#aujourd'hui ou je meurs
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1 MOIS DE MARIAGE: - Tu veux boire quelque chose, mon chéri ? 5 ANS DE MARIAGE : - Tu m'as servi à boire ? 10 ANS DE MARIAGE : - Merde, les glaçons, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? 20 ANS DE MARIAGE : - J'ai soif! - Va te faire foutre! 30 ANS DE MARIAGE : - Je meurs de soif! - Eh bien, crève!
#1 MOIS DE MARIAGE: - Tu veux boire quelque chose#mon chéri ?#5 ANS DE MARIAGE : - Tu m'as servi à boire ?#10 ANS DE MARIAGE : - Merde#les glaçons#c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?#20 ANS DE MARIAGE : - J'ai soif!#- Va te faire foutre!#30 ANS DE MARIAGE : - Je meurs de soif!#- Eh bien#crève!
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J'ai eu plusieurs réflexions aujourd'hui et hier:
1) ça m'arrive souvent de devoir rentrer chez moi tard et d'avoir qqn (mes parents et/ou mon mec) qui me dit "préviens quand tu es rentrée". Et souvent j'y pense mais quand je suis pas encore arrivée, du coup, souvent je dis que je suis arrivée alors que je ne suis pas réellement arrivée tout ça pour éviter d'oublier de le dire. Mais je pensais au fait que imaginons, je meurs sur le chemin, ou on m'enlève ou que je disparaisse bah quand on va signaler ma disparition, ils vont dire à la police "on a un message comme quoi elle était rentrée" et donc je vais fausser l'enquête. Ou ils vont capter que j'étais pas rentrée et peut-être vont s'imaginer que j'avais une double vie ou jsp. Bref du coup quand j'envoie un message comme ça où je sais que j'ai peut-être encore 5 min d'incertitude où c'est pas impossible que je meurs pas je culpabilise un peu en mode "je vais lancer la police sur la mauvaise piste, et freiner l'enquête et réduire mes chances d'être retrouvée toute seule genre"
2) j'aime bien les gens, enfin, comment dire, j'aime pas bcp de gens mais ya certaines personnes que j'aime plus que d'autres type des potes, amis mais je ressens jamais de manque ou le besoin de les voir et de parler. C'est trop étrange mais en fait les voir c'est cool mais ça me demande tellement d'efforts cognitifs que ça me braque d'emblée. J'aime bien qu'ils me racontent leur vie mais des fois jsuis là dans ma tête et je me dis "c long quand même, cest quand que je rentre ?"
3) à chaque fois que j'ai une mycose (de plus en plus rare dieu merci) j'imagine toujours les pires trucs, que j'ai une mst, un début de syphilis ou autre. Et jlai dit a mon mec ce WE que j'étais dans l'inconfort et comme un gentleman il m'a apporté tous les médicaments nécessaires et plein de compréhension (si rare mais si précieux mdrr) et quand il m'a tendu les remèdes j'étais en mode "purée ça se trouve il a juste couché avec une meuf pas clean et ma rapporté qqc et il essaie de me retourner le cerveau en agissant bien. C'est sûr il a une double vie et il me ment frontalement". Je sais que j'abuse faut faire confiance un peu mais j'ai tjrs ce truc affilié à cette pensée "roh le con il m'a bien manipulée ça se trouve, c'est fort s'il me ment comme ça dans les yeux". Fin bref un gros délire paranoïaque pas si infondé que ça mais jme dis d'un côté il a l'air sincère et de l'autre à aucun moment il va me dire cash "bah oui jtai trompé tu crois quoi ? Que ta mycose c'est le stress, ton hygiène de vie éclatée, nos rapports à répétition, et un déséquilibre hormonal flagrant ? Mdr tes folle ou quoi ?" Ça se trouve il est en panique de savoir que j'en ai une parce qu'il se dit qu'il a mal préparé son coup mais ça le rassure quand il me voit me radoucir et le croire ptdrrr
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Donc ouais, de la colère car je ne me sens pas respectée par mon pote et que j'arrive pas à me faire respecter ni à me respecter (mais j'y travaille je suis sur la bonne voie d'où la touche d'espoir), un peu de tristesse (en fait, bcp de tristesse par rapport à d'autres trucs) mais je préfère ne pas me l'admettre. Une fatigue. Et un peu de peur.
Aujourd'hui, ça fait 90 jours que j'ai pas pris de coke mais j'en meurs d'envie. J'ai pas envie de coke per se mais j'ai juste envie de ne penser à rien. J'ai envie de consommer quoi. Et tout à l'heure, comme pas dutout par hasard, le dj de londres que j'avais rencontré cet été là-bas, m'a contacté pour me prévenir qu'il jouerait demain sur la capitale et qu'il m'avait mis sur la guest list. Mmmh. Si jamais j'y vais, faites que ma bonne étoile soit avec moi please car jme sens méga misérable ces derniers jours et parfois, j'ai peur de la dose de trop.
J'ai contacté mon meilleur pote pour voir s'il voulait venir avec moi mais il ne me répond pas et lorsque je m'aventure à faire la fête toute seule, c'est souvent.... la Méga teuf. J'aimerais vraiment que mon meilleur ami vienne avec moi. Je me sens fragile. Tout me fait mal ou me dérange. La lumière. Le bruit. Pourtant, j'ai envie d'être entourée. J'ai envie d'être bien entourée. Je fais de mon mieux pour m'aimer. J'ai besoin de chaleur humaine mais je suis tellement seule. Et je me sens seule. Depuis si longtemps. C'est la vérité. Vivre m'est parfois pénible. Ça fait un mal de chien d'être bien. Demain, je ressaye. Oui, demain, je réessaye
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Splendeur(s) de la sieste contemplative...
Un mot de honte : j'ai commis une grosse erreur, en expédiant ce soir un éditorial déjà publié récemment. . La voilà rattrapée, avec toutes mes excuses !
