#au-delà de la lumière
Explore tagged Tumblr posts
ruemorinpointcom · 12 days ago
Text
Au-delà de la lumière
Ciné-club de Chicoutimi, lundi le 24 février, 17h00 et 19h30 au Théâtre C de Chicoutimi Continue reading Au-delà de la lumière
0 notes
behindblueeyesrpg · 4 months ago
Text
[BEHIND BLUE EYES] 
coucou tout le monde 🌊
après des mois de travail et de réflexion, nous vous présentons enfin notre bébé behind blue eyes, forum city qui se situe à Charleston et qui tire ses inspirations de la série Outer Banks. avec une pré ouverture qui a eu lieu hier, nous comptons actuellement une soixantaine de membres qui sont prêts à vous accueillir et écrire avec vous. ✨
le forum se veut tranquille, tout les personnages sont les bienvenus et nous voulons que bbe soit un cocon où vous pourrez vous épanouir dans vos écrits, dans un cadre sain et posé.
Sous les chênes centenaires drapés de mousse espagnole, se camoufle doucereuse beauté aux apparences trompeuses. Élégance pour façade, outil parfaitement manipulé pour dissimuler les vérités qu’on ne veut pas dévoiler. Derrière chaque regard, un secret qu’on tait, des désirs non assumés et des murmures étouffés. Entre belles bâtisses aux balcons en fer forgé qui crachent leur luxe aux visages des plus modestes, déshérités de toute fortune sans la chance d’être privilégiés, la ville oscille entre le faste et la déchéance, entre l’illusion et une réalité plus rude à assumer. Chacun aspire à être reconnu pour ce qu'il n'est pas, à échapper au carcan des attentes sociales et à briser les chaînes de l'illusion. Mais au-delà des masques et des faux-semblants, se cache la vérité nue et crue de ce que nous sommes réellement. Entre familles influentes et gamins offerts à la rue, les rivalités entre les quartiers gangrènent et bouffent chaque habitant jusqu’à la moelle, comme un divin poison indolore. Désormais, cerner le vrai du faux s’avère être une tâche compliquée. Les nantis se pavanent dans l’opulence et l’excès sous les regards sombres de ceux qui n’ont jamais rien eu, ignorant les luttes des démunis qui survivent dans l’ombre de leurs privilèges. On se vante d’une réussite au détriment des autres, crachant ainsi sur une misère que tout le monde cache sous le tapis; par fierté ou pour ne pas faire face à ses responsabilités ou à la culpabilité qui pourrait ronger les os. Mais au-delà des tromperies, des préjugés et des chances mal distribuées, il subsiste une lueur d’espoir, un souffle de vérité qui terrasse les illusions et révèle la beauté cachée derrière les apparences bâties avec acharnement. Ici, il n’y a qu’un pas entre la lumière et l’ombre, c’est dans cette dualité que réside la véritable essence de la ville et de ses habitants.
en plus ; un rp par mois ; une semaine pour terminer sa fiche ; pas de minimum de mots ; respect des tw ; premier dc offert ; rythme chill. REJOIGNEZ-NOUS: https://behindblueeyes.forumactif.com/
DISCORD: https://discord.gg/WKUPyaKw
coeur sur vous, on vous attend avec impatience. 🦋
35 notes · View notes
ekman · 27 days ago
Text
Tumblr media
Ce qu’il advient du génie des peuples, je l’ignore. Ce que je sais – ce que l’on m’a appris – c’est que les nations européennes avaient bâti des empires, que leurs serviteurs avaient offert au monde des cerveaux et autant d’artistes majeurs, que leurs idées et leur talent avaient rayonné très au-delà des océans et que leur foi, parfois, avait élevé le cœur des hommes. 
Qu’est-il advenu, donc ? Où que je me tourne, en tout lieu du continent et jusque sur Albion, je ne vois que laideur et médiocrité, je respire un air frelaté, j’entends d'affreux langages, je ne croise que regards acérés. Voilà les femmes incarcérées dans l’étoffe et marchant la honte. Elles qui hier s’étaient émancipé du poids des fautes et des malédictions, je les vois maintenant blêmes et apeurées, rasant les murs dans l’espoir de ne point être vues. Est-ce là tout ce qui resterait de ce qui fut, bon an mal an, notre civilisation ? A-t-il fallu que nous soyons bêtes, ou négligents, ou plus simplement cupides, belliqueux et oublieux de la transcendance pour en arriver à nous échouer sur les hauts fonds de la facilité, de l’ignorance et de la soumission.
La bourgeoisie triomphante a produit des hordes de rentiers frileux, des gens gris et ternes occupés à surveiller le flot des rentes. Elle a aussi imaginé des êtres hâbleurs, des forts en gueule incarnant à grands renforts de gesticulations une autorité en carton-pâte. Ces faux durs sont des marionnettes que l’on agite dans la lumière pour rassurer le citoyen terrorisé par les agissements de la racaille, le laxisme des tribunaux et le cycle des violences que cela engendre.
La bourgeoisie vit dans ses palais cossus, dans un entre-soi ouaté où la transmission des privilèges, le népotisme et la cooptation sont la règle prévalante, et où il n’existe de mérite que dans l’art de la dissimulation et de reconnaissance que dans celui de la trahison.
En cela, les ors de la république valent largement ceux d’une noblesse de cour, dévoyée, au service de ses privilèges, ne concevant que mépris et charges pour un peuple à la fois détesté et craint.
Il faut s'émanciper du poids terrible de l'élite auto-proclamée.
J.-M. M.
19 notes · View notes
jeanchrisosme · 1 month ago
Text
Et puis, il y a ces relations qui semblent venir de loin, comme si elles étaient tissées bien avant notre naissance. Des relations d'âme, profondes et intemporelles, qui trouvent leur essence dans l'amour sous toutes ses formes, dans l'innocence de l'enfance, dans l'homme, dans la femme sans que ce soit un couple. Ces liens-là échappent au temps, aux mots, et parfois même à la compréhension. Ces relations d'âme nourrissent et transforment. Elles ne sont pas toujours faciles, car elles appellent à une vérité brute, à une authenticité totale. J'ai fait le constat qu'elles nous poussent à nous confronter à nos ombres et à embrasser notre lumière. Elles nous ramènent à ce qui est essentiel à savoir aimer sans condition, donner sans attendre, et recevoir avec gratitude. Et lorsqu'on croise une telle âme, il y a une évidence, un apaisement. Peu importe la durée de la rencontre ou les circonstances, ces relations laissent une empreinte indélébile. L'amour n'est pas seulement un sentiment, un couple, un mariage mais une force vivante, une énergie qui circule, qui transforme et qui élève. L'amour, dans ces relations d'âme, devient une expérience d'échange et de partage profond, bien au-delà des mots ou des gestes. Il n'est pas question de posséder ou de retenir, mais de laisser l'autre être pleinement, dans sa vérité.
Nelly Delas 
18 notes · View notes
crystal-linity · 11 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
au-delà de la lumière…
beyond the light…
ひかりの
向こうへ。。
44 notes · View notes
ltalaynareor · 16 days ago
Text
Le roi de Jérusalem
Tumblr media
La lumière du crépuscule baignait Jérusalem d’une lueur dorée. Baudouin IV, roi de Jérusalem, se tenait à la balustrade de sa chambre, le cœur lourd mais l’esprit enivré par la beauté de son royaume. À 20 ans, il portait le poids du monde, mais aussi le fardeau cruel de sa maladie. La lèpre, cette ombre insidieuse, l’avait marqué bien trop tôt, rongeant lentement sa chair, le promettant à une fin précoce.
Souvent, la vue de la ville sacrée lui tirait des larmes d’admiration mêlées de mélancolie. Il fixa le dôme du Rocher, scintillant sous les derniers rayons du soleil, rappelant à son esprit l’énorme responsabilité qui pesait sur ses jeunes épaules. Jérusalem, ses ruelles étroites, ses bastions majestueux, ses marchés animés, tout cela serait un jour sans roi, sans défense. Qui veillerait sur cette cité bénie, sur ses habitants, s’il n’était plus là ?
