Tumgik
#ballet junior de genève
sguardimora · 2 months
Text
Vittorio Pagani in residenza al Teatro Petrella per HARDCUORE
12 Maggio 2024 - 24 Maggio 2024 
Tumblr media
A Longiano è iniziata la residenza creativa per la ricerca e la composizione del nuovo spettacolo di Vittorio Pagani.
Due personaggi, seduti sull’orlo della fine, osservano gli ultimi bagliori di un mondo alla deriva. Come si cammina su un terreno che trema? Cosa salvare quando il futuro è incerto? HARDCUORE esplora, tramite testi, danza e proiezioni, le conseguenze dell’incontro del singolo con la brutalità, l’immenso e la fine delle cose: lo spazio performativo si rende spazio intimo in cui contenuti digitali, suoni e memorie si mescolano per tracciare un racconto di vita. HARDCUORE celebra tutti gli esseri gentili che lottano per rimanere tali.
Vorrei fare con te quello che la primavera fa con i ciliegi #2
****************************************************************
Vittorio Pagani è un performer e coreografo originario di Milano, Italia. Nel 2018 si unisce al Ballet Junior de Genève dove balla nelle creazioni di alcuni tra i più rinomati coreografi a livello internazionale (Hofesh Shechter, Roy Assaf, Marcos Morau, Jan Martens). Nel 2021 crea il passo a due Around 5:65, che viene selezionato per RIDCC2022. Nel 2023 insegue il Master in Expanded Dance Practice (UAL). A The Place London crea A Solo in the Spotlights: questa creazione partecipa a Resolution2023 (UK), Vetrina della Giovane Danza d’Autore (IT) e viene selezionata per la piattaforma internazionale Aerowaves nel 2024, oltre ad essere presentata in numerosi teatri italiani. Danzatore freelance e coreografo, nei suoi lavori investiga temi quali la performatività e la sovversione.
0 notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Anthony La Rosa - Ballet Junior de Genève - photo by Serge Le Hidalgo - @sergelehidalgo
104 notes · View notes
journaljunkpage · 6 years
Text
DANSE DIVERGENTE
Tumblr media
Sandrine Chatelier / Caillou Michael Varlet
La chorégraphe Christine Hassid insuffle rythme, vitalité et passion à l’Espace Treulon de Bruges, où elle réside et mène un travail de fond. Une artiste généreuse qui promet une petite batterie de surprises pour la nouvelle saison.
« Je n’oublierai jamais que c’est la danse classique qui m’a fait rêver et donné envie de danser. J’ai grandi dans les années 1980, c’était exceptionnel ! On n’allait pas voir Le Lac des cygnes, on allait voir Guillem ou Pietragalla… comme au cinoche on allait voir Brad Pitt ! J’adorais les émissions TV de Chancel sur les petits rats de l’opéra. »
1989. À 11 ans, après les 6 mois de stage de l’école de danse de l’Opéra de Paris, le couperet tombe. Elle n’est pas retenue : tendon d’Achille trop court. Mais Claude Bessy, la directrice, ajoute : « Tu as quelque chose. Continue à travailler le classique comme si tu voulais devenir professionnelle, mais fais de la danse contemporaine. » À 15 ans, Christine Hassid est médaillée d’or en classique et contemporain au conservatoire de Bordeaux. Elle continue à danser tout en faisant son droit. Les parents veillent. « On peut avoir des rêves, mais il faut que la danse te choisisse aussi. »
1995. La Batsheva Dance Company (Tel Aviv) et son désormais célèbre chorégraphe Ohad Naharin, connu pour son mouvement gaga (qui n’existe pas encore), passent à Paris. « Va voir, c’est fait pour toi », lui conseille le chorégraphe Peter Goss. Christine a 17 ans. Coup de foudre ! Elle danse trois saisons à la Batsheva Ensemble (junior).
1998. Christine effectue des remplacements dans de grandes compagnies contemporaines (Gallotta, Preljocaj). Elle travaille avec Redha Benteifour comme soliste et assistante chorégraphique pour l’Alvin Ailey Dance Company (New York). Elle y donne le cours et fait les répétitions. Ils travaillent aussi notamment au Jeune Ballet de France (Paris), au Het Nationale Ballet d’Amsterdam, « une compagnie extraordinaire ». « Tu es face à 95 danseurs, avec Forsythe à un étage et Ashley Page à un autre. J’ai beaucoup appris à cette époque. Une assistante doit palier tout ce qui manque. Le créateur arrive et donne ses idées ; l’assistant doit choyer le danseur, lui apprendre la stylistique, l’aider. » C’est ainsi qu’elle enseigne la technique Limon (petites astuces pour éviter de se faire mal dans la danse au sol) en session particulière à une ancienne étoile du Bolchoï. « Il faut dire qu’elle était tellement fine qu’elle était couverte de bleus ! » Elle est aussi amenée à chorégraphier, à assister aux rendez-vous avec les créateurs costumes, chefs d’orchestre, directeurs de théâtre… ce à quoi elle prend goût !
