#artist: troy lin
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Submitter's Note: Smile at my Cursed Dream is the song used in the release date announcement trailer for the game.
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Song: Our Passion (Fuxi & Nuwa's Theme) Artist: FFXX, Troy Lin From: Nine Sols
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christophe76460 · 9 days ago
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"Jésus-Christ est vraiment ressuscité !"
Il n’y a pas l’ombre d’un doute.
En plus du témoignage de tous les témoins oculaires, il y a le Saint-Suaire.
La cathédrale de Turin conserve depuis 1453 une pièce de toile de lin de 1,10 m de large sur 4,36 m de long. Ce tissu comporte sur une face l’image d’un corps de face et de dos, opposée au niveau de la tête.
Indubitablement, cette représentation est celle d’un crucifié qui, en plus, a reçu une profonde blessure dans la région du cœur et présente également de nombreuses marques de coups de fouet et des piqûres sanglantes au niveau de la tête. Mais pour les chrétiens, ce n’est pas n’importe quel crucifié, c’est bien l’image du Christ mort sur la croix du Calvaire le 5 avril 30 et ressuscité le 8 avril de cette même année. (Voir l’étude publiée dans "Trois jours et trois nuits". Editions Tarmeye, 1990)
En dehors d’une période qui va de 1204 (pillage de Constantinople par les chevaliers de la quatrième croisade) à 1357 (réapparition du Suaire en Champagne), l’histoire de la relique est assez bien connue. Avant la fin du XIXème siècle, très peu de personnes ont mis en doute son authenticité.
Une équipe pluridisciplinaire de savants, le STURP (Shroud of Turin Research Project) a étudié le Suaire en 1978 d’une façon très approfondie et démontré qu’il s’agit bien d’un tissu du Ier siècle de notre ère; l’image n’est pas une peinture, ni un dessin, mais l’équipe n’a pas voulu se prononcer sur l’identité de la personne crucifiée, considérant qu’il y avait une infime probabilité pour que ce ne soit pas Jésus-Christ.
En 1988, l’analyse d’un morceau du Suaire avec la technique de datation au Carbone 14 donne une date moyenâgeuse de création. Cette annonce, impliquant que le Saint-Suaire serait un faux, déclencha une intense polémique et plusieurs spécialistes finirent par démontrer que le morceau analysé provenait d’une partie du Suaire habilement raccommodé à la Renaissance. Une seconde analyse en 2011, arriva à la même conclusion : une “fabrication” entre 1260 et 1390. Mais des doutes sérieux subsistent : de quelle partie du Suaire provenait ce nouvel échantillon ? Etait-ce un morceau conservé du prélèvement précédent ? Dans ce cas, il ferait aussi partie du raccommodage et ne permettrait pas de juger l’ensemble.
Faux ou pas faux ? Fabriqué ou non en Champagne ? Et si le C14 n’était pas fiable ?
Le Suaire de Turin peut-il avoir été fabriqué au Moyen-Age ?
Etudions les différentes données qui permettront de répondre à cette question.
1. Le Suaire a été tissé au Proche-Orient selon une technique utilisée alors, dans cette région, au début de l’ère chrétienne. Ce mode de tissage, dit ��en chevrons”, est complètement différent de celui qui était pratiqué en Champagne au milieu du XIVème siècle. Même avant cette époque, les tisseurs champenois n’ont jamais pratiqué le tissage en chevrons.
2. Le Suaire est un tissu de lin qui contient d’infimes traces de coton. Or, au Moyen-Age, on n’a jamais tissé de coton en Champagne. Par contre, les métiers à tisser du Proche-Orient, au début de notre ère, pouvaient servir à confectionner aussi bien des toiles de lin que des tissus de coton.
Ainsi, sur un même métier à tisser, passant d’un genre de tissu à l’autre, les toiles de lin pouvaient contenir des fibres de coton et inversement les toiles de coton pouvaient receler des fibres de lin.
3. L’examen du Suaire au microscope révèle la présence de pollens ou de spores de quarante-neuf plantes différentes dont certaines poussent en Europe. Mais beaucoup de ces pollens et spores sont particuliers à des espèces végétales du Proche-Orient et du sud de la Turquie, lesquelles sont totalement inconnues en Champagne.
Un faussaire du XIVème siècle, aussi génial eût-il pu être, ne pouvait connaître cet aspect particulier des pollens qui ne fut découvert qu’à la fin du XIXème siècle. Ainsi est-il évident que le Suaire a transité par le Proche-Orient.
Peut-on alors imaginer un artiste de Champagne allant chercher au Proche-Orient un linceul de grande dimension – tissé avant le premier ou le deuxième siècle, donc vieux de plus d’une douzaine de siècles – l’imprégner de pollens différents et de poussières propres au Proche-Orient et ensuite y reproduire l’image du corps d’un crucifié et faire passer ce travail pour une vraie relique ?
4. Parmi les poussières recueillies sur le Suaire, on trouve, au niveau des pieds du supplicié, des cristaux d’aragonite. Cette roche cristalline présente des particularités locales qui permettent de situer l’endroit d’où elle provient. Or, l’aragonite trouvée sur le linceul est de la même nature que celle qui constitue les chemins de Jérusalem menant au Golgotha.
Comment un faussaire du XIVème siècle aurait-il pu connaître cet aspect de la question ? Il aurait fallu qu’il sache que toutes les aragonites du monde ne sont pas semblables et, pour le savoir, il aurait fallu d’abord qu’il dispose d’un excellent microscope (invention datant de 1600) et qu’ensuite il analyse un certain nombre d’échantillons de roches. Il se devait de faire lui-même cette étude car aucun document de son époque ne montre ce genre de recherche et ces connaissances n’apparaissent qu’au XXème siècle. Il aurait dû se rendre à Jérusalem pour recueillir de la poussière d’aragonite et en saupoudrer son faux linceul au niveau des pieds de son crucifié.
5. Des spécialistes ont prouvé que cette image du corps sur le Suaire n’est pas une peinture. Les fils du tissu, en surface comme dans leur épaisseur, ne contiennent pas la moindre trace de pigment. Les détracteurs disent que les pigments ont disparu avec le temps. Si cette hypothèse de disparition était exacte, l’image aussi aurait disparu : une peinture, en effet, ne modifie pas la texture de son support. Mais alors de quoi et comment cette image est-elle constituée ?
Les peintres travaillent par touches successives. Une œuvre ne peut jamais être réalisée par des coups de pinceau se juxtaposant si parfaitement qu’on ne distinguerait pas les limites de chaque application. Le coup de pinceau suivant recouvre toujours une partie de la zone du précédent. De plus, chacun laisse davantage de peinture sur les bords qu’au centre de la zone où il est donné. Or, l’image sur le Suaire ne montre aucune superposition. De plus, un peintre donne toujours ses coups de pinceau dans la même direction, à quelques degrés près. Rien de tel pour le Saint-Suaire.
Ainsi, l’absence de direction dans l’image, de surépaisseur et de pigment suffit à prouver que cette reproduction n’est pas l’œuvre d’un peintre.
De plus, l’image n’est pas d’une grande netteté, mais légèrement floue. Alors que l’analyse précise des fibres de lin n’avait pas encore permis de rejeter l’hypothèse d’une peinture, plusieurs spécialistes ont fait remarquer que la réalisation d’un dessin, flou de près, sur un tel tissu, aurait nécessité l’utilisation d’un pinceau d’au moins un mètre de long, n’ayant qu’un seul poil. Réussir à peindre chaque fibre, une à une, sans trembler ni déborder, avec un tel matériel, est impossible ? Mais ce n’est pas de la peinture, puisqu’il n’y a ni pigment, ni trace de direction, ni de débordement.
Les fibres du linceul ne sont pas modifiées en profondeur. L’image n’est que superficielle : elle concerne moins d’un millième de millimètre sur le dessus des fibres. Dans le cas d’une peinture, les pigments se seraient infiltrés dans les fils et il n’y aurait pas cette superficialité incontestable.
Ces fibres du Suaire, aux endroits en contact avec le corps du Christ, sont seulement “roussies” superficiellement en plus ou moins grand nombre et c’est la densité des fibres roussies qui donne les nuances de l’image. Il faudrait alors imaginer le faussaire avec un fer à repasser doté d’un très long manche et dont la sole chauffante aurait eu la largeur d’une fibre de tissu. Même problème que pour le pinceau. Avec trois difficultés supplémentaires : maîtriser la température de chauffe; régler pour chaque fibre le bon degré de roussi; éviter d’empiéter sur les fibres voisines ! Opération irréalisable avec les moyens techniques du Moyen-Age, et même avec ceux d’aujourd’hui.
6. De nombreux chercheurs ont essayé sans succès de reproduire expérimentalement l’image d’un corps mort sur un drap l’enveloppant. Mais seul le Saint-Suaire porte une image. On n’a jamais réussi à reproduire sur un tissu ce que l’on peut photographier sur le Suaire et aucun autre linceul au monde ne porte l’image du corps qu’il enveloppait.
7. Réalité surprenante, l’image sur le Saint-Suaire est un négatif. C’est-à-dire que les couleurs claires apparaissent sombres et les couleurs sombres sont claires.
Le principe même de l’inversion négative des couleurs est inconnu des savants du Moyen-Age. Peut-on imaginer un artiste du XIVème siècle représentant un dessin inversé en négatif ? Non ! Alors comment expliquer ce négatif photo ?
8. L’étude du Suaire révèle que les taches de sang ne sont pas de la peinture, mais bien du sang humain. C’est un groupe sanguin rare : celui de receveur universel ! Cette remarque n’est pas anodine. En effet, la mission terrestre du Christ est de prendre sur lui les péchés du monde : il est le receveur universel et son exécution représente la punition infligée à la place de tous les pécheurs que nous sommes pour que nous soyons réconciliés avec Dieu le Père.
Les groupes sanguins, au nombre de huit, ont été découverts en 1900 par Karl Lansteiner, savant autrichien. Un faussaire n’avait que peu de chances de tomber sur celui qui correspond à l’aspect symbolique de la Rédemption.
9. De plus, l’analyse montre que ce sang contient un fort pourcentage de bilirubine. La bilirubine est un composant du sang qui apparaît en cas de souffrance de l’organisme et ce pourcentage, ici très important, indique la très grande souffrance du crucifié.
Un faussaire du milieu du XIVème siècle n’aurait disposé d’aucun moyen de tester les groupes sanguins dont il ignorait l’existence et encore moins de doser la bilirubine dont il n’aurait jamais pu entendre parler.
10. Le Moyen Age ignore la méthode exacte qu’utilisaient les Romains pour crucifier leurs condamnés. Toutes les peintures ou sculptures du Moyen Age montrent des paumes de mains percées. Or, si les clous avaient été plantés dans les paumes, les chairs de la main se seraient déchirées en raison du poids du corps tirant vers l’avant et le crucifié aurait fini par tomber la tête la première. C’est un aspect de la question de la crucifixion que certains peintres avaient compris puisque quelques-uns, sur leurs tableaux, rajoutent des cordes censées maintenir le crucifié sur la croix.
Le Suaire de Turin, lui, révèle que c’est dans les poignets que les Romains plantaient les clous qui fixaient les crucifiés sur la branche horizontale de la croix.
Cette manière de clouer les condamnés a été confirmée par les découvertes archéologiques de squelettes de crucifiés. On appelle “espace de Destot” le point entre trois des os du carpe (poignet) où l’on peut enfoncer un clou sans briser les os du poignet. Et le fait de planter un clou dans cet espace de Destot entraîne une section du nerf médian et, par conséquent, une rétractation du pouce vers l’intérieur de la paume. Ainsi, les mains aperçues sur le Suaire paraissent n’avoir que quatre doigts.
Aucun peintre ni sculpteur du Moyen-Age n’a réalisé une œuvre où les clous sont fixés dans les poignets et où le pouce est rétracté dans la paume de la main.
Comment un artiste-faussaire de Champagne aurait-il pu connaître ce problème anatomique que la totalité de ses contemporains ignoraient et que l’on a ignoré jusqu’au milieu du XIXème siècle ? Comment aurait-il pu savoir que le pouce des crucifiés disparaissait dans la paume de la main ?
11. Sur le Suaire, le ventre du crucifié est gonflé. Les médecins affirment que ce gonflement est la preuve d’une mort par asphyxie. C’est, en effet, l’asphyxie qui mettait un point final au supplice de la croix. Aucune peinture ou sculpture du Moyen-Age n’a montré un crucifié avec le ventre gonflé, mais tous, peintres et sculpteurs, représentent le Christ en croix avec un ventre creux.
