouses et des servantes de ces dernières. Ces quatre femmes se virent attribuer les enfants qu'elles avaient mis au monde. (Ainsi, il était certain qu'elles protégeraient les enfants avec zèle.) Elles furent également placées les unes derrière les autres avec leur progéniture, par ordre de préférence, de façon à ce que périssent en premiers les enfants et les femmes auxquels Jacob tenait le moins, en cas d'attaque. Aussi, les servantes et leurs fils furent positionnés en rempart devant Léa ; Rachel était à l'arrière. Fort courageusement, Jacob, se plaça lui-même devant son harem et ses enfants. Il se prosterna face à Ésaü qui accourait et qui le saisit par le cou pour l'embrasser avec affection. Les deux frères jumeaux fondirent en larmes, émus par ces retrouvailles. Se remettant de ses émotions, Ésaü avisa la présence des femmes et des enfants de Jacob et lui demanda qui ils étaient. - Ce sont les fils que Dieu a accordé à ton serviteur, lui fut-il répondu. Les servantes et les épouses ainsi que leur progéniture vinrent à leur tour se prosterner devant Ésaü qui demanda à son frère : - J'ai croisé de petits troupeaux de bêtes en chemin. De quoi s'agit-il ? - Ce sont des cadeaux que je veux te faire afin de trouver grâce à tes yeux. - Je suis dans l'abondance, mon frère. Garde ce qui est à toi. - Non, je te prie de bien vouloir malgré tout accepter ces présents que je te fais comme on fait une offrande à Dieu, car ce sont sans nul doute ces cadeaux qui nous ont permis de nous retrouver dans la joie, et non dans la haine. Vois ! Le résultat est là : tu m'as accueilli favorablement. Accepte-les. Ésaü consentit donc à se voir offrir des troupeaux dont il n'avait aucunement besoin. - Mettons-nous en chemin, proposa-t-il. Je marcherai en tête de notre groupe pour le guider. - Malheureusement, mon bétail compte de nombreuses femelles -vaches et brebis - qui allaitent ; leurs petits, encore bien fragiles, périraient si on les faisait marcher trop vite, ce qui provoquerait la ruine de mes troupeaux. Que le seigneur que tu es prenne les devants et que le serviteur que je suis marche derrière, au rythme de ses bêtes, jusqu'à ce que nous arrivions tous à Séir. - Soit, mais je vais laisser avec toi une partie des gens qui m'escortent. - Pourquoi donc ? Ce n'est pas nécessaire. Le jour-même, Ésaü repartit en direction de Séir.
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Captures de l’Ep. 2.14 : Trou de Mémoire / Amnesia (1998) de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender).
Distribution : M.C. Gainey, qui recroisera Harve Presnell dans le film Love Ranch (2010), Leland Orser dans l'Ep. 15.20 de la série Urgences , Jeffrey Donovan dans l'Ep. 2.12 de la série Burn Notice , Jon Gries dans la série LOST, James Denton dans l'Ep. 2.20 de la série Desperate Housewives et avait déjà croisé Michael T Weiss en 1986 dans le feuilleton Des Jours et Des Vies ...
Associé du dealer : "Il va mourir de froid !"
Dealer : "On vit dans un monde cruel AHAHAAHAHAAH"
Argyle : "comme ça il a l'air mignon mais il a un mauvais fond. Il est MAUVAIS !"
Jarod : "Qu'est-ce qu'il s'est passé ?"
Argyle : "Quoi Quoi Qu'est-ce qu'il s'est passé ? HoHéHeuuuu Et bé mon vieux t'as été tabassé voilà ! Rho non les enfoirés ils t'ont pris tout ton fric !! Oh c'est moche ce qu'ils t'ont fait, ils t'ont volé tout ton pognon. Oh les fumiers ! Ah mais ils ont laissé tes affaires, je les ai récupérées. C'est déjà ça !"
Jarod : "Où suis-je j'aimerai savoir ?"
Argyle : "Où t'es ? AhAh mais mon pote t'es dans mon p'tit coiiinnn ... de paradis. Enfin en tout cas pour le moment."
Argyle : "Ah dis donc t'as des trucs l'd'ans.. Rholaa ! Hé ! J'espère que mon remède va empêcher le sang de couler ... J'ai l'habitude avec le chien, j'le soigne et puis il s'plaint jamais de ce que je lui fais. Mais toi ... tu seras certainement mieux juge que lui ! puisque tu es un vrai docteur...
Jarod : "Docteur..."
Argyle : "Ah ben ouais t'es docteur mon vieux ! Cette carte d'identité dit que tu t'appelles .. Jarod, et puis en plus je vois que tu es chirurgien spécialiste du torax."
Référence : Ep. 1.01
Argyle : "[...] Arrrrgh y'a rien qui fonctionne dans c'taudis ! Et puis toi aussi t'es déglingué. ME FAIS PAS CHIER HEIN ! .. Tout ça ça va changer maintenant. Et ça va changer plus vite qu'on'le croit ! Quand je pense à toutes ces années d'études oohh ça m'fait rêver ! La faculté de Médecine, les opérations Rhooo t'as un beau métier toi. Stsee T'sais, moi, j'ai mangé de la vache enragée pendant c'te temps-là. Nan mais t'imagines un peu ?! Et mon vieux ? Je pense que tu vas être ma poule aux œufs d'or !
Jarod : "Poule aux œufs d'or ?"
Argyle : " Aaah grâce à toi je vais être riche ! Je vais toucher le gros lot ! Je vais enfin me sortir de la daube !! J'image que l'Hôpital est prêt à payer une jooolie p'tite somme ! pour son briiillant chirurgien !
Jarod : "J'suis pas Docteur ..."
