#auberge de jeunesse
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Pilo
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Les voyages forment la jeunesse
Il existe des auberges de jeunesse dans le monde entier : sur les rives du Nil et du Gange, en Australie, en Islande, au Kenya comme au Canada. Vingt-cinq millions de jeunes gens qui voyagent pour élargir leur horizon ont ainsi la possibilité de se loger, chaque année à peu de frais dans les auberges qui ont 300.000 lits à leur disposition. L’organisation internationale des auberges de jeunesse…
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https://www.lesoir.be/528592/article/2023-07-31/un-corps-retrouve-dans-une-auberge-de-jeunesse-pres-danvers
Source: lesoir.be
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Samedi 11 mars : Chutes d'Iguaçu côté Argentin, Puerto Iguazu, Misiones
Aujourd’hui rebelotte, retour au Parque Nacional Iguazu Argentin. Terminal, bus, entrée du Parc, au stand j’écoute les recommandations et achète mon billet pour 10h15. Au point de rendez-vous on prend un petit bus à ciel ouvert, qui nous emmène sur le Sendero Yacaratiá dans la jungle. Pendant ce temps un guide nous parle des chutes et de la biodiversité du Parc. On apprend que les chutes comptent…
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https://votrevoyage.fun/index.php/2024/07/09/10-conseils-pour-eviter-une-mauvaise-auberge-de-jeunesse/
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mes amants ont une fâcheuse tendance à préférer les palaces aux auberges de jeunesse
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On se lâche dans les escaliers des auberges de jeunesse madrilènes...
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Dina nue arrosée, auberge de jeunesse de Villeneuve-sur-Auvers, France. 1937
Photo: Pierre Jamet
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Les auberges de jeunesse devraient avoir un système où ils mettent tous les gens qui ronflent dans le même dortoir
#en tant qu'insomniaque y a rien de pire que les gens qui robglent je suis désolé mais j'ai vraiment des envies de meurtre la nuit#je pense que j'ai dû dormir 1h grand max mdr
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J'entrai dans la station-service. Je tins la porte à un homme qui était peut-être un routard États-Uniens, il avait la casquette la barbe et une chemise à carreaux enfin je crois je ne suis pas sûr je pourrais très bien dire n'importe quoi. L'homme m'a remercié chaleureusement il avait l'air sympathique, je me suis dit trop cool j'inspire du respect et de la chaleur à un homme qui est chauffeur de camion États-Uniens enfin je pense, j'espère, ce serait la classe. J'ai toujours trouvé cools les chauffeurs de camion États-Uniens, les hommes qui sont sur la route aux États-Unis. Les films sans doute...
On entre tous les deux dans les toilettes, je fais mon pipi et lui aussi, il s'en va, nous étions au pissoir. Moi je prends mon temps je suis un homme nerveux faut que ma ceinture soit remise parfaitement et que mon caleçon soit placé parfaitement sous mon short, faudrait pas que ça me dérange. Je passe les détails de tous les autres mécanismes de malade mental que j'ai et qui font que je suis un homme aussi lent qu'une tortue et qui vu de l'extérieur ressemble à un homme qui replace sa ceinture pendant 30 ans sans qu'au final ça ne change grand-chose à sa position initiale.
Dans les toilettes assis à côté de moi, de l'autre côté du mur, caché, j'entends un gémissement. Un soulagement même, prolongé, appuyé, bruyant. Chelou gênant mais quand-même sacrément drôle en vrai. Damn un homme encore plus bizarre que moi. Ça n'arrête pas les gémissements se répètent je me dis damn voilà un homme léger.