Comment un artiste-faussaire de Champagne aurait-il pu connaître ce problème anatomique que la totalité de ses contemporains ignoraient ?
12. Le haut du dos laisse apparaître une masse sombre de cheveux qui ont été tressés en natte. Là encore, l’iconographie du Moyen-Age ne montre jamais le Christ avec une tresse de cheveux. Mais on sait aujourd’hui que cette pratique était courante au début de notre ère chez certains Juifs, ceux que l’on nommait les Nazaréens, mot qui signifie “consacrés à Dieu”. Jésus était d’ailleurs doublement nazaréen, puisque consacré à Dieu et originaire de Nazareth.
13. L’étude photographique du Saint-Suaire permet de découvrir que chaque œil du Crucifié a été recouvert par une petite pièce.
Cette coutume est un usage juif du début de notre ère, chose qu’un faussaire du XIVème siècle pouvait difficilement connaître. Ces pièces représentées ont été identifiées : ce sont des leptons fondus sous le procurat de Ponce-Pilate.
14. Lorsque du sang coagule sur une blessure recouverte d’un tissu, il s’insinue à l’intérieur des fibres. Quand on retire le tissu, même avec délicatesse, on peut observer les traces que laisse l’arrachement.
Rien de tel sur le Suaire! C’est un mystère de plus. Tout se passe comme si le corps du Christ s’était dissous, évaporé, sublimé en douceur en traversant l’étoffe sans effacer la moindre trace du supplice de la croix.
Un faussaire n’aurait pu connaître cela. Pour tenter de reproduire la réalité au plus près, il aurait fallu faire des essais, des expériences, provoquer une ou plusieurs blessures, appliquer un linge par-dessus, laisser sécher puis examiner et reproduire le résultat observé, c’est à dire avec les traces d’arrachement... Invraisemblable !
15. Le Suaire porte de très nombreuses marques du supplice : coups de fouet, meurtrissures, coupures. Les blessures dues au fouet se retrouvent sur presque tout le corps. Celles sur l’épaule sont moins nettes, comme estompées par le frottement dû au poids de la branche horizontale de la croix que le Christ a été obligé de porter jusqu’à ce qu’Il tombe et soit relayé par Simon de Cyrène.
Un faussaire aurait-il pu penser à ce détail d’usure ?
16. L’image du Saint-Suaire comporte des données tridimensionnelles. Cette découverte a été faite par des chercheurs américains qui ont analysé les photos du Suaire avec un appareil servant à reproduire le relief à partir de photos aériennes. Autrement dit, c’est une image 3D, une photo négative en trois dimensions qui permet à l’informatique de réaliser une reproduction en relief du corps du Crucifié.
Quel faussaire du milieu du XIVème siècle aurait pu imaginer un tel aspect de la réalité et intégrer dans son “dessin qui n’en est pas un” cette tridimensionnalité impossible à réaliser manuellement ?
17. Le supplicié présenté sur le Suaire est nu. Or, les peintres du Moyen-Age n’ont jamais représenté le corps du Christ nu.
Pourquoi un faussaire aurait-il innové de cette façon au milieu du XIVème siècle ? Qu’est-ce qui l’aurait poussé à réaliser quelque chose de complètement différent de tout ce qui s’était fait jusqu’à son époque ?
18. Les fibres du linceul sous les taches de sang ne sont pas roussies comme les autres fibres voisines, hors de ces taches de sang.
Si faussaire il y avait, il aurait fallu qu’il place d’abord les taches de sang avant de roussir les fibres. Impensable ! En chauffant les fibres voisines des taches, il aurait altéré la nature du sang et cette altération serait apparue aujourd’hui lors des analyses spectographiques.
19. Le Suaire porte des inscriptions en grec tracées à la craie. Elles sont aujourd’hui imperceptibles à l’œil nu, mais existent.
Pourquoi un faussaire aurait-il placé ces inscriptions ? Comment aurait-il réussi à les rendre imperceptibles ?
20. Le rapport de la longueur des jambes et des cuisses est inférieur à ce qu’il devrait être. Cette “anormalité” est, en fait, normale : le corps qui est descendu de la croix est un cadavre mort cliniquement depuis au moins deux heures. Pendant tout le temps où le Christ a été cloué sur la croix du Calvaire, ses jambes n’ont pas été continuellement dans le prolongement de ses cuisses. Le poids du corps fait que les genoux sont toujours légèrement pliés. Le Crucifié tend ses membres inférieurs pour faciliter la respiration : lorsqu’il inspire, il tire sur les bras (ce qui le fait souffrir), redresse les genoux, puis le corps retombe au moment de l’expiration et les genoux retrouvent une position semi-pliée. Au moment de la mort, le corps est donc en position basse, les genoux légèrement pliés. Ce que les médecins appellent la rigidité cadavérique s’installe peu à peu et lorsque Joseph d’Arimathée et Nicodème descendent le corps du Christ, les genoux ne peuvent être retendus et les membres inférieurs de Jésus restent dans cette position semi-pliée.
Comment un faussaire aurait-il pu penser à ces détails ?
21. Le Suaire ne porte aucune trace de corruption. Or, tout tissu ayant enveloppé un cadavre porte des marques de putréfaction.
22. L’envers du linceul, la surface extérieure du Suaire, comporte une image extrêmement ténue, quasiment imperceptible qui n’a été mise en évidence que tout récemment. Cette image est en tout point semblable à celle de la face intérieure, comme si le corps du Christ avait laissé sa trace sur les deux côtés de la toile qui le recouvrait sans qu’il y ait la moindre modification de l’intérieur des fibres de lin.
Comment un faussaire aurait-il pu obtenir cet aspect ? C’est un détail de plus qui confirme la thèse de l’authenticité.
Les vingt-deux raisons ci-dessus réfutent indiscutablement l’hypothèse du faux. Cette étude n’étant pas exhaustive, d’autres chercheurs pourront peut-être en trouver de nouvelles.
Questions concernant la datation au carbone 14
Le carbone 14 (C14) est un isotope du carbone qui en se désintégrant selon une certaine période redevient du carbone 12 (C12).
La méthode de datation repose sur l’hypothèse non démontrée de la constance, d’une part, de l’assimilation du C14 par seulement les tissus vivants et, d’autre part, de la désintégration de ce même C14, une fois les tissus morts. Ces deux supposées constantes ne sont que des hypothèses et ce n’est pas la multiplication des mesures qui permettrait de les valider. En effet, on ignore pratiquement toujours la date de fabrication de l’objet que l’on veut dater par cette méthode du C14.
La teneur de l’air en C14 a-t-elle vraiment été constante au cours des temps passés (voir note ci-dessous) ? Quels dosages du C14 ont-ils été faits avant notre époque ? On ne sait rien du C14 avant le milieu du XXème siècle. Est-on sûr que cette teneur n’ait jamais varié ? Pourquoi n’y aurait-il pas des cycles du C14 en fonction de l’activité solaire, de l’activité volcanique, de la pollution industrielle, de la météo... ? Les variations de la pression atmosphérique, de l’humidité de l’air, de l’ensoleillement, de l’état électrique de l’atmosphère, des éruptions volcaniques, etc. n’ont-elles aucune influence sur la “fabrication” du C14 ?
La constance d’intégration du C14 par les êtres vivants ou de sa désintégration au cours des siècles précédents est-elle certaine ?
Que devient la teneur en C14 des objets soumis à un incendie ? Une très forte chaleur n’aurait-elle aucune influence sur la teneur d’un tissu en C14 ?
Qu’advient-il aux objets anciens qui sont touchés par d’innombrables mains pendant des décennies ? Le C14 déposé par la sueur des mains des pèlerins effleurant le Saint-Suaire n’a-t-il pas pu “polluer” la teneur en C14 et donc fausser la mesure, d’autant plus que l’échantillon analysé a été coupé dans une zone du Saint-Suaire qui a été réparée très habilement à la Renaissance ?
La datation au C14 est-elle une méthode fiable et indiscutable ?
Peut-on compter, sans risque d’erreur ou d’omission, des atomes d’un certain type ? La “machine à compter les atomes” dénombre-t-elle bien la totalité des atomes de l’échantillon brûlé ? Certains n’ont-ils pas échappé au comptage en restant piégés dans des molécules les rendant indétectables ?
L’agitation moléculaire a pu faire compter deux fois ou même davantage certains atomes...
Après la destruction de l’échantillon par le feu, il n’y a plus la moindre possibilité de vérification. Peut-on accorder du crédit à une expérience aussi incertaine et impossible à renouveler ?
Note : Découvert en janvier 2020 :
Un article de septembre 2012 de la revue Science & vie nous apprend que Fusa Miyaké (chercheuse à l’université de Nagoya au Japon) a mis en évidence une spectaculaire augmentation du taux de C14 entre les années 774 et 775 en examinant les cernes de cèdres vieux de 2000 ans. La valeur est 20 fois supérieure à celle qui était attendue. La “production” de C14 n’est donc pas constante.
Il apparaît que les rayonnements cosmiques et même les éruptions solaires peuvent modifier le taux de C14 dans l’air.
Aucun homme, aucune équipe du XIVème siècle n’avait les connaissances requises pour réaliser un faux suaire. Si un tel homme ou une telle équipe avaient existé, on retrouverait dans l’histoire une trace de ces gens-là et de leurs recherches encyclopédiques, ce qui n’est pas le cas.
La somme de ces travaux est tellement grande que certains ont supposé que l’auteur du faux suaire était Léonard de Vinci (1452-1519). Or, celui-ci naît un siècle plus tard et, s’il a imaginé un grand nombre de machines nouvelles extraordinaires pour la science de son temps, on peut être sûr d’une chose : il n’a pas inventé la machine à remonter le temps.
Le Suaire de Turin ne peut donc être un faux puisqu’il n’y a pas de faussaire. Il est par conséquent authentique. Il a recouvert le corps du Christ crucifié, mort pour nos péchés et pour nous réconcilier avec notre Créateur, Dieu d’amour infini qui nous promet une vie éternelle à la seule condition que nous nous reconnaissions pécheurs et que nous acceptions d’être justifiés par le sacrifice de Jésus.
Etude extraite de "Une décade en Scanie",
par Jacqueline et Jean-Marc Tartar, Editions Tarmeye, 2012.
Illustrations en couleurs : 83 photos, 4 cartes, 12 dessins.
+ Annexes historiques, géographiques, scientifiques, littéraires, culinaires... 162 pages.
