#aventure de jeunesse
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J-4 avant la sortie du premier tome !
Un petit post pour vous montrer mon process, un peu chaotique, je dois l’avouer, sur ce tome 1 !
Après avoir reçu le script de @unpied j’ai découpé toute l’histoire en petit thumbnails que j’ai scanné pour rajouter le texte et que cela soit plus lisible.
Une fois le découpage validé, je passe à l’étape du croquis. La page a beaucoup changé ici suite aux retours de Marc et de notre éditrice et aussi suite au changement de format du livre !
Ensuite « j’encre » la page pour bien préciser le dessin et que l’étape de la couleur soit plus simple pour moi.
Et enfin la couleur ! L’étape la plus longue et la plus compliquée ! Je commence par les aplats et ensuite c’est les ombrages et détails pour bien marquer l’ambiance de la scène.
Heureusement, je commence le tome 2 avec un process un peu plus simple, que vous pouvez découvrir deux fois par semaine sur ma chaîne Twitch !
Plus que 4 jours avant la sortie ! 💜💜
Le Royaume d’Après, Tome 1 Le Crépuscule Sortie le 29/03/2024 @unpied / @m_saltel / @lelombard @eliseharou
#supergna#margaux saltel#illustration#digital art#comic book#le royaume d'après#le crépuscule#marc dubuisson#le lombard#bd#bande dessinée#bandes dessinées#bd jeunesse#sorcière#royaume des morts#aventure#fantômes#ghosts#witch#cottage core#fantasy
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090224
Dans la soirée du 08 février 2024, Yoann et une partie de ses collègues ont passé un bon moment dans un mini-golf avant de rentrer à la maison des secrets où ils se sont vaillamment efforcés de finir l’alcool restant de la veille (la modération des uns entraîne les excès des autres #çafaitréfléchir). Notre envoyé spécial, E.R., était sur place pour suivre l’événement.
Après n’avoir pas brillé de tous ses feux au mini-golf (même Yoann ne peut pas avoir tous les talents), Yoann, pourtant toujours bon joueur, perdant magnanime et gagnant élégant, a été pris d’un élan de rage et de désespoir en arrivant seulement deuxième à Mario Kart, qui contrairement au mini golf est une de ses spécialités. Des témoins parlent de cris à glacer le sang. Il est possible que sa décennie d’expérience en tant que joueur de League of Legends soit en cause dans ces réactions vocales et passionnées lors de la pratique du jeu vidéo.
Plus tard dans la soirée cependant Yoann s’était beaucoup radouci, et a exprimé sa reconnaissance à ses collègues pour leur positionnement pro-Yoann et non anti-Yoann. Nous saluons bien évidemment cette opinion frappée au coin et nous réjouissons que Yoann soit apprécié à sa juste valeur.
Il semblerait également que Yoann ait, sans surprise, fait preuve d’une grande générosité et de beaucoup de bonté en attribuant un précieux kudos (terme technique et singulier sur le document d’évaluation annuel) à l’humble reporter derrière yoannblogging lors de son entretien annuel avec le CTO, ce qui nous va droit au c��ur.
Par ailleurs, il apparaît que Yoann ait été victime de quolibets lors de la semaine de séminaire car il fait trop d’heures supplémentaires pour lesquelles on n’est pas payés et vas-y c’est bon les clients ils peuvent attendre 12h pour un mail surtout si ils sont pas sympas ou commettent des crimes orthographiques contre Yoann. Ici à la rédaction de yoannblogging nous pensons qu’il faut parfois dénoncer ce type de mauvaise habitude en place publique, et que qui aime bien châtie bien. Cela vaut aussi pour les membres de l’équipe de Yoann qui vivent à Bourgoin-Jallieu ou encore les gens qui ont une thèse et font de la recherche.
Enfin, il semble que Yoann ait mis un frein à ses ambitions d’absorber tout le monde dans son équipe et ait accepté de laisser quelques collègues aux autres, ce qui est bien aimable Yoann est si noble et bon.
Un admirable passage de relais journalistique a eu lieu aux alentours de minuit lorsque notre envoyé spécial est rentré chez lui, une démarche pleine de sagesse puisque les festivités / consommation d’alcool et de chips / jeux vidéos / discussions à visée révolutionnaire ont duré ensuite bien tard dans la nuit. Yoann a fait une démonstration diabète aiguilles science médecine pour l’édification générale, n’était pas le moins concentré de tous quand une tentative de jeu de société a été lancée, et était très volontaire ainsi que proactif pour porter une démarche de jamais se coucher aller jusqu’au bout de la nuit, mais la soirée a pris fin aux alentours de 4h. Aucun regret même si les heures de sommeil manquantes se font ressentir.
