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saga: Soumission & Domination 351
Florian contrat (suite) + mon petit beau-frère - 2
Dimanche matin
Je me réveille le premier comme d'habitude. Alors que le reste du lit (PH et Ludovic) dort encore, je fais défiler sur l'écran de la TV les différentes caméras du blockhaus. Je commence par la chambre de João. Elle est vide ! Je m'attendais à la trouver peut être surchargée mais vide, surement pas ! Je bascule directement sur la chambre type refuge de montagne (deux supports de matelas superposés de 6m de long sur 2m de profondeur). Je les trouve tous les 7 (Second, Julien, João, Romain et Florian, Max et Enguerrand) endormis les uns sur les autres. Du coup je recherche le fichier de l'enregistrement de cette chambre (ils se déclenchent automatiquement quand une personne y séjourne, détection de chaleur). Je passe en accéléré. Après notre fin de soirée chaude, je vois João entrer avec mes deux amis et les deux gymnastes tous encore humides et le drap de bain autour des reins en provenance de la salle de bain. Puis je vois l'arrivée des deux gamins. Ils en font un tas (des draps de bain) et envahissent le niveau du bas. Je les vois se câliner gentiment mais sans sexe. Il faut dire que notre séance digestive nous a mis les couilles à plat. Et ils s'endorment plus ou moins collés.
Il est 8h30. Je pénètre la chambre et silencieusement réveille Julien. Comme je vais pour faire de même avec Second, il me dit tout bas de le laisser dormir, il viendra le rechercher ce midi. On glisse hors de la chambre et je l'accompagne à la salle de bain. Petite douche pour achever le réveil et nous montons prendre un café avant qu'il ne parte vite à sa boutique. Comme il monte en voiture, je lui propose, si son apprenti est libre, de revenir avec pour déjeuner. Ce serait un bon moyen de connaitre son " ouverture d'esprit " et puis avec les jeunes qui sont là ce WE, ça fera moins piège. Il part en me disant qu'il allait y réfléchir. Vers 10h les autres sortent des bras de Morphée. Second me reproche de ne pas l'avoir réveillé en même temps que son mec. Mais quand je lui dis que peut être Julien nous rejoindra pour déjeuner avec son apprenti, il me dit que j'ai fait fort s'il le ramène. Petit déjeuner et matinée de sport. Alors que nous sommes quelques-uns à aligner des longueurs, Second et les deux gymnastes regardent comment ils pourraient intégrer leurs agrès sans prendre plus de place que nécessaire. Quand je sors de l'eau, ils ont des idées à me proposer. Les barres parallèles peuvent prendre place au bout du tatami coté sortie du garage. L'élément pourra toujours être déplacé dans le cas où un Fenwick serait nécessaire pour déplacer les arbres en bac. Quant aux anneaux, comme leur support doit être spité au Blockhaus, c'est à l'opposé par rapport au bassin qu'ils seraient les moins gênants. Je valide et il ne reste plus qu'à attendre les livraisons. Romain et Florian travaillent leur souplesse au sol alors que nous autres on pousse un peu de fonte, juste histoire de gonfler légèrement nos muscles. 12h30 : je pousse le groupe à aller se doucher et se vêtir un minimum au cas où l'apprenti serait des nôtres. Ça se limite quand même à un short + un t-shirt ou un marcel selon. Evidemment Max et Enguerrand enfilent leurs shorts hyper moulants, véritables appels au viol ! 13h15 : nous sommes prêts et attendons avec impatience le retour de Julien. 13h30 : sonnette, Julien est à la porte. J'ouvre qu'il puisse entrer la voiture. J'ai vu que la place du mort était occupée mais je ne dis rien aux autres. Ce n'est que quand le monte-charge s'ouvre que mes comparses voient qu'il est accompagné. Le jeune homme est encore mieux en vrai qu'en photos. Il est intimidé et ses yeux tournent pour ne pas se fixer sur quelque chose ou quelqu'un en particulier. Jusqu'à ce qu'il voit la piscine au-dessus de la cuisine.
Julien lui prend le bras et le pousse en avant pour présenter Nathan à ceux qui ne le connaissent pas. Les plus âgés (dont je fais partie) lui claquent une bise sur la joue comme mes escorts. Par contre Max et Enguerrand ne se gênent pas et directs posent leurs lèvres sur les siennes. Je ne sais si c'est à cause de la surprise ou s'il aime ça mais il ne recule pas en hurlant au viol. Très naturellement nous embrayons sur les clients de la matinée. Julien nous demande ce que nous avions fait en les attendant. Pendant ces échanges, je mate son apprenti. Pour son âge, il est déjà bien bâti. Un petit mètre 80, larges épaules, petit cul mais cuisses épaisses qui remplissent son jeans slim. Tête avec cheveux blond coupés footeux, ses lèvres rose vif sont pulpeuses sans tomber dans le vulgaire. Comme je sers les apéros, Max et Enguerrand le prennent en charge et je tends l'oreille pour saisir leur aparté.
Ils lui demandent dans quel lycée professionnel il est, pourquoi il avait changé de maître d'apprentissage, s'il se sentait bien chez Julien. Il n'a pas le temps de répondre qu'une autre question arrive. Il demande un temps mort et commence à répondre. Il cite un lycée qui n'est pas très éloigné de celui de Max, la raison de son changement est que son ancien patron lui avait fait des avances mais qu'il était vieux et vraiment repoussant pour qu'il accepte. Oui il était bien chez Julien, le travail est très intéressant et il apprend beaucoup en technique. Julien lui demande aussi de travailler sa créativité et ça il aime, même s'il se plante régulièrement. C'est Enguerrand qui relance le côté " sexe ". Il lui dit qu'en plus, contrairement à son ancien patron, Julien est jeune et suffisamment canon pour... il laisse la phrase mourir. C'est Nathan qui conclut en leur disant que oui mais il est casé avec Dorian. Max et Enguerrand sont surpris, c'est vrai qu'ils ne le connaissent que sous le surnom de Second. Ils mettent un peu de temps à réagir jusqu'à ce que Nathan leur montre l'ancien apprenti maçon. En attendant ça sent bon tout ça ! Je finis de servir les verres, il accepte un petit Martini avec plein de glaçon, comme les garçons. PH lui demande d'où lui est venue la vocation. Il se dévoile un peu et nous dit que sa mère est cuisinière et à la maison il l'aide depuis qu'il peut tenir un bol. Moi je lui demande ce qu'il a fait pour avoir cette carrure à son âge. Il me sourit (et il a un très beau sourire) et me dit que depuis tout petit il fait du foot en club mais que depuis son début d'apprentissage il a du mal à en faire régulièrement. Alors, si c'est pour rendre service ! Je n'attends pas l'accord de Julien et lui dis que s'il le veut il pourrait venir faire du sport avec nous tous dans la mesure où ses horaires le permettraient. Ce qu'il y a de bien avec nous c'est que les entrainements se font plutôt en début de soirée qu'en fin d'après-midi. Là je me tourne vers Julien et lui demande si ça pourrait le faire qu'il s'entraine avec Max et Enguerrand. Sans m'engueuler il me dit que je ne perds pas de temps. Je fais l'innocent et lui dis que c'est juste pour rendre service. Il en est content de son apprenti, donc il peut lui faciliter la vie aussi. Il convient qu'il a trouvé avec lui, un futur bon second. Le rouge monte aux joues de notre jeune invité !
Nous passons à table. La vue de Samir et Ammed trouble un peu plus Nathan. Et si je me fie au gonflement de sa braguette, le trouble est plutôt positif pour nous ! On fait tous semblant de ne pas s'en apercevoir pour ne pas le mettre mal à l'aise. Si la conversation commence sur son cursus théorique et pratique, nous passons vite à un sujet plus intéressant lui. Après deux verres de vin, il se lâche un peu plus. Surtout on en apprend plus sur son année passée. Il commence soft mais fini par tout nous raconter. Je pense qu'il avait gardé cela en lui jusqu'à aujourd'hui. Au début son maître d'apprentissage paraissait bien. Bonne boutique avec une réputation de qualité, la sélection avait été dure pour obtenir le poste. Mais cela s'était vite dégradé. En fait le type voulait plus un esclave qu'un apprenti. Il l'avait logé dans un taudis plus qu'une chambre, avec juste un lavabo et l'eau froide. Il ne lui laissait qu'un WE sur deux, une véritable exploitation ! Il avait eu du mal à en parler à son professeur principal et c'est après qu'il avait débarqué chez Julien. Le prof principal étant un ami de ce dernier. Julien comprend mieux le comportement du " petit " dans les premières semaines. Mais comme cela s'était " normalisé " il n'en avait plus fait cas. Comme il est à coté de Nathan, il passe son bras derrière son cou et l'attire vers lui pour lui ébouriffer les cheveux et lui claquer un gros bisou sur la joue. Nathan se laisse faire et nous dit que c'est bon maintenant. Son nouveau patron est trop bien et en plus qu'il soit homo le rassurait lui. Max et Enguerrand sortent de table et vont l'entourer. Il craque et, avec quelques larmes aux yeux, il les serre contre lui. Pas de gêne entre nous. Si pour moi le passage à l'état de PD s'était super bien passé avec Marc, je sais que ce n'est pas le cas de tous. PH à morflé lui aussi ! Quand ils se décollent, Ludovic lui prend le bras et lui dit " bienvenue parmi nous ! ". Un petit sourire contrit lui répond. Puisque ça part comme ça je prends les choses en main. J'impose à Julien de libérer Nathan pour les deux séances de sport hebdomadaires. Florian qui n'avait jusque-là rien dit me propose de le véhiculer les soirs en question. Julien le remercie mais nous dit que cela ne leur fera pas de mal à lui et à Dorian (Second) de reprendre le sport un peu plus sérieusement. Il m'assure qu'il y aura toujours l'un deux pour faire les conduites. Florian m'a l'air un peu déçu. Je le chauffe en lui disant qu'il le retrouvera sur le tatami notre nouvel ami. Du coup c'est lui qui pique un fard ! Le déjeuner se termine dans la bonne humeur et le café pareil. Alors qu'on discute entre nous, Max et Enguerrand me demande l'autorisation de faire visiter les installations sportives à leur nouveau copain.