Puis elle dit stop aux plateaux. « Je dansais beaucoup depuis des années. J’étais fatiguée de ne pas voir ma famille. J’en étais au neuvième Noël sans eux. » Elle s’attelle à son propre travail chorégraphique. « J’écris tout ce que je vois dans ma tête. C’est un besoin, ma façon de communiquer. C’est là où je suis le plus subtile, où je peux dire les choses. Mais pour moi, il faut d’abord avoir une carrière de danseur avant de diriger en studio. » Elle travaille pour différents ballets juniors et crée ses pièces. « Il fallait trouver ma propre gestuelle, enlever les traces des autres chorégraphes, même s’il reste toujours des empreintes. »
Retour à la maison, à Bordeaux, et… retour à la case départ. « Une horreur ! » Sur les bords de la Garonne, personne ne la connaît. Débute alors « le parcours du combattant ». Thierry Malandain est un repère et une aide. Les écoles de danse comme le studio Petits Pas jouent un rôle important en prêtant les locaux. Christine Hassid Project (C.H.P.) naît en 2012. Mais rien n’est gagné. La chorégraphe ne parvient pas à être reçue dans les théâtres ni à trouver des dates.
2014. Un premier tournant : son Beldurra obtient le prix spécial Dantzaz-Biarritz au concours chorégraphique Les Synodales. Elle rentre au répertoire de la compagnie basque-espagnole Dantzaz avec la production Aureo autour des chorégraphes Galili ou Lukas Timulak (NDT) qui tourne depuis 2015. Son nom circule en Europe, pourtant, beaucoup de portes restent fermées.
2016. « J’en avais marre d’être chorégraphe SDF ! À un moment, on a besoin de se poser quelque part pour se construire, se structurer. On a besoin d’un lieu où s’installer, lancer des idées. » Alors qu’elle crée une relecture du Spectre de la rose, l’Espace Treulon à Bruges l’accueille en résidence pour la saison. « J’avais un lieu et ma date de première. C’était fondamental. Avec deux studios de danse, un bureau et une équipe formidable ! Tout d’un coup, je me suis sentie soutenue ; comme si j’avais une terre solide sous les pieds. Après, j’avais tout à faire pour dynamiser le théâtre. » Pari réussi.
2017. Bruges confirme son attachement à Christine Hassid via un compagnonnage de 3 ans, jusqu’en juillet 2020. À l’automne dernier, Hassid est aussi rentrée au répertoire de la compagnie Tantsteatr d’Oleg Petrov à Ekaterinbourg. Elle entame un chapitre russe, avec notamment une troisième relecture du Spectre de la rose et trois commandes jusqu’en 2020.
L’Espace Treulon a vu des week-ends gaga, des ateliers autour de son répertoire ; la venue de personnalités de la danse (Sean Wood, directeur du ballet junior de Genève), des échanges artistes/public, des ciné/danse, etc. Un souffle créatif et dynamique qui n’est pas près de s’arrêter : Christine Hassid promet du nouveau toutes les six semaines environ pour la saison à venir. Tout en se consacrant à la création de sa nouvelle pièce – N’ayez pas peur ! – pour 5 danseurs, dont la première est prévue à l’automne 20191.
