#avenue de la grande-armée
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Avenue de la Grande-Armée à la Porte Maillot, pendant la commune de Paris (1871), et aujourd'hui. - source Dominique Messager via Hier et Aujourd'hui.
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Avenue de la Grande Armée - Paris by John Wolfe Via Flickr: Avenue Foch and Avenue Carnot flanking left and right.
#Paris#France#La defense#panorama#Arc De Triomphe#Avenue de la Grande Armée#Avenue Foch#Avenue Carnot#Avenue Victor Hugo#Avenue Mac-Mahon#Avenue#boulevard#street#outdoors#wide#wideangle#nikon#d850#tourism#tourisme#panoramique#hi sophie#Parisienne#Parisian#love#day#clouds#streets#cars#cityscape
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Avenue de la Grande Armée, Paris - Walter Gramatté , 1922.
German, 1897 - 1929
Oil on canvas, 50 x 36 cm. 19.6 x 14.1 in.
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Eugène Atget
Grand Café
Avenue de la Grande Armée, Paris, 1925
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3 août : quand la police du dictateur portugais tirait sur la foule en Guinée-Bissau
La Guinée, autour de Bissau, sa capitale, était alors une colonie portugaise. Les dockers du port de Pidjiguiti, à Bissau, manifestaient pour de meilleurs salaires. N’ayant pas obtenu gain de cause, ils ont entamé une grève dans l’après-midi du 3 août 1959. Le représentant de l’État portugais a fait aussitôt appel à la Police internationale et de défense de l'État, la sinistre PIDE au service de la dictature portugaise. Les policiers tirent sur les grévistes faisant une cinquantaine de morts et une centaine de blessés. La plupart était des marins, des débardeurs et des dockers, travaillaint pour Casa Gouveia, un monopole commercial intermédiaire du groupe CUF (Companhia União Fabril).
Un mouvement indépendantiste, le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, mené par Amilcar Cabrar, manifestait depuis 1956 de manière non-violence pour l’indépendance. C’est le massacre de Pidjiguiti, suivi d’autres, qui a amené le PAICG à abandonner la résistance non violente pour une lutte armée. La guerre d’indépendance de la Guinée-Bissau a débuté en 1963, elle durera jusqu’en 1974 avec l’annonce de l’indépendance.
Après l'indépendance, la mémoire de Pindjiguiti sera mobilisée comme l'un des symboles et des fondements de l'État indépendant, inséparable du Parti, et, encore une fois, de l'exigence d'unité. L'indépendance est célébrée comme une restauration de la justice qui honore les martyrs du colonialisme, avec un accent énorme sur les victimes du massacre. C'est ainsi que le 3 août est déclaré fête nationale et que, entre 1975 et 1980, une série d'initiatives sont menées qui confortent la centralité de l'imagerie du massacre.
L’anniversaire du massacre du 3 août, la Journée des Martyrs de la colonisation (Dia dos mártires da colonização), est donc un jour férié national en Guinée-Bissau et une journée publique de commémoration qui se déroule avenida 3 de Agosto, la grande avenue de la capitale. Près des quais, un grand poing noir a été érigé, il est connu sous le nom de “Main de Timba “ et sert de monument commémoratif.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
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RECONNAÎTRE LA PRÉSENCE DE DIEU
LUNDI 29 JUILLET RECONNAÎTRE LA PRÉSENCE DE DIEU
« JE MARCHERAI MOI-MÊME AVEC TOI ET JE TE DONNERAI DU REPOS » EXODE 33.14
Lorsque vous sentez la présence de Dieu et que vous savez qu'il est à vos côtés, vous pouvez faire face aux aléas de la vie. Essayez donc d'imaginer la mission de Moïse : libérer deux millions d’esclaves ; les conduire à travers un désert brûlant et hostile ; les protéger de leurs ennemis ; les nourrir ; régler leurs différends et les faire avancer vers leur destinée ! Voici ce qu’il a prié : « Si tu ne marches pas toi-même avec nous, ne nous fais pas monter d'ici » (v.15). Moïse préférait aller nulle part avec Dieu que n'importe où sans lui. Lorsque sa liaison avec Bath-Sheba a été révélée, David n'a pas prié en disant : « Ne me prends pas ma couronne, ni mon royaume, ni mon armée ! » Non, car il savait ce qui comptait le plus pour lui : « Ne me retire pas ton Esprit Saint » (Ps 51.13). Pour grandir spirituellement, il faut prendre toujours plus conscience de la présence de Dieu dans sa vie. Comment y parvenir ? Au lieu d'être un rocher, devenez une éponge ! Quand on place un rocher dans l'océan, Il est humide en surface, mais son cœur reste dur et sec. Alors que si on trempe une éponge, l'eau modifie sa texture. Soyez calme, et sachez apprécier la présence de Dieu. Lisez le passage qui suit, écrivez-le, répétez-le encore et encore, et ouvrez chaque parcelle de votre âme à la présence de Dieu : « L'Éternel, ton Dieu, est au milieu de toi un héros qui sauve ; il fera de toi sa plus grande joie ; il gardera le silence dans son amour pour toi ; il aura pour toi une triomphante allégresse » (Sop 3.17).
