#bébé chauve-souris
Explore tagged Tumblr posts
Text
12 animaux en gestation aux rayons X
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/12-animaux-en-gestation-aux-rayons-x/
12 animaux en gestation aux rayons X

#animaux#bébé#cerf#chat#chauve-souris#chien#chinchilla#cobaye#cochon d'inde#enceinte#gestation#grossesse#kiwi#lézard#muntjac#portee#raton laveur#rayon x#serpent#singe#tortue#œuf#rev
1 note
·
View note
Photo






(via Magnet avec l'œuvre « Une jolie petite chauve-souris au clair de lune » de l'artiste Fantasyplus)
#findyourthing#redbubble#redbubbleartist#chauve souris#bat#kawaii#mignon#cute#animal#lune#moon#nuit#bébé#enfant#bleu#noir#rose#sweatshirt#poster#idee#cadeau#gift ideas
0 notes
Text




Bébé chat rencontré en vacances : mi chat mi chauve-souris, et un peu pouilleux
19 notes
·
View notes
Text
Une mère de famille inquiète de St-Louis a souhaité lancer un appel à l’aide sur notre groupe Vidéo Free Dom. Elle explique que la chambre de sa fille s’est retrouvée infestée de chauves-souris hier soir, et ce matin, elle a découvert des excréments partout dans la pièce. Mère d’un bébé de 7 mois, elle est très inquiète pour la santé de ses enfants et demande des conseils pour le nettoyage ou la désinfection de la chambre
youtube
3 notes
·
View notes
Text
Pour sauver leurs bébés, les manchots de Humboldt aspergent les chauves-souris vampires d'excréments
Et ils font bien: leur espèce est menacée d'extinction, contrairement à leurs agresseurs dont la population est stable.
0 notes
Text
Le Secret Du Bébé Chauve-sourie
read it on AO3 at https://ift.tt/8Waif6K by Ounamoonlight après le retour de Batman et la réconciliation entre les frères et sœurs, le père et les frères sont inquiets du comportement très étrange de bébé chauve-sourie Words: 2034, Chapters: 1/1, Language: Français Fandoms: Batman - All Media Types Rating: Not Rated Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings Categories: Other Characters: Dick Grayson, Tim Drake (DCU), Jason Todd, Alfred Pennyworth, Bruce Wayne Additional Tags: Good Sibling Jason Todd, Good Sibling Dick Grayson, Good Sibling Tim Drake, Good Parent Bruce Wayne, Good Grandparent Alfred Pennyworth read it on AO3 at https://ift.tt/8Waif6K
1 note
·
View note
Text
alright, here we go!
some of these i haven't called you yet, but i will soon >:]
mon petite crevette
2. ma petite chauve-souris
3. mon amour
4. mon doux psychopathe
5. mon ange parfait
6. ma cher
7. mon bébé
go crazy <3
RAT
dare i say...
@bat-b0y-barty
40 notes
·
View notes
Text

Le 8e sujet du Inktober52, édition 2023, était « pup » ou chiot. En anglais, le terme « pup » peut s’appliquer pour les petits de plusieurs animaux et non pas seulement des chiens.
Après avoir regardé, sur Google Images, des centaines de photos de « pup » de différentes espèces, j’en ai sélectionnées 3 qui m’ont servi d’inspiration pour ce dessin.
#mon art#inktober challenge#inktober52#pups#pups drawing#puppy#bat pup#lemur pup#dessin de bébés animaux#bébés animaux#chiot#bébé chauve-souris#bébé lémurien#ink drawing#blackliner#dessin à l’encre#colored markers#marqueurs de couleur#sketchbook
0 notes
Text
LE PETIT-DEJEUNER AVANT LA COURSE.
Celui qui ne se passe pas tout à fait comme les autres. Il y a d’abord ces expérimentations culinaires, ces poudres de perlimpinpin à mélanger avec de l’urine de chauve-souris parce qu’on l’a lu dans un magazine ou parce qu’un champion Estonien l’a fait il y a 47 ans. Il y a ces bouchées difficiles à engloutir, la cuillère qui pèse des kilos, l’estomac qui pèse des tonnes. Il y a ce premier gargouillement qui n’annonce rien de bon, cette première fois aux chiottes, cette cuillère difficile à porter à cette bouche devenue pâteuse à cause de l’angoisse. Un nouveau coup d’oeil sur le parcours, un peu comme quand on « révisait » dans le couloir avant de pondre une daube en DS de philo. Une nouvelle fois aux chiottes en pensant que c’était la dernière. Une nouvelle cuillère du mélange douteux. Pas de doute, on est à cet instant plus difficile à alimenter qu’un bébé. Et cette petite gène au genou qui vient tout juste de revenir histoire de dire « t’inquiète pas mon pote, je serai toujours là pour toi ». Un dernier haut-le-cœur, il est temps de poser la cuillère. Il reste à épingler le dossard, trouver une signification avec les chiffres qui donnerait au choix une place ou un chrono, enfiler tout le bazar et se pointer sur la ligne de départ. Et passer une dernière fois par la case toilettes juste après avoir entendu un fébrile « désolé, y’a plus de papier » par un coureur vivant finalement exactement la même chose. Quel sport incroyable.
POINT DE CÔTÉ 1-2-3-4 DISPONIBLES. www.pointdecote.fr

Photo Alexis Berg
2 notes
·
View notes
Text
40 créatures bizarres des peintures du moyen âge
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/40-creatures-bizarres-des-peintures-du-moyen-age/
40 créatures bizarres des peintures du moyen âge

#12eme siecle#13ème siècle#14ème siècle#15eme siecle#16eme siecle#allemagne#angleterre#bébé#belgique#canard#chat#chaton#chauve-souris#chouette#cornemuse#crapaud#creature#France#grenouille#hache#hollande#hybride#lapin#licorne#manuscrit#medieval#moine#nu#nue#oiseau
0 notes
Text
Sujet zéro

Dans son lit, Cho ne voyait que le ciel d’un bleu très clair presque blanc. Elle avait du mal à respirer, la fièvre la faisait aussi délirer. Elle regarda autour d’elle persuadée être attaquée par des fantômes. Seulement, il n’y avait personne. A cause de la sueur qui dégoulinait à grosses gouttes, sa chemise de nuit collait à sa peau pourtant si douce habituellement. Par moments, des vertiges l’assommaient. Elle essayait toujours de retenir les barres du lit de peur de tomber dans un vide intersidéral. Elle délirait tellement qu’il était difficile de comprendre ses phrases. De toute façon les médecins, les infirmières étaient trop débordés pour se limiter à son cas. De même, elle restait seule dans sa chambre, isolée car ses délires devinrent trop glauques et insupportables. Alors, il ne restait plus que la patience. Elle n’avait pas vingt-cinq ans et ne se réveillerait pas le lendemain.