« J’aime rencontrer les artistes et les sublimer dans l’art. J’aime ce côté “grandissons ensemble”. Mon histoire se construit beaucoup avec eux, de l’intérieur. J’ai toujours senti avec qui je pouvais travailler. La plus belle réussite, c’est qu’ils aient envie de repartir avec moi. Et le public aussi : on a fait complet, avec des spectateurs très différents. Et ça aussi, c’est hyper-important ; je m’adresse à tous. Dans mon travail, j’utilise plusieurs stylistiques, plusieurs éducations artistiques, c’est ce que j’aime. On est hybride. Au final c’est notre identité. On n’arrive pas à nous caler dans une case. On nous appelle les “hors cadre”, mais j’aime bien ! On est la danse. »
1. Afin d’aider au financement de cette création, une campagne de crowdfunding a été lancée : https://fr.ulule.com/nayez-pas-peur/
Stage gaga + répertoire de C.H.P, du vendredi 2 au dimanche 4 novembre, Espace Treulon, Bruges (33520). www.espacetreulon.fr
0 notes
chroniques-hirsutes · 7 years
Text
4.48 Psychose
Quelques extraits de ma chronique sur 4.48 Psychose sur Radio Vostok. Allez donc voir la pièce, que je recommande vivement, lorsqu'elle repasse au POCHE le 29 octobre à 21.30 et le 5 novembre 15.30.
"Pour le metteur en scène Mathieu Bertholet 4.48 Psychose est né du souvenir d’Isabelle Huppert en 2002 à la Comédie de Genève. Elle portait alors les mots de Sarah Kane, dans une mise en scène devenue mythique de Claude Régy. Quinze ans plus tard, il s’attaque lui aussi à ce texte. Un long monologue au bord du précipice -écrit à la fin des années 90' à Londres. Ce journal intime - sous forme de testament - décrit la détresse d’une femme de 28 ans, aux prises avec un mal être explosif & insondable. Elle n’est pas folle, elle n’est pas malade dit-elle à son médecin. « La dépression c’est juste de la colère » Le monologue est porté par Rebecca Balestra, qui irradie de talent et de noirceur. Elle donne aux maux, une allure de poème en divagation nocturne - sous haute dose de spleen. Comme une plume au vent glacé, on frémit, en l’écoutant préméditer son futur suicide - à 4 heures 48 elle ne sera plus là... Elle est entourée de 7 danseurs du Ballet junior de Genève, avec une vrai réussite côté costumes: les pulls XXL et vestes aux manches d’octopus imaginés par Eléonore Cassaigneau, qui donnent à la marche de ses oiseaux de nuit quelque chose de lunaire. Leur danse fuit la technique mais « booste » nos émotions et insuffle ce qui pourrait nous manquer dans le texte : une bouffée d’oxygène! La création sonore, signée Fred Jarabo, est si discrète qu’on l’oublierait presque. Totalement au service du silence qui nappe la pièce. Au fil des minutes, c’est la musique qui défile sur le podium, inlassablement, avec la même régularité que ce cat-walk, comme une très belle ligne d’horizon. Je recommande vivement cette version choc de 4.48 Psychose qui remonte le cours de ce texte tumultueux en marchant lentement à contre courant, creusant une faille pour faire jaillir la lumière d’un des textes les plus noir qu’il m’ait été donné d’entendre." Alexandra Bellon-
https://www.mixcloud.com/RadioVostok/la-quotidienne-448-psychose-chronique/
0 notes
docteurax · 7 years
Text
4.48 Psychose
https://m.mixcloud.com/RadioVostok/la-quotidienne-448-psychose-chronique/
Quelques extraits de ma chronique sur 4.48 Psychose sur Radio Vostok. Allez donc voir la pièce, que je recommande vivement, lorsqu'elle repasse au POCHE le 29 octobre à 21.30 et le 5 novembre 15.30. "Pour le metteur en scène Mathieu Bertholet 4.48 Psychose est né du souvenir d’Isabelle Huppert en 2002 à la Comédie de Genève. Elle portait alors les mots de Sarah Kane, dans une mise en scène devenue mythique de Claude Régy. Quinze ans plus tard, il s’attaque lui aussi à ce texte. Un long monologue au bord du précipice -écrit à la fin des années 90' à Londres. Ce journal intime - sous forme de testament - décrit la