Yoann est maintenant en train de tenter de s’assoupir dans le Ouigo inconfortable alors qu’il devrait être dans un vrai train pas low cost en première classe puisqu’il est cadre, mais hélas la SNCF n’a sans doute pas réalisé qui elle avait à bord sinon il aurait sans aucun doute bénéficié d’un surclassement.
#yoann#premier article long format#correspondant freelance de qualité#syndicalisme révolutionnaire#vodka#curaçao#vidéoludisme#endurance de la jeunesse#déficit de sommeil#cohésion d’équipe#à bientôt pour de nouvelles aventures#yoann gamer backstory unlocked#bons sentiments#quolibets#work life balance
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Yona fille de la préhistoire T8 Le voyage au bout du monde de Florence Reynaud
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#Aventure#Florence Reynaud#Jeunesse#pocket jeunesse#préhistoire#Yona#Yona fille de la préhistoire#Yona fille de la préhistoire T8#Yona fille de la préhistoire T8 Le voyage au bout du monde
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Astérix - Tome 40
Le dernier Astérix est sur vagabondageautourdesoi !
L’iris Blanc Au lieu de parler d’obésité ou de nanisme, en voyant Astérix et Obélix, Vicévertus parle de ” dysharmonie gracieuse”. Ça y est…Nous voici dans la novlangue des gourous du “feel good” et de l’énergie positive. La pensée positive ébranle l’agressivité de nos irréductibles Gaulois. Ils sont devenus tendres, nos invincibles ! Moi, ça me fait penser au discours actuel où il suffirait de…
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#Aventure#Bandes dessinées#BD#Billet littéraire#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Français#france#histoire#Histoire de famille#Histoire de France#humour#Jeunesse#Littérature contemporaine#littérature française#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Parodie
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Découvrez les nouvelles aventures de Néris le hérisson par JAS "Curieuse disparition" Bande dessinée Jeunesse sur la condition animale Enfin disponible sur le site http://jas.bd.free.fr
L'achat sur le site s'effectue à l'aide d' un formulaire de commande à imprimer Merci de joindre votre chèque Livraison Colissimo Première dédicace de l'album au marché de Noël à Chabris le dimanche 26 novembre 2023 D'autres salons suivront...
#Nouvelle aventure de Néris le hérisson encrage#livres#nerisleherisson#neris#hérisson#sellessurcher#caracter#illustration#mangaart#manga#instart#illustagram#jas#dessinateur#dessin#crayonfabercastell#jeunesse#neoslim
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Imago
Imago, Nathalie Le Gendre PrésentationDepuis un mystérieux cataclysme, le peuple K’awil vit retiré du monde, au coeur d’une montagne tout en labyrinthes et en jeux de lumière, protégé des regards par une jungle luxuriante. Dans cette société composée de sept clans aux prérogatives bien définies, ce sont les femmes qui règnent en maîtres.Parce que sa soeur vient de mourir, tuée par un K’tioni,…
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#16/20#Amour#Aventure#Colonisation#Drame#Fantastique#Harmonie#Imago#Initiation#Jeunesse#Liquidation de la liste d&039;envies qui date de 10 ans#Liste de Bronze#Monde post-apocalyptique#Mort#Nathalie Le Gendre#Nature
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Retrouvez les aventures de Geraldine & Mona dans leurs tout 1er album ! Venez les retrouver elles et les univers jeunesse de Myria Editions, comme "Les trésors de Carotte" ou encore "Fais attention à toi, Grenouillette" dans une myriade d'aventures pour toutes la famille !
Disponible dès maintenant sur le site officiel, ainsi que dans sur commande à la Fnac, Cultura, au furet du Nord, et dans toutes vos librairies !
Et également disponible en me contactant directement, pour un Album Dédicacé ^^ !!
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Find the adventures of Geraldine & Mona in their very first album! Come and meet them and the universes of Myria Editions, such as "Les Trésors de Carotte" or "Fais attention à toi, Grenouillette" in a myriad of adventures for the whole family!
Available now on the official website, as well as on order at Fnac, Cultura, Furet du Nord, and in all your bookstores!
