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saga: Soumission & Domination 330
Sosthène par Sosthène, mes Asiates
Sosthène me fait le récit de sa première prestation. Je lui dis de ne me formuler que ses impressions, j'ai déjà reçu le compte rendu de son séjour à Paris.
Sosthène :
Sasha vient de me mettre dans le train. Les premières c'est classe. Je suis entouré de vieux et mes jeans tranchent un peu parmi les costumes. D'être attendu sur le quai par un chauffeur qui porte une pancarte à mon nom, c'est étrange pour moi. Il prend mon bagage et je le suis sans un mot. Il me dit que monsieur XXX m'attend et qu'il me conduit chez lui. Je n'ai jamais été servi et ça me met un peu mal à l'aise.
Quand je rencontre Henri, je suis très stressé. Je suis seul, pas comme la fois où j'ai rencontré Marc. Rien à voir ! Il me reçoit très gentiment. Et je me détends quand il commence à parler littérature. Le stress revient quand Kev pour qui je suis le cadeau arrive. Je ne comprends pas au départ. Il semble désagréablement surpris de me voir assis avec son " Père/Amant ". Cela s'éclaircit quand je suis présenté comme son présent d'anniversaire. Vite il m'emmène chez lui. Je suis surpris je croyais qu'ils vivaient ensemble. Son appartement est très beau. Les tableaux et sculptures, très orientés homo sont quand même beaux. Le mec est un rapide, il me bouscule direct sur son canapé et me met nu en quelques secondes ! Je n'ai pas le temps de penser que je suis déjà en train de l'embrasser. Tout ira très vite et sans voir le temps passer, je me retrouve vidé, encore plein de sa bite, écrasé par son corps rompu par l'exercice.
Un vrai tourbillon, sans avoir l'intensité de ce que j'ai vécu avec Justin, c'est très étrange comme j'ai vraiment aimé ça. Kev est un amant très fort et sa science de l'amour est consommée.
Mais nous ne sommes pas en avance pour son diner d'anniversaire. Je m'emmêle les pinceaux avec ma cravate il m'aide et son corps dans mon dos m'excite encore.
Le restaurant dans lequel Henri nous emmène est un des meilleurs de Paris. Je suis un peu gauche et cela m'énerve intérieurement. Je suis très gêné quand Henri me tend un petit paquet semblable à celui qu'il offre à Kev. Il insiste et je trouve un jonc en or qu'il m'oblige à passer à mon poignet. Je suis très embarrassé. Kev me persuade d'accepter en me disant qu'il me va même mieux qu'à lui. C'est vrai que l'or ressort bien sur ma peau un peu trop bronzée.
Pendant le retour à l'appartement, j'ai beau faire un effort je finis par ne pouvoir retenir l'émerveillement que je ressens à parcourir le Paris des grands monuments. La nuit qui suit ne nous laisse que quelques heures de sommeil. Il m'a éreinté. Je crois bien l'avoir sodomisé autant de fois que lui m'a labouré l'anneau. Je l'avais cru actif pur mais sa rondelle n'était pas à son coup d'essai.
Le dimanche il me propose/impose une balade dans Paris. Le métro c'est assez " spécial " mais avec Kev à mes côtés, je ne crains rien. Je suis comme un gamin et j'ai l'impression que lui aussi. Devant la tour Eiffel, il m'embrasse devant tout le monde puis s'en prend à un type qui nous aurait insultés. J'ai un moment peur que cela ne dégénère mais c'est finalement pour l'autre que cela fini mal puisqu'il préfère partir avec une femme vulgaire à son bras. Dans les escaliers qui montent au 3ème, je sème Kev qui me rejoint en soufflant. Cela ne m'empêche pas de lui rouler un patin tellement je suis content. Apres avoir vu Paris d'en haut, nous nous faisons draguer à la terrasse du café du Louvre par 2 bataves femelles en chaleurs. Kev les détrompe en me roulant une nouvelle pelle. On se sépare en riant tous les 4 de leur méprise. Pris par l'ambiance détendue que Kev a su faire naitre entre nous, je loupe mon train. Alors que je vais pour m'affoler, Kev minimise le fait et même si je le presse, il me calme et j'arrive à prendre le train suivant. Je suis gêné qu'il se soit cru obligé de m'accompagner à la gare.
Dès que le train démarre, j'appelle Sasha pour le prévenir. Evidemment ce n'est pas grave pour lui. Je travaille jusqu'à l'arrivé.
Alors qu'il me prend dans ses bras et me claque une bise sur les joues, il note tout de suite le bracelet qui orne mon poignet.
Comme je le vois essayer de le retirer et que plus il essaye et moins il y arrive, je lui suggère du savon mais qu'il est tout à fait en droit de le garder. Les cadeaux d'Henri sont toujours de valeur et je lui montre ma voiture, 50% provient de ses largesses. J'ajoute que l'or donne un joli reflet à sa peau et lui dit que quand il se fera poser son piercing au téton, cela sera raccord. Je lui demande s'il a pensé à un animal à placer à l'opposé du tigre. Comme rien ne vient je lui propose une tête de jaguar, un animal de la forêt amazonienne. Le noir pourrait être réalisé avec des émaux ou un travail de l'or différent.
Il m'écoute et de dit rien.
Je le revois le mardi soir pour la séance " sport ". Il porte toujours son jonc en or. Je lui demande s'il l'avait ôté depuis Paris. Il me répond que non seulement il l'avait remonté et coincé sur son avant-bras sous ses chemises pour ne pas avoir de question chez lui. Echauffements, musculation, Jona voudrait le voir plus large. Il estime que quelques cm de plus de tout de poitrine seraient du plus bel effet. Ce n'est que pour son combat qu'il le retire.
Je le regarde combattre. Avec João il adopte naturellement un style coulé très esthétique. Je demande à François de remplacer notre brésilien. Le combat gagne en efficacité. Sosthène se retrouve plus souvent à terre mais il progresse vite. Je suis plus particulièrement les deniers arrivés. L'émulation qui règne les booste et avec le régime préconisé par Jona, les semaines qui passent voient leurs carrures s'élargir et la balance accuser des prises de muscle intéressantes. Je vais devoir équiper la serre de postes supplémentaires de musculation. Le second étage commence à être un peu petit et comme je ne compte pas étaler les jours d'ouverture générale, c'est la seule solution. La terrasse autour de la grande piscine est tout à fait propice à recevoir une douzaine de poste sur les 25m de long.
Ils se donnent tous à fond. Mes " médecins " qui n'arrivent qu'à venir qu'une séance sur deux sont en meilleurs forme qu'à leur embauche. Même une fois par semaine, cela les sort de leurs bouquins et ils sont plus équilibrés ! De plus, ils ont acquis maintenant un niveau suffisant pour maitriser n'importe quelle brute épaisse qui essayerait de passer en force. Certains ont déjà eu recours à leurs nouvelles compétences pour maitriser des excités avant qu'ils ne deviennent trop méchants. Les urgences voient passer une faune assez hétéroclite.
Je suis obligé de calmer mes clients. Depuis que les fiches de João et de Sosthène sont apparues sur mon site privé de réservation, ils reçoivent jusqu'à 5 demandes par semaine. Alors qu'ils ne sont plus " primo-prestation ", certains clients n'hésitent pas à proposer un règlement supplémentaire pour avoir leur compagnie prioritairement. Cela se fait sans préjudice pour mes autres escorts qui performent bien. Le chiffre d'affaire de ma société, sans même compter la part Espagnole ne cesse de monter et avec une progression à 2 chiffres, je participe bien à l'effort national. Pas de licenciements chez moi !
Question placements, André (mon banquier et celui des comptes " escort " de mes employés) s'en charge personnellement. Même si la façade officielle est irréprochable, il préfère ne pas confier mon dossier à un collaborateur. De plus ça l'amuse d'optimiser au mieux les avoirs de mes équipiers.il n'est pas mauvais à ce petit jeu et ses résultats sont souvent proches des deux chiffres eux aussi.
Il me faut 2 semaines pour équiper le jardin de deux nouveaux postes de développé couché, un de développé incliné, une gamme de paires d'altères de 10 à 34 Kg avec trois bancs à inclinaison variable, un poste papillon/oiseau et une chaise romaine avec option traction. J'achète aussi une tour 4 postes pour y travailler les dorsaux, et les bras plus une presse à jambes. Ils me sont livrés et posés. Les installateurs sortent de chez moi un peu cassés même s'ils faisaient honneur à la société. S'il n'y avait les palmiers et les plantes grasses, la cour ressemblerait à une véritable salle de sport. Surtout que de l'autre côté de la piscine j'ai installé pas loin de 50m² de tatami, que l'on puisse s'entrainer à plus de deux à la fois.
Quand mes Escorts découvrent les nouvelles installations, ils sont ravis. Parfois les attentes pour se partager un poste dépassaient des 2mn. Jona, lui, se demandait bien comment il allait pouvoir gérer les exercices de tous. Il a passé une soirée à réorganiser les passages sur les postes en intégrants les nouveaux. Et chacun reçoit sa nouvelle feuille de travail en conséquence. Ric passe voir mon installation. Alors qu'il venait de temps à autre s'entrainer avec nous, il avait cessé faute de place. La nouvelle installation lui plait bien. Sosthène et João qui font sa connaissance sont impressionnés par la masse musculaire qu'il a développée. C'est le plus hypertrophié de nous tous mais comme il a tout travaillé, le résultat est très harmonieux.
Mes premiers Asiatiques
Je recrute aussi les deux asiatiques qui étaient sortis des listes. Lâm et Khang, ils sont amis mais pas petits amis. Ce sont deux français d'origine vietnamienne. Petits formats, 1m70 et 1m72, légers et peu musclés. Ils vont détoner par rapports à mes autres Escorts mais c'est l'idée préconçue que nous en avons et que mes clients vont attendre. Cheveux noir, raides et courts ils sont le parfait physique asiatique.
Je les aborde alors qu'ils sont en train d'écluser un demi dans le bar à coté de leur Fac de langues. Je m'assois à leur table et dit les avoir remarqué et qu'ils seraient idéaux pour le travail d'Escort que ma société propose. J'ajoute rapidement que ma société propose les services de traducteurs mais pas dans les langues asiatiques. Avant qu'ils n'aient réagis, je leur demande quelles langues ils parlent. Alors que l'un me demande qui je suis, l'autre me répond déjà. Ils parlent vietnamien, le mandarin et le cantonais aussi. Le second en même temps me demande ce que je leur veux et qui je suis. Je remercie le premier et réponds au second. Etat civil, nom de ma société, prestations proposées. Je précise officielles. Là je les intrigues avant qu'ils ne comprennent le sous-entendu. En bons homos coming-outés, ils me préviennent qu'ils ne sont pas intéressés par les femmes. Du tac au tac, je leur dis que cela tombe bien la majeur partie de mes clients le sont aussi. Rapidement je leur donne une idée du revenu mensuel qu'ils seraient à même de se faire. Avec des parents immigrés et aux revenus modestes, ça les interpelle évidemment. En cité U, le dossier que j'ai sur eux m'a informé qu'ils ne mangent même pas au Restau-U.
Celui qui m'avait répondu me demande des précisions. L'autres est plus circonspect. J'entre dans les détails, leur explique que j'ai déjà 23 escorts réguliers qui travaillent pour moi. Je leur dis qu'ils ont bien compris la partie non décrite du travail et que c'est bien par elle qu'ils peuvent se faire de tels salaires. J'explique ma stratégie de diversification ethnique et ajoute que cela passe aussi par des stéréotypes. Ils se doutent bien de celui qui est accroché à leurs basques. Le plus expansif acquiesce car c'est souvent pour cela qu'ils sont dragués. Je leur demande si c'est contre leurs penchants ? Il rit et me dit que j'ai du pot, qu'ils rentrent tous les deux pile-poil dans l'imagerie. Ils n'aiment rien moins que de se faire défoncer grave. Je leur demande s'ils iraient jusqu'à montrer les mêmes stéréotypes de soumissions que leurs cousins de l'est. La réponse est immédiate, si c'est ce qui est demandé par le client alors ils peuvent s'adapter. Je me tourne vers le moins disert. Il opine de la tête. Quand je leur demande s'ils sont partants alors, j'ai droit à 2 oui très nets.
Je leur demande de passer à l'adresse de ma carte que je leur donne. On se fixe le lendemain fin d'après-midi.