B365 — Plan de lecture 2 Samuel 18
Prière du jour Jésus, apprends-moi à apprécier ta présence.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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Le château Perrier.
Le Château Perrier est un bâtiment construit pour Charles Nicolas Perrier par l'architecte sparnacien Eugène Cordier, il accueille aujourd'hui le musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale. Il est situé avenue de Champagne à Épernay, en Grand Est.
Histoire:
Le château a été construit pour Charles Perrier, négociant, fils de Pierre-Nicolas Perrier-Jouët qui a fondé la maison de Champagne Perrier-Jouët en 1811. Les travaux débutent en 1852 avec le creusement des caves sous le pavillon Ouest puis le bâtiment principal. Une date, 1854, est inscrite sur le fronton supérieur de la lucarne, elle fait référence à la fin des travaux de maçonnerie du bâtiment. Les travaux seront officiellement achevés en 1857, ils ont coûté environ un million de francs.
Le Château est construit sur un lieu stratégique pour le commerce: il se trouve à proximité de la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg et sur le passage de la voie royale.
À la mort de Charles Perrier et de sa femme Octavie en 1878, c'est Henri Gallice, le neveu d'Octavie qui hérite du Château. Il prend alors le nom de Château Gallice. Henri Gallice est passionné de cheval et de chasse, c'est à lui que l'on doit la présence de la statue en fonte appelé « le Veneur » réalisée par le sculpteur Pierre Le Nordez.
Durant la Première Guerre mondiale, les caves du Château servent d’hôpital militaire. Des inscriptions italiennes retrouvées dans le Château témoignent de cette occupation. Au cours de l’année 1917, Henri Gallice abandonne la gestion courante de la maison.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est successivement le quartier général des armées britannique, allemande et américaine. La Royal Air Force loue le Château de 1939 à 1940.
Installation du musée d'Épernay:
En 1942, le conseil municipal d’Épernay décide d’acquérir le château pour y installer le musée municipal et la bibliothèque, la signature est actée le 16 septembre 1943 et le château retrouve son nom d’origine: château Perrier. Désormais, le rez-de-chaussée accueille la bibliothèque, le 1er étage le musée d’histoire du champagne et des travaux des champs, et les combles le musée de la préhistoire.
La bibliothèque est déplacée en 1995 et le musée est fermé en 1998. L'ouverture du nouveau musée, le musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale, était prévue pour l'automne 2020 mais ne se fit que le 29 mai 2021 à cause de la crise du COVID.
Le château Perrier
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Phébus
30, Avenue de la Grande Armée, Paris
~ Henri Gray (Henri Boulanger 1858-1924), circa 1898
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Avenue De La Grande-Armée Paris, France
#photographers on tumblr#architecture#streets#street photography#paris#france#avenue de la grande armée#vertical#original photographers
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Germaine Krull. Place de l’étoile, Avenue de la Grande Armée, Avenue du Bois de Boulogne, 1926.
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Germaine Krull Intersection of place de l’Étoile, avenue de la Grande-Armée, avenue du Bois-de-Boulogne, Paris 1926
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Café, Avenue de la Grande-Armée, Paris, Photo by Eugene Atget, 1925
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PARIS — Yeezy is dead. Long live YZY. Stage three of the ambitions of Ye — the artist formerly known as Kanye West — to dress the world has begun.
Presumably that was supposed to be the takeaway from the surprise show of Paris Fashion Week, held off-schedule in an empty office tower just down the road from the Arc de Triomphe.
Though it turned out to be only nominally a fashion show and more like “The YZY Experience”: a chaotic mess of self-justification, confessional, bone-picking and messianic ambition, with a “White Lives Matter” shot of shock and provocation that overshadowed the clothes on the runway.