Les rues de Séoul ressemblaient à un désert. Normalement à cinq heures de l’après-midi, la ville grouillait de piétons, de voitures, de trains mais là, il n’y avait aucune âme qui vive ! La moitié des habitants avaient quitté la capitale coréenne, l’autre moitié attendait tranquillement qu’on récupère leur cadavre dans leur domicile ou était déjà dans un tas de corps empilés aspergés de liquide inflammable pour un méchoui gigantesque. C’était la seule option afin de se débarrasser d’autant de morts. Durant la nuit, la jeune étudiante rêva une rencontre avec son arrière-grand-mère. Cette dernière lui demandait pardon. Pourquoi alors que Cho ne l’a jamais connu ? Elle était déjà morte avant sa naissance. Cho sentit ses poumons s’alourdir. Elle toussa, cracha et ravala sa salive transformée en une espèce de mousse. Elle appela sa mère qui ne vint pas, parce qu’elle était déjà morte, tout comme son père et les autres. Elle pensa à Jin, son amoureux. Elle n’avait plus de nouvelles depuis qu’elle fut hospitalisée. Etrangement, elle était forte puisqu’elle fut une des premières à être contaminée. Le virus tuait en trois jours, elle en était à son trentième. Jin était parti une semaine auparavant. Mais cette nuit, il est venu pour la rassurer. Elle l’entendra dire : « Ce n’est qu’un voyage, un joli voyage vers un autre monde ». Dès lors, elle ne cherchera plus à respirer. La sueur ne collera plus ses longs cheveux noirs sur l’oreiller. Elle sourira et suivra Jin en lui tenant la main.
De l’autre côté de la planète, New York était en proie à une panique générale. Le manque de médicaments, le manque de moyens poussa les newyorkais les plus pauvres au pillage. Ni la police ni la garde nationale ne purent arrêter ce flux de violence ; ils étaient débordés en raison du manque d’effectif. Le virus avait mis KO la première puissance mondiale. Willy ne participa pas aux manifestations. Il restait dans son appartement comme un tiers des américains. Les hôpitaux refusaient de nouveaux patients, préférant laisser mourir les plus atteints chez eux. Finalement c’était la meilleure solution car les établissements hospitaliers n’étaient rien de plus qu’un mouroir face à cette grippe destructrice. Le jeune black s’inquiéta de ne plus avoir de vivre. D’accord il était malade mais de là à crever de faim… Il sortit de chez lui mais à peine il descendit une marche qu’il trébucha dans les escaliers se cassant le bras et la clavicule. Personne ne sortit l’aider, pourtant il entendait les voisins derrière leur porte. Il entendait les télévisions allumées, les toux des malades, les cris des enfants qui jouaient et le bruit des judas de la porte à côté. Mais il dût se débrouiller seul pour se relever. La sueur perlait de son front, il eut un coup de chaud puis un coup de froid. Cette soudain dérèglement corporel inquiéta Willy qui sortit espérant pouvoir être pris aux urgences pour son épaule. Il attendit puis marcha car aucun taxi ne passa dans la rue. L’hôpital le plus proche était à trois kilomètres. Durant son trajet, la tête tournait l’obligeant à s’arrêter pour vomir rien car il n’avait rien dans l’estomac. Par la fenêtre, un voisin ne le reconnut pas de suite tellement sa peau était devenue blanche. Willy chancela à plusieurs reprises, se tenant aux poteaux ou aux bittes qui empêchaient les voitures de se garer sur le trottoir. Il n’avait pas fait deux cents mètres, qu’il tomba de fatigue, s’allongeant contre un lampadaire. Il s’endormit la tête penchée, pour ne jamais se réveiller.
En l’espace de deux mois, la population mondiale chuta de plus d’un tiers. La pandémie était si vive, si rapide qu’il était très difficile de l’endiguer. De plus, il n’y avait pas un mais plusieurs foyers d’origine. En Chine, en Corée, en Europe, en Russie mais aussi en Amérique du nord. L’Inde perdit plus de cent millions d’habitants. La Chine passa sous le milliard pour la première fois depuis longtemps. Des villes furent rasées, des quartiers brûlés car ils ne contenaient plus que des cadavres en décomposition. Le monde faisait face à la pire maladie sans connaitre l’origine ni le sujet zéro. On parla de porcs qui auraient dévorés de la fiente de chauve-souris. On évoqua l’arrivée du virus tombé de l’espace avec un météorite. On certifia périodiquement qu’il existait avant l’homme et fut réveillé avec le réchauffement climatique. La réalité est toute autre.
Le ciel était dégagé ce 9 août 1945 quand le Rikugun-Shosa Misao Tagaya reçut la nouvelle. Sa ville natale, celle où vivait sa femme et ses enfants venait de disparaitre dans un immense champignon provoqué par une bombe atomique. Nagasaki n’était plus qu’un vaste champ de ruine. Un ordre accompagnait la triste nouvelle, il devait détruire le camp afin qu’il ne tombe pas aux mains de l’armée rouge qui entrait en Mandchourie. Il soupira pour retenir quelques larmes. Puis, il sortit d’un tiroir de son bureau du papier et rédigea un laissez-passer avant d’appeler son subordonnée. L’aide de camp prit le courrier et reçut l’ordre d’emmener les filles hors du camp. Déjà, les baraquements étaient incendiés au lance-flamme. Un brasier de feuilles trônait devant le laboratoire. Le sergent traversa la cour évitant d’être renversé par un camion rempli de soldats japonais. Ils venaient nettoyer ou plutôt liquider les preuves vivantes. Pendant ce temps l’aide de camp regroupa six adolescentes avant de partir avec elle vers la ville la plus proche.
