#banquette noire
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Library - Contemporary Living Room
#Large trendy open concept living room library design example with white walls#no fireplace#and no television. tableau d'art coloré#table basse bois foncé#banquette noire#canape gris#tabouret noir
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Contemporary Living Room Living room library - mid-sized contemporary enclosed light wood floor and brown floor living room library idea with white walls and no fireplace
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Contemporary Family Room Paris Large, modern family room library image with blue walls, a wall-mounted tv, and a light wood floor but no fireplace.
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Scandinavian Living Room Paris Mid-sized danish loft-style and formal painted wood floor living room photo with white walls, no fireplace and no tv
#lucarne#vase vert#loft-style#plafond mansardé#tapis couleur neutre à pois noir#banquette jaune moutarde#coussin vert
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1969 Citroën DS 21 M Prestige
No reserve
Carte grise française
Châssis n° 4495453
Moteur n° DX2 0579008376
Caisse n° 0031-029186
- Collection Trigano
- Version rarissime
- Aménagements exclusifs
- Entre les mains d'André Trigano depuis 1978
- Sans réserve
Cette rare DS Prestige appartenait à un notable marocain d'Agadir avant qu'André Trigano en fasse l'acquisition en 1978 et la ramène en France. Il s'agit d'une version à boîte manuelle et, selon l'ouvrage d'Olivier de Serres sur la DS, le nombre d'exemplaires de DS Prestige dans cette configuration serait limité à 11 exemplaires en 1969. C'est donc une pièce d'une grande rareté. Par ailleurs, cette voiture bénéficie des aménagements propres à ce modèle très exclusif, dont les modifications étaient effectuées dans les ateliers Henri Chapron, à Levallois. Ainsi, sur cet exemplaire, les compartiments avant et arrière sont isolés par une séparation à vitre remontante et la console arrière comporte une commande d'autoradio, une horloge Jaeger, des éclairages de courtoisie et des cendriers. La séparation chauffeur impose à l'avant une banquette dont la sellerie en cuir havane d'origine a été conservée, de même que celle de la banquette arrière, ce qui confère à l'ensemble une très belle allure.
A l'extérieur, la peinture a été refaite dans sa teinte noire d'origine, et la voiture présente la finition propre aux versions Pallas, avec les baguettes latérales et la présentation des bas de caisse en inox. Les joints de carrosserie ont été remplacés et la mécanique a fait elle aussi l'objet d'une remise en état.
Cette DS 21 Prestige constitue une pièce rare, qui rappelle que la DS faisait partie des voitures haut de gamme qu'appréciaient les hommes d'État ou les industriels. Les amateurs de DS sauront apprécier cet exemplaire superbement préservé
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Noir Désir - A L'arrière des taxis (Live Officiel "Dies Irae" Lyon 1993)
Vous les avez connus ceux qui Dans un élan de poésie Mal contrôlé A cent à l'heure sur les boulevards Sur les banquettes de moleskine En s'en remettant au hasard Sans plus se soucier de Lénine S'aimaient à l'arrière des taxis Ils s'aimaient a l'arrière des taxis Tant que les heures passent Tant que les heures passent Peu importent les années Et peu importent les villes Vous les avez connus ceux qui Dans un élan de poésie Mal contrôlé A cent à l'heure sur les boulevards Sur les banquettes de moleskine En s'en remettant au hasard Sans plus se soucier de Lénine S'aimaient à l'arrière des taxis Ils s'aimaient a l'arrière des taxis Tant que les heures passent Tant que les heures passent Peu importent les années Et peu importent les villes Mais en pensant à Lili Brik Et Vladimir Maïakovski Et leurs sourires à peine éteints Et les cent vingt croix de leurs mains Leurs mains qui glissaient sur leurs skins Se perdaient sur la moleskine Ils s'aimaient à l'arrière des taxis Ils s'aimaient à l'arrière des taxis Tant que les heures passent Tant que les heures passent...
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Voilà le débriefe de la nuit de dimanche à lundi 2 avril. Deux amies faisaient du ressenti au second, dans le couloir, assises sur la banquette. Une d'elle sentit « un feu intérieur », puis un froid. Elle s'est alors sentie avec des vêtements différents, avec une longue jupe noire. Puis, elle vit une femme, assise à côté d'elle mais sans creuser la banquette. Comme si elle flottait. La femme la regardait. Elle était vêtue de noir, avec un haut en dentelle et avait un chapeau de veuve. Elles ont été dans la chambre des maîtres. Adeline parle de sa vie professionnelle et entend Cindy lui répondre en acquiesçant simplement ses dires. Pendant ce temps-là, Cindy se sent totalement oppressée, entend le voix d’Adeline, comme si elle était dans un bocal, et lui hurle dessus pour lui demander si elle entend bien tout le raffut qu'il y a au second étage : personnes qui courent, meubles que l'on tire etc … Adeline ne répond pas. Cindy insiste. Elle crie. Rien. Elles sont à 1 mètre d'écart. Puis un cri sort Adeline de son monologue. En fait, Adeline entendait une femme lui répondre mais n'entendait pas du tout les cris de Cindy. Cindy, quant à elle, n'entendait pas du tout Adeline, puisqu'elle entendait une voix dans un bocal. Pour terminer, le lendemain matin, nous avons fait une séance de spiritisme pour connaître les détails de ce phénomène étrange. C'est comme si les filles étaient dans des dimensions différentes. On a eu une personne qui 'avait aucun lien avec nous et a dit regretter de s'être fait incinérer … C'était ça le feu intérieur. Il y aurait plusieurs étapes dans le fait de mourir. On est mort lorsque toutes ces étapes sont franchies, que les énergies vitales sont toutes parties. Cela mettrait 14 jours. Je trouve très intéressant de connaître les modes de communications et le fait de savoir que peut-être, nous incinérons ou enterrons nos défunts un peu trop tôt. 👻👻👻
#fougeret #esprits #fantôme
Illustration phantom.painting
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Vous vous rentrouvez à l'intersection de deux rues, à votre droite un homme et une femme discutent.