Je n'arrive pas à trancher : ce phénomène nouveau (pour moi, en tout cas) est-il indépendamment dépendant de mon âge, ou en est-il dépendamment indépendant ? Je me suis récemment mis à trouver intrinsèquement délicieux les moments que je passe ''à ne rien faire'' qui, par un heureux hasard, tendent à se multiplier, à ma plus grande honte. Vous allez me dire que j'ai une belle audace d'en appeler, dans une même phrase, à un ''heureux hasard'' et à ''ma plus grande honte''. Mais c''est là, précisément, qu'est l'objet de ma quête de ce jour : rendre à l'inactivité et à la contemplation la place qui devrait être la leur...
Pour le philosophe, il est clair que l'existence ne saurait être intégralement absorbée par l'activité, pas plus que réduite à l'exercice d'un rapport instrumental au monde (NDLR : cette phrase n'est évidemment pas de moi, mais j'ai trouvé qu'elle ''sonne'' parfaitement bien, à ce moment de la réflexion de celui qui l'a pondue !). Il convient donc de toute urgence de re-légitimer l'inactivité comme une preuve éclatante de notre appartenance à la seule espèce animale qui est capable de performances telles que ''la pêche, assis au bord de la rivière qui coule à deux pas''.!
Une première remarque : se passionner pour l'inactivité est le meilleur moyen de découvrir qu'on n'est pas le seul à adorer jouer à ce sport : toute la fonction publique (française en tout cas) est ''sur les starting blocks'' depuis pas mal de temps, place enviée sur le podium où elle risque d'être détrônée par les cheminots, les éboueurs, les contrôleurs aériens... et les pratiquants d'autres sports qui refont systématiquement surface à l'approche de tout grand événement susceptible de donner naissance à de grands mouvements de foule (Noël, Pâques, jeux olympiques...).
Mais revenons à nos moutons : officiellement, l'inactivité est aujourd'hui (dé)considérée jusqu'à n'être devenue qu'une forme fanée de la paresse. Il arrive même qu'on la confonde avec ''les loisirs'' dont la fonction première (et même seconde, et plus, si affinités) est de se reposer d'un travail effectué –et qui dépendent donc d'une logique d'activité et non de son contraire
''Il suffit de traverser la rue...'', dit l'un. ''Il faut rabioter les indemnités chômage'', dit l'autre... Et tel qui se croit Ministre des Finances (il n'est que celui de la Dette irrattrapable !), fait des phrases ronflantes (= ''qui font ronfler ceux qui les entendent''), mais passe son temps à écrire, mal, des ''histoires de cul''... ce qui va lui permettre de déblatérer sur la pornographie triomphante... (Mais ma confiance en une ''justice immanente'' est vérifiée : il vend en moyenne entre 1500 et 2000 exemplaires de chacun de ces torchons, ce qui, compte tenu de leur ''intérêt'' (?), est inespéré !).
Attention ! Les ''loisirs'' relèvent de ce qu'on désignait autrefois par ''le temps libre'' –et la Gauche, qui n'a jamais craint le ridicule, avait donné un rang ministériel à cette activité syndiquée ! Il n'empêche... J'aurais adoré être ''Ministre du temps libre'', et j'aurais donné à la France un très bel exemple à suivre...-- car en y réfléchissant bien, une bonne et authentique méditation n'est en aucun cas un synonyme de ''dépréciation de l'action,'', bien au contraire : quel animal, à part l'Homme dans tout ce qu'il a de majuscule, est capable de ''méditer'' ? En réalité, l'inactivité est à la base de toute activité humaine.
Le philosophe allemand Buyng Chul Han (NB : plus coréen que cet allemand-là, tu meurs !) écrit, dans ''Vita contemplativa''... ou ''de l'inactivité'' (ed. Actes Sud -Avril 2024) : ''Seule l'inactivité donne un éclat à la vie. Si nous perdons la faculté d'être inactif, nous nous transformons en machines... dont la seule ambition est de fonctionner''. Et il poursuit : ''L'inactivité, c'est ce qui est humain en nous'', ce qui me convient très bien, à ce stade de mon existence (NB : ça n'a pas toujours été le cas... mais il paraît qu'on se bonifie en vieillissant !).
Deux problèmes adjacents sautent aussitôt à l'esprit de tout candidat contemplateur potentiel : le premier est relatif à la nouveauté-du-moment : l'intelligence artificielle –dont on sait qu'elle n'est ni l'une, ni l'autre. Qui voit de l'artifice dans ce machin qui va pour de bon nous réduire à ce que nous n'aurions jamais dû devenir ? Et qu'y a-t-il d'intelligent dans un incroyable déluge de chiffres qui permet de toujours finir par trouver un ''quelque chose'' qui ait l'air vaguement humain... mais que nous n'aurions pas su/osé inventer avec une telle vélocité ? Ses gourous, ses grands prêtres et ses thuriféraires vont-ils devoir lui apprendre à ''glander'', pour qu'on puisse se mettre à vraiment la considérer ''humaine'' ? Seul problème : ''souffrance'' ou ''endurance'' sont deux états qu'aucune machine n'a jamais pu atteindre... et ''inactivité contemplative'' encore bien moins.
Et le second problème, bien plus grave à mes yeux, est celui du statut des fonctionnaires : si le ''fare niente'' volontaire et organisé est vraiment une preuve d'intelligence avancée, cela voudrait dire que ces gens sont, en moyenne, plus intelligents que ceux qui bossent, triment, bûchent et turbinent. Ce serait affreux... et pourtant, il y a du vrai dans ce mensonge : il faut bien constater qu'ils raflent tout et ne nous laissent pas grand chose ! Ces bouffeurs de curés (pour la vaste majorité d'entre eux) ont même transformé en ''avantages acquis'' le calendrier chrétien... qu 'ils refusent de conserver d'autre part. Dans leur monde artificiel (mais, au fond, pas très intelligent, quoi qu'on puisse en dire !), Noël, Pâques, Pentecôte, Toussaint, ''15 Août'', etc.. , en attendant les fêtes musulmanes, ne sont plus que des raisons supplémentaires de bosser encore moins.
Car comme la machine, les fonctionnaires ne connaissent que deux états : allumés... ou éteints.. (le plus souvent, par expérience, c'est le second qui prend le dessus). Chez eux, cet état permanent de ''pêcheur assis sur son tabouret et ne pensant à rien'' est devenu une seconde nature, un fait social, une valeur-en-soi,, une croyance, une culture... bref une splendide caractéristique de notre temps... qu'ils précipitent vers une fin qui surviendra trop tôt... C'est en attendant cette issue assez probable que je me suis mis à cultiver ce qui leur est tout-à-fait naturel : je bulle !