(Vente exclusivement par correspondance. 22 €, port compris) :
Editions Tarmeye
18 route du Chambon
43520 Mazet Saint-Voy
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omagazineparis · 8 months ago
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5 idées cadeaux de dernière minute pour la Saint Valentin
C'est la Saint-Valentin et vous n'avez toujours pas de cadeau ? Pas d’inquiétude, il vous reste encore un peu de temps ! Avec un peu d’ingéniosité, et surtout un petit coup de pouce de votre webzine préféré, la situation devrait bien se décanter … Ô Magazine revient donc sur les idées cadeaux de dernière minute qui feront plaisir à l’élu.e de votre coeur ! 5 idées cadeaux de dernière minute pour la Saint Valentin - Sélection ©Jeanne BALLION Le coffret de madeleines de Maison Colibri Maison Colibri revient en force avec un coffret délicieusement gourmand. Au programme : un coffret personnalisable avec un assortiment de trois recettes de madeleines. On retrouve d’abord la classique avec une coque chocolat noir, puis la coque chocolat noir avec éclats de pécan, et enfin, le coup de cœur de la rédaction, celle au cœur framboise et coque chocolat noir, une tuerie. Le petit bonus ? Aux couleurs de l’amour, la boîte est évidemment personnalisable. Vous pouvez ainsi y graver le message de votre choix sur le couvercle. Un coffret original qui détrône sans aucun doute une boîte plutôt banale de chocolats noirs. Maison Colibri - 25€ le coffret personnalisable de 15 madeleines. Sujet connexe : Carport – une véritable alternative au garage en bois La box Fresh & Flowers de Lush Chaque mois, Lush vous propose une box beauté avec une sélection de 4 produits ainsi que des fleurs cultivées localement. Le combo gagnant pour se faire plaisir chaque mois tout au long de l'année. Idéale aussi à offrir ! Pour ce mois de février, Lush a ainsi créé une box spéciale Saint-Valentin remplie d'amour ! En plus des produits, vous recevrez un petit bouquet composé de mimosa, d'œillets de myrtes ainsi que des pétales de roses séchées. Et que retrouve-t-on dans cette box ? Une brume d’oreiller à la Rose de Damas et une carte de savon à base de pulpe de pomme fraîche, à faire mousser sur votre peau pour vous laver. On y trouve aussi un masque nourrissant aux graines de lin, dattes et noix de coco, une crème de douche solide au fruit de la passion, et une huile de massage riche en beurre d’avocat. Une box complète et réconfortante : le cadeau parfait donc ! Lush - 50€ la box de 5 produits et un petit bouquet.  À lire également : Pâques : des cadeaux pour toute la famille La tablette au gingembre du Chocolat des Français  Pour la Saint-Valentin, le chocolat des Français ravive vos désirs charnels avec sa toute première tablette de chocolat bio noir au gingembre. Reprenant une série de 5 affiches un poil ambiguës, illustrées par 5 artistes passionnés, soit Aurore Carric, Anais Lefebvre, Laurene Boglio, Simon Landrein et Paul Thurlby, ces gourmandises aphrodisiaques sont à retrouver en édition ultra limitée, alors hâtez-vous ! Ce piquant mélange vous promet ainsi un voyage au 7e ciel que vous ne serez pas près d’oublier. De quoi redonner du piment à votre 14 février ! Le Chocolat des Français – 6,25 € la tablette de chocolat noir & gingembre.  La brioche Babmoureuse du BAB À l’occasion de la Saint Valentin, le BAB présente sa nouvelle brioche, la “Babmoureuse”, une édition limitée à s’offrir ou à offrir à une personne qui compte. Dès le lundi 14 février, laissez-vous donc envoûter par cette savoureuse brioche feuilletée au praliné de noix de cajou fait-maison, agrémentée d’une confiture de groseilles venant directement du jardin familial de la cheffe Margaux Aycard et d’eau de rose. Une touche de romantisme à faire tomber Cupidon lui-même. De la gourmandise, une pincée de sucre et un peu d’amour, la brioche du Bar à Brioches est un délice et fait indéniablement partie des meilleures idées cadeaux !  Le Bar à Brioches - 4€ la brioche 8 rue La Boétie, 75008 Paris Un dîner chez Rooster Avec Rooster, coq en anglais, Frédéric Duca propose une cuisine contemporaine et raffinée. Respectueuse des saisons, la carte est loin de se cantonner à la volaille. L’agneau, le fenouil, l’anchois et l’oursin ont ainsi la part belle, comme les huiles et les épices. Formé chez les plus grands (Gérald Passédat et Hélène Darroze), le chef marseillais vous émerveillera sans aucun doute le 14 février. Avec un menu exclusif pour le jour des amoureux, vous pourrez notamment déguster un tartare de veau brocciu avec bergamote, un sabayon à l’huile d’estragon, poutargue râpée, mais aussi des Saint-Jacques Céléri, des truffes, un bouillon infusé à la sauge, ou encore une brioche pain perdu dans l’esprit d'une Tropézienne à la crème de fleur d’oranger et sorbet amande. Un dîner qualitatif et intimiste pour un moment inoubliable.Rooster – Menu à 110€ par personne avec 1 coupe de champagne 137 rue Cardinet, 75017 Paris Métro ligne 14 : Pont Cardinet Entre douceurs, gourmandises, soins et expériences gustatives uniques, les idées cadeaux ne manquent donc pas. Vous avez ainsi le choix du roi ! Si la décision est difficile, pourquoi ne pas craquer pour toutes les options ? Dépêchez-vous, il ne vous reste plus que quelques heures … Read the full article
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kikidewynter · 2 years ago
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anyway here are most of my favourite lin hcs in one place
age: i think 23, her canon age, really suits her. she seems mature but still a little hotheaded and inexperienced
sexuality: lesbian. no explanation required, we all picked up on the vibes
scent: smoky, leather, wood, etc. probably uses men's cologne
tea: favours black tea, can't drink anything sweet. likes a little citrus in her tea, bergamot for example
alcohol: likes a glass of wine when relaxing by herself, keeps cans of cheap beer in the fridge, always has a few drinks with her meal when she's eating at restaurants
media: has a subscription to at least two car magazines. doesn't watch a lot of tv, only whatever women's sports are currently playing, or championship car races. listens to the radio when tinkering on her car
fashion: black leather. jackets, pants, boots, you name it. has a lot of dark t-shirts with prints on the front. go-to comfy clothes are track pants and sandals. when she's working on her car—overalls, a basic white tank + sneakers
property: rents a studio apartment in chinatown and a small garage, able to fit one car, in the alley behind her place
music: listens exclusively to 90s + 00s music. likes to listen to r&b and neo-soul (including artists like tlc, who she also likes for their 'no scrubs' attitude) while cruising around the city at night. riot grrrl punk, edm, and other loud, fast paced songs are perfect for when she's racing. and any female artist of the time with attitude, like lil kim and p!nk
tattoos: in addition to her canon tattoo, she has a large dragon tattoo on her back, no colour
jewellery: has a few extra ear piercings that she’s always swapping out depending on her mood. owns a few different gold necklaces, including a chain
cigarettes: she smokes a brand you can only find in chinatown's liquor stores. the scent reminds her of home
upbringing: only child, parents were kind of strict, forming in her a rebellious attitude. definitely always got into trouble at school for cussing, defacing desks, and getting into fights
stilwater: lin's ability to go undercover + the fact that nobody claimed her body has always given me the impression that she's from out of town. personally i think of her as being from hong kong, already quite fluent in english, and having moved to stilwater or somewhere nearby to attend college (and to get away from her parents)
education: i can see her studying mechanical engineering, working on her projects in the shop—she seems used to standing up for herself in male dominated environments
pre-saints: she dropped out of college shortly after finishing her car + has been street racing since. she occasionally sends a portion of her winnings back home, with the vague explanation that she got a job
recruitment: lin got arrested for street racing + was secretly released by troy. he later approached her in the street to recruit her, as he knew julius would want a specialist to deal with the rollerz
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dinapaulson · 4 years ago
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The Top Ten Times Bridgerton Titillated Me AKA Gave Life
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After making haste to consume the series in a day, and the next rewatching Simon and Daphnes’ scenes only (highly recommend), at the crack of the following, I realized it was the magic of seemingly smaller moments, sometimes, in the form of behind-the-scenes and back story beauty, woven into the larger storyline expositions that really stayed with me—a storytelling feat Her Majesty, Shonda Rhimes, is known for. Here are the top ten times this happened, causing my cinephile soul considerable thought and feels. 
1. Simon’s bedside manner while Daphne is in labor
It struck me the first time while watching how—how shall I put it—calm Simon looked, while Daphne screamed and breathed her head off. No, calm is not quite the word—eerily still, without any emotion or exertion of his own. At first confounded by His Grace, I realized he was terrified; scarred and petrified into a place that had no emotion to rely upon. Would Daphne survive childbirth? Was he having an out-of-body experience, imagining, as I am sure he was told, his immense a**hole of a father pacing outside the room where the Duchess was giving birth to Simon, obsessed with the “outcome” and would not deign to be by her side, what that must have felt like, to be so cold and removed from life, feeling, humanity, and here Simon was, in perfect, firm love, at Daphne's side, being a whole part of their child’s birth? (When their son is born, his stock Simon-ness returns, as he, filled with emotion, gently holds their son from Daphne’s arms, then implies, impishly, because of the Bridgerton family tradition, their son’s name must begin with “A.”)
2. A chocolate will do just perfectly 
The perfection of friendship between Eloise and Penelope is well on display throughout the series. There was one moment that caught my breath for the sheer ease of what friendship is—truly relating without needing to fully understand the other but being, sitting, anyhow, in pure acceptance of the other and mutual situation. Such is what happens when Penelope tells Eloise, in gentle expository explosion, her path is and will be different, more difficult to navigate than hers, without having a sister who is a Duchess, and moreover, she thinks she wants a life different than the independent dream the two of them speak of. And, to that, Eloise offers a chocolate, and to that, Penelope's smile-inducing smile and simply reaching for one is friendship goals. 
3. “I beg your pardon?” 
As others have pointed out, there is plenty of hotness to Simon buttoning Daphne’s cuff as a clear metaphor for the sexual unbuttoning/buttoning to come. But, what gets me every time is Simon’s reaction to Daphne’s question, his face both gently confirming and sexily contorting, which seems to beg the idea that in a different house of language, not one for promenade but perhaps one a rake aka Regency f*ck boy would inhabit, this term had an, o, one might say, slightly less innocent meaning. 
4. The nighttime, swing chats between Eloise and Benedict
I dare say it was Eloise who checked her brother on his white man privilege that sent him (still) strolling to Henry Granville’s house to take a (completely protected, see white privilege) risk of himself as a potential new somebody, in this case, an artist. 
5. Were others hoping Henry and Benedict would have a go at it? 
I think I mistook their mutual intrigue for desire, though I dare say Benedict flinging himself with considerable umph into the ménage-a-trois with Madame Delacroix and her friend, may have been, in part, a turn-on from stumbling upon Henry with his love, Lord Willoughby, making love. I recognize this ponderance might be a stretch, but, if I may—remember that conversation A Happiest Season launched in queer Twitterverse about the likelihood, with multiple siblings, of at least one sibling being gay? Come on, there are eight of them! Tell me I am not the only queer fan who would love to see one Bridgerton explore a truthfully desired same-sex relationship on the show. 
6. “Simon” (**heart begins to ache**)
After Simon gives one of his best speeches, in episode five to the queen, in his and Daphne’s effort to persuade Her Majesty to assist them in getting a marriage license, so moved is Daphne by what he says, that she turns to him, as if no one else is in the room, with an emotive quiver, staring watery and straight into his eyes, and out comes a quaking: “Simon.” Indeed, Simon’s speech of the love from whom he cannot stay away nor let be the one who got away is the discursive, definitive foreplay to their physical consumption of each other. Later, he says quietly to her heart twisted back: “Everything I said to the queen was true.” 
7. “From the mornings you ease, to the evenings you quiet, to the dreams you inhabit, my thoughts of you never end...” 
Um. So, this is just one of the most perfect romantic things I have ever heard one human being utter to another. 
8. Also: this was a nearly all-female credited writer cast (with the exception of the series’ premiere and finale episodes, credited to showrunner Chris Van Dusen). I delightfully sighed as each woman writer’s name danced in Bridgerton font across my screen. What genius interplay of words that cut and bit and lobbed and heeled, then healed, revealed, and felt so completely—wonderful.  Here are the writing credits:
Janet Lin for episode 2, ”Shock and Delight”
Leila Cohan-Miccio for episode 3, ”The Art of the Swoon”
Abby McDonald for episode 4, “An Affair of Honor”
Joy C. Mitchell for episode 5, ”The Duke and I” Sarah Dollard for episode 6, ”Swish” Jay Ross and Abby McDonald for episode 7, “Oceans Apart” 
Additionally listed under writers are Jess Brownell as Executive Story Editor on “Shock and Delight” and “Diamond of the First Water,” Joy C. Mitchell also as Executive Story Editor on “Shock and Delight” and “Diamond of the First Water,” and Abby McDonald as Staff Writer on “Shock and Delight” and “Diamond of the First Water.” 
9. Simon goes down—a lot 
At least two times we know of, but we may assume more, that giving Her Grace pleasure between her legs is something that comes easily, perhaps even needily, to him. Just that. It is hot and wanting and you know, with various talk about men not wanting to go down on women, well, representation matters. 
10. Choosing present over past 
This is a Golden Age TV theme of late, strong in the final season of Jessica Jones and luscious The Queen’s Gambit, though, perhaps, choosing to be present is the overall life theme, always, and just manifests differently in all of our journeys. The fabulously eviscerate Lady Danbury says: “Pride, Your Grace: it will cost you everything and leave you with nothing.” What Simon gains by choosing to be in his present is not only the opportunity to feel and develop a love, and family, with Daphne, but he gives himself space—cleans out the leftovers, once and for all—to fully inhabit the now, which means anything could be ahead. 