So yeon aperçut Tagaya et ne répondit pas à son salut. Le commandant en blouse blanche se souvenait de sa découverte. Il avait expérimenté un virus, une variante modifiée de la grippe H1N1 à des souris. Seulement, les animaux ne moururent pas. Alors, les bestioles furent utilisées pour d’autres expériences. C’était juste de la curiosité et pour comparer les effets sur les rongeurs à ceux faits aux humains. En effet, le camp servait de laboratoire pour la guerre bactériologique. On inoculait la peste, le choléra et bien d’autres choses à des hommes, des femmes et des enfants, à des prisonniers de guerre, des condamnés…enfin tout ce qui n’était pas japonais. Durant un bel après-midi d’été, Tagaya fit une étonnante découverte. Des souris qui n’avaient jamais été utilisées décédèrent d’une grippe encore inconnue. Après quelques recherches, il s’avérait que cette grippe, encore plus forte et plus terrible n’était rien d’autre que le descendant de celle transmise aux souris. Ou plus précisément, il restait endormi tel un bébé et se transmettait de génération en génération pour éclore au grand jour quand il atteignait sa maturité. Le virus était si intelligent qu’il pouvait être transmis par n’importe quel fluide fabriqué par un corps. Et une fois l’âge ‘adulte’ atteint, il s’échappait et pouvait contaminer n’importe quelle personne par voie respiratoire ou contact de la peau. Faisant encore plus de dégât que celui modifié par le médecin militaire.
La jeune fille avait seize ans quand elle quitta le camp avec ses copines. So Yeon n’avait plus de famille, ce fut la raison de sa présence dans ce camp depuis l’âge de sept ans. On voulait faire des expériences sur des enfants. Malheureusement, ou heureusement car elle aurait pu connaitre pire, elle reçut dès son arrivé ce fameux virus puis elle vécut avec ce petit groupe attendant dans leur baraquement qu’on les envoie faire autre chose. Le plan n’était pas prévu mais avec la défaite, Tagaya voulut venger les siens, alors il accéléra le processus. Comme prévu, les six adolescentes furent intégrées à un bordel, d’abord dans une grande ville de Chine où pendant des semaines elles connurent la baise à la chaine avec des paysans, ouvriers et industriels. Puis avec la révolution, elles partirent en Corée et furent employées comme putes à militaires durant la guerre de Corée, contaminant au passage des milliers de soldats américains. Durant cette période, So Yeon fit la connaissance de Marcus, un marine noir. Au début, elle eut peur de lui, de sa couleur et puis on lui parla de la taille des sexes des noirs, elle ne voyait pas un de ces engins entrer son petit vagin. Mais peut-être était-elle amoureuse de lui, à leur première relation, elle ressentit un plaisir fou tout comme Marcus. La prostituée et l’américain se fréquentèrent souvent. Marcus n’avait que faire de son métier. Il promit de l’emmener à Boston dès la guerre finie. Seulement Marcus dut partir précipitamment et So Yeon resta en Corée où elle eut trois enfants de clients ; les accidents arrivent souvent dans la prostitution. Avec la vieillesse, elle délaissa le métier pour une retraite méritée. Son fils ainé subsista à ses besoins. Il travailla dans la pêche et se maria en transmettant à sa famille le virus. Quelques années plus tard le fils de son fils eut une jolie fille qu’il appela Cho. Ainsi elle était porteuse de cette grippe intelligente et fut avec ses cousins parmi les premiers à disperser ce monstre dans la nature. En fait ils étaient des milliers, les descendants des clients du groupe de So Yeon et des millions si on compte ceux qui furent contaminés par transmission sexuelle, orale, sanguine et j’en passe comme Marcus qui offrit ce joli cadeau à son arrière-petit-fils Willy.
Misao Tagaya obtint donc sa vengeance et celle de ses proches morts à Nagasaki. Cependant, il n’eut pas le plaisir de voir son œuvre se propager comme une trainée de poudre et détruire cette société qui a tué sa famille. Peu après le départ de So Yeon, il sortit un sabre de petite taille et fit seppuku en s’ouvrant le ventre juste avant qu’un sergent le décapita sur son ordre.
Alex@r60 – février 2020
Photo : René Burri – Tae song Dong – Corée 1961
33 notes
·
View notes
Text
동물 animaux
🚨 J’ai essayé de ranger par ‘type’ mais j’ai eu beaucoup de mal donc je m’excuse si les animaux ne sont pas ‘rangés’ là où ils devraient l’être ... Liste non-exhaustive ~
(◕ᴥ◕)
🐶 개 chien 🐕 강아지 chiot
🐱 고양이 chat 🐈
🐭 쥐 souris/rat 🐁
+++
들쥐 rat des champs
유럽겨울잠쥐 muscardin
🐹 햄스터 hamster 🐹
🐰 토끼 lapin/lièvre 🐇
🦊 여우 renard 🦊
+++
북극여우 renard polaire
페넥여우 fennec
🐻 곰 ours 🐻
+++
북극곰 [北極곰] ours polaire
🐼 판다 panda 🐼
+++
너구리판다 panda roux
🐨 코알라 koala 🐨
🐯 호랑이 [虎狼이] tigre 🐅
🐆 표범 [豹―] léopard/panthère 🐆
+++
퓨마 puma/cougar
스라소니 lynx
🦁 사자 [獅子] lion 🦁
🦓 얼룩말 zèbre 🦓
+++
하이에나 hyène
코요테 coyote
🐘 코끼리 éléphant 🐘
🦛 하마 [河馬] hippopotame 🦛
🦏 코뿔소 rhinocéros 🦏
🐪 낙타 [駱駝]/[駱駞] chameau/dromadaire 🐫
🦒 기린 [麒麟] giraffe 🦒