H-Cl.
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Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
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LA REPENTANCE
_L'encre de la plume✍️
Dites-vous que chaque humain sur terre est une plume qui est entre les mains de la lumière (Dieu) ou des ténèbres (satan et ses acolytes). Bien que vous ayez un fabricant, vous pouvez toujours changer de propriétaire. Tous les jours, vous êtes utilisés pour écrire, cela signifie que chaque jour, vous faites un pas de plus vers votre tombeau, le tombeau ne recule jamais. Vous pouvez toujours courir vers le tombeau, c'est-à-dire le suicide, les gens qui signent des pactes de quelques années avec le diable. Les gens qui ne prient pas le Seigneur pour leur protection peuvent être victimes de n'importe quel accident, imprévu, maladie ou attaque.
Un jour ou l'autre, votre encre terminera et vous serez jetés. Quand c'est entre les mains de satan que votre encre se termine, vous serez avec lui pour toujours dans la poubelle de feu, où vous souffrirez d'éternité en éternité. Mais lorsque vous êtes les pions du Seigneur, une fois votre encre terminée, il la renouvellera pour vous donner une encre éternelle. Alors, remettez votre vie à Dieu pour mourir dans l'Évangile, soumettez-vous à Dieu, laissez-le vous utiliser comme il veut, parce qu'il ne vous forcera pas, la décision vous appartient, soyez souple et obéissant. Jésus a dit dans Luc 15 v.7 : il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance. Si vous savez que vous allez mourir aujourd'hui, pensez-vous que votre âme sera sauvée ? Où passeras-tu ton éternité ? Mettez vos pendules à l'heure !
●COMMENT AVOIR LE DESSUS SUR LE PÉCHÉ ?
Reconnaissez vos torts, reconnaissez que vous avez agi contre la volonté de Dieu, et ensuite, demandez pardon et surtout ne refaites plus les mêmes erreurs. L'ignorance est pardonnable, mais la persévérance dans le mal après avoir reçu la connaissance de la vérité est grave et ça va nuire à votre âme, à votre vie. Plus vous passerez de temps dans la présence de Dieu, c'est-à-dire les prières, la parole, les adorations et les louanges, moins vous aurez envie de pécher, jusqu'à même avoir le dessus sur le péché ou toutes sortes de tentations. Votre foi augmentera, le diable vous craindra et vous obtiendrez des dons spirituels. Philippiens 4 v. 7 : Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. Tout est une question de volonté, haïssez le péché, ayez peur du péché et Dieu vous guidera. Proverbes 16 v. 9 : Le cœur de l'homme médite sa voie, mais c'est l'Éternel qui dirige ses pas.
Ézéchiel 18 v. 21 à 24 : Si le méchant revient de tous les péchés qu'il a commis, s'il observe toutes mes lois et pratique la droiture et la justice, il vivra, il ne mourra pas. Toutes les transgressions qu'il a commises seront oubliées ; il vivra grâce à la justice qu'il a pratiquée. Est-ce que je désire que le méchant meure ? Dit l'Éternel. N'est-ce pas qu'il change de conduite et qu'il vive ? Si le juste se détourne de sa justice et commet l'iniquité, s'il imite toutes les abominations du méchant, vivra-t-il ? Toute sa justice sera oubliée, parce qu'il s'est livré à l'iniquité et au péché ; à cause de cela, il mourra. 2 Pierre 3 v. 9 : Le Seigneur use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.
Notre Père voit tout, sait tout, peut tout et en tout moment. Il y a toujours des yeux qui vous regardent. Alors soyez intègre et agréable aux yeux de Dieu. Jésus nous aime tous.
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Le roi en jaune
Aujourd'hui je vais vous parler de cette drôle de lecture, "le roi en jaune" de Robert double you Chambers, qui n'est pas a priori dans mes meurs ni mes fréquentations, mais dont la réputation en biais, traversière, et surtout l'espèce de généalogie d'oeuvres étranges que celle-ci a engendrées, valent autant de très nettes recommandations. D'autant qu'elle-même est inspiré d'une nouvelle de 1886 "un habitant de Carcosa" que j'ai lue dans la foulée et qui est de Sa Majesté Ambrose Bierce, auteur du très mirifique dictionnaire du diable, avec lequel je peux dire que j'ai fait ma vie maintenant, et dont certainement je me risquerai à vous lire une ou deux entrées dans un keepsake prochain. Je me fais une croix sur la main. Le roi en jaune est un recueil de nouvelles pas toutes fantastiques comme je le pensais, je parle du genre fantastique, et dont le trait d'union, le fil rouge, est que dans chaque situation il est mentionné l'existence de la pièce de théâtre "le roi en jaune" dont la lecture rend fou, ou médium... Ou actualise des manières de cauchemars. Je l'ai peut-être raté, mais je n'ai pas vu cette mention du livre maudit dans la nouvelle de la demoiselle d'Ys, mais j'ai peut-être mal lu. À vrai dire ce n'est pas ma tasse, mais pour les amateurs de Lovecraft et du fantastique de cette farine-là, je comprends que ce soi un must. Quant à moi j'ai été content de fermer le livre, et de me réveiller. Après je comprends avec quelle déférence ça a pu inspirer Lovecraft et par quel biais Alan Moore a pu s'en emparer. Et par quel biais de bais il y est fait référence dans l'excellente saison 1 de la série True Detective. Le roi en jaune devient le roi jaune, et son atroce sanctuaire s'appelle Carcossa. Brrrr... True detective, il faudra que j'en parle ici. Et pas que de la première saison. Là oui on est dans mon coeur de meule.
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Memento Mori n°7
"Souviens-toi que tu te meurs"
Je vais mourir ce soir. J'ai de la chance d'être arrivée jusqu'ici. J'ai de la chance d'avoir vécu tout ça. J'ai vraiment de la chance, et finalement je suis assez satisfaite de qui je suis aujourd'hui. Je sais que j'ai fais de mon mieux, ou du moins j'ai toujours essayé.
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Une pensée qui devient une flamme !
