#avec les montagnes blanches de neige
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Quand on a dormi dans son van en montagne, et que le ciel était magnifique.
J'suis tellement reconnaissante pour ce week-end avec lui, peut être que finalement j'ai une bonne étoile quelque part dans ce ciel étoilé.
#je redécouvre la vie#les étoiles étaient si brillantes#avec les montagnes blanches de neige#c'était incroyable
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Très beau roman portée par une écriture subtile, précise et sobre.
C’est un roman d’initiation, celle de Vadim Pavlevitch, qui, en février 1943, devient Vincent Dorselles et est envoyé à Vallorcine, près du Mont-Blanc, pour échapper aux nazis. Il a douze ans, et cet exil forcé va avoir la saveur étrange des expériences radicales : peur, saut dans l’inconnu, incertitude, vacillement de l’identité, mais surtout, et c’est ce que j’ai apprécié, émerveillement.
Le sujet principal du roman je pense, malgré les enjeux historiques et la gravité des incertitudes liées au sort de la famille de Vadim et au sien, finalement, est l’expérience de la montagne.
Jeune citadin, il découvre la beauté de la montagne, imposante, brute, sans compromis. Ses multiples facettes : ses qualités de refuge mais le danger qu’elle représente aussi. Il est ébloui et son émerveillement est rendu sensible par le style précis, presque clinique, de Valentine Goby. Il découvre alors la vie dans les alpages, une vie où le travail physique, même pour les enfants est constant. Il faut tout le temps être actif, il faut s’occuper des bêtes, du fromage, des cultures, de la neige à déblayer, du bois à couper… Moinette, sa petite voisine lui sert de guide et de professeur, Blanche, qui l’a accueilli comme un des siens, joue le rôle de la mère de substitution et aussi de femme à rêver, avec sa douceur et ses mains actives.
Durant les trois saisons qu’il passe à Vallorcine, Vadim deviendra vraiment Vincent, ayant justifié sa présence grâce au motif de l’asthme (qui, comme par magie, le quitte une fois au grand air), un vrai montagnard qui grandit, qui découvre l’amour, l’amitié, la nature, le courage, et développe sans s’en rendre vraiment compte, un vrai goût pour l’art, s’interrogeant sur la façon de représenter la beauté qui l’entoure, avec sa façon bien à lui d’associer des couleurs aux mots, et de transfigurer ce qu’il voit par un prisme personnel.
C’est touchant sans que le pathos ne soit convoqué. Et c’est une ode à la montagne, versant nourricier et protecteur.
#Valentine Goby#littérature#livres#litterature#roman#livre#l’île haute#seconde guerre mondiale#éditions actes sud
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✓ Les Amazighs en Afrique du Nord dépendent des noms qu'ils appellent leurs filles, dont ils proviennent des femmes amazighes en vue de l'histoire amazigh, et qui symbolise la nature des montagnes, des déserts, des vallées ou des fleurs et bien d'autres choses.
Voici une liste des noms amazighi les plus importants pour les femmes avec leur signification en arabe :
✓ Noms de la nature :
Maya : Écho des montagnes.
- Tethrit : le nom d'une étoile dans le ciel.
- Talis : le meilleur type de dattes dans les yards de Twarq.
- Tasili : des pierres lisses et appelez la douceur de la fille
- Tala : fontaine à eau.
- Lentamin : la neige blanche qui tombe sur les sommets des montagnes.
- Tafuket : Le soleil.
- Taziri : Clair de lune, ce qui signifie la pleine lune.
- Tanieri : Le désert.
- Timoma / Timomet : Le miel pur appelle la fille bien-aimée.
✓Noms des roses :
Arènes : Le nom d'une belle fleur appelée Leo Ferré.
- Nomensa : Le nom d'une belle rose appelée Amour doux.
- Tusman : fleur de jasmin. .
Nature : La fleur de l'olivier.
Radna : un type de fleur.
- Tanela : fleur de lilas.
✓Noms des anciens dieux et personnages amazighs :
-Dehia : Le nom de la reine amazigh la plus célèbre et signifie "magnifique".
- Damia : Le deuxième nom de la reine Dehia dans certaines références signifie courage.
- Tinhinan : Le nom d'une reine amazigh qui a dirigé les Twarks et signifie voyager.
- Selena / Selene : Le nom de la femme du roi Amazigh Yuba II signifie raisin blanc.
Sophia : la femme du roi amazigh Fermos.
- Nomdia : Le nom de la mère du roi Amazigh Yougrata, aussi appelé Royaume Amazighian.
- Tanit : déesse de l'amour et de la fertilité à Amazigh.
- Masilia : le nom du Royaume Amazighian.
Arènes : le nom d'une reine amazighian et c'est aussi un type de fleur.
- Dassin : un célèbre poète amazigh.
✓ Autres noms :
- Tonarose : signifie Espoir
- Litmas : une vierge est souvent appelée comme une bonne action pour avoir des frères mâles.
Masselia : Élégance et grâce.
- Tefawin : Les premières lumières du lever de soleil sur la montagne.
- Exercice : Travail digne.
- Tausent : le nom d'Amazighi est très vieux.
- Tannerte : Tellement beau.
- Ighuzan : la belle.
- Matia : Dame des femmes.
- Mira : Le leader.
- Mêlé : liberté.
Louisa : un morceau d’or
#femmeamazigh #prenomamazigh
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Parc national d’Ugam-Chatkal (UZ) – 26.12.23
Je regarde défiler les plaines de boue et de neige par la vitre du taxi. Plus loin, il y a le chrome éblouissant de grosses usines avec leurs hautes cheminées et leurs volutes blanches dans le ciel blanc. Encore plus loin se dessinent les montagnes que je prends pour les contreforts de l’Himalaya - c’est en vérité le début de la chaîne du Tian Shan qui finit en Chine.
On me dépose devant les grilles d’une imposante structure bien neuve et propre, avec des plates-bandes à peine germées. C’est le poste de la police des touristes. Je veux m’assurer d’une chose avant mon escapade dans le parc national d’Ugam-Chatka : y a-t-il des ours ? Je ne sais pas pourquoi c’est le seul doute que m’inspire mon organisation bancale. L’agent qui vient à ma rencontre avec une énergique poignée de main et un large sourire ne comprend pas bien non plus. Il a, quant à lui, beaucoup d’autres préoccupations à mon égard. Un touriste qui s’est mis en tête d’aller crapahuter seul dans les montagnes en plein hiver, ce n’est pas de son goût. Il me confirme cependant que je n’ai rien à craindre du côté des grizzlys. Malgré ses injonctions et sa proposition d’aller plutôt faire du ski dans une des stations à proximité, je m’obstine, comme à mon habitude.
Je monte à droite d’un barrage hydraulique en suivant une route en lacet jusqu’à une crête d'où l'on peut admirer un panorama à couper le souffle : un lac aux eaux turquoise enserré de falaises. Le soleil tombe rapidement derrière moi. Arrivé en haut, je ne trouve nulle vue grandiose de paysages éblouissants, mais un haut mur de ciment coiffé de barbelés. Dépité, je continue le chemin sur le bas-côté jonché de déchets, en longeant cette horreur.
Après une bonne heure de marche, une trouée se présente. Je peux enfin admirer l'eau bleue les falaises et le reste, baignés dans la lumière rasante du coucher de soleil. J’avise à l’extrémité du lac des plages de sable qui pourraient être parfaites pour bivouaquer. Je les atteins quand la nuit est tombée. Malheureusement, ici aussi des barrières et des barbelés m’en interdisent l’accès. Cette partie du pourtour est accaparée par une rangée de spas luxueux qui dressent leurs frontières avec des clôtures et des gardiens et des chiens, pour s’assurer que les plages restent bien désertes, même si les établissements sont fermés pour la saison. J’entre plus loin dans un village. On m’observe passer sans rien dire. Là encore, l’accès au lac est privatisé. Des panneaux avec les prix à l’heure et à la journée décorent les grilles. Je ne me sens pas en forme. J’ai le cafard en repensant aux paroles de l’agent qui m’avait prévenu que le lac était fermé. Comment peut-on fermer un lac, avais-je pensé alors ? Les regards que je sens sur moi depuis les fenêtres en bernes me poussent à m’enfoncer plus loin vers les hauteurs, dans les champs labourés, pour y planter ma tente.
Je dors mal cette nuit-là. Je suis en train de couler dans une masse d’eau sombre. Je vois au travers de la surface des gens passer. Des amis, ma famille ; je les vois aller et venir sans me remarquer, sans réaliser que je m’enfonce toujours plus profondément dans l’eau noire et glacée.