Ça me rappelle ce matin-là à l'auberge de jeunesse de la Nouvelle-Orléans où j'avais été réveillé également par un gémissement, c'était un long Damn d'ailleurs, genre daaaaaaaamn, mais aux sonorités plus érotiques et moins liées à l'univers gastrique. C'était tôt le matin j'avais mal dormi j'avais fait trop de portable la veille avant de m'endormir, et j'étais un peu stressé je devais partir à Mexico le jour même puis j'en avais ras le cul de cette auberge de merde, ouais c'était vraiment une auberge de merde je la recommande pas, si un jour ils me lisent ce que je pense arrivera inéluctablement aucun problème j'assume mes propos vous êtes une auberge de merde, une belle merde comme celle délicatement et savoureusement évacuée par l'homme décrit plus tôt.
Bref j'étais un peu de mauvaise humeur de me faire réveiller par les bruits d'une femme qui prend du plaisir. Nous étions seulement deux dans une grande chambre sans fenêtre de 6 lits superposés sans rideau isolant, et dont les lumières au plafond ressemblaient à celles des hôpitaux mais en encore plus moches et en encore plus lumineuses genre presque aveuglantes, d'un blanc froid aveuglant. Sauf que là on était dans le noir et j'entendais se tortiller dans le lit plus bas. Putain y en a qui s'en tape vraiment des autres, elle avait déjà été chiante la veille à faire des appels vidéos avec son homme jusqu'à pas d'heure, je me suis dit qu'il en avait peut-être marre de l'appeler et il était peut-être venu en personne, c'est vrai que j'avais cru comprendre qu'il y avait des passages un peu coquins lors de l'appel, alors que moi je lisais mon livre sur les Innus en pyjama, bien gentil bien sage bien docile dans mon lit superposé. Puis c'est vrai que je l'ai entendue se lever je crois, un peu plus tôt dans la matinée déjà tôt, peut-être qu'elle avait ramené son homme à ce moment-là mais c'était quand-même bizarre parce que normalement c'est interdit de ramener des invités, c'est pas moi qui le dit c'est le règlement. J'ai jeté quelques regards un peu énervés et peut-être un brin jaloux vers le lit de la meuf, quoique j'étais trop de mauvaise humeur pour avoir quelconque désir. J'ai vu bouger et je me demande si j'ai pas vu deux personnes. Ce qui est bizarre néanmoins c'est que quand ça s'est calmé, quand les gémissements qui en vrai sonnaient plutôt joliment, en tout cas plus jolis que l'autre cochon en train de chier dans la station-service de l'état de New York, bref quand ça s'est calmé elle a appelé quelqu'un. C'est bizarre de faire ça après l'amour c'est chelou quand-même non pourquoi tu ferais ça t'es bizarre.
J'ai lâché un Oh Come on parce que j'avoue j'étais agacé, y a des limites quand-même puis bon elle ne me faisait pas tellement peur. Elle a dit quelque chose je crois mais j'en suis pas sûr et puis de toute façon je m'en souviens plus. J'ai ajouté de manière polie, succincte et ouverte au dialogue qu'en gros elle était casse-couilles à faire tout ce bruit alors qu'il était à peine 8h du matin. Elle m'a répondu qu'il était exactement 8h du matin, comme si c'était l'argument ultime qui lui permettait de faire tout le bruit qu'elle voulait et qui m'empêchait de faire toute critique. Que répondre face à ça j'avoue j'étais un peu surpris, bien joué. Je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner j'avais mis le réveil à 8h du matin de toute façon et elle n'avait pas menti il était effectivement 8h du matin, fallait que je me taise bon dieu. Sur le chemin c'était bizarre j'avais l'impression qu'elle était seule dans son lit finalement mais bon tout n'était pas très clair dans ma tête j'étais fatigué, je pouvais pas vraiment réfléchir.