Argyle : "Ah ouais t'es pas Docteur ? Tu plaisantes-là ? Et béh t'es quoi alors ?!"
Jarod : "J'en sais rien ..."
Broots : "(respirations saccadées) Qu'est-ce que c'est ?"
Mlle Parker :"La Commission T."
Broots : "La Commission Quoi ?"
Sydney : "T, initiale de Torture."
Broots :"Ohhhhhh"
Mlle Parker : "C'est un Tribunal d'Inquisition. Ils attendent de nous des réponses et si on ne leur en donne pas on n'en sortira pas vivants."
Broots : "Quoi ? vous ne dites pas ça sérieusement ?"
Mlle Parker : "Inutile de mouiller votre pantalon. Ils veulent surtout nous déstabiliser. C'est pour ça qu'ils sont venus en pleine nuit."
Sydney : "Ils essaient de nous casser émotionnellement. "
Broots : "Oh ben ça marche ... ! Je craque déjà ... Comment vous savez tout ça ?"
Mlle Parker : "Avant j'étais de l'autre côté de cette vitre."
Broots : "Ah Ah oui ? et alors ? Comment ça finit en général ?"
Mlle Parker : "Bien... Bien pour ceux qui sont de l'autre côté de la vitre."
Sydney : "Je me doutais que Raines était mêlé à cette affaire ; la question essentielle est de savoir qui est derrière tout ça."
Mlle Parker : "Le Triumvirat ? Kreskine ? .. Mais il dépend de quelle autorité ?!?"
Sydney : "De Brigitte."
Mlle Parker : "Cette sorcière !! C'est comme le chiendent ! on arrive PAS à s'en débarrasser !!"
Broots : " Oh c'est qui ces gens dans la pénombre ?"
Mlle Parker : "Je Ne Sais Pas ! Il faut absolument qu'on joigne mon père..."
Cuture générale ^^ : Alexander Kreskine est un personnage de roman, grand illusionniste d’origine russe pendant l'URSS.
Mlle Parker : "C'est leur créature. Ils devraient savoir de quoi il est capable !"
Brigitte : "Oui ! C'est exact.'
Argyle : "En tout cas côté sucreries t'en avais beaucoup plus que la moyenne ! Le sucre c'est très dangereux ! Ca donne des caries. Y'a des dents qui vont tomber une par une. Hé ! Moi j'ai de bonnes dents hé de ce côté là j'ai de la chance. J'en ai pas perdu une ! ... Hé tu m'entends ? .. Qu'est-ce qui y'a qu'est-ce qui va pas ? ... Oh le con ! .. Tu sais plus qui t'es et en plus t'es brûlant de fièvre. Quand on traîne dehors, on a que des malheurs !! Voilà ce qu'il se passe. T'avais oublié de regarder, si y'avait quelqu'un derrière toi ! IL FAUT TOUJOURS JETER UN COUP D'OEIL Derrière Soi mon pote ! surtout la NUIT tu peux être sûr qu'il y a quelqu'un dans ton dos ! Y'aura un ENFOIRE ! Y'aura un RAT qui va t'pointer son flingue dans le dos Oh ben je connais ça ! Il faut toujours regarder derrière soi, c'est très important !"
Jarod : "RDV même heure même chaîne ! (clin d'oeil) Je n"rate jamais un épisode (grand sourire)"
Argyle : "C'est qui elle ? ... Hé ! Psss ! Hé, qui c'est cette jolie nana ? Qu'est-ce qu'elle t'a fait ? Elle t'a engueulé parce que tu lui donnais pas assez de blé ? "Alors heu t'es rentré à la maison les poches videuuus ..... ? P't'être que t'aurais mieux fait d'être docteur... ? Tu vois ? Tu devrais y réfléchir à 2 fois la prochaine fois. ... Ah ouais j'aurai aimé être un mec génial. Oh ça m'aurait plus d'être génial. Oh t'es pas médecin finalement ?! T'es guide montagne ! Ah non t'es pompier ... Ah ben non ! T'es exterminateur d'insectes (Ep.) ! Ah non tu fait partie du FBI... HéhéHé ! Excusez-moi Monsieur, mais vous pouvez me filez un indice parce que je m'y perds dans tout ce bordel BON SANG Qui êtes vous ?! Monsieur ? ... Hé Monsieur ?? ..."
Jarod : "Qui je suis ? .. Je n'sais pas ..."
Broots : "Heueueu Je Déclare que je n'ai RIEN Fait."
Brigitte : "[...] Nous avons l'impression que vous faites exprès d'être incompétent."
Argyle : "[...] On a pas d'attaches, on est on est des mecs en cavale ! Hé ouais ! A quoi tu voulais échapper toi ? Au Juge d'Instruction ? L'homme qui du matin au soir souris alors qu'il a la Haine dans l'Coeur. Hein ? A quoi tu voulais échapper hein ? Alors ? P'têtre même qu'il y a une récompense pour ta capture ? [... ] "
Argyle : "On dirait que le Diable préfère que tu restes avec moi."
Argyle : "(énervé) J'aimerai beaucoup que les choses s'arrangent Jarod. J'aimerai que ça marche une bonne fois pour toutes ! ... C'est pas compliqué !!! ... C'est pas compliqué !!!!!!! J'aimerai que les choses s'arrangent !! ... (en pleurs)"
Jarod : "... Mais ... qui êtes-vous ?"
Broots : " Rho quand vont-ils le laisser tranquille ?
Mlle Parker : "Quand ils auront entendu ce qu'ils veulent entendre."
Broots : "Ca fait déjà 6h qu'il est sur la sellette !!!"
Mlle Parker : "Ils le garderont 6h de plus s'ils en ont envie !"