Pourquoi tant de haine en ce bas monde ? Pourquoi devons nous subir et mourir pour des lâches ? Pourquoi tuer des innocens, des personnes qui ne demandent rien à personnes ? Pourquoi nous autres Femmes, Hommes et Enfants devons nous mourir pour rien ?
Tant de questions qui reste encore sans réponses et qui continuent à faire pleurer des personnes, Des familles qui perdent un peu plus chaque jours une personne de leur entourage... Des personnes qui trépassent sous le poids d'une haine contre l'humanité tout entière.. Mais pourquoi vouloir faire autant de mal pour au final que ces personnes se fasse tuer ou meure de leur propre chef ?
Pourquoi, Pourquoi, POURQUOI ? Je vous le demande pourquoi vouloir faire plus de mal encore et encore à des familles, des personnes qui profitent de leurs libertés, De leurs vie car nous en avons qu'une seule et vous la supprimé en une détonation, une folie en camion ... Vous touchez un pays tout entier, une peuple FRANÇAIS soudé plus que jamais face à vous des monstres sanguinaires !!!
Alors je donne tout mon soutien à toute les familles de Français qui ont subis vos attaques un peu partout en France, comme en Belgique, et un peu PARTOUT dans le MONDE. NOTRE MONDE ! Un soutien à toute ces personnes qui ont perdu des être cher qui sont aujourd'hui des étoiles qui veillent un peu plus chaque jours sur nous et essai de nous protéger de vous autres !
Aujourd'hui Nous, Je suis à nouveau en deuil la FRANCE toute entière est en deuil face à cette nouvelle tuerie... Levons des bougies pour montrer à quel point nous sommes fort et uni face à cette menace !!!
#PrayforParis, #Prayfor Nice, #Prayforthe WORLD ♥ ♥ ♥
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29 Juillet 2023
Je n'arrive ps à savoir ce que je veux faire je m'ennuie et en même temps je dois travailler, mais quand je ne travaille pas je ne sais pas non plus quoi faire à part me sentir coupable de ne pas travailler. Je n'ai toujours pas vraiment goût à la vie, ou bien j'ai vraiment besoin d'être avec des gens constamment. Mais en ce moment j'en ai pas tant envie que ça, je suis vraiment très fatigué et j'aime juste dormir.... C'est vraiment pas un bon signe et là je sens la fumé rentrer de dehors alors que j'ai tout fermé.
Léa nous trahis encore une fois, mais j'avoue que moi ça va. Mais j'avoue que c'est des excuses un peu bof de pas venir à Berlin à cause de 'l'argent étant donné qu'un billet coûte 20€ bon..... Franchement jsp. Je me pose des questions très franchement. Elle sait juste pas gérer l'argent je pense ni ses amitiés. Mais et moi? Je me sens seul là mtn. Mais en même temps la seul personne avec qui j'avais envie de parler c'est Anett. Et elle me réponds à peine. Est-ce qu'elle a un burn out de moi? Peut-être qui sait j'imagine que c'est possible. Je trouve ça triste mais apparemment c'est trop dur pour les gens d'être de vrais meilleurs amis comme dans les films. Les gens ne sont pas disponibles. Je me suis aussi dis aujourd'hui que si je meurs personne s'en rendra compte avant une bonne semaine voir biiiien plus. Si y'avait pas Nils, lui il s'inquièterai très vite je crois. Je l'aime Nils je t'aime. Même si j'avoue que notre vie sexuelle n'est pas exactement ce que je voudrais. Je trouve notre couple stable et balanced. Et on a des intérêts en communs et tout et tout. Ça me paraît être une excellente base de couple. Même si en effet c'est un peu plus ennuyeux du coup. J'ai parfois envie de me faire dominer plus. D'avoir moins de décisions à prendre, même si on les prends presque toutes ensemble. Je l'aime.
Je suis fatigué et ça fait bien longtemps que je n'ai pas pleuré depuis que j'ai appris la mort de Céline la soeur de Sandrine enfaite j'y oense extrêmement souvent je vais écrire à Sandrine! Il n'h a jamais de bon moment
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Pensées Brouillées ¹.
✫✫✫✫✫
J'ai un bleu au cœur
Qui même avec un peu d'liqueur
Ne se soignera pas
Tant qu'tu seras loin d'moi
Alors jt'en prie
Viens
Retire ma mélancolie
✫✫✫✫✫
Et parfois, j'ai du mal à comprendre le bonheur.
✫✫✫✫✫
Parfois, les mots sont trop faux et trop vrai, également trop lourds mais aussi trop légers et insignifiants. Trop tout, face à ce que l'on peut ressentir.
✫✫✫✫✫
As-tu la moindre idée d'à quel point je suis amoureuse de toi ?
Une quelconque pensée d'avec quelle passion j'aime chaque parcelle de ton être, de ce que tu es ?
✫✫✫✫✫
Probablement qu'on est foutu
Qu'on est impossible
Ou alors que c'est peut-être juste moi, qui le suis, foutu.
✫✫✫✫✫
La vie n'est pas juste.
Elle ne l'a jamais été.
Regarde où nous en sommes.
Elle se fout de moi, de toi, de nous,
et de tous les autres.
Elle se fout de tout le monde.
✫✫✫✫✫
Et c'est dingue à quel point le silence peut hurler, tu ne trouves pas ?
✫✫✫✫✫
Être avec toi était extraordinairement beau. Et aujourd'hui sans toi, ma vie n'est plus qu'un chaos.
✫✫✫✫✫
Tu es ma réalité.
Ma seule et unique réalité.
✫✫✫✫✫
Le sexe est une drogue qui a emporté toute ma cohérence.
✫✫✫✫✫
Et peut-être que pour l'être humain, souffrir, est synonyme de respirer.
✫✫✫✫✫
Si tu meurs, je n'aurai qu'à mourir avec toi.
✫✫✫✫✫
Tu as forcé mon cœur à apprendre à battre seul. Mais il commence à être lassé, de ne plus t'avoir à ses côtés.