Je mangeais mon petit-déjeuner tranquille quand un employé chelou et casse-couilles m'a donné le coup de grâce, alors même que je me disais que la vie est finalement plutôt belle et pleine de surprises et de promesses. Le beurre de cacahuète et moi c'est une relation solide, couple ouvert certes mais on en a vu d'autres. L'homme s'est arrêté à mon niveau et il m'a demandé comment j'allais. C'était un peu bizarre parce qu'à mon arrivée il m'avait rappelé l'arrogance teintée d'un brin de malveillance que je connaissais d'autres êtres humains et que je n'étais pas prêt d'oublier. Puis il avait été prodigieusement indifférent ce qui était vraiment une belle perf pour quelqu'un qui travaille dans le domaine de l'accueil des gens, trimballant avec lui une vibe très bizarre pas toujours claire ni saine ni bienveillante mais en vrai j'en sais rien finalement de ce qui le traversait, j'exagère peut-être j'ai parfois pas peur de l'exagération. Il s'était montré subitement sympathique un soir où j'avais débarqué sans faire exprès à l'happy hour pourri qu'il organisait et où il n'y avait personne. Il m'a offert un soft me l'a même ouvert et servi et m'a filé un extra dollar pour que je puisse prendre le tram comme le tram n'acceptait pas la carte. Je sentais ou au moins j'avais l'impression que ça le faisait quand-même un peu chier de faire tout ça pour moi mais en vrai j'en sais rien c'est peut-être mon esprit aussi susceptible que chelou avec sa ceinture après avoir fait pipi qui parle, par contre j'avoue j'ai quand-même jubilé quand je lui ai indirectement fait comprendre que ouais t'inquiète tu peux me servir toi-même le coca que tu m'as offert et décapsulé, et ce dans le cadre d'un happy hour où personne n'est venu et où moi-même je n'allais pas rester. Merci gars pour le dollar que tu m'offres sans remboursement à venir ça fait plaisir, ça aide. Yesseusse je suis un gamin mais j'avoue pour le coup ça faisait du bien, je comprends le gémissement de joie du gros dégueulasse qui faisait caca dans la station-service à New York.
Puis j'ai compris que les employés recevaient des bonus si les guests les mentionnaient dans leurs commentaires sur booking.com à la fin de leur séjour. Je me suis dit ah ok je comprends mais d'un autre côté il n'était pas totalement frontal vis-à-vis de ça donc j'avoue qu'au fond de moi j'avais l'espoir naïf innocent gênant et débile que cet homme finalement s'intéressait un peu à moi, un tout petit peu. J'ai souvent ressenti cet étrange besoin de plaire et de séduire des êtres humains pourris qu'en vrai je n'aime pas et qui peuvent être parfois blessants voire carrément des connards finis, wow je suis quand-même spécial à être content si jamais je les fais rire. Bref à la suite de cette interaction on a eu quelques small talks bizarres où il était sympathique je trouvais ça ouais franchement bizarre puis je me disais non il va pas oser, il est quand-même pas sympathique et curieux à propos de ma vie juste pour choper de la thune, il va pas oser.
Ce matin là à la fin de mon petit déjeuner, à la fin de ses nouvelles questions polies quant à mon voyage, alors que je me dis cool il est quand-même sympa finalement même s'il est quand-même masse chelou, je suis même carrément flatté en fait finalement qu'un connard fini puisse s'intéresser à moi, wow j'ai quand-même du charisme j'inspire le respect et la curiosité à des êtres qui n'ont pas peur d'être des connards finis publiquement, bref à la fin de la petite conversation, il me dit Ah oh fait, n'oublie pas de mentionner mon nom dans ton commentaire. Il s'en va et rigole comme si de rien n'était.