●Écouter
- Comment tu vois les choses ?
- Comme une sorte de contour très facile à mal interpréter.
- Et comment tu aimerais voir les choses?
- Comme une sorte de grosse truite tricolore.
- Tu te moques de moi.
- Toi aussi.
- C'est pour ça que tu t'es retrouvée ici, tu sais?
- Je ne vois pas où tu veux en venir.
VOUS SENTEZ QUE VOUS ÊTES EN TRAIN DE GLISSER DANS UN MONDE QUI N'EST PAS LE VOTRE.
● Partir
Vous descendez la rue à la recherche d'un lieu qui saura vous divertir le temps d'une soirée.
Une grande vitrine occultée par la buée retient votre attention.
● Écouter -> *musique*
● Regarder -> *image*
● Toucher -> "la vitre est froide..."
● Regarder en face -> *image arbre vert*
●Entrer
La musique est forte. L'intérieur est fait de bois et de lumières. C'est noir de monde.
● Aller aux toilettes ->
Plusieurs personnes font la queue devant la petite porte recouvertes d'écritures colorées. Vous vous placez au bout de la file, juste derrière un petit homme en costume. Vous sentez rapidement que votre présence a attiré son attention.
- ...OIS ICI...?!
• ignorer -> l'homme vous regarde, en attente d'une réponse de votre part.
• QUOI?!
• quoi? -> HEIN!? -> J'AI PAS ENTENDU..!?
- ...JE DISAIS...C'EST TA PREMIÈRE FOIS ICI..?!
• OUI -> OHH...UN CHATON TOUT NOUVEAU...! COMME C'EST MIGNON...! TU VAS VOIR...ICI C'EST GÉNIAL...ON S'AMUSE COMME DES FOUS..!
• NON -> OH VILAIN CHATON...! C'EST PAS BIEN DE MENTIR...TA MAMAN NE TE L'AS PAS APPRIS..?!
ON ME LA FAIT PAS À MOI...JE CONNAIS TOUTES LES TÊTES ICI...! MAIS NE T'EN FAIS PAS, TU VAS TE SENTIR CHEZ TOI EN UN RIEN DE TEMPS...!!
Depuis le début de votre conversation, la file d'attente a considérablement diminuée. Maintenant seul le petit homme en constume vous sépare de la porte des toilettes.
-...TU SAIS QUOI, J'AI UNE IDÉE...! VIENS AVEC MOI, N'AI PAS PEUR JE NE MORDS PAS..!
• suivre le petit homme
Vous suivez le petit homme dans les toilettes, vous remarquez qu'il pousse la porte mais qu'il ne la ferme pas à clé, ce qui vous rassure.
Après avoir fouillé dans une de ses poches intérieures, il sort un petit sachet de poudre blanche qu'il fait bouger entre ses doigts en vous regardant, souriant.
-QU'EST-CE QUE TU EN PENSES CHATON..!? RIEN DE MIEUX POUR SE METTRE À L'AISE EN TERRAIN INCONNU...!
• accepter ->
-OHH J'ÉTAIS SÛR QUE TU SERAIS UN RIGOLO TOI..! JE T'AIME BIEN, BIENVENU PARMI NOUS...!
Après avoir ouvert le sachet, le petit homme sort une carte de son portefeuille et l'utilise pour tracer quelques lignes de poudre sur le rebord du lavabo.
À l'aide d'un ticket de caisse finement roulé, vous aspirez la poudre par vos narines.
Il ne suffit que de quelques instants pour que le monde autour de vous devienne étouffé dans une sorte de coton. Vous êtes presque sûr que le petit homme en costume s'est volatilisé de la pièce, mais vous ne sauriez dire quand exactement.
•regarder le miroir -> *image*
•regarder vos mains -> *image*
•regarder -> *image*
Un bruit sec et répétitif vous sort tout juste assez de votre transe pour que vous puissiez vous eclipser des toilettes sans trop de problèmes.