✫✫✫✫✫
2017
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"Sensibilité". Le 3 avril 2023
A fleur de peau, toujours et tout le temps
J'over-react, toujours, tout le temps
Tout me trigger comme on dit dans le jargon
Tout me touche trop et m'atteint
Touché coulé aïe je coule je meurs je fonds
J'ai mal
à moi
au ventre
à la gorge
à la voix
aux mains
D'ailleurs j'ai du mal à écrire, de plus en plus
J'ai mal aux mains, de plus en plus et on en sait pas pourquoi. Polyarthrite rhumatoïde ? Maladie de Lyme ? Ou encore un syndrome chelou sorti de nulle part plus ou moins en lien avec l'autisme.
Mon corps se rebelle de lui en avoir trop fait voir
D'avoir trop enduré
D'avoir trop vécu dans son trop-plein de sensibilité
Il est tellement fatigué
C'était si dur ce matin
35 minutes à sortir de mon lit
Au radar me prendre tous les coins des meubles
en retard
45 minutes de route et tant de virages
J'ai mal au cœur, mal au ventre, mal à la tête
Je suis tellement fatiguée
Tellement que je me demande quand je le serai moins
Guérit-on de l'épuisement ?
Ce week-end j'ai passé 24 heures chez une amie
Je suis rentrée plus tôt tellement j'étais ko
Première sortie partagée depuis 3 semaines
Première nuit hors de chez moi depuis 3 semaines
Tout me traverse
Tout me transperce
J'ai mal à moi
Je ne sais plus si j'existe et où sont les limites de mon corps et de mon cerveau
Où sont mes émotions quand elles se diluent dans le vécu des autres
Quand même mon ventre est trop fatigué pour avoir mal et qu'alors tout s'éteint en moi
Il est 19h à cette heure normalement je suis seule et là on fait un : apéro
Je ne sais plus ce que c'est, à quoi ça sert, pourquoi on mange des choses qui coupent l'appétit si on a faim ? J'attends alors, je prends un médicament qui me donne comme une cartouche fictive d'énergie : l'anxiolytique.
Il fait effet assez pour que je revienne dans le match de la sociabilité
Pour interagir avec mes amies j'ai choisi : de leur lire mes écrits, les comptes-rendus et les bilans des psys
Elles étaient touchées elles ont dit
Touchées de mon geste, de ma confiance
De leur dire, de leur lire tout ça
Moi comme nue devant elles me sentant enfin soulagée
D'avoir pu dire tous les mots durs enfin reconnus
Les souffrances et les abus
Subis et jamais dits car jamais pensé que c'était digne d'intérêt or : ce fut ma vie
Après j'étais fatiguée
Mais ça je l'étais déjà
J'ai dormi avec une personne dont je suis amoureuse
Je crois
Je me suis réveillée fatiguée
Peut-être anxieuse ou heureuse
Je ne sais pas
Trop fatiguée pour le sentir ou le savoir
Je suis rentrée chez moi
Heureuse de retrouver mes routines
Et ma Célestine, reine des chattes
Aujourd'hui ça doit être le contre-coup mais hier je m'étais déjà à peine remise de celui d'avant
Et de je jeudi à dimanche je pars à Milan
J'ai tellement peur de cette fatigué
Et de tout ce qui me traverse, me transperce, me ronge
Guérit-on de l'épuisement ?
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Plus ça change et plus c'est la même chose...
''Quelles que soient nos divergences d'opinions, il est un fait sur lequel nous semblons être tous d'accord, d'un bout à l'autre de la planète : notre monde se trouve aujourd'hui dans un état anormal, et il traverse une grave crise morale''. Ces lignes qui pourraient être écrites tous les jours, dans tous nos journaux sont en fait signées du grand Stefan Zweig, donc écrites au plus tard avant 1942, date de sa mort, sans doute même dans les années '30.
Mieux encore, il poursuivait : ''Et lorsqu'on regarde l'Europe en particulier, on a nécessairement le sentiment que tous les peuples et toutes les nations vivent aujourd'hui dans un état de fébrilité maladive : la plus petite occasion suffit à créer un état d'immense nervosité. Les individus, les nations, les classes et les races, mais aussi les Etats semblent plus aptes à se haïr les uns les autres qu'à se comprendre.''. C'est très fréquemment que, depuis des années, vous lisez, dans ce Blog, que le monde est mené par la folie. Un mauvais résultat à une élection ''latérale'' suffit à tout emporter, ''façon raz-de-marée'' pour une simple crise de nerfs... Depuis dimanche soir dernier, il convient donc d'allonger cette formule lapidaire en précisant : ''et par la haine''. (NDLR : Je meurs d'envie d'ajouter ''et la bêtise''. Par souvenir de ma lointaine éducation, je ne vais pas le faire !).
J'aime bien collectionner ces phrases abruptes sur des réflexions à tendance ''visionnaire'' dites par des gens que j'admire ou que je me découvre capable d'admirer rapidement. La menace de plus en plus proche des technologies --dont nous parlons depuis dix ou douze ans et qui devient palpable... la montée des périls inouïs que fait courir une extrême Gauche devenant de plus en plus autistique et violente au fur et à mesure que son audience, sa raison d'être et sa justification se délitent jusqu'à ne peser rien de plus que, justement, cette violence résiduelle (que les braves gens laissent qualifier de ''fascisme'' ou ''d'extrême Droite'' --pour parler de pathologies qui appartiennent à 100 % à la Gauche !)... la peur du lendemain qui, devant le refus du Pouvoir-en-place de voir pour ce qu'elle est une immigration devenant presque exclusivement mortifère... la tentation d'une fuite éperdue vers autre chose –combien de fois me demande-t-on ''Mais où peut-on se réfugier, désormais ?'', amenant la réponse pourrie des grands esprits tout petits : ''sur Mars !''... et le spectre-épouvantail de ce qu'est devenue l'Europe, maudite, néfaste, mais encore souhaitée tout de même, par peur du vide...
En fait –et je rejoins ici d'autres pensées de Stefan Zweig, dans ''Le monde de demain''--, ce n'est pas tant le monde d'aujourd'hui qui est différent du monde d'hier : le coupable de l'impression de ''désappartenance'' qui nous rend tous si malheureux serait plutôt la manière dont nous l'habitons, ce monde. Le coupable, ce serait ce laisser-faire/laisser-p...aller que nous avons laissé s'installer en nous... Ce serait ces lettres que l'on écrit plus (remplacées par un émoticon ou un smiley : c'est mignon, mais sans la moindre épaisseur)... Ce serait l'art de la conversation –cet art si ''français''-- que nous avons remplacées par des invectives, des ''engueulades'', des disputes jusqu'à la violence ou des mises à l'écart, derrière de pseudo ''cordons sanitaires'' qui ne cachent que la médiocrité intrinsèque de ceux qui les brandissent...