En bons petits soldats, ils sont devant la porte à 18h pile. Je les fais entrer et nous montons au premier. Ils sont captivés par la frise de mon bureau (photographies de mes escorts). Le plus bavard me dit qu'il comprend alors mon besoin de diversification. Je remplis leur dossier avec les renseignements qui me manquaient. Notamment la taille de leurs sexes. Avec 15x4 et 14x3, ils ne se situent pas dans le haut du tableau. Quand ils se mettent à poil, je leur dit que c'est trop fourni autour ! Ça ne leur pose pas de problème de tailler là. En sport ils vont faire plaisir à Jona avec leur pratique de la boxe Thaï. Je les emmène à la salle de bain et en chemin explique le fonctionnement de l'étage entièrement dédié à la société, chambres et dressing aussi. Je les guide dans l'élagage de leur pilosité et ils en sortent parfaits. Nous finissons le dossier. Je leur donne l'adresse du labo dans lequel ils vont devoir se faire analyser. Il comprenne la démarche même si je leur dis que toutes les relations se font sous kpote. Je note scrupuleusement leurs tailles et mensurations. Je vais devoir acheter en urgence de quoi couvrir leurs fesses. Je n'ai que Maxou dans leurs dimensions et n'ai pas un très gros stock en sous-vêtements. Surtout que quand ils essayent un des ES que j'ai pour lui, c'est juste une taille trop grande !! Mon magasin de vêtement va ramer aussi pour leur trouver des costumes et smokings. Comme ils ne vont commencer probablement qu'avec des contrats " sexe ", j'aurai le temps de les équiper.
Alors que le plus ouvert contourne le bureau pour tenter de me montrer comment il est dans la baise, je le retiens. Moi qui, d'habitude, saute sur tout ce qui bouge, je suis bloqué devant eux. Je suis le premier surpris, c'est une réaction que je n'avais encore jamais eu encore. Je m'en excuse et leur dit que j'aurais un spécialiste le WE prochain pour les tester. Là, je pense à Marc qui se fera un plaisir de les formater comme leurs homologues restés au pays. D'ici là, ils ont juste le temps de passer dès le lendemain au labo pour avoir les résultats vendredi.
Sans être pour autant vexés, ils acceptent le plan.
Samedi Après-midi :
Marc est prêt, je lui en avais déjà parlé et il attend avec impatience de voir quelles sont les différences avec les petits mecs qu'il culbute habituellement et ce qu'il va devoir leur apprendre. Il m'a demandé d'intégrer Hervé qui commence lui aussi à avoir une bonne expérience de leurs " pratiques ". Du coup Ernesto est arrivé pour le WE. Après tout, il n'y a pas de raisons que seuls nos " vieux " soient à la fête !
Mes deux recrues arrivent à l'heure convenue. Je vois qu'ils se sont préparés. Leurs vêtements sont plus près du corps, ils sentent discrètement le parfum.
Je les conduis au premier où je leur présente Marc et Hervé. La suite est ce que je vais voir sur les caméras qui équipent l'étage.
Ils entrent tous les 4 dans une des grandes chambres de l'étage. Lâm et Khang savent surement qu'ils doivent se faire serviables. Ils commencent par déshabiller nos deux quadras, prenant soin de bien plier les vêtements avant de venir en retirer un autre. Une fois nos hommes nus, ils les font se coucher sur le lit en ayant pris soin de placer sous eux des draps de bains présents sur la commode. Ils tirent de leurs sacs à dos des huiles et s'en servent pour les détendre et les masser. Je les vois s'écarter le temps de se mettre nus eux aussi avant de reprendre le massage. A ce stade, ils chevauchent les cuisses de leur " patients " et massent leurs dos avant de descendre sur les fessiers. Une fois replacés à genoux entre les cuisses écartés de Marc et d'Hervé, je peux les voir masser la rondelle et le périnée de leurs victimes. Quand ils les font se tourner sur le dos, je remarque que leurs derniers massages ont eu des effets. Les bites de nos deux Mâles sont raides ! Là, pas d'huile mais de la salive. Je les vois pomper à poser leurs nez sur les abdos de Marc et Hervé. Ils ont l'air de bien se débrouiller et j'entends Marc approuver. Après quelques minutes de suce, ils remontent manger les tétons tout en frottant leurs petits pecs contre les sexes qu'ils viennent d'abandonner. C'est finalement très bandant la différence de format entre eux et nos hommes. Alors que seul avec eux, je n'avais pas eu d'excitation, là, à les mater, je bande !
Sur l'ordre de Marc, ils enfilent les kpotes sur les bites qui vont les défoncer. En fait je vois Marc et Hervé rester sur le dos et les deux petits nouveaux s'assoir sur leurs queues. Ils bossent bien et leurs cuisses fines ont de la résistance ! Ils s'échangent leurs axes de va et vient et reprennent leurs fonctions de branlage par sphincter anal. J'entends les commentaires que s'échangent Marc et Hervé. Ils ont l'air assez content de la soumission de mes deux asiatiques. Hervé dit même que c'est assez proche de ce qu'il trouve sur place. Marc est d'accord. Ils ont apprécié le massage préliminaire, très bien réalisé.
Je récupère le quatuor après leurs douches pour faire un débriefing. Mes deux hommes sont d'accord pour dire qu'ils se sont très bien débrouillés. L'attente que l'on peut avoir concernant un jeune asiate est bien comblée par leur façon de faire. Lâm m'explique que sa mère est masseuse et ajoute tout de suite, de peur qu'on se méprenne, mais sans sexe.
Comme ils ont réussi leurs examens de passage, je leur annonce qu'ils seront proposés à la clientèle dès la semaine suivante. Comme ils n'ont pas encore le permis, ils se déplaceront en taxi le temps de le passer. C'était une question d'argent qui sera vite réglé dès leur première prestation.
Jardinier
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TUMEURS URBAINES
Épisode 15
Installés sur le canapé, Édouard avait servi un verre . Ils trinquèrent à leur rencontre . Ava était sous le charme, ils discutèrent à bâton rompus de la pluie et du beau temps , de l'entretien de la pelouse, du quartier, des beaux massifs de fleurs qui faisaient la fierté d'Édouard.
Ils burent quelques verres pour accompagner leur discussion. Édouard était plus prolixe qu'à son habitude. Ava s'en rendait compte. Elle se demandait si c'était l'alcool ou si c'était sa présence chez lui. Peut-être les deux pense-t-elle en souriant.
Édouard l'observait avec attention, toujours poli il lui demanda
- ça te dérange si je passe de la musique ?
- Non ! rétorqua Ava
- Bowie tu aimes ?
. j'adore ! s'exclama t-elle
Let's dance envahi le salon , il prit la main d'Ava en l'entrainant au milieu du salon pour une danse endiablée.
Ava était heureuse , la soirée s'annonçait sous de bons auspices , les morceaux défilaient, ils dansaient comme de beaux diables.
Ils s'asseyaient régulièrement pour boire un verre et parler musique.
Quand ils reprenaient leur danse Édouard se tenait de plus en plus serré contre elle , il devenait plus entreprenant, puis il l'embrassa doucement , mais il restait courtois. Ava le laissait faire.
Il continuait sa drague , Ava se demandait quand est-ce qu'il allait l'entraîner vers le canapé ou la chambre . Sur le canapé , il lui retira maladroitement ses chaussures.
- va doucement ! Édouard on est pas pressés
Maintenant Édouard soufflait et était tout rouge , il marmona :
- laisse toi faire !
Ava ne le sentait plus dans de bonnes dispositions. Elle réalisa qu'elle s'était trompée depuis le début.
- arrête ! arrête ! hurla t-elle
- ferme la !
Une porte s'ouvrit , un homme à l'allure scrofuleuse apparut .
- qu'est ce qu'elle a celle la ? gueula t-il en baissant son pantalon .
Ava hurla :
- hey ! les gars arrêtez !
- ferme ta gueule ! hurla le scrofuleux
Édouard se débattant avec ses chaussures et son pantalon, était maintenant prit de tremblements. Il tomba par terre renversant une table basse . Le scrofuleux s'avança vers Ava avec une démarche chaloupée et un ricanement démentiel.
Immédiatement Ava plongea la main dans son sac , prit son flingue et tira sur le mec . Un grand silence , le scrofuleux gisait sur le sol , gemissant et tenant son ventre à deux mains .
Il regardait le salon et Ava avec un air ahuri et surpris, ne comprenant manifestement pas ce qui lui était arrivé.
Soudainement Édouard était calme , il observait d'un regard inquiet Ava et son flingue, à part sa chemise , il était nu .
- t'as l'air d'un con ! dit-elle
- pitié ! dit-il d'une petite voix
- dit moi ducon ! qu'est-ce que vous aviez l'intention de faire ?
- Rien ! cria Édouard
- Tu te fiches de moi ?
- Non j'te jure !
- Tu me racontes des conneries ?
Elle lui assena un coup de crosse au visage.
Elle délaissa un moment Édouard pour ce concentrer sur le scrofuleux, elle fouilla dans son sac et cette fois en sortit une feuille de boucher et s'approcha tranquillement du dégénéré qui gémissait de plus en plus fort.
Ava souriait étrangement, elle s'était revêtue d'une combinaison qui la couvrait des pieds à la tête. Cela lui donnait une allure encore plus bizarre, son sourire n'éclairait pas son visage mais c'était un vilain rictus qui déformait son joli visage.
Les jambes du scrofuleux tremblaient, tout son corps était prit de spasmes incontrôlables qui lui donnait l'air d'un artiste qui exécute la nouvelle chorégraphie d'une danse contemporaine .
Ava lui caressa son ventre blessé avec sa feuille de boucher.
- pitié ! pitié !
Un hurlement retentit dans le salon , la feuille de boucher venait de s'abattre sur le sale type.
Ava frissona l'individu perdait son sang celui-ci n'avait plus de bras à présent.
Son sang était d'un rouge carmin qui fascinait Ava.
Édouard hurlait maintenant de toutes ses forces , Ava devait en finir rapidement si elle ne voulait voir arriver les voisins .
- Tu vas fermer ta gueule !
Elle lui administra quelques coups de feuille de boucher , elle démantela le corps d'Édouard et fendit son crâne en deux. Comme hallucinée , à la manière d'un automate elle se dirigea vers la salle de bain pour se laver et changer de vêtements puis elle sortit en siflotant une chanson de Bowie satisfaite du travail bien fait et se dirigea en direction de la gare
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Plus qu’un mois pour Noël
allez tiens jusqu’aux aux vacances, c’est tout bientôt
Comme d’hab on se regardera dans les yeux
on se regardera la peau
des mains et des pieds nus
du visage et torses moitié-nus
tu mettras ton oreille sur mon coeur
je mettrai mon menton dans tes cheveux
et puis ma main sur ton coeur
on se consolera, vas, de tout
devant le feu de bois
que je ferai aussi pour toi
on boira une chope
on soufflera dans la mousse
qui giclera dans nos frimousses
et les autres, la famille, comme d'hab. on les f’ra rire, c’est comme ça,
ils sont habitués maintenant c’est pas pire
alors, on s'en ira sur le balcon
com’ deux p’tits cons
on s’racontera nos histoires
nos belles histoires dans le noir
on fumera une clope
en regardant les étoiles
en se demandant de laquelle on est venu
et dans laquelle on ira
et quand tous les autres dormiront
on se lovera dans nos bras
en attendant que la vie nous emporte
avec sa grand voile
tu sais, mec, t’es pour toujours, toi, mon idéal
pour toute la vie, chacun de l'autre est son féal
c’est d’ja gravé, ça, à jamais
en certitude plus que les bleuets en juillet
comme une eau-forte
que la vie et ses folies nous emporte
et com’ toujours com’ deux petits cons
on s’racontera nos histoires
tu m’diras encore une fois
- toi mec t’as tout eu tout vu tout connu
t’as eu des sales coups du sort
mais in fine t’as pas à te plaindre
moi je suis encore nulle part
et j’te dirai encore une fois
- toi mec t’as tout pour toi
arrête de geindre
t’es beau t’es jeune et plein de talents
t’es d’ja musicien et
tu vas devenir un grand musicien
tout ça c’est certain
tout ça qu’ c’est à frémir
sûr com’ nos dix doigts
le seul truc qui m’fait chier qd j’va mourir
c’est que j’verrai plus tes beaux yeux noirs
si profonds avec mes yeux verts
ceux d’ici qui ont lui pour un temps
sur la Terre
mais quand mon âme s’envolera dans une étoile
elle veillera sur toi mon gars.
C’est d’jà gravé, tout ça
en certitude plus que les bleuets en juillet
comme une eau-forte,
et que la vie et ses folies nous emporte
et que nos rêves nous transportent.