Broots : "Pourquoi ils agissent comme ça (plaintif)"
Mlle Parker : "... ... ... Parce qu'ils ont tous les droits"
Argyle : "Te faire confiance ?! Ah non non c'est toi qui dois m'écouter. CONFIANCE AHAH Quel GRAND mot la Confiance !! C'est marqué sur chaque pièce de monnaie !!! Sur chaque billet !!! Chaque BOMBE qui éclate !!! Et c'que je VOIS c'est que PERSONNE N'A CONFIANCE EN PERSONNE !!!!!"
Jarod : "L'Ecossais. Ils sont en train de te mener en bateau."
Argyle :"... ... ... Non... Non non non allez j't'écoute pas. Hé Brigitte elle m'a dit que tu avais réponse à tout,puis elle a raison, tu vas pas faire capoter les choses ! TOUT EST ARRANGE CA VA TRES BIEN SE PASSER !!! [...] C'est toi qu'ils veulent mon vieux !!! ET SEULEMENT TOI !!! Je suis fermement décidé à négocier avec eux !!!"
Jarod : "IL FAUT QUE TU ME CROIS ! Je les connais parfaitement bien ! Tu vas passer un contrat avec le Diable ! ..."
Saison 2 : Episodes 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - 06 - 07 - 09 - 10 - 14 - 15 - 16 - 20 - 21 - 22.
source : imdb
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
Narration de John Piper inspirée d’un conte de T H White "the once and future King", pour nous aider à saisir comment lorsque nous savourons la providence divine, cela nous permet de gérer les difficultés de notre existence.
"Il était une fois un vieillard très sage appelé Job.
Alors que Job était déjà d’un âge avancé, Dieu lui permit d’engendrer une fille à qui il donna le nom de Jemima, ce qui signifie « petite colombe ».
Il avait beaucoup d’affection pour sa fillette et elle aimait son papa.
Un jour, Job décida de partir en voyage et il offrit à Jemima de venir avec lui.
Celle-ci lui répondit : « Oh oui ! J’aimerais bien y aller avec toi. »
Ils prirent donc la route et marchèrent pendant toute une journée.
Au crépuscule, ils aperçurent une petite maison et allèrent frapper à la porte. Un homme très pauvre y vivait avec sa femme et leur bébé. Job lui demanda si lui et sa fille pouvaient passer la nuit chez eux avant de poursuivre leur pèlerinage le lendemain matin.
Le pauvre homme et sa femme les accueillirent avec joie. Ils offrirent leur propre chambre à Job et à sa fille, et leur préparèrent un souper en toute simplicité. Le lait frais provenant de leur seule vache constituait la meilleure partie du repas. C’est grâce à cet animal qu’ils gagnaient leur vie. Il leur procurait du lait de qualité qu’ils vendaient à un prix suffisant pour leur subsistance.
Au matin, quand ils se levèrent, Job et Jemima entendirent des sanglots. La vache était morte durant la nuit et la femme pleurait.
« Qu’allons-nous faire maintenant ? Qu’allons-nous faire ? » murmurait-elle.
L’homme pauvre était sur le point de couper la vache en morceaux pour vendre la viande au marché, avant qu’elle ne se perde.
Mais Job lui dit : « Je crois qu’il vaudrait mieux que vous ne la découpiez pas. Enterrez-la plutôt près du mur arrière de votre propriété, sous l’olivier. Il se pourrait que la viande ne soit pas monnayable. Confiez-vous en Dieu et il prendra soin de vous. »
L’homme fit donc ce que Job lui suggérait.
Ayant repris leur chemin, Job et Jemima marchèrent de nouveau toute la journée et, épuisés, ils arrivèrent aux abords de la prochaine ville, où ils remarquèrent une belle demeure. Ils s’en approchèrent alors et frappèrent à la porte. Un homme très riche y habitait et ils espéraient bien ne pas représenter un désagrément pour lui.
Mais cet individu se montra plutôt bourru à leur égard. Il leur répondit qu’ils pouvaient dormir dans la grange. Il leur donna de l’eau et du pain pour souper et les laissa seuls. Job, rempli de gratitude, dit à l’homme riche : « Merci beaucoup pour le pain et l’eau et pour la possibilité de dormir dans votre grange. »
Au lever du jour, Job remarqua que l’un des murs de la maison s’effritait. Il alla donc acheter des briques et du mortier, puis colmata la brèche dans le mur abimé pour l’homme riche.
Ensuite, il se remit en route avec Jemima et ils parvinrent à destination.
Ce soir-là, au coin du feu, Jemima interrogea son père : « Papa, je ne comprends pas les voies de Dieu. Cela me semble injuste que la vache de l’homme pauvre meure, alors qu’il a été si bon envers nous, et que tu répares le mur de l’homme riche qui nous a traités si durement. »
« Eh bien Jemima, dit Job, souvent les choses s’avèrent bien différentes de ce qu’elles semblent être à première vue. Pour cette fois-ci, je t’en donnerai la raison. Mais tu devras dorénavant faire confiance à Dieu, car en général, il n’explique pas ce qu’il est en train de faire.
La vache de l’homme pauvre était très malade, mais il ne le savait pas. J’en ai décelé le goût dans la lait qu’il nous a servi au souper. Dans peu de temps, le lait qu’il vendait aurait été contaminé et ses clients seraient tombés malades et seraient morts. On l’aurait alors lapidé pour sa faute. Je lui ai donc conseillé de ne pas chercher à vendre la viande, mais plutôt d’enterrer la vache près du mur arrière, sous l’olivier. J’ai dit cela parce que Dieu m’avait révélé qu’en creusant à cet endroit, il allait déterrer une coupe en argent qui s’y trouvait ensevelie depuis très longtemps. Il pourra donc la vendre assez cher pour pouvoir s’acheter deux bonnes vaches et s’assurer une vie meilleure avec sa femme et son enfant.