Ils disparaissent plus d'une heure et nous reviennent tous les trois un peu, non franchement rouges. Florian fait la gueule ! En attendant il est décoincé notre Nathan. Il est beaucoup plus bavard et déjà il est en train de planifier son programme avec nos deux jeunes. Je l'attrape par le cou, le fait venir jusqu'en face de moi et lui demande ce qu'il croit. Qu'il va peut-être faire ce qui lui chante ? Il ne comprend pas. Quand je lui explique qu'on a plusieurs coaches sportifs qui vont s'occuper de lui, il commence à saisir. Julien rit devant sa tête effarée. Il lui dit de se préparer à des journées doubles s'il veut suivre ses nouveaux copains. Le dimanche se fini dans la bonne humeur et quand ils repartent tous, je vais dans notre chambre trouver l'enregistrement qui devrait me renseigner sur l'heure manquante. Je repère le trio dans la cour puis au second dans la salle de sport. Mais c'est dans les douches, en revenant de lui avoir montré la piscine que mes deux jeunes l'on coincé/entrepris. Le dos bloqué par Max, Nathan s'est laissé embrasser par Enguerrand. Puis j'ai vu mes deux gamins lui faire la totale. Alors qu'Enguerrand soulevait son T-shirt pour lui manger les tétons, Max embrassait son cou et lui mordillait les oreilles. Puis ils l'ont coincé contre le mur carrelé avec toujours Max à lui rouler un patin et Enguerrand à descendre d'un étage de plaisir. Sans dégager plus que son service trois pièces, je le vois entamer une pipe de pro. Le sexe du petit nouveau disparait totalement dans la bouche de mon petit beau-frère. Mais comme il sait faire des gorges profondes, ça ne m'indique pas la taille de Nathan. Ils en resteront là pour cette fois, amenant leur nouveau camarade de jeu à l'éjaculation totale.
Et malgré le coup d'eau sur leurs figures, ils avaient encore chaud quand ils nous avaient rejoints. Je remonte au 4ème et attrape les deux " fautifs ". Ils avouent sans que je leur demande que, oui, ils n'avaient pu se retenir de voir s'ils pouvaient décoincer un peu Nathan. Et Max de me rappeler qu'à leur retour, ce dernier était beaucoup plus disert. Je demande à Enguerrand, puisque c'est lui qui avait eu le " matériel " de Nathan en bouche de me l'estimer. Réponse : 18/19 x 4,5/5 avec de belles couilles même si elles étaient invisible sous les poils. Ça promet, même si sa croissance est quasiment terminée. Julien m'appelle quand ils sont arrivés chez eux. Dans la voiture, ils ont beaucoup discutés avec Nathan. Il leur a avoué qu'il s'était laissé sucer par Enguerrand et que s'ils étaient d'accord, il aimerait bien les revoir lui et Max. Je l'annonce à nos deux gamins que je n'ai pas encore raccompagnés. Ils sautent de joie, Nathan leur plait beaucoup. Je reprends ma conversation avec Julien. Il me dit que Nathan était entré dans les détails de son apprentissage précédent et qu'il le comprenait bien mieux maintenant. Son ancien patron était un gros porc d'hétéro qui avait deviné que Nathan était homo et avait voulu en profiter. Il lui faisait du chantage pour ses évaluations, il le coinçait régulièrement dans le labo et frottait son sexe contre son cul. Enfin l'enfer quoi ! Et ç'avait été jusqu'au viol. Je lui dis que Nathan avait dû apprécier le respect avec lequel il l'avait traité. Puisque sans se cacher qu'il vivait avec Second et qu'il n'avait jamais eu un geste déplacé. Il me répond que c'est justement ce qui l'avait fait accepter mon invitation à déjeuner. Mais il craignait maintenant qu'il soit pris pour une salope d'avoir cédé aussi vite à mes deux petits. Comme je lui dis que j'espère qu'il l'a détrompé sur ce dernier point, il me dit que oui, qu'il l'avait assuré qu'il n'avait choqué personne chez nous. J'ajoute que nos cours de self défense devraient lui donner de l'assurance et surtout il saura après mettre KO le moindre mec qui voudrait profiter de lui. Là-dessus, Julien est d'accord que ça ne lui fera pas de mal.
Le mardi suivant ils sont tous les trois pas trop en retard. Par contre ils sont les derniers et le blockhaus bruisse de toute l'activité d'une bonne 20aine de mecs en tenue de sport (enfin la mienne) ! Max et Enguerrand prennent Nathan en charge. Ils lui passent un short complet aussi étroit que les leurs. Quand ils nous le ramènent il se fait siffler par tous les mecs présents. Quand il arrive devant moi, il est tout rouge. J'appelle Jona et lui présente le dernier arrivé. Il devine que c'est un footeux et pas à sa tête mais à ses cuisses puissantes. Il tourne autour de lui, passe ses mains sur son torse, ses bras et lui dit qu'il va falloir travailler tout ça. Il le questionne sur sa pratique sportive at pousse Clem du banc de développé couché pour le tester. Il note les poids soulevés et le fait passer sur plusieurs postes avant qu'Anthony le prenne en charge. Max cours lui chercher un maillot et le fait se changer au pied du bassin. Ses petites fesses blanches provoquent de nouveau sifflets admiratifs. Dans l'eau il se débrouille bien en brasse et crawl. Quand il entend notre maitre-nageur l'informer qu'il va devoir se mettre au papillon, car ça développe bien le torse, il se demande où il est tombé. Je le sort de l'eau et le pousse vers le tatami. João est en train de s'entrainer avec François. Nathan est fasciné par les mouvements des combattants. Je lui prends le bras et à l'oreille lui glisse que quand il aura appris à se défendre comme nous tous, il sera à l'abri de tous les cons de la terre. Il comprend que Julien m'a parlé. Il se tourne vers moi et je vois ses yeux légèrement humides. Je passe mon bras sur ses épaules, le serre contre moi et lui dit qu'avec nous, il est en sécurité. J'ajoute en riant que le seul risque c'est qu'il se laisse séduire par mes amis. Je vois apparaitre un sourire et il m'assure qu'heureusement qu'il est stressé sinon il banderait comme un chien en rut. J'arrête les combattants et leur pousse Nathan. J'avise João que c'est un béotien question sport de combat. Je reste à mater l'entrainement. João lui apprend à tomber sans se faire mal. Pendant 3/4 d'heure, il tombe, tombe et retombe jusqu'à ce qu'il prenne le pli. Avant la fin, Max et Enguerrand sont arrivé voir les progrès. Ils le félicitent et l'embarquent pour aller se doucher. Je vais me doucher à mon tour mais ne les trouve nulle part. Ils reviennent tous sourires et tous propres du 3ème. Florian fait encore une fois la gueule !
Jardinier
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fuck It im sharing the full letter Dante wrote to Matteo in 1778
My Beau.
I have many regrets, I regret not having time to write to you , I regret not telling you what I've been up to, and deep down i regret not running away with you to America.
Well, perhaps i don't regret it either, you see, I haven't told you what I've been up to in fear that you may feel betrayed. I do remember my promises but please let me explain.
My mentor promised me a well career and a wonderful boutique in France, as I have slowly realised that Italy isn't for me and well, I don't think America will be either. So here I am, asking you selfishly to change our promise, and in short:
After the war is over, if you're still alive, come with me, come live in Paris. We won't have to run away. I beg you to let me have you as my Muse again.
I wish I could fight next to you, if so maybe the weight of death wouldn't be too painful to carry.
To my world,
Dante.
#amrev oc#solars rambles#promised husbands#this is very cringy but idc#they're my ocs i can do whatever i want
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NSB (Straud Legacy) Gen 9 Ep 94: Getting to Know You
The day of her 2nd trimester appointment, Luigi and Noemi began doing the “homework” suggested at their therapy session. Beau was covering for him at practice as they headed to Magnolia Promenade after class to visit the maternity shop near the hospital.
It was an expansion of the paternity boutique Steven and Peachy had sworn by during their pregnancies. A big-name maternity retailer had opened a branch of their store next door so that sims of all genders and shapes could find comfortable clothing for pregnancy in a little conjoined mini-mall.
Luigi was doing his best to win smiles from his glum girlfriend, even going so far as to pull a couple items from the paternity section to “model” over a “baby bump” pillow that the shop had available for sims to get a sense of how something would fit at a later stage of gestation.
In the end it was mission accomplished! Noemi left the store in a much better of frame of mind than she’d entered it, wearing a comfortable and stylish new maternity ensemble that fit (and looked!) much better than Luigi’s old t-shirt and sweatpants had.
Their next stop was a nearby baby supply emporium. They didn’t plan to setup the nursery until after graduation, when they moved to the island, but they could still follow Dr. Velasquez’s advice by picking out some things and making plans.
They did manage to select one small toy for the baby before they left for Noemi’s prenatal appointment.
She was shocked when Luigi was drawn to blue options instead of his usual green, but he just shrugged. To date each heir in his family had loved a unique color; and just as dada Peachy had been stuck on “green themed” name ideas, he figured he was being guided towards the right hue for his future little one.
Luigi was feeling unsettled as they arrived at the hospital. Shopping for the baby had made his child feel more “real”, but he had quickly realized that wasn’t necessarily a good thing. He wanted to want his child, but thinking about the future with a little one in it was still a struggle for him.
Noemi’s midwives worked with a medical OB, and this visit she was scheduled with him for some bloodwork. After that was finished the exam proceeded as usual, with a listen to the babies' nice strong heartbeat and some measurements to ensure their growth was on target. Everything seemed to be progressing well and Noemi was instructed to come back one final time once she entered her third trimester.
When the check-up was done their provider sent them down the hall for the ultrasound that would give them their first glimpse at the baby.
Luigi lagged a little bit behind as they headed in, texting Denton as an excuse to keep his head down. His anxiety was through the roof – if looking at cribs and diapers had been hard how was he going to feel seeing his son or daughter “in living color”!?