Il se remémora les premiers jours de son accession au trône, l’enthousiasme du peuple, les promesses de paix et de prospérité. Mais cette euphorie avait été tempérée par les batailles incessantes et les complots qui se tramaient dans l’ombre. La pensée de ses conseillers, plus préoccupés par le pouvoir que par le bien-être du royaume, l’angoissait. Qui le remplacerait ? Quel héritier pourrait faire face aux défis de cette terre, alors qu’il savait qu’il ne pourrait pas voir ses 30 ans, que son corps trahissait chaque jour son esprit vaillant ?
Le vent s’engouffra doucement dans les cheveux du roi. Ses yeux se posèrent sur les collines en contrebas, où les oliviers dansaient, témoins silencieux des larmes et des rires de ceux qui avaient vécu ici avant lui. Baudouin ferma les yeux, s’imprégnant des sons de la ville : les appels des marchands, les rires des enfants, le chant des croyants au loin.
« Jérusalem, belle étoile, que serai-je sans toi ? » murmura-t-il, une tristesse palpable dans sa voix. Il savait que son amour pour cette terre serait son héritage, l’ancre de sa mémoire. Que le nom de Baudouin IV résonnerait dans les siècles à venir non pas comme un roi qui a échoué, mais comme un roi qui a aimé, qui a combattu, qui a rêvé pour son peuple.
Au moment où le soleil se couchait au-delà de l’horizon, Baudouin sentit une lueur d’espoir. Il élèverait toujours sa voix pour défendre Jérusalem. Même si sa vie était limitée, son amour et son rêve pour cette cité ne connaîtraient aucune frontière, aucune fin. Et dans l’obscurité de la nuit qui s’annonçait, il prendrait le temps d’y placer des étoiles, un par un, dans le ciel de son royaume.
La nuit tomba lentement sur Jérusalem, mais pour Baudouin, ce n'était qu'un nouveau chapitre à écrire, un combat à mener, une lumière à embrasser.
11 notes · View notes
ludivinevanckerwisky · 1 month ago
Text
Au-delà des mots
Tumblr media
Tumblr media
## **Résumé :** Après une soirée au bar où Spencer entend des remarques déplacées sur Ludivine, il réalise à quel point elle a été entourée d’hommes qui ne voyaient en elle qu’un simple fantasme. Bouleversé, il lui fait l'amour avec une légère possivité , poue lui montrer qu’elle est bien plus que cela et qu’elle mérite d’être aimée pour ce qu’elle est vraiment.
Avertissements :Harcèlement sexuel, propos misogynes.Contenu explicite (scènes intimes marquées par la possessivité).Évocation d’un passé familial toxique.
### **Point de vue de Spencer Reid**
Les conversations et les éclats de rire emplissent le bar alors que je porte mon verre à mes lèvres.
La mission a été longue, éprouvante, et cette invitation de l’équipe du SWAT est une bonne occasion pour relâcher la pression. Hotch, Morgan et Rossi sont là aussi, échangeant des plaisanteries avec Deacon et le reste de son équipe.
Mais moi, je suis ailleurs. Je ne peux pas m’empêcher de penser à Ludivine. Elle n’a pas voulu venir ce soir, préférant rentrer après cette semaine éprouvante.
*Je vais me poser avec une douche et New York Unité Spéciale*, avait-elle dit en riant avant de me voler un baiser rapide en quittant le bureau.
Son absence rend ce moment un peu fade. J’aurais préféré être avec elle, même si je respecte son besoin de solitude.
Au bar, l'ambiance était étendue. Jusqu'à ce que Ramirez ouvre la bouche.
— « Dommage que Ludivine ne soit pas là. Elle aurait mis de l'ambiance, pas vrai ? »
Un autre agent du SWAT est arrivé.
— « Oh, elle aurait surtout mis les mecs à genoux. T'as vu son corps ? Cette fille, c'est un fantasme ambulant. »
Je me suis crispé.
— « Avec cette poitrine, elle pourrait faire ce qu'elle veut des hommes. »
— « Imaginez-la allongée sur un lit, les cuisses écartées… »
Morgan et moi nous sommes raidis.
— « Tu crois qu'elle est du genre à crier ou à gémir doucement ? »
Mon sang s'est glacé.
— « T'as pas peur qu'elle te dise non ? » a ajouté un autre en riant.
Ramirez a ricané.
— « Je ne suis pas obligé de lui demander. Coincée contre un mur, on peut tout faire. »
J'ai vu rouge.Morgan a été plus rapide que moi. Il s'est levé brusquement, sa mâchoire croustillante.
— « Répète ça, connard ? »
Ramirez a levé les mains en ricanant.
— « Détends-toi, c'est juste une blague. »
Je me suis levé à mon tour, tremblant de rage.— « Ce n'est pas une blague. Tu parles d'elle comme si elle n'était qu'un objet. »
— « Quoi, t'as un faible pour elle, le génie ? »Avant que je puisse répondre, une voix froide a coupé court à la conversation.—
« Ça suffit. »Hotch s'était levé. Son regard noir était fixé sur Ramirez.
— « J'en ai assez entendu. Vous deux, dehors. Maintenant. »
Ramirez a levé un sourcil, mais Deacon s'est avancé à son tour.
— « Tu veux que je te rappelle ce qui est arrivé au dernier gars qui a eu ce genre de propose dans mon équipe ? Il a fini viré.
Ramirez a hésité une seconde, puis a levé les mains.
— « D'accord, d'accord. Pas la peine de s'énerver. »
Ramirez grogne mais se rassoit, un sourire narquois toujours sur le visage.
Je retourne lentement à ma place, mais mon esprit est ailleurs.
Ludivine n’a aucune idée de ce qui vient de se passer, et je me sens coupable. Elle mérite mieux que ça.
### **Chez Ludivine**
Quand j’arrive devant son appartement, je remarque immédiatement que la porte est entrouverte. Un détail qui m’indique qu’elle ne s’attend pas à recevoir de la visite.
Je pousse doucement et entre. Elle est là, assise sur le comptoir de la cuisine, une jambe repliée sous elle, un verre de jus d’orange à la main. À côté d’elle, un paquet de biscuits entamé.
Elle porte un T-shirt ample qui glisse négligemment sur son épaule, dévoilant une partie de sa clavicule et une fraction de sa poitrine.
Son mini-short met en valeur ses cuisses, effleurées par la lumière tamisée de l’appartement.
Ses cheveux encore humides retombent en mèches désordonnées, et je devine l’odeur subtile de son shampoing qui flotte dans l’air.
Elle lève les yeux vers moi, surprise.
— **T’es déjà de retour ?**
Sa voix est calme, presque détachée, mais je perçois une pointe de fatigue derrière son ton.
Je reste figé un instant, absorbé par la scène. Elle a l’air si naturelle, si détendue… et pourtant, je vois autre chose dans son regard.
Une vulnérabilité qu’elle tente de masquer sous son air désinvolte. Je m’avance lentement.
— **La soirée a été écourtée.**
Elle pose son verre et fronce les sourcils.
— **Pourquoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?**
Je prends une grande inspiration et lui raconte tout. Les paroles écœurantes de Ramirez, les regards complices de ses collègues, la rage de Morgan, la mienne, et l’intervention tranchante de Hotch et Deacon.
Elle m’écoute sans m’interrompre, son visage impassible. Puis, contre toute attente, elle hausse simplement les épaules.
— **Ça ne me surprend pas,** murmure-t-elle en mordillant distraitement un biscuit. Je fronce les sourcils.
— **Ludivine…** Elle force un sourire, mais il sonne faux.
— **Spencer, ce genre de remarques, j’y ai droit depuis toujours. Tu crois que c’est la première fois qu’un mec parle de moi comme ça ?**
Son ton est léger, mais son regard, lui, est chargé de quelque chose de plus profond. Une douleur silencieuse. Un souvenir me frappe de plein fouet.