🦘 캥거루 kangourou 🦘
🦥 나무늘보 paresseux 🦥
🦦 수달 [水獺] loutre 🦦
+++
족제비 belette
비버 castor
🦨 스컹크 moufette 🦨
🦝 너구리 raton laveur 🦝
🦡 오소리 blaireau 🦡
🐿️ 다람쥐 écureuil/tamia 🐿️
🦔 고슴도치 hérisson 🦔
🐃 물소 buffle “d’eau”(d’Asie) 🐃
🐏 숫양 [―羊] bélier 🐏
🦙 라마 lama 🦙
+++
알파카 alpaga
🐑 암양 [―羊] brebis 🐑
🐑 양 羊 mouton 🐑
🐐 염소 chèvre 🐐
🦌 사슴 cerf 🦌
🐮 소 vache/taureau 🐂
+++
송아지 veau
🐷 돼지 cochon/porc 🐖
🐗 멧돼지 sanglier 🐗
🐸 개구리 grenouille 🐸
+++
두꺼비 crapaud
🐵 원숭이 singe 🐒
🦍 고릴라 gorille 🦍
🦧 오랑우탄 orang-outan 🦧
🐔 닭 poulet/poule/coq ��
🐤 병아리 poussin 🐣
🐧 펭귄 pingouin 🐧
🐦 새 oiseau 🐦
🦆 오리 canard 🦆
🦅 독수리 [禿―] aigle 🦅
+++
말똥가리 buse variable
🦃 칠면조 [七面鳥] dinde 🦃
🦚 공작 [孔雀] paon 🦚
🦜 앵무새 [鸚鵡―] perroquet 🦜
🦢 백조 [白鳥] cygne 🦢
🦩 홍학 flamant rose 🦩
🕊️ 비둘기 colombe/pigeon 🕊️
까치 pie
갈매기 mouette
까마귀 corbeau
동고비 grimpereau
어치 geai
타조 [駝鳥] autruche
똥침 [―針] oie
🦉 부엉이 hibou/chouette 🦉
🦇 박쥐 chauve-souris 🦇
🐺 늑대 loup 🐺
🐴 말 cheval 🐎
+++
당나귀 [唐―] âne
🐝 벌 abeille 🐝
+++
말벌 guêpe/frelon
말파리 taon
호박벌 bourdon
파리 mouche
똥파리 mouche à viande, mouche à 💩
이 pou
진드기 tique
🐛 벌레 ver/insecte 🐛
+++
잠자리 libellule
매미 cigale
노린재 punaise
지네 mille-pattes
🦋 나비 papillon 🦋
애벌레 chenille/larve
🐌 달팽이 escargot 🐌
+++
민달팽이 limace
🐞 무당벌레 coccinelle 🐞
🐜 개미 fourmi 🐜
🦟 모기 moustique 🦟
🦗 크리켓 criquet/grillon 🦗
+++
메뚜기 sauterelle
반딧불 luciole
🕷️ 거미 araignée 🕷️
🦂 전갈자리 scorpion 🦂
🐢 거북이 tortue 🐢
🐍 뱀 serpent 🐍
+++
코브라 cobra
방울뱀 serpent à sonnette/crotale
🦎 도마뱀 lézard 🦎
+++
도롱뇽 salamandre
🦖 티라노사우루스 T-Rex 🦖
🦕 용각류 sauropode 🦕
🐙 ��어 [文魚] poulpe 🐙
🦑 오징어 calamar 🦑
🦐 새우 crevette 🦐
🦞 바닷가재 homard 🦞
🦪 굴 huître 🦪
🦀 게 crabe 🦀
+++
가재 langouste
🐡 복어 [―漁] poisson-globe 🐡
🐠 열대어 [熱帶魚] poisson tropical 🐠
🐟 물고기 poisson 🐟
+++
플랑크톤 plancton
연어 [鰱魚] saumon
멸치 anchois
뱀장어 [―長魚] anguille
해마 [海馬] hippocampe
🐬 돌고래 dauphin/marsouin 🐬
🐳 고래 baleine 🐋
🦈 상어 requin 🦈
+++
물개 phoque
바다코끼리 éléphant de mer
범고래 orque
가오리 raie
흰긴수염고래 baleine bleue
망치상어 requin-marteau
🐊 악어 [鰐魚] crocodile/alligator 🐊
🦄 유니콘 licorne 🦄
🐉 용 [龍] 🐲
+++
봉황 [鳳凰] phoenix (oiseau)
매머드 mammouth
검치호 tigre à dents de sabre
----------
bordel qu’est ce que c’était long ☕🥱 PS: Heureusement qu'au départ le blog je l'ai pas fait pour les autres pace que vu le nombre d'heures que j'ai passé à faire ce post j'aurais les boules que personne ne l'ai vu ....
----------
Vocab’ bonus 😘
애완동물 [愛玩動物] animal de compagnie
개를 산책시키다 promener (son) chien
쥐구멍 trou de souris
새끼(...) bébé(...) (ex: 새끼 사슴 = faon, bébé cerf)
포유류 [哺乳類] mammifère
해양 포유류 mammifères marins
척추동물 [脊椎動物] (animal) vertébré
무척추동물 [無脊椎動物] (animal) invertébré
곤충 [昆蟲] insectes
털갈이를 하다 muer
동면 [冬眠] hibernation
멸종 위기에 처한 동물 animal en voie de disparition
멸종한 동물 animal éteint, préhistorique
공룡 [恐龍] dinosaure
고래목의 동물 cétacé
맹금류 [猛禽類] rapaces
고양이과 동물 félins (lit. animaux avec les chats)
설치류 [齧齒類] rongeurs
#vocabulaire#listevocab#animal#동물#animaux#langblr#studyblr#korean langblr#korean studyblr#coréen#korean#langblr coréen#studyblr coréen#vocabulaire coréen#language#korea#corée#hanja#chinese characters#caractères chinois#chinois#chinese#china#chine#한국#한국어#연구#한국학#vocabulary#어휘
3 notes
·
View notes
Text
Le Secret Du Bébé Chauve-sourie
by Ounamoonlight après le retour de Batman et la réconciliation entre les frères et sœurs, le père et les frères sont inquiets du comportement très étrange de bébé chauve-sourie Words: 2034, Chapters: 1/1, Language: Français Fandoms: Batman - All Media Types Rating: Not Rated Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings Categories: Other Characters: Dick Grayson, Tim Drake (DCU), Jason Todd, Alfred Pennyworth, Bruce Wayne Additional Tags: Good Sibling Jason Todd, Good Sibling Dick Grayson, Good Sibling Tim Drake, Good Parent Bruce Wayne, Good Grandparent Alfred Pennyworth via https://ift.tt/8Waif6K
0 notes
Photo






Les esprits-gardiens sont des êtres mystiques crées par les dieux des albinos. Après l'attaque des anacondrais, ils ont été dispersés à travers le monde. Mais des années plus tard, Cora a parvenu à les retrouver et à les rendre au albinos-survivants. -L'esprit-gardien de Cora est Saoirse: Quand Cora était bébé, Saoirse est née dans son cœur. Des années plus tard, elle a éclot du cœur de Cora et devient sa protectrice. Cet esprit fée est capable de ressusciter sa propriétaire après chaque mort, et elle peut augmenter la puissance des armes de Cora. -L'esprit-gardien de Yumee est Mizuchi: Cet esprit dragon aquatique est capable de transformer l'eau en pont ou en chemin, et elle peut augmenter la puissance des armes de Yumee. -L'esprit-gardien de Tristan est Genbu: Cet esprit tortue a le pouvoir de faire tomber la pluie, et de créer un bouclier d'eau. -L'esprit-gardien de Lapis est Isonade: Cet esprit requin peut guider sa propriétaire et ses amis pendant la nage. -L'esprit-gardien de Yuki-onna est Usura-Hicho: Cet esprit papillon peut se multiplier pour envoyer des messages, et d'aider sa propriétaire à se défendre. -L'esprit-gardien du grand sage, Kenichi est Fukuro: Cet esprit hibou peut guérir les amis de son propriétaire pendant le combat.