Cell
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bonjour bonsoir liveblog du livre v épisode 1
- galessin……
- venec et ses hommes culs nus vs les orcaniens en mode fashion week
- guenièvre qui prédit absolument tous les mouvements des orcaniens
- calogrenant tu es un homme pur
- bohort et léodagan en pyjama qui se fritent 🥰 ils sont beaux
- bébé gauvain
- les mini-sourires de galessin
- « ce que vous appelez l’ennemi, j’appelle ça le roi loth » je crie
- cette masterclass de françois rollin. d’habitude he serves mais là on est un cran au-dessus
- putain j’avais oublié ce drip de malade de leodagan
- putain arthur avec les cheveux longs c’est un truc à vous faire vriller
- kaamelott without context :
- thomas cousseau je l’aime beaucoup c’est une crème. mais lancelot. putain qu’est-ce que j’ai jamais pu me le voir. il se serait foutu en l’air à ce moment-là de l’épisode ça m’aurait fait ni chaud ni froid
- meleagant dès qu’il parle non seulement j’ai envie de l’encastrer dans le pavé mais en plus je frissonne parce qu’il me fait sincèrement peur, ce mec-là
- les retrouvailles d’yvain et gauvain. pur
- quand on s’est accordés sur le fait que galessin c’est le papa spirituel de gauvain ses expressions faciales quand on dit qu’il rentrera pas en orcanie ça devient tellement triste
- michel tu es le seul homme
- « (elias à merlin) vous croyez que vous m’obnubilez ? » bah….my bro comment te dire ça….oui absolument
- des gosses. ce sont des gosses
- putain elias sur ma vie tu fais peur avec le ton que tu prends et tes cernes de six pieds de long
- l’espèce de break-up de merde d’elias et merlin. heureusement que vous avez pas le son de ce liveblog parce que croyez-moi ça chiale dans les chaumières
- « je me venge pas de lancelot » MAIS ARRÊTEZ
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J’ai cru passer un réveillon horrible. Un peu de fièvre, mal de crâne, mes parents qui me disent de ne pas venir pour ne pas les contaminer… Toute seule dans mon studio avec un reste de brocolis et une demi butternut, super dîner ! Et mes codes Netflix qui ne marchent plus à cause de mon ex qui a résilié son abonnement. Bref, je me suis mise au lit avec trois Dolipranes et mon vibro série limitée Madmoizelle, mais il n’avait plus de piles. J’ai éteins la lumière et je me suis roulée en boule sous la couette. Du coup, je ne vous ai pas entendu entrer. Vous m’emmenez où ? Il y a une vraie teuf cette nuit ? Surtout, est-ce qu’il y aura des mecs, en vrai ? Parce que bon, ça fait presque deux ans que j’épluche Tinder et OkCupid tous les jours et j’en ai ras-le-bol de repasser leur catalogue sans trouver un type correct. Ils sont tous pris les beaux gosses bien gaulés avec de l’ambition ou quoi ?
Ouah, c’est l’éclate ici ! Génial l’ambiance gothique ! Je me mets à oualpé, comme tout le monde. Tiens… je suis déjà à poil ? J’suis bête ! C’est vrai que j’étais dans mon lit. On est chez qui ? Lucifer ? Il est où ? Il faut me le présenter ! Au bar ? Ok, ben je cherche le bar. C’est super grand… Il a une drôle de tête le type, là. On dirait un camé, il n’a presque plus de dents. Et c’est quoi sa bestiole ? Un chat nu ? Un genre de lézard ? J’aime pas comme il me regarde. Putain, il s’approche. Je bouge. Qu’est-ce que vous dites Madame ? J’entends rien, la musique est trop forte. Le prix de l’entrée ? Mais j’en sais rien moi, je croyais que c’était une soirée privée. Je suis venue sans rien, j’ai même pas mon Navigo. Quoi ? Donner mon sang ? Ce serait de bon cœur, mais j’ai rien mangé ce soir. Vous avez vraiment besoin d’une transfusion tout de suite ? Non, pas avec vos dents, je suis sûr que ce n’est pas sain… Mais lâchez-moi ! LÂCHEZ-MOI, VIEILLE SORCIÈRE ! Et la sororité, merde ? Au secours, putain ! Monsieur ! Monsieur ! Vous avez l’air d’être le seul type normal ici et je… je… J’adore les barbus baraqués, vous savez ? On ne se quitte plus, hein ? On rentre ensemble ? Je vous en prie, EMPÊCHEZ-LA DE ME MORDRE LES FESSES ! https://leseffrontes.fr/index.php/2021/12/31/leffrontee-du-mois-de-decembre-2021-pamphile/
(Illustration : Sorcières allant à leur sabbat, par Luis Ricardo Falero, 1878)
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(5)Samedi, 10h00 du matin, je me prépare pour aller faire un peu de shopping. Patric est absent en raison de son boulot comme la plus part des samedis. Il est vrai que ce n’est pas toujours la journée idéale pour faire les boutiques car il y a du monde mais il y a des moments ou j’ aime être dans la cohue des courses ménagère. C’est toujours moins désagréable de se retrouver dans ce genre de masse humaine quand on n’a justement pas vraiment de courses à faire. Ce genre d’achat, je les fait souvent pendant ma pause de midi ou pendant un moment libre lors d’une journée de travail plus calme. Aujourd’hui, ce sera vraiment balade et achat éventuel d’un truc ou l’autre qui me plait. Ce qui me plait aussi lors de ces journées, c’est le regard que posent les hommes qui accompagnent leur femme sur moi. J’aime entendre des bribes de conversations pendant les quelles leur chère et tendre épouse leur reproche de me mater. j’entend même parfois des mots assez grossiers ou des insultes envers moi et paradoxalement, ça m’excite beaucoup. Je ne me prive d’ailleurs pas pour mettre des tenues très sexy pour ce genre de sortie diurne. aujourd’hui j’ai opté pour une petite robe blanche très courte et moulante zippée sur le devant et des chaussures à très haut talon. Je sais que dans cette tenue, Je ne laisserai probablement aucun mari indifférent. C’est au moment ou je m’apprête à sortir que la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je vais ouvrir et devant moi se tient Jean, le fils de Pierre, un ami de longue date. Le gamin à 19 ans, il est grand blond, de beaux yeux bleu, sportif, bien bâtit, en quelque sorte, on peu le qualifier de beau mec. - « Jean, comment vas-tu ? Que me vaut l’honneur de ta visite ? » - « Bonjour, je viens voir si mon père est ici, il ne répond pas sur son portable. » - « Non il n’est pas là mais entre, je t’en prie. » Le jeune homme détaille ma tenue avant d’entrer. Il n’est pas insensible à mon style. Il entre enfin et je le dirige vers le salon ou je lui montre le grand fauteuil devant la porte fenêtre pour qu’il s’y installe. Il à l’air assez tendu, son jeune âge le rend encore très timide et c’est un peu normal, il faut l’avouer. Pour le détendre je lui parle de banalités de la vie et de ces études. En discutant, je m’installe juste en face de lui, bien installée dans le fond d’un fauteuil et je croise mes jambes bien haut. Je sais que d’où il se trouve, il doit quasiment pouvoir mater mon cul tellement ma robe est courte. Jean qui est vêtu d’un training blanc m’explique qu’il devait le retrouver pour faire un tennis. Pendant qu’il m’expliquait cela, je remarque que le jeune homme pose régulièrement ces yeux sur mes cuisses largement offerte. Je pose également mon regard sur la partie intime de l’anatomie de mon invité surprise et constate une belle bosse sous son pantalon de sport qu’il a beaucoup de mal a dissimuler. - « Veux-tu boire quelque chose ? » - « Heu oui, avec plaisir. » Je me lève pour aller à la cuisine chercher un verre et une bouteille de coca cola. Quand je reviens, je pose le verre sur la table basse et me penche très fort en avant pour vider le liquide à l’intérieur. Jean en profite pour jeter un œil dans mon décolleté et ne peut plus s’en détacher. Il doit voir presque entièrement mes seins nu sous ma robe blanche des plus sexy. Il faut dire qu’un zip se règle comme on veut et je n’avait pas fait les choses à moitié, l’ouverture était à la limite indécente. - « Alors jeune homme, on mate ? » Le garçon reste bouche bée devant mon audace. Il est pétrifié par sa propre timidité et ne sait quoi répondre. Il était pris la main dans le sac et cela le mettait mal à l’aise. Devant le malaise du jeune homme, je décide d’aller encore plus loin alors en montrant son entre jambe, je lui dis : - « Et il me semble qu’on bande aussi ? » Je voyait juste, il bandait comme un âne. Je voulais en voir plus, en toucher plus alors je me suis accroupie devant Jean et lui ai abaissé son training d’un coup sec. Il n’a pas émis la moindre résistance et j’ai découvert une belle queue tendue pointant vers le ciel. J ‘ai a posé ma main dessus et l’ai caressée en regardant l’homme dans les yeux. Il me laissait faire en me regardant le branler et lui palper les couilles sans rien dire.Je me suis alors penchée sur cette tige pour la prendre dans ma bouche et la sucer lentement. C’est a cet instant précis qu’il est sortit de la bouche de mon invité un premier râle de plaisir. Moi, avide de ce genre de chose le suce, le lèche en lui tripotant les burnes sans arrêt. Je savais qu’il ne pourrait pas subir ce traitement bien longtemps avant de jouir mais je voulais me faire mettre. Je savais aussi que la timidité de ce jeune homme l’empêcherait de prendre toute forme d’initiative alors c’est moi qui devait prendre les devant. Je m’arrête de le sucer, me redresse et monte moi-même dessus. Je place sa queue à l’entrée de mon sexe et redescend lentement pour sentir cette queue entrer tout au fond de moi. J’ entame alors un mouvement de bas en haut de plus en plus rapide. La bite du jeune homme entre et ressort de ma grotte d’amour avec une grande facilité. Jean regardait mes seins se balancer au rythme des pénétrations malgré le fait qu’il soit toujours dans ma robe moulante. Je ne m’étais même pas déshabillée pour me faire baisée. Je regarde le visage du garçon qui se remplissait de jouissance. Je comprend qu’il ne va pas tarder à jouir alors je m’adresse à lui : - « Ou veux tu te vider les couilles ? » Jean était encore plus excité en m’entendent lui parler vulgairement mais sa timidité encore une fois l’empêchait de dire ce qu’il pensait vraiment. - « Alors dit moi ou tu veux te vider les couilles bordel ? » Je prononçait ces paroles en soufflant et en gémissant presque entre chaque syllabe. Lui ne répondait pas, il fermait les yeux de plaisir en gémissant de plus en plus fort. Sa respiration s’accélérait. Je sentait qu’il allait jouir alors je me redresse en lui disant d’un ton excité : « Je veux que tu décharge sur ma gueule. » Je m’allonge alors sur le divan, le jeune homme se lève et vient se masturber juste au dessus de ma figure. Je suis la allongée, la bouche ouverte, la langue sortie, occupée a m’agiter avec les deux doigts que je me suis fourrer dans la chatte pour me faire jouir en attendant de me prendre le foutre de Jean sur la face et dans la bouche. Je me lèche les lèvres en gémissant ce qui provoque chez le garçon une jouissance rapide. Des jets de sperme viennent s’étaler sur mon visage et dans ma bouche. Je tourne la langue pour ramasser et avaler le plus que je peux. En même temps je jouis moi aussi dans un cri de plaisir sensuel et cochon. Quand je reviens dans le salon après m’être nettoyer le visage, le jeune homme n’est plus la, il est partit certainement plus léger que quand il est arrivé. Je me demande aussi s’il en parlera à son père et je sais que si c’est le cas, celui-ci voudra certainement le même traitement que son fils. Ce que je sais par contre, c’est que je n’en parlera pas à mon mari.
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Juliette
Je distingue super fort le genre biologique de l’expression de genre sociale. Au début je ne me posais pas de question, ou plutôt, je n’ai pas eu de réponses à ces questions avant de rencontrer le milieu queer, de lire des choses queer et féministes. Je n'ai pas beaucoup changé entre le moment où j'étais plus jeune et maintenant. C'est plutôt ma manière de conscientiser les choses et de militer qui a changé. J'ai vécu les choses avant de les théoriser. On a souvent envie de tout théoriser, alors qu'il y a des gens qui vivent les choses, qui sont queer mais qui ne se sont jamais posé la question. Depuis que je traîne dans ce milieu, j'ai vu beaucoup de gens changer, transitionner, évoluer dans leur genre, passer dans un genre plus fluide ou non binaire... Trouver une étiquette c'est assez compliqué, aujourd'hui il y a mille appellations qui finalement sont toujours mouvantes alors je trouve que c'est difficile de trouver sa place. En même temps, quand on est dans des milieux safe - où on peut être qui on veut sans avoir tout le temps des remarques ou des questions ou des regards - c'est très facile d'être soi sans avoir besoin de se définir.
Enfant, j'étais vraiment libre d'être qui j'avais envie d'être. Je ne m'identifiais pas du tout aux filles ou aux femmes de mon entourage. Du coup c'était un peu bizarre, de m'identifier plutôt au genre masculin mais en étant en compétition avec les garçons, en me disant que je serais meilleure qu’eux. Il y avait de la rivalité. Ma mère m'a quand même laissée faire et je me rappelle que jusqu'à ce que j'ai des seins elle me laissait me balader torse nu à vélo dans le village avec les petits gars du patelin. J'allais sauter de la cale devant la crêperie de ma tante, en Bretagne, en short de bain. Ma grand-mère, ma tante laissaient faire: j'étais la petite fille torse nu.
