#avec son tralala
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edgar-moser-blog · 29 days ago
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Suzy Delair " Avec son Tra la la " 1947
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chanson du film "quai des orfèvres" 1974
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burlveneer-music · 8 months ago
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API UIZ - SM - Post-punk instrumental rock, RIYL Ui
Pour la petite histoire, la toute première sortie d'Api Uiz était une cassette intitulée "C'est dur d'écrire sur un coquillage". Sur cette cassette était scotché un coquillage sur lequel était écrit avec difficulté, "C'est dur d'écrire sur un coquillage". Elle a été sortie en 5 exemplaires, et il fallait la payer en franc. Car oui, voici un groupe sorti comme un diable de sa boite au milieu des années 90, la date exacte de sa formation s'étant évaporée dans les brumes suantes des caves bordelaises où il a vu le jour. Toujours là, toujours passionné, libre, débordant et bouillonnant, le groupe revient après une énième mue avec un album où on court derrière son charivari pseudo-funk et bossa-punk, avec des accents de library music pour thriller frénétique. Édité en co-prod avec les labels Au9, Attila Tralala, Red Wig, Do It Youssef ! et Les Clampins D’Abord. Enrique Vega : basse Jorge Vega : batterie Mehdi Beneitez : guitare Éric Martinez : électronique
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christophe76460 · 7 months ago
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Au carrefour des intérêts... - Guide Express'O
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savoir-entreprendre · 9 months ago
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Rosine Nguemgaing est une actrice camerounaise pétrie de talent originaire de l'Ouest Cameroun et du Nigeria. Elle n'a pas connu d'amour paternel, elle grandit auprès de sa mère et de sa grand-mère où elle reçoit d'ailleurs une éducation primaire et secondaire. Après l'obtention de son GCE Advanced Level(Baccalauréat), sa mère n'ayant pas assez de moyens pour payer ses études insiste sur le fait qu'elle doit arrêter ses études et trouver un travail.Mais mourante d'envie de continuer les études,elle va convaincre sa grand-mère de parler à sa maman pour continuer ses études universitaires,chose qui a été faite. C'est ainsi qu'elle monte sur Douala pour poursuivre ses études malgré le fait qu'elle se retrouve totalement abandonnée à elle même. Son déclic pour le Cinéma vient exactement en fin d'année 2019 lorsqu'elle joue pour la première fois dans une petite vidéo de 03minutes. A voir la réaction des personnes et de son entourage c'est ainsi qu'elle commence à faire des castings pour choper les rôles qui pourraient exposer son talent. Sa famille l'encourage,mais l'invite à ne pas abandonner ses études. L'inspiration pour "Les Aventures de Mama" lui vient de cette fillette dans son enfance, qui aimait trahir ses sœurs pour avoir plus d'amour. Parlant de ses vidéos challenges , elles sont celles qui lui prennent plus de temps car elle doit réfléchir sur ses différentes tenues et apporter sa touche d'originalité. Elle a également joué dans plusieurs long métrage notamment "Sangou" de Ghislain Towa, "Histoire de famille" de Fingon Tralala, " Ndinga" de Blaise Option,dans la série à succès "Madame Monsieur" d'Ebenezez Kepombia. Et en cette année 2023, on l'a retrouve dans la Saison 2 de la série "Tourbillon" de Blaise Option.Nguemgaing rosine Après cette série, Rosine poursuit sa carrière d’actrice présentement au Nigéria avec le tournage de deux films, l’un aux cotés du célèbre acteur nigérian Chinedu Ikedieze surnommé « Aki »….. et l’autre film dont elle est l’actrice principale! https://savoirentreprendre.net/?p=12987&feed_id=7300
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charmemma · 1 year ago
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Fifi Chachnil auteure, chanteuse, créatrice de tralalas et marchande de frivolités sera accompagnée au piano par Roger Pouly qui participa à la légende de Charles Trenet. Dans son tour de chant résolument décalé, Fifi cultive le second degré avec humour, recul et tendresse.
Mercredi 25 octobre 2023 à 20 heures – Durée 1 heure 30 avec entracte.
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lesombresdeschoses · 2 years ago
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SALE WEEK-END - première partie
Il y avait longtemps que nous avions prévu cette virée, avec mes deux amis, Harry et Neil, pour nous détendre un peu. Au moins le temps d’un week-end. Et Dieu sait que j'en avait besoin. Harry avait invité son voisin à nous rejoindre. Tyler McKenzie, un homme réservé, je dirais même sombre. Grand, plutôt beau mec, un peu mal foutu tout de même avec sa dégaine de privé mal peigné. En somme, je ne savais pas trop quoi en penser...
Notre plan pour le séjour était simple : louer un petit chalet près d’un lac, loin de la civilisation, et liquider notre stock d'alcool. Bien entendu, j'avais pris quelques bonnes bouteilles de rouge. Merlot et autre tralala du genre. Je buvais une fois l'an et n'aimais donc pas me soûler à la piquette...
Ça fait alcoolique.
Nous étions tous sortis assez tôt du travail. Harry nous avait réservé notre datcha. Il devait être seize heures quand nous avons pris la route. Une bonne musique pour détendre l'atmosphère, deux mecs assez cintrés pour mettre l'ambiance, l'alchimie parfaite pour passer un bon moment, le temps du trajet. Les deux heures de route avaient filé très vite. Arrivés sur place, mon premier geste fut de me jeter sur le coffre de la voiture afin de prendre la bouteille de champagne et mon sac de voyage. En courant vers notre cabanon je criai :
— Harry, clés !
Il me les jeta directement dans la main.
— Bien visé !
— Bons réflexes !
J'ouvris la porte.
Bon sang quelle bonne odeur de bois ! On va passer un bon week-end j'espère…
Les gars me suivirent de peu, je mis la bouteille au frais. Neil apporta les caisses de rouge, les posa sur la table de la véranda, puis saisit une des bouteilles :
— Allez, en attendant le Champouss… Il est où le tire-bouchon ?
— Tiens. Attends, les verres... Restons un minimum civilisé ! lui lançai-je.
Alors bien sûr, je fais ma belle, je sors un carton. Dans ce carton : des verres œnologiques ! J'aime le bon vin ! Là, bien sûr tout le monde pouffe de rire, Neil et Harry me traitent de bourgeoise. Tyler, lui, ne dit rien, il se contente juste de faire un mouvement de la tête, l'air de dire : « bon goût ». J'apprécie... réservé, mais sympa, à voir...
Après avoir vidé la bouteille de Médoc nous sortîmes nous promener le long du loch. Un paysage fabuleux se dessinait sous nos yeux, les collines verdoyantes tout autour de nous, une eau pure comme le diamant, pas âme qui vive, juste quelques piafs se battant en duel pour le prix Nobel de la chanson sauvage. J'avais quand même embarqué la bouteille de champagne.
Une petite coupe dans la nature, simplement parfait !
Les hommes étaient absolument ravis de boire ce pétillant savoureux, assis dans l’herbe, sous les rayons d’un soleil couchant.
Je reconnais que la fraîcheur du printemps accompagne parfaitement une telle boisson. Ça titille les papilles !
Harry et Neil entonnèrent leur chansons préférées.
Je crois que quasiment tout le répertoire de Woodstock y est passé !
Tyler riait de bon cœur, grisé par l'alcool. Il s’était détendu, devenant moins sinistre. Je me demandai ce qui l'avais rendu ainsi ? Il ne devait tout de même pas être aussi taciturne étant enfant ? Nous rentrâmes à la tombée de la nuit, je proposai une partie de poker, mes trois hommes étaient enchantés. Tyler me fit un clin d’œil. Le pauvre commençais à être bien imbibé ! La partie se prolongea jusqu’à deux heures du matin. Nous étions complètement défaits. McKenzie alla se coucher, en premier. Il se sentait un peu mal. Nous avions bu au moins deux bouteilles chacun. Je m’inquiétais pour lui. Au moment de plumer Harry et Neil jusqu'au croupion, je lâchai mes cartes.
Un carré d'as !
— Continuez sans moi les gars, je reviens...
— Houhou ! fit Harry me montrant du doigt.
— Idiot !
Notre petit chalet en bois, était composé d’une véranda avec cuisine (là où nous jouions au Pocker) et de deux chambres. Neil et moi avions prévu de dormir dans la pièce principale, sur le canapé en L, tandis que Tyler et Harry avaient investi celle du fond. Ce n'était pas encore le moment de dormir. Mes deux idiots d'amis se chamaillaient pour ouvrir une autre bouteille, je leur criai de ne pas y toucher avant mon retour. En entrant je vit le pauvre animal roulé en boule, serrant son oreiller contre lui.
La bonne gueule de bois au réveil !
Je m'approchai de lui, il comatait, ne dormant pas vraiment. Je retournai a la véranda, coupai un citron, remplis une bouteille d'eau, pressai le fruit dans un verre et versai le contenu. Retournant dans la chambre, je constatai que Tyler n'avait pas bougé. Le relevant tant bien que mal, je lui fis boire le breuvage. Il grommela quelques mots.
— Force-toi, ça t'évitera d'être trop malade, demain.
— Arrête, grogna-t-il en repoussant la bouteille.
J’insistai. Il me regarda d'un air mauvais. J'espérai que le lendemain il changerait d'avis. Les gars se ruèrent dans la chambre, curieux. Ils se mirent a chahuter. Je les calmai et tout le monde finit par se coucher. La nuit, vers cinq heures, j'entendis du bruit dans une des pièces. Je me levai. Voyant de la lumière dans la salle de bain, je poussai la porte. Tyler, se lavai les mains, je pris la bouteille d'eau citronnée, que j'avais laissée sur le lavabo et la lui tendis :
— Non ne dis rien, finis la…
Il me jeta un regard agacé. J'abandonnai ma tentative, reposai la bouteille et retournai me coucher.