Je rentre dans la chambre noire en me disant fuck ça me casse les couilles cette auberge c'est de la merde je déteste la Nouvelle Orléans c'est vraiment pas pour moi je suis trop gentil et sensible et stylé ouais ça faut le dire pour la Nouvelle Orléans, je suis quand-même stylé ouais enfin je le pense enfin je pense que je le pense ou plutôt je le dis pour compenser l'autre enfoiré que j'hésite à démonter dans mon commentaire booking.com, crois-moi j'en suis capable je pourrais faire un roman magnifique sur cet tentative de corruption horrible et terrifiante et malsaine et terriblement méchante d'un pauvre petit Bakpacker du quartier Contades de Strasbourg qui voulait juste avoir du fun à la Nouvelle Orléans et oublier son passé tragique. Mais bon en vrai je suis pas assez lâche je suis quand-même digne enfin c'est ce que je me dis j'aime bien penser ça tout de suite je me sens mieux, puis je me barre bientôt donc en vrai tranquille. Puis je me rends compte en vrai que la meuf qui a gémi bah elle est seule dans son lit en fait, a priori. Putain c'est ouf ! Ça change beaucoup de choses. C'est presque flatteur, elle s'est sentie suffisamment à l'aise dans la chambre avec moi pour se faire du bien toute seule, pour se caresser et gémir langoureusement, damn peut-être même que c'était une invitation, peut-être même qu'elle voulait mon attention et que je participe. Dans tous les cas elle a l'air d'avoir joui au son de son long gémissement en forme de daaaaaaaamn qui m'avait presque inquiété tant il était appuyé. Damn c'est presque flatteur c'est comme si j'avais contribué à la chose, qui sait peut-être que je l'ai inspirée.
L'agacement a disparu j'étais presque fière de moi, une femme de plus qui était comblée. J'avais été tenté de faire un max de bruit en faisant mes affaires et de laisser les lumières d'hôpital ultra aveuglantes et froides allumées lorsque je quitterais la chambre, parce que comme elle le disait il était exactement 8h du matin, en fait il était carrément plus tard donc ouais ma grande moi aussi j'ai tous les droits prends ça, comme je suis lâche Damn je me défoule sur une fille mais bon l'homme est un loup pour l'homme et moi je suis une tortue ou un petit agneau sans défense au passé tragique et qui cherche monsieur le berger pour me protéger des requins. Sauf que bref tout avait changé on était maintenant dans la même équipe avec ma compagne de chambre, t'inquiète j'ai capté les signaux merci et de rien je t'en prie, service. Bon après faut pas abuser elle m'avait quand-même réveillé puis la veille elle avait été bien bruyante avec son tel donc ouais fallait que je fasse quelque-chose, du coup je suis quand-même parti en laissant la lampe de chevet allumée et ouais j'ai fait ça ouais je suis sûr qu'elle avait trop les nerfs en tout cas voilà faut pas me chercher je suis pas un lâche je suis courageux.
Ce jour-là dans les toilettes de la station service dans l'état de New York, alors que l'homme dans les toilettes assis faisait comprendre qu'il était de plus en plus soulagé, et que le malade mental que je suis n'arrêtait pas d'ajuster sa ceinture sans rien ajuster du tout, je me suis quand-même demandé à quoi ressemblait l'individu expressif et soulagé et sonore. Ça pouvait pas être un beau gosse comme moi, on aime trop plaire nous les beaux gosses on est trop addicts au regard des autres et à leur reconnaissance et leur validation, on est pas assez libres on est un peu des baltringues en fait nous les beaux gosses parmi les beaux gosses, ça prend un homme courageux, un homme qui s'en bat les couilles. J'avais raison il avait l'air bien chelou et courageux et pas un beau gosse parmi les beaux gosses comme moi qui est un beau gosse parmi les beaux gosses.