--- ### **Flashback**
Nous étions allongés dans son lit, plongés dans l’obscurité. Sa main traçait distraitement des cercles sur ma poitrine, son souffle régulier effleurant ma peau.
— **J’ai grandi entourée d’hommes qui pensaient comme des gougats ,** avait-elle murmuré.
J’avais tourné la tête vers elle, intrigué par son ton amer.
— **Mon père, ses amis, mon frère et ses potes… Ils parlaient des femmes exactement comme ça. Comme des objets, des trophées à exhiber. Et moi, j’étais là, j’entendais tout. J’ai grandi en sachant que, pour eux, une femme n’était jamais plus qu’un corps à posséder.**
J’avais vu son regard se perdre dans le vide, comme si elle revivait ces souvenirs.
— **Je me souviens des soirées où mon père et ses amis buvaient, riaient, racontaient leurs conquêtes avec des détails sordides. Mon frère faisait pareil avec ses potes. Et moi, j’écoutais, impuissante.**
Elle avait ri, un rire sans joie.
— **J’ai appris à sourire, à ne pas réagir, parce que si tu réponds, si tu montres que ça t’affecte, ils prennent ça comme un défi. J’ai grandi en sachant que je devrais toujours me méfier, que je devais éviter les mains baladeuses, les regards trop insitants...**
Un poids immense s’était abattu sur ma poitrine cette nuit-là. Je m’étais juré de ne jamais la laisser être réduite à ça.
--- ### **Retour au présent**
Je la vois devant moi, toujours assise sur son comptoir, jouant distraitement avec le bord de son short.
Je m’approche, posant une main sur sa cuisse nue.
— **Tu ne devrais pas avoir à t’habituer à ça.** Elle détourne le regard, mal à l’aise.
— **Je n’ai pas vraiment eu le choix.**
Je resserre doucement ma prise sur sa peau, traçant lentement du bout des doigts des lignes invisibles sur sa cuisse.
— **Tu mérites mieux, Ludivine.** Elle soupire, passe une main dans ses cheveux et me regarde enfin.
— **Pourquoi ça t’énerve autant ?** Je laisse glisser mes doigts sur sa joue, la caressant avec tendresse.
— **Parce que je t’aime.** Elle écarquille les yeux, figée sous l’aveu brutal. Ses lèvres s’entrouvrent, mais aucun son n’en sort.
Alors, doucement, je l’embrasse. Son corps se tend d’abord, surpris, puis elle cède.
Ses bras s’enroulent autour de mon cou et je la soulève du comptoir, l’emmenant avec moi jusqu’au canapé.
Nos baisers deviennent plus profonds, plus fiévreux. Elle est allongée sous moi, son regard brûlant ancré dans le mien.
Elle glisse ses mains sur ma poitrine, traçant des lignes invisibles avec ses ongles.
— **Ramirez peut m’imaginer dans tous ses fantasmes…** murmure-t-elle contre mes lèvres. **Mais il ne m’aura jamais comme toi tu m’as.**
Ces mots enflamment quelque chose en moi. La rage que j’ai ressentie au bar refait surface, se mélangeant au désir brûlant qui me consume depuis que je l’ai vue ainsi, si naturelle, si belle, si vulnérable et pourtant si forte.
Je veux lui prouver qu’elle est à moi. Je veux lui faire oublier toutes ces voix qui l’ont réduite à un objet de désir.
Alors, cette nuit-là, je suis possessif. Mes mains parcourent sa peau avec une intensité fiévreuse, marquant chaque centimètre de son corps comme s’il m’appartenait.
Je murmure son nom encore et encore, comme une prière, comme une promesse.
Mes doigts glissent sur sa poitrine, effleurant la peau sensible avec une délicatesse contrastant avec l’urgence dans mes gestes.
Elle gémit doucement contre mes lèvres, ses cuisses se pressant contre mes hanches comme si elle cherchait à me sentir plus profondément.
Quand je la touche, ce n’est pas juste du désir. C’est une affirmation.
Une manière de lui montrer qu’elle est bien plus que ce qu’ils voient en elle.
Elle est à moi. Et je suis à elle.
Je la garde contre moi, son souffle chaud effleurant ma peau, mes doigts traçant des chemins invisibles sur son dos nu.
Quand elle s’endort contre mon torse, je resserre mes bras autour d’elle.
Ramirez et tous les autres peuvent dire ce qu’ils veulent. Ils peuvent fantasmer, parler, rêver. Mais ils ne l’auront jamais. Elle est à moi.
Et je ne laisserai jamais personne lui faire croire le contraire. Parce que ce n’est pas juste du désir. C’est de l’amour.
20 notes · View notes
fablesofenvola · 1 month ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
— Les autres Magies
ces magies peuvent s'imposer à un.e envolien.ne sans particularité de genre ou d'origine.
La Magie de l'Âme - le Voile: accessible uniquement pour les envolien.nes ayant trépassé et étant revenu.es.
Capacités innées :
Sensibilité accrue à la présence des âmes errantes ou des esprits.
Immunité partielle aux sorts mentaux ou aux illusions.
Peut percevoir les véritables intentions ou émotions d’un individu en croisant son regard.
Capacités acquises (deux au choix) :
Permet de voir les souvenirs ou les traumatismes d’un individu en entrant dans son esprit.
Invoque des âmes errantes pour attaquer ou distraire les ennemis.
Guide une âme perdue vers l’au-delà, empêchant sa transformation en créature maléfique (ascension ou bannissement).
Crée un lien mental temporaire avec un allié pour coordonner leurs mouvements ou partager leurs perceptions.
Capacité ultime (une au choix) :
• L’Éveil des Ancêtres : Invoque les esprits des ancêtres pour protéger ou combattre aux côtés du mage.
La Purge Spirituelle : Libère une vague d’énergie spirituelle qui bannit toutes les entités maléfiques et purifie l’âme des alliés dans une large zone.
La magie des Songes - L'Éther :
Capacités innées :
 Peut entrer dans les rêves des autres, soit pour les apaiser, soit pour les perturber.
Immunité totale contre les effets de sommeil ou les illusions basées sur l’esprit.
Détection des troubles corporels ou mentaux en observant les rêves d’un individu.
Capacités acquises (deux au choix) :
Plonge un allié dans un état de sommeil réparateur, accélérant sa régénération.
Projette un ennemi dans un cauchemar, le paralysant ou l’effrayant temporairement.
Inflige des blessures ou des douleurs illusoires à un ennemi, affaiblissant son esprit.
Permet à un groupe de partager un rêve commun pour coordonner leurs actions ou explorer un lieu mentalement.
Accélère ou arrête un processus biologique (guérison ou hémorragie, par exemple).
Capacité ultime (une au choix) :
L’Étreinte des Songes : Plonge tous les ennemis dans une zone dans un sommeil profond, les rendant vulnérables aux attaques ou aux manipulations mentales.
Le Rêve Infini: Piège un individu dans un rêve éternel, l’empêchant d’agir ou de revenir à la réalité tant que le mage ne le libère pas.
La Magie du Soleil Eternel :
Capacités innées :
Capacité à briller d’une lumière douce ou aveuglante selon son état émotionnel, attirant ou repoussant ceux qui l’entourent. Cette lumière n’est pas simplement visible, elle réchauffe les cœurs et apaise les âmes.
Capacité à détecter l'invisible
Capacités acquises (deux au choix) :
Création d'une flamme divine, non destructrice mais purificatrice, capable de guérir ou de dissiper les ténèbres et la corruption autour de lui.
Création d'un rayon lumineux frappant l’ennemi ou l’environnement, capable de brûler.
Capacité à voir un aura de couleur autour des objets et personnes, dévoilant leurs intentions profondes.
Confère une bénédiction solaire sur un allié, guérissant les maladies et restaurant un peu de sa santé.
Capacité à percevoir et effacer les malédictions légères de la magie du sang.
Capacité ultime (une au choix) :
Le Soleil de l'Apogée : Le mage invoque un soleil miniature qui éclaire et réchauffe une grande zone. Ce rayon purificateur provoque une vague d’énergie solaire qui nettoie les âmes des influences néfastes et inflige une chaleur dévastatrice aux ennemis.