Après tu rentres dans l'adolescence, et ça c'est sûr c'est plus dur. Tu dois quand même te plier aux règles, tu dois faire plus attention à toi avec ces trucs de poids, de poils, de cheveux de maquillage, de fringues... là ma mère m'a mis plus la pression. Elle voulait que je fasse plus attention, que je me néglige moins. C'était même pas une question de maquillage - ma mère se maquille pas - mais il fallait que je ressemble un peu plus à une fille: avoir des beaux cheveux, des fringues de fille. Puis t'as la pression de tes pairs, des autres à l'école... du coup j'étais la bonne pote, comme j'étais pas trop trop meuf.
Si je devais trouver une petite case dans toutes celles qu'il y a maintenant, à mon avis je dirais que je suis, j'hésite, non binaire ou gender fluid. Je me suis un peu posé la question de la transition mais je ne pense pas que je vais le faire: j'ai pas du tout envie d'appartenir au genre masculin. Dans les milieux queer, je me définis comme meuf. Je préfère "meuf" à "femme" d'ailleurs. Je trouve que c'est important de se définir comme une meuf pour la lutte. Mais je ne me retrouve pas dans les stéréotypes associés aux femmes, et je vois bien que les gens ne m'identifient pas non plus comme ça. Les gens s'attendent à ce qu'on ne prenne pas trop de place, qu'on ne fasse pas trop de bruit, qu'on soit bien comme il faut, qu'on ne travaille pas trop, qu'on ne consacre pas trop de temps à nos activités personnelles, qu'on ne boive ni ne fume pas trop, qu'on ne rentre pas trop tard... Qu'on soit jolie. Et bon, on m'appelle quand même de plus en plus "Monsieur". Mais en fait c'est plutôt confortable: généralement dans les lieux publics quand tu es un garçon c'est plus facile. Du coup, j'ai plus de place, on me parle mieux. J'ai accès à certains privilèges. Par contre le revers c'est que c'est moins confortable quand les gens voient qu'ils se sont trompés, qu'ils se mettent à hésiter. Ça peut aussi donner lieu à des situations marrantes cela dit, comme cette fois où j'ai demandé un emballage cadeau pour un achat et que la fille m'a regardée en disant "Monsieur... euh, Madame... euh Monsieur... Oh bah je sais plus!".
Quand je parle de moi j'utilise parfois le masculin. Je n'y réfléchis pas, ça vient comme ça, et ça dépend des moments et des interlocuteur·trices. Je fais ça depuis toujours: déjà dans ma bande de potes au collège on se genrait toutes au masculin. Aujourd'hui je dis plutôt que je suis "seul" ou "nu". Je dis plutôt "beau" que "belle". D'ailleurs personne ne me dit que je suis belle, mes amis disent "Juliette est beau ce soir". Ça sonne plus juste, et eux-mêmes me disent que ça ne leur viendrait pas à l'idée de me le dire au féminin. Moi j'aurais l'impression que ça ne m'est pas adressé.
Je crois qu'inévitablement mon genre est lié à ma sexualité. Je ne suis pas hétéro - même si j'ai eu des relations avec des garçons. Ça a été un long questionnement, même si ce n'est pas arrivé si tard que ça puisque j'avais 19 ans pour la première, mais pour arriver jusque-là ça a été compliqué. Quand des meufs me draguaient en me disant "mais si t'es lesbienne" je me plaçais en opposition en disant "non mais trop pas, lâche-moi, ça me saoule". J'avais pas envie qu'on vienne me dire qui j'étais avant que je le sache moi-même. Alors qu’évidemment ça me taraudait depuis un bout de temps mais je ne voulais pas l'admettre.
Puis un jour je suis allée en festival dans le sud de la France et j'ai rencontré cette meuf qui s'appelait Fred. Elle avait vraiment une gueule de taularde, le crâne tout rasé, je me suis dit "ok, elle, elle est lesbienne, je me fie aux stéréotypes". Et je me suis monté un petit délire en me disant que si j'embrassais pas cette meuf avant la fin du festival c'est que j'étais pas lesbienne. Donc évidemment, ça a été branle-bas de combat pour que quelque chose arrive, et finalement il s'est passé quelque chose et je me suis dit "ok c'est bon, je suis lesbienne".
Je me considère chanceuse parce que je vis bien mon genre et ma sexualité. Je sais bien que ce n'est pas évident pour tout le monde, que certaines personnes ont un passé douloureux avec leur coming out, leur genre, tout ce que tu veux. Je sais aussi que c'est plus facile d'être une meuf blanche. J'ai pas de religion, ma famille est relativement ouverte, ma mère m'a toujours défendue. Cela dit ça reste une épreuve quotidienne, tous les jours t'as une remarque dans la rue, à la longue ça peut devenir fatiguant. Je me suis faite à l'idée qu'un jour je me ferai casser la gueule, à la fois parce que j'ai pas un passing de meuf cis et à la fois parce que je suis pas un vrai mec. Et si je me fais que casser la gueule, je m'estimerai heureuse. Et ça me fait chier de me dire ça.
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Amour à la Van Gogh
C'est quoi l'amour
devenant vieux je vois les jeunes
et me dis ils sont tous tellement beaux
on devrait tous les aimer,
mais non alors pourquoi ?
devenant vieux je me dis
si d'un coup de baguette magique je m'en revenais
à ma première année de fac, aussi sec
je tomberais amoureux de tous les mecs
et de toutes les filles de mon auditoire
jusqu'à plus soif jusqu'à tout boire.
mais non, ça marche pas comme ça
je suis là, amoureux de la jeunesse
mais je le suis donc là d'un état
en état d'ivresse
pourquoi, qu'est-ce qu'il y a ?
Il y a un truc invisible
invisible pour tous sauf pour un
c'est ça le truc
comme dans la peinture de Van Gogh
tout le monde voit un champ jaune de blé
tout le monde voit un champ jaune de tournesol
mais il y a beaucoup plus, comme
« Deux corps enlacés dans un champ de tournesol
Écrin mordoré
Autant de fleurs pour les cacher.
Entre eux coquelicots, bleuêts
Autant de flammes pour crier leur amour.
Autant de couleurs pour peindre leurs émois.
Soleil couchant,
Autant de cuivres pour couvrir
leurs cœurs enrichis de se regarder nus.
C’est biblique, l’amour, et le dieu
Van Gogh ne les ayant pas rencontrés, les a cachés dans sa peinture.
Blés ou tournesols, c’est du pareil au même,
et regardez de plus près, l’œil contre la toile :
seul ce Vincent-là savait déjà,
lui qui palpait toutes les pulsations par son pinceau,
tâtait toutes les émotions,
sniffait toutes les odeurs.
Seul Van Gogh a su mettre autant de bleus,
d’indigos, de rouges et de mauves,
puis d’ors différents
dans tous ses champs
pour ce qui n’aurait pu être que paille. »
J'avais écrit ça dans un livre
mais j'avais oublié...
Mais l'amour comme le temps s'use
après les fleurs des champs se fânent
et leurs couleurs deviennent feuilles d'automne
brunâtres et sèches
l'autre devient revêche
quand l'un devient décu.
Mais qu'à cela ne tienne
que l'amour revienne.
Et puis, et puis quand il sera tard,
que l'heure viendra car
elle fini toujours par sonner son glas
il y aura la vie éternelle, va
c'est tout ça, les enfants
qui vont et qui viennent.
La femme accouchera dans le sang pourpre
d'un bébé un peu mauve
qui grandira
il aura plein de bleus au cœur
il ira nu courir ses risques
sous bruyères et lentisques
il ira nu sur les plages
mettre sa peau au soleil
pour que, devenue cuivre, elle touche
l'or d'une autre merveille,
pendant que des vieux à côté louchent
pensant au temps passé qui s'enfuit
et qui revient
comme ça en boucle
c'est tout ça Van Gogh
Rester fou d'amour
jusqu’à toujours
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Je m'excuse auprès de tous ces beaux mecs nus d'avoir été obligés de couper l'oiseau. Sont les censeurs de Tumblr qui porte du sang sur les mains.
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Facebook
La première fois que j'ai entendu parlé de Facebook, je me suis immédiatement dis que pour rompre ma solitude ce serai un lieu idéal. Je vis très loin de ma famille mais si je dois être honnête, je n'ai jamais vraiment eu la fibre familiale. Au début, j'ai ajouté de la famille, des vieux amis et quelques voisines. Mais rapidement, je me suis rendue compte que je pratiquais l'auto-censure, parce que je ne pouvais pas tout dire et que tu coups, voir les photos des cousins et cousines ça me saoulais plus qu'autre chose.
J'ai donc créé un deuxième compte, avec un pseudo, ou je n'ai ajouté que des gens que je ne connaissais pas et que je croisais au fil des pages. Là, j'ai commencé à bien m'amuser. Facebook était devenu ma cour de récréation. J'ai créer des pages par dizaines, sur des tas de sujets différents et j'ai été confrontés à la bêtise de la censure américaine. Le nu artistique est prohibé sur ce site. Le sexe même suggéré est bannit également. La transparence vestimentaire n'y a pas sa place. Par contre, la violence, la cruauté, la bêtise, et le racisme, y sont parfaitement tolérés!
J'ai été bloqué un nombre incalculable de fois ! J'ai vu certaine de mes pages être effacé purement et simplement, même celle sur l'art ! Parce que si les peintre de la renaissance peignait des Venus dénudée, facebook lui, ne veux pas de ça chez lui ! Il parait que cela peut choquer les mentalités dans certains pays. S'il s'agit des pays musulmans, quand je vois les photos et les vidéos que certains hommes de c'est pays m'envoient sur ma page concernant les femmes rondes, je me dis que le plus choqué des deux n'est pas celui que l'on croit ! Et pourtant, je ne publie JAMAIS de photos de femmes nues ou d'images pornos, puisse que c'est INTERDIT sur facebook !! J'ai donc appris à rusé, à créer des tas de profil de secours qui me servent uniquement à publier sur mes pages mais qui ne sont pas le profil que j'utilise quand je veux être en contacte avec mes amis. Je pourrai donner des cours dans la façon de contourné les règles de Facebook !
Ce site pousse à la délation. On peu signaler tout et n'importe quoi ! Et pas moyen de s'expliquer, de se justifier, de savoir pourquoi telle image ne convient pas! Car facebook ne donne aucun moyen de le contacter en cas de litige. Facebook décide de tout, il est DIEU tout puissant.
Faccebook à fait ressortir ce qu'il y a de pire chez l'humain ! Et lui permettant de commenté les publications. Mais facebook pousse l'hypocrisie jusqu'à ne pas accepté de mettre un emoji "je n'aime pas" alors que n'importe quel abrutis peut ouvrir sa grande gueule sous une image, et nous brandir son fameux droit à la liberté d'expression si on a le malheur de lui faire une réflexion en retour ! Pour ma part, je ne discute même plus! Mon option préférée est devenu "bannir cette personne".... fin des discussions qui ne mènent à rien !
Ensuite, il y a eu toutes ses affaires sur la protection de la vie privée et je sais désormais que Facebook n'est pas lieu ou ce que je publie est en sécurité. J'avais pris conscience que rien ne disparaissait vraiment de ce site, le jour ou ils ont installé Messenger et ou toutes les conversations que j''avais effacés sont réapparue dans ma boite de message !
J'y passe de moins en moins de temps, préférant de loin trainer sur Tumblr. Là au moins, pas de censure ! Si je n'aime pas les publications d'un blog et bien je n'y vais pas ! C'est aussi simple que cela ! Pas de politique de délation, pas de faux puritanisme ! Je ne dis pas que le site est plus sécurisé, je dis juste qu'ils est moins puritain, moins faux que ne l'est facebook tout en étant plus ouvert puisse que tout le monde peut s'abonner à n'importe quel blog ou commenté une image ou envoyer un message, et malgré tout, j'y suis bien moins embêté que sur Facebook ou en plus des MP salasses, je reçois au moins 2 fois par semaine des demandes d'amis de mecs, beaux, veufs et riches . L'arnaque sans arrêt et les profils piratés, non facebook n'est vraiment pas un lieu ou on se sent protégé et en sécurité.
Facebook me sert désormais comme d'autre réseaux sociaux, simplement à partager les images que j'aime sur mes pages. Mon profil est verrouillé. Je n'accepte les demandes d'amis qu'au compte goutte. J'y vois passé les publications de ma famille, les photos de voyages de mes amis mais je trouve que la solitude se fait plus ressentir sur ce site, quand personne ne mets de like.
Mais Facebook est une drogue. Comme tout les réseaux sociaux. Difficile de passer une journée sans aller voir ce qui s'y passe. Alors facebook à encore une très longue vie devant lui... une vie ou nous n'aurons rien à dire, qu'a accepté ou partir en laissant tout ce que nous avons publié derrière nous.
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Nouvelle n°1
Il était onze heures et demi du matin, par un beau jour ensoleillé de Printemps. De ceux qui redonnent foi en la vie. Que lui réserverait donc ce lieu ?