Et enfin, ce serait la faute de notre ancienne culture qui, honteusement niée par l'Elysée, s'efface pourtant peu à peu au profit (?) de notre misère morale, avec la perte de la politesse, de notre galanterie, de notre belle langue, et avec notre incapacité nouvelle à distinguer le vrai du faux sous la pression de mensonges institutionnels devenus permanents. Avez-vous remarqué la place qu'à pris le mensonge dans l'arsenal politique ? Tout est mensonge : le covid, les comptes de la Nation, l'Europe, l'Ukraine, le grand remplacement... et j'en oublie. Les prévisions budgétaires reposent sur des chiffres truqués, l'immigration vraie se situe au ''n-tuple'' des chiffres officiels, tout comme l'endettement (on parle du double ''au moins''), les prêts garantis par l'Etat ou les retraites des fonctionnaires 'ce sont des exemples).
Mais à situation complexe, causes multiples : il ne faut pas oublier, dans ce tableau des causes de notre décadence en cours, une radicalisation de la pensée qui avance en parallèle avec la montée de la haine, cet identifiant de notre moment dans l'Histoire... notre sortie progressive mais rapide de la démocratie telle que nous l'avons rêvée... la montée du totalitarisme barbare et misogyne des ayatollahs, des frères musulmans et d'autres envahisseurs potentiels (qui risque de faire tache d'huile sous nos latitudes bien plus vite que les myopes au pouvoir ne se le racontent...).
Le monde d'aujourd'hui inquiète à juste titre nombre de nos contemporains dont il défie ou insulte en permanence les consciences –pour ceux qui en ont encore une, mais ils sont de moins en moins nombreux et commencent même à se faire rares. Et comme personne n'a rien prévu, rien imaginé, rien écouté, notre pauvre monde se retrouve comme devant une maladie endémique (mais une vraie, celle-là. Pas un succédané de leur maudit covid, inventé de toutes pièces pour tenter de camoufler les échecs cuisants de toutes les solutions que des nuls indignes des responsabilités qu'on leur avait confiées avaient cru malin de concocter, et dont pas une seule n'avait la plus petite chance de marcher. Mais si la ''justice immanente'' s'est mise en route, ça va chauffer !
Vers 1930, déjà, Zweig s’inquiétait de ce que deviendrait une Europe seulement économique : ''Une telle construction, écrivait-t-il, ne saurait garantir longtemps la paix, car elle ne pourrait soigner les pays de leur maladie politique, l’impérialisme (revenu au tout premier plan ces temps derniers : islam, Russie, Turquie, Iran, Chine, Azerbaïdjan, et même Otan...). Il avait vu juste ! Au contraire, une Europe culturelle permettrait le respect mutuel entre États, tout en évitant le repli sur soi et la méconnaissance caricaturale du voisin qui avait cours avant et pendant la première guerre mondiale''. Visionnaires tout autant qu’enracinées dans la réalité du XXèmesiècle, ses idées n'ont pas été reconnues comme les seules salvifiques par les épouvantables maîtres actuels d'une ''contre-Europe'' agonisante, qui ont bêtement tourné le dos à l'intelligence pour maximiser –croyaient-ils-- la puissance... et qui récoltent l'échec.
Les vraies solutions, hélas, se raréfient et deviennent de plus en plus désespérées. Il semble que le monde qui est en train de disparaître fasse déjà partie d'une autre Histoire, d'une autre Humanité, qui se perdent et qui se noient, jour après jour dans les manifestations de plus en plus fréquentes et de plus en plus nombreuses des symptômes d'une maladie lentement dégénérative, profonde, et atroce à ceux qui la voient venir et la subissent : le terrible mal-être d'une civilisation qui s'éteint... peut être à tout jamais, cette fois.
Si vous voyez de solides raisons de voir poindre autre chose que l'une ou l'autre des formes du ''pire'', dites-le moi, je vous en supplie : je commence à désespérer, et tout ce que je vois ou que j'entends, surtout depuis dimanche dernier, ne fait que hâter mes craintes et se multiplier mes angoisses...
H-Cl.
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LA REPENTANCE
_L'encre de la plume✍️
Dites-vous que chaque humain sur terre est une plume qui est entre les mains de la lumière (Dieu) ou des ténèbres (satan et ses acolytes). Bien que vous ayez un fabricant, vous pouvez toujours changer de propriétaire. Tous les jours, vous êtes utilisés pour écrire, cela signifie que chaque jour, vous faites un pas de plus vers votre tombeau, le tombeau ne recule jamais. Vous pouvez toujours courir vers le tombeau, c'est-à-dire le suicide, les gens qui signent des pactes de quelques années avec le diable. Les gens qui ne prient pas le Seigneur pour leur protection peuvent être victimes de n'importe quel accident, imprévu, maladie ou attaque.
Un jour ou l'autre, votre encre terminera et vous serez jetés. Quand c'est entre les mains de satan que votre encre se termine, vous serez avec lui pour toujours dans la poubelle de feu, où vous souffrirez d'éternité en éternité. Mais lorsque vous êtes les pions du Seigneur, une fois votre encre terminée, il la renouvellera pour vous donner une encre éternelle. Alors, remettez votre vie à Dieu pour mourir dans l'Évangile, soumettez-vous à Dieu, laissez-le vous utiliser comme il veut, parce qu'il ne vous forcera pas, la décision vous appartient, soyez souple et obéissant. Jésus a dit dans Luc 15 v.7 : il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance. Si vous savez que vous allez mourir aujourd'hui, pensez-vous que votre âme sera sauvée ? Où passeras-tu ton éternité ? Mettez vos pendules à l'heure !
●COMMENT AVOIR LE DESSUS SUR LE PÉCHÉ ?