And also available by contacting me directly, for signed albums ^^ !! (Only available in French at the moment) https://myria-editions.com/ https://www.instagram.com/geraldineetmonabd/
Geraldine & Mona (c) Me & Myria Edition
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Les clans du ciel - La quête d'Ellie (Skyborn 1 - Sparrow Rising) Jessica Khoury Jeunesse, Bayard, 2024
Ellie rêve de rejoindre la garde royale des Ailes d’Or, qui protège la population des attaques de gargouilles, les monstres tapis derrière les nuages. Mais c’est une mission réservée aux castes supérieures de Faucons ou d’Éperviers, et Ellie est née Moineau. Résolue à participer malgré tout à la course de sélection des gardes, Ellie s’échappe de son orphelinat. Elle croise alors le chemin de Nox, un jeune Corbeau. Il l’entraîne malgré elle dans une aventure périlleuse, qui va bouleverser le destin d’Ellie et sa vision du monde… Une trilogie de fantasy haletante L’autrice, Jessica Khoury, nous entraîne dans une aventure sans temps morts, portée par des personnages attachants en quête de vérité, dans un univers aussi original qu’accessible pour des lecteurs à partir de 10 ans. De nombreux coups de cœur libraires et des lecteurs enthousiastes. 4,5/5 sur Babelio. « Alerte, nouvelle série palpitante et captivante ! » Science et Vie Découvertes
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Les aventures de Bérénice (Épisode 14)
L'homme fut décontenancé. Il tergiversait sur la conduite à tenir. Il se leva. Bien sûr, Justine, avec l'insolence de sa jeunesse, ses jolis seins ronds et fermes, son sexe épilé ne le laissait pas indifférent. Il invoqua Bérénice, les affaires qu'il avait à régler avec elle, à quoi Justine lui répondit que sa tante était manifestement très en retard et que rien ne les obligeaient à raconter à Bérénice ce qu'ils pourraient faire ensemble, en son absence. L'homme finit par en convenir. Justine, prenant ceci comme un assentiment en bonne et due forme, et considérant que suffisamment de temps avait été perdu en tergiversations, se mit à genoux devant l'homme. Méthodiquement, elle défit la boucle de la ceinture, le bouton et fit glisser la fermeture éclair. Elle écarta les deux côtés de la fermeture et découvrit un boxer bleu imprimé de flamants roses. Elle ne s'y attarda toutefois pas, n'entretenant pas de passion particulière pour l'ornithologie. Elle glissa une main dans le sous-vêtement et en sortit un chibre en train de se déployer. Il sentait bon le savon de Marseille. Ni une ni deux, elle le goba.Elle aimait cette sensation de sentir un sexe d'homme durcir dans sa bouche, gonfler, enfler, se rigidifier. Elle s'en trouvait flattée. Le fait qu'il s'agisse d'un parfait inconnu provoquait, quant à lui, un surcroît d'excitation, dont elle ressentit les vibrations dans son bas-ventre. Elle expulsa le sexe masculin de sa bouche et l'observa avec gourmandise. Il était équilibré avec de belles proportions, parfaitement droit et parfaitement épilé. Un régal !
Texte : Artsenscarpediem
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Les Quartiers de Seattle
DOWNTOWN : Le cœur de Seattle, où vous trouverez une pléthore de gratte-ciel majestueux, dont certains abritent les sièges sociaux de grandes entreprises renommées mondiales. Downtown est également un véritable paradis pour les amateurs de shopping. Vous pouvez flâner dans des rues bordées de boutiques élégantes, de grands magasins, et de centres commerciaux de renom. C'est le centre battant de la ville, un endroit où le monde des affaires, du shopping, de la gastronomie et de la culture se rencontrent.
CAPITOL HILL : Capitol Hill à Seattle est un quartier dynamique, connu pour sa vie nocturne animée, ses boutiques indépendantes, ses cafés accueillants et sa scène artistique florissante. Que vous soyez amateur de musique, de shopping ou d'art, Capitol Hill offre une expérience riche en créativité et en diversité. C'est un lieu où la liberté d'expression et l'originalité sont célébrées au quotidien.