Quand nous avons passé la nuit chez l’homme riche, j’ai remarqué la brèche dans le mur abîmé, mais j’ai également vu autre chose. Un coffre plein d’or était dissimulé depuis des générations dans cette cloison. Si l’homme riche avait lui-même effectué la réparation, il aurait trouvé ce coffre. Son orgueil et sa dureté n’en auraient été qu’encouragés. J’ai donc acheté des briques et du mortier pour réparer la brèche, afin qu’il ne trouve jamais ce trésor. « Comprends-tu Jemima ? »
« Oui je comprends maintenant. »
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12 janvier
“Alors, tu vois, j'écris une fanfiction…” A-t-on idée d'être écrivaillon ? Rappelez-vous, il fut un temps lointain où, pour parler des gens capables d'écrire de belles choses, nous parlions d’ ”hommes de lettres”. Passons un instant sur la misogynie évidente de l’expression - bien que, et n’en déplaise aux vieux croulants, notamment ceux qui ont siégé dans le cercle des 40 gâteux qui râlent parce que la langue, c’est leur jouet à eux, bien des femmes ont été d’excellents hommes de lettres -, à laquelle nous préférons d’ailleurs “gens de lettres”, et rendons-nous compte : il n'y a plus de gens de lettres. Nous vous entendons déjà hausser la voix, dire qu’il y a untel, qu’on a vu se torcher, tout en élégance, le bout du stylo sur un papier bible - à 28g par mètre carré, s’il-vous-plaît, parce qu’au-dessus, cela irrite la pointe dégoulinante - et qu’il a même eu un Goncourt pour ça. À cela, nous vous répondrons que les Goncourt sont des imbéciles finis qui, bien qu'étant deux, n’avaient même pas un cerveau, qu’ils n’ont construit leur nom que sur celui des autres - ce qu’ils font encore, puisque le prix et donc leur nom sont dans les bouches de chaque imbécile qui achète un livre chaque année au mois de septembre, mais que ce même imbécile est incapable de citer quiconque ayant gagné ledit prix - et que, si les prix étaient obligatoirement gages de qualité, la moitié des boulangeries ne feraient pas du pain aussi dégueulasse.
Enfin, on diverge - oui, parce que dire “bite”, c’est vulgaire -, alors revenons à ce qui nous intéresse : les écrivaillons. Qui diable a pensé qu’il était bon d’apprendre à écrire aux gens, eux qui acquièrent ce savoir fondamental alors qu’ils savent à peine conjuguer ? N’est-ce pas un comble, nous vous le demandons, que d'apprendre à écrire sans même savoir sa concordance des temps ou quel est le subjonctif présent de “peindre”, à la deuxième personne du pluriel ? Voilà ce qui est navrant, tant et si bien qu’à l’heure merveilleuse des premiers émois, avec leur tronche pleine de boutons, nos bambins, désormais bien moins charmants, raturent des lignes de cahier de brouillon. S’ils purent penser, à une époque lointaine, être les nouveaux Hugo, ils se croient désormais les “insérer ici le nom du dernier rappeur, sachant écrire ou non, à la mode", parlent des cités parisiennes autant que leurs aînés parlaient du centre de la ville, mais ayant en commun avec eux d'être nés dans les bas-fonds des provinces de la diagonale du vide, où ils ont connus plus de bestiaux que d’êtres humains, et où l'étranger est moins une invitation au voyage qu’un prétexte pour défendre des traditions immémoriales et crétines. Et ce sont eux, il y a cent cinquante ans comme maintenant, qui arrivent au lycée, se nourrissant d’herbe à la façon des vaches qui les ont vus grandir, et balbutient du Baudelaire, persuadés d’avoir compris ce qu’il disait, tout en étant incapable de citer trois titres de poèmes. Ils s’exclament que personne ne les comprend, que les paradis artificiels révèlent leurs démons intérieurs, que ce scooter est absolument nécessaire à leur survie, et qu’ils sont des écrivains. Puis leur jeunesse passe, leur flamme s’éteint aussi vite qu’elle s'était allumée, ils deviennent mornes, puis aigris, puis lassés. Et enfin, ils gagnent un prix Goncourt.
Et alors qu’ils s'essuient le bout du stylo au papier bible, nous giclons autant d'étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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C'est l'histoire de trois vampires qui font un concour de sang. Le premier arrive avec les dents pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le chien la,je l'ai mordu. Le 2ème avec la bouche pleine de sang.Le commentateur lui dit. Comment ta fait? -Tu vois la vache,je l'ai mordue. Le 3ème avec la tête pleine de sang. Le commentateur lui dit. -Comment ta fait? -Tu vois le poteau, ben moi je l'ai pas vu.
#-Comment ta fait?#-Tu vois le chien la#je l'ai mordu.#Comment ta fait?#-Tu vois la vache#je l'ai mordue.#-Tu vois le poteau#ben moi je l'ai pas vu.