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jbgravereaux · 6 years ago
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Michel Trihoreau, auteur, et Annie Butor, préfacière (photo Marine Trihoreau)                                                                                                                              Sauvage Ferré | NosEnchanteurs : ...48-98, c’est un demi-siècle de chanson, où Ferré et Sauvage ne donnent pas leur part aux chiens. Ferré a d’abord été rendu célèbre par Catherine Sauvage : en 1953, c’est elle qui fait un tube de Paris canaille : c’est d’ailleurs grâce à cette chanson qu’il pourra s’acheter une maison à la campagne. Ferré et Sauvage sont pleinement acteurs de décennies flamboyantes, témoins aussi du déclin. Ce témoignage de Catherine Sauvage mis en perspective par Michel Trihoreau fera le bonheur de qui s’intéresse à la chanson. Et des amateurs de Ferré. Il est dans tous les cas un livre important pour l’Histoire de cette exception culturelle qu’est la chanson.                                                                                                                                                            Le livre est préfacé par Annie Butor, qui n’est autre que la fille de Madeleine Rabereau, qui, de 1950 à 1968, fut la muse de Léo Ferré, qui l’avait épousée en 1952, et dont elle divorça en 1968.                                                                                                                                                                                                  Michel Trihoreau, Sauvage-Ferré 50 ans de chansons, L’Harmattan 2018. 150 pages, 16,50 euros.                                                                                                                                                                                                                    Catherine Sauvage - Les bonnes manières - YouTube                                                                                                                                                                    Entretien avec Mona Heftre - Lalalala : ...J'aimerais reprendre "Les bonnes manières", que chantait Catherine Sauvage...                                                                                                                                                                                    Sous les remparts de Léo | Le Hall de la chanson                                                                                                                                                                              Mona Heftre chante Ferré, sans pathos - Le Monde                                    Véronique Mortaigne, Le Monde : ...En 1947 toujours, Ferré rencontre le parolier Jean-Roger Caussimon, mais aussi Catherine Sauvage, chanteuse de cabaret, des Trois Baudets aux Trois Mailletz.                                                                                                                                                                                              Devenue célèbre, elle s’attaque à Ferré avec une droiture perspicace – elle chantera dans sa carrière une centaine de ses chansons et obtiendra le Grand Prix du disque  pour son enregistrement de L’Homme .                                                                                                                                                                      Plus tôt (!), quand Yves Montand, Les Frères Jacques ou Mouloudji boudent Paris Canaille proposée par Ferré, Catherine Sauvage en fait un succès. Et dans la lignée des interprètes féminines, il y a bien sûr Juliette Gréco, héroïne de Jolie Môme en 1960...                                                                                                                                                                                                                  Mona Heftre, sans manières » Crapauds & Rossignols                                    Mona Heftre "T'es un chanteur à ma manière" | Le Hall de la chanson          Hermon revit Ferré dans son Bobino 69 | NosEnchanteurs                                                                                                                                                                    Mona Heftre au FLF - Forum Léo Ferré sur Yurplan : LA VIE EST LOUCHE, chanson de Ferré écrite 1962 ouvrira ce tour de chant Sauvage, en hommage à la Grande Catherine qui fit descendre Ferré dans la rue, comme il l’a toujours affirmé. Professionnellement il est l’homme de ma vie disait de lui Catherine Sauvage, artiste exigeante, femme de caractère, référence absolue pour les interprètes féminines de Léo. Ayant un goût prononcé pour la démesure, la sensualité, la langue subversive de Ferré, j’ai imaginé ce tour de chant, hommage aux auteurs, aux poètes, aux écrivains dont elle et moi chérissons les mots. Nathalie Fortin sera au piano, pour mon plus grand bonheur d’interprète. Mona Heftre                                                                                                                                                                                                                                            T'es un chanteur à ma manière par Mona Heftre - Webthea : Gilles Costaz , 2013 : ...La femme, c’est Mona Heftre qui, elle, aborde Ferré pour la première fois, après avoir plutôt servi Rezvani et fait tant de spectacles, depuis le Grand Magic Circus jusqu’à ses propres récitals.                                                                                                                                                                                              La voilà en athlète de la scène, humblement mais subtilement accompagnées de deux musiciens, Charles Teissier et Bernard Teissier, qui, comme elle, ne cherchent pas à produire des éclats massifs (comme Ferré quelquefois, quand il chantait devant un orchestre) mais plutôt l’émotion secrète et distillée. Ce n’est pas tout à fait courant qu’une femme chante Ferré. Il y a eu, bien sûr, Catherine Sauvage dont Ferré trouvait qu’elle interprétait ses rythmes rapides bien mieux que lui. Et d’autres chanteuses comme Piaf et Greco, puis une nouvelle génération, toute récente, avec, par exemple, Sandra Alberti qui privilégie le chant d’amour et la tendresse.                                                                                                                                                                                        Mona Heftre, à vrai dire, ne semble pas se poser le problème d’être un homme ou une femme face à l’oeuvre de Ferré. Elle est tellement femme ! « T’es un chanteur à ma manière », affirme l’un des textes. Elle fait de la formule son titre et sa politique. Elle n’en fera qu’à sa tête et à sa manière ! Elle reprend certains textes qui avaient été (à peine) modifiés pour qu’ils puissent être dits plus naturellement par Catherine Sauvage. Mais la question du sexe des mots ne la hante pas ! C’est la beauté des chansons qui la pousse sur la scène. Elle a pris le parti de ne pas chanter les poètes mis en musique par Ferré, à part Pauvre Rutebeuf. Elle a écarté les chansons dont Ferré n’a fait que la musique, en conservant quand même un texte de Jean-Roger Caussimon et un autre de Francis Claude. Elle privilégie la langue, l’invention, le style. Elle aime l’argot et, en suivant ce goût-là, s’empare d’airs un peu oubliés, qui ne sont pas toujours devenus des classiques : « Ca t’va », « La The Nana », « Ton style » (il faut oser le chanter, quand on est une femme : « Ton style, c’est ton cul » ! ).                                                                                                                                                      Elle prend beaucoup de choses dans la première période de Ferré, qui évoque un climat révolu - « Les amoureux du Havre », « Les Copains de la Neuille ». – et le temps du diable tiré par la queue. Elle garde ce que Ferré pensait volatil et destiné à l’oubli (« J’ai fait tellement de chansons de chansonnier », disait-il). Il a souffert, ce poète-là, avant qu’on le comprenne, et elle va là, dans ses débuts, dans le génie des commencements. Elle fait éclater l’ironie de celui qui ne trouve pas le succès (« La Grande Vie ») ou sa tristesse qu’il partage avec tous les malheureux de la terre (« La Mélancolie »). Le récital commence par un « tube », « L’Homme », et s’achève par un autre, « Jolie Môme ». Mais la chanteuse le prolonge, si le public est heureux, par de l’inconnu, comme cette « Vie louche », où la passion de Ferré pour l’allitération est, là comme ailleurs, au plus haut, si virtuose et si tendre à la fois.                                                                                                                                                                                            Elle a d’emblée trouvé une façon originale de chanter Ferré, en comédienne, droite, souple, à la voix veloutée, jouant sans circonvolution, dans l’intimité des mots et des partitions dont le pianiste et le contrebassiste font entendre délicatement la richesse sonore et émotive. C’est le cabaret de la vie où, en soie et lin couleur nuit, la chevelure qui boucle comme sur les statues antiques, les bras qui se tendent pour laisser les vibrations emplir le ciel du théâtre, elle alterne le simple et le complexe, l’évident et le mystérieux, le quotidien et la fulgurance. Elle n’est pas dans la vitesse et la griffe, comme l’était Catherine Sauvage. Elle est dans le ricochet intérieur, aux tempos variés, que provoquent dans la conscience le passé, les blessures et le génie de transmutation des poètes. Les œuvres de Ferré ne sont jamais linéaires. Elles ont en chaque vocable, en chaque courbe mélodique, un sanglot et un rire. Mona Heftre les porte et les emporte dans sa voix douce et claire, en grande interprète de Ferré.
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linoyowiii · 6 years ago
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Thank you to @jacksoopticboop and @pandakitty-10 for tagging me! :D I was so busy today but finally I have some free time!
Rules: answer 21 questions and tag 21 people that you're like to get to know better. (Make a separate post!)
Nickname: my aunt calls me "noynoy" some of my discord friends call me "linono" and some of my friends call me "lin", so y'all can call me whatever you want hahaha!
Zodiac: Aries ( April 5th)
Height: I'm 158 cm (something like 5 feet) yup I'm pretty short XD
Last movie I saw: Spider-Man: into the spider-verse, I fucking loved this movie! It's so goodddd! If any of you haven't watched it yet than what are you waiting for?! You don't know what you're missing out on!!! Go watch it!! (Also I really exited for the new Spider-Man c: )
Last thing I googled: goose (yup, really XD)
Favorite musicians: gorillaz, guns n' roses, eden, system of a down, coldplay, imagine dragons, set it off, state champs, troy sivan, ivri lider, hatikva 6, tuna, elai botner&yaldei hachutz (there are a lot more but this are the ones that I like since middle school)
Song stuck in my head: bitch lagasnia haha it's been stuck in my head for like a few weeks XD
Other blogs: I don't have other blogs, just this one c:
Do I get asks: umm yeah, every once in a while
Followers: 98 (almost at 100! I'm so happy and excited! I love you guys 💕)
Following: 91
Amount of sleep: usually I get something like 4 hours of sleep lol (oopsi hahaha)
Luck number: Idk, 2, I guess
What am I wearing: my Mickey Mouse onesie :D
Dream job: if you would ask me that question 10 years ago I'd probably say a doctor because I want to help people, but now I'm not so sure, I mean I really love helping people and making people smile, and I also really love to draw, always did, so I really want to be an artist but I also really want to help people and make people happy, hopefully I'll find a job where I can do both :D
Dream trip: I'd really love to travel the world! See new places, new cultures and people! My best friend and I are actually planning on going to Europe after our military service (in a few years)
Favorite food: pizza/sushi/my aunt's meatballs
Play any instruments: yuppp, I play the drums! Well, I mean I used to hahaha I haven't played them in like a year and I really miss it, I hope to get back to play them soon!
Favorite song: drugs by eden (it's been my favorite for awhile now)
Random fact about me: welp I'm pretty claustrophobic (I don't go into elevators and I can't be in places with too many people...) And here's another random fact, whenever I'm going abroad I buy a little dolfin souvenir, I'm really proud of my collection c:
Describe yourself as aesthetic things: abandoned houses, fairy lights, black clothes, book shops, forests, standing at the top of a tall building at night and viewing the city
I'm gonna tag some cool people c: @jack-and-sammy @stranger-to-london @dovahdez @osh-heart @blackmilkshakes @nekob00 @huffletrax @scarlet--raven @iris-the-asparagus @gum-xx-drop @glixbitch
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LA / MATERIAL GIRLS: Palms
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PALMS presented by MATERIAL GIRLS March 16 - April 7, 2019 opening reception March 16, 7-10pm
MATERIAL GIRLS is pleased to present Palms, the collective’s first show in LA featuring small sculptures by 15 artists. It is an established social contract that one is permitted to “look but not touch” art objects. Palms invites visitors to temporarily transgress this boundary- allowing them to touch, hold, and move the objects within the context of the exhibition. The works rest on a large curvilinear plywood platform that re-directs the automatic choreography of art viewership. Instead of left to right, front to back, viewers will be encouraged to slowly wind through space. With this direct tactile understanding of the work, and a constantly changing “curation” depending on interaction, visitors are entrusted with an art viewing experience that is both fluid and communal.
Each artist was asked to present an object holding boundaries and touch in mind. These considerations emerge from the MATERIAL GIRLS’ broader interest in tactility and bodily awareness of space as a feminist undertaking. In preparation for this exhibition, the participating artists contributed writings and images to a zine, Fronds, that is available to read and purchase at the exhibition.