•sortir
En sortant, vous vous retrouvez face à un homme visiblement saoul qui semble être à l'origine des coups à la porte.
- AH BAH C'EST PAS TROP TÔT..! Y'ENAQUIAIMERAIENTBIENPISSERICI.
•lui dire que son visage ressemble à un immeuble
• le complimenter sur ses chaussures en forme de calendrier
L'homme ne vous a pas entendu, il a déja fermé la porte des toilettes derrière lui.
•s'asseoir sur une banquette
Vous retourner dans la grande pièce et vous vous installez sur la seule banquette vide de la pièce. Il y a énormément de monde mais personne ne semble porter attention à vous.
•ne rien faire ->
Vous vous rendez compte que les effet de la drogue inconnue ne sont pas prêts de s'estomper. Au contraire, votre vision semble de plus en plus distordue malgré le temps qui s'est ecoulé depuis que vous avez aspiré la substance étrange.
•avoir peur ->
Vous commencez à avoir peur de rester perché jusqu'à la fin de votre vie, et vous vous imaginez dans quelques jours, contraint d'expliquer à vos parents l'enchaînement de situation qui vous a poussé à vous retrouver bloqué dans cet état second.
•ne pas vomir ->
Votre champ de vision se met à tourner de plus en plus vite et vous combattez de toutes vos force une forte envie de vomir jusqu'à ce qu'une voix vous sorte de votre cauchemar.
•rêvasser ->
Quitte à être dans cet état pendant une durée indéterminée, vous decidez de faire preuve d'imagination.
Vous vous imaginez marchant le long...
•d'un ruisseau
...le long d'un ruisseau à l'orée d'une forêt.
Vous remarquez alors un mouvement parmis les buissons. En vous rapprochant, vous réalisez que c'est...
• un lutin
...vous réalisez que c'est un lutin muni d'une minuscule hachette, en train de couper un minuscule bout de bois.
• un métronome
...vous réalisez que c'est un métronome. Le mouvement de ses aiguilles fait bouger doucement les feuilles du buissons et le "tic tac" vous rappelle l'horloge de votre maison d’enfance.
•d'une voie ferrée
...le long d'une voie ferrée recouverte d'herbes folles.
Vous remarquez alors une masse importante entravant les rails. En vous rapprochant, vous réalisez que c'est...
•un calamar géant
...vous réalisez que c'est un calamar géant, qui semble à priori sans vie.
Vous l'observez longuement, vous en venez même à vous demander comment il est arrivé jusqu'ici.
•une carcasse de voiture
...vous réalisez que c'est une carcasse de voiture qui semble être là depuis un certain temps.
Vous l'observez longuement, vous en venez même à vous demander comment elle est arrivé jusqu'ici.
->
C'est un spectacle peu commun.
Pourtant, d'une manière étrange sa présence vous apaise.
...
Au bout de quelques instants, vous remarquez que les rails ont/le ruisseau a disparu(es).
Les herbes folles/buissons et les arbres se sont désormais transformés en 4 murs de carrelage blanc.
Le calamar/la voiture/le lutin/le métronome n'est plus là.
Il n'y a plus de soleil, c'est la lumière brute d'un néon qui éclaire la pièce.
Il n'y a aucun bruit.
Les néons s'éteignent et vous êtes terrifié.
Vous ne savez pas combien de temps s'est écoulé avant qu'une voix ne vous sorte de votre cauchemar.
•regarder la foule ->
Vous ne vous sentez pas vraiment capable de faire grand chose d'autre, donc vous décidez de regarder la foule.
Elle est majoritairement composés de personnes à l'allure punk et de marginaux de tout les types.
Cepedant, un groupe de personnes retient votre attention.
Il y a trois policiers au milieu du bar, personne ne prête attention à eux. Ils semblent être à la recherche de quelqu'un.
Vous commencez à avoir peur d'être découvert. Vous n'avez clairement pas l'air d'être dans votre état normal.
•regarder autre part
Sentant la panique monter, vous vous forcez à regarder autre part.
À quelques mètres, un homme et une femme se trouve dos à vous. Leur silhouette vous est familière.
Lorsqu'ils se retournent, des sueurs froides parcourent soudainement votre corps.
Vos parents se trouvent dans le bar.
Ils ont l'air inquiets.
Vous n'avez même pas le temps de vous cacher que vos regards se croisent, vous provoquant une sensation semblable à un choc électrique.
Vous vous levez d'un coup, prêt à fuir, mais entre temps les policiers se sont raprochés, vous regardant fixement cette fois ci.
Tétanisé, vous ne savez pas combien de temps s'est écoulé avant qu'une voix ne vous sorte de votre cauchemar.
•lever les yeux -> En face de vous se tiens un homme tout droit sorti d'un autre monde. Des bagues couvertes de pierres scintillantes ornent ses doigts. Une chemise à jabot aux trois quarts ouverte laisse entrevoir son torse. Ses cheveux sont longs, brillants, presque couleur or.
Son pantalon, fait d'un tissu argenté anormalement fluide, expose son anatomie sans laisser aucun mystère.