Je me réveille avec dans la tête une voix trop lointaine pour que je discerne ce qu’elle dit. Puis j’émerge complètement et me rends compte que cette voix ne fait pas partie de mon rêve et qu’elle n’est pas distante, qu’elle est même très proche, à moins d’un mètre de mon abri. Pris de panique, je m’habille en hâte et passe la tête dehors. À ce moment, je comprends d’où me venait cette sensation de froid dans mon rêve. Les températures ont drastiquement chuté pendant la nuit. Il a neigé. Le champ est recouvert d’un épais manteau blanc, et une carapace de glace enserre la toile de ma tente. Juste derrière le fil électrique se trouve un homme. Il ne parle plus, il se contente de lever les sourcils en me dévisageant. J'esquisse un bonjour de la main, plus universel que les mots. Il se remet à parler sans que je puisse comprendre quoi que ce soit. Je m’excuse en anglais et en russe. Il se tait à nouveau, fait un geste du bras qui peut tout aussi bien dire « viens, suis-moi », que « va au diable », et repart.
Je m’empresse de lever le camp. J’ai du mal à rempaqueter tellement mes doigts sont engourdis. Plus loin sur le chemin je tombe sur un conteneur aménagé en cabane avec des fenêtres et une porte taillées dans la tôle. Je tente ma chance et toque. Pas de réponse. Du ciel gris commencent à tomber de gros flocons. Je reste encore un peu sans trop savoir quoi faire. L’eau s’infiltre dans mes vêtements, troués depuis l’épisode du feu de bois dans la réserve de Ponichala en Géorgie. Mes chaussures ne sont pas mieux, fatiguées de ces trois mois de périple, les coutures s’effilochent. Le blizzard s’intensifie, je ne vois plus les montagnes autour, ni les champs enneigés. Il n’y a plus que moi, le froid et cette maisonnette… vide.
Le retour se fait à tâtons dans un néant blanc hypnotique et silencieux. Je ne reverrais pas le lac, ni même les grilles des spas et leurs gardes, cachés par le rideau cotonneux qui tombe, toujours plus dense. Vers midi, l’agent de la police des touristes m’appelle (on avait convenu qu’il prendrait de mes nouvelles tous les jours de mon trek pour s’assurer que je vais bien). Il est soulagé d’apprendre que je serais de retour aussi vite, et me dit en rigolant qu’il a reçu quelques appels au sujet d’un grand type avec un gros sac à dos qui errait dans la région.
De retour au pied du barrage, je prends un téléphérique pour visiter les hauteurs. Un truc à faire absolument d’après l’agent. Le temps s’est dégagé. En haut, je trouve une petite esplanade déserte avec des jeux pour enfant et des stands fermés. Je trouve l’endroit lugubre et n’y reste pas longtemps. Dans la cabine me ramenant en bas, je contemple la courbe bétonnée du barrage, le quadrillage de la ville, la rangée de dents blanches des montagnes. Je me sens vide. La solitude et les désillusions s'installent, à l'aise, dans mon spleen. Pour la première fois depuis que je suis parti avec Francine dans les rues désertes de Nantes, le silence me dérange. Je vois le sol venir à moi, lentement, et je sens sur mes joues rouler mes larmes.
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Psaumes 68
Chant de triomphe et de gloire
1 Au chef des chantres. De David. Psaume. Cantique. 2 Dieu se lève, ses ennemis se dispersent, Et ses adversaires fuient devant sa face. 3 Comme la fumée se dissipe, tu les dissipes ; Comme la cire se fond au feu, Les méchants disparaissent devant Dieu. 4 Mais les justes se réjouissent, ils triomphent devant Dieu, Ils ont des transports d’allégresse. 5 Chantez à Dieu, célébrez son nom ! Frayez le chemin à celui qui s’avance à travers les plaines ! L’Éternel est son nom : réjouissez-vous devant lui ! 6 Le père des orphelins, le défenseur des veuves, C’est Dieu dans sa demeure sainte. 7 Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés, Il délivre les captifs et les rend heureux ; Les rebelles seuls habitent des lieux arides. 8 Ô Dieu ! quand tu sortis à la tête de ton peuple, Quand tu marchais dans le désert, – Pause. 9 La terre trembla, les cieux se fondirent devant Dieu, Le Sinaï s’ébranla devant Dieu, le Dieu d’Israël. 10 Tu fis tomber une pluie bienfaisante, ô Dieu ! Tu fortifias ton héritage épuisé. 11 Ton peuple établit sa demeure dans le pays Que par ta bonté, ô Dieu ! tu avais préparé pour les malheureux. 12 Le Seigneur dit une parole, Et les messagères de bonnes nouvelles sont une grande armée : 13 Les rois des armées fuient, fuient, Et celle qui reste à la maison partage le butin. 14 Tandis que vous reposez au milieu des étables, Les ailes de la colombe sont couvertes d’argent, Et son plumage est d’un jaune d’or. 15 Lorsque le Tout-Puissant dispersa les rois dans le pays, La terre devint blanche comme la neige du Tsalmon. 16 Montagnes de Dieu, montagnes de Basan, Montagnes aux cimes nombreuses, montagnes de Basan, 17 Pourquoi, montagnes aux cimes nombreuses, avez-vous de l’envie Contre la montagne que Dieu a voulue pour résidence ? L’Éternel cependant en fera sa demeure à perpétuité. 18 Les chars de l’Éternel se comptent par vingt mille, Par milliers et par milliers ; Le Seigneur est au milieu d’eux, le Sinaï est dans le sanctuaire. 19 Tu es monté sur la hauteur, tu as emmené des captifs, Tu as reçu des dons pour l’homme ; Les rebelles habiteront aussi près de l’Éternel Dieu. 20 Béni soit le Seigneur chaque jour ! Quand on nous accable, Dieu nous délivre. – Pause. 21 Dieu est pour nous le Dieu des délivrances, Et l’Éternel, le Seigneur, peut nous garantir de la mort. 22 Oui, Dieu brisera la tête de ses ennemis, Le sommet de la tête de ceux qui vivent dans le péché. 23 Le Seigneur dit : Je les ramènerai de Basan, Je les ramènerai du fond de la mer, 24 Afin que tu plonges ton pied dans le sang, Et que la langue de tes chiens ait sa part des ennemis. 25 Ils voient ta marche, ô Dieu ! La marche de mon Dieu, de mon roi, dans le sanctuaire. 26 En tête vont les chanteurs, puis ceux qui jouent des instruments, Au milieu de jeunes filles battant du tambourin. 27 Bénissez Dieu dans les assemblées, Bénissez le Seigneur, descendants d’Israël ! 28 Là sont Benjamin, le plus jeune, qui domine sur eux, Les chefs de Juda et leur troupe, Les chefs de Zabulon, les chefs de Nephthali. 29 Ton Dieu ordonne que tu sois puissant ; Affermis, ô Dieu, ce que tu as fait pour nous ! 30 De ton temple tu règnes sur Jérusalem ; Les rois t’apporteront des présents. 31 Epouvante l’animal des roseaux, La troupe des taureaux avec les veaux des peuples, Qui se prosternent avec des pièces d’argent ! Disperse les peuples qui prennent plaisir à combattre ! 32 Des grands viennent de l’Égypte ; L’Éthiopie accourt, les mains tendues vers Dieu. 33 Royaumes de la terre, chantez à Dieu, Célébrez le Seigneur ! – Pause. 34 Chantez celui qui s’avance dans les cieux, les cieux antiques ! Voici, il fait entendre sa voix, sa voix puissante. 35 Rendez gloire à Dieu ! Sa majesté est sur Israël, et sa force dans les cieux. 36 De ton sanctuaire, ô Dieu ! tu es redoutable. Le Dieu d’Israël donne à son peuple la force et la puissance. Béni soit Dieu !
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12–02–24 Dans une ville du Moyen-Orient, je marche dans une petite ruelle commerçante. Je suis avec mes frères. Je porte des babouches pailletées qui ne me tiennent pas bien aux pieds et freinent ma progression. Un jeune homme du pays nous accompagne. Il fume en cachette en remettant après chaque bouffée sa cigarette dans un étui qu’il glisse au fond de sa poche. Tandis qu’un filet de fumée s’échappe de sa poche, je le fixe du regard pour lui montrer que je ne suis pas dupe de son petit manège. L’aîné de mes frères nous offre à chacun des boucles d’oreilles, de minuscules triangles argentés que mon autre frère a déjà placés sur ses lobes. J’essaye de faire rentrer le picot dans mes oreilles percées dont les conduits se sont rebouchés avec le temps. Nous entrons dans une boulangerie dont l’étal est rempli de gigantesques pains de mie. Découpée en tranches épaisses, la mie très blanche et si aérée qu’on dirait des flocons de neige, est très appétissante. Rien à voir avec les pains américains sous-vide. Nous traversons ainsi la ville pour nous retrouver en pleine campagne. Mes babouches me ralentissent considérablement et je suis vite distancée. Je m’assois sur un muret pour détailler le contenu de mon sac à dos qui pèse sur mes épaules : deux parapluies inutiles, un pull-over et une paire de sandales que j’échange contre mes babouches. Le jeune homme est à mes côtés. Il a arrêté de fumer. J’aimerais rattraper mes frères. Tandis que les autres ont grimpé tout droit dans la montagne, le cadet moins sportif a pris un chemin de traverse. Je lui fais signe et cours pour le rejoindre.