UNIVERSITY DISTRICT : Situé autour de l'Université de Washington, le University District est un quartier animé avec une scène étudiante dynamique. Il est parsemé de librairies, de cafés chaleureux et de lieux de divertissement animés. C'est un endroit où l'éducation, la culture et la créativité se croisent, créant une atmosphère stimulante. Les rues regorgent d'énergie, de jeunes esprits avides de connaissance et d'une ambiance vibrante qui se reflète dans la vie quotidienne du quartier. Le University District est le point de rencontre de la jeunesse, de l'apprentissage et de la créativité, en plein cœur de Seattle.
QUEEN ANNE : Queen Anne, perché sur une colline majestueuse, est l'un des quartiers les plus pittoresques de Seattle qui offre des vues panoramiques à couper le souffle sur la ville. Ce quartier est imprégné d'histoire, avec des maisons historiques et une architecture charmante qui évoquent le passé. Queen Anne offre une expérience de quartier paisible et panoramique, où l'urbanisme s'harmonise parfaitement avec la nature, créant une ambiance unique et captivante pour tous ceux qui s'y aventurent.
GREENWOOD : Greenwood est un charmant quartier résidentiel à Seattle, offrant une ambiance de banlieue accueillante. Les rues regorgent de boutiques locales pittoresques et de cafés chaleureux, créant une atmosphère conviviale. De plus, les habitants bénéficient d'un accès facile à la nature grâce à la proximité de Carkeek Park, offrant des sentiers et une escapade verdoyante à proximité. Un mélange parfait de vie de quartier et de nature à portée de main.
WEST SEATTLE : West Seattle est une charmante communauté en bord de mer à Seattle, offrant des vues imprenables sur le centre-ville de la ville. Avec ses plages pittoresques, ses parcs verdoyants et son ambiance décontractée, ce quartier est une escapade côtière parfaite. Profitez de la sérénité des plages, des loisirs en plein air et de l'atmosphère détendue de West Seattle tout en restant proche de l'effervescence de la ville.
Rejoignez-nous sur Discord pour connaître l'avancée du projet, réserver un avatar ou tout simplement être dans les prévenu⸱e⸱s.
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Heidi
Heidi est un roman qui fait parti des plus célèbres récits de la littérature d'enfance et de jeunesse. Il a été écrit par la femme de lettres suisse alémanique Johanna Spyri, publié en 1880 et 1881. Grâce au dessin animé, l'héroïne du roman est devenue un personnage mythique connue dans le monde entier.
Sa tante, Dete, laisse l’orpheline Heidi chez son grand-père, sur un alpage au-dessus de Maienfield dans le Canton des Grisons, en Suisse. Au détriment de ce que tout le monde croit, le vieil homme n’est pas dur du tout. Il s’attache bien rapidement à Heidi, en nous démontrant que les mauvaises langues parlent sans réellement connaître quelqu'un.
Ici, nous parcourons ensemble une analyse des thèmes, les plus importants dans l'opéra, à travers ses personnages.
Nous commencons par le personnage là où tout à commencé: la tante Dete.
La tante d’Heidi n’est pas un personagge des plus aimables.
Dete était bien jeune à la mort du père d’Heidi et a pris soin d’elle pendant quatre ans. La première fois qu’on lui a offert un emploi à Francfort, elle a refusé, non par compassion mais par sens du devoir. Pour être précis, elle souffrait l’idée d'être jugée par la société à cause d’un choix égoïste. Ceci est souligné par le temps qu'elle passe en s’excusant envers les villageois tout en montant sur l’alpage avec Heidi.
Il y a un autre élément essentiel à considérer, qui reviendra plusieurs fois dans la narration: le chalet perdu au sommet des montagnes représente un endroit éloigné par la société, où serait enfermé une partie de soi qui n’est ni acceptée ni intégrée. C’est exactement ce qui est passé à le grand-père et Dete génère la même dynamique avec Heidi: Heidi n’est rien d’autre que le devoir à qu’elle a été appelée et dont elle veut fuir, qui l'oblige à vivre dans quel petit village et à sacrifier ses opportunités de carrière. Il faut s’en débarrasser, où personne ne peut la voir.
Dès qu’elle apparaît dans cette histoire, elle est toujours en train de satisfaire un besoin personnel. Elle laissa Heidi chez son grand-père bien consciente de sa réputation, elle revint la récupérer puis la ramena à Francfort, lorsqu’elle vit une opportunité de gagner de l’argent. Elle essaie de dissimuler ses mauvaises intentions en prétextant qu’Heidi ait besoin d’une éducation. Il s’agit d’une opportunité que personne ne pourrait refuser. Nous nous rendons compte qu’elle se désintéresse du bien être d’Heidi à Francfort, même lorsque cette dernière risque sa vie par nostalgie.