Au bout d’un moment, il a bien fallu que je me mette dans le crâne que je ne suis pas sa mère. Mais j’ai toujours une cette tendance à m’inquiéter pour les gens. Un traumatisme d’enfance...
Il était neuf quand je me levai. J’étais la première. J'avais besoin de prendre un bain.
Bon sang, ce que j'ai soif ! C'est vrai qu'une fois propre, on se sent revivre ! Tiens, la bouteille d'eau au citron... vide...
Je sortit sur la véranda pour préparer un brunch aux petits gars, qui dormaient comme des morts. Encore. Le premier à émerger fut Harry. Puis Neil, suivi de Tyler. J'entendis un vacarme monstrueux dans les chambres, c'était la file d'attente à la salle de bain.
Pire que des gosses !
Ils déboulèrent tous dans la véranda, mais elle est vide. J'avais mis la table dehors. Le soleil illuminait cette matinée enchanteresse. Nous avions tous besoin de vitamine D après une telle soirée. J'en profitai pour grimper à un arbre afin d’apprécier la fraîcheur printanière, en paix. Je vis les gars s'installer tranquillement et commencer à boulotter le British Breakfast.
Quelle bande de gloutons !
— Où est Law ? demanda Harry.
— Elle dort, répondit Neil.
— Non, mec. Pas son genre.
— C'est elle qui a préparé tout ça ?
— Hm, ouais. Pour sûr ! C'est une lève tôt. Même bourrée, elle est au garde à vous.
Je les observais du haut de mon point de mire. Tyler ne disait rien. Il était redevenu taciturne. Il avait l'air d'être plus frais que la veille. Ma formule avait fonctionner.
— L'armée ça vous change un homme ! déclara Neil, sur un ton jovial.
— Tu l'as dit, excellents états de service, mine de rien, regarde moi ce bacon ! répondit Harry.
Tyler les regardait fixement.
— C'est pas tout, mais elle est passée où celle-la ?
— Elle fait son jogging, je présume...
Sérieusement, moi faire un jogging ?? L’armée c’est fini, je cours pour réfléchir, point. Là, c’est week-end !
Je sautai de mon perchoir :
— Plutôt mourir !
— Law, salle garce t'étais là-haut tout ce temps ?! S’exclamèrent ces deux imbéciles, qui me servaient d’amis.
— Vous êtes aveugles les dégénérés ?... J'ai faim.
Je m'installai à coté de Tyler. Il était, pour le moment, celui qui me semblait le plus civilisé de la fine équipe. Je replis mon assiette de bonne choses et mon mug de café bien noir. Les gars commencèrent à raconter des anecdotes avec leurs conquêtes féminines. Comme toujours, Harry vantait ses exploits. Quels gamins, dire qu'ils avaient trente-six et trente-huit ans.
— Face de lard, tu soignes ta névrose en te payant des filles de joie. Ta femme, elle en pense quoi ? lançai-je en riant.
Miracle ! J'ai réussi à dérober un sourire à Tyler. Mais ça n'a pas découragé Harry. Ce qu’il peut me gonfler, des fois…
J'arrêtai de manger, il m'avait coupé l'appétit. Me levant, j’allai me promener. Je pensai même piquer une tête dans le lac. Le climat était absolument parfait. Les doux rayons du soleil, la petite brise matinale me donnaient l’impression de renaître. Cette eau cristalline m’appelait à plonger.
J’aime nager. Ça me soulage du poids de la vie. J’oublie.
En sortant, je tombai sur Tyler. Et merde, j’étais en culotte et soutien-gorge ! En ramassant mes vêtements, j’aboyais :
— Tyler, tu peux te retourner ? Goujat !
Le pauvre s’exécuta sans rechigner. Je me rhabillai rapidement, puis le rejoignais en lui donnant un coup d’épaule pour lui indiquer qu’il pouvait se détendre. Il posa un regard désolé sur moi. Je vis un sourire s’esquisser au coin de ses lèvres. Soudain, je sentis mon mobile vibrer dans ma poche. J'avais reçu un texto :
« Glasgow, Hagard 503 sur Edinburgh Road, colis en attente... »
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inthemoodforportnawak · 5 years ago
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lorytos · 3 years ago
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Lettre d’enfant vagin à son géniteur
Je suis un vagin mal aimé. N’allez pas vous méprendre, mon copain l’adore. Et j’en suis bel et bien un, demandez lui, à mes proches et ils vous confirmerons que je suis un vagin. Cependant, j’ai la conviction que le spermatozoïd-man en personne aurait préféré que je sois un penis. Il a bien eu la chance d’en avoir un 3 ans plus tard mais le fait est que son premier bambin était dépourvu du mauvais organe. Et c’est malheureusement moi qui en aie hérité et donc souffert toute ma vie. Parce que voyez vous, la relation entre vagin et son géniteur est sensée être quelque chose de vraiment magique. Princesse avec son chevalier, le premier amour d’une enfant serait son paternel. Eh bien, malheur à moi, ce n’est pas mon cas. Et je suis convaincue qu’avoir eu le sexe opposé les choses seraient différentes, ou peut-être si j’avais été deuxième. Et même encore la. Comment vraiment savoir? Il aurait dû se retenir plus longtemps, ne pas envoyer ce soldat précis s’il ne voulait pas de moi. Parce que dieu sait que c’est pas le choix qu’il manque lors de la fécondation. Alors je te mets la faute dessus. Étant maintenant adulte je me rends bien compte que je te déçois. Et je ne sais pas pourquoi au fond. La réponse est peut-être simple. Je ne suis pas un garçon. Ou c’est parce que ma vie est un flop. Pourtant je crois avoir bien réussi. Un parcours un peu rocailleux par moment mais somme toute bien défini, une belle carrière, une moitié exceptionnelle, de beaux projets, un appartement. Que te faut-il de plus? Une phaloplastie or what? Ben j’en veux pas. Tous s’entendent pour dire que je suis une bonne personne, aimante, le cœur sur la main, présente pour ceux qu’elle aime, généreuse, empathique. Pis toi? Tu vois quoi coudonc? Seulement mes échecs de vie? J’ai ben juste le quart de siècle, de 1 j’ai le temps de me rattraper de 2 j’ai pas fini d’en faire. Qu’aie-je donc ben fait de si terrible pour que tu te calisses autant de ma personne? Ta première enfant qui cherche depuis toujours à te rendre fière et qui récolte plus souvent qu’autrement pas grand chose. Ta première enfant qui n’est pas parfaite mais qui t’aimes quand même après toute la merde que tu y fais subir. Parce que you know what toi non plus tes pas parfait. Ca empêche le monde de t’aimer sûrement? Ben en toucas avec toute la chiasse qui s’est passé peut-être oui. Mais t’es enfants eux y t’aiment pareil. Pourquoi c’est pas réciproque? Tu as l’air de penser que parce que tu m’as offert un toit, à manger et tout le tralala que ça fait de toi un parent bien? Oui certes il y a des gens plus en misère dans la vie que moi et oui c’est quelque chose sur lequel je ne peux cracher dessus. Mais sibouere les relations interpersonnelles parents/enfant c’est pas sensé être juste ça. Les biens. Il est sensé y avoir de la complicité, de l’amour, du pardon, des rires, de la compréhension, de l’affection et j’en passe. Et c’est exactement ce qui manque à ma vie avec toi. Et que tu cherches pas à apporter. Un aveugle c’est ce que tu es. Tu sais je pense à mon avenir et j’en ressens que de l’angoisse. Je pense a quand j’aurai une maison. Quand j’aurai des enfants, quand je me marierai. Vite de meme j’ai pas le goût ce soit toi qui m’amène à l’autel pour épouser l’homme le plus merveilleux qui m’est été de rencontrer. J’ai le goût d’avoir au bras quelqu’un d’autre. C’est normal tu trouves? Pas vraiment à mon sens. Mais en ce moment précis c’est ça que je pense. En ce moment je te veux pas dans ma vie. Parce que t’es toxique, oui mauvais pour ma santé mentale. On se demande toujours à quand que ça va à nouveau peter. C’est pas normal. Pis ben malheureusement je suis un vagin, je suis pas un penis. Quand ton enfant penis fait de quoi de mal ça se replace plus facilement, étant un penis toi-même. Mais ton enfant vagin elle, ouf. En plus qu’elle a osé sortir en premier. Au secours. J’ai l’impression que mon temps s’écoule et que si je te parle pas au plus sacrant, le cordon va peter définitivement. Pis ça me stresse. Parce jveux pas te parler. Poche hein? Toi non plus que je sache ça te :read more:
tente pas. J’entends entre les branches qu’on t’a déjà dit de faire le premier pas. Mais tu sors des excuses de marde à chaque fois. Ton orgueil te fait faire ça. T’es pas capable de prendre tes couilles pis le faire en premier. Parce que tu dois penser que c’est ma responsabilité. Le jeu se joue à deux. Tu devrais essayer de le faire en premier. Poser ta carte en premier et tenter le coup. Le pire c’est que je sais que tu le feras pas, pis que si moi je prenais pas mes couilles que je possède même pas à mon grand dam, ben tu m’ignorerais a vie. Franchement si t’as pu tes enfants, en plus de pas parler à tes parents pis ta sœur tu fais quoi. A mon humble avis bien dur mais toi qu’en penses tu? Comment envisages tu l’avenir? Seul? Ou tu voudrais qu’on soit là? Ben embraille toi donc un peu papa. Pis fais nous sentir spécial. Au lieu de nous faire sentir comme la gomme que tu viens de piler dessus et t’as juste hâte de te débarrasser. Parce qu’en ce moment de pas te parler esti ça fait du bien. Tu me fais me pourrir de l’intérieur. De stress, de mal être. T’es erreurs je te les ai toujours pardonnées, je ne t’en ai jamais tenu rigueur. Pourquoi toi t’es pas foutu de passer par-dessus? Au lieu de me les remettre en pleine gueule à chaque occasion qui se pointe le bout du nez. Peut-être qu’au final jsuis juste une conne. A espérer que tu me vois pour ce que je suis et non pour ce que tu espères je sois. Tu sacres le vase de notre relation à terre pis c’est moi qui est pognee pour m’accroupir et ramasser les morceaux à terre. Et à les recoller avec toute la misère du monde. En espérant que ca change, que le vase soit à nouveau indemne. Pendant que tu regardes de haut en jetant la faute sur moi. Le pire c’est que je t’aime pareil, je suis incapable de faire une croix sur toi définitivement. Peut-être devrais-je? Mais comme je dis, si seulement j’avais été un penis. C’est triste comment un chromosome change une vie. Pour le pire. Une chance que je t’ai pas seulement toi. Parce que je serais pas bonne à grand chose. Et la t’aurais une bonne raison de pas trop m’aimer. Mais bon, j’apprends à vivre avec. C’est pénible mais au moins la je fais pas la conne et de faire comme si notre relation était pas problématique juste pour m’assurer que tu fais partie de ma vie. Parce que ben oui c’est ça je veux. Mais pas dans des conditions de même. La mort va venir me chercher plus tôt tu penses sinon. Et dieu sait que ce serait terrible. Toi peut-être tu le sais pas cependant. Tu t’en rends probablement pas compte. Parce que visiblement en ce moment tu cherches pas à comprendre qu’est-ce qui nous a menés à ce point précis. Aucune réflexion plus loin. Pourquoi j’étouffais, pourquoi j’avais besoin d’air. Aucune question. Surtout aucune nouvelle. Tu attends que ce soit moi, tu daignes même pas t’intéresser, à savoir comment je vais. Tu t’en torches. T’es un parent de marde. Sorry not sorry. C’est écœurant. Ça a même pas l’air de te faire quelque chose un brin. J’ai braillé une criss de shot au fil des années et toi tu t’en sors toujours indemne. Inversons les rôles voir? À quel point tu vas tripper. Je te souhaite la réalisation d’une vie, parce qu’avec la tendance actuelle c’est sur ton lit de mort que tu auras des regrets. Et ils sera beaucoup trop tard
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mfslg · 4 years ago
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Le Président Des Bisous
Pensez donc : alors que Hollande, le Président des bisous, collectionnait essentiellement quelques âneries typiques ainsi qu’une amusante humidité météorologique pendant sa première année, Macron devait rapidement faire face dans le même temps de mandat à une grogne de plus en plus solide d’une partie du peuple, cette partie qui est d’habitude taiseuse et dure à la tâche et qui aura frôlé « l’incident républicain » ultime aux portes de l’Élysée. En quelques mois, l’ex-futur grand homme de notre République avait plongé le pays dans le chaos par ses judicieuses décisions vexantes et taxatoires.
Depuis, le pauvret, balloté par les événements, enchaîne les doubles saltos périlleux sans parvenir à se réceptionner : confinements ou pas, couvre-feu ou pas, bricolages et improvisations sanitaires, économiques, sociales, tout y passe dans une farandole de ministres aux déclarations toutes plus stupides les unes que les autres.
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Le rythme est difficile à suivre, et le feu roulant de l’actualité ne semble pas vouloir laisser souffler le Président débilou qui se retrouve dans un pays qui prend l’eau de toutes parts à y percer des trous en espérant qu’elle repartira par là, auteur inconscient de dissensions internes qui n’y ont pas été aussi fortes depuis deux cents ans à peu près.
Et alors qu’on se dirige droit vers de nouvelles péripéties (faillites, impôts à gogo, terrorisme islamique, dérives judiciaires, j’en passe), voilà que d’enquiquinants pensionnés viennent mettre de l’huile sur le feu : signée par plusieurs généraux à la retraite, une tribune publiée mercredi dans Valeurs Actuelles appelle la classe politique à lutter contre le délitement de la France.
Oui, vous avez bien lu : des (ex-)militaires sortent de leur mutisme pour prévenir solennellement nos dirigeants actuels que la guerre civile menace, et que si, d’aventure, la tendance délétère se poursuivait, une intervention militaire pourrait être nécessaire « dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national. »
Quand on lit ça, on se dit que c’est vraiment l’horreur, quasiment le nazisme et ce d’autant plus que Marine Le Pen semble soutenir ce discours. Les zeures les plus sombres de notre zistoire sont en route à n’en pas douter !
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Dans les rangs du gouvernement, passée l’évidente consternation, c’est l’agitation et la condamnation la plus ferme : non, cette odeur de décomposition avancée ne provient pas du pays, mais du compost éco-conscient qu’on est en train de distribuer à tout le monde pour syntoniser le pays avec Gaïa.
Et comme il n’y a pas plus de délitement du pays que de beurre en broche (c’est sûr, c’est l’État qui vous le dit), on va bien vite expliquer que tout ceci n’est qu’une énième tentative de retour ♩ tralali ♪ de la Beuhête Immonheudeux (dont le ventre est fécond, ♫ tralala ♬), circulez, il n’y a plus rien à voir.
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Le fait que ces militaires semblent vraiment excédés de constater les problèmes non résolus, cet abandon du régalien quelque part dans un terrain vague entre un échangeur autoroutier et un quartier émotif, tout ça n’est absolument pas un signe de défaillance du pouvoir actuel. Que nenni : c’est au contraire le signe évident qu’il faut lutter contre une société qui sombre dans l’ultra-sécuritaire, pardi, comme l’expose d’ailleurs Agnès Pannier-Runacher avec la finesse de toute une division Panzer en pleine accélération.
Et alors même que les petits staccatos humides de la ministre déléguée n’ont pas fini de rebondir mollement sur les murs du studio de PravdaInfo, on découvre que les jours précédents ont été émaillés de festivités au commissariat de Trappes et au centre de rétention de Plaisir : alors que les politiciens du pouvoir défilent sur les plateaux et devant les gros micros mous de journalistes subventionnés pour expliquer que tout est sous contrôle et qu’il ne faut pas sombrer dans la nauséabondance facile, les attaques au mortier se multiplient dans les banlieues, le terrorisme islamique égorge de-ci de-là, et les incivilités, actes de coutellerie artistique et autres pugilats continuent de plus belle sous l’œil atone de nos médias qui trouvent tout ceci sinon normal au moins explicable sereinement à base de lafotalasociété, et le fascisme, m’ame Ginette, le fascisme, voyez-vous.
Apparemment, la crédibilité de la parole politicienne et médiatique, déjà strictement négative, continue d’explorer les abysses.
Du reste, cette négativité est pratique puisqu’elle permet assez bien d’évaluer la situation réelle : le déni que nos dirigeants déploient montre que le délitement est bien là ; leur volonté de poursuivre les généraux inquiets, de sanctionner leur parole, montre qu’ils ont peur que cette parole porte, en elle, les ferments d’un mouvement d’humeur d’une population dont certains, encore au pouvoir, ont déjà pu tâter de l’agacement il y a quelques mois.
Mieux encore : en choisissant cette voie ridicule d’une levée de bouclier contre l’hydre d’un hideux fascisme fantasmée par toute la gauche, l’extrême-gauche, l’extrême-centre, ce qui passe pour la droite et à peu près tout le reste, cette brochette de guignols au pouvoir choisit (consciemment ou non) de faire l’impasse complète sur les raisons fondamentales de la colère de ces généraux en pantoufles : eh oui, il est bien plus facile de crier au puputsch que de faire quelque chose pour ramener la sécurité là où elle devient maintenant impérieuse et où son absence marque d’une façon cuisante (littéralement) la gangrène mortelle du régalien français.
Et si la situation est pré-insurrectionnelle, ce n’est pas à cause de ces généraux, d’un De Villiers un peu vocal ou d’une Marine Le Pen vaguement réveillée pour l’occasion, mais bien à cause de cet abandon lamentable du régalien depuis des décennies par ces mêmes clowns tristes qui encombrent les ondes et dont les logorrhées insupportables aboutissent à noyer le pays dans les taxes, les lois et les formulaires débiles pour camoufler leur incompétence et leur incurie.
Si cette brochette d’andouilles énarchiques avait un peu de présence d’esprit, elle se saisirait de cette tribune pour enfin régler les problèmes lancinants qui minent la République. Bien évidement, il n’en sera absolument rien, que du contraire même, tant est audible jusqu’ici le bruissement de leurs petits pantalons dans lesquels ils tremblent de peur et de rage impuissante.
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jeboudedansmonboudoir · 3 years ago
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Désir. 
Je pense que c'est dans le rose des fins de soirées d’été que tu m’as le plus manqué.
Quand le temps, suspendu, t’aurait susurré d’y pénétrer.
De prendre le corps en entier et d’y développer par-là toute ton omnipotence.
Faire vœu de jouissance.
Mais, depuis un temps déjà, ne résidait plus grand-chose dans la douceur de la nuit.
Nulle place pour le rose.
Un vide, un trou, un rien. 
Une mémoire livide.
C’est aussi un soir qu’il t’a pris.
Un soir merveilleux en apparence.
Une fantastique romance.
Dans un tour de passe-passe dont lui seul a le secret.
Enfoui entre ma grande docilité et son impénétrable indignité.
Il t’a chopé, comme ça. Même pas peur.