- Ahh mio gattino..! Toi tu ne passe pas un bon moment, si?
• Qui êtes vous ? -> Qui est TU surtout...! Ça ça serait pas le plus important au final, no..? Je vois des choses à ton sujet mon chat. Des belles choses, des grandes choses, mais des choses terribles aussi!
• Ne pas baisser les yeux -> raté. *image*
• Quel genre de choses..? ->
- Oh..!! Tu n'as pas idée... Un gin tonic, et les réponses t'appartiendront. Un faible prix à payer pour obtenir la connaissance des anciens, ne penses tu pas gattino?
• être perplexe ->
-Ahh prend ton temps mon chou, et quand tu changeras d'avis, tu saurais où me trouver...!
L'homme vous fait un clin d'œil et disparaît parmis la foule.
C'était étrange. Pourtant, contre toute attente vous vous sentez mieux.
Vous vous sentez capable de marcher, et comme votre bouche est sèche, vous décidez d'aller commander quelque chose au bar.
• accepter ->
• décliner ->
-TANT PIS POUR TOI...! LES GOÛTS ET LES COULEURS JE SUPPOSE...!
Après avoir ouvert le sachet, le petit homme sort une clé de sa poche et l'utilise pour porter une petite quantité de poudre à ses narines.
Lorsqu'il a fini, il referme le sachet et vous le tends en souriant.
-TIENS, LA NUIT EST LONGUE..! CE GENRE DE TRUC N'A PAS DE PRIX PASSÉ UNE CERTAINE HEURE..! QUI SAIT..!? D'UNE MANIÈRE OU D'UNE AUTRE TU POURRAIS EN AVOIR BESOIN...!
• accepter -> VOUS AVEZ OPTENU 1 " SACHET DE DROGUE INCONNUE" !
Vous rangez le sachet de drogue inconnue soigneusement dans votre poche et après avoir remercié le petit homme, vous vous mettez à réfléchir à votre prochaine action.
● Aller à l'étage
● Commander un verre
● Attendre
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09–09–24 Je me glisse sur la banquette à une table avant que notre animatrice arrive. Avec ses drôles de lunettes - un verre large et rond, entouré d’écaille claire et l’autre plus petit allongé, cerclé de noir - dont les corrections sont différentes. Cela produit un drôle d’effet ce gros œil étonné et cet autre tout petit, inquisiteur. Elle parle d’intelligence d’or et je lui demande à brûle-pourpoint si elle a un cœur d’or en guettant ses réactions. Son visage reste impassible. Une envie très pressante me fait me précipiter aux toilettes. Une femme semble attendre devant deux cabines occupées, mais j’en trouve une troisième escamotée au fond avec une porte translucide. Au moment où je m’assois, la femme vient s’agenouiller devant la porte fermée. Je crois qu’elle va me dire que je n’ai pas le droit de pisser là, mais elle est venue se griller en cachette une cigarette avec une collègue. Je ne veux pas qu’elle fume devant ma porte. Je ne supporte pas la fumée et encore moins dans un espace clos. Surprises elles me regardent à travers la porte translucide. Je me hâte de me rhabiller. Mon fils aîné me succède alors que je réalise que la petite cuvette en inox noir est en réalité probablement réservée aux enfants. Quand je regagne la salle, la table a été déplacée entre-temps tout au fond. Je comprends qu’il faut que chaque participant se munisse d’une figurine. Ma belle-sœur m’entraîne vers un bac rempli de vêtements de poupée avec lesquels j’essaie en vain de m’en confectionner une. J’erre dans le salon de la propriétaire avant de découvrir, au fond d’une niche, une pyramide de petits soldats en uniforme blanc, orné d’épaulettes dorées. J’en détache un soigneusement avant de regagner la table. Je m’assois à la seule place disponible. Un verre ébréché, à moitié rempli d’un vin orangé se tient à coté de mon assiette. En le repoussant, le liquide se renverse sur mes mains en prenant une teinte rouge framboise. On dirait du jus de betterave. Les collègues affolés me font parvenir des serviettes en papier, mais plus j’éponge mes mains et plus elles ruissellent. Les serviettes affluent sans parvenir à épancher cette hémorragie.
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La mort de Didon
Mons, 1975. Je suis dans ma chambre. Une télé noir et blanc s’y trouve !
J’étais arrivé du Maroc deux ans auparavant, précédemment c’était l’Algérie pour huit ans. Ici, à Mons, débutait ma connaissance de la musique classique… pour l’écoute.
Je regarde un film en noir et blanc, une sorte de polar dont j’ai oublié le titre, le nom, l’histoire. Dans un passage, une dame apparaît en tutu, une énorme dame, ridicule peut-être mais pas vraiment, amusante et joyeuse. Ça oui. Elle danse, sautille sur un chant… une voix… Mes oreilles furent alors plus attentives, bien plus que mes yeux. Quel est ce chant ?
Je déplace ma chaise pour être au plus près de l’écran et j’attends le générique du film et ses enseignements.