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Quy trinh phau thuat chuyen gioi nam sang nu
Quy trinh phau thuat chuyen gioi nam sang nu la mot quy trinh tham my phuc tap Khong phai co so y te nao cung co du co so vat chat va doi ngu chuyen gia de thuc hien qua trinh nay Quy trinh chuyen gioi tu nam sang nu bo phan sinh duc thuong bao gom sau buoc co ban sau
Gay me Buoc dau tien la tiem thuoc gay me de dam bao nguoi phau thuat khong cam thay dau trong suot qua trinh phau thuat
Tao khoang trong am dao Bac si se tien hanh tao khoang trong am dao bang cach su dung mo tu phia truoc cua truc trang va di chuyen no len phia truoc ben duoi phan nieu dao Sau do ho se khoet da de tao thanh mot ong dan rong va sau ben trong tuy thuoc vao tung tinh trang cu the cua nguoi phau thuat Khi hoan thanh am dao se co hinh dang tuong tu nhu cua phu nu
Cat bo lop da quanh bo phan sinh duc Bac si tien hanh cat bo lop da quanh bo phan sinh duc nam de tao thanh khoang am dao Cac vach cua am dao duoc tao thanh tu da bieu bi voi chieu sau phu thuoc vao bo phan sinh duc nam ban dau
Cat nieu dao Trong buoc nay bac si thuc hien viec cat nieu dao dam bao rang nieu dao moi se ngan hon nieu dao am dao vua tao ra Sau do ho dat mot ong dan nuoc tieu de hoan tat qua trinh tao am dao
Tao hinh moi Sau khi hoan thanh viec tao am dao nhan tao bac si tiep tuc tao hinh moi ben ngoai am dao bang cach cat phan da biu va su dung no de tao ra hinh dang tu nhien
Dinh hinh lai day than kinh cam giac Qua trinh nay giup khoi phuc cam giac cho bo phan sinh duc va dam bao no hoat dong tu nhien hon Dieu nay doi hoi bac si phai thuc hien mot loat thao tac phuc tap de dinh hinh lai he thong day than kinh
Luu y rang day la mot quy trinh phau thuat nghiem tuc va phuc tap va moi quyet dinh nen duoc thuc hien sau thao luan cung voi doi ngu y te chuyen nghiep va tu van tam ly
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Job 21
1 Job prit la parole et dit : 2 Écoutez, écoutez mon discours, Et donnez-moi cette consolation ! 3 Supportez-moi ; que je parle à mon tour ; Quand j’aurai parlé, tu pourras te moquer. 4 Est-ce des hommes que je me plains ? Pourquoi donc la patience ne m’échapperait-elle pas ? 5 Tournez-vous vers moi et soyez stupéfaits ; Mettez la main sur la bouche. 6 Quand j’y pense, je suis épouvanté ; Et un tremblement saisit ma chair. 7 Comment se fait-il que les méchants vivent, Arrivent à un âge avancé et croissent même en puissance ? 8 Leur postérité est établie devant eux, auprès d’eux, Et leurs descendants sous leurs yeux. 9 Leurs maisons sont en paix, à l’abri de la crainte, La verge de Dieu n’est pas sur eux ; 10 Leurs taureaux sont toujours féconds, Leurs vaches mettent bas et n’avortent pas. 11 Comme un troupeau, leurs enfants sortent de chez eux Et prennent leurs ébats. 12 Ils chantent au son de la cymbale et de la harpe, Ils se réjouissent au son de la flûte. 13 Ils passent leurs jours dans le bonheur ; Ils descendent en un clin d’œil au séjour des morts. 14 Et cependant ils disaient à Dieu : Retire-toi de nous ; Nous ne nous soucions pas de connaître tes voies. 15 Qu’est-ce que le Puissant, que nous le servions ? Que gagnerions-nous à nous approcher de lui ? 16 Pourtant ce n’est pas eux qui faisaient leur bonheur… Loin de moi le conseil des méchants ! 17 Arrive-t-il souvent que la lampe des méchants s’éteigne, Que le malheur fonde sur eux, Que Dieu leur donne leur lot dans sa colère, 18 Qu’ils soient comme la paille que chasse le vent, Comme la balle qu’emporte la tempête ? 19 Dieu réserve le malheur pour ses fils���!… C’est lui-même qu’il devrait punir, pour qu’il le sentit, 20 Que ses propres yeux vissent sa ruine, Et qu’il fût abreuvé de la colère du Puissant ! 21 Car que lui importe le sort de sa maison après lui, Quand le nombre de ses mois est accompli ? 22 Enseignera-t-on la science à Dieu, Lui qui juge les esprits célestes ? 23 Tel meurt en pleine prospérité, Parfaitement calme et tranquille. 24 Ses seaux sont pleins de lait, La moelle de ses os est remplie de sève. 25 Tel autre meurt l’âme affligée, Sans avoir goûté le bonheur. 26 L’un comme l’autre s’étend sur la poussière, Les vers les recouvrent.
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5 juillet:
Objectif de la journée, le sommet Veliki. Je démarre à 5h avec ciel bleu, je grimpe jusqu'au pied du sommet où le sentier devient délicat car dans les éboulis. A ce stade je dois préciser que depuis le début de mon circuit "peaks of Balkans" le balisage est assez mauvais car parfois inexistant, et ici c'est l'inverse, 2 balises sur 2 directions... je choisi celle qui continu sur les éboulis. Plus j'avance, plus ça devient raide, à certains passages je dois même escalader des rochers puis continuer sur des éboulis. Ça devient encore plus raide, mais j'approche de la crête. Puis d'un coup je me fait emporter par les éboulis... une couche de petites pierres glisse comme une avalanche et m'entraîne avec elle direction les rochers... j'enfonce pieds, mains, bras (et toute mon âme) dans les pierres pour me freiner. Pendant 4 secondes c'est la terreur avant de réussir à m'immobiliser. Je suis content d'y avoir réussit mais maintenant il faut faire marche arrière et redescendre ce putain de sentier en éboulis (comme le sentier fait une boucle, je pensais y échapper). Je fais un pas et je dévale encore de 1m sans rien contrôler. Comment je vais faire ?! Il doit me rester 30m avec les rochers que j'ai escaladés (beaucoup plus dure à descendre). Je sens la peur monter mais je la refoule vite, ça n'aide à rien. Bref, j'y vais tout doucement, je flippe à chaque pas que l'eboulie m'emporte jusqu'aux rochers où la chute me ferrait très mal. J'y arrive en un temps que je suis incapable de déterminer. L'adrénaline redescend et je constate les dégâts. Que des bobo superficiels sur les bras, mains et hanches, aucun saignement. Je m'en sors bien... Je ne me laisse pas abattre par le moral et je prends l'autre sentier, beaucoup plus facile lui même si je dois descendre par une cheminée aidé d'un câble. Je monte vers une intersection, un sentier qui finit la boucle et redescend dans la vallée, un autre qui monte jusqu'au sommet. Je fais quelques mètres vers le sommet et n'appercois pas de balisage, sûrement sous la neige. C'est ultra raide et je suis déjà au fond d'un cirque magnifique, ça sera tout pour aujourd'hui... je fais une pause pour admirer le paysages et je redescends, content d'être en vie. Parmis les besoins élémentaires dont j'apprends la valeur avec ces séjours, comme la chaleurs, un bon repas, un abris sous orage, je peux aussi ajouter: être en vie.