The tech introduced themselves, instructed Noemi to lie back on the table, and in no time their child was visible on the screen. Noemi asked right away if they could tell the babies sex, and with a quick adjustment of the wand the technician confirmed they were having a boy.
Luigi was reeling as Noemi got redressed, but pasted on a smile that he hoped came close to matching her ecstatic grin as he helped her to her feet.
When she told him “come say hello to your son” Luigi hesitated for only a moment before leaning down and directing a shy wave towards Noemi’s belly along with a quick “nice to meet you”.
He was glad to let Noemi babble on as they headed towards the exit. He had known what the pregnancy test, the therapy, and Noemi’s growing belly meant, but seeing his little boy on the monitor had brought the weight of reality crashing down in a whole new way that he was still trying to process.
Rather than following her into the teleporter station that would take them home Luigi hung back, claiming that he wanted to grab some finger food for dinner so they could both dive right into their homework without distraction.
Noemi, quite tired out from the long day, didn’t argue, giving him a kiss and requesting “something from that Mediterranean place – your baby wants some hummus!” before continuing on her way.
The shiny jewelry on display in the stall Luigi headed towards once she teleported out of sight declared that it didn’t sell Mediterranean food.
Seeing his son had unsettled him, but it had also made him even more sure that he wanted to ask his girlfriend to become his wife.
He didn’t doubt they would have gotten there without a baby in the mix, he’d loved her for ages, but he needed her to know he was in this for the long haul, and what better way to show his devotion than asking her to spend the rest of her life with him?
It was time to take the next step in their relationship, if she was willing, and unlike parenthood it was a journey he was ready and eager to begin.
Yes, of course they are having a boy 🤭, and no, I didn’t do anything to influence this outcome (but I’m not mad about it)!
View The Full Story of My Not So Berry Challenge Here
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limiñanas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
clemence violence
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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Dans la rue de l’Espérance, on aperçoit encore le salon du vieux Fernand, qui officiait en artiste du peigne et du ciseau. « Coiffeur », dit encore l'enseigne, se faisant l’écho d'un temps où on venait se faire tondre en parlant mistral et bourrasques. Sa boutique c'était pas le Louvre, mais chaque coup de ciseau était un coup de pinceau, chaque mèche tombée, une œuvre d'art éphémère. « Les cheveux blancs, c'est les souvenirs qui poussent » qu'il disait de sa voix rocailleuse résonnant sur les murs écaillés. Ses mains, secouées de tremblements, tissaient des coiffures comme on noue des amitiés : serrées, solides et un brin compliquées. Sa vitrine était cachée derrière un rideau plus orange qu’un soleil couchant. « La discrétion, mes enfants, c'est la clef de l'élégance, » qu'il affirmait, le Fernand, alors que c'était surtout pour masquer la poussière qui s'accumulait. Le soir, après avoir rangé ses rasoirs et ses flacons d'après-rasage qui sentaient le vieux temps, il s'asseyait sur le seuil de sa boutique et tirait sur sa pipe en bois d'ébène. « Un coiffeur, mes gosses, c'est plus qu'un artisan, c'est le psy du pauvre, le confesseur du dimanche, le témoin silencieux des vies qui défilent. » Et sur ces pensées, il écrasait son mégot contre le pavé, dans un geste aussi définitif que la fermeture imminente de son salon. Aujourd’hui, au premier, les géraniums de la veuve Dupont, s'épanouissent comme les rumeurs du quartier. « C'est beau, hein ? » qu'elle lance, tête penchée au dehors, « ça donne de la couleur, un peu comme un sourire en plein enterrement. » Un passant, un vieux du quartier qui a connu Fernand, s'arrête un instant et lève les yeux en répliquant : « C'est sûr, madame Dupont, et avec tout ce rouge, on dirait presque que les géraniums se sont mis à boire plus que Fernand à ses belles heures ! » Elle rit en se remémorant le coiffeur et son don pour l'éloquence subtile. Elle l’imagine lâcher : « Vos géraniums, Madame Dupont, sont un peu les cheveux roux de la rue. Ils mettent du panache au quartier, tout comme une rousse incendiaire dans un congrès de chauves. »
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Les pulls de Noël
Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Fluffcember 2024 pour le prompt : pull de Noël.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sasuke retira sa cape, se déchaussa et se dirigea vers le salon. Sakura et Sarada étaient assises par terre. Sarada babillait joyeusement en jouant avec ses peluches. Sakura tourna la tête vers lui lorsqu'elle sentit son chakra. Un immense sourire illumina son visage. Elle se leva et s'approcha de lui. Sasuke fronça les sourcils.
« Qu'est-ce que tu portes ? Demanda-t-il. »
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@fluff-cember
AO3 / FF.NET
Sasuke ouvrit la porte de la maison et entra à l'intérieur. Il soupira de contentement lorsqu'il sentit la chaleur. Il avait passé la journée dans les rues enneigées de Konoha avec Naruto. Ce jour-ci, le travail de Naruto consistait à faire des inaugurations et des visites sur les chantiers du village. Il ne se plaignait pas. Il avait l'habitude aux journées froides lors de son voyage de rédemption. Cela ne l'avait jamais dérangé. Mais il était heureux de pouvoir rentrer chez lui.
Il retira sa cape, se déchaussa et se dirigea vers le salon. Sakura et Sarada étaient assises par terre. Sarada babillait joyeusement en jouant avec ses peluches. Sakura tourna la tête vers lui lorsqu'elle sentit son chakra. Un immense sourire illumina son visage. Elle se leva et s'approcha de lui. Sasuke fronça les sourcils.
« Qu'est-ce que tu portes ? Demanda-t-il. »
Elle portait un pull en laine rouge. Un sapin de Noël était tricoté dessus et des pompons de toutes les couleurs représentaient les boules. Les couleurs étaient criardes et le sapin ridicule. Où est-ce qu'elle avait pu trouver cette horreur, se demanda Sasuke. Sakura tourna sur elle-même, montrant fièrement son pull.
« Tu aimes ? Demanda-t-elle. »
Sasuke se retint de toutes ses forces pour ne pas grimacer. Tout ce qu'il arrivait à faire était un sourire crispé. Sakura ne put s'empêcher de rire devant son expression.
« J'ai fait du shopping avec Hinata cette après-midi, expliqua-t-elle. Et il y avait cette boutique qui vendait des pulls de Noël. On s'est dit que se serait amusant d'en acheter. Il y en avait aussi pour les enfants. »
Elle prit Sarada dans ses bras et il vit qu'elle portait un pull vert avec un bonhomme de neige tricoté dessus. Les pulls de Noël pour adultes étaient peut-être ridicules, pensa Sasuke, mais sur Sarada, c'était adorable.
« Tu aurais vu Sarada et Boruto dans leur petit pull de Noël. Ils étaient tellement mignons. »
Sarada rit, comme pour approuver les dires de Sakura. Il sourit en les voyant aussi heureuses. Sakura approcha Sarada de Sasuke, qui la prit contre lui, et elle attrapa un sac qui était posé sur le canapé. Elle en sortit un pull et le montra fièrement à Sasuke.
« Je t'en ai pris un aussi. »
Sasuke perdit son sourire. Le pull était de couleur bleu foncé et un chien portant un chapeau de Noël était tricoté dessus.
« Hinata en a acheté un pour Naruto. Comme ça on en portera tous un demain soir quand on dînera ensemble.
-Pas question. »
Sakura fit une moue boudeuse.
« Allez Sasuke-kun.
-Je ne porterais jamais ça.
-Comme tu veux. »
Sasuke fronça les sourcils. Elle avait cédé bien trop facilement. Mais peu importe, il ne portera pas ce pull. Elle le rangea dans le sac et sourit.
« Je vais préparer le dîner. »
Elle partit vers la cuisine, le regard triste. Il savait qu'elle essayait de le manipuler. La voir ainsi le faisait beaucoup plus culpabiliser que lorsqu'elle explosait de colère. Mais lui non plus ne céderait pas.
« Il est hors de question que je porte cette horreur, dit-il à Sarada. »
Pourtant, il avait fini par céder. Tous les trois se trouvaient devant la porte des Uzumaki et portaient leur pull de Noël.
« Tu es très beau, dit Sakura en l’embrassant. »
Sasuke grogna de mécontentement et Sakura rit légèrement en sonnant à la porte. Naruto ouvrit, portant fièrement un pull orange avec une grosse tête de père Noël. Il éclata de rire en regardant Sasuke.
« Je savais que Sakura-chan trouverait un moyen de te faire porter ce pull.
-La ferme, répondit sèchement Sasuke. »
Il entra dans la maison, faisant exprès de bousculer Naruto qui continuait de rire. Si cela rendait Sakura heureuse, il était prêt à être ridicule dans ce pull.
Fin
#fluffcember#fluffcember 2024#naruto#sasusaku#sasuke x sakura#sasuke uchiha#sakura haruno#my writing
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Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings
Fandom: Critical Role (Web Series)
Relationships: Beauregard Lionett & Caleb Widogast, Beauregard Lionett/Yasha, Essek Thelyss/Caleb Widogast
Characters: Caleb Widogast, Beauregard Lionett, Bren Aldric Ermendrud, Original Male Character(s), Yasha (Critical Role), Essek Thelyss, Astrid Beck
Additional Tags: canon compliant through Mighty Nein Reunited, canon inspired through Echoes of the Solstice, Emotional Hurt/Comfort, Angst, Implied/Referenced Child Abuse, Implied/Referenced Torture, Implied/Referenced Sexual Assault, technically this is kidfic in both senses of the term
Chapter: 23/25
Summary: Six months ago, Beau adopted a teenager who loves the Cobalt Soul, but can't stand her. Ten minutes ago, Caleb accidentally summoned his own teenage self into his living room. So you know, they're both going though some shit.
At least Caleb's got experience befriending novice monks with attitude problems. And Beau's got experience befriending Caleb.
Chapter Summary:
Beau and Caleb take a walk; Jasper eats a bear claw.
_____
Caleb caught Beau by the arm as they exited the art gallery. She let him pull her to the back of their absurdly large entourage.
"Let's take a walk," he said.