Sans aucune difficulté, il t’a fait plier.
T’a rendu prisonnier d’une des pires cases au jeu de l’inhumanité.
Je t’ai cru perdu. Si lointain, et la mémoire sous embruns.
Alors. Je me suis mise à imaginer. A chercher.
J’ai pensé que, peut-être, d'autres peaux t'avaient tant tanné et sans jamais vouloir dialoguer que, jamais plus, tu ne sortirais du bas du ventre. Là où avant, tu te pointais.
Toujours en bourdonnant. Grandiloquent.
Ou encore, que les années avaient fini par œuvrer à la perte de la légèreté.
Du sentiment de flotter. De l'imbécilité joyeuse.
Que tout ce tralala au regard de la grande médiocrité des chairs, ne t’était plus acceptable. Que tu étais devenu un juge bien sévère. Implacable.
Conscientiser ta perte me fût presque insupportable. La colère tonitruante.
Hurlante dans les tympans, à m’en faire des bruits de fond. Interdisant par-là, chacune de mes rêveries. 
Faisant plier la mémoire à la peau ou les chairs au cerveau. 
Dans une errance absolue.
Persuadée de t’avoir cédé. De t’avoir sacrifié.
Je m’en suis voulue, à m’en faire chialer les yeux de sang.
Te protéger en faisant vœu du néant.
Un pacte entre toi et moi. Entre la tête et le corps.
A jamais distinct l’un de l’autre, par ma grande faute.
Les mois se sont écoulés, les petits riens sont devenus quotidiens.
L’immense colère, s’est terrée, se nourrissant du bruit des gens.
Il en a fallu des ciels sombres. Il en a fallu du rien.
Il en faut de la colère sourde. Il en faut de la voix..
Faire face. Taper le pavé. Montrer les dents.
Insérer chacun des pieds bien alignés dans le sol pourtant tortueux.
Puis, oser pardonner.
Non pas au voleur de désir. Mais aux désirs volés.
Au corps affaibli. 
Comprendre que la sentence n’avait jamais appartenu qu’à celui qui, content de lui, l’avait imposée. Ne pas être d'accord ne changera rien à sa petite partition méthodique.
Entendre. La désaccorder. Jouer plus fort.
Ne pas laisser sa chanson te parvenir.
Et c’est comme ça, sans appel. Bien des mois plus tard. Un après-midi d’été. Sentant le haut des joues rougir, le corps tremblé et les yeux bleus noyés que j’ai constater enfin nos retrouvailles, dans la moiteur d’une douche italienne, entre le silence plein et le bruit sourd des cigales. 
Après coup, comme dictée par l’au-delà, écrire.
T’écrire comme jamais avant. Avec soif et parcimonie.
Chirurgie des mots.
Ne plus rien faire d’autre que, du bout des doigts, trouver notre saveur.
Trouver le plaisir du dialogue détaché et sans rien partager.
Imposer les phrases qui se tordent, glissent et claquent.
Exiger le dû. Nouveauté grisante. Interdite.
Manquer de décence et n’en avoir rien à foutre.
Assister à ta souveraineté. L’éclosion de ta cour préférée.
Et discerner, enfin, là, ton irrémédiable puissance. 
Texte lu à la Fondation Thalie (Bruxelles) à l’occasion du “Baudelaire Poetry Day” dans le cadre du Festival Extra! - Centre Pompidou / Septembre 21
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skizzmalo · 4 years ago
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Le sens de la marche
  Ses pieds roulaient en boule quelque aspérité des draps. Quand l’ennui la prenait, ainsi s’occupait-elle. Je n’avais pas le temps à lui consacrer ce jour, mais j’avais décidé de quand même rester avec elle, juste quelques minutes. Elle ne tarda pas à me le reprocher.
– T’es encore là ? Je croyais que tu avais plein de choses à faire aujourd’hui ?
– Oui, je veux juste te regarder un peu avant d’y aller.
– Première nouvelle…
– Comment ça ?
– Tu ne prends jamais le temps de le faire d’habitude.
– Bien sûr que si, m’étonnais-je sincèrement.
– Ça n’arrive que quand je te le demande.
– Non, la preuve.
– Ou alors c’est que tu as une idée derrière la tête, me sourit-elle.
– Non, je te regarde juste.
– Oui ben arrête c’est bizarre, se renfrogna-t-elle en réajustant la couette sur ses jambes et ses hanches.
– Tu veux une chose, en fais une autre, rien de neuf, ironisais-je.
– Oui, ben j’en ai marre que tu dises non quand je te le demande.
– C’est vrai que je suis pas très sympa ces derniers temps, reconnus-je.
– Ben au moins tu l’admets. Mais pour ce que ça change…
– C’est clair, bon, passe une bonne journée, conclus-je en quittant le chambranle de la porte de la chambre à coucher.
– Pareil pour toi, l’entendis-je soupirer.
  Une fois au séjour, je rassemblais mes effets en enfilant ma veste avant de partir affronter le monde du dehors. Ma voiture m’accueillit froidement, comme à son habitude, que demander d’autre à du métal et du plastique en même temps ? Certainement bientôt quelque esprit éclairé, ajoutera en option quelque voix suave qui nous accueillerait dans l’habitacle de nos véhicules. Peut-être même que cela existe déjà ? Je ne me tiens pas au courant de ce genre d’innovation. J’ai un portable à clapet et ma voiture date d’il y a quinze ans. Je ne suis pas d’équerre avec l’époque, technologiquement parlant.
  Je roule tranquille, rejoindre le dépôt-vente dont j’ai la coresponsabilité avec mon frère et ma belle-soeur. Nous l’avons hérité de nos parents. À mon sens les affaires vont bien, du point de vue d’Antoine, évidemment, ce n’est qu’une preuve supplémentaire de mon manque d’ambition. Lui rêve de lancer une franchise, et donc de faire plus d’argent. En l’apercevant sur le parking, en grande discussion avec une jeune femme en tailleur dernier cri, je me dis qu’il va finir par mettre ses menaces à exécution. Ce n’est pas essentiellement de sa faute, Hélène est une femme qui elle aussi a les dents longues, et qui ne se satisfait pas du tout de son statut social actuel. Pourtant, je leur ai laissé la maison familiale sans faire de vague, ainsi n’ont-ils plus, comme moi à payer de loyer. Mais ils sont dépensiers, et veulent toujours « rester dans le coup ». Cela vient du fait qu’ils fréquentent des gens aux revenus plus confortables que les leurs.
    Il est vrai que mon avis sur la question ne correspond pas au leur, et surtout ne les intéresse en rien. Ainsi nous gagnons à peu près cinq mille euros par mois, à diviser en trois. À ceci près qu’Hélène n’est jamais là. Rien qu’au cours des six derniers mois, Sabine, ma compagne, a passé plus de temps qu’elle au magasin. Elle n’y est pourtant passée que trois fois, pour m’aider à faire le ménage.
  « C’est son boulot habituel, et en plus elle habite chez toi gratuitement. », m’avait rétorqué Antoine quand je lui avais demandé un petit plus pour elle. Pour ma pomme le petit plus, et des reproches pendant une semaine. « Tu te fais bouffer par ta famille. », m’avait-elle informé. Ça faisait si longtemps, je m’étais habitué. C’était le rôle que tenait ma mère avant moi. À chacun sa part d’héritage.  
  Je rejoignis Antoine et la jeune femme en m’efforçant de sourire, interrompant Antoine dans ses explications sur les travaux qu’il comptait entreprendre, une fois que la jeune femme lui aurait accordé ce fameux crédit dont il me rebattait les oreilles depuis trois mois. S’agrandir. Pour gagner de l’argent, il faut en dépenser. Tout le tralala.
    La banquière m’accueillit plus accortement que mon frère, qui du regard me reprocha sans détour de ne pas avoir fait d’effort au niveau de ma tenue. C’était un rendez-vous important pour lui, pour moi aussi d’une certaine manière. À ceci près, que nous en attendions pas du tout les mêmes choses.
    Une fois qu’Antoine en eut enfin terminé de faire le récit de ses aspirations. Nous pûmes rejoindre Hélène dans le bureau où se finaliseraient les tractations. Comme de bien entendu, elle s’était assise dans le fauteuil de mon père, me saluant du bout des lèvres, que par bonheur pour moi elle ne daignait plus à poser sur ma joue. Son parfum et son rouge, je ne les goûtais guère.
    Nous nous installâmes autour de l’office, je restais debout, malgré l’insistance de mon frère à me faire aller chercher un tabouret ou une chaise dans le magasin. Ça me convenait parfaitement comme ça. C’est là qu’il comprit, je crois, que pour la première fois, les choses n’allaient pas se passer à son idée.
    La jeune femme sortit des papiers, moult documents de toute sorte à nous faire signer. Bien entendu, tout était déjà quasi réglé. « Ce ne sera qu’un rendez-vous informel », m’avait-il encore répété le jour précédent. Sauf qu’évidemment, il avait prévu de me mettre devant le fait accompli, ou presque. Me contraindre à signer quelque garantie pour eux de finaliser « leur projet ». Mais ce n’est pas ça qui m’intéressait.
– D’accord, je vois, répondis-je à la banquière qui me présentait les contrats de crédit qui gageait le dépôt-vente, dont la valeur des murs et du terrain était estimée à 300 000 euros.        
– Oui, il faut signer là et là… Mettre vos initiales et…
– Ce ne sera pas nécessaire, j’ai l’information que je souhaitais.
– Pardon, mais je pensais que… s’étonna-t-elle.
– Oh je ne sais pas ce que vous pensiez, mais moi je voulais juste connaître au plus juste le prix du magasin et du terrain, maintenant je sais.