L’Avatar du Soleil : Le mage se transforme en un être de lumière éclatante, une incarnation du soleil vivant. Il devient presque intangible, brûlant tout sur son passage et guérissant ses alliés avec sa lumière sacrée.
La Magie de la Lune Mystique :
Capacités innées :
• Création d'illusions basées sur la lumière lunaire, transformant son reflet et celui des autres pour dissimuler. • Capacité à renforcer ses capacités la nuit et percevoir des choses dans le noir.
Capacités acquises (deux au choix) :
• Manipulation des ombres à sa guise (création de lames ou de zones sombres). • Manipuler les marées en fonction de la position de la lune. • Production d'une lueur lunaire dans la main qui confère un pouvoir de régénération ou d’illusion sur les blessures et les esprits. • Création d'une marque mystique sur un ennemi ou un objet, le rendant vulnérable à des attaques magiques basées sur la lumière lunaire.
Capacité ultime (une au choix) :
• L’Ombre de la Lune : Le mage crée une brume nocturne qui englobe tout autour de lui, plongeant les ennemis dans une obscurité totale où leurs sens sont brouillés et leur perception du temps altérée, les rendant vulnérables à des attaques mystiques. • L’Avatar de la Lune : Le mage se transforme en une silhouette éthérée, flottant dans l’air, baigné d’une lumière lunaire d’une beauté glaciale, il devient intouchable et manipule les ombres pour qu'elles attaquent les alentours.
8 notes · View notes
Text
Tumblr media
Lecture de tarot du roi Charles 3
Oracle des énergies : son cœur et son ego (ancrage) souhaite une guérison personnelle et du bonheur. Il s'active dans ce sens là.
On me parle d'une énergie féminine qui réfléchit qui etudie les options en vue d'une transformation. Il y a la carte de la lune avec femme, on parle d'intuition, de voir au-delà. On a aussi la carte partir, voir ailleurs, prendre un autre chemin ou laisser son passer derrière soi.
On a l'énergie d'un homme, il est connecter à son 7ème chakra, la couronne, c'est la prise de conscience ici, l'ouverture du livre du savoir. Cette carte est accompagnée par la carte de la valeur, c'est à dire, s'ouvrir à l'abondance et la prospérité.
En conclusion, on a la carte de équilibre, équilibre des émotions et des énergies.
Le tarot akashique :
Intéressant, on commence par une arcane majeur, donc une énergie importante.
On commence par la carte de la naissance accompagnée par une reine des forces et un roi des clés. Cela signifie un début de quelque de nouveau énergétiquement. L'objectif est d'équilibrer les pôles, avec la carte du roi, c'est la notion de retourner chez soi et se reposer.
Avec les esprits aimants, on nous parle des tempêtes émotionnelles qui ont traversé la BRF. Un vœux va être exaucés.
On a la carte du printemps et automne, on rentre dans une période de plantation et de préparation active. C'est le moment de faire des efforts, d'être créative, élaborer des projets, si vous continuez ainsi, une récolte peut avoir lieu plus tard.
On parle de voyage physique ou non ( déplacements, depart, voyzge, changement humeur..) mais il y a carte arcane majeure Michael = cycle de pouvoir plus important, une période de force, initiative et d'action. C'est synonyme de pouvoir personnel.
En carte de conclusion, j'ai deux cartes jeux d'échecs et équilibre, il y a eu des conflits politiques et social, des interactions difficiles au sein d'une communauté... mais avec la carte de équilibre, il y a une porte qui s'ouvre et qui laisse la lumière entrée, nous avons un bureau avec des papiers et des symboles de justice.
Tarot :
On parle de communiquer et se déplacer avec énergie après une perte, ou une déception et de transformer en une réussite et traverser les obstacles.
La BRF a faut un choix ne pas divulguer des choses pour ne pas secouer la BRF.
On termine sur des belles cartes le monde, le soleil et as de bâton. Un nouveau cycle, un nouveau départ, du succès et du bonheur dans le travail.
En conclusion, Charles essaie de trouver un équilibre entre sa santé et son travail.
9 notes · View notes
aurevoirmonty · 2 months ago
Text
Tumblr media
"Le jour olympien est le jour de l'Ordre. Zeus incarne avec la spontanéité la plus puissante et la plus digne qui soit l'idée de l'ordre comme autorité. C'est une idée qui, à travers le Deus-pater (Iuppiter) romain, répand sa lumière bien au-delà des débuts du monde antique."
Adriano Romualdi, La question d’une tradition européenne (2014)
6 notes · View notes
transparentgentlemenmarker · 2 months ago
Text
"Quoi qu’il advienne, reste en vie. Ne meurs pas avant d’avoir vraiment vécu. Ne te perds pas en chemin, ne laisse pas l’espoir s’éteindre, ne détourne pas ton regard de l’horizon. Reste en vie, pleinement, intensément, avec chaque parcelle de ton être, chaque fibre de ta peau, chaque souffle de ton âme. Reste en vie. Apprends, découvre, contemple. Lis, écris, rêve, imagine. Construis des ponts, invente des mondes, crée des merveilles. Laisse ta voix porter des mots, des pensées, des promesses. Reste en vie, en toi et au-delà de toi. Laisse le monde t’emplir de ses couleurs, de sa lumière, de sa paix. Imprègne-toi de ses nuances, accroche-toi à ses instants d’espoir. Reste en vie, pour la joie, pour les instants précieux qui illuminent le temps. Souviens-toi : il n’y a qu’une seule chose que tu ne dois jamais gaspiller, et c’est la vie elle-même."
Tumblr media
Virginia Woolf
6 notes · View notes
vague-abondage · 8 months ago
Text
Je cherche ceux dont le regard brûle ainsi, leur lumière m’attire comme une clarté réelle. Leur regard contient la force même de la vie, à la fois spectacle et acte. Les mesures temporelles n’existent plus guère. Il n’y a plus de passé, plus d’imaginaire. C’est comme si tout était inachevé, et en même temps évident, tangible, pareil au destin écrit dans les livres. Ceux dont le regard brûle ainsi sont déjà au-delà du monde, car leur regard éclaire jusqu’à la fin de toute durée..
J.M.G. Le Clézio, L'inconnu sur la terre.
15 notes · View notes
etoilementeuse · 9 months ago
Text
diabolik lovers : haunted dark bridal — prologue [traduction française]
Tumblr media
Monologue
— Plus je viens à t’aimer, Plus je désire te dévorer. Lorsque je ne ferai plus qu’un avec ce corps, Cette faim et cette douleur seront-elles enfin soulagées ? Plus je m’approche, Plus tu t’éloignes. Je te vois par delà le sable brûlant du désert, Comme un mirage illusoire. 【Lord Richter】
—— La scène débute au manoir.
Yui : Je suis venue jusqu’ici comme on me l’a indiqué, mais... Il s’agit de la maison hantée dont parlent les rumeurs, n’est-ce pas ?
Toutes les personnes à qui j’ai demandé des directions ont eu la même réaction... C’est ici sans aucun doute, pas vrai ?
(Mon parent éloigné vit ici ? Vraiment ?)
(Haa... Ceci dit, je ne pense pas que mon père ait inventé tout ça.)
—— Le tonnerre retentit.
Yui : Kyaa !!
(Quoi qu’il en soit, je n’ai pas d’autre choix que de vérifier...)
—— Yui frappe à la porte.
Yui : Excusez-moi !
—— Aucune réponse. Yui toque à la porte une nouvelle fois.
Yui : (Pas de réponse... … Ahh... … Que faire ? Il n’y a personne. Les lumières ne sont même pas allumées.)
(Cela paraît normal. Après tout, cette maison est connue pour être une maison hantée.)
(Une personne liée à l’église qui vivrait dans une maison supposément hantée... Ce doit être une erreur, n’est-ce pas ?)
—— Flashback, dans une église.
Yui : Hein !? … L’église t’impose une mutation à l’étranger ? Et tu pars dès demain...
Père : Ne crie pas, Yui. Calme-toi un peu.