Pendant ce temps, la dame danse dans un rythme qui n’a rien à voir avec le chant, elle s’éclate en pointes, pirouettes, chutes et trébuchements.
Le générique arrive… enfin… Mais que retenir, que lire dans toutes ces infos… Mes yeux captent un truc… “la mort de Didon”, rien de plus ! C’est quoi ce truc ? “La mort de Didon”… À l’époque, pas d’internet, que le QUID où je ne trouve aucune piste. Et me voilà donc passant les ans en ne me rappelant que cela : “la mort de Didon”.
Et les années passent… et elles passent… Études, photographe, Marine nationale, mariage, Algérie encore, enfants, retour, et ça tourne et retourne.
Me voici travaillant à Marseille en 1988 ou 89, dans un garage Total près de la Timone dans la mécanique. Travail que je maîtrise… gentiment, pas vraiment, mais je suis présent…
Une dame se pointe avec sa petite R5 rouge : “Monsieur, monsieur, mon câble de vitesse est cassé, déboîté et je ne sais pas passer les vitesses, aidez-moi !” La seule aide que je puisse lui conférer est “Patientez, mon collègue va venir !” ou bien “Madame, sauvez-vous”. Il n’y a pas de collègue en vrai, mais comment lui dire que je ne peux pas l’aider ?
En fait, je me débrouille sur mes voitures. Dans un garage, on me payait à démonter et à remonter des embrayages, des carburateurs, des vis platinées réglées à l’oreille, mais je ne suis pas mécanicien.
La veille, j’ai déchiré le pneu d’une roue de secours avec une machine de démontage que je ne maîtrise pas non plus. Le propriétaire m’a dit “STOP, je me casse…”, il n’a rien dit à la direction… ouf !
Revenons à la dame du jour et à sa R5. Je papote avec elle pour passer le temps, je regarde sa voiture, l’intérieur et je vois des livres sur la banquette arrière… dont un, blanc à lignes oranges : “Didon et Énée” écrit sur la couverture. Didon… ? WHAT… !!! Didon… !!! J’en suis à des années-lumière de Didon… je n’y pense jamais. C’est la deuxième fois de ma vie que je vois ce nom, ce mot. J’assure mon regard, cherche d’autres infos, “livre de chant… Purcell…”. Je demande à la dame de la R5 “C’est quoi votre livre ?”, “Un livre de répétition”, la dame est chanteuse classique. Waaaa…
J’avais maintenant des d’infos, en clair “Didon et Énée, Purcell”. Il faudra un retour en Belgique et encore quelques années (96 ou 97) pour qu’à la médiathèque de Mons je loue enfin “Dido and Æneas - Henry Purcell (Dido’s Lament)”. Puis de là, j’ai découvert le travail de Purcell, le baroque anglais, français aussi !
J'avais 18 ans, comment un chant pareil, une voix pareille a pu m'accrocher, evidement je ne sais pas qui chantait dans le film, mais l'air reste le même.
Et voilà, en 2024, je vous gonfle avec ce récit et ce chant ! Moi, je n’ai pas aidé la dame à la R5, elle… elle m’a aidé… et comblé cette lacune, enrichi mon savoir bien maigre.
D’autres fois dans ma vie, des airs ont traîné avant de revenir : Tchaïkovski pour un concerto, huit ans d’attente de 67 à 75. Mozart, un air entendu dans un film (La Maison de Bories), 68 à 75. Une chanson de Laura Moore de 84 à 2002 et surtout, surtout un morceau de trompette entendu à Rabat en 73 retrouvé par hasard, mais quel hasard, je suis presque tombé de ma chaise en… 2024.
Cela sera pour un autre récit. .
Le voila l'air de Didon : Marianne Beate Kielland sings Dido's lament: https://www.youtube.com/watch?v=wI2Jrxx2ou0
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Banquette en teck et skaï noir des années 1960
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Trocbuy: Nissan Juke DCI 110CV TEKNA DCI 110CV TEKNA, diesel, noir, 07/12/2015, banquette 1/3 - 2/3, carte main libre, fermeture centralisée, Système de navigation, rétroviseurs électriques, toit panoramique, régulateur de vitesse, Pris...
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Mots : 614
TW : Traumatismes
Résumé : Jesse Lewis revient en cours à Poudlard après des vacances scolaires compliquées.
Musique : Feeling good, Muse.
Un coup de poignard. En plein cœur. La jeune femme sentit son palpitant exploser au contact de la lame métaphorique, glacée et mal aiguisée. Un enchainement de mot sans logique se bousculèrent dans sa tête. "Nouvelle, facile, parents, ténèbres". La logique était pourtant bien présente, mais elle se refusa à son esprit. La douleur inonda son poitrail, l'empêchant de respirer, essayant de l'étouffer. Elle senti le sol se dérober sous ses pieds, puis, arrêtant de se battre, elle se laissa glisser dans les abysses matérialisés par son esprit.
******
La voie 9¾ était bondée, les gens s'y bousculaient. Quand le Poudlard Express entra en gare, les élèves et futurs élèves commencèrent à y prendre place. Du bout de l'épaisse semelle de ses rangers mal lassées, une jeune femme monta la marche d'un wagon.