Il faut analyser chaque personnage en rapport avec son personnage spéculaire. Le premier c’est le rapport entre le grand-père et Dete, car ils émettent une critique à la société.
Les deux sont les tuteurs d’Heidi et ils ont abandonné le petit village, l’un pour fuir dans les montagnes (rejet complet) et l’autre pour embrasser une société encore plus grande et complexe. Cependant, la croissance narrative de son grand-père l'amène à faire la paix et à se réconcilier avec la société. En revanche Dete se perd dans le système capitaliste avide (juste en contradiction avec la montagne comme endroit des sentiments), représenté par Francfort. Ils montrent deux choix différents et opposés à la société: le rejet complet ou l’immersion totale.
Heidi, de son côte, représente la pureté et la joie non contaminées par les problèmes des adultes. Cette force l’accompagne dans toutes ses aventures et grâce à elle Heidi change la vie de ceux qui les entourent. Elle touche l’enfant en chacun de nous.
Le personnage qui s’oppose à la force vitale d’Heidi a été interprété par Mademoiselle Rottenmeier. Elle met en avant des traits de caractère uniquement négatifs en opposition à la force de bien.. Elle considère Heidi comme une sauvage et essaie de lui donner de la discipline à travers la sévérité. Heidi perd complètement la joie de vivre, jusqu’à risquer la mort par dépression. La seule façon pour elle d’avoir sauvé la vie c’est de la ramener sur l’alpage. Cela représente la force de guérison de la nature et ce thème est exploré aussi par le personnage de Klara et comment elle récupère l’usage des jambes.
Un autre sujet qu'il faut analyser c’est le rapport entre Peter et Heidi.
Peter nous donne une vision de la vie dans la montagne opposée à la vision de Heidi. Avec Heidi nous apprenons à apprécier la vie dans la nature, bien qu’elle ne soit pas toujours merveilleuse. La montagne peut se révéler un vrai cauchemar, car elle n’est pas seulement les fleurs et les couleurs, mais aussi l’anàlphabetisme, le travail des enfants et la solitude. Peter n’est pas capable de lire ni d'écrire, il a commencé à travailler à l'âge de cinq ans et il souffre terriblement de la solitude.
Il y a aussi beaucoup de personnages positifs dans la grande ville, comme toute la famille de Klara et Sebastian. Cela signifie que la société n’est pas seulement un endroit terrible, il y a aussi gens de bon cœur. De plus, les possibilités économiques de la famille de Klara ont pu atténuer les problèmes engendrés par la pauvreté et donner à Heidi et sa famille une vie meilleure.
Pour conclure, j’ai vraiment adoré le livre et il est devenu un de mes livres favoris de tous les temps. Comme Heidi j’adore la montagne et je souffre de la même nostalgie. La description faite par Johanna Spyri m’a rappelé mon enfance et j'espère qu’elle vous fera la même impression.
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''Le Canard est toujours vivant''...
Je ne suis pas certain que ce soit bien prudent ni très sage de reprendre si vite un semblant d'activité : la Faculté –dans sa pompeuse majesté--, Hippocrate et Esculape (et même moi, tout au fond de mon ''ressenti le plus intime'')... disons et répétons que c'est une folle décision : je suis loin d'avoir récupéré les forces perdues après toutes les tuiles qui me sont tombées dessus il y a bientôt un mois, et qui me laissent encore faible et comme épuisé. Mais l'important semble être que je sois encore vivant, comme le célèbre canard du vieux ''sketch'' de Robert Lamoureux.
D'un autre côté, j'ai vraiment hâte de dire mille fois ''Merci'' à toutes les marques de gentillesse que j'ai reçues, en un torrent de mails presque ininterrompu, illustré de mots qui m'ont comblé d'émotions profondes et auraient pu ''me donner la grosse tête'' s'il n'était pas évident qu'elles étaient dictées par le cœur et pour aucune autre raison. Compte tenu de l'état de grande fatigue dans lequel je me débats, je ne suis pas du tout certain de pouvoir répondre à la totalité des gentils messages qui me sont envoyés. Que tous leurs émetteurs trouvent ici le témoignage de ma reconnaissance émue et de ma sincère gratitude pour ce soutien, dans le fond vital.