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L'ours et les montagnes
L'ours dans sa grotte et ces montagnes
Un Ours au milieu des montagnes qui dort dans sa grotte au chaud avec la neige qui tombe. Une jolie réalisation que je vous propose avec ce pdf à télécharger plus bas. Matériel qu'il vous faut : - Le pdf à imprimer sur une feuille d'au moins 120 gr - Une feuille avec le fond de couleur que vous voulez blanc ou jaune pale est très bien. - Peinture : vert foncé, vert claire, marron claire et marron plus foncé et pour finaliser peinture blanche pour la neige - 1 Pinceau - Feuille a découper sur du papier orange, jaune ou marron claire au choix pour fabriquer les petites feuilles du bas. - 1 tube de colle - 1 paire de ciseaux - 1 assiette en carton Vous appréciez mes partages ?? cliquer sur la pub, c'est une belle façon de me dire MERCI Pour télécharger le fichier pdf cliquez sur l'image ci-dessous.
Réalisation : - Peindre le pdf les montagnes et l'ours - Peindre les bords de l'assiette en marron - découper le tout - coller les montagnes, la grotte, et l'ours sur la feuille de couleur jaune ou blanche - avec le doigts et la peinture blanche faire la neige sur les montagnes et sur la grotte - Coller les feuilles au sol jaune et orange. N'hésitez pas à venir nous rejoindre sur le groupe de bricolage et activités pour les tout-petits pour nous montrer vos réalisations d'activités et pour ceux qui aurez envie d'apprendre le ukulélé et des comptines vous pouvez nous rejoindre sur le groupe de comptine ukulélé qui s'appelle ukupitchoune et que vous trouverez ici : le groupe ukupitchoune à très vite Veronalice Read the full article
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El Misti
C'est le moment, ça y est, on y est !
Le weekend du 17 juin 2023, avec mes amis, nous allons grimper le Misti!
Du haut de ses 5822 mètres,il nous fascine et en même temps nous mortifie. Ce géant peut détruire toute la vie humaine qui le voisine en quelques heures.
Je ne saurais vous décrire mon excitation à l'idée de le grimper. J'attends ce jour depuis mon arrivée à Arequipa. Il était hors de question que je parte de cette ville sans le connaître de plus près.
Vendredi 16 juin... je sors tout mon équipement d'aventurière et c'est parti pour L'ASCENSION DE MON ANNÉE.
Le départ est prévu le samedi 17 à 8h45 au CCM ( le centre culturel de la montagne).
Je vous rappelle que nous sommes au Pérou, nous partirons donc deux heures plus tard de la ville en passant par des auberges de jeunesse pour récupérer un brésilien et deux polonais. Oui, la ponctualité n'est pas leur point fort.
Nous étions donc 6 à tenter l'aventure, plus notre cher guide.
Nous arrivons donc à 13h en bas du Misti.
On ajuste les derniers équipements et en route pour deux jours de marche.
3800m, nous marchons 4 heures pour arriver jusqu'au campement. Il est 17h20. Le soleil est sur le point de se coucher. TOUT est incroyable à ce moment-là...
La douceur de la lumière, les couleurs dessinées par les rayons du soleil, le froid qui s'installe doucement. Le temps se suspend quelques minutes et revient à nous lorsque le soleil a décidé de nous dire au-revoir définitivement.
Nous profitons tout de même de ses derniers rayons pour manger une bonne chifa, une spécialité péruvienne/chinoise. Absolument délicieuse, avec son riz, son poulet et ses légumes.
Puis nous contemplons de loin Arequipa et ses lumières. Nous regardons la ville blanche avec le même regard que le Misti.
18h30, extension des feux. Par chance, j'ai un sommeil facile et j'arrive à me réchauffer assez rapidement pour pouvoir m'endormir. Ça n'est pas le cas de tout le monde. Beaucoup sont victimes du froid et dorment très peu.
Depuis une semaine je souffre d'une toux et d'une gorge assez fragile. Alors cette nuit-là j'ai embêté quelques coéquipiers... pardon d'être cette personne qui dort à point fermé mais qui fait plus de bruit que quand elle est réveillée.😬
2h20 du matin, le guide nous réveille. Un thé bien chaud. On enfile toutes les couches de vêtements possibles et imaginables, on allume la lampe torche et on se lance sur la paroi du Misti.
Le soleil commence à se montrer à 5h30 du matin, malheureusement il sort de l'autre côté de la montagne. Et c'est à ce moment que tout se complique, la douceur de la nuit a laissé place à un vent glacial.
Le guide nous confie plus tard, que la dernière fois qu'il a grimpé le Misti avec cette température c'était en 2002.
Les doigts, les pieds, le visage, tous les membres de notre corps ne supportent pas ce froid.
Ma gorge, déjà très fragile, souffre énormément, je crois ne pas pouvoir finir. Mes collègues sont dans la même situation que moi. Après quelques instants de réflexion, nous n'avions pas d'autres choix que de continuer. Descendre ou monter, le vent aurait été présent dans les deux cas.
Alors, nous continuons pendant trois heures de plus dans la souffrance, à lutter contre le froid. Le seul réconfort que nous trouvons à cet instant est cette ombre du Misti dessinée sur la ville d'Arequipa.
Lors de la dernière heure d'ascension, nous enfilons les crampons car nous sommes enfin arrivés au niveau de la neige du Misti.
Nous avons tellement froid, que notre seul objectif est d'arriver jusqu'au premier rayon de soleil. Et celui-ci se trouve justement à la ligne d'arrivée....
Nous travaillons sans relâche notre mental et sans réfléchir posons un pied devant l'autre.
Nous y voilà, nous avons atteint le soleil et donc l'ancien cratère !
Nous n'en profitons pas toute de suite, car nous étions préoccupés à récupérer la sensation de nos membres. Cela m'a pris 1 heure avant de ressentir de nouveau mes pieds. Pendant ce temps, l'autre moitié du groupe est allée marcher jusqu'à la Croix, le sommet le plus haut du Misti. C'était 1h30 aller retour de marche en plus.
Voilà la frustration de mon ascension, je ne suis pas allée jusqu'au point le plus haut. Mais j'ai préféré retrouver mes orteils que de continuer à les faire souffrir et ne plus les sentir.
L'attente était longue car le soleil n'était pas assez fort pour nous réchauffer.
Puis nous repartons, crampons aux pieds pour descendre l'impressionnante pente enneigée du Misti. La descente jusqu'au campement dure 1h45, dans la neige et dans la poussière.
Arrivés à notre camp de base, nous plions les tentes, rangeons nos affaires, avalons une soupe aux pâtes et direction la voiture. Nous finissons par 1h30 de descente.
Fières de nous, nous repartons vers Arequipa et laissons derrière nous ce géant avec plein de merveilleux souvenirs gravés dans notre mémoire.
Merci Misti.
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Hadar Ozeri - Psalm 121 in hebrew
♥ ♥ ♥
Je lève mes yeux vers les montagnes : D'où me viendra le secours. Le secours me vient de l'Eternel, Qui a fait le ciel et la terre. Qu'il ne permette pas à ton pied de trébucher, Qu'il ne somnole pas, Celui qui te garde ! Non, il ne somnole pas, Il ne dort pas, Celui qui garde Israël. L'Eternel est celui qui te garde. L'Eternel est ton ombre protectrice, Il se tient à ta droite. Pendant le jour le soleil ne te fera pas de mal, Ni la lune pendant la nuit. L'Eternel te gardera de tout mal, Il gardera ta vie. L'Eternel gardera ton départ et ton arrivée, Dès maintenant et pour toujours. (Psaume 121 - Secours et protection de Dieu).