– Non, mais Stéphane, Madame Koris s’est déplacée spécialement pour ça et… s’offusqua Hélène.
– Rien du tout, Antoine m’a dit que c’était une réunion informelle, et vous me mettez au pied du mur, comme toujours, je dis non, sauf si vous rachetez mes parts, c’est à dire 150 000 milles euros.
– Comment ça 150 000 ? Il est partagé en trois parts égales ! Intervint Antoine.
– Non, pas les murs et le terrain, les bénéfices oui, mais pas le dépôt vente… demande à madame la banquière si tu me crois pas.
– Je t’avais prévenu qu’il allait nous faire des histoires avec ça… lui glissa Hélène.
– En même temps monsieur Lemeur a raison, pour le stock je ne sais pas, mais en ce qui concerne l’immobilier... me conforta Mme Koris.
– Voilà, donc si vous voulez engager un bien en garanti, ben se sera la maison de papa et maman.
– C’est notre maison, siffla Hélène.
– C’est bien ce qu je dis, haussais-je les épaules.
– Non mais tu déconnes là ! s’énerva mon frère.
– Au contraire, pour la première fois je te laisse pas faire ce que tu veux, alors ça te fait bizarre…
– Bon, heu, je vais vous laisser régler ça, je… s’excusa la banquière en rassemblant ses papiers.
– Non, mais attendez, on va voir ça, madame Koris, intervint Hélène.
– Oui, c’est pas idiot, après tout… C’est vous qui vous occupez de leurs finances non ? la relançais-je.
– Heu, c’est du domaine privé, je…
– Non, mais après tout, s’ils veulent absolument faire ce crédit pourquoi ne gageraient-ils pas leur maison… à moins que… ah oui, il y a déjà une hypothèque dessus, c’est ça hein��?
– Heu… veuillez m’excuser monsieur Lemeur, tenta-t-elle de partir, mais l’éloquence du regard qu’elle lança à Hélène suffit à me renseigner.
– C’est bon, merci de votre visite en tout cas… souris-je en lui laissant le passage.      
    Le silence s’installa dans la pièce, je m’allumais une cigarette, une portière claqua, un moteur vrombit doucement, j’exhalais une taffe par quelque rond de fumée.
– Voilà t’es content ? m’interpella mon frère en se levant.
– Assez oui.
– Non, mais tu te rends pas compte, on est passé pour des crétins devant elle, Hélène la voit toutes les semaines au club.
– Rien d’étonnant.
– okay tu vas la jouer comme ça, s’avança-t-il menaçant. Alors moi je vais te dire…
– Rien du tout, opposais-je en le forçant à reculer au moyen de ma cigarette allumée. T’es pas Papa, tu me fais pas peur, et pour couronner le tout t’as des dettes encore pires que ce que je croyais.
– Mais Antoine, tu… tenta d’intervenir Hélène.
– Rien du tout Antoine, que dalle ma grande... et maintenant je vais te dire, si tu veux que ça continue notre petit arrangement où c’est que tu touches un salaire à rien branler, t’as intérêt de t’y mettre, parce que moi je viendrais plus que deux jours par semaines ici. Le week-end de préférence, comme ça, ça nous arrange tous les trois.
– J’ai hâte de voir ça, tenta une dernière fois d’opposer mon frère, mais d’un ton bien trop hésitant pour être crédible.
– Ho, mais c’est tout vu, ça commence aujourd’hui… Mais je passerais tous les soirs quand même, histoire de vérifier les comptes, c’est pas que je vous fais pas confiance, mais bon…
– Qu’est-ce qui t’arrive ?  
– Rien, je me mets dans le sens de la marche, c’est tout… Vu que le truc c’est de marcher sur les autres, et ben j’en ai fini de vous avoir sur mon dos.
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abridurif · 5 years ago
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Un dimanche
Dimanche, un jour que l’on sent passer. Dimanche, un jour dont on se passerait bien, surtout en ce moment. Dimanche, un jour où l’on s’imagine passer de vie à trépas, tout doucement. Dimanche, un jour que l’on n’entame pas avec le même appétit que les autres jours de la semaine. Le dimanche matin, passe encore, mais le dimanche en plein milieu d’après-midi, on est pris. Dimanche, je ne suis pas le seul à ne pas aimer les dimanches, je sais, je sais que je ne suis pas le seul, j’ai beau le savoir, quand même, le fait d’être seul, à ce point, à cet instant, seul à ce point, ça ne passe pas, et en même temps, ça passe, ça finit toujours par passer, on fait semblant de le redouter, et puis finalement, on s’en débrouille, le dimanche est passé, il s’est refermé, une bonne suée, une bonne branlette, et le tour est joué, passé à la moulinette, le dimanche, nul besoin de montrer patte blanche. Dimanche, un jour triste, quelle que soit la météo, et si le temps est radieux ce jour-là, la tristesse au-dedans est encore plus grande, parce qu’aucune envie d’aller se balader seul sur les quais et de croiser tous ces couples, toutes ces mines réjouies, toutes ces conversations enjouées, ces gestes tendres, ces sentiments refroidis qui ne demandent qu’à être brandis, ces foules, ces paroles, mais qu’est-ce qu’ils ont donc à se raconter, à parler aussi fort, si ce n’est pour amuser la galerie ou exhiber leur bonheur raccord avec le ciel et la saison et l’atmosphère. Paris, un dimanche, la Seine, et tout le tralala, c’est quand vous voulez, ça y est, tout ça s’est arrêté, chacun chez soi, le sentiment de ne rien rater, au-dehors, je me fous bien de ce qui peut se passer, c’est au-dedans qu’il me faut échafauder des plans et peupler le périmètre qui est le mien, ni trop, ni pas assez. Dimanche, comme un arrêt, un butoir de vie, un sens interdit. Dimanche, un jour où, si l’on s’écoutait, on se laisserait volontiers glisser, petit poisson dans les mailles d’un filet, glisser dans la housse, c’est égal, arrivé à une sorte d’indifférence, on ne s’ébruite pas, c’est pas le moment, plutôt vouloir fermer portes et volets et allumer toutes les lumières à l’intérieur. Dimanche, un jour perdu d’avance, un jour où l’on a beau se cacher, on ne se trouve pas, on est coincé. Dimanche, un jour où l’on se sait épinglé, sans vie, déjà naturalisé. Dimanche, un jour minéral, rien d’autre à faire qu’à défaire l’ouvrage de la veille, un jour où son temps est compté, un jour enseveli sous une tonne de paperasses. Dimanche, un jour où le corps réclame des soins, des caresses. Dimanche, on a beau le déchiffrer, rien n’y fait, c’est un jour qui poisse, tout marque, tout froisse. Dimanche, c’est pas un jour pour aller au musée, c’est un jour pour aller au bordel, mais quand bordel et musée sont fermés, eh bien, le choix est vite fait, c’est chez soi qu’on se machine le musée et qu’on se glisse dans l’entrebâillement de la porte d’un bordel, la visite dure moins longtemps, c’est tout. Dimanche, en période de confinement, c’est indifférent, c’est tous les jours dimanche, vous allez me dire, eh bien, non, chaque jour se rappelle à nous avec son chiffre propre, ses spécificités, ses contours et ses angles droits, un dimanche reste un dimanche, un jour sourd, un jour où l’on bande mou, quoi qu’on fasse. Dimanche, je vous fais un paquet ? vous choisissez le papier ? Combien de dimanches dans une vie ? Le dimanche de la vie. C’est pour aujourd’hui ou c’est pour demain. De quoi je me plains ? Il est temps de faire cesser la plainte, le temps est venu de biffer le dimanche, de le réduire en confettis ou de faire comme si – comme si c’était un autre jour, en ne cherchant pas à vouloir le faire ressembler à un autre jour. Il suffit de le laisser en jachère, de lui reconnaître sa nécessité : jour de repos. Et si tu ne trouves pas le repos ce jour-là, tu n’as qu’à travailler et à t’octroyer un dimanche un autre jour de la semaine, à ta guise, c’est comme ça que s’éteindra d’elle-même la complainte du dimanche. C’est un modèle de temps que chacun est amené à s’inventer en cette période où l’on a du temps devant soi, tout autant que derrière, tout autour de soi, tout emmitouflé de temps, on ne sait plus quoi en faire, on a beau se dire qu’on est dimanche, on n’y croit pas, alors que c’est le huitième dimanche ainsi bouclé, confisqué. Jour 48.
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le-valuret-de-sugariel · 5 years ago
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💕 Screen Queen Unexpected Season, Épisode 5 :
Cendrillon & son manque d’Amûûûr propre.
Oui, je sais bien que t’en as marre de relire ça encore et toujours, mais j’en ai rien à foutre. Tu m’as gâché Noël, donc voilà ce que ça en coûte au sens littéral comme figuré d’être une Connasse dans ton genre qui s’est cru incontestable mais qui n’a clairement rien à faire dans la Modération d’un Forum tenu par une supposée entreprise microscopique qui semble assumer ta présence illégitime parmi eux et donc TES Conneries - au pluriel - en plus des leurs, les enfonçant ainsi dans la merde dans laquelle ils étaient déjà ET que j’illumine donc encore et toujours !
Mais reprenons depuis le début…de Décembre :
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Décembre est censé être le mois le plus Joyeux de l’Année. Et moi j’adorais ce mois justement pour ça ~le Mood de Noël~ ainsi Décembre est clairement le mois où je suis le plus Joyeux - en temps normal - car je pense déjà au joli sapin synthétique qui décorera mon Salon, au Centre Ville et aux Boutiques joliment décorées plus que d’habitude, avec les jolies guirlandes lumineuses s’éclairant le soir et tout le tralala de l’Esthétique de Noël… 
On pourrait croire que ma vie est un “Conte de Fées” car c’est clairement ce que je dégage et ce que je fais en sorte que ma vie soit - aussi dure la vie étant - et ce, peu importe que j’ai ensuite l’air “perchée” (je vous emmerde :D .!.) : Je venais de perdre ma Meilleure Amie je n’avais clairement pas envie de me rajouter des problèmes et des Connasses à combattre - à Noël.