Yui : Me calmer... N’importe qui serait surpris d’entendre une telle nouvelle.
Par “aller à l’étranger”, tu entends quel endroit ?
Père : Hm. En fait... ce serait en Europe de l’Est.
Yui : En Europe de l’Est ?!
Père : Oui. Quand j’étais jeune, j’ai vécu par là-bas.
J’ai reçu une requête de mutation urgente de la part de l’église.
Yui : Mais alors... Qu’est-ce qu’il adviendra de cette église ?
Père : Ils vont immédiatement envoyer quelqu’un pour me remplacer. Tu n’as pas de soucis à te faire à ce sujet.
De plus... En cas de besoin, tu seras ici au Japon.
Yui : … Hein ?
Père : Yui... Écoute. Je pense partir seul.
Yui : … !?
Père : Je ne peux pas... t’emmener avec moi.
Yui : Mais...! Tu ne vas pas y aller seul... Je veux venir avec toi...
Père : Tu ne peux pas !
Yui : … Hein !? Père ?
Père : Pardonne-moi... Il est difficile pour moi aussi de vivre loin de toi.
Mais... Tu dois comprendre que tout cela... est pour ton bien.
Yui : Uu... Tu laisses ta fille unique seule au Japon et c’est pour mon bien...?
Père : … …
Yui : (Père a vraiment l’air peiné... Mais pourquoi ne puis-je pas simplement partir avec lui ?)
… Tu ne peux pas refuser de partir ?
Père : J’y ai pensé à maintes reprises. Mais... C’est une tâche que je suis le seul à pouvoir accomplir.
Yui : Une tâche que tu es le seul à pouvoir accomplir ?
Père : Ah...
… Q-Quoi qu’il en soit, j’ai tout arrangé pour que tu n’aies pas de problème à vivre sans moi.
Je pars demain dans la nuit. En attendant, prépare tes affaires et tourne-toi vers la personne à cette adresse.
Yui : Là-bas... Qui y vit ?
Père : Je ne t’ai jamais parlé de lui auparavant à cause de conflits familiaux, mais il s’agit d’un parent éloigné.
Il est en contact avec l’église et de fait, familiarisé avec les circonstances actuelles.
Il ne te fera aucun mal, vois-le comme un père de substitution. Tu peux compter sur lui.
Yui : … D’accord...
—— Fin du flashback.
Yui : (Et dire que cet endroit se trouve être le “manoir hanté”...)
Haa... J’aurais dû partir avec mon père, quitte à m’imposer.
(Mais à ce moment-là, il insistait tellement sur le fait de ne pas vouloir m’emmener avec lui.)
(Quelle était la raison d’un refus aussi poussé ?)
(Et puis, quel est le genre de tâche qu’il est le seul à pouvoir accomplir ?)
(Père n’est qu’un simple prêtre... Et sa spécialité, c’est le jardinage...)
—— La porte s'ouvre.
Yui : Eh...!?
(Cette porte... Elle vient de s’ouvrir toute seule, non ?)
Ce n’est pas possible...
—— Yui toque.
Yui : — Excusez-moi ! Il y a quelqu’un ?
Je suis la fille de Monsieur Komori ! Je crois que mon père vous a parlé de moi... Je peux entrer ?
—— Yui entre dans le manoir.
Yui : Je suis entrée, mais... Il ne semble pas y avoir qui que ce soit à l’intérieur après tout.
(Mais si la porte est ouverte, cela signifie qu’il y a quelqu’un à l’intérieur !! C’est certain !)
Um... Je rentre, d’accord ?
(Um... Ceci dit, j’ai encore un peu peur. Mais je ne peux pas rester plantée là.)
—— Yui avance jusqu'à la pièce à vivre.
Yui : (… Au final, il n’y a personne... C’est étrange. Pourquoi la porte s’est-elle ouverte, alors ?)
… Père a du se tromper sur l’adresse qu’il m’a donnée.
(Peut-être que je devrais contacter mon père... Je ne veux pas l’inquiéter, mais...)
(Au point où j’en suis, je n’irai nulle part, sinon... Voyons voir, mon téléphone, mon téléphone... Hein !?)
Tumblr media
??? : … ...
Tumblr media
—— Un éclair frappe au dehors.
Yui : Kyaa !!
(À-À l’instant... à la lumière de l’éclair, j’ai vu quelqu’un !)
U-Um... E-Excusez-moi ?
??? : …
Yui : (Il est endormi ? Ce garçon...)
Excuse-moi ? Tu m’entends ?
??? : … …
Yui : Bonjour ? Est-ce que tout va bien...?
(Uh...!? J’ai touché sa peau un instant... elle est si froide !)
(Hein ? Il... Il ne respire pas !! Il est mort !!)
—— Le cœur de Yui bat bruyamment.
Yui : Uh... Ugh !!
(Qu’est-ce que...! Ma poitrine me fait mal, d’un coup...!)
(… Qu’est-ce qu’il m’arrive...!)
Voix inconnue : —— Où es-tu ? Où... … Où es-tu ?
Yui : (Uh... Une voix inconnue résonne dans ma tête...)
Haa... Haa... Quoi qu’il en soit... Je dois appeler une ambulance...
(Je ne me sens pas bien, mais avant tout, je dois faire quelque chose au sujet de cette personne.)
—— Yui compose un numéro de téléphone.
Yui : —— A-Allô ? Il faut faire venir une ambulance. Um... Quelqu’un est mort ici.
Uh ? L’adresse... Si je m’en souviens bien, c’est...
??? : … … Nn... ...
Yui : … Hein ?
??? : … … Tais-toi... …
Tumblr media
Yui : Kyaaaa !?
(Oh, ma cheville... Il l’a attrapée...!?)
??? : Aa— … …? C’est quoi ce bordel... Pourquoi tu cries comme ça ?
Yui : Huh !?
(Juste à l’instant... Son cœur ne battait plus... Comment est-ce possible !?)
??? : Qu’est-ce que... C’est une femme. Qu’est-ce que tu fais dans un endroit comme celui-ci ? Hein ?
Yui : T-Tu... Tu... Juste à l’instant...
??? : Quoi, “juste à l’instant” ? Juste à l’instant, je dormais paisiblement... Un problème ?
Yui : Tu... D-Dormais !? M-Mais... Il y a un instant...
(Ton cœur ne battait plus, n’est-ce pas ?)
??? : —— “Il y a un instant” quoi ?
Yui : Uh...!?
—— L'inconnu s'approche soudainement.
Yui : (Que...!? Il vient de me faire tomber !?)
??? : Tu fonces tête baissée dans les pièges, toi, hein ? J’avais justement faim.
Un en-cas dès le réveil... Hehehe...
Yui : L-Lâche-moi !! Qu'est-ce que tu fais... d'un coup !?
??? : C’est moi qui devrais dire ça. Tu es celle qui s’est introduite ici.
Yui : C-C’est vrai... Mais, je suis ici car...
??? : La ferme.
—— Yui se débat.
Yui : Ah... !! Non... Non !!
??? : Quelle proie farouche. Ne fais pas l’idiote... Tais-toi un moment.
—— L'inconnu déchire le haut du Yui.
Yui : K-Kyaaa !?
(C-Cette personne... Est vraiment étrange ! Faire ça si soudainement...)
Uh... Ne me touche pas !!
(Seigneur...!!)
—— Le cœur de Yui bat bruyamment.
??? : Woah !?
—— L'inconnu s'éloigne.
??? : Uh...!!
… … !? Q-Qu’est-ce qu’il se passe !?
Tumblr media
??? : Pourquoi est-ce si bruyant ici ? J’aurais aimé que tu ne fasses pas autant de bruit dès ton réveil, Ayato.
Ayato : Ugh... Reiji...
Reiji : Que se passe-t-il ? Tu sembles surpris.
Yui : (… Je dois m’enfuir, maintenant...!!)
—— Yui court vers Reiji.
Ayato : Ugh...! Hey !!
Yui : S-S’il vous plaît, aidez-moi...!!