-L'esprit-gardien de Nora est Gyokuto: Cet esprit lapin permet à Nora de courir très vite, et de se cacher. -L'esprit-gardien de Mi-Lee est Nekomata: Cet esprit chat à deux queues donne à Mi-Lee, l'agilité et la pureté. -L'esprit-gardien de Fang est Kara-jishi: Cet esprit lion donne à Fang qui est doué au bo, l'intelligence et la bravoure. -Les esprits-gardiens de Ukita et Misa est Paired Raiken: Ces deux esprits chiens permet de guérir et soigner les alliés. Ukita et Misa étaient inséparable, et ils ont eu un fils avec un esprit-gardien qui va naître en lui. -L'esprit-gardien de Cœur-Sauvage est Taemasu: Cet esprit ours donne à Cœur-Sauvage, la force et la puissance.
-L'esprit-gardien de Mei est Tengen Kujaku: Cet esprit paon peut créer des boucliers pour protéger Mei et ses alliés. -L'esprit-gardien de Nova est Aya-komori: Cet esprit chauve-souris permet à Nova de trancher ses ennemis en un seul coup avec son épée. Et il lui permet aussi suivre le chemin perdu. -L'esprit-gardien de Lloyd Jr. est Daiba-washi: Cet esprit faucon permet à Junior d'augmenter son pouvoir et son arme. -L'esprit-gardien de Kentaro est Narikama: Cet esprit raton-laveur permet à Kentaro de traverser les murs. -L'esprit-gardien de Faith est Shin-Roku: Cet esprit cerf peut soigner et guérir Faith et ses alliés.
-L'esprit-gardien de Kimi Young/Lee est Janomecho: Cet esprit papillon humanoïde forme un bouclier de tornade, pour protéger Kimi et ses alliés contre les attaques. -L'esprit-gardien de Sakura Jr. est Doragon: Cet esprit dragon bleu protège Sakura Jr. et sa famille du moindre menace. -L'esprit-gardien de Naomi est Izuna: Cet esprit renard aide Naomi à se déplacer dans les airs. -L'esprit-gardien de Rei est Fuse-ushi: Cet esprit taureau permet à Rei de soulever des objets lourds et détruire des obstacles solides. -L'esprit-gardien de Pette est Enko: Cet esprit tigre permet à Pette de se défendre contre les ennemis.
-L'esprit-gardien de Magnolia est Kitsune: Cet esprit renard à neuf queues guide et protège Magnolia. -L'esprit-gardien de Zack est Kato: Cet esprit loup permet à Zack de se transformer en loup-garou. -L'esprit-gardien d'Akira est Hi-Nezumi: Cet esprit souris permet à Akira de voir dans le noir. -L'esprit-gardien d'Etex est Enku: Cet esprit licorne lui permet de courir vite. -L'esprit-gardien de Ran Metzler est Suzaku: Cet esprit phénix permet à Ran de ressusciter ses alliés.
Quant au méchants albinos, ils ont eux-mêmes récupérés leurs esprits-gardiens. Et ils sont prêts à affronter les gentils albinos.
-L'esprit-gardien de Pythor est Hebi: Cet esprit serpent permet à Pythor de tuer ses adversaires en un seul coup. -L'esprit-gardien de Juna est Itokuri: Cet esprit araignée permet à Juna d'immobiliser ses adversaires avec des toiles. -L'esprit-gardien d'Aigle-Malade est Yatagarasu: Cet esprit corbeau lui permet d'hypnotiser ses adversaires avant de les tuer. -L'esprit-gardien de Yōkai est Bisha: Cet esprit scolopendre permet à Yōkai d'étouffer ses adversaires en de les réduire en cendre.
Pythor (c) LEGO Yumee, Tristan, Lapis, Nora and Sakura Jr. (c) SkyRayon
Faith (c) CristalMxUh Nova (c) pureflowersand2684
Etex and Pette (c) SZ0P Kimi Young/Lee (c) LillaDessert
Magnolia (c) Kuriminaii
Ran (c) truereflections101
Juna (c) Queen-vaeGa
Albinos, guardian spirits and art by me
#ninjago#ninjago ocs#ninjago pythor#albinos#guardian spirit#guardian spirits#saoirse#mizuchi#genbu#isonade#usura hicho#fukuro#gyokuto#nekomata#kara jishi#paired raiken#taemasu#tengen kujaku#aya komori#daiba washi#narikama#shin roku#janomecho#doragon#izuna#fuse ushi#enko#hi nezumi#enku#suzaku
23 notes
·
View notes
Photo










On entre enfin dans la Daintree Forest au nord est de l'Australie. Depuis le temps qu'on nous en parle ! Cette forêt rejoint la grande barrière de corail. Elles sont toutes deux classées au patrimoine mondiale de l'Unesco.
C'est la forêt la plus vieille du monde (125 millions d'années alors que la forêt amazonienne n'a que 10 millions d'années). Il fait très sombre et humide. La forêt est luxuriante et dense. C'est l'un des territoires les plus préservés et les plus sauvages du pays. L'air est infesté de moustiques et la forêt abrite des milliers d'espèces de plantes et d'animaux. C'est un véritable sanctuaire pour la faune et la flore. Pendant la saison humide, le taux d'humidité est de 100% !
C'est aussi le royaume des crocodiles ! Ils sont partout mais ils se cachent bien. Il y a des signes de prévention dans chaque petite creek. Il est strictement interdit de se baigner dans les rivières et la mer.