DONC, pour me changer les idées j'ai fais ce que je fais de mieux : Être moi même, mais doublement plus Joyeuse* que d’habitude en véhiculant que des bonnes ondes sur le forum Eldarya !
Ça faisait un moment que je ne faisais plus les épisodes car ils m’ont trop traumatisé (je dois avoir abandonné à l’épisode 24 il me semble..) et je savais que je n’étais pas la seule traumatisée par les épisodes, je me suis donc dis que c’était le Meilleur Moment de l’Année de faire sourire plus que d’habitude les Habitants d’Eldarya !
…mais, malheureusement, tout le monde n’a pas “l’Esprit de Noël”, certains détestent au plus haut point Noël car selon eux c’est une “Fête Commerciale remplie uniquement d’Hypocrisie”. Ainsi, lorsque ce genre d’individus voient des gens comme moi, trop “hype” pour citer justement Togame, eh bien ça les dérange plus que d’habitude ! Et ce n’est pas qu’une impression. A tel point que j’ai été banni une première fois justement parce que ma personnalité dérangeait trop Togame, et il a donc fallu qu’on prenne le thé convivialement dans le Château de Cendrillon~
A mon retour je reste dans mon Mood de Noël, je fais donc un petit Coucou aux Découvertes du Jour en rajoutant plus de $ucres que d’habitude, mais mes découvertes sur mon Premier Bannissement font chier Loplo. Et seulement Loplo. A ce moment là, précisément, Togame c’est de l’histoire ancienne ! De l’histoire ancienne car malgré tout notre petite Tea Party m’a permis d’avoir confirmation que c’était bien ma personnalité qui la dérangeait. Et vous savez quoi ? *sort son mégaphone rose bonbon à paillettes*
📣 Quand je vois clairement qu’on cherche à me pourrir la vie parce que je suis “trop Joyeuse”, eh bien j’applique le pouvoir du BIG BIGGER 🎵 THAT’S BETTER 🎶
Je l’avais dit en rigolant en plus sur le topic “Qu’est-ce que j’ignore chez toi” de la section de Synder (on l’oublierait presque !) :
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…Oups ! Mauvais Screen ! Olala… (hum hum. Honnêtement je sais pas qui vous êtes, et j’ai pas envie de le savoir, mais vous valez pas mieux que Synder clairement x’) …je parlais de ça :
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Le problème c’est que, moi, je débarquais sur la Section de Synder car la section du Jeu Eldarya devenait moins active (retenez car c’est Hyper Important à retenir) ce qui fait que… vous vous en doutez, il y a toujours des Habitués et des Délires Habituels, Togame en faisait partie. Et moi débarquant avec ma personnalité trop “hype” cela dérangeait certaines. Elles n’étaient pas habituées. Moi ça me blessait parce que comme je l’ai dis je sais plus où, quand je me connecte sur Eldarya c’est pour me DÉTENDRE, donc je n’ai pas clairement pas envie de “faire la coincée parce que c’est à la mode” autrement dit, je suis pas du genre à me donner un “style” pour “faire comme tout le monde”, j’essaye toujours de rajouter mon petit grain de folie - surtout - en cette période.
Puis je découvre le Fameux Topic de Synder~
“[JEU] De l'amûûûr dans vos post !” …un topic qui fait référence à mon valuret ? Et qui consiste à donner de l’Amour ? C’était TOTALEMENT pour moi ! Vraiment ! Absolument ! …parce que je suis quelqu’un de très Reconnaissant. Et vous savez pourquoi ? Parce que peu de gens savent être reconnaissants. (et c’est clairement LE problème que j’ai rencontré !) C’est à dire que dans une journée on retient plus le Négatif que le Positif, on retient plus nos fréquentations habituelles mais pas forcément les autres qui ont apporté quelque chose à notre journée OU qui ont clairement besoin qu’on leur apporte quelque chose. Ce topic c’était donc pour moi le Meilleur Endroit du Forum pour remercier toutes les personnes qui ont contribué à ma journée !
…Autant en bien qu’en mal. Et c’est là qu’on en vient !
Voyez, il y a une gardienne - que je ne nommerai pas - qui a la même date d’inscription que moi, et étant donné que je la trouvais jolie, je l’ai ajouté, et je l’ai appelé amicalement “jumelle”. On sympathise normalement tout va bien à mon sens…et puis, elle me bloque. Sans explications. Moi quand on me bloque sans explications ça me frustre énormément… alors j’ai décidé de lui donner de l’Amûûûr :
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…c’est en retournant ainsi sur le topic “Qu’est-ce que j’ignore chez toi” que j’ai compris qu’en fait elle était très proche de Togame. En soit, ça je m’en fout un peu, mais j’aurai quand même tellement voulu qu’elle me dise clairement qu’elle ne m’appréciait pas. A mon sens, lui envoyer de l’Amûûûr était donc le meilleur moyen que j’ai trouvé pour espérer…enterrer la hache de guerre ?
Et ce qui est fée est fée. Je partais du principe qu’elle vu mon post et que peut être elle se rendrait compte que je cherchais pas à paraître “toxique” comme elle me l’a dit plus tard - sur Tumblr.
Ah oui il faut savoir aussi que j’avais aussi envoyé de l’Amûûûr à Togame bien évidemment ! Et ce, suite (ou avant je sais plus) à mon Post des Découvertes du Jour. Je disais un truc du genre :
 “Je t’offre de l’Amûûûr car grâce à toi je suis plus forte !”
Je ne nie pas le fait que ça peut passer pour de la provocation dans un certain sens, mais y voir de la provocation serait un avis Subjectif, car Objectivement ce n’est pas totalement le cas. 
Comme dit je suis quelqu’un de très Reconnaissant, et je pars du Principe que : “Ce qui ne te tue pas te rend plus forte !” donc vu que ma Personnalité dérangeait Togame, je voulais que Togame sache que je la remercie car grâce à sa Négativité je suis devenue deux fois plus “Hype” ! Donc deux fois plus Positive ! Il n’y avait donc rien de Négatif sauf si on veut y voir du Négatif !
📣 Et donc @Cendrillon je te Balance encore que : NON. 
Et que tu ferais mieux de revoir certaines définitions dans le dictionnaire parce que NON ça veut dire NON, surtout si je te prouve que NON ! Et ce sera justement le Prochain épisode vu que t’as aggravé ta Connerie plutôt que de l’arranger. 
Ça, et aussi que tu devrais sérieusement changer ta Triste Mentalité parce que tu es Désespérante. Et tu n’es pas la seule vu que LOPLO justement est la Raison pour laquelle je fais ce Post :
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TOUTES les personnes à qui j’ai informé de mon départ ont vu la conversation entière que j’ai eu avec Loplo (message de départ qui est justement le message qui suit ce screen, vu que j’ai aussi informé Loplo et c’est comme ça que je l’ai démasqué !) …ce qui fait que “normalement” j’ai plein de témoins ! Et dans tous les cas, vu que parmi mes témoins il y a aussi des Hypocrites, je rendrais publique - encore une fois - cette fameuse conversation, ainsi que la suite dans laquelle Loplo devient beaucoup plus virulente ! …elle m’a reproché de ne pas tout poster (parce que je lui avais confié un secret me concernant qu’elle a détourné en me faisant passé pour une Raciste) donc vu que ça ne semble pas la déranger, je vais exaucer son $ouhait ! Et ça sera un épisode de Screen Queen donc ! En tout cas ce qu’il faut retenir surtout, c’est que : 
Dans les conversations entières que j’ai eu avec Loplo JAMAIS à AUCUN MOMENT elle ne m’a dit que lui offrir de l’Amûûûr la dérangeait !
…ni Togame ! Ni ma “jumelle” ! Ce qui fait que, si personne ne m’informe je ne peux pas deviner. Je ne suis pas assez Magical Girl pour ça ! Juste constater que mon Noël a été gâché parce que me montrer gentille à l’égard de Loplo la dérangeait !
Sachant que JE NE SAVAIS PAS que c’était à cause de Loplo ! Parce que comme vous pouvez le lire tout en haut, j’ai offert de l’Amûûûr a énormément de personnes ! Et vu que Synder a supprimé tous mes posts où elle y a vu ce qu’elle a voulu voir uniquement : Je ne savais pas QUI cela avait dérangé ! 
Comme vous pouvez le lire - indigo sur blanc - je pensais  premièrement que c’était parce que j’ai offert de l’Amûûûr à mes Haters. Ceux dont ma personnalité “Hype” dérangeait tellement. 
Plus je parle avec Synder, plus je me dis que c’est surement Togame ! Après tout c’est avec elle que j’ai été bannie ! A mes yeux ça ne pouvait PAS être Loplo, parce que dans la première conversation que j’ai eu avec Loplo, elle a certes été froide mais pas au point de vouloir ma mort que je pensais. 
Donc la conversation que j’ai avec Synder ne sert à RIEN, vu qu’elle ne veut rien savoir ! Et rien comprendre ! Et me déçois plus que jamais ! (ou plutôt c’est ce que je pensais puisque ça s’empire après !) Je la considérais comme une amie de base. C’était même pas une Modératrice avec qui j’ai jamais parlé ou parlé juste pour des modalités sur le jeu, c’était une Gardienne que j’ai connu AVANT qu’elle devienne Modératrice et avec qui je discutais amicalement sur le jeu et ses nouveautés de temps en temps. Et ce n’était pas la première fois qu’elle supprime mes posts SANS me laisser la possibilité d’éditer ! (alors que c’était possible avec Adzriel !) Mais là c’était donc la fois de trop ! Là elle m’a saoulé comme jamais ! 