Bilan: 1100d+, 8km
Mais les emmerdes ne sont pas finis, avec un gros groupe d'étudiant belges qui fout le bordel au camping (et avec toutes les filles en string, sympas pour les locaux musulmans), je décide de me mettre bien à l'écart au fond de la vallée. Plus tard pendant ma sieste des vaches viendront brouter l'herbe pas loin. Je vais prendre l'apero dans une auberge pas loin, je rentre et je vois ma tente defoncée avec de la bouze toute fraîche à côté...... Putain !!!! Je la rafistole avec tu tape (médicale donc pas du tout adapté) et je fixe mon imperméable sous le trou. Esperont que ça tienne le temps de trouver du vrai scotch.
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Noël.
Qu’est-ce que c’est Noël… pour nous les chrétiens ?
Est-ce que c’est : les cadeaux pour les enfants et les petits-enfants ?
Ou un bon repas en famille ou au restaurant ?
Ou un réveillon : dans une salle où on chante, on danse jusqu’au matin ?
Ou le petit Jésus dans une crèche : entre la vache et l’âne ?
Plein de santons et l’arbre bien coloré et couvert de blanc ?
Si c’est tout ça Noël pour nous… alors on n’a rien compris, pas plus que le païen.
Noël ce n’est pas ça du tout… pour nous les croyants
C’est bien, on fait les cadeaux pour nos enfants et petits-enfants
Même très bien le repas en famille… de temps en temps
Mais… aucun rapport avec Noël… aucun.
Noël avant tout ça… c’est le plus beau cadeau du ciel
Que reçoit la Terre de la part de Dieu le Père : tout Puissant.
Je vous salue Marie… Pleine de Grâce… il est né le divin enfant…
On connaît le reste par cœur… depuis longtemps… longtemps.
Noël ça veut dire… que le Seigneur est avec nous… parmi nous
Fils de Dieu qui est descendu du ciel : pour sauver l’humanité
Joie dans le ciel et paix sur la Terre aux hommes qui le mérite.
La joie dans le ciel… elle y est toujours. Paix sur la Terre…on la cherche encore
On cherche à démolir la Terre… pour sauver la paix… quelle paix : la paix de Satan ?
La paix du Seigneur… on ne la cherche pas
La joie du ciel… on ne la sent pas
La paix… la joie de Noël… alors on ne la mérite pas.
Si on n’a pas la joie et la paix de Noël dans notre cœur
Je peux dire aussi… on ne vit pas comme un vrai chrétien.
Si tu as un crédit… il vient ton Père qui a tout payé
Ne mérite-t-il pas un grand merci de ta part ? N’est-ce pas mon enfant ?
Mais c’est le roi des rois… le Seigneur des Seigneurs
Il a tout payé sur la croix… ça ne te dit rien ?
Noël c’est Dieu parmi nous… Il vit entre nous
Essaye un jour
Invite le dans ton cœur… quelle joie ? Tu ne ressens rien ?
Appelle le encore… plus fort
Qu’Il rentre dans ton cœur… dans ta vie
Ne te fais pas de soucis
Il vient si tu l’appelles vraiment.
Après ça tu vois Noël : c’est autre chose
Tu vis Noël chaque jour autrement
Tu ne regardes pas Noël comme une simple fête
Un simple cadeau… un simple repas.
Noël c’est un cadeau du ciel… prends ta part
C’est l’essentiel… rentre c’est le moment.
Fait le premier pas : vers Lui
Tu verras comme Il changera ta vie
Il changera ton cœur… ton regard… ton sentiment
Et tu seras une autre personne… plein de la joie… plein de la foi
Et Noël… il vit en toi.
Je crois que Noël c’est ça… et je le crois fortement.
JALOUF Pierre.
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L'ascension humaine
Tandis qu'au loin des nuées, Qui semblent des paradis, Dans le bleu sont remuées, Je t'écoute, et tu me dis :
« Quelle idée as-tu de l'homme, « De croire qu'il aide Dieu ? « L'homme est-il donc l'économe « De l'eau, de l'air et du feu ?
« Est-ce que, dans son armoire, « Tu l'aurais vu de tes yeux « Serrer les rouleaux de moire « Que l'aube déploie aux cieux ?
« Est-ce lui qui gonfle et ride « La vague, et lui dit : Assez ! « Est-ce lui qui tient la bride « Des éléments hérissés ?
« Sait-il le secret de l'herbe ? « Parle-t-il au nid vivant ? « Met-il sa note superbe « Dans le noir clairon du vent ?
« La marée âpre et sonore « Craint-elle son éperon ? « Connaît-il le météore ? « Comprend-il le moucheron ?
« L'homme aider Dieu ! lui, ce songe, « Ce spectre en fuite et tremblant ! « Est-ce grâce à son éponge « Que le cygne reste blanc ?
« Le fait veut, l'homme acquiesce. « Je ne vois pas que sa main « Découpe à l'emporte-pièce « Les pétales du jasmin.