La journée est ponctuée de balades au coeur de la forêt, de la visite du cap tribulation où la forêt tropicale rencontre la plage et l'eau turquoise (pas question de s'y baigner : crocos et méduses mortelles) et d'une dégustation de fruits tropicaux (on goûte des fruits inconnus comme le sour sop, l'abiu, le salak, le black sapote, le mamey sapote, la carambole, le duku, le football fruit, le pain…).
On rencontre des chauves-souris (Flying fox) et … un casoar !!!!! Ca y est ! Enfin ! Il est là dans la forêt, sur le bord de la route avec ses 3 petits. On ne le voit pas très bien derrière les feuilles et on n'ose pas s'approcher mais on est tellement content ! On reste 15 minutes au bord de la route à les observer. Les petits sont curieux, on peut les voir de près, en revanche le papa reste loin, difficile de le photographier. On termine la journée en beauté !
Le lendemain est consacré à une croisière sur la Daintree River pour observer les crocodiles. La première tentative à 9h n'est pas une réussite, on voit seulement un bébé. David notre guide nous propose de retenter l'expérience gratuitement dans l'après-midi. C'est donc avec lui et Doggy the dog que nous repartons sur l'eau. Cette fois nous sommes chanceux ! On en voit 3 gros et 3 bébés entre 1 mois et 2 ans. Il y a aussi des oiseaux et des serpents dont un python de 3m. Encore une super journée qui s'achève.
On rejoint Cairns pour y passer nos derniers jours avec Catherine et JP ! 🏝🐠🌴🌳🐊
See you
M & T
2 notes
·
View notes
Text
Histoire de sexe
Si je devais essayer de me définir avec une seule expression, je dirais que Linda n'a pas beaucoup de problèmes, elle est toute une masse de problèmes à marcher sur deux jambes : belles, heureusement, élégantes, minces et nerveuses, pleines comme il se doit et qui laissent passer un peu de lumière quand j'approche les genoux, comme il est dit dans tous les traités sur la beauté féminine ; et elles soutiennent des hanches harmonieuses, riches, rondes pour penser à un compas qui les a dessinées, avec des fesses pleines et légèrement poussées vers le haut, à la manière "brésilienne", je dirais, avec des fesses qui invitent à la caresse ; les seins sont abondants, peut-être très abondants (mais personne n'a jamais dit que c'était trop) avec des seins pleins et charnus, des auréoles émergeant d'une couleur marron vif et deux tétons qui ressemblent à des tétines de bébé : Beaucoup se sont attachés à eux pour sucer l'amour au lieu du lait pour se nourrir et même chose avec mon sexe !
Mon visage est celui d'une dame de la Renaissance comme celles que l'on voit dans les tableaux célèbres ; la sensation est également favorisée par les cheveux épais, libres et bougés, d'une couleur rouge, que j'aime souvent porter libres de bouger comme un nuage dans le vent et qui, lorsque je fais l'amour, devient un irrésistible instrument de luxure et de jouissance, lorsque je le passe doucement sur le corps de la personne que j'aime ou avec qui je ne fais que copuler.
Les problèmes ... je disais ; ils me sont presque inhérents ; les plus concrets, peut-être les plus graves, ont commencé à l'aube de ma vie, lorsque, jeune fille, j'ai commencé à aller à l'école, avec une énorme réticence, et au gymnase où je me comportais comme un garçon manqué, peut-être parce que mes parents s'attendaient à la naissance d'un garçon et se sont retrouvés face à un "poil de carotte" qui dépassait tous leurs désirs : me voir m'entraîner à la lutte et "écraser" des garçons encore plus âgés que moi était une source de fierté pour mon père.
Pour moi, c'était la racine de la douleur : tous mes camarades de classe, même les plus jeunes, avaient déjà eu leurs premières expériences avec des garçons et en parlaient en secret dans les toilettes ; je ne pouvais même pas imaginer la bite d'un garçon que je manipulais pour l'exciter comme elle résultait des histoires des autres, parce qu'aucun des garçons n'était prêt à s'engager avec celui qui "menavait" et m'échappait comme la peste.
J'ai comblé le vide très rapidement, étant "sevré" par le plus jeune des concierges, qui a mis très peu de temps à me saisir et a accepté de bon gré d'ouvrir le rabat ; de sortir une faute remarquable, du moins pour moi et mon inexpérience ; d'appuyer ma main dessus et de me guider dans les premiers mouvements de masturbation ; lorsque la rumeur s'est répandue que j'étais "vraiment divin" pour me masturber, je suis devenu le plus recherché de l'école et je pense que j'avais dépassé tous les garçons qui y assistaient.
Les choses n'allaient pas bien en classe et j'ai dû faire des sauts périlleux pour suivre les autres ; Au lieu de m'appliquer à ce que disaient les professeurs, j'étais plus disposé à passer de nombreuses heures au dernier blanc, en tenant les oiseaux des garçons dans ma main, qui s'alternaient dans mon bureau et me permettaient de mettre ma main dans une poche qui, opportunément découpée à l'intérieur, permettait d'accéder au phallus et à une masturbation souvent très longue et lascive, au terme de laquelle, ceux qui avaient déjà réussi, éjaculaient dans ma main et mon pantalon.
Les choses se sont aggravées juste avant que je n'entre au lycée, après avoir passé le collège avec d'énormes difficultés ; de façon inattendue, mon père a décidé que nous devions émigrer dans un autre pays, l'Allemagne, et que nous allions y créer une nouvelle entreprise, un restaurant italien pour lequel je ne comprenais pas où il avait obtenu le capital pour le lancer ; mais son regard sévère et l'acceptation de ma mère sur le dos ont bloqué toutes mes demandes.
Ainsi commença la deuxième phase de mon éducation, scolaire mais aussi et surtout sexuelle : Dans le domaine de la didactique, j'ai dû repartir de zéro parce que la langue ne m'a pas "pénétré" et m'a empêché d'avancer ; j'ai subi l'enfer, sous la menace d'être coupé de tout cours scolaire et réduit à l'analphabétisme le plus brutal ; mais j'ai réussi à me rattraper avec une grande ténacité et un engagement à lire pour mon propre compte, de sorte que j'ai pu également lire et parler couramment l'allemand ; pour l'écriture, les difficultés ont duré plus longtemps.