Palms features the work of:
Yesenia Bello Cameron Cameron Cara Chan Jisoo Chung Devra Freelander Hilliary Gabryel Julieta Gil Ling-lin Ku Claire Lachow Gracelee Lawrence Amelia Lockwood Ofelia Marquez Nina Sarnelle Rachael Starbuck Amia Yokoyama Rachel Youn
MATERIAL GIRLS is a feminist collective of sculptors and digital artists formed in 2016. Founded by Cameron Cameron, Devra Freelander, Hilliary Gabryel, Claire Lachow, Gracelee Lawrence and Rachael Starbuck, MATERIAL GIRLS organized to create a space for emerging, under-represented artists and thinkers in the patriarchal art world. They are committed to making and sharing work, fostering conversation, and supporting one another through their practice. While each member of MATERIAL GIRLS retains a vibrant and active independent studio practice, they come together to collaborate on site-specific installations and projects. MATERIAL GIRLS has co-authored immersive installations, organized exhibitions, and exhibited works at Random Access Gallery (Syracuse, NY); SPRING/BREAK Art Show (New York, NY); SVA Curatorial Practices (Brooklyn, NY); ALT ESC: No Vacancy 3 (Brooklyn, NY); Trestle Projects (Brooklyn, NY); the Church Troy (Troy, NY); the Museum of Human Achievement (Austin, TX); and Sadie Halie Projects (Minneapolis, MN.) materialgirls.work @material.grls
Biographies Yesenia Bello is an artist and arts administrator living in Chicago, IL. She received her BFA from the School of the Art Institute of Chicago (2016). Her practice stems from lived experiences as a first generation Mexican-American, retracing sensations that arise from slowly losing her native tongue. Her work has been presented locally at places like 6018 North, The Overlook Place, DfbrL8r Gallery, and Chicago Artists Coalition, where she participated in HATCH Projects (2016-2017). Between 2011-2016 she was co-organizer of Walla Fest, a volunteer run gathering around the Philadelphia area. yeseniabello.com @yeseniabello
Cameron Cameron lives in Los Angeles. She received her BFA from the University of Texas at Austin in 2014, attended Virginia Commonwealth University Summer Studio Program in 2015 and received an MFA from UCLA in 2018. Cameron uses sculptural interventions to compensate for generic imagery, and questions how the mundane may represent the feeling of loss or longing around the disorder of the day-to-day. She has participated in Skowhegan School of Painting and Sculpture, Ox-Bow School of Art, Grin City Collective Residency, and the Art Students League of New York. cameron-cameron.com @winter_shorts
Cara Chan lives and works in Los Angeles, CA.  Chan creates large-scale architectural and body-based sculpture often involving gestural interaction and exchange. She received her BFA from New York University (2009) and her MFA from University of California, Los Angeles (2017), and has been an artist in residence at Banff Center for the Arts, ACRE Projects, Vermont Studio Center, Ox-bow School of Art, Kane Kwei Carpentry Workshop, and Lighthouse. cara-chan.com  @caraachan
Jisoo Chung is an LA-based multi-disciplinary artist working primarily through video, photo, enactment, and installation. Chung’s work pays attention to the failures that we encounter in our daily lives such as failure of communication and translation, failure of exhibiting, and currently more focusing on the failure of daily-based technology. Exhibitions and screenings include Los Angeles; 1748 adams, Socal MFA juried exhibition, Pomona, Seoul; Screening Project: Dongshi Sangyoung, Museum CICA, Gallery Aloq Episode. Chung received a BFA from Seoul National University, and is currently an MFA candidate at UCLA. chungjisoo.com @jigu.nee
Devra Freelander is an artist living and working in Brooklyn, NY. Her work explores geology and climate change from a millenial and ecofeminist perspective. Freelander received her MFA from Rhode Island School of Design and her BA from Oberlin College. She is a founding member of MATERIAL GIRLS, and has participated in the Women’s Studio Workshop Residency (2018),  Arctic Circle Residency (2017), Socrates Sculpture Park Emerging Artist Fellowship (2017), Lower Manhattan Cultural Council Workspace Residency (2016-2017), and the Virginia Commonwealth University Summer Studio Program (2013). She is represented by CIRCA Gallery. devrafreelander.com @devrafreelander
Hilliary Gabryel lives and works in Queens, NY. Her work is aspirational, echoing the immediacy of the consumerist market and commenting on luxury and feminine expectations. She received her BFA from Virginia Commonwealth University. She is a founding member of MATERIAL GIRLS and co-founder of the interdisciplinary Ridgewood, Queens project space ERA VI VII VI (2014-2016). Her work has been shown in New York, NY; Austin, TX; Minnesota, MN; Richmond, VA. Residencies & awards include the Vermont Studio Center Fellowship, the Wassaic Project, ASMBLY Session #1, and VCU Summer Studio Program. hkgabryel.com @hilliarygabryel
Julieta Gil lives and works between Los Angeles and Mexico City. She holds an MFA in Media Arts from UCLA. Her creative research incorporates installation, sculpture, 3D animation and print to explore topics of simulation, and the overlappings that occur between the virtual and physical. She was a grant recipient of Mexico’s National Fund for Culture and the Arts (2015–2016) and co-founder of FEMMEBIT, an experimental video festival held in Los Angeles. She has exhibited in spaces such as Laboratorio de Arte Alameda, Anchorage Museum, Nevada Museum of Art, National Museum of Art (Mexico City), Future Gallery, Human Resources and Zuecca Projects. julietagil.com @julietagilg
Ling-lin Ku is a Taiwan born, U.S. based artist currently living and working in Austin, Texas. Her sculpture and installation work explores language, everyday life, play and fetish through diverse materials and digital fabrication. Ku was selected to participate in the International Studio and Curatorial Program and Vermont Studio Center, and her work has been exhibited throughout the US. She is currently an MFA candidate in the University of Texas at Austin’s Sculpture and Extended Media program, and an art columnist for KUROSHIO FOCUS online media. linglinku.com @linglin_ku
Claire Lachow is an artist & writer whose work exists between physical and digital environments, fixating on the cultural and political predicaments of commodification, desire, language, and identity. She is the recipient of a 2019 Red Bull Arts Detroit residency & fellowship. Selected exhibitions include the Governors Island Art Fair, Super Dutchess, SPRING/BREAK Art Show, Local Host Gallery, and Schema Projects. Lachow received a BA from Oberlin College and lives and works in Brooklyn, NY. clairelachow.com @clayore
Gracelee Lawrence recently returned from Thailand where she was a visiting artist at Chiang Mai University. She received her MFA in Sculpture + Extended Media at the University of Texas at Austin in 2016 and her BA in Sculpture from Guilford College in 2011. She is a co-founder of Pig and Pony Gallery and a contributing writer for the International Sculpture Center Blog. She has shown work internationally and was a 2016–17 Luce Scholars Fellow, a recipient of the 2015 UMLAUF Prize, the 2013 Eyes Got It Prize, and the 2011-12 Ella Fountain Pratt Emerging Artist Grant. graceleelawrence.com @gleeleelawlee
Amelia Lockwood is a visual artist whose use of ceramic processes privileges trace, error, mutation and collapse. Lockwood received her BFA from Syracuse University (2012), completed post-bac studies at University of Colorado, Boulder (2016), and is currently an MFA candidate at the University of California, Los Angeles. @amiamia
Ofelia Marquez is a first generation Mexican- American artist based in Los Angeles. She received her MFA in sculpture at UCLA and is currently an art restorer at Aleksei Tivetskys Art Restoration and Conservation studio. Ofelia Marquez has recently exhibited at: Human Resources, The Mistake Room, Anonymous Gallery, New Wight Gallery, the William Rolland Gallery of Fine Art, Avenue 50, and REDCAT. ofeart.wixsite.com @ofemarquez
Nina Sarnelle is an artist and musician with a BA from Oberlin College and MFA from Carnegie Mellon University.  A founding member of the Institute for New Feeling and dadpranks, she’s recently shown work at Whitechapel Gallery, Hammer Museum, Getty Center, Ballroom Marfa, MoMA, Istanbul Modern, Neuer Berliner Kunstverein, NADA Miami, MAAT (Lisbon), Fundacion PROA (Buenos Aires), Black Cube (Denver), Southern Exposure (San Francisco), Recess (NY), Akademie Schloss Solitude, UNSW Galleries (Sydney), Project 88 (Mumbai), Villa Croce Contemporary (Genova), CCA Santa Fe, MWoods (Beijing), and MoCA Cleveland. ninasarnelle.com @ninasarnelle
Rachael Starbuck is currently living and working in Austin, TX. She received her MFA in Studio Art from the University of Texas at Austin in 2017 and her BFA in Sculpture + Extended Media from Virginia Commonwealth University in 2011. She is co-founder of curatorial collective Partial Shade. She has been a resident at ACRE Projects, The Contemporary Artists Center at Woodside, The Wassaic Project and The Vermont Studio Center and has shown work in Richmond, VA; Providence, RI; Chicago, IL; Austin, TX; Houston, TX; New York, NY; and London, UK. rachaelstarbuck.com @starbuckra
Amia Yokoyama grew up in Illinois, in a bi-lingual, bi-cultural, bi-racial, bi-religious household. This experience of the world carries her. Amia is a multi-media artist who works with experimental animation, video, 2D mixed media, and installation. Amia dropped out of University of British Columbia for her B.Sci in Sustainable Development, and received a BA from New York University in 2010, and an MFA in Experimental Animation from CalArts in 2017. She has received fellowships from Skowhegan School of Painting and Sculpture, Bemis Center for Contemporary Arts, Vermont Studio Center, Women in the Media, and United Plankton Charitable Trust. amiayokoyama.com @iamamia
Rachel Youn is an artist living and working in St. Louis, MO. They use sculpture and new media to poke fun at hierarchal narratives embedded in objects and lifestyles. Sourcing from home furnishing stores and oriental goods peddled on craigslist, their work collapses notions of authenticity and artifice through the lens of identity. They received their BFA from Washington University in St. Louis in 2017 and has exhibited at the Sheldon Art Galleries, Parapet Real Humans, the Millitzer Gallery, the Luminary and Flood Plain, the Bermuda Project, and Open House. They are a recipient of the Regional Arts Commission Artist Support Grant and the Vermont Studio Center Fellowship. rachelyoun.com @rachelyoun
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nerdmars · 6 years ago
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Bruno Mars comes home this week, but the pop music megastar’s welcome came five months ago, when his first two announced shows each sold out in a couple of hours. A third was added and sold out just as quickly, and now the moment his fans waited months for is finally here.
For the fourth time, the Roosevelt grad born here as Peter Hernandez is back, bringing his mega-successful 24K Magic World Tour to Honolulu for a little homestand.
This visit is his biggest yet, befitting of his ever-growing profile, as he revives Aloha Stadium as a viable concert facility with a venue-record three sold-out shows, capping a 213-concert tour that spanned six continents, 38 countries and nearly two years.
About 110,000 fans will attend the three shows, reinforcing the pop-music superstar’s description of his home state in a 2011 web documentary.
“They got love, man,” Mars said then. “Hawaii … this place is the best.”
Hawaii earns the nickname “The Aloha State” in many ways. From the lei we give out on special occasions to the way we always make sure our potlucks have too much food rather than too little. From the aloha shirts many businessmen favor over three-piece suits to the way we welcome guests — both into our state and into our homes.
But some of our greatest aloha is expressed in the way we support our own.
24K MAGIC WORLD TOUR >> Where: Aloha Stadium >> When: 7 p.m., Nov. 8, 10 and 11 (doors open at 5:30 p.m.) >> Tickets: $49.50 and up, available at Ticketmaster.com >> Guest acts: Charlie Wilson (Nov. 8); The Green and Common Kings (Nov. 10 and 11) Every Little League team that makes it to the World Series — which only seems to happen every other year — gets the full weight of the state behind it. When Mililani’s Jasmine Trias and Maui’s Camile Velasco were “American Idol” finalists, the show became appointment television from Kalapana to Kekaha, and our telephone votes carried Trias to a third-place finish.
So when one of our own becomes perhaps the biggest pop star in the world? Well, it’s like we ourselves are along for the ride — singing along to every No. 1 song, gushing over every Super Bowl halftime show, celebrating every Grammy Award win.
And when that pop star comes home for a visit? We throw the biggest party we can.
The hoolaulea for Hawaii’s own Bruno Mars begins Thursday at Aloha Stadium. It lasts for three concerts across four nights, with more than 100,000 of his closest friends having already RSVP’d, “Hell yes.”