Reiji : Hm ? … Et tu es ?
Yui : Um, je... Mon nom est Komori Yui. Je suis supposée vivre ici à partir d’aujourd’hui...
Reiji : Hein ? Vivre ici ? Ayato, qu’est-ce que tout cela signifie ?
Ayato : Huh... J’en sais rien moi ! Hey, la planche à pain¹ ! Tu m’as jamais parlé de ça.
Yui : C-C’est parce que... Tu m’as soudainement attaquée ! … Attendez, “planche à pain” ?
Ayato : Idiote ! Je parle de toi, évidemment, plan—che—à—pain !
Yui : Huh...!
(Que- Que se passe-t-il !? Je ne comprends rien !)
Ayato : Quoi qu’il en soit, Reiji. Tu as entendu parler de ça ?
Reiji : Non, je n’ai rien entendu de tel.
Yui : C-Ce doit bel et bien être une erreur, dans ce cas... Um... Qui êtes-vous ?
Reiji : Mon nom est Reiji. Sakamaki Reiji.
Yui : Reiji-san²...
(Me voilà rassurée. Avec cette personne, j’ai l’impression de pouvoir discuter. Pas comme avec cet Ayato.)
Um...
Tumblr media
??? : Eh bien eh bien ?
Yui : Uu...!?
—— L'inconnu parle tout près du visage de Yui.
??? : Une jolie petite humaine dans un endroit tel que celui-ci ?
Yui : Kyaa!?
(C-Cette personne est apparue de nulle-part !?)
??? : Fufufu... Ravi de te rencontrer, Bitch-chan³...
—— L'inconnu lèche Yui.
Yui : … … !!
(Il vient de me lécher...!!)
—— L'inconnu recule.
Reiji : Laito. N’est-il pas impoli de se comporter de la sorte avec une femme que tu viens juste de rencontrer ?
Laito : Fufu. Reiji est aussi coincé que d’habitude. Quel est le problème ? Cette fille est trop alléchante pour ne pas y goûter.
Ayato : Bon sang ! Je vais te tuer, bâtard ! Ne bave pas sur la planche à pain avant moi.
Laito : Fufufu. Il faut bien que je goûte aux choses délicieuses quand je les vois, non ? Autrement mes sauvages de frères les mangeront avant moi.
N’est-ce pas, Kanato ?
Tumblr media
Kanato : —— Laisse-moi te goûter aussi, s’il te plaît. Ne bouge pas, d’accord ?
—— Il lèche Yui à son tour.
Yui : Hiii...!
Kanato : Hm. C’est sucré... Elle a plutôt bon goût, pour une humaine de son genre.
Yui : … … !?
(Encore quelqu’un apparu de nulle part... Mais qu’est-ce qu’il se passe ?)
(Et on m’a encore léchée...!)
Kanato : Dites, pourquoi cette fille est ici ?
Laito : N’est-elle pas un plat du repas de ce soir ?
Ayato : Bande d’idiots. Vous avez tout faux. Elle est à moi. Je l’ai trouvée en premier, pas vrai ? Hehehe.
Reiji : —— Et pourtant, elle t’a filé entre les doigts.
Ayato : Va te faire voir, Reiji ! Pas la peine d’en rajouter !
??? : Hah... Pathétique.
Yui : … … !?
(Une voix sortie de nulle-part...?)
Ayato : Hah ? Hey, cette voix, c’est Subaru pas vrai !? Montre-toi, enfoiré.
Tumblr media
Subaru : Hmpf...
Yui : (Huh...!? Cette fois, il n’y a plus de doute... Je croyais que c’était mon imagination, mais...)
(Ce garçon vient d’apparaître de nulle-part !)
Subaru : Je me disais bien que ça sentait l’humain... C’est donc à cause de toi.
Par ta faute, j’ai perdu du temps précieux que j’aurais pu passer à dormir. Comment tu vas te faire pardonner ?
Yui : M-Mais je...
(Que devrais-je faire...! Ces gens sont si étranges...!?)
Subaru : Hey, et si tu répondais à ma question, hein !?
—— Subaru donne un coup de poing dans quelque chose.
Yui : Kyaa...!!
Laito : Eh bien ! Tu es aussi tête brûlée que d’habitude, petit frère. Fufufu.
Subaru : La ferme, le pervers en chaleur ! Je te considère absolument pas comme mon frère aîné.
Kanato : … Si agaçant. Si tu ne fermes pas ta vilaine bouche, je la découperai en morceaux, tu sais ?
Subaru : Heh. J’aimerais bien voir comment tu comptes t’y prendre, le minus.
Kanato : Hm... Teddy. Regarde bien. Voici notre nouvelle proie.
Reiji : Haa, allons allons. J’ai beau être de nature calme, tout cela commence à m’agacer.
Ce que vous comptez faire de cette fille m’importe peu... Du moins, c’est ce j’aimerais dire.
Je ne supporte pas que mes insolents de frères se battent pour toi.
En premier lieu, explique-moi ce que tu es venue faire ici.
Yui : C-C’est... Parce que...
(Que faire... Je suis trop effrayée pour parler !)
Parce que...
Ayato : Qu’est-ce que t'as, la planche à pain ? Tu trembles ?
Laito : Fufu. Elle est adorable, ça me donne envie de la dévorer.
Kanato : Hehe... Elle claque des dents. Elle a vraiment peur de nous, on dirait.
Yui : C-C’est évident, non ? C’est effrayant, ici...
Et vous... Je n’y comprends rien.
Ayato : Qu’est-ce que tu comprends pas ? On n’est pas si difficiles à comprendre, pourtant.
Laito : Du moins, peut-être pas aussi faciles à comprendre que ce qu’Ayato peut croire ?
Reiji : Mettons un terme à cette discussion qui ne va nulle part. Vous commencez sérieusement à me faire perdre patience.
Toi, là-bas. Il est inutile d’être aussi effrayée. Explique-moi la situation, au plus vite.
—— Reiji fait claquer son fouet.
Reiji : Tu ne voudrais pas que j’en vienne à te fouetter pour te faire parler, n’est-ce pas ?
Yui : Uu... J-Je comprends ! Je vais parler ! Je vais parler !!
—— Ellipse, après les explications de Yui.
Yui : —— Et c’est ainsi que je suis arrivée ici...
Ayato : Pff... Hahahaha...! T'es une fille de l’église ?
Yui : Je le suis... Quel est le problème ?
Subaru : Pas étonnant que tu aies cette odeur.
Reiji : Une fille de l’église qui arrive dans ce manoir. Victime d’un tel destin...
Je n’ai aucune idée de qui pourrait être ce parent dont tu parles.
Yui : Um... Comme je le pensais, j’ai sûrement fait erreur.
Laito : C’est dommage, mais il semblerait que ce soit le cas. Quelqu’un en contact avec l’église n’enverrait jamais personne ici.
Kanato : Laito, serait-ce de l’auto-dérision ?
Laito : Fufu, peut-être.
Yui : … Dans ce cas, je vais m’en aller. Je m’excuse d’être entré dans votre manoir si tard le soir.
(Il faut que je me dépêche de quitter cet endroit ! Si je reste quelques secondes de plus, je serai sûrement en danger...)
Ayato : —— Attends un peu.
Yui : … …!!
(… Vient-il de se téléporter !? Il est apparu juste devant moi, d’un coup...)
Ayato : T’as nulle part où aller, pas vrai ? Reste ici.
Laito : Aah, je suis d’accord. Cette maison est si ennuyeuse, il n’y a que des garçons...~
Si Bitch-chan reste avec nous, elle saura apporter un peu d’excitation à notre quotidien.
Yui : … J-Je refuse !!
—— Yui s'enfuit en courant.
Ayato : Hey, reviens ici !
Yui : (Hors de question...!)
—— Yui retourne à l'entrée du manoir.
Yui : (Mais qu’est-ce qu’il vient de se passer ? Je dois être en train de rêver !?)
(Je croyais que cette histoire de maison hantée n’était qu’une légende urbaine... Mais on dirait que non...)