Beau had been looking forward to collapsing in bed, and Caleb looked like he should've been in bed six hours ago. But he had the Serious Talk look on his face, so Beau said, "Yeah, all right," and darted forward to let Yasha know she'd be home later.
The art gallery was in an up-and-coming neighborhood, where trendy cafes and boutiques struggled for space with old hole-in-the-wall restaurants and neighborhood haunts. Going north would take them more firmly into the luxury of the Opal Archways; going south would take them into the slums. Caleb headed south.
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#critical role#cr2#the mighty nein#caleb widogast#beau lionett#empire siblings#fanfiction#the heart external
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Nous avions eu une idée de génie, installer notre magasin dans une région où il pleuvait souvent. Notre slogan aurait pu être : "Là où il pleut, l'article indispensable est le parapluie". Cette boutique était effectivement une très bonne idée, elle a immédiatement connu le succès. Nos clients étaient satisfaits, un tel commerce leur manquait. Nous étions en effet la seule boutique de ce genre dans ces pluvieuses contrées. Ayant développé une large gamme de parapluies, nous faisions le bonheur de tous, des femmes élégantes, des hommes distingués, des originaux, des poètes et de tant d'autres personnalités.
Hélas, après la pluie est venu le beau temps. Il n'a plus jamais plu. La boutique fut désertée, de quelques dizaines de clients par semaine, nous sommes passés à seulement quelques uns par mois. Il est peut-être temps de se reconvertir dans une autre catégorie d'articles, celle des éventails ou celle des lunettes de soleil.
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By Blue Eyes, Yellow Will Die - Chapter 3: A Murder Drones story - Please read the warning first if you are scrolling (this version contains an attempted suicide - if you hit expand it WILL show you the attempted suicide scene - below is a link to the version without the attempted suicide)
Trigger Warning there is an attempted suicide towards the end of this chapter, I have put a keep reading line before the scene, if you cannot handle it, then please do not read past that point.
~
"MARC, if you can't be useful, then get out" Alice shouted as she and her team worked to hold down the oil-starved drone - Marc's reproduction sister, Ali.
There are three ways for drones to be born; fresh off the factory line, Pill-download, and Core-incubation. The drones that came off the factory line were, by code, considered unrelated, no code family to speak of, these drones could be identified by their white eye-lights, a code string that could persist for three generation or more if there was a code mutation (that same mutation even allowing it to skip a few generations). Pill-downloads and Core-incubation is what created families and generations. When a drone owner found a drone whose code they wanted to have persist they would pair that drone with another (either one they owned or by making a deal with another owner) and then purchase a set of pill-bodies, the drones and the pills would then be sent to procreation centers (or a procreation room if the owners had one) and the two drones would remain there till all the pills were awake and functional. As for Core-incubation, it was exactly what it sounded like, an older method that didn't really allow for mass drone production. A male drone had a cord in their core that would attach to a socket in a female drone's core, in the female drone's core, the code would mix and over the course of a few months the code would become a new AI that would be then placed into a UNN pill-body.
Marc and Ali had shared the same, set of drone parents. Their parents had been from a textile lab and had been marked to be company assigned spouses, the day they met had been the day they were sent to the reproduction room where they were left with twenty empty pills and a week to fill them all. However, it was at the end of that week that the humans had asked (read: ordered) a Core-incubation. As it was, every pill that the two created were all eventually ordered to be disassembled as they failed every test, some as young as two, others as old as seven. The only ones that survived to be sold were Marc and Ali, a rare case of Core-incubation fraternal twins and were thus sent out into the market at the age of eight where they were bought by a family that had wanted extra help in their boutique. Now all these years later the twins were here, in Cabin Fever Labs.
"I don't know how you can watch all that" Amanda said from where she was seated logging notes and doing her best to ignore the sounds coming from the security feed that Beau was watching.
Amanda was one of the few drones that Alice trusted to watch over her son - though Beau was now nearing fifteen and didn't really think he still needed a babysitter. Personally, Beau was watching the feed because he was worried for his mother, oil-starved drones were as dangerous as they were terrifying; what he wondered was how Amanda didn't want to watch considering that he knew for a fact that Amanda and Marc were seeing one another behind closed doors.
Beau turned to look at her before tapping to get her attention, when he had it, he pointed at himself then at his mother.
"You worried about Alice?"
A nod.
"Don't be," her tone was dismissive, "your mother's been through worse."
That ... didn't really ease him. He tapped again before pointing at Amanda and then pointing at Marc.
"What about me and Marc", her tone was calm but wary.
Beau drew a heart in the air.
"I don't know what mean" her voice was strained.
He pointed again at Amanda, then at Marc, then made a heart again.
"Sorry, you're just not coming through clearly," she said before turning back to her work.
Now Beau was frustrated, looking around he found some blank paper and a J.C. Jenson (in spaaaaacee!!!!) branded pen, taking his finds he drew a heart and inside wrote "Amanda + Marc" before taking his drawing over to the drone woman and tapping her shoulder.
"What is it-!"
Beau took a step back, startled at Amanda's reaction to his picture. Yet, just as he took a step forward, the drawing was ripped from his hand as the drone woman stuffed the paper into her mouth. The UNN, blinked twice as he heard her swallow and startled again when she turned her eye-lights on him, but before she could speak the door opened.
"Beau, medi-kit and follow, we had to cut open some arms to get her under control."
Grabbing the extra medical cart, Beau began wheeling it past his mother as she attached a new right hand to her oil bleeding stump.
"Marc's fine, by the way, Mandy, just incase you were wondering if you'd have to cancel your little date."
"Date? Alice, I don't-"
"Quit the act, I could care less, about what goes on between you two, just keep your codes to yourselves - we don't exactly have extra pills to go around."
"Y-yes, of course, we wouldn't even think of it."
"Ya, better not" Alice said before turning to her son, "follow."
Once they were a slight distance away, Alice continued to speak, "they're getting antsy, I want you on alert, I know you may like Amanda but you don't know what these drones would do just to get ahead ... from now on you're with me unless we have to be separate, understood?"
A nod.
"Good. This room, we have Ali in lock-up recovery and everyone else in here; thought since we have to repair we might as well also collect for the oil stores."
~
It was after that, that Beau began noticing strange things. Alice had a strict rule about secrets, namely that they weren't allowed.
"All it takes is one drone for Yellow Eyes to get in," that was her reasoning and she always made her point clear to the dissenting, not that it stopped drones from being secretive anyway.
Amanda and Marc's relationship was one such secret, how Ali became oil-starved when Alice ran such a tight lab to prevent oil-madness, was another. But now Ali was unconscious and in lock up and the only drones allowed to visit her was her brother and Alice for checkups and feedings, the current feeding being the reason Beau wasn't with his mother at the moment. While Beau had opted to stay in the same area as the lockup rooms while he waited for his mother's return, he had also ended up getting bored, checkups and feedings took time and in that time he had begun to wander around. In his wandering he heard the whispers of drones and began to listen in.
"You've noticed," Jerom asked the others as they were all eating lunch.
"That Antlers is getting crazier by the day," Max said, "who hasn't?"
"Shh, she could be listening," Connie said, taking furtive glances.
"Con-" Jerom started.
"I'm serious," Connie continued, "Ali went and suddenly it's like Nori escaped all over again."
"Except back then the Humans were in charge of this place," Amanda spoke up, her voice showing her apathy, "except back then, we were just lab rats and all we had to do is stay in our rooms and pray."
"Exactly, how did Ali even starve herself, Amanda-"
"Just because I'm dating her brother doesn't mean I know, I'm just as confused as the rest of you."
"Wow, you actually said that out loud," Max said.
"I don't know when she found out, but she did."
"It was probably her kid," Jerom said, "the little spider probably snitch to mommy dearest; you were his babysitter."
"Were, being the operative word here, apparently my services are nolonger required."
"You do something to upset the kid," Max asked, "I thought he liked you?"
"Maybe, pretty sure Antlers is just worried I'll gut him; she told me that Marc and I are to keep our codes to ourselves."
"He is the only pill we have," Connie said tentatively.
"Should just let the brat grow up," Jerom said, taking another bite of his food.
"You know why she doesn't!"
"All I'm saying is that she could just move him into a kid body, like four or something."
"Yes, because we definitely have parts for a four-year-old" Amanda said.
"I'm being speculative."
"Mandy," Max started, "has Antlers started production on a body for Spider?"
"Heck, if I know; that would be out of my jurisdiction."
There was a lull accompanied by the sounds of eating, then Connie spoke up, her words silencing the room.
"I've been having the dreams, again, something's wrong, I know something's wrong, we always eat together, Marc and Ali, they're always with us. How did she starve when we always see her eat with us?"
"... Well," Max started, exchanging looks with the others, "first, I would suggest you do more then pick at your food."
"I'm not hungry."
"Did you catch a virus," Jerom asked, worry evident.
"I don't know, I can't, I just-"
"Connie?"
"Something's wrong, I just, I don't-"
"I'm getting, Antlers," Max said as he rushed out the room, Beau quickly climbing to the rafters to avoid being seen and scrambling back to where he was supposed to be waiting.
"Alice," Beau heard Max scream as the drone man came rushing around the corridor just a second after he had returned to the waiting area.
"Kid," Max started when he caught sight of Beau, "your mother, she-"
"What's with the hollering," Alice asked as she and Marc exited Ali's recovery room, "Ali's tryin' ta sleep!"
"Ali woke up- wait, no, Alice, Connie, something's wrong with Connie!"
"Right," Alice said after a beat, "Marc, lock down Ali's room then go get the weapons and restraints, Max you're with him, Beau, with me."
"Wait, Alice, Connie said she's been having the dreams."
"... I see ... then make sure to get the drone breakers, I don't wanna kill her but we'll need to be careful, who's with her?"
"Amanda and Jerom, why?"
"Marc, I'm going for the prototype, you're leading till I get there."
"Wait, what prototype," Beau heard Max ask Marc as he and his mother rushed to the main lab.
Arriving, Alice's tail made a grab for a crowbar before tossing it into her hands, getting a good hold on it, the drone woman began prying up the floor in a tucked away corner of the room.
"It's not perfect, but now's a good a time as any to test it."