Au final “la personne que ça dérangeait” ce n’était absolument pas ça le problème ! Loplo peut voir le Mal et la Provocation autant qu’elle veut, c’est son problème, ce n’était pas censé me condamner à mort ! Je dis ce que je dis, ça plait ou ça plait pas mais me cassez pas les bonbons comme Synder qui n’a aucune objectivité :
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Le problème c’était donc clairement que Synder supprime ENCORE mes Posts SANS me laisser éditer ! Et ensuite me sort un “Bonne Soirée” alors que j’ai pris sur mon temps pour rédiger un énorme Post pour donner de l’Amûûûr à plein de personnes dont UNE qui n’en voulait pas MAIS qui ne me l’a pas dit directement.
Quelqu’un qui laisse NI le temps de s’expliquer, NI la possibilité d’éditer ses posts, et qui n’est NI Objective, n’a RIEN à faire dans la Modération d’un Forum ! 
Donc elle devait dégager. 
…Parce qu’en plus d’être Incompétence et s’être changé en robot Synder est une Connasse Confirmée qui n’a rien de mieux à faire de son temps libre que de se foutre “joyeusement” de la gueule des Joueuses de l’Entreprise qu’elle est censé représenter - et ce, sans salaire ! C’est pire donc. (parce qu’avec un salaire je suis pas sûr qu’elle se croirait tout permis justement !) 
J’aimerai dire que “je regrette d’être passé sur sa Section” mais je ne trouve absolument pas normal que d’une Section à une autre les fonctionnements soient complètement différents.
Et vu que moi je me fais punir par ce Genre précis d'Individu Malfaisant Incompétent et Hypocrite qui n’a que son tas de jolis pixels blancs comme neige pour plaire ET que “apparemment” ça semble l’excuser si j’en crois la majorité des gens qui la soutiennent malgré toutes les preuves contre elle, alors qu’elle est trop incompétente en comparaison avec d’autres Modérateurs, bah au final, vu que Bee’tch’moov trouve ça normal “apparemment” bah du coup : C’est pas elle qui dégage. C’est Bee’tch’moov tout entier :
Vous êtes clairement trop incompétents et vous avez trop de torts, donc je vous fait dégager.
Votre entreprise est microscopique et vous êtes clairement en faillite par VOTRE faute, notamment en recrutant ce genre de personnes. 
Une entreprise qui préfère patauger dans la merde plutôt qu'écouter ses Clients Fidèles ET s’excuser qu’importe le tort subit n’a AUCUNE raison d’être.
Je n’ai jamais reçu d’excuses, à AUCUN MOMENT, même pas de façon courtoise dans une phrase m’informant d’une erreur que j’ai fais nécessitant une intervention de ma part, ce que autant Synder, autant Mrzelis, autant le Support ET autant les Représentants de Bee’tch’moov que j’ai vu en face à face n’ont jamais dénié faire à mon égard. Donc : Thank U Next ! S’excuser c’est la base de la Communication lors d’un litige dans une Entreprise, peu importe que le Client soit en tort ou non, et la Communication est justement la BASE du Commerce. Chaque Chef d’Entreprise vous le dira ! Donc en fait c’est simple, à mes yeux si vous n’avez pas cette Notion Capitale qu’est la Communication : Vous changez de métier !
Mais vu qu’apparemment… vous m’avez pris pour un “bonbon rose” parce que je crois que vous pensez trop que vos clients ce sont les même que ceux d’Amour Sucré au départ, donc toujours des adolescents sans compétences professionnelles qui ne peuvent rien faire contre vous, mais au final peut être plus qualifiés que vous même (parce que nope, savoir faire de jolis pixels et de jolis mini jeux ça ne fait pas tout !) moi, comme j’ai repéré un peu trop de cadavres dans vos placards, que je me suis TROP investi pour vous et être si ingratement remerciée, ET que vous semblez vous considérer TROP comme intouchables alors que vous ne l’êtes clairement PAS : Bah vous allez devoir Payer. Comme vous le méritez. 
Car comme dit, gâcher Noël devrait être un Crime.
J’étais hyper Joyeuse maintenant je suis hyper Haineux. 
Synder n’était que la Cerise qui a fait déborder le vase. Bref :
“Merci de bien prendre en compte ce message. Bonne soirée !”
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Dans le Prochain Épisode, découvrez les Préparatifs de la “Black Flowers Garden Party” que $ugariel a réservé pour remercier comme elle le mérite, Cendrillon, de lui avoir gâché Noël !
En deux semaines de préparatifs - sans Noël - il y avait de quoi faire quelque chose de vraiment… Mémorable.
La Suite au Prochain Épisode. 💕💥
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helshades · 5 years ago
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Hola Hel! Je t'avais il y a longtemps demandé ton avis pour un parfum "hors niche", après que mes proches m'eurent offert une carte cadeau Sephora; tes excellents conseils m'avaient conduit à découvrir L'air de temps de Nina Ricci, dont je ne me passe plus. Eh bien je me trouve dans la même situation aujourd'hui et je voulais savoir si tu avais d'autres recommandations inspirées! J'avais envisager de tester Jardins de Bagatelle, mais la politique de Guerlain me déplaît et les flacons sont laids.
Je ne me fais pas entièrement l’avocate du Diable en faisant charitablement remarquer que Guerlain n’est pas, au fond, responsable de son propre sort, dans la mesure où c’est l’acquisition de la maison par LVMH en 1994 qui a signé la déchéance artistique d’un monument patrimonial. Je partage le rêve de bien des parfumeurs de voir au moins les parfums historiques inscrits au patrimoine français – ce qui permettrait par exemple de sauvegarder des recettes et des matières premières, face au rouleau-compresseur européen.
Pierre-François-Pascal Guerlain, 1853 : l’Eau de Cologne impériale. Aimé, son fils : Cuir de Russie (1872), Jicky (1889), Eau de Cologne du Coq (1892), Jacques, petit-neveu d’Aimé :  Après l’Ondée (1906), L'Heure Bleue (1912), Mitsouko (1919), Shalimar (1925), Vol de nuit (1933). Jean-Paul, petit-fils de Jacques : Habit Rouge (1965), Chamade (1969), Eau de Guerlain (1974), Nahéma (1979), Jardin de Bagatelle (1983), Samsara (1989). Et encore, j’ai opéré des coupes franches.
Thierry Wasser & Delphine Jelk : La Petite Robe noire (2012, puis environ un million de flankers), dans le flacon historique de L’Heure bleue (!!!), horreur bonbonnesque fétichisée par toutes les jeunes filles en fleur qui aiment tant se sentir unique en portant le même parfum que 73% de leurs copines (les autres porteront un machin à la vanille et au caramel).
Bon, bref, les parfums chez Sephora. Avec une carte cadeau. Euh... elle est généreuse, cette carde cadeau ? Pas au point, j’imagine, de pouvoir te conseiller la collection « Hermessences » de chez, et oui, Hermès, c’est-à-dire le « laboratoire d’idées » de Jean-Claude Ellena qui s’était fait drôlement plaisir avant la retraite, et qui m’oblige à arpenter EBay et Vinted comme une âme en peine pour dénicher des flacons de la collecque à moitié prix, au moins (235€ les 100ml, 359€ les 200ml, je vendrais mon âme pour Cèdre Sambac, j’irais même jusqu’à faire le repassage). Quoique je viens de vérifier : aucune n’est vendue chez Sephora. J’imagine qu’ils connaissent leur public, qui doit être moins désaxé que celui du Printemps – et arrête de me regarder comme ça, je n’achète rien au Printemps, je vais juste sentir, en espérant qu’une vendeuse me prendra en pitié et me glissera une pièce et des échantillons.
Donc, pas d’Hermessence. En revanche, je te somme d’aller respirer Rouge Hermès, l’extravagant floriental d’Akiko Kamei (autrefois Parfum d’Hermès, 1983, jusqu’à sa refondation en 2000, le cas excessivement rare d’un parfum amélioré par une reformulation !) qui est... Et bien, c’est un Jardin de Bagatelle sous stéroïdes, tiens, où le côté « tralala promenons-nous dans des champs totalement réalistes mais zéro bouse de vache » tout en exubérance juvénile s’est changé en sensualité tapageuse façon grande bourgeoise croqueuse d’amants mais grande classe jusqu’au bout de ses longs ongles laqués de rouge. Rouge, c’est la rencontre explosive, exponentiellement florale, de la rose (Damas, pas turque, jamais rose mais rouge, rouge), du santal (laiteux à souhait, épicé, hypnotique), de l’ylang (moins été-à-la-plage, ici, que nuit torride en forêt tropicale avec risques de venin) et de l’iris, qui apporte la poudre, une poudre de riz Art Nouveau qui aurait donné des vapeurs à Zola. Le tout souligné par des épices, du cèdre, et surtout – donnant un aspect fabuleusement ténébreux au fond – de la myrte (arbuste cousin du giroflier et de l’eucalyptus).