Entrant dans le train, elle prit soin de choisir un compartiment vide. À l'aide d'un Wingardium Leviosa, elle plaça sa valise dans le porte bagage, avant de s'assoir sur la banquette de cuir marron. Un chaton sauta de son épaule jusqu'à la table et se retourna pour la fixer de ses yeux ambrés, un air de reproche dans le regard.
- Je sais Wink, tu n'aimes pas les trains. Dit-elle d'une voix douce, avant de prendre l'animal dans ses bras. Ne t'en fais pas, tu ne verras pas le temps passer.
Elle le caressa doucement jusqu'à ce qu'il s'endorme, enfin rassuré, et ferma les yeux à son tour. Elle revit le visage de ses parents, la cour de la maison, le lac magique bordé de bouleaux, scintillant de poissons doré. Le soleil laissant apparaitre des reflets violets dans les cheveux de sa mère. Elle sourit et céda au sommeil. Jesse se retrouva seule, le ciel devenu noir, des rafales de vent se faisant sentir dans ses cheveux, la poussant jusqu'à ce qu'elle en perde presque l'équilibre. L'eau, ternie par l'orage, laissait apparaitre des poissons flottant à sa surface. Terrorisé, la jeune femme chercha ses parents du regard, elle pivota vers la maison, et se glaça d'effroi. Elle aperçut la porte, ouverte, battant au vent. Elle se mit à courir, manqua de trébucher, et s'arrêta à l'encadrement de la porte, le souffle court. Elle inspira, terrifiée, et franchit le seuil tant redouté.
Jesse fut réveillée par un arrêt assez brutal du train, qui lui signifia qu'il était arrivé en gare. Elle se sentit prise dans l'univers de son cauchemar, quand Wink sauta sur la table, le poil hérissé, ses petites canines sortis, ce qui la fit presque rire, et lui permit de penser à autre chose. Elle attrapa la boule de poil et la posa sur son épaule.
Enfilant rapidement sa robe de sorcière par-dessus ses vêtements, elle sortie du train. Ses pas suivirent la masse d'élèves vers les grilles de l'entrée, la foule ralentie par un contrôle inhabituelle. Arrivant au niveau du professeur Flitwick, elle se stoppa.
- Nom, prénom, année. Siffla machinalement le professeur
- Jesse Lewis, sixième année.
En entendant le nom de la jeune femme, le professeur leva la tête de son parchemin.
- Hé bien, Mademoiselle Lewis, nous ne pensions pas vous revoir. Je suis heureux que vous soyez présente cette année.
- Merci. Répondit simplement la jeune femme en prenant sa valise pour la mettre dans la carriole.
Elle monta dans la calèche, tirée par deux sombrals, et soupira. Elle ne savait pas ce que cette année allait lui réserver, mais au vu de la réaction du professeur Flitwick, cela n'annonçait rien de bon.
Une fois arrivée devant le château, elle suivit la meute mais eu un temps d'arrêt en voyant la porte de la grande salle. Elle peinait à la reconnaitre, c'était étrange comme sensation. Comme s'il s'agissait d'un souvenir embrumé. Elle soupira, et franchi le seuil tant redouté.
#draco malfoy#draco x oc#drago Malfoy#draco malfoy fanfiction#fanfiction#harry potter fandom#harry potter fanfiction
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Honda Pilot TrailSport, Tremblant et JacHOBBY
Le 31 mai 2023
Me voici donc avec le cinquième véhicule des six que Honda m’a confiés pour ce blogue. Cette fois, il s’agit du VUS Pilot dans sa finition TrailSport la plus spectaculaire. Au départ, je dois vous dire que le Pilot a été complètement redessiné pour 2023. Il faut avouer que le constructeur japonais ne l’aura pas facile s’il veut concurrencer les véhicules de ce créneau présentement sur le marché. Parmi ceux-ci se trouvent de véritables gagnants dont les Kia Telluride et Hyundai Palisade, les Ford Bronco, le nouveau Mazda CX-90, le Jeep Grand Cherokee et j’en passe. Vous aurez compris qu’il est question d’un VUS intermédiaire capable d’accueillir sept ou huit passagers (selon la finition choisie).
Le Honda Pilot 2023 a fait peau neuve et la finition TrailSport en est impressionnante. (Photo Éric Descarries)
Comparativement au modèle de l’année dernière, le Pilot de 2023 est certes plus agréable à l’œil. Il est aussi un peu plus grand et gros. Mais, c’est dans sa nouvelle version TrailSport qu’il se distingue le plus. Mon modèle d’essai était d’un bleu plutôt voyant avec des carénages noirs. Sa suspension légèrement relevée, ses jantes noires et ses pneus plus agressifs ajoutent à ce style agressif qui devrait plaire aux amateurs d’excursion hors-route. Mais le TrailSport est-il vraiment un véhicule tout-terrain? On verra cela plus loin.