J'ai eu la belle surprise de voir que l'être courageux chelou était dans mon bus en direction de New York City, il était assis tout à l'avant juste derrière le chauffeur il me semble, forcément. Pendant le trajet il s'est dirigé plusieurs fois à l'arrière du bus où étaient les toilettes, en vrai vraiment plusieurs fois c'était ouf j'étais impressionné en voilà un vraiment qui s'en bat les couilles qui est plus courageux que Marlon Brando y a pas photo, ça prend tellement plus de courage d'assumer aller aux toilettes d'un bus dont le trajet est de 9 heures, bref d'y aller et d'y revenir un nombre incalculable de fois devant presque les mêmes personnes et ce pendant 9 heures, ouais ça prend un courage et une force mentale de fou pour faire ça, un immense je m'en foutisme, bien plus de courage que les gens qui sauvent la nation ou les gens qui sauvent les gens dans le métro, respect bro, moi je stresse déjà si j'y vais plus d'une fois pendant le trajet, j'ai peur qu'on reconnaisse que je suis un chelou nerveux parmi les chelous nerveux pseudo lents et que du coup je ne fasse plus partie des beaux gosses parmi les beaux gosses qui attirent les filles vraiment intéressantes, Fuck j'aurais trop les nerfs qu'on réalise qu'en fait je suis pas un beau gosse parmi les beaux gosses mais vas-y j'ai quand-même l'impression que je suis peut-être quand-même un beau gosse parmi les beaux gosses, enfin j'espère s'il te plaît lecteur confirme. Je me demande si l'homme plus courageux qu'un militaire et qui vaut 100 policiers osait gémir comme il avait gémi lorsqu'il était dans la station-service, s'il osait le faire à chacune des dizaines de fois voire plus où il était allé aux toilettes du bus devant tout le monde, à chaque fois avec la même allure de chelou pressé et en vrai un brin ratatiné je suis sûr que tout le monde pouvait deviner qu'il allait faire caca. Wow ce serait ouf s'il avait osé gémir comme un fou, wow le courage du gars, dans ce cas oubliez tout ce que vous savez sur la guerre et faites le général, confiez lui les armées du monde entier il va nous sauver il aura pas peur c'est sûr il s'en bat les couilles c'est ouf c'est lui le vrai beau gosse parmi les beaux gosses.
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Le cheval doré
Le dernier gobelet lavé, je mis le torchon à sécher en bâillant. Plus qu’à verrouiller la porte, et au lit ! Les clients qui avaient pris une chambre étaient montés tôt, mais les habitués s’étaient attardés plus que d’accoutumée autour de la cheminée, une bière chaude à la main, retardant le moment d’affronter la pluie glaciale qui martelait le toit de l’auberge.
La main sur la poignée de la porte, je me figeai. Il m’avait semblé discerner un bruit sourd, presque imperceptible dans le déluge. D’un geste, je saisis la dague dissimulée sous ma tunique et ouvris la porte. Plissant les yeux à la recherche d’un mouvement suspect, je me maudis d’avoir laissé la lanterne allumée derrière moi. S’il y avait un archer planqué, je faisais une cible parfaite. On prend de l’âge, et voilà ce que deviennent vos réflexes…
Un claquement me fit lever la tête. L’enseigne de bois ruait sauvagement dans la tempête. Probablement l’origine du bruit que j’avais entendu. Le cheval sculpté nécessitait décidément un bon coup de peinture dorée pour continuer à justifier le nom de mon auberge.
Puisqu’aucun assassin n’avait l’air pressé de faire son œuvre, je rentrai et verrouillai soigneusement l’huis, en me demandant s’il était possible que le Comte me fît toujours rechercher, vingt-cinq ans après le vol, ou si je me donnais juste trop d’importance. Un petit défaut que je traine hélas depuis ma jeunesse, et qui m’avait décidé à participer à ce cambriolage, à l’époque. Deux compagnons de rapine m’avaient présenté l’affaire, un coup presque impossible mais qui nous mettrait à l’abri du besoin pour le restant de nos jours. « Et la gloire, Tomàs, pense à la gloire ! » Et le jeune imbécile que j’étais n’avait pas résisté à l’ambition d’inscrire son nom au panthéon des monte-en-l’air.
Entrés à trois, nous étions ressortis à deux, et n’avions dû qu’à une chance insolente notre fuite de justesse par les toits. Je ne comprendrai jamais l’acharnement des gardes à défendre des richesses qui ne leur appartiennent pas.