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Hadar Ozeri - Psalm 147 in Hebrew
♥ ♥ ♥
Louez l'Eternel ! Car il est beau de célébrer notre Dieu, Car il est doux, il est bienséant de le louer. L'Eternel rebâtit Jérusalem, Il rassemble les exilés d'Israël ; Il guérit ceux qui ont le coeur brisé, Et il panse leurs blessures. Il compte le nombre des étoiles, Il leur donne à toutes des noms. Notre Seigneur est grand, puissant par sa force, Son intelligence n'a point de limite. L'Eternel soutient les malheureux, Il abaisse les méchants jusqu'à terre. Chantez à l'Eternel avec actions de grâces, Célébrez notre Dieu avec la harpe ! Il couvre les cieux de nuages, Il prépare la pluie pour la terre ; Il fait germer l'herbe sur les montagnes. Il donne la nourriture au bétail, Aux petits du corbeau quand ils crient, Ce n'est pas dans la vigueur du cheval qu'il se complaît, Ce n'est pas dans les jambes de l'homme qu'il met son plaisir ; L'Eternel aime ceux qui le craignent, Ceux qui espèrent en sa bonté. Jérusalem, célèbre l'Eternel ! Sion, loue ton Dieu ! Car il affermit les barres de tes portes, Il bénit tes fils au milieu de toi ; Il rend la paix à ton territoire, Il te rassasie du meilleur froment. Il envoie ses ordres sur la terre : Sa parole court avec vitesse Il donne la neige comme de la laine, Il répand la gelée blanche comme de la cendre ; Il lance sa glace par morceaux ; Qui peut résister devant son froid ? Il envoie sa parole, et il les fond ; Il fait souffler son vent, et les eaux coulent. Il révèle sa parole à Jacob, Ses lois et ses ordonnances à Israël ; Il n'a pas agi de même pour toutes les nations, Et elles ne connaissent point ses ordonnances. Louez l'Eternel ! (Psaume 147 - La puissance de Dieu en faveur d'Israël)
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La journée commence un peu dans la douleur: il fait trois dans la voiture, j'ai rarement eu autant de mal à sortir de sous la couette... La brume s'élève de la mer, c'est magnifique! Et petit bonus... J'ai grand ciel bleu!!
J'ai pas mal de route qui m'attend aujourd'hui, donc je ne traine pas trop. Premier arrêt au bout d'une heure et demie, pour faire le kakahu track!
A part les quelques moments en extérieur, je passe beaucoup de temps soit dans une forêt très standard, soit entourée de ronciers fort peu sympathiques avec de la boue jusqu'aux chevilles, je ne suis pas très convaincue... Au moins, ça a coupé le trajet, et ça change des montagnes d'hier !
Je reprends le volant, direction le lac Tekapo. Sur la route, un premier coup au coeur: je vois les montagnes! Des vraies de vraies, avec de la neige sur les sommets et tout 🥰
Et puis soudain, au détour d'un virage... Le lac.
Et là, le vrai coup de coeur, celui avec les yeux qui s'écarquillent, la bouche qui s'ouvre sur un "ouaaaaah" qui sort tout seul, l'inspiration géante... Il est juste incroyable.
Honnêtement, les photos ne rendent pas hommage à la majestuosité des lieux... Bon, du coup, j'annule les plans que j'avais pour la fin de la journée, et je pars à l'Office du tourisme voir s'ils ont des petites randos sympas dans le coin.
C'est parti pour deux petites heures, d'abord à suivre la rivière créée par le barrage, puis une pinède remplie de petits lapins qui me montrent leur queue blanche en s'enfuyant (ça change des moutons), avec un aperçu des montagnes...
... Puis un passage dans les steppes mongoles, montagnes dans toute leur splendeur derrière... Honnêtement, meilleure idée de la journée cette excursion! !
J'ai ensuite un petit camping pour la nuit (vraiment petit, des tables de pique nique et des toilettes, c'est tout... Pas de douche pour Touille ce soir!), posé au bord d'un autre lac, avec cygnes noirs qui se promènent, et montagnes en fond. Que du bonheur!
Oh, et je vous ai dit que la zone est classée "dark night" (ou équivalent) ? Ce qui signifie que ce soir, c'est étoiles et voie lactée avec pollution lumineuse minimale ... Presque de quoi faire oublier qu'il fait dans les 0° !
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Dans un blizzard glacial, le petit groupe progressait lentement, baissant la tête pour essayer de se protéger du mieux qu’ils pouvaient. La chaleur et le soleil semblaient n’être plus que de lointains souvenirs, alors qu’ils avaient quitté le climat idyllique de la mer Rouge, pour remonter au nord, toujours plus au nord.
Venec était celui qui souffrait le plus : en tant que prisonnier d’Alzagar, il avait été chargé de pousser la cage dans laquelle Arthur avait été jeté, quand le chasseur de primes l’avait capturé. Alzagar leur avait bien acheté, à tous, des manteaux, des mitaines, de quoi les protéger du froid, mais c’était insuffisant. Les mains de Venec étaient sanguinolentes, la peau craquelée par le froid le laissant à vif, et chaque coup de vent sur ses plaies le faisait grimacer de douleur. A ses côtés, un peu en retrait, Dikhil dévoilait son torse presque nu, et le brigand breton ne comprenait vraiment pas comment il faisait pour survivre à ce froid.
« Avance » Dikhil grommela, le poussant sans ménagements. Venec trébucha dans la neige, manquant renverser la cage de son roi, et il se retourna vers Dikhil, comme pour riposter, pour une fois. Immédiatement, l’acolyte d’Alzagar dégaina sa petite épée, mais un soupir les fît se retourner vers son chef.
« Bon, ils ont bientôt fini de se chamailler, les gamins ? »
Venec lui lança un regard noir, attrapa la cage et reprît sa route, le suivant. Il était facilement reconnaissable dans les nuages de poussière blanche, avec ses cheveux noirs, son manteau sombre. Presque machinalement, le brigand le suivait, comme il l’avait toujours fait : ils se connaissaient depuis leur jeunesse, passée en grande partie à Rome, à échapper à la milice et à traîner dans des magouilles plus illégales les unes que les autres. Alzagar avait toujours eu une âme de leader : il était intelligent, savait se salir les mains, et embobiner n’importe qui. Venec, lui, était bien incapable de tuer qui que ce soit. Ensemble, ils avaient vécu des bons moments. De très bons moments.
A bout de souffle, Venec s’arrêta quand Alzagar leva la main : même là, il n’avait pas oublié leurs anciens codes. Il en profita pour jeter un œil à Arthur, mais le roi dormait dans la cage, bercé par ses mouvements. Dikhil rejoignit Alzagar, et Venec leva les yeux pour voir l’immense montagne qui se dressait devant eux. Une boule se forma dans son estomac, il essaya de réchauffer ses mains, sans succès. Pendant quelques secondes, les deux partenaires discutèrent, calmement. Alzagar était toujours calme, d’habitude : son attitude survoltée sur le bateau où il avait trouvé Venec l’avait quelque peu surpris. Naïvement, il avait même pensé que c’était peut-être la joie de le revoir, puis il avait vite compris que c’était surtout la joie de toucher la prime que Lancelot avait mis sur sa tête. Avec Arthur, il ferait d’une pierre deux coups : mille, peut-être même mille cinq cent solidi, s’il arrivait à bien négocier – un autre de ses points forts. Venec s’appuya sur la cage pour se reposer, mais Dikhil eut tôt fait de le rejoindre.
« Allez, avance »
« Avance où ? On est bloqués » Venec grogna.
« Tais-toi et fais ce que je te dis »
Le brigand soupira, et souleva la cage à nouveau, la faisant rouler dans la neige : seule, elle était déjà lourde, il avait pu le constater alors qu’ils suivaient à bonne distance Quarto et ses deux jeunes, jusqu’à la tannerie de Damian où Arthur était esclave. Mais avec le roi dedans, et ses seuls bras pour le porter, il ne savait pas s’il survivrait au voyage : l’épuisement le gagnait, surtout qu’ils ne mangeaient pas grand-chose. Au début, ses bras n’étaient douloureux que le soir, mais, à présent, ils lui faisaient mal sans arrêt, l’empêchant même de dormir la nuit. Et comme il ne pouvait pas se reposer correctement, la fatigue s’accumulait.
« Allez Venec, remue-toi un peu » la voix d’Alzagar lui parvînt. Il baissa la tête, serra les dents, et avança, sans même savoir où il trouva la force de continuer.
Ils quittèrent le talweg, progressant difficilement : Alzagar le houspillait, Dikhil n’était pas en reste, et Venec se retenait pour ne pas les étouffer dans la neige, l’un après l’autre. Dans sa tête les insultes à leur encontre fusaient, mais jamais il n’osait les prononcer à voix haute. Le dénivelé augmentait à mesure que la journée avançait, que le soleil déclinait : le vent était de plus en plus fort, mordant la chair à nue du brigand, le faisant pleurer de douleur – pleurs qui gelaient immédiatement sur ses joues rougies et gercées, elles aussi, par le froid. Bien que portant de solides bottes, ses pieds glissaient, la cage tressaillait à chaque hésitation de sa part, chaque trébuchement. Il savait que si elle se renversait, il devrait la relever, seul. Alors il s’accrocha aux manches en bois, de toute ses forces, et poussa, gagnant quelques précieux centimètres, qui se transformèrent en mètres et ils finirent par atteindre le sommet du col. Alzagar ordonna qu’ils s’arrêtent pour la nuit, et Dikhil alluma un feu immédiatement pour préparer à manger.