Elle se trouvait à l’adresse qu’on lui avait indiqué, devant la devanture d’un salon de massage asiatique tout ce qu’il y a de plus banal, comme il y en a des dizaines à Paris. Elle était un peu déçue par ce manque de charme, mais cela ne diminuait que peu son excitation. Peut-être cette excitation était justement attisée par ce brin d’anxiété qu’elle ressentait en elle. On lui avait parlé de cet endroit, de ce lieu où on guérissait les libidos blessées.
Il n’y avait qu’une jeune femme à la réception, sinon le lieu semblait désert.
- Bonjour.
- Bonjour Madame, et bienvenue. Quelle formule souhaitez-vous ? A, B ou C ?
- Je vais prendre la A, c’est mon premier essai. - Cela fera 100 euros. Puis-je vous offrir un rafraîchissement le temps que nous préparions le salon ?
- Oui, je prendrai bien un expresso
C’était bien le troisième ou le quatrième de la journée, alors qu’il n’était pas encore midi. Le café fort était sa drogue quand il s’agissait de calmer ses anxiétés matinales.
On lui apporta le café dans une petite tasse, et elle le sirota pendant quelques minutes.
- C’est bon, le salon est prêt, je vais vous montrer la voie.
On l’accompagna dans un couloir assez long, et sa guide s’arrêta devant l’entrée d’une pièce fermée par un rideau, au dessus duquel se trouvait un écriteau où il était inscrit : « Baptiste et Louis ».
- Entrez, madame, dit la jeune femme, tout en tirant le rideau.
Au centre de la pièce, un confortable canapé trônait. Au mur de la pièce étaient accrochées deux télévisions, une en face d’elle, l’autre à sa droite, à côté desquelles était aménagé ce qui ressemblait à des œilletons. On ne lui avait pas menti, elle pourrait aussi observer le spectacle de ses propres yeux comme elle le souhaitait.
- Madame, vous disposez de deux télécommandes pour allumer ou éteindre les écrans. Bon visionnage.
Elle s’assit sur le canapé quelques minutes, elle sentait déjà une forme d’émotion monter en elle. Elle saisit la télécommande et alluma une des télés. Un homme, la trentaine, aux cheveux coupés court, commençait à se déshabiller dans une salle de bain immaculée, où entrait la lumière matinale du soleil par une petite lucarne. Elle observa son petit manège. Une fois entièrement nu, il sortit une bombe de mousse d’un placard, et commença à se couvrir les joues de celle-ci. Puis il commença à se raser, consciencieusement.
Il était mince et pas spécialement musclé, mais son corps était agréablement proportionné. A part sur sa zone pubienne, il était peu poilu, seules ses joues étaient aussi couvertes d’un mince duvet. Son sexe au repos était bien proportionné, la verge tombant sur ses testicules nonchalamment.
Elle regarda encore un petit moment, puis décida d’allumer l’autre télévision.
Un grand noir se tenait dans une cuisine. Il était visiblement en train de préparer le petit déjeuner. Les “éphèbes”, comme on les avait appelé, vivaient au rythme des clients, se couchant tard et avec des horaires décalés. Il s’était emparé d’un bol, dans lequel il touillait des œufs. Sur la cuisinière, une poêle huilée chauffait doucement.
Il portait un simple tablier de cuisine, et était nu sous celui-ci. Comme il avait le dos tourné à la caméra, elle pouvait admirer ses jambes aux muscles finement dessinées et ses fesses rebondies. Il était à peu près de la même taille que son comparse et le corps tout aussi glabre, mais plus musclé. Elle ressentait une étrange excitation à voir cet homme s’affairer à cette tâche tout à fait triviale dans une telle tenue. Lequel était Baptiste ? Lequel était Louis ?
Elle se dit qu’il était de voir quel point de vue donnait l’œilleton où se trouvait le premier garçon. Elle s’approcha dans sa direction et l’ouvrit. L’ouverture avait visiblement été aménagée dans la douche, et ainsi le point de vue était idéal pour observer le garçon s’activant devant le lavabo. L’image était très nette au centre, et un peu trouble sur les bords, en raison de la convexité de la lentille. Elle avait posé ses mains sur le mur.
Le jeune homme avait fini de se raser. Il saisit un flacon, s’aspergea de quelques gouttes de parfum, et le reposa. Puis, comme si cela était la continuation de sa toilette, il prit son sexe entre ses mains, décalotta le gland d’une vive couleur violacé et commença à se masturber.
Le sexe ne mit pas longtemps à se trouver en érection, et le jeune homme s’était tout naturellement tourné en évidence dans le champ de vision de notre visiteuse. Sa main s’agitait de manière décidée sur son sexe, dans un rythme constant mais pour le moment peu rapide. Le membre turgescent était progressivement devenu d’une taille conséquente, bien plus imposant que celui-ci ne laissait deviner lorsqu’il était au repos.
Ce spectacle ne la laissait pas indifférente, et elle se rendait compte que ses mains posées sur le mur étaient devenues moites. Pour mieux observer et ne pas en rater une miette, elle pressait son visage sur le mur.
Elle laissa un instant le jeune homme à sa besogne, pour voir où en était l’autre. Le grand noir avait fini de faire cuire l’omelette, qui frémissait dans sa poêle. Il enleva son tablier, révélant un long membre noir circoncis, au gland d’une couleur à la fois plus brillante et plus sombre. La vue de ce sexe l’excitait et la terrifiait à la fois. Quels orifices pouvaient donc accueillir un tel volume, qui plus quand celui-ci n’était plus au repos, sans être déchiré, se demanda-t-elle un instant, presque effrayée. Le jeune homme marcha dans la direction d’une porte, et l’ouvrit. Il semblait bien qu’il s’agissait de la porte de la salle de bain où se trouvait l’autre garçon.
Suffocante et bouleversée, elle se précipita pour observer à travers le premier œilleton. Les deux hommes échangèrent quelques mots, tandis que le garçon blanc continuait de se masturber. Puis, tendrement, le grand noir saisit la nuque de son comparse, et l’embrassa tendrement. Le baiser était long, profond, de ceux qu’échangent des amants au somment de leur passion. L’autre enlaça à son tour son partenaire, et son sexe raidi toucha le bas ventre de ce dernier. Elle avait le souffle coupé, et, inconsciemment, collait son œil contre l’œilleton, au point que son arcade sourcilière, appuyée contre le mur, commençait à devenir légèrement douloureuse.
Une fois le baiser échangé, le grand noir se saisit du sexe de son amant, et se prêta au jeu de le maintenir dans sa belle vigueur. L’autre saisit à son tour le splendide membre de l’autre, et tenta d’infuser en lui le sang nécessaire à son gonflement. Il se fixait l’un l’autre dans les yeux tendrement, tout en s’acquittant chacun de leur tâche. Le grand sexe ne mit pas longtemps à se redresser, mais maintenant en pleine érection, la différence de taille avec celui de l’autre n’étais pas si manifeste, et il paraissait plus alangui. Toutefois, ce beau spectacle de deux sexes dressés la ravissait, et elle sentait le feu s’emparer du creux de ses cuisses.
Ainsi c’était cela - se disait-elle- non seulement on peut observer ces beaux mecs se balader nus, mais ils laissent espionner leurs ébats, et c’était cela que la clientèle venait chercher. Tout en étant plongé dans ses pensées, sa main, comme dotée d’une volonté propre, était en train de soulever sa jupe pour se ménager un chemin à travers son satané collant et sa culotte jusqu’à son clitoris. Au demeurant, le coton semblait déjà trempé de mouillure au niveau d’une bonne partie de l’entrejambe, alors que cela ne faisait même pas un quart d’heure qu’elle était présente.
Ceci dit, il y avait un rebondissement dans le spectacle qui se déroulait dans la pièce. Le jeune homme blanc, lâchant le sexe de son partenaire, ouvrit un tiroir dans le meuble sous la vasque et s’empara d’un godemiché aux dimensions généreuses. L’objet, une couleur violette criarde, jurait face aux chairs des acolytes et paraissait un peu ridicule. A nouveau, le noir prit l’initiative d’un long baiser, qui résonnait comme un remerciement anticipé de ce qui allait se passer par la suite. Ensuite il s’accouda sur le bord du lavabo, tendant ses magnifiques fesses musclées à la vue de l’autre jeune et de notre spectatrice interloquée. L’autre, s’emparait un flacon, versa généreusement entre les fesses du grand noir ce qui semblait être un produit lubrifiant, puis, tout en caressant ses fesses, entreprit d’enfoncer l’objet entre les fesses. Tandis qu’il exerçait la pression nécessaire, le visage du garçon se soumettant à ce jeu se mordilla les lèvres, et ses mains se mirent à trembler légèrement. Une fois l’objet enfoncé environ à la moitié de sa longueur, l’autre entreprit de commencer un va-et-vient.
Ce spectacle la fascinait, et pendant un moment, sa main s’était arrêtée dans sa course vers son clitoris déjà gonflé par le désir. Elle commença finalement à se caresser, au rythme des va et vient du jeune qui tenait le godemiché. Une minute passa, lorsqu’elle entendit une voix derrière elle :
- Madame, c’est la fin de la prestation. Un client attend à présent son tour.
Honteuse et interdite, elle retira sa main de sa culotte, les doigts encore humides de sa mouillure, et chercha à se donner une contenance. La réceptionniste avait en fait parlé à travers le rideau. Elle réarrangea son collant et sa jupe, et sortit.
- Je vais vous raccompagner à la sortie. Ce moment a-t-il été agréable ?
- Oui, c’était même divin, dit-elle d’une voix chantante.
Oui, pour sûr, et peu importe si cela la conduisait à la ruine, dans peu de temps elle reviendrait rendre visite à Baptiste et Louis.
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Nos expériences (suite)
De tout ce que nous vivons depuis un moment, entre nous, Agnès et moi, et maintenant nos complices, les petites anecdotes portant sur nos jeux en vacances ont une place très particulière. Ceci depuis déjà un moment, c'est-à-dire depuis qu’avec Agnès nous avons commencé à nous aimer, et à prendre du plaisir ensemble. Nos petits jeux, nos moments complices avec les parents en Espagne, et à la maison également, et ce encore aujourd’hui.
L’été en général, mais l’Espagne en particulier, nous annonce toujours des instants privilégiés. Déjà parce que le soleil et la chaleur sont des facteurs qui nous poussent à être plus libre, à vivre des moments plus érotique, nous incitent à être plus sensuelles, plus sexys. Et ensuite parce que c’est un peu un endroit fait pour s’amuser. Evidement cela passe par nos tenues, accentué par notre habitude rituelle du sans dessous-dessous. Habitude prise aussi par chez nous, mais beaucoup plus facile à vivre ici. L’ambiance générale de cette période, l’ambiance électrique, et partagée par tous dans notre maison. Tous les jours, il y a un instant, même plusieurs, ou il se passe quelque chose qui déclenche un petit plaisir, une émotion, une envie. Instants érotiques. Des instants provoqués aussi.
Déjà les plages. Et les tenues pour ces plages.
Nous avons le choix, à chaque fois que nous partons pour la plage, et cela se décide en fonction du temps que l’on a, et du temps que l’on souhaite y rester. La plage classique, la grande, qui donne sur la ville, quand nous savons qu’après nous devons aller en ville, ou partir en visite, ou simplement envie de rester plus longuement au jardin. La plage nudiste, quand nous avons un peu plus de temps, même si celle-ci est en prolongement de la 1ère, elle est malgré tout un peu plus loin du centre ville. Et puis « notre » crique, nudiste en grande partie, et coquine à ces heures, quand nous décidons d’y passer la journée. Plus loin, elle oblige à prendre la voiture. Les 2 autres c’est en vélo.
Le vélo, nous le prenons soit en maillot et jupe pour la plage classique, soit nue sous nos jupes quand nous partons pour la plage nudiste. Tenue de rigueur pour les 3 nanas de la maison. Et sur la route, le père circule tout autour de sa troupe, et jette un œil, rarement discret, à chacune d’entre nous pour vérifier, comme si cela était encore utile, que nous n’avons pas dérogé. C’est avec malice que quand il se retourne, un petit écart des cuisses, lui prouve qu’il a tort de s’inquiéter. Il part alors en faisant le fou sur son vélo, debout sur les pédales, à se faire remarquer des passants, et revient pour vérifier encore et encore. Il a beau nous voir nues toute la journée, mais ces instants sont des instants savoureux pour lui. Et pour nous, ils le sont tout autant. Nous jouons. Et jouer à êtres nues sur nos vélos et aussi pour toutes nos sorties en ville, pour les courses, les balades, les restaurants etc.… nous procure toujours une sensation très particulière. Sensation partagée par tous, ce qui instaure en permanence une ambiance plutôt électrique et proche du plaisir quasi permanent.
Sur la grande plage, maillot obligatoire. Mais mono pour nous toutes. Nous nous installons généralement face à l’avenue par laquelle nous arrivons, une avenue large, de parking d’un coté et de bars et restaus, de l’autre. Evidement les boutiques avec tout ce qu’il faut pour la plage. Y compris les crèmes et huiles de toutes sortes.