Reconnaissez vos torts, reconnaissez que vous avez agi contre la volonté de Dieu, et ensuite, demandez pardon et surtout ne refaites plus les mêmes erreurs. L'ignorance est pardonnable, mais la persévérance dans le mal après avoir reçu la connaissance de la vérité est grave et ça va nuire à votre âme, à votre vie. Plus vous passerez de temps dans la présence de Dieu, c'est-à-dire les prières, la parole, les adorations et les louanges, moins vous aurez envie de pécher, jusqu'à même avoir le dessus sur le péché ou toutes sortes de tentations. Votre foi augmentera, le diable vous craindra et vous obtiendrez des dons spirituels. Philippiens 4 v. 7 : Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. Tout est une question de volonté, haïssez le péché, ayez peur du péché et Dieu vous guidera. Proverbes 16 v. 9 : Le cœur de l'homme médite sa voie, mais c'est l'Éternel qui dirige ses pas.
Ézéchiel 18 v. 21 à 24 : Si le méchant revient de tous les péchés qu'il a commis, s'il observe toutes mes lois et pratique la droiture et la justice, il vivra, il ne mourra pas. Toutes les transgressions qu'il a commises seront oubliées ; il vivra grâce à la justice qu'il a pratiquée. Est-ce que je désire que le méchant meure ? Dit l'Éternel. N'est-ce pas qu'il change de conduite et qu'il vive ? Si le juste se détourne de sa justice et commet l'iniquité, s'il imite toutes les abominations du méchant, vivra-t-il ? Toute sa justice sera oubliée, parce qu'il s'est livré à l'iniquité et au péché ; à cause de cela, il mourra. 2 Pierre 3 v. 9 : Le Seigneur use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.
Notre Père voit tout, sait tout, peut tout et en tout moment. Il y a toujours des yeux qui vous regardent. Alors soyez intègre et agréable aux yeux de Dieu. Jésus nous aime tous.
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Transcription :
Rêves : 63 (pool - mare, étang), 24 (moving - bougeant), 66 (book - livre)
Dans mon rêve, je flotte à la surface d'un étang aux eaux stagnantes. Tout est calme ; le ciel est bleu, sans nuages, et chose étonnante, sans soleil. Pourtant, il fait grand jour et mon visage est enveloppé d'une chaleur agréable.
Je sens soudain qu'on me tire par la cheville. Et, j'en ai la conviction sans pouvoir le voir, qu'on me tire vers la rive. Le bruit de rames qui heurtent l'eau me parvient de manière sourde. C'est une chaîne qui m'enserre la cheville - je le sens désormais.
"Non, pas aujourd'hui", dit une voix.
La chose suivante dont je me rappelle est d'être allongée sur une surface solide - la terre, la rive, oui - et d'entrapercevoir une silhouette encapuchonnée repartir sur une barque.
Je suis de nouveau immobile. Dans ma poche de manteau gorgée d'eau, je sens le poids d'un livre. D'un geste mécanique, je le sors de sa prison. Je n'arrive à le tenir que par un coin de sa couverture. Les pages s'ouvrent, imbibées d'eau, souples comme des cheveux venant d'être lavés et peignés. Elles sont vierges - ou plutôt, toute l'encre qu'elles avaient reçue en leur sein s'est écoulée sur mon visage.
Le livre me tombe sur le front. C'est là que je me réveille. Je m'assieds sur le bord du lit. Mes draps sont trempés de sueur, et je meurs de soif, mais je suis, autrement, de nouveau en parfaite santé et pleine d'énergie.
Oracle : 66 (guiding - guide, influent, directeur), 36 (growing - grandissant), 11 (smiling - souriant)
Habillée et installée à ma table, occupée à tenter de faire sens des événements de ces derniers jours ainsi que de mes rêves, je sursaute - qui n'aurait pas sursauté - en sentant comme un souffle sur mon épaule, une main, de la chair, un autre être humain ; mais quand je me retourne, il n'y a personne.
Pourtant, cette présence embaume toujours bien ma demeure. Elle est réconfortante et je sais qu'elle me sourit. Après plusieurs minutes durant lesquelles ce sentiment d'apaisement n'a fait que croître, jusqu'à m'enrober tout entière, ma porte d'entrée s'ouvre d'elle-même, avec un léger grincement. C'est une invitation. L'esprit ne s'est pas révélé à moi, mais je compte bien marcher dans ses pas. Je prends mon sac et mon bâton de marche, et je pars à l'aventure.
Journée
5. Les esprits se révèlent à moi...
Caractéristiques : 66 (radiating - rayonnant), 64 (leaping up - sauter rapidement, se lever), 12 (watching - observant)
Humeur : 64 (needs magical aid - besoin d'un secours magique)
Cette fois-ci, je ne pars pas vers la montagne - Aranéole, je le comprends désormais, est la montagne à l'est de chez moi - mais vers le nord.
[Description : une carte grossière. En son centre, la maison, dont le toit est rouge. Juste à gauche, le jardin, en vert. A droite, les ruines de l'étable, et encore plus à droite, la source d'eau qui coule. En haut à droite du dessin, une rose des vents : le nord en haut, le sud en bas, l'ouest à gauche, l'est à droite.
Vers le nord : une forêt. Vers le sud : ??? Vers l'ouest : la clairière. Vers l'est : la montagne (Aranéole).]
La marche est tranquille. Je suis dans une forêt de chênes. Je cueille quelques baies que je sais comestibles, j'observe, j'écoute. Un renard s'enfuit au loin. Je suis en train d'inspecter du lichen sur une écorce quand trois petites fées aux ailes de libellules surgissent devant moi. Elles rient tant que je suis moins surprise que charmée - et ces fées-là n'ont pas tenté de m'endormir... Leurs ailes brillent au soleil - touchées par les rayons qui traversent le feuillage des arbres - et laissent une traînée de poussière dorée derrière elles. Elles volètent autour de moi. Elles s'expriment directement dans mon esprit. Elles m'observent, disent-elles, elles me suivent depuis mon départ. Elles veulent jouer, mais pour jouer à leur jeu, il faut être quatre.