Même la partie arrière du Pilot a été complètement redessinée. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, l’intérieur a également été redessiné. Toutefois, vous ne serez pas surpris de constater qu’une majeure partie du tableau de bord est typiquement Honda en ce sens que le design de l’instrumentation est identique à celui des autres Honda incluant l’écran central de dimensions raisonnables. Il est pratique lorsqu’on y combine les cartes d’Apple CarPlay. La large console centrale contient plusieurs commandes dont celles qui remplacent le levier de vitesses et celle qui permet au conducteur de changer de type de suspension qui peut passer de «normale» à «sportive» ou à un des choix hors-route (sable, roche ou neige). Cette fois, je dois avouer que les sièges avant sont plus confortables que prévu. Ce confort est plus évident au centre où les deux baquets peuvent facilement accepter de grands passagers en tout confort. Évidemment, il y a une troisième banquette tout à l’arrière. Elle peut accepter trois passagers (mais on y est mieux qu’à deux si on est des adultes légèrement costauds). On y accède relativement facilement en repliant les baquets du centre mais, encore une fois, comme c’en est souvent le cas pour des VUS intermédiaires, les grands adultes y seront un peu à l’étroit.
Le tableau de bord du nouveau Pilot reprend le bloc d’instruments que l’on retrouve dans presque tous les Honda. (Photo Éric Descarries)
Les places du centre sont vraiment très invitantes! (Photo Éric Descarries)
Celles tout-à-l’arrière peuvent surprendre par leur confort et surtout l’espace qu’elles procurent…jusqu’à un certain point! (Photo Éric Descarries)
Bien entendu, les acheteurs de VUS tiennent à un espace de chargement acceptable, ce que le Pilot permet surtout si l’on replie la banquette toute à l’arrière (ce qui est souvent le cas) et plus encore si l’on replie les sièges du centre aussi. J’ai aimé les quelques touches pratiques (comme ce petit compartiment qui accepte facilement un bidon d’essence) et le plancher tout à l’arrière qui se soulève pour accepter quelques petits objets que l’on veut tenir à l’abri de la vue des curieux.
Le grand coffre (un peu sale ici démontrant qu’il a été utilisé) est ce que les acheteurs de VUS recherchent (la banquette arrière a été repliée ici). (Photo Éric Descarries)
J’ai apprécié quelques détails pratiques dont ce petit compartiment où placer le bidon d’essence pour la tondeuse. (Photo Éric Descarries)
Pour les mordus de mécanique, sachez que le tout nouveau Pilot repose toujours sur une plateforme partagée avec la camionnette Ridgeline et la fourgonnette Odyssey (quoique cette dernière ne soit pas livrable avec la traction intégrale). Sous le capot se cache un V6 à essence de 3,5 litres qui développe 285 chevaux, soit cinq de plus que le Pilot de l’année dernière. Ce V6 est désormais combiné à une boîte automatique à dix rapports (contre neuf l’année dernière). Bien entendu, le Pilot TrailSport est à traction intégrale alors que la version de base peut être à traction avant seulement. La traction intégrale du Pilot a été révisée avec ses options électroniques lui permettant d’attaquer divers types de terrains. La version Trailsport vient avec une suspension spéciale relevée d’un pouce (2,5 cm) avec des plaques de protection (skid plates) et des jantes de 18 pouces incluant des pneus Continental TerrainContact A/T. La direction et le freinage ont certes été revisés mais il faut vraiment essayer l’ancien modèle pour le comparer avec la nouvelle version.
Le V6 de ce Pilot a déjà mis à l’épreuve comme en témoigne la poussière sur le moteur! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Évidemment, la finition TrailSport du Pilot est la réponse de Honda à cette récente «mode» où les constructeurs automobile «transforment» leurs VUS plus «civilisés» en machines d’excursion hors-route plus robustes…alors que peu d’automobilistes mettront vraiment ce genre de véhicule à rude épreuve. C’est une approche pratique au Québec lorsque vient l’hiver surtout grâce à la traction intégrale mais sachez qu’elle est plutôt destinée au sud-ouest américain (Californie, Arizona, Nevada, Utah, Colorado, Texas et autres) où la pratique des excursions hors-route (surtout dans les déserts) est aussi courante que les randonnées en motoneige peuvent l’être chez nous.
Honda aimerait bien que son Pilot TrailSport soit un véritable tout-terrain capable de rivaliser avec les Ford Bronco, les Jeep Wrangler Rubicon, les Toyota 4Runner et autres mais ce n’en est pas le cas. Toutefois, ce Pilot est quand même capable d’attaquer certains sentiers assez exigeants sans subir de dommages au même titre qu’un Explorer Timberline, un Nissan Pathfinder Rock Creek ou tout autre VUS légèrement modifié en conséquence.