The rumors began during the weekend, just a day or so before the Balenciaga mud show. Ye was in Paris and was going to stage a fashion show — a little more than two weeks after ending his much-ballyhooed partnership with Gap.
Maybe it would happen Monday? Maybe not; Ye had just fired his PR agency. No wait, it was happening; he had found another agency. Then, Sunday night, a digital invite arrived. For the next evening. Guests were asked not to share the address.
Monday at 5:45 p.m., the Avenue de la Grande Armée was heaving with screaming fans and photographers. So much for secrecy. They outnumbered the show’s actual attendees by what seemed like 100 to one.YZY, spring 2023.Credit...YZYSZN9
Still, Anna Wintour came. So did John Galliano. Demna, the Balenciaga designer, and Cédric Charbit, its chief executive. Alexandre Arnault, the chief marketing officer of Tiffany & Company and a son of the LVMH chieftain Bernard Arnault. Then they all sat, playing with the soap-on-rope that looked like three granite blocks and had been left on every seat, waiting an hour and a half for the show to begin. (Well, OK, Anna and John left before the whole thing ended, but that was because they had another appointment, Ms. Wintour said.)
It was as good a reflection as anything this week of just how the culture and power structure of fashion and entertainment has changed in the past decade. Because it was 11 years ago, in early October 2011, that Ye held his first fashion show in Paris.
The line at that time was called “Kanye West.” Heavy on the luxury frills — leather and fur and gold hardware — it was widely dismissed by its audience. But this time there they were, the powers that be of the industry, jumping at the last minute to see what Ye had to deliver.
Join Vanessa Friedman to explore the direct impact of Fashion Week and its cultural influence, especially as virtual trends emerge.
Which involved a live choir featuring a host of children from Ye’s new Donda Academy in California as well as his daughter, North, and began with his rambling speech about critics who complained about his shows being late; his former manager, Scooter Braun; his hospitalization (Ye has been diagnosed with bipolar disorder); the pain of being called “crazy”; critics who complained that his clothes might not be well made; the people at Gap who didn’t get his vision; Bernard Arnault, whom he called “his new Drake”; and the news that he was establishing yet another version of his own fashion house and it started now.
Because “we changed the look of fashion over the last 10 years. We are the streets. We are the culture.” And when it comes to the culture, “I am Ye, and everyone knows I am the leader.”
Except this leader was wearing an oversize shirt with a photo of Pope John Paul II and the words “Seguiremos tu ejemplo” (“We will follow your example”) on the front, and “White Lives Matter” on the back — a phrase that the Anti-Defamation League has called hate speech and attributed to white supremacists (including the Ku Klux Klan), who began using it in 2015 in response to the Black Lives Matter movement.
The shirt was impossible to miss because, as he spoke, Ye’s image was projected behind him on a wall four stories high.
Besides, Candace Owens, the conservative commentator, was in the audience and wearing one, too. Later the shirt appeared as part of the collection, modeled by Selah Marley, the daughter of Lauryn Hill and granddaughter of Bob Marley. (Matthew M. Williams, the Givenchy designer who worked with Mr. West earlier in his career; Michéle Lamy, Rick Owens’s wife; and Naomi Campbell also walked in the show.)
It was the only message garment in the line, which was called SZN9 in reference to the Yeezy shows that had come before, created in conjunction with Shayne Oliver, the former designer of Hood By Air (Ye is nothing if not a great spotter and cultivator of talent). Which made it stand out even more in a show otherwise focused on garments that could simply be pulled onto the body, with no hardware — buttons or zips or snaps — involved, an idea that Ye first began talking about in the context of his work with Gap.
As it happened, a lot of this line looked like that line, especially that part of that line engineered with Balenciaga’s Demna, including the full-body catsuits that opened the show, the duvet-like puffer ponchos, the blouson jackets and sweats that made the torso into a sort of steroid-filled G.I. Joe triangle, the lack of seams and the semi-apocalyptic palette.
It has potential, but the import got swamped by the shirt, what it symbolized, and how its endorsement by a figure such as Ye — even one with a track record of wearing MAGA hats and toying with Confederate imagery — could be used as a rallying cry by those who already buy into its message.
“Indefensible behavior,” wrote Gabriella Karefa-Johnson, the Vogue editor, on Instagram. Later adding, “there is no excuse, there is no art here.” Jaden Smith, in the audience, walked out. So did Lynette Nylander, the Dazed writer and editor.