Mais il n'y a pas que ''ça'' : malade ou pas, épuisé ou pas, j'entends résonner les cris de révolte qui se multiplient en France, ce pauvre pays si insulté, si mal traité, si calomnié, sur chaque sujet. Pour un peu, j'aurais envie de paraphraser De Gaulle : ''La France outragée, la France brisée, la France martyrisée''... à ceci près que personne ne peut honnêtement et sérieusement oser penser qu'elle puisse être ''libérée'', de près ou de loin : nos gouvernants, défaillants à en être criminels, refusent de voir toute vérité et n'osent même pas prononcer les noms des maux qui menacent notre existence en tant que nation et que peuple, mais aussi en temps que simples individus pris dans un ouragan..
Ai-je le droit d'invoquer une baisse de tension ou une chute de globules pour arrêter de hurler qu'il n'est pas acceptable (en donnant à ce mot sa vraie valeur, à l'inverse de nos politicards) que en France, en 2024, tout parent d'un adolescent ayant entre 11 à 17 ans tremble de peur en le regardant partir vers son lycée ou son collège ? Dans notre ''vieux pays sur un vieux continent'' (comme pouvait encore le dire mon ami Dominique de Villepin en février 2003 à l'ONU) un coup de couteau mortel est une ''aventure'' qui peut arriver à tout instant, n'importe où... pour rien ou pour une soi-disant insulte (NB : si traiter un afghan d'Afghan, c'est grave... c'est grave !).
Nous voici ramenés aux périodes les plus noires de notre histoire, à ceci près qu'il s'agit, là, de vraies périodes noires, pas des mauvaises interprétations de ce qui dérange les idéologues de notre Gauche, décidément tous pourris... Nos enfants ne sont plus en sécurité nulle part dans nos villes, juste parce qu'ils sont un peu plus blancs que d'autres, du même âge, qui s'attribuent le droit de les tuer à coups de couteau de boucherie pour cette seule absence de raison.
Mais que doit-on dire de nos femmes et de nos jeunes filles qui ne peuvent même plus sortir en jupe ou en robe (sauf longues comme un jour sans pain !)... de nos citadins condamnés à la laideur, en bas de chez eux, de campements de ''fortune'' (la seule ''fortune'' est celle que se font les ''dealers'' de drogues infâmes !)... d'où sortent des puanteurs assassines de substances mortelles pour notre jeunesse, déjà contaminée à l'excès... de la violence généralisée que refuse de voir une ''Justice'' (sic !) qui ne mérite plus son nom...
Devant ces troubles qui devraient être inacceptés –mais qui ne sont dits ''inacceptables'' qu'en paroles, dans des discours volontairement creux destinés à noyer le gogo-- nos gouvernants poursuivent des folies qui ne peuvent nous mener qu'à des catastrophes encore plus définitives. Au lieu de lutter, toutes affaires cessantes, contre une invasion de substitution clairement reconnue dans toute la littérature du genre depuis 20 ans, le Pouvoir en place nie toute évidence irréfutable et toute démonstration incontournable, et ne réagit pas lorsque des islamo-gauchistes criminels la soutiennent en mélanchonnisant sans savoir de quoi ils parlent, et sont prêts à tout pour ravager la planète jusqu'à sa mort –et la nôtre... ''quoi qu'il en coûte'' … comme si une phrase aussi stupide pouvait avoir le moindre sens !
C'est pour continuer à me battre contre les moulins à vent marqueurs de notre triste époque que je vais essayer de revenir vous murmurer ma petite sérénade, dans la faible mesure de mon absence de moyens. Peut-être, au début, sera-ce avec un rythme moins régulier, en fonction de mes possibilités physiologiques. Mais au moins aurai-je ainsi l'impression, lorsque mon heure viendra, d'avoir ''donné de moi-même''. Mais ceci est une autre histoire, dont nous reparlerons... le plus tard possible. A très bientôt, et –encore une fois-- un immense ''Merci'' pour votre soutien.
H-Cl.
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Primeros días
Après avoir atterris à Santiago, nous nous sommes rendus chez Gregorio, un des meilleurs amis de ma grand-mère Madyl. Il a gentiment accepté de nous prêter son appartement et il tenait à passer quelques jours avec nous.