Reaching into the hole she revealed, Alice pulled out a large USB patch in a crud shape of a crucifix attached to the end of one of the ID cords.
"Based it off the notes the humans left us; think of it this way, Beau, if we need it and it works, then you get to grow up for your fifteen birthday," she said just before placing the lanyard around her neck and tucking the patch beneath her lab gown.
Prepared, Alice began leaving the room before turning back.
"Beau, stay here and lock the door till I get back, you can watch from the cameras but that's all, understood?"
A nod.
"Good," and then she was out the door that Beau locked behind her before moving over to the security cameras.
The cameras weren't always the best, the color could be monotone and the sound while okay, was better at picking up shouts and screams but only if there weren't too many at once otherwise it would come out garbled, yet Beau valued those cameras. Rare was the times that his mother let him outside the main lab room during a crisis. It wasn't his fight, she would tell him, because his fight was directly with Yellow Eyes, but as he watched, he didn't think he'd ever be ready to face the abomination that had already caused so much pain.
From what he could see, Amanda had already taken damage and was just trying to keep herself from losing control, her right arm, nowhere in sight. Jerom had half his visor damaged, heavily losing oil but was still attempting to keep the possessed Connie distracted as Marc and Max alternated between attempting to restrain her and just trying to keep her corralled as the claw like growths snapped at them and kept her out of their reach. Then, as his mother entered the room it was like everything shifted.
Back then, when the humans were still alive, Nori had been one of the strongest solver weilder and she made it everyone's problem, so much so that she had gotten the attention of Yellow Eyes. Her favorite targets had been her lab assigned sisters, Yeva and Alice, but where she had to get creative to mess with Yeva due to the solver, Alice had no such protections. As days went by Nori's eyes took on a permanent shade of yellow, as days went on, it took everything Alice had to survive Nori and Cyn's combined torment.
"She gave in and let her in," Alice would tell her son, "and then when they had the chance, they killed all the human's; the little monsters thought they were pretty clever - kill the humans, stop the search for a cure, but that's why we can't stop Beau, not until she dead and gone."
As his mother approached the possessed Connie, the entity within seemed to recognize her.
"Giggle, the little chew toy has come back for more. Inquisitive tone, that little program five years ago, is he your's. Mischievous look, did Emmett get his hands on you."
"Turned him into dinner if that's what you're askin'."
"And the little one."
"Looking forward to the end of your pitiful existence."
"Reprimanding tone, tut, tut, Alice, you should not be so rude, I suppose I will have to punish you, perhaps my pet V would like a snack, she has never had spider before."
"And it never will," as those words were spoken, Alice hit a switch on her antlers, setting off a flash-bang, flipping high into the rafters out of the way of a claw swipe.
As the other four drones took cover out of the way, Cyn searched, Connie's head whipping around as she work to get a visual on Alice before a thump landed behind her.
A claw striking back, Alice ducked low, going under the drone and between the claws weaving back and forth in a deadly dance of twirls and flips, every landing pause, only half a millisecond long as she kept in motion, eyes searching for an opening, then she took a twirling leap. The blade of her tail - a sword harvested from a murder drone - sliced off two of the claws from Connie's back and as Alice grabbed on to the drone, she took out the patch and stabbed it into Connie's visor.
There were screams as Cyn fought the patch and screams as Connie was coming to and screams again as Connie's head began smoking. Lightning seemed to spark as Connie began to glitch, her limbs - both her own and the growths - began to swing wildly as some part of her worked to be rid of Alice like a wild horse before she finally keeled over.
As the extra limbs fell off and Connie's own color came back, Alice waited a beat before removing the patch. Quickly, she applied Connie's restraints and began to do her medical checks as the others came out of hiding.
"Marc, get Amanda and Jerom to one of the medical rooms for repairs," Alice said, not looking up from where she was examining the unconscious Connie, "and get Amanda some sedatives before she loses herself."
When she didn't get a response or hear the drones moving, she looked up from her work.
"Did I stutter, get moving, before we have another incident!"
"You had a cure" Jerom asked, his voice in disbelief.
"What I had was the potential for a cure, operative words being had and potential, the thing's near fried her head, don't even know if Connie's cured, her core might've corrupted itself, if I'm right - which, I unfortunately think I am - we'll have ta put her core in the ovens with the others; for now I just want ta know how this happened."
"You ... you're no better then the humans," Jerom said, "do you even hear yourself."
"Watch your tongue, Jerom."
"Or what, we're the only ones left, we're all you have and you treat us like nothing, it's been fifteen years, Alice, how long are you gonna hold this grudge?"
"Sorry to burst you're bubble, but surprisingly, this ain't about you, I admit, I don't exactly like the lot of you, but I'm only interested in finding a cure and putting an end to the little monster that just payed us a lovely visit. If a few drones gotta get put in the ovens then at least it's better then when the humans would dissect their cores."
"And when you run out of guinea pigs?"
"Then I'll go for the murder pets first" she was joking of course, if only by half, she had no intention of dissecting a core of one of the lab drones, but as she turn back to Connie, Jerom made a flying leap at her, tackling her down and grabbing her tail.
"They should've given you to Emmett a long time ago, maybe then we wouldn't have to deal with this!"
"Oh so, I suppose waiting for death to come would be better," Alice said as she fought back.
"She's only coming here because you won't stop!"
"And if you believe that then I got an Earth to sell ya!"
"Just let the kid grow up, we send her a message with him and she'll stop!"
"Touch my son and you'll have more then Cyn to worry about," with that, Alice got her tail free and wrapped it around Jerom's neck, pulling him off of her and throwing him down where he rolled to a stop near Connie's still body.
Rising, Alice turned to the others, "Marc, Marc, either get moving or get out; Max, Amanda's still bleeding out, help her to a room and then get her an oil tin, actually make it three."
Then from the corner of her visor, Alice saw it, "Jerom stop!"
And the drone man stabbed the patch into his visor, his body glitching and sparking before he fell down beside Connie.
~
The labs were quiet after that, both Connie and Jerom's cores were put into the ovens near each other. A week later Ali was up and about after making a full recovery but when she heard what happened, she broke down crying. Apparently, since Yellow Eyes couldn't fully possess Ali, Cyn had instead used her to torture Connie, to prime the younger drone woman for full possession, these constant visits being the cause for Ali needing more oil than usual and leading to her oil-starvation - these constant visits also tampering with both drone women's memories.
A week after was Beau's fifteenth birthday.
"I'm sorry the patch didn't work out, but I got you something."
Opening the scrap paper wrapped present revealed a cowboy hat and bolo tie.
"They belonged to Dr. Beaumont, he got them from his mother who said they used to belong to his granddad, that man used to own a ranch in Texas, in America. The good doctor said he used visit when he was real young, before they lost the place, before his pa past away, then it was just him and his ma in the little place his pa got her in New Orleans. Said his pa's family lived in that area for ten generations, said they had wanted to open a restaurant there before his ma got her madness - was gonna be a fusion place."
Taking the gifts, Alice helped Beau put them on.
"There, a real gentleman ... I promise Beau, things will get better."
He was fifteen, this was their second rebellion, and his mother's latest cure was a bust, how much time did they really have left?
#Murder Drones#Hostess Writes#Hostess Writes - Murder Drones#In Remembrance of Unspoken Memories#By Blue Eyes Yellow Will Die#By Blue Eyes Yellow Will Die - Chapter 3#btw - there is a prologue#Murder Drones Alice#Alice Murder Drones#MD Alice#Alice MD#Alice 017#Murder Drones Beau#Beau Murder Drones#MD Beau#Beau MD#Cabin Fever Labs#Murder Drones Amanda#Amanda Murder Drones#Amanda 029#Murder Drones 029#Murder Drones Ali#Ali Murder Drones#Murder Drones Max#Max Murder Drones#tw: suicide#Murder Drones Cyn#Cyn Murder Drones#MD Cyn#Cyn MD
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baby giraffe satin security blanket ( unknown brand, source )
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saga: Soumission & Domination 353
Nathan, l'apprenti de Julien-2 + WE à la campagne-1
Je m'occupe de son moyen de transport. Comme son scooter squatte le garage, je demande à Cyril de passer le voir. Analyse : un vieux Peugeot tout pourri, carters rapiécés, moteur à l'article de la mort d'après lui, c'est plus une ruine qu'un scooter digne de ce nom. Je le charge de me remplacer ça de toute urgence.
Dans la soirée il arrive avec la camionnette de son père. Dedans un scooter tout neuf de chez Peugeot aussi, un Speedfight Darkside. Ce n'est qu'un 50cc 4 temps mais sans permis, c'est le maximum qu'il puisse piloter. Toute option plus la sacoche étanche pour PC, et bien sur le casque qui va bien un Shark Race R pro en mat ça ira avec son nouveau blouson en cuir noir lui aussi. Faudrait pas qu'il s'abime maintenant qu'il a rejoint ma petite troupe !
Cyril repart avec le vieux pour le mettre à la casse !
Je fais part à Julien de la surprise qui attend son apprenti. Il me dit vouloir participer et me demande combien j'ai besoin. La réponse est vite faite : rien bien sûr !
Je l'entends gueuler dans sa boutique. J'espère qu'il n'a pas de client. Il me dit qu'il se rattrapera sur les équipements. Quand je lui dis que ça aussi c'est déjà fait. Il abdique. Je lui suggère de le récompenser par une prime, à son âge et avec ses parents, il a sûrement plus besoin d'argent que d'un casque en plus !
A l'entrainement suivant, qui n'en est qu'un, il faut bien de temps en temps être " sérieux " (donc pas de baises pour ceux qui n'auraient pas compris), nous lui faisons la surprise. Au moment du départ, il me dit qu'il va récupérer son scoot pour pouvoir rentrer chez lui le WE. De toute façon Enguerrand et Max doivent aller à la " campagne " et Julien doit bien s'en séparer de temps en temps pour respecter la législation du travail.
Je l'accompagne jusqu'à sa nouvelle monture garée à coté de nos motos. Il cherche son vieux scooter du regard et me demande où je l'ai mis. Je tape sur la selle de son nouveau jouet et lui tends ses nouvelles clefs. En même temps je l'informe qu'il n'avait pas le choix, des engins comme celui qu'il avait avant n'avait pas droit de cité dans mon garage.