Le souffle court, la poitrine douloureuse, Venec prît quelques minutes pour admirer le paysage autour d’eux : tout était d’un blanc immaculé, ils étaient complètement seuls. Malgré les nuages, il pouvait voir, en contrebas, la vallée, le talweg qu’ils devraient rejoindre. Après, ce serait la frontière, l’entrée dans le royaume de Logres, le début de la fin, pour lui et Arthur.
« Venec » Dikhil interrompît sa rêverie, lui tendant une écuelle pour le roi. C’était aussi sa tâche : lui donner à manger. A travers les barreaux, il posa l’écuelle sur le plancher de la cage. Arthur ouvrît les yeux, lui lança un regard meurtrier.
« Il fait pas chaud, hein, Sire ? » il essaya de l’amadouer, mais l’ancien souverain attrapa son écuelle et la projeta à travers les barreaux, sur le visage de Venec. Le brigand glapît de douleur : la soupe venait d’être servie, elle était presque bouillante. Il s’écarta rapidement de la cage, alors qu’Alzagar et Dikhil se tournait vers eux, se demandant ce qui se passait. Vexé, Venec marmonna qu’il devait aller pisser, et s’éloigna. Alzagar s’approcha de la cage :
« Pas de deuxième service » il murmura à l’encontre d’Arthur, qui se recroquevilla en l’ignorant.
Venec se soulageait quand il le rejoignit, l’imitant : le brigand lui lança un bref coup d’œil, et pas qu’à son visage. Honteux, il se détourna, immédiatement.
« Sympa, ton roi » Alzagar commenta. « Qu’est-ce que t’as bien pu lui dire pour qu’il te repeigne le visage avec sa bouffe ? »
« J’ai dit qu’il faisait froid, c’est tout… »
« Et beh… On m’avait parlé du sens de l’amabilité – inexistant je précise – chez les Bretons, je vois que vous êtes à la hauteur de votre réputation. »
« T’as pas toujours dit ça à mon égard » fît remarquer Venec, incapable de se retenir, et déclenchant un sourire narquois sur le visage d’Alzagar.
« Exact » il acquiesça, remontant son pantalon. « Allez, viens manger. »
Venec rejoignît leur petit campement quelques instants plus tard : Arthur s’était rendormi, Dikhil était couché. Alzagar semblait l’attendre, assis sur une souche morte, devant le feu qui chauffait ce qu’il restait de soupe. Sans un mot, il lui tendit un bol, Venec le remercia, s’asseyant à ses côtés. Ils mangèrent en silence, le brigand n’osant pas interroger son geôlier sur ses intentions. Il espérait toujours qu’il change d’avis, qu’il emmène Arthur jusque chez le duc d’Aquitaine, et le libère : pour avoir été en affaires avec lui, Venec connaissait la loyauté de l’homme à l’encontre d’Arthur. Mais Alzagar ne laisserait jamais s’envoler une telle prime, il en était persuadé.
Alors qu’il finissait de manger, Alzagar nettoya le chaudron en fonte, en y faisant fondre de la neige et en jetant les restes. Mais, cette fois, il recommença, sous les sourcils froncés de Venec.
« Qu’est-ce que tu fais ? »
« T’occupes » il rétorqua, plongeant un bout de tissu dans le chaudron fumant. Il se tourna vers lui, s’approcha. Le brigand eut un mouvement de recul, reposa sa question, eut la même réponse. Un frisson des plus agréables parcourût son échine quand le tissu chaud, humide, se posa sur son visage, que les mains d’Alzagar le nettoyèrent, ses yeux le détaillant, ne voulant pas laisser une seule goutte, même dans sa barbe fournie. Ce fût le plus long à nettoyer, mais ça ne le dérangeait pas : il aimait ce contact, si intime, ses doigts qui frôlaient sa peau, prétextant que c’était par accident, quand c’était totalement intentionnel. La seule chose qu’il aurait pu lui reprocher, c’était cette barbe, ces poils grisonnants qui l’empêchait de toucher sa peau douce. Quand il l’avait connu, il était bien rasé. Il pouvait passer des heures à caresser ses joues, à dessiner du bout des doigts la forme de sa mâchoire, le plus souvent quand il dormait dans ses bras. Il appuya un peu plus fort le tissu contre ses lèvres, l’eau ruissela sur les poils de sa barbe : Alzagar utilisa son pouce pour étaler l’eau sur les lèvres gercées. Venec n’osait pas bouger, comme paralysé. Ses yeux bleus fixaient ceux d’Alzagar, parfois ils se fermaient de bien-être : ça faisait bien longtemps que personne n’avait pris soin de lui comme ça, il ne pouvait qu’apprécier sa prévenance, sa douceur, même si son cerveau lui martelait de se méfier de lui.
« T’aurais bien besoin d’un coup de rasoir » Alzagar murmura, ses doigts sursautant au contact de ses pommettes craquelées. Venec esquissa un sourire, grimaçant quand il le toucha à cet endroit.
« Bouge pas, j’ai ce qu’il te faut. »
Il farfouilla dans le sac accroché à la cage, et revînt vers lui. Venec frissonna de froid, jusqu’à ce qu’il revienne à ses côtés. Il ouvrît le couvercle d’un récipient qui contenait une sorte de pâte vert bouteille. Du pouce, il en préleva un peu, et l’appliqua sur les pommettes meurtries par le froid et le vent.
« C’est quoi ? » demanda Venec, méfiant, mais pas assez pour l’en empêcher.
« Argile verte, huile d’olive, eau. Ferme-la et laisse-toi faire. »
Il retînt un rire, et ne bougea plus, jusqu’à ce qu’Alzagar ait fini, en appliquant aussi sur ses mains, et referme le pot. Il se leva pour le remettre à sa place, mais Venec attrapa la manche de son manteau. Alzagar se retourna sur lui, surpris :
« Oui ? »
Il y avait de l’espoir dans sa voix, un espoir fou, Venec l’entendît bien. Il crevait d’envie de le rabaisser à sa hauteur, et de l’embrasser, à en perdre le souffle. Déjà, il sentait presque la douceur de ses lèvres sur les siennes, sa langue chaude et humide dans sa bouche, qui caresserait la sienne comme il savait si bien le faire, comme personne d’autre ne savait le faire. Il déglutît, douloureusement, essayant de chasser la brutale érection qu’il avait à imaginer le corps d’Alzagar sur le sien.
« Merci » il murmura simplement.
Alzagar, qui avait déjà esquissé un sourire triomphant, le sentît mourir sur ses lèvres en un instant.
« Oh… de rien… »
Venec relâcha son étreinte, se recroquevillant et serrant son manteau contre lui, s’allongeant en le regardant ranger son onguent. Il ferma les yeux en le sentant s’allonger à côté de lui, mais sans le toucher : il était mort de froid, malgré le feu qui brûlait à côté de lui. Alzagar voyait son corps trembler sous le manteau de fourrure. Ses dents mordillèrent sa lèvre, hésitant sur ce qu’il devait faire, ou pas.
« Et merde » il grogna aussi silencieusement que possible, et le rejoignît. Venec sursauta, brutalement.
« Qu’est-ce que tu fais ? » il balbutia.
« J’ai froid. Toi aussi. On va se réchauffer. »
Il colla son corps contre le sien, glissa ses mains gelées sur la peau de son ventre, le faisant glapir.
« La ferme » Alzagar pesta, l’enlaçant fermement, remuant son bassin contre lui. Venec ferma les yeux, grognant :
« Arrête… »
« J’essaye de me réchauffer » Alzagar protesta. « En quoi ça te gêne ? »
« Tu le sais très bien… » il serra les dents, se mordant la lèvre pour ne pas gémir alors qu’une de ses mains remontaient sur son torse, s’accrochant à son épaule, son poignet dans le creux de son cou. Alzagar cessa de remuer, et sa respiration, plus calme, plus profonde, fît bientôt comprendre à Venec qu’il s’était endormi contre lui. Il avait envie de se retourner, de le regarder dormir, comme il l’avait fait si souvent à Rome et ailleurs, de noyer ses doigts dans ses boucles brunes, de plonger son visage dans son cou pour respirer son odeur, s’en enivrer, comme pour la garder à jamais ancrée dans sa mémoire. Mais il savait, au fond de lui, qu’il ne fallait pas céder à cette pulsion : ce qu’il y avait eu entre eux était mort depuis longtemps. Sinon, Alzagar ne l’aurait pas fait prisonnier. Il ne l’aurait pas traité comme ça, il n’aurait pas traité Arthur comme un animal, alors qu’il savait l’estime que Venec avait pour lui. C’était fini entre eux, et bientôt, ils seraient séparés à nouveau.