Normalement le haut du maillot est dans le sac. Mais c’est très fréquent qu’il soit resté à la maison. A cet endroit de la plage, il y a un bar, à la fois coté plage et aussi sur l’avenue. Il fait dancing le soir, et en dessous, une petite boite avec danseuses, où se retrouvent les couples en recherche de nouveaux plaisirs, et qui viennent également draguer, au bar et au dancing, pour trouver des complices bien plus jeunes. Je m’y suis faite draguer plus d’une fois, par des couples de tous âges, dont certains me donnent il est vrai, envie de les suivre. Par contre souvent des gens sans scrupules qui n’hésitent pas à sortir de gros billets pour acheter un couple de jeunes ou un duo de filles, comme nous. Il y a toujours un petit groupe de filles, sexy mais vulgaires, maquillées à outrance, et perchées sur des chaussures qui me semblent inadéquates pour un lieu de vacances. Elles viennent ici pour ca et se font de l’argent avec ces rencontres. C’est leur droit. Certaines sont superbes et j’ai quelques fois discuté avec elles. L’attrait de l’argent dans un cadre de vacances. Pourquoi pas.
Ce qui ne nous a pas empêchées de jouer et de provoquer quelques uns de ces messieurs trop seuls, ou accompagnés, qui nous offraient un verre et à qui nous autorisions des regards intimes sous nos jupes trop courtes. A condition qu’ils soient sympathiques. Ils viennent nous voir, en espérant que nous accepterons de les suivre, mais il n’en est pas question. Même si parfois…
Donc ce coin de plage avec son bar et sa terrasse sur le sable est un coin sympa. Musique, volley, etc.… L’endroit où se retrouve pas mal de « d’jeunes » comme dit papa. Ce qui n’est pas pour lui déplaire. Défilé permanent de jeunes filles et de maillot très sexys. De beaux mecs aussi, qui étalent un peu leurs musculatures. Endroit sympa pour tester les nouveaux maillots. Comme dit le père, le succès se compte au nombre de serviettes qui viennent s’étaler en cercle autour de la fille qui va arriver avec un string hyper sexe ou un maillot affolant. Pas faux. Et assez drôle. Cela m’est arrivé un bon nombre de fois, ce qui fait rire les parents installés à quelques mètres de là.
Un jour dont je me souviens bien, seule avec mes parents, car Agnès arrivait seulement en fin de semaine, c’est le jour où je suis arrivée avec ma jupe blanche, un teeshirt blanc très court, un ensemble plutôt sexy. Ce jour la je suis partie avec en tête l’idée de plaire, de me faire désirer. Déjà en me préparant ce matin, sur la terrasse, j'ai compris que ma tenue faisait de l'effet. J’aime jouer de ces tenues qui me font penser comme on va me regarder et me désirer. Et cette fois j’ai sentie une émotion supplémentaire en faisant des essayages devant la glace puis sur la terrasse.
J’ai déjà posé ma serviette, retourné pas mal de « salut » au petit groupe de personnes de mon âge que je connaissais déjà un peu. Puis, déjà en quittant le haut pour apparaître les seins nus, j’ai attiré un peu le regard des garçons présents. Mine de rien, laissant courir ces yeux sur moi avec un certain plaisir, j’ai sorti mes affaires, lunettes, huile, bouquin. La star d’un instant. Des commentaires en espagnol surtout, qui, selon ma mère qui le parle très bien, portaient sur la beauté de mes seins et la couleur de ma peau, en passant pas la longueur de mes jambes. De quoi être ravie.
Puis, debout, innocente, je descends ma jupe en la laissant doucement glisser le long de mes jambes, pour me retrouver avec un nouveau string, acheté avant le départ mais jamais porté, si ce n’est dans le jardin la veille, où il a déjà eu un effet plutôt affolant et où il fut qualifié de « magnifiquement scandaleux » par le père. Blanc, petit cœur de métal au dessous des reins, cordon blanc perdu entre les fesses, et devant, petit rectangle blanc, très étroit, qu’il a fallu que je ressorte discrètement de mon minou avant de baisser la jupe. Et là ! Silence au départ, puis chuchotements, et quelques soupirs admiratifs. Me voila à nouveau comblée de faire autant d’effet. Comblée et surtout excitée. Succès confirmé. La pointe de mes seins confirme mon état intérieur.
Je m’allonge en regardant tour à tour mes admirateurs, et certains, qui me connaissent, n’hésitent pas à se déplacer pour s’installer au plus près. Me voila « La Star » du moment. Deux plus malins, ou plus coquins, sont derrière moi. Vue directe sur mon entre-jambe, et je sais, pour le sentir, que mon string trop étroit, ne leur cache quasi rien de mon intimité. Je resserre ou relâche mes cuisses pour jouer à cache-cache avec eux. Un jeu formidable. Surtout que ce string à tendance à se resserrer jusqu’à disparaître entre mes lèvres gourmandes. Ce qui m’oblige a glisser un doigt pour le ressortir et ce qui du coup donne aux 2 garçons du dessous de sacré rougeurs aux joues. Et nous partons dans des discussions, mi-français, mi-espagnoles, sur des banalités, sur la musique, la plage, pendant lesquelles, je ne cesse d’être scrutée des yeux. Du coup, les filles de cette petite bande, n’hésitent pas à quitter les hauts, et se montrer sexys à leurs tours, pour retrouver leurs copains ou du moins ceux qui étaient déjà à les draguer avant mon arrivée. Certaines sont très jolies en plus. Plus timides au départ, elles sont contentes que j’aie pu donner un signe, et jouent elles aussi à se montrer sexys. Les hauts sautent et les bas des maillots se font de plus en plus étroits. Une d’elles est partie et revenue des toilettes du bar en ayant changé de bas. Elle est revenue avec un string du même style que le mien. Tout aussi sexy. Aussi provocant. Un string brillant sur sa peau très mate, qui lui cache à peine les lèvres d’un sexe tout aussi lisse que le mien. Elle s’est installée à mes cotés et m’a fait comprendre qu’elle n’osait pas le mettre, en étant la seule ainsi, les autres filles de leur groupe étant un peu moins « joueuses ». Elle a une poitrine généreuse, avec des tétons superbes, foncées, gonflés. Elle me fait envie…
Du coup notre petit groupe devient le point de mire du reste de la plage alentour. Les parents sont écroulés sur leurs serviettes, et le père ravi du spectacle.
Ces petits moments là sont très forts. Se lever pour aller à l’eau, et être accompagnée par les plus osés, qui font tout pour profiter de ce que je peux offrir à cet instant. Je traverse la plage sous les regards chaleureux de la plupart des messieurs présents. Malgré quelques commentaires en rapport avec mon jeune âge et ma tenue. Sans intérêt. Mes compagnons du moment, en jouant dans l’eau, tentent quelques attouchements. Je joue, j’aime, et je ne repousse que les gestes trop audacieux comme cette main qui s’est retrouvée entre mes cuisses le temps de laisser passer une vague. Je profite d’être dans l’eau pour réajuster ce string provocateur et glisser un doigt entre mes lèvres comme un petit soulagement furtif. Je sens combien mes « amis » du jour ont une envie folle de me prendre la, dans l’eau, et je suis presque tentée de me donner aussi. J’y pense et j’en coule de désir. Un moment sublime quand au milieu de cette petite bande, ma complice du jour, ose s’approcher au plus près, m’enlace et nous restons quelques instants, seins contre seins, ventre contre ventre, sous le regard envieux des autres et surtout le regard de son compagnon du moment, à la fois un peu surpris, dérangé, et comme la plupart des garçons devant ce genre d’attitude, excité par la situation.
Dans ce genre de situation, un moment intense également : aller sous la douche de la plage, pour se rafraichir ou se rincer. Une de ces douches se trouve juste à proximité de la terrasse du bar. Alors, arriver dans cette tenue, se doucher à 2 pas des tables occupées par des messieurs qui ne perdent rien du spectacle, et qui se posent ici pour ca d’ailleurs, est excitant au possible. Et ce jour là, deux de mes compagnons de plage, me suivent et m’offrent un verre. Me voila donc nue, ou tout comme, rejointe par le reste de la petite bande, au milieu de la terrasse à pavaner et faire ma belle. La plupart des filles qui viennent à ce bar en venant de la plage, ont l’habitude de se recouvrir, au moins d’un paréo, le temps de se désaltérer. Quand une ose s’y installer seins nus, elle est le point de mire du bar entier. Alors, seins nus, et en string, surtout de cette taille… Je suis élue la « miss du bar » pour au moins la semaine. Je scrute derrière mes lunettes le regard des mecs présents, et tous sont posés sur mes seins ou le petit bout de tissus qui ne cache rien de mon minou. Le tissu, trempé de la douche, dessine au mieux le contour de mon abricot. Ma vulve gonflée de désir semble être en attente d’un contact. Je frémis de me donner de la sorte. J’en vois frémir aussi. Délicieux !
Et de ce jour, mon moment magique fut mon départ. Après avoir fait quelques bises à la plupart de cette petite bande d’admirateurs, et admiratrices, dont un baiser insistant à ma belle copine du jour, rangé mes affaires, assise sur ma serviette, je m’habille. J’enfile ma jupette, qui me couvre en fait très peu vu sa taille. Assise, seins nus, je me recoiffe en chignon, et fait ressortir un peu plus ma poitrine comme un au revoir, puis avant de passer mon teeshirt, je glisse mes mains sous ma jupe, m’arrête, regarde les deux compères qui sont allongés face à moi et qui scrutent derrière leurs lunettes le moindre de mes gestes avec un sourire heureux, me tourne légèrement, faussement pudique, et je fais glisser mon string sur mes jambes. Je le roule en boule dans mon sac. Ceci n’a pas échappé non plus à un autre couple ainsi que deux autres garçons, encore à me regarder partir. Scotchés ! Me voici nue, sous ma jupe, sous les yeux ébahis de mon petit comité d’admirateurs. Je suis aux anges. Presque une jouissance. Je sens mon plaisir couler entre les lèvres de ma petite chatte, plein de désir retenu comme à chaque fois que je joue de cette façon.
Je leur adresse mon plus beau sourire, en enfilant mon teeshirt sur mes seins dont le bout est depuis ce matin déjà bien dur et sensible. Ca aussi ils l’ont vu. Et le teeshirt moulant accentue encore plus la vision de mon excitation. S’ils savaient combien je suis trempée… j’en rajoute encore en leur tournant le dos pour rejoindre mes parents et prendre mon vélo. Un déhanchement appuyé pour faire jouer mes fesses nues sous ma jupette. Je suis convaincue que mes « copains » commentent mon départ et y vont d’une belle érection en mon honneur. Ravie !
Ce genre de situation, affolante, nous l’avons revécue souvent avec Agnès. Et chaque fois, nous repartons avec une chaleur humide entre les cuisses, sur notre vélo. Parfois, en repartant de la plage, nous en profitons pour aller en ville, faire quelques courses, ou prendre un verre dans un bar de l’avenue, excitées au mieux. Souvent le papounet nous gratifie d’un de ses plus beaux clins d’œil complices. Et l’excitation ne diminue pas le temps que nous restons ici, ou a faire les magasins pour le manger du midi. Et arrivées à la maison, c’est au plus vite que nous nous retrouvons nues, au jardin ou à table après être passé un moment au studio ou sous la douche du jardin pour nous calmer. On s’enlace et on se câline en imaginant tous ces yeux gourmands posés sur nous. Oubliant un moment que nous ne sommes pas seules et que tous profitent de nos éclats de rire et gémissements…
***
Ces moments magiques, nous les vivons également quand nous arrivons et repartons de la plage nudiste. Car même si le fait d’être nues, est logique sur cette plage, nous voir arriver et repartir sans rien sous nos jupes, qui plus est, en reprenant nos vélos, en laisse plus d’un interloqué. Et comme nous sommes toutes les trois à faire de la sorte, ils semblent bien se demander comment nous vivons en dehors de la plage. Il se demande aussi comment le seul homme de la troupe peut vivre ces situations. S’ils savaient…
Sur cette plage, les moments de plaisirs de cette sorte, sont plutôt dus aux attitudes qu’aux vêtements. Les nudistes, les vrais, ne font que très peu attention aux autres. Par contre, les nudistes occasionnels, les « testeurs » comme dit papa, eux sont plus à l’affut du moindre petit geste sensuel, de la fille un peu plus sexy que les autres. Ils ne viennent pas si souvent, alors ils sont la pour ca. Ils ont au moins le courage d’être nus, à l’inverse de quelques baigneurs, qui eux ne viennent ici que pour regarder. Les « voyeurs ». Et ils ne s’en cachent pas. La plage est uniquement tolérée aux nudistes, mais pas réservée. Donc chacun y est dans son droit. Après tout, si nous venons la c’est que nous le voulons, et de plus, avoir des admirateurs… Il faut reconnaître que tous ces corps, nus, ont un charme, et pas seulement les plus sexys et les plus beaux. Certains papys ou des mamys, ont un charme puissant, de la sensualité, du au fait d’être bien, à l’aise. Il se dégage parfois de ces personnes âgées quelque chose de fort. Une tendresse aussi. Et tant mieux.