Prudemment, nous nous séparâmes aussitôt le butin partagé en deux part égales, et je traversai autant de comtés qu’il fut nécessaire pour ne plus voir les affiches mettant ma tête à prix avec, ma foi, une fort belle somme et un portrait malheureusement assez ressemblant - la peste soit des gardes physionomistes. La mention « mort ou vif » - et qui, dans ces conditions, s’encombre d’un prisonnier, je vous le demande ? – me donna à penser que le Comte avait pris un peu trop personnellement le fait d’être dépouillé de tous ses bijoux. Une valeur sentimentale, peut-être ?
Pendant des années, je dépensai assez pour vivre confortablement et oisivement, mais pas trop pour ne pas attirer l’attention. Puis, pensant à mes vieux jours, j’achetai ce charmant établissement. Je devins pour tous Elhin, l’aubergiste au sourire débonnaire et à l’embonpoint ceint d’un immuable tablier, que nul n’aurait pu soupçonner d’un casse dont - pardonnez ma vanité - on parle encore à l’heure où je vous raconte cette histoire.
Avec le recul, je reconnais que nommer cette auberge en référence au seul bijou que j’avais gardé par-devers moi, une petite chevalière en or ornée d’un cheval cabré, était d’une rare inconscience. C’est du moins ce qui me traversa l’esprit ce soir-là quand, me retournant, j’aperçus une silhouette dans un recoin sombre de la salle à manger.
« Tu as grossi, Tomàs. »
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Inauguration de l’Auberge de Jeunesse Dynamo - 1938
Dimanche 26 juin aura lieu l’inauguration de l’A. J. Dynamo, chalet de la Schellimatt (Petit Ballon), altitude 1 100 mètres. Cette fête est placée sous la présidence d’honneur de M. Léo Lagrange, président du C.L.A.J., et sous la présidence effective de M. le préfet du Haut-Rhin, M. Brenier, président de la Ligue de l’Enseignement, M. Bourgoin, inspecteur général, et du camarade Marc Augier, du…
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Départ ce matin avec un peu d'appréhension, du bonheur aussi. Je réalise seulement maintenant la tâche qui m'attend. Belle journée avec 28 km (pas mal pour une première étape avec le compagnon). Malgré les 13° annoncés j'ai eu chaud et je dois dire que ce sera peut-être là mon inquiétude ...la chaleur. Sinon, arrivée en pleine forme à 16h15 dans la circulation de la VILLE , vivement la campagne. Dodo dans une auberge de jeunesse (je sais plus très jeune le Pèlerin). C'était Michel en direct de Tours.
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Vendredi 10 mars : Chutes d'Iguaçu côté Argrntin, Puerto Iguazu, Misiones
Aujourd’hui visite du côté argentin. Petit-déj, bus à 9h30 d’environ 40 minutes, paye mon billet d’entrée, puis à 10h30 je suis dans le parc. Grand soleil, mais aussi grande chaleur, une chaleur humide qui me mouille toute entière. D’abord il faut emprunter le Sendero Verde, 600 mètres, qui mène a la Estacion Cataratas, où sur un paravent je découvre trois singes hurleurs courir et sauter de…
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Après 5h à être dans la gare/centre commercial, il ne me reste plus qu'à attendre mon train de 15h.
Le plus long est fait. Dans 2h, je serais dans mon auberge de jeunesse et je vais bien faire la sieste.
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Nous repassons par Tulum pour manger avant de récupérer non sans mal des lits dans une auberge de jeunesse qui nous rapproche de notre activité de demain matin.
Le cadre du resto était mimi malgré le fait qu'il soit au bord de la route donc très bruyant. Les plats étaient médiocres et un peu chers pour ce que nous avons mangé, sans doute le côté piège à touristes de Tulum !
Nous allons maintenant dormir car demain réveil un peu plus tôt que ce matin.
Bisous la mif 😘
Papa je pense fort à toi ❤️
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