(Pourtant, quand je pense à une maison hantée, je pense plus à des fantômes et des esprits !)
Amen... Seigneur, aidez-moi !
Tumblr media
??? : Oi... Tu fais trop de bruit, à courir partout.
Yui : Huh...!?
(M-Mais c’est... Encore quelqu’un qui se téléporte devant moi...!)
V-Vous... Vous êtes l’un des leurs vous aussi ?
??? : L’un des leurs...? Ce n’est pas très plaisant à entendre.
Yui : D-Dans ce cas...
??? : Si je devais l’expliquer, je dirais que nous avons une connection regrettable mais éternelle.
Yui : Regrettable mais éternelle...?
Tumblr media
??? : —— Es-tu la fille dont il a parlé ?
Yui : Il...?
Ayato : Oi, Shuu ! Tu sais quelque chose à propos de cette histoire ?
Shuu : … En quelque sorte.
Kanato : Je n’aime pas cette réponse. Je veux que tu nous explique la situation en détail.
Shuu : Il m’a contacté l’autre jour... “Elle vivra avec vous, occupez-vous en”. C’est tout ce qu’il a dit.
Ayato : Haah ? Alors la maison dont parlait la planche à pain tout à l’heure...
Laito : Eh bien...! Quelle aubaine.
Reiji : Il semblerait que tu ne te sois pas trompée, finalement.
Yui : I-Impossible !?
Ayato : Idiote. Nous n’avons aucune raison de te mentir.
Yui : C-Cela n’a aucun sens ! Mon père est prêtre à l’église et j’ai été envoyée ici par l’église...
Shuu : Je ne vois pas le problème.
Kanato : Y a-t-il un problème ?
Yui : Uu... B-Bien sûr que c’est étrange. Vous êtes...
Ayato : On est ?
Yui : Eh bien...
Shuu : Est-ce que c’est parce qu'on est des vampires ?
Yui : Hein ? D-Des vampires ?
Ayato : Aah. Voilà qu’il gâche tout en révélant nos identités.
Yui : J-Je ne comprends pas ce que vous dites...
Kanato : C’est pourtant simple à comprendre. Nous sommes des vampires. Ni plus, ni moins.
Yui : … …!? Vous plaisantez ? Des vampires ? C’est impossible...
Reiji : … Tu nous accuses de mentir depuis que tu es arrivée ici. Comme c’est déplaisant. Ayato te l’a dit, nous n’avons aucune raison de te mentir.
Yui : M-Mais...!
Laito : Allons, allons. Bitch-chan, tu ne veux pas admettre notre existence, c’est ça ?
Subaru : Je me fiche qu’elle refuse de l’admettre ou non. Ferme-la.
Yui : (Des vampires... Ils me font marcher, c’est certain !)
(C’est impossible que de telles créatures existent.)
(Quoi qu’il en soit, il faut que je contacte mon père et que je lui demande la vérité... Mon téléphone...)
Ayato : Hey, c’est ça que tu cherches, peut-être ?
Yui : C’est...!! Mon téléphone ! Rends-le moi !!
Ayato : Hehe... Que faire ?
Yui : Hey ! Arrêtez ! Vous n’avez pas le droit de faire ça !
Ayato : C’est quoi ce ton ? Je l’ai juste gentiment ramassé.
C’est comme ça que tu me remercies !?
Yui : Uh...!
Subaru : Hey, Ayato. Passe-le moi pour voir.
Ayato : Haa ?
Subaru : Tsk... Passe-le moi, j’ai dit !
Yui : … Hé, attendez, qu’est-ce que vous allez en faire...!?
Subaru : … Ça !
—— Subaru casse le téléphone portable.
Yui : Ah...!!
Subaru : Vous m’avez tapé sur les nerfs.
Yui : (Mon nouveau téléphone... Il est cassé...!!)
Vous êtes cruels...!!
Laito : Allons, allons, Bitch-chan. Tu finiras par bien t’entendre avec nous, les créatures de la nuit.
Tu n’auras pas besoin d’une chose aussi futile qu’un téléphone portable, pas vrai ?
Yui : Q-Qui a dit que j’allais rester vivre avec vous...!?
Kanato : Alors, tu t’en vas ?
Yui : Bien sûr que je m’en vais...! Vous n’aviez même pas besoin de me poser la question !
Kanato : Aah, je vois. C’est parfait alors.
Yui : Comment ça !?
Kanato : Cela fait un moment que j’ai faim...
Yui : … Que...!?
Kanato : Tu es vraiment idiote, n’est-ce pas ? Quand un vampire dit qu’il a faim, cela ne veut dire qu’une seule chose.
—— Kanato pousse Yui au sol.
Yui : Kyaa...!!
(Il m’a fait tomber...!?)
Ayato : Attends un peu, Kanato ! Je suis plus âgé, je passe en premier !
Kanato : Haha. Qu’est-ce que tu racontes ? Ça ne marche pas comme ça.
Il est trop tard pour les regrets, tu sais ? Ton sang a l’air sucré et délicieux... Hehe.
Yui : (Ses crocs... touchent... mon cou...?)
Kanato : Je le boirai jusqu’à la dernière goutte... D’accord ?
Yui : (C-Comment me sortir de là...!! Ah, je sais...!!)
A-Attends une seconde !
Kanato : —— Quoi ?
Yui : Prends... ça !!
—— Yui brandit son rosaire.
Kanato : Hein ?
Laito : Fufu... Fufufufu... Bitch-chan, tu es si amusante ! C’est un rosaire ?
Reiji : On dirait que tu as préféré utiliser des méthodes clichées. Comme c’est idiot.
Yui : Q-Quoi ? Mais, les vampires détestent les crucifix, l’ail et l’eau bénite...
Ayato : Dans quel genre de conte de fée t'as entendu ça ? C’est n’importe quoi.
Yui : Je refuse d’entendre cela de la part de quelqu’un semblant tout droit sorti d’un conte de fées !
Kanato : Ça m’agace... Mon festin vient d’être gâché sous mes yeux...
Comment comptes-tu te faire pardonner ?
Yui : Un festin... Ne dis pas n’importe quoi ! Je suis humaine, tu sais !
Shuu : Haa... Quelle plaie. Tu ne comprends pas ?
Pour nous, les humains sont comme des repas.
Ayato : T'es vraiment stupide, comme fille.
Yui : Je ne peux pas accepter l’existence des vampires !
Laito : Hmm. C’est plutôt triste. Bitch-chan, le meilleur moyen pour que tu acceptes de reconnaître notre existence...
Est de faire ça, n’est-ce pas ?
—— Laito se rapproche.
Yui : (S-Si soudainement...!!)
Laito : Merci pour le repas... Fufu !
Yui : J-J’ai compris ! Je comprends, alors attendez une seconde !!
Laito : Hors de question.
Yui : Non... Mon sang n’est pas en libre service !!
Si quelqu’un doit boire mon sang, j-je veux au moins choisir qui !
Ayato : … Huh ?
Yui : (Um... J’ai juste dit ça pour les arrêter...)
Attention ! Ici, la fin du prologue diffère en fonction de deux situations.
Si c'est la première fois que vous jouez (vous n'aurez alors le choix qu'entre Ayato, Laito et Kanato pour l'instant) :
Reiji : Comme c’est déplaisant. Sans même que l'on sache si ton sang est bon ou mauvais, tu te prends déjà pour une sorte de prostituée de luxe.
Subaru : C’est ridicule. Je me casse d’ici. Faites ce que vous voulez entre vous.
Ayato : Oh ! Un candidat en moins ?
Subaru : Hmpf.
—— Subaru s'en va.
Reiji : Je refuse aussi. Cette femme n’est pas assez disciplinée pour que j’accepte.
Shuu : C’est n’importe quoi. Mettez fin à cette farce entre vous.
—— Reiji et Shuu s'en vont.
Laito : Quelle bande de grincheux~ Ils devraient apprendre à s’amuser un peu.
Ayato : C’est mieux comme ça, non ? Ce sera plus facile pour elle de choisir, comme ça.