Mais c'est dans le domaine de l'éducation sexuelle que je me suis retrouvé à devoir faire une course-poursuite avec un handicap : les Allemandes étaient beaucoup plus évoluées et rusées que les Suisses, liées à une condition archaïque de la femme dans la société et liées par des normes religieuses, des coutumes ataviques et des enseignements de grand-mère ; Parmi les pairs allemands, j'ai trouvé ceux qui ont même ramené le garçon à la maison et copulé joyeusement dans leur chambre avec la bénédiction de leur père et de leur mère, sans compter les perversions dont j'ai eu vent lors des "consultations" qui avaient lieu presque tous les jours dans les salles de bains.
Je trouvai cependant l'habituel jeune concierge qui ne dédaignait pas, dans un premier temps, de se masturber et découvrit que j'avais un talent naturel pour la manipulation du phallus ; puis, il me fit faire une fellation avec tout le calme et la sensibilité dont il était capable, m'invitant doucement à poser mes lèvres d'abord, puis ma langue, sur son membre droit comme un obélisque ; Dès que je m'y suis habitué, il m'a persuadé de le prendre dans ma bouche et de le sucer avec délicatesse, comme si c'était un bonbon salé ; en deux semaines, je l'ai sucé, léché, avalé, et j'ai rendu sa canne folle, ses testicules gonflées de sperme, et son ventre tout entier, ce qui l'a fait exploser en orgasmes qui l'ont bouleversé.
Inutile de dire qu'en très peu de temps, la nouvelle s'est répandue que j'étais un criminel exceptionnel et naturellement doué ; tous les garçons du lycée, des plus jeunes aux plus doués, voulaient profiter des joies de mes lèvres d'amour ; un des anciens de l'école (qui avait répété presque méthodiquement toutes les classes du cours) m'a demandé si j'étais vierge de la vulve et de m'asseoir ; je lui ai dit avec un naturel extrême que personne n'avait essayé ; je n'avais que seize ans et même lui n'avait pas envie de risquer une accusation de pédophilie, s'il avait violé mon hymen : Il m'a donc demandé si j'étais prêt à me faire botter le cul avec son phallus : avec la plus grande imprudence, en pensant à un nouveau défi dont personne ne m'avait jamais parlé, je lui ai dit oui.
Le même après-midi, pendant une garde de récupération, nous avons disparu dans les toilettes ; il s'était préparé avec un gel lubrifiant avec lequel il a oint mon périnée et mon anus, pénétrant de quelques centimètres dans le canal rectal ; puis il a progressivement introduit un à trois doigts dans le rectum et a étiré les plis de l'anus en vérifiant la pénétrabilité ; Lorsqu'il a vu que j'étais disponible, avec quelques avertissements et recommandations, il a mis la massue dans mon rectum, et a fermé la bouche pour que mes cris n'éveillent pas les soupçons des concierges ; quand j'ai été habitué, j'ai bougé la main et l'ai invité à me monter ; le mouvement dans mon rectum m'a envoyé vers les étoiles : Au milieu d'une libido jamais ressentie auparavant, j'ai senti le sexe stimuler mon rectum et exploser en mille couleurs d'arc-en-ciel ; j'étais presque heureux.
À partir de ce moment, mon derrière est devenu le lieu merveilleux où tous les garçons du lycée sont venus chercher le Paradis d'Allah, déchargeant la violence de leurs tempêtes hormonales dans mes tripes ; et je me sentais presque complète en tant que femme, même si un minimum de remords naissait encore de la partie de moi qui était restée sédimentée en moi de l'éducation reçue dans l'enfance et de la situation familiale qui voyait encore mon père régner sur nous et se coucher devant quelqu'un en Suisse, ma mère prête à se faire une natte à ses désirs et mon frère, avec tout le personnel du restaurant, obéissant plus à un chef presque militaire qu'à un maître ou, encore plus, à un père ; je ne pouvais pas le faire du tout et les combats étaient quotidiens, presque.
Lorsque j'ai quitté l'école et que j'ai accepté de travailler avec mes parents à leur place, j'ai d'abord dû me plier aux dictats de mon père, qui continuait à être un Suisse dans un pays où certains costumes étaient pour le moins impossibles ; j'ai changé mes amitiés et mes connaissances, perdant de vue mes bandages sexuels personnels dans l'école, dans les salles de bain, dans les salles de classe vides, dans les laboratoires ou dans la cage des concierges ; Pendant une période qui pour moi était d'éternelle et inutile souffrance, je devais "rester au sec", me limitant à de longues et exaspérantes masturbations qui ne me faisaient jamais atteindre l'orgasme désiré, celui qui ne pouvait me procurer qu'une chauve-souris de chair plantée dans le rectum, qui solliciterait pendant quelques minutes les parois internes et ma sensibilité sexuelle pour ensuite exploser en un arc-en-ciel de plaisir venant de l'anus, du ventre, du cœur.
L'été de cette année-là, le dix-neuvième pour moi, nous avons décidé de le passer en Italie, entre le pays d'origine et la station balnéaire voisine ; l'occasion valait à mon père de rencontrer des gens, des personnages et des personnalités de son environnement et de son travail : je croyais aussi qu'il avait rencontré les responsables de la structure dont dépendait son restaurant ; mais ce n'étaient que mes pensées et je les ai chassées comme des pensées harcelantes.
J'ai plutôt essayé de profiter du soleil du Valais pour me régénérer un peu, après le froid du nord ; mais presque par malchance, je me suis retrouvé en contact étroit avec des jeunes qui avaient émigré, surtout en Suisse, et qui, comme nous, étaient venus reprendre contact avec la réalité d'origine, presque une sorte de "pèlerinage laïc sur les traces des pères" ; Pour eux aussi, je soupçonnais fortement que le voyage était une sorte d'hommage à un "parrain" ou à un "rappel à l'ordre" ; dans ce cas également, j'ai enterré les suspects sous un tapis de désintérêt et les ai laissés seuls.
D'autre part, je n'ai eu ni la force ni la volonté de refuser lorsqu'un garçon du groupe m'a invité à faire une promenade dans la pinède qui borde la plage, en l'accompagnant sur une courte distance : Bien que relativement peu d'années se soient écoulées, je ne me souviens même pas du nom du type qui a disparu dans le brouillard des souvenirs pour être effacé immédiatement après l'événement ; pourtant, c'est celui que j'ai embrassé pour la première fois avec une intensité différente, non pas avec le désir de sexe avec lequel je l'avais fait auparavant, ni avec l'intention de lui éclater le pénis dans son pantalon, pour la luxure, comme je le faisais souvent quand j'étais avec quelqu'un que j'aimais ; cette fois, le sentiment était que ce serait différent avec lui : Sans le savoir, je passais de la passion à l'amour ; et cela ne me dérangeait pas, mais cela m'excitait d'une manière différente et plus profonde, dans la tête, dans le cœur, avant le vagin.