Sur les routes plus régulières, ce Honda Pilot se conduit comme un charme. Non, ce n’est pas la camionnette la plus rapide, ses accélérations de 0 à 100 km/h demandant environ huit secondes. Mais la boîte de vitesses à dix rapports le rend très confortable à conduire, les changements se faisant avec douceur et souplesse. Autrement, les reprises sont plus convaincantes. Encore une fois, la direction est relativement précise mais un peu tendre. Elle permet, toutefois, une tenue de cap rassurante. Sur une route sinueuse, le système de contrôle du partage du couple (vectoring control) peut venir en aide au conducteur plus téméraire. Le freinage peut sembler puissant, il faut toutefois se rappeler que l’on a affaire ici à un VUS et qu’avec ses plus de 4700 livres, c’est un véhicule lourd. Par contre, c’est un VUS facile et agréable à conduire avec des surfaces vitrées qui permettent une belle visibilité. À noter qu’il y a un certain silence de roulement malgré les pneus relativement agressifs. Avec l’équipement de remorquage approprié, ce Pilot peut tirer jusqu’à 5000 livres (3500 avec la traction avant seule).
Question consommation, on ne peut s’attendre à des miracles avec un VUS de ce gabarit. J’ai obtenu une moyenne de 12,08 l./100 km en conduite moitié urbaine, moitié autoroutière. Mais, l’ordinateur de bord indiquait 10,1 à la fin de mon essai! Le réservoir fait environ 70 litres ce qui peut vous faire «grimacer» si vous ravitailler avec un réservoir presque vide (surtout au prix où est l’essence au moment d’écrire ces lignes!).
Un Honda Pilot débute à 50 650 $. La version TrailSport commence, elle, à 57 450 $ plus les quelques options (dont la peinture spéciale bleue de mon modèle d’essai), les frais de transport et préparation et les taxes applicables. Si vous êtes plus intéressés par la luxueuse version Touring, sachez qu’elle débute à 62 850 $. À savoir si le Pilot, surtout dans sa finition TrailSport est recommandable…certainement!
Un circuit du Mont-tremblant plus…silencieux
Le weekend qui vient de se terminer ne manquait pas d’action automobile. Il y avait des rencontres et des compétitions partout au Québec. Dans mon cas, j’ai choisi, le vendredi, de me rendre au Circuit du Mont-tremblant où se déroulaient les premières épreuves de la saison pour les courses en circuit routier au Québec incluant la première épreuve du championnat national Nissan Sentra.
Malgré les silencieux, ces Mustang «Vintage» ont continué à impressionner. (Photo Éric Descarries)
Toute Ferrari semble à sa place sur un circuit routier (Photo Éric Descarries)
Tout comme une Lamborghini…(Photo Éric Descarries)
La plus importante différence cette année, c’est qu’il y a eu des changements de règlements à cause des plaintes pour le bruit! (Me semble que, quand tu choisis de t’établir tout près d’une piste de course, tu devrais t’attendre à cela, non?). Afin de satisfaire tout le monde et continuer d’offrir un intéressant spectacle aux amateurs d’automobile, les dirigeants du Circuit du Mont-Tremblant exigent désormais qu’un maximum de bruit émanant des échappements soit imposé, quelque 92 décibels dans ce cas!
Ce prototype était intéressant à suivre au Circuit du Mont-Tremblant. (Photo Éric Descarries)
Que serait le Circuit sans ses légendaires Formules ? (Photo Éric Descarries)
Résultat? Ce n’est pas si mauvais! Il y a un petit vrombissement atténué sortant des échappements ce qui conserve une note d’authenticité aux courses automobile mais, pour la majorité des amateurs de compétition automobile, il restait suffisamment d’action et de «son» pour «aimer les courses». En espérant que les irréductibles du silence parfait ne cherchent pas encore des poux pour faire fermer ce lieu historique qu’est le Circuit du Mont-Tremblant. Ils devront alors se mettre à la poursuite des groupes de motos, des hydravions et hélicoptères qui volent dans la région et…pourquoi pas…le vol des moustiques!
Une petite rencontre amicale réussie chez JacHOBBY
Jacques Legault, le dynamique propriétaire de la boutique de modèles réduits JacHOBBY à Laval ne manque pas d’idées. Cette fois, avec l’aide du club Les Bolides du Nord, il a réussi à organiser une rencontre de voitures anciennes et exceptionnelles dans le stationnement de son commerce de la rue Renaud ce dimanche dernier.
Jacques Legault (à droite avec le chapeau) a dirigé de main de maître sa première rencontre chez JacHOBBY. (Photo Éric Descarries)
La belle température et le besoin de se retrouver dans une atmosphère plus intime a incité une soixantaine de propriétaires de voitures toutes plus exceptionnelles les unes que les autres à s’y retrouver, certains avec leur petite famille, ce qui n’a pas manqué d’attirer plusieurs curieux et amateurs de belles autos et ce, malgré les multiples évènements du genre qui se produisaient dans la région métropolitaine ce week-end.
Les belles voitures incitaient aux discussions… (Photo Éric Descarries)
De beaux véhicules, il y en avait pour tous les goûts. (Photo Éric Descarries)
Fort de ce succès, Legault compte bien reconduire ce même évènement au cours de l’année prochaine. On vous en reparlera!
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