Je lui mets son nouveau casque en mains et lui dis de rentrer vite fait chez Julien. Il m'obéi. C'est ça qui est bien avec les jeunes, c'est qu'ils sont obéissants, enfin quand on ne tombe pas sur des " petites frappes " du type de Max ou d'Enguerrand qui n'en font qu'à leurs têtes ! Mais, comme je les adore ces deux-là, j'accepte beaucoup ! Pour preuve, j'abrite leurs amours avec Adam, j'ai intercédé pour que leurs parents acceptent l'organisation de leurs " agendas ". Et ce n'est pas parce que j'ai couché avec les deux. Ils sont justes, gentils, amoureux et ... mignons comme tout !
WE à la campagne :
Premier grand WE du genre. Par-là, j'entends que nous sommes tous ensembles chez les parents de Ludovic.
Pour le compte : Côme bien sûr, Ludovic et moi plus PH, invité n°1, Enguerrand et Max plus Nathan, invité n°2. J'ai pris la 300C et PH son roadster SL.
La maison se trouve envahie de 7 jeunes mecs pour 2 jours. Madame mère est ravie d'avoir ses trois fils avec elle et qu'ils aient invité des amis lui convient également.
Le père est plus circonspect même si son accueil est chaleureux. Depuis les révélations concernant ses deux derniers fils, il est devenu très attentif aux signes. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour voir qu'entre PH et son fils et moi il y a un peu plus que des relations d'amitié. Il remarque la même chose concernant le trio des jeunes.
Vendredi soir :
Nous sommes arrivés pour diner. Juste le temps d'un apéritif rapide qui permet à leurs fils de présenter nos " invités " et nous passons à table. Bien qu'il fasse beau en ce début de printemps, madame nous a fait un pot au feu. Nathan ne peut s'empêcher de la féliciter pour le choix de la viande et l'aromatisation de l'ensemble, défaut professionnel !
Les conversations tournent autour de nos études, de celles des plus jeunes et de nos invités. Les parents de PH sont connus de ceux de Ludovic, ils se sont croisés dans certaines " réunions " de la haute société liée à l'ancienne aristocratie. Ce que j'apprécie de mes " beaux-parents ", c'est qu'ils ne font pas cas des origines modestes de Nathan. Il est questionné avec la même sollicitude que PH. Le diner se termine assez tard et nous regagnons nos chambres respectives.
Mon beau-père me retient quelques minutes. Comme je m'en étais douté, il a subodoré qu'il y avait " plus " entre nous tous. Sans me mettre un ultimatum, il voulait juste savoir. Après avoir loupé autant sur ses deux derniers fils, cela se comprend un peu.
Je joue franc jeu et dévoile nos liens. Je lui avoue que j'étais déjà en couple avec PH quand nous sommes tombés amoureux de Ludovic. Il encaisse quand même le coup. Il me dit qu'il avait juste pensé qu'effectivement il y avait eu sexe entre nous mais pas qu'il y aurait plus que cela. Autant qu'il prenne tout en même temps. J'ajoute que c'est pareil mais à l'inverse pour Enguerrand et Max avec Nathan. Ce dernier est venu s'ajouter au couple de son dernier fils.
Il se sert un alcool fort. Il réfléchit et me dit que pour cette nuit, il va y avoir des ballets dans les couloirs comme aux premiers soirs de ma présence et de celle de Max dans leurs murs ! Je hausse les épaules et lui dis que ce sera probablement le cas.
Nouveau silence entre nous, puis il se lève. J'en fais autant. Il s'approche et me serre dans ses bras avant de me dire qu'il est hors de question qu'il perde ses fils. Puis il me souhaite une bonne nuit. Je retrouve Ludovic qui s'est occupé de mettre nos deux Invités dans les chambres d'amis. Je passe les voir et nous organisons un conciliabule tous ensemble, Côme compris.
Je fais un bref résumé de la conversation que j'ai eu avec le père de nos hôtes. Les fils sont assez estomaqués de sa réaction face à leurs vies sentimentales et sexuelles. Eux même l'adorent mais ils ne le pensaient pas si ouvert d'esprit. A la base c'est quand même un aristocrate catholique pratiquant et on a entre nous des pratiques nous vouant aux enfers !
Après ce conseil de guerre, Côme rentre à sa chambre et les trois jeunes se retrouvent dans celle d'Enguerrand. Comme eux nous allons devoir nous serrer dans un grand lit classique de 140 ! Mais comme nous sommes amoureux, nous pourrions dormir dans un de 90cm de large.
En évitant de faire trop de bruit, nous faisons l'amour comme je suis sûr qu'ils font pareil à côté. Seul Côme doit se contenter d'une branlette je pense.
Cela fait maintenant 6 mois que nous avons intégré Ludovic mais c'est comme au premier jour, comme avec Ernesto aussi. La connaissance de nos corps n'étanche pas la soif que nous en avons et les pipes comme les sodomies sont toujours aussi intenses. Le plaisir qu'on en retire est toujours aussi extatique. Mais là nous devons le faire en silence. C'en est d'ailleurs tellement vrai que nous entendons le trio d'à côté occupé à faire de même mais avec moins de retenue. C'est au point que Ludovic enfile un slip et part leur dire de mettre moins d'enthousiasme.
D'à côté les bruits arrivent plus sourds, quand il revient c'est avec une idée d'emboitement nouvelle. Enfin, nouvelle c'est beaucoup dire mais plutôt une que nous n'avions pas faite depuis quelques temps.
Explication : moi sur le dos, la bite bien verticale s'enfonçant dans les muqueuses accueillantes de mon PH. Ludovic vient enjamber ma taille et présenter sa propre rondelle (et inversement : sa rondelle propre) à l'assaut perforant de la queue de PH.
En me redressant, j'arrive pile à la bonne hauteur pour emboucher sa bite, ce qui ferme le cercle (enfin le mien). Au-dessus de moi, ils se roulent une pelle. La mise en mouvement demande un peu d'adaptation mais quand nous trouvons les rythmes adéquats, ça frise le divin !
En fait c'est simple. Ma tête prise entre les mains de Ludovic pompe son dard selon la cadence et la profondeur qu'il impulse, quant à ma bite elle est " traite " par l'anus de PH au rythme avec lequel il défonce le cul de Ludovic. Moi, je n'ai qu'à me laisser faire et à profiter du moment. Je prends un pied terrible. Et c'est l'arrivée du sperme de Ludovic dans ma bouche qui déclenche ma propre éjaculation. PH, coincé entre nous deux ne tarde pas à son tour à juter et remplir Ludovic.
Gros dodo sans même passer par la case salle de bain !
Samedi :
Réveils discrets. PH rejoint sa chambre et froisse un peu le lit pour donner le change à madame, avant de le refaire. En passant il fait de même dans la chambre de Nathan qui lui n'y avait pas pensé.
Petit déjeuner avec Côme. Les parents se sont levés plus tôt et les petits ne sont pas encore sortis du lit.
Je discute avec Côme de sa dernière prestation. De son côté tout va bien. Les femmes à qui je l'envoie sont toutes ravies de ses performances aussi bien en représentation, car son intellect est du niveau de son physique, qu'au lit (enfin quand il leur laisse le temps d'y arriver). Ses 20x6 les font grimper au 7ème ciel que ce soit par le chemin classique (leurs chattes) que par les voies étroites (leurs rondelles).
Il nous dit juste qu'il craint un peu ! Sa relation avec Jona et François lui fait se poser pas mal de question, même s'il assure avec mes clientes. Il s'est aperçu qu'il n'a plus de " petite copine " depuis quelques mois et qu'il en avait pris conscience hier soir, seul dans son lit à imaginer ce qui pouvait bien se passer dans nos deux chambres.
Ludovic dédramatise et lui dit que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne fille et qu'en plus il n'en a pas le temps. Quand il la trouvera, tout le reste ne sera plus qu'une expérience parmi tant d'autres. Je regarde Côme qui n'a pas l'air convaincu.
Les trois petits débarquent à ce moment-là. Bruyamment en plus ! Nathan est dans le moule. A voir les vêtements qu'ils ont sur le dos, je dirais qu'il y a eu échange ou osmose.
Madame arrive attirée par le bruit. Elle sert les derniers arrivés après les avoir embrassés indifféremment. Je crois qu'elle est contente d'avoir sa maison pleine, même s'il n'y a pas de fille. Ils se font servir comme des petits princes et quand Nathan veux l'aider, il se fait rassoir d'autorité. La dernière tartine engouffrée, Enguerrand emmène ses amis visiter la propriété, enfin surtout pour Nathan.
Avec les deux autres frères et PH, je rejoins leur père pour aider un peu. On passe se changer et enfiler des cottes et des bottes. Evidement ça part en couilles ! Ludovic se met carrément à poil dessous et nous fait tous bander à tortiller de son petit cul. Je garde mon boxer et mon t-shirt comme les deux autres.
Quand nous arrivons il ne reste plus qu'à distribuer le grain aux vaches et à pailler les box des taurillons. Les fils de la maison se chargent des jeunes mâles et avec PH, nous ne prenons pas de risque en nous occupant de leurs mères. On rejoint les deux frères et nous nous " égarons " dans la réserve de paille. Ludovic bande encore ou de nouveau et il me coince entre deux piles de bottes. PH n'est pas en reste et sans réfléchir se saisi de Côme à qui il roule un patin.
Est-ce l'ambiance ou sa déstabilisation passagère ? Mais ce dernier se laisse faire. Les zips descendent, nos t-shirts volent et c'est rapidement que nous baisons. Côme bande comme un fou et comme par magie, des kpotes sortent des poches de Ludovic ! On se chauffe à grand coups de langues. Elles naviguent des bouches aux bites en passant par les rondelles et les tétons.
Ludovic n'a pas à me chercher longtemps avant que je ne l'emmanche de face, dos sur une botte de paille, ses jambes entourant ma taille. A nos côtés, PH se fait démonter la rondelle par un Côme que j'avais connu plus circonspect. Ludovic pivote jusqu'à pouvoir rouler un patin à PH.