Comme tu as parfaitement le droit d’être terrifiée par la perspective, je m’en vais également te conseiller le grand classique 24, Faubourg (créé par le grand Maurice Roucel en 1995, complètement à contre-courant de la mode gel douche & crustacés de l’époque), qui finalement est aussi un concurrent de Jardins de Bagatelle en plus classieux : naturaliste, lumineux, floral blanc et jaune, dans l’esprit il me fait beaucoup penser à L’Air du temps, justement, à la fois délicat, sensuel, joyeux, intemporel et plein de caractère. Fleur d’oranger, jasmin, iris, ylang, gardénia, jacinthe, orange et pêche, sur un lit très doux d’ambre, c’est un parfum tout en retenue mais plein de sensibilité, élégant sans affection ni hauteur, naturel sans être simpliste, un vrai bouquet savamment composé, beau et agréable. Quant à la tenue : remarquable ! Rouge Hermès est un monstre, bien entendu, mais 24, Faubourg est suffisamment opulent pour se défendre, et son évolution est passionnante. Côté popularité, il est très célèbre mais le Jeune® ne porte pas souvent Hermès. C’est dommage, parce qu’en termes de rapport qualité-prix, on reste ici dans l’abordable.
Je ne te recommanderai les Serge Lutens qu’à sentir chez Sephora : on trouve à acheter facilement d’occasion au moins à moitié prix, alors que les tarifs en boutique grimpent pathologiquement. Tom Ford et Armani sont hors de prix, et pas nécessairement supérieurs au reste. Jo Malone aussi c’est un peu cher pour ce que c’est, l’étage en-dessous : très à la mode, un peu cheap dans la confection, personnellement je ne suis pas convaincue mais c’est à voir (à sniffer) par soi-même. J’ai vu aussi que Sephora vend maintenant des Goutal (ses titres les plus populaires en tout cas, comme L’Eau d’Hadrien, très joli mais célèbre pour son évanescence, Petite Chérie le fruité dans l’air du temps, et le magnifique L’Heure Exquise, lequel fait en revanche très mature) et des Comme Des Garçons, qui sont très intéressants dans le genre conceptuel, ce qui peut être assez rebutant suivant les sensibilités, tout le monde n’aimant pas les notes d’encre ou de bitume – personnellement je crains l’aspect parfois un peu industriel de leurs compositions mais je conseille volontiers d’aller s’y pencher dessus pour s’en faire une idée, c’est probablement plus « niche » que ce qu’on sent en grande surface parfumistique d’habitude. À découvrir.
Moins générique comme recommandation, un Chanel, ou plutôt deux Chanel, mais deux facettes d’un même parfum : N°19 et N°19 Poudré. Ce dernier étant l’un de mes jus les plus chéris, tant il est vrai que dès que l’on m’ajoute de la poudre à quelque chose, je ne réponds plus de rien. N°19, c’est un peu le parfum de la résurrection pour la maison Chanel, « Coco » s’étant retirée des affaires quelque temps, puis étant revenue accompagnée de ce concurrent à l’historique N°5, portant cette fois le nombre de sa date d’anniversaire, le 19 août. Gabrielle Chanel mourut quelques semaines après le lancement de ce parfum, ce qui lui confère un rien de nostalgie vintage encore accentué par ses célèbres notes poudrées, très vertes, en fait une alliance de galbanum (le vert) et d’iris (la poudre) extrêmement élégante et sophistiquée. Le vert absolu, bien sûr, c’est l’ancien Vent Vert de Balmain (Germaine Cellier, 1947), et N°19 en est un successeur transparent, mais plus sage. Malgré tout, sa tête où les belles fleurs blanches sont précédées par la férule gommeuse (le galbanum est une gomme-résine longtemps utilisée dans des thériaques pour ses propriétés médicinales, adorée en parfumerie pour ses notes puissantes, balsamiques et herbacées) caractéristique et un peu dérangeante, et les fleurs sont posées sur un fond cuiré, boisé de cèdre, lié de vétiver et de mousse de chêne qui leur confère une espèce de fraîcheur ténébreuse envoûtante. La version véritable est bien l’eau de toilette et non l’eau de parfum, mais la déclinaison N°19 Poudré est une eau de parfum arrondie de muscs blancs, plus douce sans doute, peut-être plus sensuelle encore.
Oh ! ça me fait penser: Mémoire d’une odeur, chez Gucci. Étonnant objet d’Alberto Morillas, à la fois léger et complexe, c’est une étrangeté fascinante dont l’amertume herbeuse surprend beaucoup. En gros, c’est une camomille, très réaliste d’ailleurs, mais c’est bien plus que cela, Morillas s’étant complu à mettre avant des notes habituellement réservées au bruit de fond en parfumerie, comme l’hédione et le salicylate, de sorte que la composition est incroyablement aérienne, moelleuse comme un nuage, impressionniste. Un parti pris vraiment différent des fragrances ci-dessus évoquées, à sentir pour se faire une autre idée du parfum.
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msjmars2020 · 5 years ago
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Juste quelqu’un de bien
J’ai essayé de te décrire à quelqu’un, mettre ma vision subjective de toi. Il ne peut en être autrement.
Je me souviens de toi, c’est un peu flou. Petite, tu étais naïve, rêveuse, toujours à t’ inventer des histoires, des mots rigolos, à cheval sur ton vélo. Aujourd’hui encore, tu souris aux mots “loupiote, feux-follets, wistiti et j’en passe, avec un peu de gêne accrochée aux coins de tes lèvres.                                                 Je ne me rappelle pas si c’est de là qu’est née cette envie que tu as de raconter des histoires en passant par 1001 détours avec des mots , des traits, des couleurs.                                                                                                              Jai toujours aimé en toi, la façon que tu as continuellement d’être” juste” quelqu’un de bien, sans grands tralalas.                                                              Je n’ai jamais pensé que tu arriverais à faire le deuil de ton père, ses abandons maintes fois répétés jusqu’à la rupture.                                                               Je vois en toi une femme toujours en recherche, en questionnement, en mouvement, en quête du vivant, du vibrant, du pétillant.                                      Je ne vois pas souvent ta tristesse, tes angoisses. Pourtant , elles sont bien là, tapies au fond de toi.                                                                                             Je sais que tu crois en l’humain et en l’inexistence de Dieu.                                   Je veux que tu saches que je prendrai soin de toi, je ne veux pas te perdre.     Je me demande comment seront nos vies dans 10-20 ans?                                  Je ne veux pas me demander si tu seras encore là.                                         J’aime te sentir libre et légère, je déteste par contre quand tu te laisses envahir par tes ambivalences.                                                                                    J’essaye d’être bienveillante avec toi mais tu n’es pas toujours facile à suivre. Cela fait longtemps que je n’essaye plus de te cadenasser pour que tu rentres dans le moule.
 Je sais que je voudrais simplement devenir qui je suis, cette personne joliment imparfaite, alignée sur son chemin de vie, juste à sa place. Pour l’instant, c’est à cela que tu ressembles.
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sotrafaculajazzclub · 5 years ago
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Introduction + Playlist #1
Petite présentation :
J’avais envie de parler musique depuis un moment, j’ai pas de connaissances particulières, ou de facts super intéressantes a raconter, j’écoute ce qui me passe sous la main, surtout sur youtube et j’avais envie d’avoir un endroit ou je poste des playlists que personne va écouter, ça me semblait super nécessaire
Je me suis découvert une passion pour la musique en regardant Samurai Champloo, la BO m’avait mit une claque. Les Nujabes, fat jon et tout le tralala ont été une bonne porte d’entrée pour d’autres genres musicaux pour moi.
L’idée de ce blog est de poster des playlist de façon irrégulière, de ce que j’écoute, quand j’en ai envie, mais aussi a l’avenir poster des playlists d’autres joueurs/membres de la fgc donc si vous êtes intéressés faites moi signe ( mais faudrait déjà que vous lisiez ce blog en premier lieu ) .
Playlist #1 
1 - Scott Bradford - Issa
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A la base je voulais appeler ce blog Jupiter Jazz Club en hommage aux noms des 2 episodes de Cowboy Bebop mais c’etait pas assez pompeux. Ce morceau me fait trop penser a cet anime. Je trouve le début complètement dingue, avec les instruments qui arrivent crescendo.
2 - R.A.P Ferreira - Leaving Hell 
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Extrait de l’Excellent nouveau projet de R.A.P Ferreira produit par les jefferson park boys  (Kenny Segal, Mike Parvizi, Mr. Carmack)  Purple Moonlight Pages Je l’ai connu sous le nom de milo dans ce feat avec busdriver et anderson.paak   Je pense que c’est mon album préféré de ce début d’année. Il fait plein de références a des poètes et des philosophes que j’aurais jamais le courage de lire. Cependant c’est pas chiant ça reste super fluide les prods sont super cool et jazzy et y’a même un morceau qui s’appelle golden sardine
3 - Ederaldo Gentil - O Rei 
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Vive la musique brésilienne. J’ai découvert ce morceau sur les réseaux sociaux parce que Nai Palm en a fait l’éloge. En boucle depuis.
https://twitter.com/artykarateparty/status/1240269754104811521
4 - Laylow - HILLZ ( feat S.pri Noir )
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Laylow et S.pri Noir sur le nouvel album de Laylow : Trinity 
Pas vraiment un morceau de playlist, je vous conseille plus d’aller écouter l’album en son intégralité vu qu’il raconte une histoire, mais fallait que je mette au moins un morceau français et c’est l’album qui m’a le plus marqué en Français depuis ce début d’année dans ce que j’ai écouté. 
5 - Shabaka and the Ancestors - Teach me how to be vulnerable
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Terminons sur un peu de douceur, Extrait du dernier album de Shabaka and the Ancestors : We’re sent here by history
J’avais déjà adoré le premier album Wisdom of elders sorti il y a quelques années et j’éprouve que de l’amour pour la nouvelle scène jazz de l’Angleterre. Je trouve que l’album colle parfaitement avec l’ambiance actuelle..
Prenez soin de vous et de vos proches et a la prochaine :) 
Clément.
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