Le plaisir principal sur cette plage, même si ce n’est pas le but, c’est de pouvoir se dévoiler sans complexe. Etre nue, parmi un tas de gens nus. Et il faut l’avouer, et ce peut être plus à mon âge, qu’avant ou après, c’est de se sentir fière de son corps au point d’être heureuse de se faire admirer.
Et, même si cela est peu modeste de ma part, je sais que mon allure, mes formes, mon style, plaisent. On me dit jolie, plutôt bien faite, et je suis consciente depuis un moment déjà, ado et un peu avant encore, que j’attire les regards, et que l’on me trouve désirable. Je sais que mes seins, bien ronds, fermes, biens dessinés me donnent une allure très sexy. Mon ventre plat, mes hanches assez droites, mes longues jambes fuselées, sont des atouts importants. J’entends et on me le dit souvent. Ma façon d’être aussi, libre, sans artifices, mes cheveux un peu roux, mes yeux verts, et si j’ajoute ma cambrure naturelle et des fesses biens rondes et fermes… tout cela me classe dans une catégorie dite de « jolie fille ». Alors j’en suis heureuse, et j’en profite, j’en joue. Pourquoi ne pas être contente de ce que la nature m’a offert. C’est aussi parce que je suis ainsi que je suis modèle pour les photos, y compris maintenant, des photos sexys. Même si Alain, mon photographe, me connait de tout petite, et qu’il m’a demandé de poser, je vois bien sur les lieux de tournage que je suis très sollicitée par les autres photographes présents. Et puis, un atout très important en fait, c’est que je suis très à l’aise avec mon corps.
De ce que me dit Alain, et d’autres aussi, c’est qu’ils ont des modèles parfois superbes, mais pas assez libres de leurs corps, et du coup elles perdent le charme, et deviennent juste des images, sans vie. Et, ils me disent, que j’ai, moi, ce côté très naturelle, que mes formes et mon charme en sont décuplées. Ce coté libre, naturel, doit en partie venir justement de cette habitude que j’ai depuis toute petite de me promener nue, sur ces plages et ailleurs, et d’avoir compris, ado, comment ce charme était agréable a voir dans le regard des autres. Education très libre aussi.
Donc me dévoiler ainsi ne me dérange pas et au contraire je suis énormément heureuse de me retrouvée nue et admirée sur une plage comme celle-ci. Je peux ici, me montrer comme je suis, et je pense que d’en être consciente et fière ajoute encore plus de charme à l’ensemble.
Et puis quand il s’agit de se faire plaisir, de jouer, j’ai appris et je sais maintenant quels détails simples peuvent ajouter à une nudité. Comme de se relever les cheveux en chignon mal fait, pour libérer la nuque… Sexy ! Ou debout, sur le sable, bien droite avec les jambes quelques peu écartées, le temps de se désaltérer ou de regarder au loin. Irrésistible ! Je vois dans le regard de mon admirateur « n° 1 », combien mes gestes, mes poses, ou ma façon de me tenir, sont appréciés.
Le plaisir vient aussi de se montrer plus sexy et plus désirable que de simples baigneuses nues. Pour jouer, il suffit d’une position offrant son intimité de façon plus provocante que la normale, pour un spectateur choisi. Comme de dos, en écartant volontairement les jambes, sans trop, juste pour que le minou s’ouvre un peu et brille au soleil. Ou bien, assise en tailleur, le buste bien droit, le nez au soleil. Position presque « zen ». Mon sexe est alors ouvert au mieux qu’il peut, et en plus des regards qui l’observent, le soleil apporte une sensation de caresse intime et intense. J’aime ces moments. Ou bien encore, se passer de l’huile de façon très suggestive. Au point de faire monter en pression les observateurs. J’essaye aussi le plus souvent, pour ne pas trop passer pour une simple « allumeuse », d’ajouter à ces moments la, un regard et un sourire complice. Une façon de partager l’instant. Je m’offre d’accord, mais merci d’apprécier. Et du coup le partage devient plus fort. Une forme de complicité.
Se montrer et regarder aussi.
Voir un bel athlète musclé, fière de son corps, et faire ce que nous faisons nous-mêmes, est également un véritable plaisir. Et parfois, certains de ces messieurs, savent prendre les poses et les allures qui mettent en valeur leurs corps, et aussi leurs attributs. Et de toutes les trois, il est rare qu’un de ces beaux messieurs, passe inaperçu. Celle d’entre nous qui le voit la première, en avertit les autres. Complicité féminine oblige. Même le père, nous prévient, si un détour en descendant à l’eau vaut la peine. Et il est vrai que parfois, il nous est permis de voir de très beaux spécimens. Des corps somptueux, sexys, attirants. Et des outils fabuleux. Des sexes que nos regards insistants font quelques fois réagir, le tout avec un sourire entendu, un clin d’œil, jusqu’à un point où il est préférable pour lui de se retourner sur sa serviette, en attendant d’être plus présentable. Souvent dans ces moments là, il se passe quelque chose de fort. C’est un regard, un sourire, qui fait des uns et des autres des complices d’un instant.
Souvent, nous profitons d’une marche sur le bord de l’eau, pour faire, par jeu, un petit inventaire, et nous notons, comme des gamines, les mâles que la plage nous offre. Sans oublier les jolies filles aussi. Normal. Mais ici, l’inventaire porte sur les messieurs. On en trouve souvent, parce qu’ils s’en amusent aussi, des beaux, assis dans l’eau, bien exposés, laissant leurs sexes, négligemment flotter au gré des petites vagues. On en frissonne. Et de nous voir passer, et repasser, coquines, en nous tenant par la main, ils ont parfois de jolies réactions. Ces apollons sont un peu là pour ca aussi. Profiter de cette plage, le soleil, pour se laisser admirer. En couple aussi, et parfois de superbes couples heureux du succès qu’ils ont en paradant au bord de l’eau.
Il n’est pas rare de se retrouver à l’eau ensembles, et que l’on puisse profiter, plus à l’abri des regards, d’une magnifique érection irrésistible. Parfois, il est même arrivé de profiter d’être loin des regards pour caresser un beau membre, dans l’eau, pour le plaisir du monsieur et pour le notre aussi. L’envie de le prendre en bouche ou plus est si forte, que c’est presque en jouissant que je lâche ce jouet. Moment intenses…
Une des fois où cela est arrivé, le monsieur était si beau que c’est nous qui l’avons suivi au bain. Il était fier de nous montrer depuis le matin un corps sublime et un sexe magnifique sur la plage, allongé à coté de nous, en se passant régulièrement de la crème, et insistant dessus en nous regardant. Visiblement, il était venu sur la plage avec le but de se faire admirer, et l’envie d’en tirer un plaisir. Il a rodé un moment dans le coin, en arrivant, serviette sur l’épaule et sac de plage à la main, scrutant les serviettes féminines, jusqu'à choisir de s’installer à côté de nous. Peut être avait il remarqué que nous le suivions de regard. Il cherchait des admiratrices. Et comme les trois n’en loupaient rien… Il était ravi.
Un homme de 50/55 ans environs, grisonnant, grand, musclé, juste un peu de poils gris sur le torse, une peau dorée, des cuisses et des bras de rugbyman, ventre plat et abdos magnifiques, fesses musclées… Un monsieur très bien entretenu qu’on imaginait bien fréquenté instituts et salle de sport, et qui ne laissait rien au hasard pour bien paraître, et surement aussi dans sa façon de s’habiller, mais à l’instant… Un régal. L’apollon de la plage. Il le savait d’ailleurs. Très sur de son effet. Il posait plus qu’il ne bronzait. Et un sexe ! Long, large, lisse, de la couleur de sa peau, des boules à peine plus sombres, et un peu ridées. Debout, il pendait comme un beau bijou entre ses jambes, et assis, il se posait naturellement sur la serviette comme un petit animal qui attend sa caresse.
A peine posé, il s’est installé comme une complicité sous-entendue entre lui et nous. Et quand, sous nos regards insistants, il prenait du volume, il s’en amusait, et il s’amusait surtout de voir les trois filles s’échanger des commentaires qu’il savait à son encontre, et surtout à son corps et à son sexe enviable. Le fait aussi de comprendre que sur les trois, une était surement la mère de l’une des deux autres. Cette complicité ajoutait encore un peu de piment agréable. Il se calmait en se reposant sur le ventre, et nous dans un sourire malicieux, nous lui faisions comprendre que l’on attendait de revoir. Je me suis un moment assise en tailleur face à lui, pour lui rendre la pareille, et c’est en fixant mon minou, tout aussi lisse que lui et très humide, qu’il m’a fait comprendre, par mimique, qu’il ne pouvait plus se retourner. Clin d’œil appuyé de ma part pour lui faire comprendre que ce n’était pas innocent. Clin d’œil en retour pour dire qu’il en était conscient. Il observait également avec plaisir notre façon de nous passer de l’huile avec Agnès, dans des gestes volontairement provocants, en le regardant dans les yeux. Coquines.
Puis un peu plus tard, calmé, il s’est relevé, fixant à tour de rôle, chacune de nous, et est venu demander l’heure à maman. Heureux de voir comme nous étions admiratives. Il a échangé quelques mots avec elle. Il nous regardait de plus près. Il nous détaillait plutôt. Nous aussi. A genou devant nous, comme pour encore mieux s’exposer, il nous a expliqué qu’il repartait sur Lyon en fin d’après midi et qu’il profitait de sa dernière journée de plage. Il à même ajouté, qu’il était ravi de passer la matinée en notre compagnie. Il nous scrutait chacune notre tour, félicitant papa pour ses « charmantes filles ». Il est resté un moment entre sa serviette, et les nôtres, à marcher avec son téléphone à l’oreille. Chaque fois qu’il le pouvait, il trouvait une pose pour montrer à qui voulait bien regarder, comment il était superbement bâti. Et joliment équipé.
Puis il s’est dirigé vers l’eau. On s’est marré un peu de notre jeu. Mais en le regardant, sur son petit matelas dans l’eau, à faire de son mieux pour prendre des poses de catalogue et se faire admirer des baigneuses, Agnès et moi, avons eu envie de le voir de plus près. Arrivées dans l’eau, nous avons continué de le regarder et lui nous détaillait sans gène. Normal. Echange. Et moins de monde donc moins de retenues. On a bavardé un moment, lui sur son matelas et nous à nous baigner, de l’eau à la taille.
Petit à petit, en nous éloignant des autres baigneurs, il se rapprochait sur son matelas, assis, face à nous. Et au bout d’un moment, étant loin des regards, et voyant nos regards de joueuses, il a commencé à se caresser, de façon très sensuelle, juste des caresses du bout des doigts, sur la longueur de son sexe. Comme pour passer de l’eau et le câliner. Puis en nous regardant fixement, son geste s’est précisé. Caresses appuyées, jusqu'à ce qu’il soit bien droit. Magnifique ! Un rêve ! Il prenait une forme et une allure surprenante. Son petit sourire pour nous faire comprendre qu’il était content que l’on vienne l’admirer. Il passait sa main, à plat, de bas en haut de son sexe qui grossissait encore, doucement.
Il regardait alentour pour s’assurer de ne pas être remarqué, et nous profitions de son membre sublime, pour nous, à demi dans l’eau. Image de magasine. Emouvant ! Dans cette position, il semblait énorme, un peu tordu, et d’une jolie couleur dorée. Et son corps musclé pour finir le tableau. Un apollon, nu, bandant, et tout ca pour nous.
Puis sur son invitation silencieuse, nous nous sommes approchées. Il avait le dos à la plage, et les vagues nous poussaient vers lui. Pour rester ensembles, nous avons attrapé le matelas. Chacune une main de chaque coté, pour que les vagues ne l’éloignent plus et nous fixions ce sexe à portée de nous. De l’autre main, je me caressais aussi, et parfois j’allais câliner Agnès. On riait de la situation. Lui aussi. Il bandait de plus en plus, sans se toucher, juste sous l’effet de nos regards.
Alors, en prenant de l’eau dans ma main, je l’aspergeais doucement et laissais couler l’eau sur son bel engin. Il sursautait et se dressait encore plus, juste de recevoir de l’eau. Le jeu lui convenait et lui procurait un immense plaisir, comme a nous. Agnès jouait a son tour, et nous admirions ce beau jouet, le beau corps musclé, et étions ravies de voir tressauter ce sexe chaque fois que l’une laissait couler de l’eau sur le bout du gland et que cette eau agissait comme une caresse.
Et puis je l’ai attrapé, pris en main, avec un gémissement de bonheur. La situation, encore une fois, autant que la beauté de ce membre, apportait un gros plus à notre excitation.