The next day, at the Chanel show, Edward Enninful, the editor of British Vogue and the most powerful Black man in fashion media, called the shirt “inappropriate” and “insensitive, given the state of the world.”
Ms. Nylander had posted, “It doesn’t matter what the intention was … it’s perception to the masses out of context.”
Indeed, in the end, it is the shirt out of context that made the news: not Ye’s theories about dress, or his allegations that Mr. Arnault promised to set him up in his own house and then reneged and now has become Ye’s biggest competition (an LVMH representative said Mr. Arnault had “no comment”); not even Ye’s assertion that, having disrupted the fashion week spotlight, he still felt “at war.” If so, this was a grenade that backfired.
As to why he did it, backstage Ye declined to provide any theoretical framework. “It says it all,” he said, of the shirt. But what exactly does it say?
That he truly believes he can appropriate the language of racial violence with irony? That someday the power structure of Black and white will be reversed, and since he says this collection is the future, that’s the world he envisions? That Ye gets a kick out of pushing everyone’s buttons? That he wants to see how far he can go and doesn’t really care about, or think about, the collateral damage in the meantime (including to those children singing at his feet), despite the violence this could feed?
Or that, as he said in his speech, “You can’t manage me. This is an unmanageable situation.”
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Café, Avenue de la Grande-Armée, Eugène Atget, 1924–25, Metropolitan Museum of Art: Photography
Gilman Collection, Purchase, Ann Tenenbaum and Thomas H. Lee Gift, 2005 Size: 17.6 × 22.7 cm (6 15/16 × 8 15/16 in.) Sheet: 17.9 × 22.8 cm (17.9 × 22.8 cm) Medium: Matte albumen silver print from glass negative
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/283265
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Bon jour, bon Week-end à tous ☕ 🥐 🍇
Avenue de la Grande-Armée, pique-nique 🗼Paris 1978
Photo © Joël Robine /AFP
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12 juin : une fausse indépendance en guise de fête nationale
Le 12 juin est férié aux Philippines en souvenir de l’indépendance proclamée en 1898 qui mettait fin à deux ans de lutte armée et quatre siècles d’occupation espagnole.
Le 12 juin à 16 heures, Emilio Aguinaldo proclamait l’indépendance depuis le balcon de sa maison de Cavite El Viejo devant une large foule à la quelle le drapeau et l’hymne national ont été présenté. C’est Ambrosio Rianzares Bautista qui a lu l’acte d’indépendance qu’il avait rédigé. Emilio Aguinaldo sera ensuite choisi comme président de la République. Hélas, cette indépendance ne sera reconnue par aucun pays. Les Espagnols avaient déjà vendu le pays aux Américains. Pour tenter d’empêcher l’inéluctable, Emilio Aguinaldo va déclarer la guerre aux États-Unis mais son pays ne fera pas le poids. Son président est capturé et les Philippines deviendront une colonie américaine pendant près d’un demi siècle, jusqu’en 1946, date de la véritable indépendance.
Pourquoi les Philippines ne célèbrent pas plutôt l’indépendance de 1946 ? Parce que les Américains ont eu le mauvais goût de la leur accorder un 4 juillet, date de la fête nationale américaine que les Philippins ont été sommés de fêter pendant plusieurs décennies. Cette date était trop chargée pour en faire leur propre fête nationale.
Le choix de date de la fête nationale des Philippines n’a pas été évident. En 1964, il s’est finalement porté sur le 12 juin, même si ce Jour de l'indépendance (Araw ng Kalayaan) n’a été, à l’époque, qu’une journée des dupes. Cela n'empêche pas ce jour d'être férié et d’être l'occasion (excepté cette année) d'un grand défilé à Manille et de festivités dans tout le pays et même dans la diaspora. À New York, par exemple, les Philippins défilent le premier dimanche de juin sur Madison Avenue. À San Francisco, sur Union Square, le 3e samedi du mois. À Hong Kong…
La célébration sera virtuelle en 2020 en raison de la pandémie. Le thème cette année est Kalayaan 2020 : Tungo sa Bansang Malaya, Nagtutulungan, à Ligtas ( Liberté 2020 : vers une nation libre, unie et sûre ). Le 122e anniversaire de la proclamation sera marqué par une cérémonie de lever de drapeau virtuelle opéré par les missions diplomatiques des Philippines ce vendredi à 15 heures (heure du Pacifique) ainsi que sur la page Facebook de l'ambassade des Philippines à Washington.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
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