détresse d’une femme de 28 ans, aux prises avec un mal être explosif & insondable. Elle n’est pas folle, elle n’est pas malade dit-elle à son médecin. « La dépression c’est juste de la colère » Le monologue est porté par Rebecca Balestra, qui irradie de talent et de noirceur. Elle donne aux maux, une allure de poème en divagation nocturne - sous haute dose de spleen. Comme une plume au vent glacé, on frémit, en l’écoutant préméditer son futur suicide - à 4 heures 48 elle ne sera plus là... Elle est entourée de 7 danseurs du Ballet junior de Genève, avec une vrai réussite côté costumes: les pulls XXL et vestes aux manches d’octopus imaginés par Eléonore Cassaigneau, qui donnent à la marche de ses oiseaux de nuit quelque chose de lunaire. Leur danse fuit la technique mais « booste » nos émotions et insuffle ce qui pourrait nous manquer dans le texte : une bouffée d’oxygène! La création sonore, signée Fred Jarabo, est si discrète qu’on l’oublierait presque. Totalement au service du silence qui nappe la pièce. Au fil des minutes, c’est la musique qui défile sur le podium, inlassablement, avec la même régularité que ce cat-walk, comme une très belle ligne d’horizon. Je recommande vivement cette version choc de 4.48 Psychose qui remonte le cours de ce texte tumultueux en marchant lentement à contre courant, creusant une faille pour faire jaillir la lumière d’un des textes les plus noir qu’il m’ait été donné d’entendre." Alexandra Bellon-
0 notes
sncdancers · 7 years
Text
With it 出演者 (2017年12月)
Tumblr media
【福田沙織】 幼少より古森美智子バレエ団研究所にて学ぶ。ウィーンコンセルヴァトワール(オーストリア)に留学し、Maxim Abzalovに師事。在学後、The National Moravian-Silesian Theatre(チェコ)に入団。4年間在籍し、様々なレパートリーを踊った。SnC第1回公演より参加。 2006年  ニュージェネレーションバレエコンクール(ハンガリー)  グランプリ オデッサ国際バレエコンクール(ウクライナ) 第2位 プレミオローマ国際バレエコンクール(イタリア) ファイナリスト 2007年  タリア賞(チェコの舞台芸術賞の1つ)の選考に入る
Tumblr media
【堀川美樹】
新潟市出身。3歳より苅部初江、克子にバレエを習う。Noism 2で3年間活動後、スイス、Ballet Junior de Genève にて2年間、様々なレパートリーやクリエーションに携わる。
 これまでに、金森穣、稲尾芳文、小㞍健太、山田勇気、Stijin Celis、Roy Assaf、Alexander Ekman、Andonis Foniadakis、等々の作品を踊るが、大島匡史朗さんの作品が大好きで踊りたいから福岡に引っ越す。福岡暦3年。
Tumblr media
【三枝眞希】 幼少よりジャズダンスや新体操を始め舞台の経験を積む。23歳で上京、ストリートダンスやコンテンポラリーを学び表現の幅を広げる。25歳で韓国のダンスチーム「Prepix」からのスカウトを受け日本人初のメンバーとなる。渡韓後アーティストビザ取得、ダンスミュージカル【B show】のメインキャストでとして出演。タイ、マカオ、イタリア、ドイツ、フランス、モスクワのショー出演やチームワークショップに参加。帰国後九州と韓国を拠点にダンサー、振付家、インストラクターとして活動。ジャンルに縛られない作品や表現を好む。 2014年シルクドソレイユのpotential artistに登録される。
Tumblr media
【重松ゆう子】 3歳の頃より、クラシックバレエを始める 齊藤彰氏、齊藤節子氏、藤野千景氏に師事 マーサグラハムテクニックを、力久映子氏に師事 日本国内のコンクールや公演に数多く参加
Tumblr media
【品川ゆり】 3歳よりクラシックバレエを始め、数々の舞台に参加する。2017年 全国ダンサー、ダンス指導者育成プログラム インテンシブコース参加、シンガポールバレエアカデミー短期留学。現在コンテンポラリーを学んでいる。
0 notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Anthony La Rosa - Ballet Junior de Genève - photo by Serge Le Hidalgo - @sergelehidalgo
54 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Vittorio Pagani - Ballet Junior de Genève
37 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Stavros Ikbal - Ballet Junior de Genève - photo by Brian Ca
28 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Stavros Ikbal and Vittorio Pagani - Ballet Junior de Genève - photo by Brian Ca
14 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Dustin Eliot -  Ballet Junior de Genève
52 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Vittorio Pagani and Stavros Ikbal - Ballet Junior de Genève - photo by Brian Ca
14 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Anthony La Rosa - Ballet Junior de Genève - photo by  Serge Le Hidalgo - @sergelehidalgo
16 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Anthony La Rosa - Ballet Junior de Genève - photo by  Serge Le Hidalgo - @sergelehidalgo
15 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Stavros Ikbal - Ballet Junior de Genève - photo by ιώργος Τσαγλιώτης
8 notes · View notes
dance-world · 3 years
Photo
Tumblr media
Vittorio Pagani and @stalexik - Ballet Junior de Genève - photo by @brianbyca
15 notes · View notes