« Donne-t-il l'odeur aux sauges, « Parce qu'il sait faire un trou « Pour mêler le grès des Vosges « Au salpêtre du Pérou ?
« Règle-t-il l'onde et la brise, « Parce qu'il disséquera « De l'argile qu'il a prise « Près de Rio-Madera ?
« Ôte Dieu ; puis imagine, « Essaie, invente ; épaissis « L'idéal subtil d'Égine « Par les dogmes d'Éleusis ;
« Soude Orphée à Lamettrie ; « Joins, pour ne pas être à court, « L'école d'Alexandrie « À l'école d'Edimbourg ;
« Va du conclave au concile, « D'Anaximandre à Destutt ; « Dans quelque cuve fossile « Exprime tout l'institut ;
« Démaillote la momie ; « Presse Œdipe et Montyon ; « Mets en pleine académie « Le sphinx à la question ;
« Fouille le doute et la grâce ; « Amalgame en ton guano « À la Sybaris d'Horace « Les Chartreux de saint Bruno ;
« Combine Genève et Rome ; « Fais mettre par ton fermier « Toutes les vertus de l'homme « Dans une fosse à fumier ;
« Travaille avec patience « En puisant au monde entier ; « Prends pour pilon la science « Et l'abîme pour mortier ;
« Va, forge ! je te défie « De faire de ton savoir « Et de ta philosophie « Sortir un grain de blé noir !
« Dieu, de sa droite, étreint, fauche, « Sème, et tout est rajeuni ; « L'homme n'est qu'une main gauche « Tâtonnant dans l'infini.
« Aux heures mystérieuses, « Quand l'eau se change en miroir, « Rôdes-tu sous les yeuses, « L'esprit plongé dans le soir ?
« Te dis-tu : — Qu'est-ce que l'homme ? — « Sonde, ami, sa nullité ; « Cherche, de quel chiffre, en somme, « Il accroît l'éternité !
« L'homme est vain. Pourquoi, poète, « Ne pas le voir tel qu'il est, « Dans le sépulcre squelette, « Et sur la terre valet !
« L'homme est nu, stérile, blême, « Plus frêle qu'un passereau ; « C'est le puits du néant même « Qui s'ouvre dans ce zéro.
« Va, Dieu crée et développe « Un lion très réussi, « Un bélier, une antilope, « Sans le concours de Poissy.
« Il fait l'aile de la mouche « Du doigt dont il façonna « L'immense taureau farouche « De la Sierra Morena ;
« Et dans l'herbe et la rosée « Sa génisse au fier sabot « Règne, et n'est point éclipsée « Par la vache Sarlabot.
« Oui, la graine dans l'espace « Vole à travers le brouillard, « Et de toi le vent se passe, « Semoir Jacquet-Robillard !
« Ce laboureur, la tempête, « N'a pas, dans les gouffres noirs, « Besoin que Grignon lui prête « Sa charrue à trois versoirs.
« Germinal, dans l'atmosphère, « Soufflant sur les prés fleuris, « Sait encor mieux son affaire « Qu'un maraîcher de Paris.
« Quand Dieu veut teindre de flamme « Le scarabée ou la fleur, « Je ne vois point qu'il réclame « La lampe de l'émailleur.
« L'homme peut se croire prêtre, « L'homme peut se dire roi, « Je lui laisse son peut-être, « Mais je doute, quant à moi,
« Que Dieu, qui met mon image « Au lac où je prends mon bain, « Fasse faire l'étamage « Des étangs, à Saint-Gobain.
« Quand Dieu pose sur l'eau sombre « L'arc-en-ciel comme un siphon, « Quand au tourbillon plein d'ombre « Il attelle le typhon,
« Quand il maintient d'âge en âge « L'hiver, l'été, mai vermeil, « Janvier triste, et l'engrenage « De l'astre autour du soleil,
« Quand les zodiaques roulent, « Amarrés solidement, « Sans que jamais elles croulent, « Aux poutres du firmament,
« Quand tournent, rentrent et sortent « Ces effrayants cabestans « Dont les extrémités portent « Le ciel, les saisons, le temps ;
« Pour combiner ces rouages « Précis comme l'absolu, « Pour que l'urne des nuages « Bascule au moment voulu,
« Pour que la planète passe, « Tel jour, au point indiqué, « Pour que la mer ne s'amasse « Que jusqu'à l'ourlet du quai,
« Pour que jamais la comète « Ne rencontre un univers, « Pour que l'essaim sur l'Hymète « Trouve en juin les lys ouverts,
« Pour que jamais, quand approche « L'heure obscure où l'azur luit, « Une étoile ne s'accroche « À quelque angle de la nuit,
« Pour que jamais les effluves « Les forces, le gaz, l'aimant, « Ne manquent aux vastes cuves « De l'éternel mouvement,
« Pour régler ce jeu sublime, « Cet équilibre béni, « Ces balancements d'abîme, « Ces écluses d'infini,
« Pour que, courbée ou grandie, « L'oeuvre marche sans un pli, « Je crois peu qu'il étudie « La machine de Marly ! »
Ton ironie est amère, Mais elle se trompe, ami. Dieu compte avec l'éphémère, Et s'appuie à la fourmi.
Dieu n'a rien fait d'inutile. La terre, hymne où rien n'est vain, Chante, et l'homme est le dactyle De l'hexamètre divin.
L'homme et Dieu sont parallèles : Dieu créant, l'homme inventant. Dieu donne à l'homme ses ailes. L'éternité fait l'instant.
L'homme est son auxiliaire Pour le bien et la vertu. L'arbre est Dieu, l'homme est le lierre ; Dieu de l'homme s'est vêtu.
Dieu s'en sert, donc il s'en aide. L'astre apparaît dans l'éclair ; Zeus est dans Archimède, Et Jéhovah dans Képler.