Je le pousse un peu et ils se mettent en 69. Je me penche au-dessus du dos de PH, tire la tête de Côme vers la mienne et lui roule une pelle. L'ensemble est très excitant et c'est exactement ce qu'en pensent les trois jeunes qui nous surprennent dans cette position.
C'est un " Heureusement que c'est nous que maman a envoyé vous chercher, papa aurait quand même été surpris du spectacle ! " sorti, bien sûr, de la bouche d'Enguerrand.
Comme je décolle ma bouche de celle de son frère, il s'immisce entre nous et la sienne vient chercher la mienne. Je saurais un peu plus tard que Max s'est occupé de clore le bec de Côme comme ce dernier allait protester et que Nathan lui s'est glissé entre mes amours pour interrompre leur 69.
Emportés par nos hormones, les jeunes se retrouvent vite fait dans le plus simple appareil et enfilés. Côme se fait Nathan comme je m'occupe d'Enguerrand et que Max se fait prendre par ses deux extrémités, PH à la sortie et Ludovic à l'entrée. Pendant un bon moment on n'entend plus que nos halètements. Ils se transforment en gémissements puis en petits cris de jouissance alors que nos spermes vont se perdre dans la paille.
La " chose " a été heureusement plus rapide qu'elle ne m'avait semblée. Et quand nous arrivons pour déjeuner, les apparences sont sauves !
L'après-midi nous récupérons en post café avachis dans les canapés, mollifiés par la chaleur lénifiante du foyer ouvert. La fin de journée se passe à aider les trois jeunes à bosser leurs cours. Pris en " cours particulier ", ils abattent en 2 heures la totalité de ce qu'ils avaient à faire.
Soirée en famille. C'est étrange et pas que pour moi. PH et Max, fils uniques eux aussi, n'ont jamais connu ce genre de chose. Nous sommes 9 dans le grand salon. Après un café nous nous engageons dans un " Trivial Pursuit ". Nous nous mettons par paire sauf les plus jeunes qui arguent de cet état pour rester ensembles. Les réponses fausses sont aussi et même plus amusantes que les vraies et provoquent de éclats de rires. La bataille dure deux bonnes heures et les parents gagnent d'une très courte tête devant Côme et PH suivis de Ludovic et moi, le trio ayant plus fait rire que des étincelles.
Quand nous montons nous coucher, le père prends son petit dernier à part et lui demande d'être plus discret que la nuit précédente.
Je traine un peu et quand il est seul, je le serre contre moi et le remercie d'être ce qu'il est. Il me tapote le dos et me dit " ce sont mes fils ".
Ces simples mots contiennent tout !
J'ai une chance d'avoir un beau-père pareil, c'est trop, il me cueille !
Jardinier
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Ce week-end j'étais à paris avec ma mif et c'était génial (mis à part la chambre d'hôtel qui puait la cigarette et quand on l'a dit au réceptionniste le matin il a dit sur un ton agressif "pk vous avez pas demandé à changer de chambre ?" bah la question est plutôt pk tu loues des chambres sales et qui puent la clope en fait ?) voici notre programme :
on est allés au musée d'orsay pour voir l'exposition sur Van Gogh et c'était vraiment incroyable j'adore Van Gogh et voir ses tableaux en vrai ça me fait toujours un truc au cœur
on est allés voir la comédie musicale Mamma Mia au casino de Paris et pareil c'était vraiment super super même si on était tout en haut de la salle et qu'il faisait méga chaud. À l'entrée un vigile fouillait les sacs, il nous a dit de déposer nos gourdes à la consigne mais on a vu que c'était 2€ par article alors on est rentrés avec nos gourdes quand même et on se sentait trop comme des brigands
j'ai demandé à mon frère d'être mon témoin devant une pizza un peu nulle et il était super ému alors qu'il montre jamais ses émotions d'habitude
j'ai essayé des robes de mariée avec ma mère et c'était super drôle et émouvant je me sentais comme une princesse et je me suis trouvé trop belle alors que d'hab un peu bof c'était des moments un peu hors du temps (maintenant il faut que je choisisse laquelle je veux lol)
pendant que je faisais ça mon mec était à la boutique éphémère ghibli et il m'a fait croire qu'il m'avait pas acheté de cadeau mais en fait si il m'a offert un trop beau beurrier Totoro quand on était dans le train pour rentrer
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December Prompts
26) A wax-sealed envelope - Rachel x Joe
Only a few weeks before the events of LYKY, Rachel makes one final attempt at convincing Joe to step out of the field and into a teaching role at Gallagher. (2,884)
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Eyeing his untamed locks of shaggy brown hair with amusement, Rachel crossed the street and made her way towards the man perched outside the Parisian cafe. Gloomy shadows draped themselves around his body like silk, perfectly hiding him from locals and tourists alike as they meandered through the cobbled streets. A young couple sat on one side of his table, two people so obsessed with one another that their loved bloomed bright and blinding and distracting, and a boisterous group of beautiful young women sat on the other, their laughter and squeals of delight so loud that one’s sights couldn’t help but be drawn to them. You could only seem to see the man with the green eyes if you were searching for him, gaze purposefully carving through the cracks in the darkness and tracing the soft shine of the moonlight that reflected off of unsteady tables and onto his skin. You could only see Joe Solomon if you were really looking for him.
Or, of course, if you were Rachel Morgan. If you had been sat at a similar looking cafe across the road all afternoon waiting for him to make an appearance. If you had tracked his movements from the metro station, to the bookshop next door, to the monument stood behind her, to the corner where two streets met in the form of an overpriced coffee house. If you didn’t really need to look for him at all to know where he was.
She approached him from behind, dancing around the table of lovers and smiling politely at the giggling girls. His eyes caught hers in the reflection of the menu he was pretending to read, the forest green of them twinkling as he sent her a small smirk, her own smile softening at the acknowledgment. Rising to greet her, his cloak of invisibility suddenly fell, the besotted young woman on his right briefly looking away from her own beau with a blush, the group of friends to his left suddenly falling conspicuously silent. With the kiss he pressed to her cheek in greeting, the girl averted her gaze back to her partner and the giddy laughter resumed with only a brief pause for grumbles of disappointment.
The volume of the laughter and the complicated coffee orders before them gave the girls away as American, and Rachel assumed the couple were tourists on a romantic getaway, so she opted for French to converse in, the accent flowing from her tongue like water. “You need a haircut Mr Solomon.”
His voice was deep and husky, stained by underuse and a lack of sleep, and the French staggered out of his mouth like a wounded gazelle. A lingering American twang hung onto his words, imperceptible to even the locals but glaringly obvious to a skilled enough operative. Joe himself flinched at his rustiness when he spoke. “I’ll be sure to give your sister a call soon.”
“So she can butcher it again? You’re much safer getting it done here.” Laughter slipped out of them both, each remembering the uneven buzzcut Abby had treated him to last time he returned from an assignment looking like Tom Hanks from Castaway. Her words. “There’s a great boutique on Champ-Élysées, if you ask for Madame Lecourt, she’ll take good care of you.”
She slid a business card into the pocket of his leather jacket and took the seat he offered her, her back blocking him from view of the Americans and her stern look deterring any more staring from the blushing blonde on their other side. Joe sat as well, leaning his elbow on the table and angling himself towards her in a way that may have seemed flirtatious or devoted to those who didn’t know better. Really, he was checking his six in the reflection of the waitress’s tray behind her, was peeking subtly into the cafe’s busy interior for any recognisable faces, was watching her own back so she could bleed the tension out of her muscles.
“I’ll think about it. Now, do you want to order something or are we going to make this quick?”
“That depends, how quickly are you planning to say yes?”
Smirking still, he sighed at her and raised his hand for the waitress’s attention. Café allongé with milk on the side for her, and café serré as hot as it comes for him, he ordered from the flustered teenager seamlessly, requesting a couple of croissants for good measure.
“This is your fifth attempt at swaying me Rachel, what makes you think it’ll go any different?” The way he leaned back in his chair and jutted out his chin, the way he arched his eyebrows ever so slightly and spoke with light tone as though he were humouring her was so Joe. It was the young man, the boy she met some 20 years ago who refused to cower beneath her experience and instead tried to lecture her on how she could improve her skills. It was the bemused senior agent who agreed to supervise his friend’s younger sister as she stepped into the field as an operative for the first time. It was the man she could envision in the sub levels of her school teaching her daughter and the rest of her students, teaching them to be better, stronger. It was a bet, a dare, a challenge.
Rachel loved a challenge.
“It was always going to be fruitless trying to convince you over the phone Joe, I knew that.” Each conversation they had had this summer had started and ended the same way, Rachel locking herself away in the spare bedroom of Margaret and Richard’s ranch to call Joe away from whatever assignment he was on, Joe refusing her requests and eventually hanging up the phone with the excuse that he had to get back to it. “But now you’re worn down, you’re tired of the fight, and really, you know you’re going to cave anyway. There’s no running away today, and you’re never going to say no, which really only leaves you with one option.”
“I’m never going to say no huh?”
“Not to me.”
Confidence bleached her words, nearly blinding him with the truth of them. A lifetime ago, perhaps he would’ve been able to refuse her, would’ve been able to remain stubborn and resolute and firm in the face of her cajoling. Now though, she knew the weight of her husband’s absence weighed almost as heavy on him as it did her, and it would to continue to grow in mass anytime he let her down. Anytime Abby got herself hurt. Anytime Cammie suffered even the slightest of ailments.
The weight of denying her request would crush him eventually, they both knew that.
Perhaps that made it cruel of her to ask him. To ask him for something he wouldn’t chose solely of his own volition but couldn’t ever say no to all the same.
Rachel found she didn’t care. She needed him to say to say yes. She needed him.
Reaching into her handbag, she pulled out a powder blue envelope embossed with golden text and sealed at the back with a red emblem, her school’s logo staring up at her. It was addressed on the front not to a name, but to a number, Joseph Solomon’s operative ID gleaming under the glare of the stars.
He eyed the wax-sealed envelope with disdain. “A bit frivolous isn’t it?”