BRUNO BY THE NUMBERS >> 19: Top 40 singles >> 11 million: Albums sold >> 79 million: Singles sold >> 7: No. 1 singles as a performer >> 8: No. 1 singles as a songwriter >> 32: Weeks spent at No. 1 on the Billboard Hot 100 >> 32: Countries where Mars has had a No. 1 single >> 11: Grammy Awards won >> 27: Grammy nominations >> 14.049 billion: Total YouTube views for Bruno Mars’ official music videos 24K MAGIC WORLD TOUR >> Miles traveled: 113,201 >> Days: 594 >> Shows: 213 >> Continents: 6 >> Countries: 38 >> States: 29 >> Cities: 123 >> Stops: 141
Take away something as simple as birthplace and Mars is still very much the kind of pop megastar Hawaii fans would love. Start with the fact that he’s half Filipino. So rare has it been for us to see Asians and Polynesians in the national limelight that we grab on for dear life when one — be it in music, movies or sports — rises to national or worldwide prominence, even if he’s not from Hawaii. A Steve Perry-less Journey would not sell out one concert here if it weren’t led by Arnel Pineda, a singer from the Philippines. In the world of sports, Ichiro Suzuki, Troy Polamalu and Jeremy Lin were local faves.
But the “half” in Mars’ ethnic makeup is as important as the “Filipino” to a state that has three times as many multiracial residents per capita as any other state, for we also pride ourselves on our multiculturalism. Sure, racial prejudice exists in Hawaii, but we’re still the state with the most ethnic variety, and Mars embodies that diversity — his father is most prominently Puerto Rican and Jewish and his late mother was Filipino, but he has flecks of other ethnicities laced in with those. For a state of “poi dogs,” one moving the most assuredly toward a true post-racial society, who better to identify with than a pop star who defies racial categorization?
And Mars is a big enough star that even if he wasn’t from Hawaii, the coming shows would be significant. That said, the fact that Mars is “one of us” certainly adds to the fervor surrounding his arrival on these shores this week. And let’s face it — he probably wouldn’t be coming here if he weren’t from here. Honolulu is on one of its greatest runs of concerts in many years, but while more and more stars are finding their way to our islands, the biggest are not visiting at their peak the way Mars is. We’re getting some great acts, but we’re not getting the Taylor Swifts, the Ed Sheerans, the Beyonces of contemporary pop music. Will that change? Mars’ three sellouts seem to have opened the door to more shows at the stadium, with the Eagles and Guns N’ Roses due in December, and there are rumblings that other stars could be on their way.
Whatever happens down the road, with Mars coming to town, Honolulu for once is included in a worldwide tour by an artist in the upper stratosphere. Mars’ 24K Magic Tour has sold well past 2 million tickets worldwide, with revenue surpassing $250 million. The album it was named after was the second-best seller of 2017. Overall, Mars has certified sales of more than 90 million records/downloads in the U.S. alone less than a decade after he put himself on the map with a smooth guest spot on rapper B.o.B.’s chart-topping “Nothin’ on You.”
All of which serves as a reminder of another reason Hawaii loves Bruno: He always remembers where he came from.
BACK TO WHERE IT ALL STARTED
ALBUMS
“Doo-Wops & Hooligans” (2010) >> Peak: No. 3 >> Sales: 5 million copies >> Singles: “Just the Way You Are” (No. 1 for 4 weeks, 9 million); “Grenade (No. 1 for 4 weeks; 7 million); “It Will Rain” (No. 3, 3 million); “The Lazy Song” (No. 4, 3 million)
“Unorthodox Jukebox” (2012) >> Peak: No. 1 >> Sales: 4 million copies >> Singles: “Locked Out of Heaven” (No. 1 for 6 weeks, 6 million); “When I Was Your Man” (No. 1 for 1 week, 6 million); “Treasure” (No. 5, 3 million)
“24K Magic” (2016) >> Peak: No. 2 >> Sales: 2 million copies >> Singles: “That’s What I Like” (No. 1 for 1 week, 7 million); “Finesse feat. Cardi B” (No. 3, 3 million); “24K Magic” (No. 4, 5 million)
Other singles >> “Uptown Funk” by Mark Ronson featuring Bruno Mars (2015, No. 1 for 14 weeks, 11 million) >> “Nothin’ on You” by B.o.B. featuring Bruno Mars (2010, No. 1 for 2 weeks, 3 million) >> “Billionaire” by Travie McCoy featuring Bruno Mars (2010, No. 4, 2 million) >> “Lighters” by Bad Meets Evil featuring Bruno Mars (2011, No. 4, 2 million) >> “Young, Wild & Free” by Snoop Dogg & Wiz Khalifa featuring Bruno Mars (2012, No. 7, 4 million)
Sources: Billboard Magazine, Recording Industry Association of America
The pop superstar born in Honolulu as Peter Hernandez has brought his show to town for the tours following all three of his albums, with each visit growing on pace with his skyrocketing career — from one sold-out show at Blaisdell Arena to three there and now three at Aloha Stadium, a venue with about four times the capacity of the arena. For his hometown fans, it was a long wait through a tour that has gone on for almost two years, but in the end he did not forget about us.
Mars’ backstory is well-known, and it both adds to the Bruno Mars mythology and makes him that much more likable.
He started his career as a 4-year-old Elvis impersonator in Waikiki and entertained at hotel shows throughout his youth. During a “60 Minutes” profile in November 2016, he also recollected, with no negativity or sense of self-pity, how he spent part of his childhood homeless, living with his father and brother in an abandoned shack in Manoa Valley.
Mars has credited his humble beginnings for his work ethic and his start in Waikiki for his broad appeal.
“Because of my upbringing performing for tourists, I had to entertain everyone. Not just black people, not just white people, not just Asian people, not just Latin people. I had to perform for anybody that came to Hawaii,” Mars told Rolling Stone for a November 2016 cover story. (Mars had not granted the Star-Advertiser an interview at press time.)
That requirement to entertain all comers has also resulted in a command of various musical styles. His latest album, 2016’s “24K Magic,” is pretty much a straight-up tribute to old-school R&B and funk, but his prior two albums showed off his versatility as a singer and his dexterity at crossing genres, with forays into belted balladry (the soaring yet somber “When I Was Your Man”); post-punk reggae-rock (the Police-­inspired “Locked Out of Heaven”); folksy, island-inflected pop whimsy (“The Lazy Song”); and even an amalgam of styles including Motown and surf rock (“Runaway Baby”).
Those songs and those sounds all come from Bruno. In an era in which so many pop stars lean on hitmakers such as producers Max Martin and Benny Blanco, Mars has had a hand in writing and producing every song he’s appeared on. He works with outside producers at times — most notably Mark Ronson, with whom he recorded the megahit “Uptown Funk” — but compared with his peers, such collaborations are minimal. More commonly, Mars and his production teams — previously The Smeezingtons and now Shampoo Press & Curl — work in the opposite direction, shepherding hits for such artists as Adele (“All I Ask”) and CeeLo Green (“Forget You”), the former earning him one of his 11 Grammys.
SHOWMAN BRINGS THE MAGIC
Mars takes that same hands-on approach with his dancing, that extra something-something that takes him from star musician and singer to maybe the best showman currently working, a worthy successor to great entertainers such as James Brown and Michael Jackson.
Phil Tayag, one of the founding members of the renowned hip-hop dance crew the Jabbawockeez, works with Mars on many of his routines — peep him in the video for “Finesse,” among others — but won’t go so far as to call himself Mars’ choreographer.
“He’s not one of those artists that just wants somebody to prepare something for him,” Tayag told MTV.com in January. “We build everything together. He is very involved in all aspects of what he does when it comes to music production and everything. So it’s the same with dancing and creating and choreographing — super involved. … I was thinking in the beginning that he was just one of these artists that wants to be fed this choreography and all that, but he’s not. He’s super involved in everything, so we create together. He is a choreographer as well.”
The choreography is one part of translating powerfully sung songs to a live platform. Mars sees the brotherhood — in one case literal — he shares with his eight-piece band, the Hooligans, as an even more essential part.
“I think the best part of our show is that you can tell that we’re all friends up there,” Mars said in a documentary short posted to his YouTube page, “and you go in thinking, like, ‘Oh, OK, I’m gonna go see this guy sing these love songs,’ but then you kinda get a treat, you get … one of my best friends, (sideman and writing partner) Philip Lawrence, and me and him are just having the time of our life. You got my brother (Eric Hernandez) on drums, and I think that’s where the magic happens.”
BRUNO TIMELINE
>> Oct. 8, 1985 — Born Peter Hernandez in Honolulu.
>> Feb. 14, 1990 — Graces the cover of Midweek at a mere 4 years old, drawing attention for his gig as an Elvis impersonator at the Esprit Nightclub at the Sheraton Waikiki. Mars goes on to appear in costume in the Aloha Bowl halftime show in December and in the Nicolas Cage film “Honeymoon in Vegas” two years later.
>> June 7, 2003 — Graduates from Roosevelt High School. Soon after, he moved to Los Angeles to pursue a career in music.
>> Feb. 8, 2009 — “Right Round” by Flo Rida (featuring an uncredited Kesha) becomes Mars’ first No. 1 hit as a songwriter (six other writers and the band Dead or Alive share credit).
>> May 1, 2010 — “Nothin’ on You,” a collaboration with rapper B.o.B., becomes Mars’ first No. 1 single as a performer. Five months later, “Just the Way You Are” becomes Mars’ first fully solo chart-topper.
June 15, 2010 — Network TV debut on “The Tonight Show with Jay Leno.”
>> Oct. 4, 2010 — Debut album “Doo-Wops & Hooligans” is released.
>> Dec. 19, 2010 — Plays a sold-out show at the Blaisdell Arena.
>> Feb. 13, 2011 — Wins first Grammy Award, for best male pop vocal performance for “Just the Way You Are”
>> October 20, 2012 — Hosts “Saturday Night Live” and serves as musical guest, one of only 25 performers ever to do double-duty. (He also appears as a musical guest only on Oct. 9, 2010, Nov. 22, 2014 and Oct. 15, 2016.)
>> March 16, 2013 — “Unorthodox Jukebox” becomes Mars’ first (and so far only) U.S. No. 1 album.
>> June 1, 2013 — Mother, Bernadette Bayot, dies of a brain aneurysm at age 55. Mars told Latina magazine in 2017, “She’s more than my music. If I could trade music to have her back, I would.”
>> Feb. 2, 2014 — Wows the world as the lead Super Bowl XLVIII halftime performer, with a guest appearance by the Red Hot Chili Peppers. (He returned two years later at Super Bowl L as a guest with Beyonce at the request of main act Coldplay.
>> April 18-21, 2014 — Plays three sold-out shows at Blaisdell Arena.
>> Jan. 17, 2015 — “Uptown Funk,” a collaboration with British producer Mark Ronson, spends the first of 14 weeks at No. 1, tied for third-most in Billboard history.
>> July 4, 2015 — Performs at the White House as part of President Barack Obama’s Independence Day celebration.
>> Nov. 20, 2016 — CBS news program “60 Minutes” airs a segment on Mars, his roots in Hawaii and his rise to fame.
>> Dec. 13, 2016 — Appears on the “Carpool Karaoke” segment of “The Late Late Show with James Corden.” About 50 segments have aired and Mars’ is among the most viewed on the internet.
>> Nov. 29, 2017 — His special, “Bruno Mars: 24K Magic Live at the Apollo,” airs on CBS.
>> Jan. 28, 2018 — Wins six Grammys, including the big three of album, record and song of the year, bringing his career total to 11 Grammys.
>> June 9 and 16 and Aug. 3, 2018 — Three shows at Aloha Stadium this month sell out within hours.