Jusqu'à ce que l'homme meure, Il va toujours en avant. Sa pensée a pour demeure L'immense idéal vivant.
Dans tout génie il s'incarne ; Le monde est sous son orteil ; Et s'il n'a qu'une lucarne, Il y pose le soleil.
Aux terreurs inabordable, Coupant tous les fatals noeuds, L'homme marche formidable, Tranquille et vertigineux.
De limon il se fait lave, Et colosse d'embryon ; Epictète était esclave, Molière était histrion,
Ésope était saltimbanque, Qu'importe ! — il n'est arrêté Que lorsque le pied lui manque Au bord de l'éternité.
L'homme n'est pas autre chose Que le prête-nom de Dieu. Quoi qu'il fasse, il sent la cause Impénétrable, au milieu.
Phidias cisèle Athènes ; Michel-Ange est surhumain ; Cyrus, Rhamsès, capitaines, Ont une flamme à la main ;
Euclide trouve le mètre, Le rythme sort d'Amphion ; Jésus-Christ vient tout soumettre, Même le glaive, au rayon ;
Brutus fait la délivrance ; Platon fait la liberté ; Jeanne d'Arc sacre la France Avec sa virginité ;
Dans le bloc des erreurs noires Voltaire ses coins ; Luther brise les mâchoires De Rome entre ses deux poings ;
Dante ouvre l'ombre et l'anime ; Colomb fend l'océan bleu… — C'est Dieu sous un pseudonyme, C'est Dieu masqué, mais c'est Dieu.
L'homme est le fanal du monde. Ce puissant esprit banni Jette une lueur profonde Jusqu'au seuil de l'infini.
Cent carrefours se partagent Ce chercheur sans point d'appui ; Tous les problèmes étagent Leurs sombres voûtes sur lui.
Il dissipe les ténèbres ; Il montre dans le lointain Les promontoires funèbres De l'abîme et du destin.
Il fait voir les vagues marches Du sépulcre, et sa clarté Blanchit les premières arches Du pont de l'éternité.
Sous l'effrayante caverne Il rayonne, et l'horreur fuit. Quelqu'un tient cette lanterne ; Mais elle t'éclaire, ô nuit !
Le progrès est en litige Entre l'homme et Jéhovah ; La greffe ajoute à la tige ; Dieu cacha, l'homme trouva.
De quelque nom qu'on la nomme, La science au vaste voeu Occupe le pied de l'homme À faire les pas de Dieu.
La mer tient l'homme et l'isole, Et l'égare loin du port ; Par le doigt de la boussole Il se fait montrer le nord.
Dans sa morne casemate, Penn rend ce damné meilleur ; Jenner dit : Va-t-en, stigmate ! Jackson dit : Va-t-en, douleur !
Dieu fait l'épi, nous la gerbe ; Il est grand, l'homme est fécond ; Dieu créa le premier verbe Et Gutenberg le second.
La pesanteur, la distance, Contre l'homme aux luttes prêt, Prononcent une sentence ; Montgolfier casse l'arrêt.
Tous les anciens maux tenaces, Hurlant sous le ciel profond, Ne sont plus que des menaces De fantômes qui s'en vont.
Le tonnerre au bruit difforme Gronde… — on raille sans péril La marionnette énorme Que Franklin tient par un fil.
Nemrod était une bête Chassant aux hommes, parmi La démence et la tempête De l'ancien monde ennemi.
Dracon était un cerbère Qui grince encor sous le ciel Avec trois têtes : Tibère, Caïphe et Machiavel.
Nemrod s'appelait la Force, Dracon s'appelait la Loi ; On les sentait sous l'écorce Du vieux prêtre et du vieux roi.
Tous deux sont morts. Plus de haines ! Oh ! ce fut un puissant bruit Quand se rompirent les chaînes Qui liaient l'homme à la nuit !
L'homme est l'appareil austère Du progrès mystérieux ; Dieu fait par l'homme sur terre Ce qu'il fait par l'ange aux cieux.
Dieu sur tous les êtres pose Son reflet prodigieux, Créant le bien par la chose, Créant par l'homme le mieux.
La nature était terrible, Sans pitié, presque sans jour ; L'homme la vanne en son crible, Et n'y laisse que l'amour.
Toutes sortes de lois sombres Semblaient sortir du destin ; Le mal heurtait aux décombres Le pied de l'homme incertain.
Pendant qu'à travers l'espace Elle roule en hésitant ; Un flot de ténèbres passe Sur la terre à chaque instant ;
Mais des foyers y flamboient, Tout s'éclaircit, on le sent, Et déjà les anges voient Ce noir globe blanchissant.
Sous l'urne des jours sans nombre Depuis qu'il suit son chemin, La décroissance de l'ombre Vient des yeux du genre humain.
L'autel n'ose plus proscrire ; La misère est morte enfin ; Pain à tous ! on voit sourire Les sombres dents de la faim.
L'erreur tombe ; on l'évacue ; Les dogmes sont muselés ; La guerre est une vaincue ; Joie aux fleurs et paix aux blés !
L'ignorance est terrassée ; Ce monstre, à demi dormant, Avait la nuit pour pensée Et pour voix le bégaiement.
Oui, voici qu'enfin recule L'affreux groupe des fléaux ! L'homme est l'invincible hercule, Le balayeur du chaos.
Sa massue est la justice, Sa colère est la bonté. Le ciel s'appuie au solstice Et l'homme à sa volonté.
Il veut. Tout cède et tout plie. Il construit quand il détruit ; Et sa science est remplie Des lumières de la nuit.
Il enchaîne les désastres, Il tord la rébellion, Il est sublime ; et les astres Sont sur sa peau de lion.
— Victor Hugo
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