Lorsque nous étions derrière un pin plus grand que les autres, je ne pouvais guère imaginer à quoi m'attendre ; je n'y pensais pas pendant que je l'embrassais avec un immense transport, prenant possession de sa langue, et l'utilisant comme un petit pénis pour le sucer jusqu'à ce qu'il ait une fellation anormale ; ni pendant que je sentais ses mains griffer mes fesses et pousser mon pubis sur les miennes pour les frotter jusqu'à ce que je me sente mouillée, et qu'il sentait sa tige gonfler jusqu'à ce qu'elle éclate contre ma monture de vénus.
Je ne sais pas et je ne veux pas me rappeler comment il a posé une grande serviette de plage sur le sol en aiguilles de pin : je me suis retrouvé allongé là, complètement détendu, incapable d'initiative, ouvert et à sa disposition : la seule chose qui me faisait sentir vivante était les palpitations de ma vulve qui semblait anxieuse de prendre à l'intérieur le bâton de chair qui battait contre et stimulait des plaisirs encore inconnus ; je me rendais à peine compte qu'elle enlevait mon bikini, d'abord le soutien-gorge puis le bas, et que j'étais complètement nue dans ses bras : C'était peut-être ce que je voulais depuis le moment où je l'ai rencontré ; j'ai senti avec une profonde participation qu'il m'embrassait passionnément, qu'il touchait mes seins, qu'il mettait une main entre nous pour titiller ma vulve : ce n'était pas une masturbation ni précise ni technique mais elle m'a exaltée aux limites du bonheur et m'a amenée à l'orgasme.
J'ai alors senti qu'il se détendait un peu, qu'il commençait à me caresser tout le corps avec moins d'agitation, continuant sans s'arrêter à m'embrasser et à sucer ma langue dans sa bouche, presque comme s'il mangeait mon clitoris ; puis sa main est passée de ma vulve à son phallus et l'a déplacée doucement pour appuyer la chapelle contre l'entrée du vagin ; un coup sec, presque violent, un pincement, une petite brûlure, et je ne me suis même pas rendu compte qu'il m'avait déflorée ; je l'ai remarqué plus tard, quand il s'est séparé de moi après avoir éjaculé, en se reprochant seulement maintenant de ne pas avoir utilisé de préservatif ; les traces de sang sur le mien et sur son ventre m'ont donné un plaisir supplémentaire, l'idée que j'étais vraiment une femme ; il a pris peur, puis seulement après il s'est rendu compte qu'il avait violé une vierge.
Je ne sais pas s'il était accablé par ce qu'il considérait comme une énormité, s'il avait peur des conséquences possibles, ou si on lui a simplement rappelé ses obligations : le fait est qu'il a complètement disparu de mon horizon et que je n'ai jamais eu la chance de le revoir : je n'avais aucun regret ; d'autre part, d'une part, je me sentais maintenant libre de copuler même dans le vagin, puisque l'hymen avait été éliminé ; et, d'autre part, je ressentais un sentiment de méfiance et de mépris pour tous les hommes : Jusqu'à ce moment, j'étais hostile parce que j'avais "lu" dans leur comportement une grande dose de bestialité obtuse et stupide, parce qu'ils profitaient de ma faiblesse supposée pour me posséder partout : plus je les trouvais bestiaux, plus j'aimais consommer leur férocité ; maintenant je pouvais ajouter la lâcheté face à quelque chose qu'ils avaient fait et dont ils ne laissaient que la responsabilité à moi ; le mâle commençait à devenir, pour moi, même une guirlande inutile.
Je m'en suis rendu compte avec plus de conscience lorsque, sur le chemin du retour, en Allemagne, j'ai regardé autour de moi et je n'ai pas vu un éclair de lumière entre les jeunes qui fréquentaient le restaurant et ceux que j'ai rencontrés dans les "gitans" que nous organisions entre amis et voisins fidèles, ceux à qui nous confessions tout, même l'indicible, sans craindre d'être jugés ou vus avec suspicion : ce détail même m'a amené à les regarder comme la seule référence possible.
Quelques fois, je m'étais laissé aller au restaurant, et je m'étais rendu dans les toilettes des beaux garçons, auxquels j'avais donné une copulation rapide, en me levant, par derrière, les obligeant à utiliser des préservatifs pour éviter tout danger ; une fois, en particulier, j'avais remarqué que mon père, en sortant des toilettes des hommes, m'avait vu sortir par hasard des toilettes des femmes avec une aventurière : le visage qu'il a fait n'était qu'un programme de menaces et de punitions, mais j'ai retenu son regard et je me suis éloigné ; peu après, j'ai vu que ma mère lui parlait avec animation et je me suis rendu compte que peut-être elle avait réussi à apaiser sa colère ; elle ne m'a rien dit et, après, n'a plus fait mention de l'épisode, signe qu'elle avait digéré la nouveauté que "sa fille copulait" et qu'elle n'avait plus de problèmes avec la façon dont je passais les soirées et les nuits : j'étais maintenant majeur et elle savait très bien qu'elle ne pouvait pas s'immiscer dans ma vie privée.
Au lieu de cela, pendant les fameuses "gitanes", un soir où nous étions restés pour boire un verre avec plus de passion que d'habitude, Joan, une des amies du groupe, une belle blonde très bien structurée, musclée mais aussi belle et féminine aux bons endroits, m'a pris dans ses bras en plaisantant et m'a soulevé comme une brindille : Je n'ai pas été impressionné par la grande force démontrée (je ne suis pas une brindille) mais plutôt par la sensation de chaleur que j'avais ressentie en sortant de son corps, jusqu'à ce qu'elle inonde le mien et me provoque des sentiments et des émotions très doux : pendant un instant, je me suis senti languissant, je me suis abandonné à elle et j'ai ressenti quelque chose que je n'avais ressenti que dans la pinède, en Suisse, lorsque j'ai laissé l'imbécile me déflorer : je ne sais pas si dans les deux cas c'était de l'amour, mais c'était certainement très proche.
0 notes