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omagazineparis · 8 months ago
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5 idées cadeaux de dernière minute pour la Saint Valentin
C'est la Saint-Valentin et vous n'avez toujours pas de cadeau ? Pas d’inquiétude, il vous reste encore un peu de temps ! Avec un peu d’ingéniosité, et surtout un petit coup de pouce de votre webzine préféré, la situation devrait bien se décanter … Ô Magazine revient donc sur les idées cadeaux de dernière minute qui feront plaisir à l’élu.e de votre coeur ! 5 idées cadeaux de dernière minute pour la Saint Valentin - Sélection ©Jeanne BALLION Le coffret de madeleines de Maison Colibri Maison Colibri revient en force avec un coffret délicieusement gourmand. Au programme : un coffret personnalisable avec un assortiment de trois recettes de madeleines. On retrouve d’abord la classique avec une coque chocolat noir, puis la coque chocolat noir avec éclats de pécan, et enfin, le coup de cœur de la rédaction, celle au cœur framboise et coque chocolat noir, une tuerie. Le petit bonus ? Aux couleurs de l’amour, la boîte est évidemment personnalisable. Vous pouvez ainsi y graver le message de votre choix sur le couvercle. Un coffret original qui détrône sans aucun doute une boîte plutôt banale de chocolats noirs. Maison Colibri - 25€ le coffret personnalisable de 15 madeleines. Sujet connexe : Carport – une véritable alternative au garage en bois La box Fresh & Flowers de Lush Chaque mois, Lush vous propose une box beauté avec une sélection de 4 produits ainsi que des fleurs cultivées localement. Le combo gagnant pour se faire plaisir chaque mois tout au long de l'année. Idéale aussi à offrir ! Pour ce mois de février, Lush a ainsi créé une box spéciale Saint-Valentin remplie d'amour ! En plus des produits, vous recevrez un petit bouquet composé de mimosa, d'œillets de myrtes ainsi que des pétales de roses séchées. Et que retrouve-t-on dans cette box ? Une brume d’oreiller à la Rose de Damas et une carte de savon à base de pulpe de pomme fraîche, à faire mousser sur votre peau pour vous laver. On y trouve aussi un masque nourrissant aux graines de lin, dattes et noix de coco, une crème de douche solide au fruit de la passion, et une huile de massage riche en beurre d’avocat. Une box complète et réconfortante : le cadeau parfait donc ! Lush - 50€ la box de 5 produits et un petit bouquet.  À lire également : Pâques : des cadeaux pour toute la famille La tablette au gingembre du Chocolat des Français  Pour la Saint-Valentin, le chocolat des Français ravive vos désirs charnels avec sa toute première tablette de chocolat bio noir au gingembre. Reprenant une série de 5 affiches un poil ambiguës, illustrées par 5 artistes passionnés, soit Aurore Carric, Anais Lefebvre, Laurene Boglio, Simon Landrein et Paul Thurlby, ces gourmandises aphrodisiaques sont à retrouver en édition ultra limitée, alors hâtez-vous ! Ce piquant mélange vous promet ainsi un voyage au 7e ciel que vous ne serez pas près d’oublier. De quoi redonner du piment à votre 14 février ! Le Chocolat des Français – 6,25 € la tablette de chocolat noir & gingembre.  La brioche Babmoureuse du BAB À l’occasion de la Saint Valentin, le BAB présente sa nouvelle brioche, la “Babmoureuse”, une édition limitée à s’offrir ou à offrir à une personne qui compte. Dès le lundi 14 février, laissez-vous donc envoûter par cette savoureuse brioche feuilletée au praliné de noix de cajou fait-maison, agrémentée d’une confiture de groseilles venant directement du jardin familial de la cheffe Margaux Aycard et d’eau de rose. Une touche de romantisme à faire tomber Cupidon lui-même. De la gourmandise, une pincée de sucre et un peu d’amour, la brioche du Bar à Brioches est un délice et fait indéniablement partie des meilleures idées cadeaux !  Le Bar à Brioches - 4€ la brioche 8 rue La Boétie, 75008 Paris Un dîner chez Rooster Avec Rooster, coq en anglais, Frédéric Duca propose une cuisine contemporaine et raffinée. Respectueuse des saisons, la carte est loin de se cantonner à la volaille. L’agneau, le fenouil, l’anchois et l’oursin ont ainsi la part belle, comme les huiles et les épices. Formé chez les plus grands (Gérald Passédat et Hélène Darroze), le chef marseillais vous émerveillera sans aucun doute le 14 février. Avec un menu exclusif pour le jour des amoureux, vous pourrez notamment déguster un tartare de veau brocciu avec bergamote, un sabayon à l’huile d’estragon, poutargue râpée, mais aussi des Saint-Jacques Céléri, des truffes, un bouillon infusé à la sauge, ou encore une brioche pain perdu dans l’esprit d'une Tropézienne à la crème de fleur d’oranger et sorbet amande. Un dîner qualitatif et intimiste pour un moment inoubliable.Rooster – Menu à 110€ par personne avec 1 coupe de champagne 137 rue Cardinet, 75017 Paris Métro ligne 14 : Pont Cardinet Entre douceurs, gourmandises, soins et expériences gustatives uniques, les idées cadeaux ne manquent donc pas. Vous avez ainsi le choix du roi ! Si la décision est difficile, pourquoi ne pas craquer pour toutes les options ? Dépêchez-vous, il ne vous reste plus que quelques heures … Read the full article
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catherinetanguay-blog · 7 years ago
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CONCLUSION : Recherche théorique
En date du 27 février 2018. 
Ma première piste de recherche s'est tournée vers différents artistes comme par exemple, Hugo Bergeron, Andy Warhol, Yann Arthus Bertrand et Vassily Kandinsky. J’ai pu constater qu’en observant leur travail, cela m’a permis d’améliorer mes idées et de finaliser mon projet. Par la suite, j’ai fait une recherche à propos de signification de mots qui serait en lien avec mes idées. Cet aspect m’a également permis d’approfondir ma réalisation finale. Par la suite j’ai composé quinze recherches pratiques. Avec ses recherches, j’ai décidé d’essayer de nouvelles choses et de m’amuser un peu avec des éléments que j’appréciais beaucoup. J’ai décidé de faire plusieurs croquis, avec des lignes, des formes et des espaces divers. J’ai également fait cinq tests de médium avec de l’acrylique sur bois et sur toile. Cela m’a permis de faire des choix plus clairs, par exemple, j’ai choisi de prendre de l’acrylique sur toiles universelles en lin ou en polyester. Aussi, dans une idée qui s’éloigne des autres, j’ai décidé de faire plusieurs tests de dégradés. Cette idée ma plus et j’ai décidé de l’exploiter dans mon projet final.
Mon intention de création à la base était de faire trois œuvres en peinture en lien avec une liste de mots en rapport à un côté plus personnel à propos de moi. La liste était : Aviation, aériens, espace, étoile, ciel, monde extérieur, vies extérieures et autres monde. Cette liste s’inspire fortement du fait que je fais partie des cadets de l’air depuis plus de six ans et que c’est quelque chose qui m’a forgé de mes douze ans à dix-huit ans. Je voulais également reprendre des idées utiliser dans mes œuvres des années antérieures. Il y a eu changement en cours de route, dans un sens, il y a encore un très grand lien avec le fait que je fais partie des cadets. En soi, mon intention de création est de parler de l’idée de l’ordre et de sa contradiction, le désordre. Également l’idée de la répétition et de la récurrence revienne. En lien avec les cadets, une forme d’alignement, de classification, de succession régulière et irrégulière puis d’ordre et de désordre se retrouve dans mon œuvre finale. J’ai choisi de garder mon idée de base de faire un triptyque car je trouve cela très intéressant dans mon idée de classification, je veux disposer mes trois œuvres de façon à ce qu’on y trouve un arrangement ou un ordre précis. Finalement, mon intention finale est de faire trois peintures en acrylique de forme carrée sois du 36 x 36 pouces environ, où l’on y trouve une perception de chronologie et de discipline, grâce à la ligne, aux formes et à l’abstraction. Tout cela parlerait de quelque chose à laquelle je tiens beaucoup et en quoi je voulais l’illustrer pour en parler.
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fyeahcindie · 6 years ago
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any recommendations for indie pop or indie electronica (think: manila killa, san holo, lido, etc.)? i’ve been having so much trouble finding chinese electronica that i like
Hi there!   I’m sorry to say I don’t know those bands you mentioned, but I’m happy to give some electro recs anyway!  =D
莉莉周她說 Lily Chou-Chou Lied  soft electro w/ m/f vocal. Very soothing sound.
Pasha  Hong Kong electronic dreampop. Nookie Ho-music programmer, Shadow Choy-vocal.  They tend to take long hiatus between albums, but definitely check them out.
Ruby Fatale 鹿比 ∞ 吠陀  electronica/glitch/stoner 鹿比-voc/music production, 子修-visuals.
Troy Lin 林昀駿 keys/electronica  SoundCloud.
Yikii Tong aka yik.ii Singer/electronic singer/musician living in China, part of the duo anemone with Japanese electronica musician Ninomiya Tatsuki  Yikii SoundCloud, Yikii bandcamp, anemone SoundCloud.
Dizparity electronica  SoundCloud.
Enno Cheng 鄭宜農’s recent solo efforts are very electro-acoustic, and her band Chocolate Tiger 猛虎巧克力 is one of my favorite indie pop/rock bands. 
Astro Bunny 原子邦妮 electropop duo of Lena Cha 查查 (查家雯), NU (張羽承 Edward Chang)  I love just about everything they do!
許家維 Hsu Chia-Wei  MV/soundtrack/mixing/recording studio Official site  solo project: Waves of Doppler 都普勒浪潮 .D.O.P.P.L.E.R.  SoundCloud (Doppler)
林瑪黛 matelin Electronic pop with DJ/producer/bass 黃少雍 Shao-Yong Huang, voc-Asha 林意倩 Yi Chian Lin (阿倩), Visuals by artist Mina Shih 施昭羽 Jhao Yu Shih (aka 小油画 / little oil), Yi-Chi Lin 林易祺-gtr (also in Vast & Hazy)  SoundCloud. Another big favorite.
==
To tell you the truth, it seems almost every TW act has added some electronic elements to their sound, especially the folkies that both lead bands and do solo shows. Lots of live looping and sample tracks.  
Another place to check out is Dark Paradise Records (run by producer 黃少雍 Shao-Yong Huang from matelin) they have 6 or 7 electronic compilations, and you’ll surely find some things you like there! (fb: 派樂黛唱片 & SoundCloud)
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yurta-sana-blog · 6 years ago
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Story Swann
Je pense que c’était il y a huit ou neuf ans ma première rencontre avec une yourte. Mon beau père vivait dans une cabane en bois trop petite pour accueillir tous ses effets personnels. C’était un après midi d’été qui allait changer ma vie à jamais sans que je ne m’en rende compte sur le moment. J’ai fait la rencontre merveilleuse d’une Femme comme on en voit rarement. La première fois que j’ai aidé a monter une yourte, pour des personnes que j’aimais très fort, je ne m’étais pas imaginé le cadeau que la vie me faisait ni que ça allait complètement me changer par la suite. C’était le début de mon camino.
Je devais avoir 14ans quand j’ai rencontré cette Femme, elle vivait déjà en yourte depuis quelques années, au fin fond d’une prairie Normande. Elle était tellement forte et avait l’air tellement en phase avec ses pensées et ses valeurs que sa personne m’avait marqué. Elle était venue nous aider à monter la notre car c’était l’une des premières personnes de l’ouest français à l’utiliser comme habitation principal et a s’y connaitre dans le montage d’une yourte traditionnel mongole. Nous avons laissés passer quelques années avant de se revoir.
Je venais de finir le lycée, je n’avais jamais aimé les cours, même à l’école d’art . Mon amour pour la nature m’avait retenue/empêchée de partir de ma région et  de  faire comme toutes les personnes de ma classe, c'est à dire aller dans de grandes écoles. La seule chose pour laquelle je me passionnais, et pour laquelle je pouvais passer un nombre d’heure incalculable à lire et apprendre depuis des années, était le monde des chamans et des guérisseurs. Je savais que leurs enseignements ne pouvait être appris à l’école mais qu’un jour, je n’en doutais pas, je pourrais aller a leur rencontre. Je ne savais pas du tout où la vie allait me mener, ni  ce que j’allais faire, j’étais à un moment de ma vie où je me laissais porter jour après jour, je squattais d’endroit en endroit sans savoir où aller. J’avais tout juste 18ans quand je suis retombée sur son numéro. Après une sorte d’entretien téléphonique, elle me dit que je pouvais venir quelques temps avec eux et qu’on verrait si le courant passait entre nous. Un homme avait également emménagé sur le terrain pas longtemps après elle.  La yourte, dont on avait hérité trois ans auparavant à la suite d’un drame au sein de notre famille, était installée sur leur terrain et ils s’en servaient de cuisine, il n’y avait donc aucun problème à ce que j’arrive dès le lendemain.