Ma mère m’avait prévenu qu’il me ferait sûrement beaucoup penser à Madyl et elle ne s’est pas trompée. En entrant dans l’appartement son odeur m’a tout de suite parue familière, cela sentait comme chez elle. Gregorio nous a accueillis comme si nous nous connaissions depuis toujours et nous avons évoqué avec nostalgie nos souvenirs de cette douce connaissance commune.
Je lui ai présenté Charles et nous nous sommes rapidement couchés car il était déjà 2h du matin passées !
Le lendemain Charles et moi avons été à l’agence Suzi Santiago CW (que je recommande vivement à tous les voyageurs souhaitant acheter un véhicule au Chili) afin de commencer les démarches pour acheter notre future voiture.
Ensuite, nous avons flâné dans les rues de Santiago en attendant d’aller rencontrer le notaire (avec qui nous devons préparer les papiers en vue de l’achat du véhicule).
La ville de Santiago est immense, les tours y sont si hautes qu’on se casserait presque la nuque en voulant voir leur cime. C’est une ville très moderne avec d’immenses avenues comme aux États-Unis et le moins qu’on puisse dire c’est que nous nous sentions minuscules.
J’ai remarqué plusieurs choses en me baladant :
Les gens adorent s’assoir sur le sol du métro. Dans chaque station et chaque rame on trouve des jeunes assis à même le sol, lisant des livres ou écoutant de la musique.
Il est possible de se faire dire la bonne aventure par des voyantes à la sauvette qui installent leurs tentes près du mercado central (le marché des poissons). D’ailleurs, elles font beaucoup de publicité sur le sol et les passages piétons. C’est drôle de voir que la culture spirituelle est assez développée.
Il y a un nombre incroyable de vendeurs ambulants. Du lot de pansement jusqu’aux glaces en passant par des babioles sans aucun sens, tu peux pratiquement tout trouver rien qu’en te promenant dans les rues ou le métro.
Il y a énormément de bougainvilliers, l'arbre préféré de Madyl et moi. Ils ne sont pas seulement roses mais parfois rouges, blancs et même orange !
Le soir nous avons été dîner dans un super restaurant de Jazz qui faisait des pizzas à tomber par terre. Nous avons écouté les notes de musique s’éparpiller dans l’air tandis que Gregorio nous berçait des histoires de sa jeunesse. Un vrai régal !
Hier, Gregorio a décidé qu’il nous accompagnerait au Museo Chileno de Arte Precolombino qui recense l’art des populations natives d’Amérique Latine. Nous avons adoré nous promener lentement à ses côtés en observant toutes les œuvres. Ça m’a rappelé les musées que je faisais avec Madyl.
Il nous a ensuite emmené voir le mercado central, un marché de poissons, pour y manger un bon repas. Je pense que c'est le moment où nous avons été le plus dépaysés depuis notre départ. Le marché avait une atmosphère géniale, très locale, avec des vendeurs de poissons et des restaurateurs prêts à tout pour t'appâter à leur échoppe ou leur table. Des musiciens et leurs guitares accompagnaient les mets en fredonnant des chansons de Valparaiso. J'aurais pu passer la journée là à observer la ville vivre.
Ce matin, Gregorio est parti. Il est rentré dans son petit village à Lolol où nous le rejoindrons dès que nous aurons la voiture pour lui rendre visite. Il m’a montré une vidéos des mygales qui traînent parfois dans son jardin, j’ai pâli de terreur puis j’ai fini par me dire qu’il était sûrement peut être temps d’affronter cette peur.
Charles et moi nous retrouvons donc tous deux face au monstre qu’est Santiago, nous avons hâte de la suite !
On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures.
Besos,
Luna.
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Lightfall T2 L'ombre de l'oiseau de Tim PROBERT
Lightfall T2 L’ombre de l’oiseauMon avis En résumé Note CitationSynopsis Si vous avez aimé vous aimerez et vice versa Tome précédent D’autres avis sur la toile D’autres livres de l’auteure Résumé en imageTemps de lecture Mon avis Tim Probert nous offre des planches sublimes dont certaines qui s’étalent sur 2 pages. Une seule bulle est même de trop dans le décor. Je ne suis pas la seule à…
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#9782075156318#Appréciation#Aventure#éditions Gallimard#Bande dessinée#bande dessinée jeunesse#Fantasy#L&039;ombre de l&039;oiseau#Lightfall#Magie#Tim PROBERT#voyage
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Journal du jeudi 28 décembre 2023.
Vendredi 22 décembre 2023.