Kanato : Hm, c’est mieux lorsque toute nuisance est éradiquée.
—— Si tu ne me choisis pas... Dis, Teddy ? Nous la découperons en morceaux, pas vrai ?
Ayato : Les choses deviennent intéressantes... Evidemment, c’est moi que t'as choisi, pas vrai ? C’est certain !
Laito : Bitch-chan ? Si tu ne me choisis pas... tu finiras par le regretter plus tard, tu sais ?
[AYATO] [LAITO] [KANATO]
Si vous avez déjà obtenu au moins une fin (vous pourrez choisir n'importe quel personnage) :
Subaru : C’est stupide. Laissons-la faire ce qu’elle veut.
Ayato : Oh ! On te voit rarement aussi enthousiaste, Subaru.
Subaru : Hmpf.
Reiji : Hm... Tu as probablement raison. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de discipliner une femme aussi mal élevée.
Kanato : Si tu ne me choisis pas... Dis, Teddy ? Nous la découperons en morceaux, pas vrai ?
Ayato : Les choses deviennent intéressantes... Evidemment, c’est moi que t'as choisi, pas vrai ? C’est certain !
Shuu : Peu m’importe. Dépêchez-vous simplement de mettre fin à cette farce.
Laito : Bitch-chan ? Si tu ne me choisis pas... tu finiras par le regretter plus tard, tu sais ?
Yui : (J’ai proposé de choisir quelqu’un sous la pression, mais... que faire, maintenant ?)
[SHUU] [REIJI] [SUBARU]
¹ Ici, Ayato appelle Yui "chichinashi", qui veut dire "sans seins". C'est une moquerie sur la petite taille de sa poitrine, qui finira par devenir LE surnom qu'Ayato va utiliser lorsqu'il s'adressera à elle. J'ai décidé de le traduire pour des raisons pratiques, mais ce ne sera pas le cas de tous les surnoms employés (et il y en a BEAUCOUP dans cette franchise...) ² Yui s'adresse à tous les Sakamaki par leur prénom suivi d'un suffixe différent selon la personne (-san, -kun). Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec la langue japonaise, on se réfère rarement à quelqu'un par son prénom seul. En l'occurrence, ici, Yui utilise le suffixe -san (qui est respectueux, et le suffixe le plus commun, que l'on utilise quand on n'est pas proche de quelqu'un et/ou lorsque la personne est plus âgée) car elle vient de rencontrer Reiji. Mais par la suite, elle continuera de s'adresser à lui et à Shuu avec le même suffixe peu importe leur proximité, car les deux sont plus âgés qu'elle. ³ Encore un surnom, et pas des moindres... Ici, Laito donne un surnom vraiment, vraiment dégradant à Yui ("bitch" signifiant "chienne"), suivi du suffixe -chan, qui s'emploie quand on s'adresse à une jeune fille, une petite fille, ou même un animal de compagnie. On pourrait le traduire en français par "petite chienne", mais c'est très violent, alors je préfère le laisser tel quel.
12 notes · View notes
ekman · 2 months ago
Text
Tumblr media
Georges de La Tour est parvenu à peindre l’instant où la flamme devient fumée, l’instant où ce fil de lumière se dissipe puis épouse les ténèbres. Georges de La Tour a capturé l’instant insignifiant et la physique la plus banale, imbriquant l’un dans l’autre et l’une au-delà de l’autre, dans une alchimie miraculeuse qui nous fait mesurer la confusion dimensionnelle de l’existence : l’éternelle transformation de toute chose à la mesure du Temps qui s’enfuit. Tempus fugit, bien sûr, qui change aussi la certitude en doute, le besoin en manque, le sourire en larmes.
J.-M. M.
12 notes · View notes
tokyofuturnoir · 1 year ago
Text
Trajectoire(s)
Ce matin-là, le trafic sur l'autoroute a l'épaisseur d'un asphalte surchauffé.
Expressway Shuto, artère au bord de la rupture.
Ayame se coule là-dedans avec assurance. Couchée sur le rouge de sa Yaiba, elle surimpose au monde sa trajectoire rêvée jusqu'à perte de vue. Quelques corrections imposées par les mouvements probables des véhicules autour d'elle (logiciel de navigation à l'appui) n'altèrent pas le plaisir de sa glisse. Courbes longues, virgules brusques, droites à plein débit. 
L'air écoulé sur les flancs de la moto soulève un manteau d'un gris de perle, semé de motifs que la lumière révèle ou dissimule. Deux ailes liquides de nanotextile tremblent dans le dos du pilote.
Ayame passe, inaperçue.
Son sillage n'est pas une somme de turbulences et de rugissements, mais un seul souffle sans aspérité, où l'on capte peut-être l'écho d'une fureur enclose.
Néo Tokyo se déploie au-delà des glissières, succession d'horizons cloisonnés par des géométries massives, opaques ou transparentes. Mais la cité s'annonce mieux dans les icônes d'une réalité toujours augmentée, dans la profusion des panneaux et des flèches, où les noms suggèrent la profondeur d'une carte que l'oeil ne parvient jamais à encercler. 
Les deux cents chevaux survitaminés plaquent Ayame contre l'autoroute, la tirent tout au long du rail d'alu qui la sépare de la chute.
Un regard en coin lui montre le noeud de l'échangeur, maillage des voies en surplomb des trottoirs, chacune matérialisant des décisions intimes, des coups de chance, des déveines, une accumulation de choix qui font une vie. Une existence réduite trop vite à des sillons que l'on recreuse chaque matin.
Personne n'y échappe, pas même les corpos frimeurs dans leurs petits appareils brillants à décollage vertical.
Là-haut aussi, tout l'espace n'est pas ouvert au désir. 
Tumblr media
21 notes · View notes
zakariesworld · 1 year ago
Text
Ne tombez jamais amoureux d'une femme qui sourit, qui rougit, qui tremble sous votre câlin, qui pleure, qui soupire et qui s'excite en lisant de la poésie.
Si elle est amoureuse de poésie romantique
vous n'allez pas la conquérir avec des mots tendres ou doux car elles les ont déjà tous lus ou entendus.
EIles vont au-delà de la conjugaison de vos verbes et adjectifs ;
EIles voudront lire l'orthographe parfaite de vos messages et entendre l'éloquence et plus que la sophistication de vos mots...
Ce sont des femmes romantiques et intelligentes , dans leur bibliothèque personnelle elles ont Neruda, Benedetti, Cortazar, Sabines et quelques autres jeunes poètes d'aujourd'hui.
Elles aiment sortir prendre un café avec un livre dans leur sac, et elles partagent leur poème préféré sur leur Tumblr ,elles ont des centaines de poèmes écrits dans les notes de leur smartphone, qu'elles retranscrivent depuis leur chaise de travail jusqu'à la lumière rouge d'un feu tricolore, grande avenue ;
Tumblr media
EIles sont impétueuses au moment de l'inspiration.
Des tempêtes et des raz-de-marée d'histoires, d'idées et d'expériences se rassemblent pour composer en un éclair leurs œuvres littéraires les plus intimes.
Si vous aimez les poèmes tristes ou déchirants, ce sont les plus sensibles mais les plus fortes,
Elles s'effondrent mais dans leur solitude, elles n'aiment pas qu'on les voie lire car d'habitude une larme s'échappe , il y a ces femmes qu'il faut aimer faites-les très soigneusement afin de ne plus les casser.
Elles deviennent intenses et extrêmement persuasives et semblent emporter avec elles une boule de cristal où Elles pourraient déchiffrer n'importe laquelle de vos intentions...
Pour ceux qui aiment la poésie érotique , ici la situation est un peu plus difficile, elles ne sont impressionnés par rien, leur créativité en matière de sexe n'a pas de limites, il faut être un salaud au lit et un séducteur pour le faire se sentir estimé.
Il faut avoir l'imagination de Lewis Caroll et l'emmener dans un monde de merveilles, la perversion
de Sade, laid mais sûr de soi comme Bukowski, et avoir cette touche romantique comme García Marque
~inconnu
25 notes · View notes