#parce que des fois je suis quand même fière de moi#kaamelott fanfiction#alzagar x venec#alzagar#venec
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lettres à Kristen Stewart #7
Chère Kristen,
Vingt-cinq ans quelqu'un avait posé un macbook devant ma chambre avec la page youtube du clip de Banana Split et un post-it rose qui me disait d'appuyer sur play. Quand j'ai émergé dans la cuisine on m'a fait écouter un message de Jökull le peintre qui faisait la voix de David Bowie par dessus son accent islandais, il me souhaitait un joyeux anniversaire mais comme c'était tôt j'ai rien compris. Ils avaient accroché des petites surprises roses dans toute la maison mais moi j'en ai pas vu la moitié parce que mon amie Edurne me disait que j'étais comme son père, tu vis dans ta tête et tu vois pas ce qu’il y a devant toi. A la tombée de la nuit on est parties se promener le long du fjord. C'était le premier jour de neige, quand je me suis réveillée les montagnes avait des tâches blanches, comme des vaches à l'envers. On a grimpé sur une montagne en marchant dans la neige fraîche jusqu'à la sculpture de l'igloo multi-domes en béton où j'avais chanté mon tout premier poème en faisant des harmonies de voix avec le musicien danois avec un O barré dans son nom. Je lui expliquais l'image que j'avais dans la tête quand je regardais les montagnes bleues de l'autre côté du fjord, si on découpait un carré dans la roche à l'intérieur ce serait tout rose comme un cube tapissé de rubis. Quand la nuit est tombée le ferry est rentré dans le fjord, on voyait que les petites lumières des fenêtres qui se reflétaient sur l'eau dans la pénombre. J'adorais l'entendre arriver toutes les semaines avec son gros klaxon qui résonnait entre les montagnes. J'aimais sa taille gigantesque et sa lenteur précautionneuse qui prend son temps.
Carla, une des trois filles australiennes m'avait fait des gâteaux au chocolat australiens carrés roulés dans de la noix de coco. Ils m'ont chanté un tas de chansons d'anniversaire que je connaissais pas en faisant les clowns autour de moi et je me suis sentie tellement entourée que j'ai éclaté en sanglots avant d'avoir pu souffler les bougies. Je pleurais tout le temps en Islande. Björt disait que les montagnes étaient remplies de cristaux magiques qui entraînaient des petites avalanches chez les gens sensibles. La plupart du temps je pleurais parce que les gens étaient gentils avec moi ou parce que je me sentais nulle ou parce que j'avais peur de danser. Alors je filmais les autres. Un jour j'ai filmé la fille blonde de l'école danoise qui nous rendait visite, elle avait le visage un peu Barbie avec ses cheveux blonds platines et en même temps elle avait une façon de bouger très masculine. Elle dansait devant moi sous les lumières stroboscopiques et je me disais que c'était la plus belle chose que j'avais jamais filmée. Je voulais tout filmer après ça, tout mais surtout moi. Je me suis rendu compte que je pouvais tout faire derrière une caméra, tant que c'est moi qui en avais le contrôle. J'ai écrit dans mon journal: "Je veux me filmer moi, je veux filmer ce que je voudrais être, je veux filmer le loosen up."
Le dernier jour de mes 24 ans j'ai chanté devant tout le monde avec Austin qui m'accompagnait au piano. J'avais un gros crush sur lui. On partageait un certain goût pour la beauté conviée par la musique. A force de se faire pleurer mutuellement on avait décidé de faire un truc ensemble, mi-film mi-performance où je jouerais une fille qui devient célèbre et qui se demande pourquoi les gens l'aiment. Ils étaient tous venus s'agglutiner sur les canapés du hall pour nous écouter. C'était une chanson de Synecdoche, New York mais j'avais écrit mes propres paroles parce que je voulais que ce soit plus moi. Je voulais tout recouvrir de moi. M'épancher partout. Je participais pas aux conversations, je me contentais d'observer, d'écouter, comme un tronc d'arbre, et en même temps je leur faisais des lectures de mon journal dès que j'en avais l'occasion. La première fois que j'ai du leur présenter un truc je me suis assise par terre au milieu du théâtre avec mon ordi sur les genoux et je leur ai parlé de mon année avec toi Kristen. Les heures passées sur le L chat avec des lesbiennes folles à lier pour me distraire de l'ambulance dans la rue qui venait chercher ma grand-mère. When was the last time you had an experience that moved you? Kristen Stewart and her girlfriend holding hands at Coachella. J'avais peur de tout, sauf de m'exposer. A condition de garder le contrôle.
On était à dix jours de l'expo à Reykjavik et j'avais aucune idée de ce que je voulais faire. Julie m'a pressée comme un citron pour faire sortir des idées de ma tête mais au fond de moi je savais exactement ce que je voulais faire, je voulais être la star, comme quand j'ai chanté ma chanson de Patsy Cline drapée de rose dans ma douche boudoir et que le soir j'ai écrit dans mon journal "je veux plus mourir, je veux être une artiste et faire ça pour le restant de ma vie" parce que j'avais fait pleurer une femme et que tout le monde parlait de moi. Mais bon, on était pas à la Nouvelle Star non plus. J'avais envie de faire un truc grandiose plein de grandes émotions pour bouleverser tout le monde, de construire une espèce d'ode à moi-même pour me rattraper de toutes les restrictions que je m'infligeais. Je voulais glorifier ma tristesse. Je voulais briller tout en haut du sapin comme Angélique l'ange de Noël chipie de La Belle et la Bête 2.
A la fin de la journée Edurne et Carmen m'ont guidée à travers la maison pour me montrer tous les trucs que j'avais pas vus. J'ai trouvé un poème de Caitlin collé sur un mur du couloir et j'ai du aller m'enfermer dans ma chambre pour pleurer toutes les larmes de mon corps. Il est accroch�� sur un mur de ma chambre, entre le portrait de Frank que j'appelais mon alter ego poète avant de connaître son nom parce qu'il était aussi mutique que moi et qu'un soir à une fête on était tous les deux assis sur la table de la cuisine avec un verre d'eau à la main pendant que les autres dansaient autour de nous, et le billet d'avion de mon tout premier vol Reykjavik-Seydisfjördur. Je pensais à mon anniversaire à la clinique, j'avais envie de dire à mon thérapeute du mardi: j'y suis, j'y suis!
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Six exercices malins d’autohypnose
Stress, mélancolie, fatigue… l’autohypnose peut nous aider au quotidien. Et si vous testiez ces exercices malins mis au point par un spécialiste ?
L’hypnose ? Un état entre veille et sommeil qu’on expérimente tous spontanément dans notre quotidien, par exemple lorsqu’on laisse son imaginaire vagabonder. Avant de pratiquer les exercices ci-dessous, élaborés avec Jean-Michel Jakobowicz, hypnothérapeute et auteur de « L’Autohypnose pour soigner les angoisses » (éd. Leduc.S), enregistrez-les (ou sollicitez un proche dont la voix vous plaît) sur votre Smartphone, et prenez soin de laisser des silences entre les phrases. Placez-vous ensuite en état d’hypnose. Asseyez-vous confortablement dans un fauteuil. Fixez un point au-dessus de votre ligne d’horizon (objet haut placé, point lumineux…). Vos paupières deviennent lourdes, vous résistez quelques secondes, vous fermez les yeux. Puis vous effectuez la visualisation qui répond à votre problématique.
EXERCICE 1 : SE CALMER APRÈS UNE DISPUTE D'AMOUREUX
La nuit a été orageuse. Des pluies abondantes se sont déversées sur le jardin aux fleurs multicolores. Ce matin, il reste quelques gouttes d’eau qui se sont accrochées aux pétales des fleurs. Dans le ciel, il y a encore quelques nuages. Mais, lorsque le soleil apparaît, ils se dissipent pour laisser place à un ciel bleu. Les rayons se reflètent dans les gouttes de pluie. Puis elles disparaissent, laissant les fleurs exhaler tout leur parfum. Une sérénité envahit votre corps. Tout est si simple. Il suffit pour cela d’apprécier la beauté des fleurs. Vous respirez profondément. Vous êtes paisible. Vous vous sentez parfaitement bien.