Exposition aux archives nationales pour les 50 ans de Libération, concoctée par Lionel Charrier, directeur photo du journal. Des visiteurs entre deux photos de Albert Facelly et Boby.
J’ai encadré il y a longtemps la "Une" du samedi 5 et dimanche 6 mars 1983. Elle est là devant moi, « La dernière aventure de Tintin, France, RFA votes en stock". Milou pleure, waaooouuu, Tintin est mort. La fin d’une époque, un clin d’œil à une jeunesse déjà lointaine.
J’ai dévoré les albums de Hergé très jeune et je pense que c’est une des raisons qui m’a donné envie de voyager (il y en a bien d’autres). Dans une période plus récente les « Unes » du journal ont continué de me fasciner. J’en garde beaucoup, empilées dans des boîtes.
Les « Une » de Libé, c’est l’histoire du monde qui défile.
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Journal d'un patochimbo.
En ce beau matin jupiterial, mes vieux amortisseurs s'étirent en grinçant sous quelques rares rayons du soleil Patagonien. La nuit n'a pas été trop fraîche, et je sens déjà mon moteur vrombir avec enthousiasme. Depuis que l'on a resserré mes boulons de batterie, je vis une deuxième jeunesse. Malgré tout, ces satanés humains devraient changer ma batterie, sans quoi nous risquons de nous retrouver bloqués par un jour de froid.
Après un rangement de ma tente de toit pendant lequel le méchant humain est toujours aussi brusque avec moi (il me marche littéralement dessus sans vergogne), c'est la gentille humaine qui prend mon volant. L'autre humaine occupe toujours un siège passager, je suppose qu'elle a peur de moi, bien qu'elle semble tout à fait aimable. J'ai hâte de savoir quelles aventures nous réserve cette journée!
Premier événement, on me donne à manger ! Je me sens tout à fait repu de Super 93. Je reste cependant perplexe, car pendant mon repas le humains vont en général jeter leurs déchets. Des êtres à la physiologie si différente...
Quelques kilomètres plus tard, on m'arrête devant une pente digne d'une descente aux enfers. Mes humains ne semblent pas me faire confiance quant à ma capacité à la remonter. C'est vrai que je n'ai que deux roues motrices, et je les remercie de m'épargner cette épreuve en ouvrant ma boîte à gants inopinément.
Lorsque je les vois partir sans moi, je me questionne sur les intentions de ces humains. Ils semblent se diriger droit vers une zone d'intempéries, au mépris de leur intégrité physique, en abandonnant leur condor (ou pigeon suivant le moment) contre mon pare-brise. Je décide d'attendre sagement leur retour, qui n'interviendra probablement qu'en fin d'après midi. J'ai quelques compagnons d'infortune qui, comme moi, n'ont pas de traction ou de propulsion, et nous nous racontons nos aventures passées.
Deux heures plus tard, surprise ! Mes humains sont de retour. Ils semblent avoir été découragés par la météo. Il ne perçoivent clairement pas le climat aussi finement que moi, fort de mes 150000 km parcourus. Après quelques discussions, ils décident de repartir vers des cieux plus cléments.
Prochain arrêt, un bâtiment isolé qui d'après la faible vue que me procurent mes phares était une ancienne école reconvertie en musée. Les humains partent marcher et j'en profite pour observer le magnifique paysage montagnard alentours. Je suis un van chanceux, et l'usine Suzuki dans laquelle on m'a assemblé me semble si loin.
Cette fois, c'est l'humain brutal qui me conduit. Avec lui, je m'attends au pire sur ces routes ardues. Mais là, miracle ! L'asphalte revient : nous avons quitté la partie la plus rude de la Carreterra Austral. Mes pneus roucoulent de plaisir, et mes suspensions respirent. Pour ne rien gâcher , une petite pluie m'offre une douche printanière bienvenue.
Enfin, nous arrivons tous ensemble au bord d'une rivière; c'est déjà le soir, et je sens que ce sera tout pour aujourd'hui. Mes amis humains mangent des mets bien étranges sur mes sièges et ont des discussions tout aussi obscures à propos de mains peintes en positif et en négatif sur de la roche par d'autres humains des temps jadis. Ils ont cependant l'air content et à l'abri de la pluie, alors je suis un van comblé. Toujours quelques grincements douleureux à l'ouverture de ma tente de toit, puis le calme reposant d'une nuit que j'espère étoilée et dont je peux profiter feux éteints.
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