Et j’ai commencé de le branler. En jouant. Un moment inoubliable que ce superbe sexe dans ma main. L’eau, ajoutait à l’érotisme du moment. Lui a juste un instant caressé nos poitrines, puis s’est a nouveau agrippé à son matelas. Il nous offrait son sexe. C’est tout. Et il s’offrait un moment intense.
Alors j’ai continué, et Agnès m’a rejoint. Et nous l’avons branlé, toutes les deux, ou parfois l’une de nous seule pour en profiter au mieux. On arrêtait par moment pour juste le caresser, jouer de ses boules, dessiner le contour de son gland avec nos doigts. Je prenais de l’eau et lui passait dessus pour le rafraîchir et il sursautait de plaisir. Tout le temps de nos caresses, nous n’avons pas échangé un mot. Juste des sourires. Lui heureux de se laisser masturber pas deux filles comme ca, et nous émerveillées de pouvoir toucher un membre aussi magnifique et dans une situation peu banale. Voir nos mains courir sur toute sa queue. J’ai quelques instants passé ma langue sur toute la longueur. Englouti furtivement dans ma bouche, pour sentir combien il brulait d’envie et comme elle était soyeuse sous ma langue. Difficile de le sucer sans se faire remarquer. Il a à peine retenu un petit cri. Mais pour moi le lécher de cette façon m’a fait chavirer. Superbe queue sur ma langue. Superbe souvenir.
Il s’est crispé un moment, a regardé une dernière fois autour, puis s’est tendu, immense, face à nous, et il a jouit d’un seul jet, interminable, avec un cri retenu en se mordant les lèvres. Agnès à gémit aussi. Elle a pratiquement jouis aussi. Je sentais mon jus chaud dans l’eau froide entre mes cuisses. On ne lâchait plus notre jouet. Et avec un petit rire, il nous a fait comprendre qu’il devait le reprendre. Avec une main, je prenais de l’eau, et lavais cette queue brulante encore. Il se laissait faire. Heureux.
On a reprit nos esprits, en discutant, mais à peine, dans l’eau. Je regardais toujours son sexe reprendre progressivement une taille normale. Il nous a caressés furtivement les fesses dans l’eau, en reprenant la direction de la plage. Et nous sommes revenus sur nos serviettes respectives. Avant de partir il est venu nous dire au revoir. Nous ne l’avons jamais revu.
Une matinée inoubliable.
Et puis il y a notre crique.
Là, c’est un endroit où l’on va si c’est pour y rester la journée. Vingt minutes de voiture. Route de montagne presque. Pour arriver sur un chemin de terre, qui sert de parking. Et ensuite la crique. Ce n’est pas très grand. Il y en a plusieurs sur cette côte, mais celle-ci est nudiste pour la plupart du temps. Ce n’est pas la seule, mais les autres sont encore plus loin et il faut marcher longtemps dans des broussailles avec d’y arriver. Là, on est vite installés. Plage étroite, un peu de verdure, pour s’abriter, et sur les cotés, pas mal de rochers. Sur la gauche, après les rochers, une autre petite plage, mais très petite, et la baignade impossible à cause des rochers dans l’eau. Nous y allons en se promenant. Ou pour s’isoler car les câlins y sont très faciles. On peut s’y allonger sans trop de risque d’être surpris. Le temps de traverser les rochers pour les « visiteurs », fait qu’on a le temps de se reprendre, de les voir arriver. Et comme il n’est pas utile de se rhabiller… Mais ceux qui sont sur la plage, connaissent le coin, et connaissent aussi l’utilité de cette 2eme plage. Alors si parfois certains s’y isolent, et que d’autres arrivent, selon les envies, les premiers continuent les câlins, sous les yeux des autres. Partage et connivence. Plaisir de voir, pour le plaisir de montrer. Cette petite plage m’était « interdite » avant. Depuis quelques temps, j’ai le droit et j’en profite.
Avec Agnès, nous y avons déjà assisté à quelques moments d’intimité, de couples, et une fois d’un couple accompagné de 2 compères que la femme se régalait de sucer à tour de rôle, et ravie encore plus que nous assistions à son plaisir. Elle s’est fait prendre ensuite par les deux compères, pendant que son mari, entre deux photos, se masturbait énergiquement, soit en nous regardant, soit en glissant sa queue dans la bouche de son épouse. Spectacle assez sympa, même si un peu trop vulgaire dans la façon d’être de cette femme qui n’arrêtait pas de sortir des mots inutiles comme pour exciter ses mâles. Avis personnel. Un manque d’érotisme et de sensualité.
Avec Agnès, nous avons nous aussi laissé un couple nous regarder faire l’amour à cet endroit. Un autre spectateur était là aussi. Un homme seul, qui était la à chaque fois que nous sommes passées. Son poste. Il ne bougeait pas. Nu sur son rocher. Un sexe droit qu’il caressait tranquillement, mais que je n’ai jamais vu jouir. Le couple lui, s’était mis à coté de nous, sans un mot. Un sourire pour que l’on comprenne que regarder était leur seule attente, et nous avions continué de nous caresser. Elle, assise à coté de lui, le tenait fermement, sans le branler et lui ne nous lâchait pas des yeux. Nous n’avons pas vraiment fait l’amour ce jour la, mais caressé longuement, jambes emmêlées, en s’embrassant avec fougue. Mais la situation manquait de « chaleur » à notre gout, et nous sommes reparties sur l’autre plage pour leur laisser la place. Elle, s’est installée sur lui juste avant que nous disparaissions de l’autre côté. Ils sont repassés peu de temps après. Visiblement contents. Tant mieux.
Sinon sur la plage, on retrouve une ambiance très sympa, car pas mal de gens que l’on fini, d’années en années, par connaître un peu. Ma mère y retrouve fréquemment une copine de lecture. Les jours où il y a peu de monde et si il n’y a pas d’enfants, certains ne se déplacent pas sur la deuxième plage pour se laisser aller. Les habitués parfois, organisent un petit barbecue. Ambiance chaleureuse. Une ambiance assez érotique, de bonne humeur, et comme nous grandissons d’années en années, nous avons rapidement fait partie des « complices ». Au début protégées des regards et des moments chauds, nous avons progressivement basculé dans la complicité de ces instants, au fur et à mesure de notre curiosité, pour enfin être joueuses à part entière, sans retenues. Averties et accompagnées aussi. Education…
Ce n’est pas non plus un endroit « orgiaque », mais plus ou moins discrètement, dans l’eau ou sur la plage, ou à l’écart sur des rochers, on peut facilement voir des couples, se laisser aller à des caresses, quelques fellations offertes aux voyeurs proches, et même partages entre certains. Il y règne une ambiance érotique, très coquine, sauf en présence de familles venues la sans penser à ce genre d’ambiance. Mais surtout les gens s’amusent. Un superbe couple, presque installé au même endroit, à peine caché d’un petit parasol posé en paravent, ont l’habitude de rester allongés, sur le coté, lui derrière et prenant sa femme, comme ca. Elle continue de bouquiner, tout en gémissant assez fort. Ses seins, refaits, s’agitent sous les secousses de son mec. Quand quelqu’un les regarde, elle pose son livre, se caresse les seins, et fait comprendre que son plaisir monte. On devine plus qu’on le voit. Ils terminent toujours avec un petit cri. Et ils vont à l’eau se laver. Jamais rien de très méchant et surtout rien la journée tant qu’il y a des enfants.
Le soir, par contre, il peut s’y passer des choses très coquines. Sur la plage. Mais aussi sur les bateaux qui viennent se poser dans la crique. La journée ces plaisanciers, nus sur leurs bateaux, des habitués aussi, passent souvent de longs moments à bronzer, et aussi, en se baignant, à discuter avec les couples de la plage. Et le soir, ils invitent pour des diners sur l’eau, qui finissent par des soirées beaucoup plus intimes.
Mes parents ont connu un de ces couples, propriétaire d’un superbe voilier en bois. Ils partent dés les beaux jours, d’un village du côté de la Camargue et font la côte jusqu'à Alicante, pour ne rentrer qu’au début du mois d’octobre. Ils vivent de leurs rentes malgré qu’il n’ait que 50 ans. Il gère des affaires à partir de son bateau. Sur leur route, ils ont un tas d’amis, et ils s’arrêtent souvent pour quelques jours, avant de repartir. Et cette crique, ils s’y arrêtent pour y retrouver des complices pour des soirées intimes. Ici et à d’autres endroits. Du coup, il nous est arrivé, de passer 2 jours avec eux, à vivre nus, sur le bateau le temps de descendre et de remonter dans un superbe village plus haut sur la cote, dîner au port, puis dodo et retour ici. Agnès et moi avons notre petite cabine, et le soir, soit nous restons avec eux, le temps de la soirée, soit nous descendons et les laissons tranquilles, soit l’inverse, eux en bas et nous sur le pont. Nous ne nous mêlons pas à leurs moments intimes, du moins les 1eres années. Depuis nous faisons partie de ce monde libertin et en profitons sans compter. Par contre au début, vivre nus, tous ensemble sur un bateau, du matin au soir, avec dans l’esprit, qu’ils partagent les cabines et que nous le savons, que nous l’apercevons aussi, donne une petite ambiance électrique plutôt agréable.
Une année, Fabien est venu nous rejoindre une semaine. Il est venu avec nous sur le voilier. Et cette fois nous aussi avons nos moments intimes. La journée nous avons fait l’amour tous les trois en cabine, et le soir, sur le pont du voilier, les parents et le couple en bas. Sur les 2 jours de la ballade, il était rare qu’il n’y ait pas un moment sensible.
Le couple nous regardait avec gourmandise, sans trop cacher parfois leur envie de nous inviter, mais ils n’ont rien osé demander. Malgré la complicité très visible entre mes parents et moi, et parfois presque ambigüe, ils n’imaginaient pas me voir mêler à leurs jeux, même si ils voyaient que je jouais aussi de mon côté, sans complexes. A regret surement, à sentir son regard courir sur moi, pendant ce court séjour. Ce dont je ne me plaignais pas et dont je jouais avec toujours le même plaisir. Encore une fois, une complicité installée, et un respect mutuel. Je pense que sans la présence des parents, ils m’auraient invité à jouer avec eux. Agnès et Fabien aussi évidement.
Cette année, mes parents ont découvert, avec un peu de surprise, la nudité de Fabien, le premier jour, dans le jardin, et sur le pont du voilier, quand nous l’embêtions un peu au point de l’obliger à plonger pour se calmer, maman regardait les débuts de réaction de son sexe avec des yeux gourmands. Ou bien quand nous étions dans l’eau, à nager autour du bateau, et que par moment l’une ou l’autre s’amusait à le câliner, et qu’elle regardait par-dessus bord, alors qu’il était « en main » et en forme…
Jusqu’au moment, cet après-midi, où il dormait sur un transat, et qu’Agnès, à ses cotés, dormait avec une main posé sur la cuisse, presqu’a toucher le beau membre bronzé. Ce qu’elle faisait avant de dormir d’ailleurs. Elle m’a dit en riant que nous ne devions pas nous ennuyer avec lui, les yeux fixés sur son superbe membre tout lisse, et tout doré. Un gros bisou complice pour lui répondre… Elle m’avoue en riant qu’elle se laisserait bien tenter, et moi de lui répondre qu’il en serait surement ravi. Il est vrai qu’ils s’entendaient à merveille depuis qu’ils étaient arrivés et qu’une vraie complicité, saine, s’était installée entre eux. Elle jouait avec lui et il lui rendait bien. Et moi de les voir ainsi me faisait plaisir.
Il est vrai que de regarder ce corps musclé, lisse, doré, nu au soleil, et ce sexe sublime, pouvait donner des envies. Le couple, sur des transats également, le regardait. Elle fixait elle aussi notre « amant », et comme elle savait qu’on le partageait toutes les deux, elle regardait Agnès et me regardait, avec une envie évidente de le gouter à son tour. Mais des deux jours, même si l’ambiance était très « sexuelle », et qu’aux repas les conversations portaient généralement sur les joies du libertinage, ils n’ont rien tenté ni même demandé, juste suggéré. On savait tous, on en parlait, que nous faisions tous l’amour entre nous, et eux entre eux, mais la filiation nous interdisait d’aller au delà. L’ambiance était de toute façon bien assez électrique, et bien plus chaude qu’on ne pourrait déjà imaginer dans cette situation. Et c’était déjà très agréable à vivre.
Voila l’ambiance de notre crique. Un endroit à la fois très calme, avec une tendance un peu sexy la journée, et parfois torride en soirée. Sexy la journée, car par rapport aux plages, même nudistes, de la ville, on peut se permettre des attitudes bien plus intimes, comme s’embrasser chaleureusement avec Agnès, laissant nos mains courir sur nos corps. Il arrive qu’en reprenant nos esprits et une attitude plus normale, on s’aperçoive que les voisins de plages nous regardent, profitant simplement du spectacle, même si ce n’est pas très méchant. Et que nous remarquons parfois un sexe tendu grâce à nous. Cela se termine généralement par un rire et une boutade.
J’irai encore souvent « chez moi », là-bas…
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