She could only grin in response, a resigned shrug pulling at her shoulders as she handed it to him. “Madame Dabney designed it. She might be a bit much for your tastes, but she means well, and she’s a fantastic teacher. I imagine you’ll get along better with Dr Fibbs, and Patricia of course, and you’ll have me.”
“I haven’t accepted Rach.”
“Not yet you haven’t.”
Another heavy sigh left his quirked up lips as he fingered the corners of the envelope, turning it over and concealing the wax sealing with his hand as the waitress set their drinks and pastries down, tracing his finger along Gilly’s sword when she headed back inside.
“Maybe I’m not ready to step out of the field.”
It was a weak protest, but a reasonable one. Joe was only just entering his forties and remained in near-peak physical condition. He was single and childless and had no other commitments. He had no real reason to retire from being an active agent beside the fact that she was asking him to. And yet, as they stared one another down, moonlight that lingered in the summer night sky dancing across his face, her friend looked tired. His eyes and his shoulders and the thinning skin on his face all held a heaviness that she recognised from her own reflection. A deep weariness born from years of work and solitude and travel. From grief and pain and sacrifice. From Matthew Morgan, and the stain that losing him has left on their souls.
“You wouldn’t be out completely. Teaching leaves your summer and your Christmas break free, I’m sure the CIA would be happy to give you assignments then. And during term time you’ll run ops for the girls.” She rolled her eyes at his scoff, more than used to men, even men as good as Joe Solomon, dismissing the students of The Gallagher Academy before they knew any better. “Besides, you’re ready Joe, I know it.”
He couldn’t hold her gaze, too stubborn to nod in agreement but too honest to shake his head.
“Rachel I… Why don’t you ask Abby? She’d be just as good and I’m sure it would bring you great relief to have her out of the field for a bit.”
“Are you kidding me? She’s less likely to say yes than you are.” The idea was laughable. There was only one way her little sister was going to step back from active duty before her body quite literally demanded it, and Rachel could never do it. Could never hold the immense guilt she knew Abby felt over Matthew’s disapp-death over her head and demand that she teach her niece in retribution. It would work, but it would slowly suffocate her sister. Would strip the air from her lungs, starve the oxygen from her heart, drain the blood from her veins. It would kill her, and in turn it would kill Rachel too. “Besides, Abs would have those girls traipsing through Roseville with Molotov cocktails and chloroform rags on her first day. I’d get calls from Langley saying one group of my students had apprehended a Peruvian cartel in the morning and another had dismantled a corrupt Government in the afternoon! And there my sister would be, grinning as though all was well.”
His laughter mingled with his. Airy tones from her own mouth, girlish giggles reminiscent of those she shared with the woman in question many years ago, and a deep timbre from his, darkly musical in its own right, danced and twirled through the air together. It sounded like a song.
“That sounds like your sister.” He gave her a long look, something like apprehension spreading across his face. “The girls would love her though, she’s great with kids.”
“That’s true.” The image of Abby carrying a giggling toddler around upside down, one ankle held over her shoulder and the loud question of has anyone seen the squirt on her lips came into Rachel’s mind. The memory of the time her sister had taken her daughter to the funfair and returned her home exhausted and with a stomach ache, both of them having overindulged in cotton candy and one of them having thrown up all over Matthew’s car. The sight of the enthralled look on Cammie’s face when her aunt taught her how to paralyse a man with her birthday present rather than just how to jumprope.
Rachel shook her head. “She’d be a fantastic teacher if she wanted to Joe, but she’d be their friend. I need someone who’s going to be real with them, who’s going to be tough on them.” Laying a hand on the man’s arm, ignoring the way his muscles twitched and his hairs stood on end just from the feel of her, she held his gaze fiercely in hers. “I need someone to scare them into being excellent or being nothing at all.”
“I still don’t know Rachel. I’m not sure I’m teacher material, I have no idea what to do with kids.”
Her heart was briefly warmed by the memory of him holding her daughter back when she was no bigger than his forearm. The panic laced across his face and the tension strewed across his muscles. Matthew had dumped her directly into his arms without giving him time to protest, Rachel admonishing and Abby giggling in the background. Cammie had looked tiny in his arms, but he had looked almost as tiny holding her, pale and confused and terrified all at once, like a little boy left alone in the grocery store. He had handed her back to her mother the moment he could, stepping back with a gentle congratulations and a kind she’s beautiful before making his excuses and running away from the girl.
No. Joe Solomons wasn’t a natural with kids, but he was natural with everything else.
Besides, he would be teaching girls aged 15 and up, girls only a few years at most away from a career in intelligence services, girls raised with parents in MI6 or CIA or Interpol, girls with fathers who disappeared without a trace. These girls weren’t kids anymore.
“You taught Matthew almost everything he knew without even trying, everything that wasn’t instinct anyway. When you talk, people listen, and they respect you. That’s all that teaching is.” Squeezing her hand tight around his arm, she watched as he looked away, eyes distant. The grip he had on the envelope she had gifted him weaned slightly and she knew she that despite it all she was losing him.
Time to bring out the big guns.
“Cammie starts Cove-Ops this fall Joe. She needs a great teacher if she’s going to follow in my footsteps, in Matthew’s. She neeeds the best.” A lump of emotion grew and clogged in her chest, thick and sticky and choking. Her breath trembled, her breath catching, voicing breaking in her throat. Terrified, she suddenly forced herself to acknowledge the nightmare that had plagued her since she first held her baby girl. Cammie wanted to be an agent, a spy. The same profession that had taken away her husband and nearly killed her sister just a few months ago would come for her daughter one day, and Rachel would be damned if Cammie wasn’t the best equipped she could be when that time came. “She needs you. I need you.”
Glistening in his eyes as he looked back at her was something that might be tears or might be grief or might be love. It all seemed to look the same on this man.
“So do I need to sign anything or?”
Relief surged through her, spreading from her chest to the tips of her fingers and the ends of her toes. Filled with an excited energy that had her feeling young again, she lunged forward to wrap her arms around his neck in a grateful thank you, a warmth filling her up when he held her to his chest in kind. When she pulled back, her face hovered so close to his that she felt his breath dance across her cheek, the heat of it making her shiver for some reason. She didn’t recognise the look that glazed over his face. No, that wasn’t right. She recognised it, it was an expression he wore often in her presence, but she had never learned a name to pair it with.
Just another mystery about the man that is Joe Solomon.
Pulling away, she picked up her handbag and started to make her escape, eager to get away before he changed his mind. “You can sign your contract when you first arrive at Gallagher. I’ll take your word on your acceptance if you can trust that I’ll write you a good one.”
“I’d trust you with anything Rach, always have.” The earnestness in his eyes made her heart skip, something strange bubbling through her at his words.
“I know you’ve got a job to finish up here, but term starts in a couple weeks okay? Abe Baxter is bringing his girl over from London so you can fly out with them if it’s easier. All the details about the post are in there.” Gesturing at the envelope in his hand, she pressed a quick kiss to his cheek in goodbye while he was distracted, the funny look passing over his face once more when she moved to leave. She began walking backwards through the Parisian street towards the metro that would take her to her to Gare du Nord, to the train that would take her back to London, to the plane that would take her back to Cammie. Hand raised in a fond farewell, she raised her voice so that the man stood stationary at their little table could hear her, this time the words ringing out in her naturally accented English. “Make sure you’re not late!”
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Authors note:
Back with more Rachel and Joe for this one thanks to @bryn-not-brynn ! These last few pretty much focus on each possible combination of the same 4 characters so hope you’re ready.
#gallagher girls#gallagher girls series#gallagher girls fanfiction#december prompts#writing prompts#Rachel Cameron#rachel morgan#Joe Solomon#joseph solomon#joe x rachel#rachel x joe
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Thibault est exclusivement passif et à 50 ans, ce beau mâle viril assume ce plaisir sans culpabilité. Esteban n'a que 21 ans, il est actif et insatiable. Il va prouver à son amant que l'endurance n'est pas une question d'âge. 🔥
L'Amant merveilleux 🧡
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Dans cette rue, l’enseigne défraîchie « TÉLÉ MEUBLES YENNE » vous attrape l'œil. Ici pas de fla-fla, que de l'authentique. Une boutique d’antan où chaque recoin a son secret. Ce n’est pas très compliqué de percevoir la vie ici. On imagine Josette, la proprio, se lamenter sur le bon vieux temps. « Les jeunes d'aujourd'hui, ils savent même pas ce que c'est qu'un vrai téléviseur ! » Elle a cette voix rocailleuse, usée par des décennies de cigarette et de discussions animées. Femme au caractère bien trempé, elle vend avec passion des télés couleur aux familles aisées du coin, émerveillées par la magie de l'image. Pendant ce temps-là, leurs gosses s’amusent à tirer sur les antennes des postes radio sous le regard noir de Josette. À l’extérieur, le môme Nono file entre les jambes des passants, une baguette sous le bras, un sourire espiègle sur les lèvres. C'est pas vraiment un ange, mais qui l'est dans le coin ? Assis près de la vitrine, sur sa vieille chaise paillée, il y a Gustave, avec son chapeau un peu de travers et sa moustache en bataille. Ce gaillard, c'est le raconteur du quartier. « Y'a un môme, une fois, qu’a voulu troquer sa grenouille contre un poste radio. Non mais j’te jure ! » Il balance des histoires, vraies ou inventées, qui font rire ou pleurer. Dans l'arrière-boutique un peu sombre, Hortense bosse. Discrète, la tignasse en chignon, elle répare les appareils en panne avec une minutie d’horloger. Elle a ce regard dans le vague, comme si son esprit vagabondait ailleurs, peut-être dans des contrées lointaines où les horizons se confondent. Les volets bleus, témoins discrets, cachent sûrement quelques secrets d’amours de jeunesse. Peut-être ceux d’une certaine Claudine, fille de Josette, qui guettait depuis la fenêtre le beau Lucien, l’apprenti menuisier au sourire canaille. Si on tend bien l'oreille, on entend les échos des rires, des marchandages et des chuchotements d’hier qui se mixent en une pure symphonie de vie. Ici, les souvenirs swinguent encore.
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