Je ne vois pas très bien ce que je peux y faire : leur jeu est magique et je ne maîtrise pas la mahie. Elles insistent ; elles ont besoin de mon aide. A l'instant où je cède, je suis téléportée derrière un arbre que j'avais dépassé un peu plus tôt. Je comprends : c'est un cache-cache magique. L'une des fées m'a dissimulée et les deux autres doivent me retrouver. Le jeu est amusant ; j'y prends goût, je n'ai rien à faire, je ris. Le soleil avance dans sa course. Les fées, une fois lasses et lassées, se présentent à moi pour me saluer.
3. Je fais une découverte
Caractéristiques : 36 (recently - récent), 44 (uncovered - découvert), 21 (forgotten - oublié)
Pour me remercier - ou s'amuser avec ma personne une dernière fois - les fées me transportent plus profondément dans la forêt. Quand j'ouvre les yeux, je suis devant une cascade. Un dôme de mousse solidifiée par le calcaire forme une gangue autour de l'eau tombante. La vue est magnifique. Je me glisse sous le dôme ; il fait sombre, l'eau s'écoule devant moi, et la voûte verdâtre au-dessus de ma tête pourrait abriter une personne de deux fois ma taille.
Plus je reste ainsi sans bouger, plus une certitude m'envahit : le bas de cette structure naturelle est récent, et le sommet ancien. En effet, à portée de ma main, la mousse que je touche n'est encore que cela - de la mousse.
Mon regard se porte ensuite vers le sol. Je suis sur une large pierre. J'y distingue, à ma grande surprise, une inscription. Je note ma découverte :
[Description : une large pierre vue de dessus sur laquelle on trouve une inscription en lettres majuscules, en partie effacée par le temps et l'érosion. On lit :
H I C I [A] C [E] T
[illisible] A
V I [X] [illisible] T [illisible] X
[illisible] N N O S]
Je ne sais pas lire cette langue. Je me décide à arracher un morceau de mousse solidifiée pour étudier ce phénomène. Je dresse un cairn non loin de la cascade pour y revenir plus tard. Je reprends ma route.
Retour chez soi
Les fées ont failli causer ma perte : j'ai pris du temps avant de retrouver le chemin de la maison. Je rentre alors que la nuit tombe, et je sais que j'ai été dehors longtemps, car les jours rallongent, la nuit tombe plus tard.
Je me prépare à manger, la tête ailleurs, occupée à penser à cette inscription oubliée. Après le dîner, je me décide, trop curieuse, à aller étudier cette mousse.
[Description : un morceau de mousse solidifiée. La mousse est verte et retient son aspect spongieux, mais le calcaire s'y mêle avec des morceaux solides jaunes et bleutés.] <- mousse mystérieuse, ressemblant à la cascade même
Caractéristiques : 3 : 2 propriétés.
12 (strengthen - renforcer), 25 (draw - dessiner, tirer), 23 (hot - chaud)*
Cette mousse semble avoir des propriétés régénérantes : réchauffée dans l'eau chaude (à l'opposé de l'eau glacée de la cascade), elle devient un très bon cataplasme qui absorbe - sans que je comprenne comment - ce qu'il y a de mauvais dans le corps. Je cours chercher mon alga florens. J'ai une idée. Je broie au pilon la mousse et l'algue, en ajoutant quelques gouttes de vinaigre, juste assez pour que le calcaire pétille, mais ne se détache pas. Je verse la mixture dans un flacon, dans lequel j'ajoute de l'eau tiède.
Les murmures de l'algue deviennent des échos lointains, mais encore plus doux qu'ils ne l'étaient auparavant. Je pense que j'ai dans les mains une potion permettant de soigner les esprits - ou tout autre créature vivante, mais j'en suis moins sûre. Je mouche la lanterne et vais me coucher, très heureuse de ma journée, ma curiosité piquée.
Note : 1 potion de soin dans mon inventaire.
/fin de la transcription.
*oui, je me suis trompée, j'ai noté trois propriétés au lieu de deux. Tant pis.
Les lettres entre crochets dans l'inscription sont à moitié illisibles sur le dessin.
Jour 4. 2h33 d'écriture.
J'aime beaucoup celui-là :)
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Les dates qui sortent du soit-disant monde profane et du flux quotidien me font toujours un peu peur, les attentes créées autour de celles-ci me rongent les nerfs
C'est un anniversaire aujourd'hui, et cette partie de l'automne - c'est encore l'automne, mais on ne dirait pas - est particulièrement exigeante, elle requiert de nous ce qu'il nous reste de sève, et Dieu sait que nous sommes à sec
Je me suis imaginée tant d'histoires ces dernières années, en fait c'est ce que je fais de mieux depuis notre rencontre, je vis dans mes histoires, dans une brume tiède et suffisamment dense pour me bercer et me servir d'illusion - je n'ai donc pas la possibilité de confronter le malaise intérieur qui menace de submerger une bonne partie de ce qui nous sert de socle
C'est un anniversaire aujourd'hui, le miens précisément, et je me lève depuis des jours avec la peur que ces migraines reviennent, et je me lève sans hâte, sans excitation. J'ai envie de quitter cet appartement et nos fausses couleurs accrochées partout, elles me donnent la nausée, j'ai envie de claquer la porte et de poursuivre je ne sais quoi tant que ça me fait brûler dedans, tant que ça fait tout s'enflammer, je meurs d'ennuie. Je meurs de désagrément à savoir que tu ne ressens rien, qu'il flotte toujours dans l'air un quelque chose pour t'insatisfaire ou te tourmenter, je me décourage à la simple idée de devoir jouer un rôle dont je ne veux pas.
Est-ce que je te pousse à tout ça, quel chemin tu choisirais si je m'éclipsais, est-ce que je me monte la tête ? Je veux une vraie solidité, je veux que tu me dises si jamais ça n'ira. Je veux rentrer dans la douceur du soleil savoir que je serai accueillie avec un sourire, de la joie, une étreinte, je veux rentrer et que la personne avec qui je suis sensée construire ma vie me partage son énergie et me fasse comprendre qu'elle me voie, que je suis là, importante et belle et ce exactement à ma place.
Mais ce n'est pas ce qui a lieu et l'impuissance me gagne, je tourne dans ma tête en rond, mes épaules se voutent et je ressens l'absence de Dieu m'envahir, je me sens comme si on m'avait laissée sur la chaussée, abandonnée, je me fais du sang d'encre et je ne veux plus.
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