EXERCICE 2 : DORMIR COMME UN BÉBÉ
Imaginez-vous allongée sur un canapé, dans un chalet de montagne. Vous avez une sensation de sécurité. À l’extérieur, la neige vous protège de tout ce qui pourrait ternir votre sérénité. Vous êtes bien. Vous regardez danser les flammes du feu de bois dans la cheminée. Elles sont de toutes les couleurs. Vos yeux se ferment peu à peu. Vous vous sentez apaisée dans ce lieu. Comptez maintenant à rebours de 51 à 22. Chaque fois que vous égrenez un chiffre, vous descendez plus profondément vers l’état de sommeil. Vous êtes apaisée.
EXERCICE 3 : ASSURER LORS D'UN RENDEZ-VOUS PRO
Vous êtes assise dans un fauteuil derrière un imposant bureau en bois massif. Vous recevez une personne qui postule un emploi. Vous êtes confortablement installée et sûre de vous. Votre visiteur est tout petit. Il s’approche timidement de vous. Vous vous sentez en position de force et c’est une sensation agréable. Pourtant, vous éprouvez une empathie vis-à-vis de lui. Vous sentez qu’il est inquiet d’être à cette place. Vous lui souriez et lui tendez la main pour serrer la sienne. Vous lui posez des questions faciles auxquelles il répond de manière satisfaisante. Au fil de l’entretien, la taille de votre interlocuteur grandit. À la fin, vous lui serrez la main. Le courant passe bien entre vous. Vous êtes confiante.
EXERCICE 4 : APAISER SON VAGUE À L'ÂME
Imaginez que vous êtes dans un couloir gris sombre avec des portes. Vous ignorez ce qu’il y a derrière. Ouvrez la première porte de gauche. Un flot de lumière vous assaille. Il y a un grand lit. Il fait bon. Vous vous sentez protégée. Par la fenêtre, vous découvrez un jardin exotique avec des fleurs, des oiseaux… Au loin, vous voyez la mer et la plage. Retournez dans le couloir. Il est un peu plus lumineux. Ouvrez la première porte à droite. Imaginez le décor et l’atmosphère agréable de ce lieu. Soyez attentive aux couleurs, aux odeurs, aux sensations… Ouvrez les portes les unes après les autres. Plus vous avancez, plus le couloir est lumineux. Lorsque vous arrivez dans la pièce qui vous convient le mieux, restez-y quelques instants. Vous ressentez une paix intérieure et une sensation de bien-être.
EXERCICE 5 : VAINCRE LA PEUR DE LA CONTAGION
Vous êtes dans un lieu où vous vous sentez en sécurité, qui vous protège de tout et de tous. Un lieu où vous pouvez enfin respirer librement. Peut-être s’agit-il d’une grande coupole transparente ou bien même d’une autre planète très chaleureuse. Peu importe, l’air y est pur, transparent et léger. Vous pouvez respirer à pleins poumons, courir, danser, chanter, profiter du soleil. Détendre votre corps, le laisser flotter dans cette atmosphère saine et accueillante. Sentez comme c’est agréable de pouvoir enfin vous laisser aller en toute confiance, en toute immunité. Profitez de cette liberté pour détendre votre corps et votre esprit.
EXERCICE 6 : RECHARGER SES BATTERIES
Imaginez un petit ruisseau qui coule doucement entre les herbes vertes et les pierres noires et blanches. Les arbres lui font de l’ombre et, par endroits, malgré tout, le soleil se reflète dans ses eaux. Tout est calme. Peu à peu, ce petit ruisseau gagne en volume. De ruisseau, il devient rivière, qui se transforme rapidement en torrent tumultueux. Regardez bien ce torrent dont la puissance, la force et l’énergie se diffusent peu à peu dans tout votre corps. Cette énergie vient de l’univers, du soleil, de l’eau et de la terre. Vous pouvez sentir comment elle s’accumule dans les milliards de cellules de votre corps et comment elle redonne cet élan vital plein de joie et de dynamisme. Vous vous sentez bien, forte et pleine d’allant.
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Dk - Land
Les lands ont des climats et des spécialités différentes. Vous pourrez ainsi consulter, afin de vous aider dans vos publications, les caractéristiques de chacun d’eux.
Romanov ressemblerait à la Russie. Pays froid la plupart du temps, on le reconnaît par ses belles neiges blanches et ses grandes forêts. Le land est ainsi connu pour ses exportations de bois vers les autres lands et ses mines de pierres précieuses, bien vendus sur le marché.
La population suit la devise de la maison Romanov : Famille, sagesse et pouvoir. Il y a une majorité de blonds.
L’emblème du land est le loup blanc. Il représente l’instinct et la soif de liberté qui se fait ressentir par le côté très conseilliste des Romanov.
Wuttemberg serait l’Allemagne d’antan. Coin pluvieux de Dekasileia, le land est relativement connu pour son climat humide, ses magnifiques forêts qui s’étendent sur des kilomètres et ses plaines vertes. A la frontière avec Romanov, on peut voir de belles montagnes au sommet enneigé. Les routes y sont impraticables lors des fortes tempêtes de neiges. Wuttemberg est connu pour le gibier, exporté aux quatre coins du royaume après les chasses. C’est un lieu de chasse très prisé.
La population suit la devise : fier et puissant. Ils sont de fervents royalistes et sont fiers de voir un Wuttemberg sur le trône.
Leur emblème est le cerf, pour son côté majestueux mais également pour sa douceur et sa capacité de contourner les obstacles avec grâce. C’est un animal intuitif, qui sait aussi faire preuve de vigilance.
A Bade, le climat est souvent celui de l’automne. Les feuilles sont rarement vertes et empreintes des teintes orangées à longueur de temps. Le climat y est donc humide mais pas trop froid. Bade est très connu pour ses forges qui fonctionnent à plein régime et l’amélioration des outils du quotidien, à la pointe de la technologie. Pourtant, Bade est peu prisé et un énorme flux migratoire a pu être aperçu ces derniers temps, depuis l’arrivée des Vikings sur leur terre. La peur y règne en maître. Leur animal totem est le renard, rusé, les Bade savent faire preuve de discernement pour les tromperies. Ils sont dotés d’une grande sensibilité physique et émotionnelle et sont ainsi connus pour savoir échapper aux obstacles rapidement. A Bade, la population y est royaliste étant donné le lien de parenté qu’a Aurora de Bade, mère du feu roi Hans le juste.
Devise : Dur comme un roc.
A Saxe, le climat est humide. Montage et terre se rejoignent par delà lesquels survolent les rapaces. Saxe est connu pour leur très bons archers ainsi que leur fabriquant qui construisent leur flèche à base de plume d’aigle. Leur emblème est un aigle aux ailes déployées. Pour eux, l’aigle représente la faculté de concentration et le discernement. Savoir saisir le moment opportun en plein vol. La population est guidée par la devise : le sang appelle le sang. Ils se sont alliés aux royalistes et sont de hargneux vengeurs.
Lannoy est très peu prisé depuis quelques générations. Le land a perdu de sa popularité avec l’ancien Lander, Philippe Lannoy, lorsqu’il a épousé une roturière. Il n’a pas su donné d’héritier et ses frasques avec l’ancien marché noir ont souvent fais parler de lui. La réputation des Lannoy n’est pas souvent la meilleure à entendre. Pourtant, le land, malgré son climat grisonnant et humide, possèdent les plus belles mines d’or du land. Très prisé pour cela, ils sont de grands fabricants de bijoux et d’objets de qualité. Ils ont aussi de très beaux rosiers. L’emblème de la famille Lannoy est la lionne. Changée dernièrement par le lander Henry Lannoy pour ses soeurs. Le lion signifie pour eux la force, l’affirmation de soi et les émotions fortes. Les Lannoy sont connus pour ne pas savoir gérer leurs sentiments et leur impulsivité. La population Lannoy, est guidée par la devise : Rugir jusqu’au dernier soupir. Les Lannoy ont porté allégeance aux royalistes mais le dernier lander a affirmé sa position dans les rangs des conseillistes. Le nouveau Lander Edan Lannoy ne cache néanmoins pas son soutien pour Philae Wuttemberg.
Aragon est connu pour ses fortes chaleurs sèches. Bordée par l’eau, le climat est difficilement viable pour ceux qui n’y sont pas habitués. Les tenues y sont légères et très colorés, notamment dans les tons rouges. Aragon est le spécialiste des vins, exporté dans tout le royaume. Les habitants d’Aragon sont connus pour être de bons guerriers, bien moins fort que York mais certainement plus agiles.
Leur animal Totem est le lynx, connu pour sa rapidité et son excellente vision, c’est un animal très solitaire. La devise est : notre foi est invincible. Ils ont foi en les conseillistes et sont de fervents alliés des Romanov. La population y est très pieuse.
Lancaster est un pays aux couleurs froides et aux climats humides, ce qui n’empêche pas le soleil de pointer son nez. La lavande diffuse son odeur sur tout le land, doué dans la création de parfumerie, ils sont également très connus pour leur calligraphie, l’encre et la fabrication d’ouvrages qui pullulent au sein des temples. Leur animal totem est l’Hermine, signifiant la pureté. La population suit la devise : libre et fort. Ils furent longtemps royalistes mais les choses ont changés avec l’arrivée d’un Romanov à la tête du land.
Condé est notre France. Ses couleurs vertes sous son climat tempéré sont bien particulière. Condé est connu pour ses longs lierres qui prennent souvent possession des murs de pierre. Ils sont connus pour avoir les meilleurs architectes du royaume et les plus belles peintures. Leur animal totem est la paon, connu pour sa majestuosité, il symbolise l’immortalité. Le paon est également connu pour donner l’alerte en cas de menace. Conde reste donc une belle fille qui se veut prête à repousser les menaces. Leur devise : Nous écrivons notre destin.
La belle Borja est le land de la poésie, de la peinture et des arts. Le climat y est plutôt sec et chaud mais il est supportable. Les lands sont bordés de fleurs et l’on peut s’y rendre au son des musiciens qui n’hésitent pas à accompagner votre voyage de leur douce mélodie. D’un point de vue économique, Borja est connu pour leur chevaux, leurs beaux étalons parfaitement dressés. C’est ici que le commerce a lieu. Borja est aussi un grand complexe d’agriculture. Leur animal totem du cheval leur procure une envie de vivre qui dépasse l’entendement. Ici, on aime les plaisirs, on est des passionnés. Leur envie sauvage de liberté nourrit leur fougue à tous les états. Leur devise : La lumière dans les ténèbres corresponds bien à ce land de merveille qui saura vous remonter le moral.
York est connu pour son climat humide. Ses grandes plaines vertes sont néanmoins le lieu d’entraînement des soldats. Le land a longtemps était dirigé par Calixta, deuxième épouse du roi Hans et ancienne épouse de William d’York. Ils sont ainsi bien plus avancés dans les moeurs que n’importe qui en permettant aux femmes de prendre l’épée et la manier. Les soldats de York sont réputés pour leur force.
Leur animal totem est l’ours qui signifie d’avoir une grande confiance en notre force. C’est aussi de très bons leaders.
Leur devise : Pour assurer la paix, prépare la guerre. Ils sont conseillistes.
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Psaumes 68
Chant de triomphe et de gloire
1 Au chef des chantres. De David. Psaume. Cantique. 2 Dieu se lève, ses ennemis se dispersent, Et ses adversaires fuient devant sa face. 3 Comme la fumée se dissipe, tu les dissipes ; Comme la cire se fond au feu, Les méchants disparaissent devant Dieu. 4 Mais les justes se réjouissent, ils triomphent devant Dieu, Ils ont des transports d’allégresse. 5 Chantez à Dieu, célébrez son nom ! Frayez le chemin à celui qui s’avance à travers les plaines ! L’Éternel est son nom : réjouissez-vous devant lui ! 6 Le père des orphelins, le défenseur des veuves, C’est Dieu dans sa demeure sainte. 7 Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés, Il délivre les captifs et les rend heureux ; Les rebelles seuls habitent des lieux arides. 8 Ô Dieu ! quand tu sortis à la tête de ton peuple, Quand tu marchais dans le désert, – Pause. 9 La terre trembla, les cieux se fondirent devant Dieu, Le Sinaï s’ébranla devant Dieu, le Dieu d’Israël. 10 Tu fis tomber une pluie bienfaisante, ô Dieu ! Tu fortifias ton héritage épuisé. 11 Ton peuple établit sa demeure dans le pays Que par ta bonté, ô Dieu ! tu avais préparé pour les malheureux. 12 Le Seigneur dit une parole, Et les messagères de bonnes nouvelles sont une grande armée : 13 Les rois des armées fuient, fuient, Et celle qui reste à la maison partage le butin. 14 Tandis que vous reposez au milieu des étables, Les ailes de la colombe sont couvertes d’argent, Et son plumage est d’un jaune d’or. 15 Lorsque le Tout-Puissant dispersa les rois dans le pays, La terre devint blanche comme la neige du Tsalmon. 16 Montagnes de Dieu, montagnes de Basan, Montagnes aux cimes nombreuses, montagnes de Basan, 17 Pourquoi, montagnes aux cimes nombreuses, avez-vous de l’envie Contre la montagne que Dieu a voulue pour résidence ? L’Éternel cependant en fera sa demeure à perpétuité. 18 Les chars de l’Éternel se comptent par vingt mille, Par milliers et par milliers ; Le Seigneur est au milieu d’eux, le Sinaï est dans le sanctuaire. 19 Tu es monté sur la hauteur, tu as emmené des captifs, Tu as reçu des dons pour l’homme ; Les rebelles habiteront aussi près de l’Éternel Dieu. 20 Béni soit le Seigneur chaque jour ! Quand on nous accable, Dieu nous délivre. – Pause. 21 Dieu est pour nous le Dieu des délivrances, Et l’Éternel, le Seigneur, peut nous garantir de la mort. 22 Oui, Dieu brisera la tête de ses ennemis, Le sommet de la tête de ceux qui vivent dans le péché. 23 Le Seigneur dit : Je les ramènerai de Basan, Je les ramènerai du fond de la mer, 24 Afin que tu plonges ton pied dans le sang, Et que la langue de tes chiens ait sa part des ennemis. 25 Ils voient ta marche, ô Dieu ! La marche de mon Dieu, de mon roi, dans le sanctuaire. 26 En tête vont les chanteurs, puis ceux qui jouent des instruments, Au milieu de jeunes filles battant du tambourin. 27 Bénissez Dieu dans les assemblées, Bénissez le Seigneur, descendants d’Israël ! 28 Là sont Benjamin, le plus jeune, qui domine sur eux, Les chefs de Juda et leur troupe, Les chefs de Zabulon, les chefs de Nephthali. 29 Ton Dieu ordonne que tu sois puissant ; Affermis, ô Dieu, ce que tu as fait pour nous ! 30 De ton temple tu règnes sur Jérusalem ; Les rois t’apporteront des présents. 31 Epouvante l’animal des roseaux, La troupe des taureaux avec les veaux des peuples, Qui se prosternent avec des pièces d’argent ! Disperse les peuples qui prennent plaisir à combattre ! 32 Des grands viennent de l’Égypte ; L’Éthiopie accourt, les mains tendues vers Dieu. 33 Royaumes de la terre, chantez à Dieu, Célébrez le Seigneur ! – Pause. 34 Chantez celui qui s’avance dans les cieux, les cieux antiques ! Voici, il fait entendre sa voix, sa voix puissante. 35 Rendez gloire à Dieu ! Sa majesté est sur Israël, et sa force dans les cieux. 36 De ton sanctuaire, ô Dieu ! tu es redoutable. Le Dieu d’Israël donne à son peuple la force et la puissance. Béni soit Dieu !
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10–01–23 Une piscine d’eau de mer chauffée naturellement trône au milieu d’un beau paysage. De jeunes touristes irlandais adorent venir là au printemps pour fuir la grisaille de chez eux. Je nage parmi eux qui chahutent. Soudain un aileron fend la surface à quelques mètres. Je crie : un requin ! Mais ce n’est qu’un dauphin qui vient chercher le contact avec les baigneurs. J’effleure son dos de la main en nageant à ses côtés. Un petit garçon lui donne un coup sur le museau. Je réconforte immédiatement l’animal et mets en garde l’enfant contre la bête qui peut avoir une réaction défensive violente s’il recommence. La piscine donne sur une grande pelouse adossée à une montagne. Je remonte un chemin encore enneigé. Je ramasse une balle de tennis puis une autre, toutes deux croquées par un animal sans doute. L’enveloppe blanche duveteuse de caoutchouc a été déchirée par des crocs et l’on voit l’intérieur rouge qui fait penser à de la pulpe de fruits dont la couleur tranche sur la neige. De retour vers la pelouse du campement, je rejoins la natte que j’ai louée pour la durée de mon séjour. La pelouse en est remplie. À côté de la mienne je repère un groupe de personnes allongées sur les leurs. Je les reconnais. Ce sont des membres de ma chorale dont mon petit frère, son épouse et une autre femme qui a quitté le cœur depuis un moment. Soprano comme moi, elle chantait à mes côtés. À quatre pattes je me dirige vers eux pour leur faire la surprise. Ils sont ravis de me voir. Ensemble on va déjeuner dans un restaurant du camp protégé du vent par une bâche de plastique transparente. Ma belle-sœur s’assoit sur les genoux d’un jeune homme pour raconter une histoire. Elle commence par vouloir lui rouler un palot mais sa bouche dévie au dernier moment pour se coller à son menton et le sucer goulûment. Cela fait rire tout le monde.
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