J’ai un don pour réussir a me souvenir de chaque instant de ma vie et je ne pourrais pas raconter cette histoire vaguement. C’est une histoire d’amour qui a débutée entre Astrid, Micka, les yourtes et moi ce jour-là. Il y avait 1km à faire à travers champs pour arriver aux yourtes. J’eus mon premier gros déclic et un changement de vision du monde quand mes yeux se sont posés pour la première fois sur ces trois yourtes disposés dans une grande prairie verdoyante. Des tournesols faisaient guise de soleil Normand entre chacune d’elles. Une serre faite avec les moyen du bord se trouvait un peu plus loin, un pêcher sauvage commencer à pousser dedans et allait bientôt finir par pousser le toit. De l’autre coté une cabane en bois avec des côtés en vitres faisait office de toilette avec vue sur la prairie. C’est au fond de ce champs qu’Astrid m’a présenté à Micka qui couper du bois (ahah le cliché). Je ne me doutais pas que cet instant aller devenir une habitude pour nous trois. Astrid était forte, joyeuse, hyper active et d’un naturel comme on en voit rarement. Micka était une âme brisé, un artiste aux multiples talents qui avait fini par s’enfermer sur lui même. On installa un lit mongol, qu’Astrid avait pris soin de remonter dans la prairie, dans ma yourte qui servait de cuisine. On avait chacun notre petite maison.
Dès le premier soir ma vie a changé du tout au tout. Mon amour des yourtes et de la vie très simple a commencé.Pour la première fois de ma vie, je senti que j’avais trouvé ma place. Nous n’avions pas d’eau courante, seulement des bidons d’eau de pluie récupéré pas loin d’un poulailler au fond du terrain. Nous n’avions pas non plus d’électricité, juste une vieille batterie de voiture qui servait a alimenter une petite lumière 1watt au dessus de la table et une petite radio, un poêle a bois qui nous permettais de chauffer pour faire face au intempérie Normande. Nous étions tous les trois et n’avions besoin de rien d’autre à part être là. Je faisais des travaux manuels, des améliorations aux yourtes, ainsi que des travaux dans une ferme pendant la journée avec Astrid. Elle me proposa de travailler avec elle pour la location de yourte et le montage/démontage, ce fut le premier travail que j’ai apprécié faire et  le seul que je garderai au fil des années malgré des mois d’absence de temps à autres. Le soir je prenais plaisir a cuisiner avec Micka. Plus tard j’allais dans sa yourte l’écouter jouer de la guitare, chanter, dessiner et parler jusqu’au bout de la nuit. Ils m’ont beaucoup aidé à me trouver moi même, ils étaient mon miroir. Du haut de mon jeune âge, j’étais un mélange parfait de ces deux Etres. J’ai eu la chance de découvrir la dur vie en yourte très tôt et ça m’a permis d’acquérir une gratitude et un respect envers l’univers pour ce qu’il a à nous offrir. C’est resté un de mes grands principes, ce respect profond pour ce qu’on a et ce que la vie nous offre. Je pouvais m’extasier devant la simplicité des choses et savait vivre et voir le bonheur dans des choses qui ne s’achèterons jamais. Pour moi, le respect de la planète était devenu primordial. J’avais été élevée par des parents écolo, bio et j’en avais déjà les grands principes mais je pense que je n’avais jamais vraiment compris pourquoi. Après quelques temps à vivre avec eux, la fatigue de vivre de cette manière se fit ressentir. Nous devions couper notre bois à la hache tous les jours pour le soir même, nous devions nous relever la nuit pour réalimenter le poêle car le froid de l’hiver Normand était bien arrivé. Ils étaient fort, moi beaucoup moins. C’est suite à une grave intoxication au monoxyde de carbone pendant une nuit, causé par mon poêle à bois usé et à mes parents qui commençait a me demander de rentrer dans la société pour que je puisse voir ce qu’était la « vraie vie » de leur point de vue, que j’ai décidé de repartir à la recherche de ce que je voulais dans ma vie.
J’ai été a l’opposé de qui j’étais pour me rendre compte de ce que je ne voulais pas. J’ai trouvé un travail dans un aéroport de région parisienne et suis partie à l’aventure. Je n’ai tenue que quelques mois, il me manquait quelque chose encore une fois, une authenticité. J’avais besoin d’être moi à toute heure de la journée et ne pouvait pas me cacher derrière un masque. J’ai tout quitté du jour au lendemain et suis revenue dans ma région où j’ai pu retrouver ma famille et les yourtes. Voyant mon désespoir et ne se sentant plus capable de le faire seule, Astrid me demanda si je voulais reprendre les rennes des Yourtes de la Rouvres, sa petite auto-entreprise, elle comprit que c’était quelque chose que je voulais continuer de faire seulement avec elle, que je n’étais pas encore prête. Ma mère avait toujours eu le projet d’ouvrir un gîte d’étape depuis qu’elle avait commencé le chemin de St Jacques de Compostelle des années auparavant. Elle a pu le réaliser en 2017 en achetant une maison dans la campagne qui se trouvait être près de la vélo francette. Elle m’a demandé de l’aider à s’en occuper, elle me laissa aussi une ruine à rénover pour en faire ma maison à côté du gite.
On a mis 1an. Un an de travaux pour ouvrir le gîte et un an pour rénover ma partie. Nous avons tout fait avec des matériaux écologiques, des murs en Terre- Lin, en chaux-sable et en matériaux de récupération. Même les meubles ont été récupérés pour la moitié, à la déchèterie. Je ne remercierai jamais assez les personnes qui m’ont aidé dans cette expérience. Rénover une maison en entier aussi jeune à été une de mes plus grandes chances et m’a fait évoluer encore une fois, d’un très grand pas. Ça m’a conforté dans l’idée que ce dont j’avais besoin dans ma vie c’était construire, que ce soit une yourte ou la rénovation d’une maison, j’y trouvais mon compte a créer des cocons. J’avais un travail dans une ferme, j’aidais ma mère avec le gîte et je montais des yourtes pour des événements quand les travaux se sont fini. Le fait de ne plus rien avoir à faire à la maison à été dur et l’ennui à pris sa place. Ma soeur qui elle aussi était à un tournant de sa vie, venait de décider de partir sur les pas de ma mère et réaliser le chemin de st Jacques de Compostelle seule (qu’elle a accompli avec succès!!) . Elle a été mon élément déclencheur cette année là, son courage m’a amené à partir à la poursuite de ce que je voulais encore une fois. C’est avec (Alex) et mon sac à dos que nous sommes parti une semaine seulement après que l’idée nous ai traversé l’esprit. Nous sommes descendu en Espagne et n’ayant jamais réussi à avoir assez d’argent d’ économiser pour voyager, nous devions nous débrouiller en osant parler au gens et en leur demandant une place dans leur maison, dans leur voiture ou dans un coin de jardin.
La vie a passé son temps à m’envoyer des signaux que je n’écoutais que rarement parce que j’avais l’impression de devoir aller chercher dans ce que je ne savais pas déjà. J’avais passé ma vie à faire des rencontres qui me changeait et qui me faisait évoluer d’un coup, mais si j’avais un instant deviné ce qui m’attendais en Espagne je n’y aurais jamais cru.  C’est un matin pendant que nous faisions du stop sous un orage très énervé que la vie est revenue me chercher en faisant s’arrêter sur le bord de la route un gros pick up avec à son bord un monsieur et son fils. C’est en attendant que l’orage passe que j’ai osé lui parler et lui poser pleins de questions. Nous avions tellement en commun, le premier sujet fut le chamanisme, et le deuxième qu’il venait de monter une yourte chez lui et qu’il avait des problèmes d’infiltration d’eau à l’intérieur. C’était parfait, nous avions de quoi échanger. Nous sommes rester presque 3 semaines chez lui, j’y ai découvert un Chaman qui depuis est devenu mon maitre spirituel et a qui je dois ma dernière année et mon évolution. Nous sommes reparti finir notre tour d’Espagne, sommes descendu en Andalousie puis avons décider de remonter vers la frontière française par le chemin de st Jacques de Compostelle.
Quand je suis rentrée, j’ai tout de suis sentie que ma place n’était plus en Normandie, ça m’appelai autre pars. La seule chose que je faisais de mes journées était du Yoga, j’enchainais les heures seules chez moi, ça me faisait un bien fou. Je suis redescendu seule une fois en Espagne quelques mois plus tard, mais suis repartie une semaine après car je n’avais pas les moyens. Et là, nous arrivons à aujourd’hui. Je suis descendu il y’a a peine un mois pour le week end pour une cérémonie qui a  été très forte en émotion et en amour dans la yourte, chez le chaman. C’est ce même week end que j’ai refait une rencontre qui a débloqué ma vie et j’ai décidé de ne pas repartir.
J’avais acquis tout un tas de connaissances au long de ma vie mais ne savais pas quoi en faire. J’avais toujours eu l’impression d’attendre quelque chose que je ne voyais pas arriver. Ce projet de yourte sur le chemin de Santiago est la réponse à une succession d’événement survenue au fil de ma vie. Je savais que tout ce que j’avais appris me servirait mais je savais qu’il me manquait des choses pour me lancer sur un projet concret. Je sais aujourd’hui que j’ai trouvé mes pièces manquantes et que c’est le moment de faire ce qui doit être fait. Un camping de yourte pour pélérin est une évidence. J’ai envie de partager mon expérience avec des personnes qui eux aussi sont sur leur chemin. Je voudrais apporter peut-être de nouvelles choses, un nouveau regard dans un coin paisible où le temps d’une soirée, d’une nuit, on peut se retrouver ensemble mais surtout avec soi-même. J’ai trouvé une personne formidable qui a autant à donner que moi, voir plus. J’ai toujours su qu’un jour je transmettrai ce que j’avais appris, et c’est en créant un lieu de passage magique que je veux le faire, que les personnes puissent se sentir bien et accueilli dans l’amour que nous avons tous les deux à donner et peut être devenir comme ces personnes qui m’ont changé la vie.
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infos-lgbt · 6 years ago
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Chine: une campagne LGBT choc
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Un artiste et un policier gay mènent actuellement en Chine une campagne pour dénoncer les traitements censés "guérir" les orientations sexuelles des gays, à l'aide de camions équipés de panneaux accusateurs comme dans le film américain "3 Billboards". Pékin a dépénalisé l'homosexualité en 1997 et l'a retirée de sa liste des maladies mentales en 2001. Mais les gays et lesbiennes font encore l'objet d'une très forte pression familiale et sociale. Ils sont nombreux à se résigner au mariage pour répondre au désir de petits-enfants de leurs parents. Et sont parfois incités par leurs proches à subir des traitements de "réorientation" à base de médicaments, d'isolements ou d'électrochocs. Ces "thérapies de conversion" sont considérées comme non scientifiques et inefficaces par les experts. Certains hôpitaux les proposant ont été condamnés par la justice chinoise. Mais de nombreux autres sont toujours actifs. L'artiste chinois Wu Qiong, excédé par ces pratiques, a choisi de lancer une campagne-choc itinérante afin d'attirer l'attention de ses compatriotes sur le phénomène. Il dit avoir été inspiré par le film américain "3 Billboards: les panneaux de la vengeance" (2017), où une mère de famille en colère (interprétée par l'actrice Frances McDormand) fait afficher trois panneaux accusateurs pour interpeller la police après le viol et le meurtre non élucidé de sa fille. "Ce film visait à soulever des problèmes non résolus. On voulait également utiliser cette méthode pour émettre des doutes quant à ces thérapies de conversion", explique M. Wu à l'AFP. Cet artiste de 28 ans basé dans la métropole de Shenzhen (Sud) affirme ne pas être homosexuel. Il fait équipe avec un policier seulement connu par son nom de famille: M. Lin. La campagne a commencé à Shanghai (Est) le weekend dernier. Elle devrait se poursuivre dans sept autres villes du pays, dont la capitale Pékin. lire sur https://www.bfmtv.com/
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bongaboi · 8 years ago
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89th Academy Awards Winners
Best Picture
Moonlight – Adele Romanski, Dede Gardner, and Jeremy Kleiner
Arrival – Shawn Levy, Dan Levine, Aaron Ryder, and David Linde
Fences – Scott Rudin, Denzel Washington, and Todd Black
Hacksaw Ridge – Bill Mechanic and David Permut
Hell or High Water – Carla Hacken and Julie Yorn
Hidden Figures – Donna Gigliotti, Peter Chernin, Jenno Topping, Pharrell Williams, and Theodore Melfi
La La Land – Fred Berger, Jordan Horowitz, and Marc Platt
Lion – Emile Sherman, Iain Canning, and Angie Fielder
Manchester by the Sea – Matt Damon, Kimberly Steward, Chris Moore, Lauren Beck, and Kevin J. Walsh
Best Director
Damien Chazelle – La La Land
Mel Gibson – Hacksaw Ridge
Barry Jenkins – Moonlight
Kenneth Lonergan – Manchester by the Sea
Denis Villeneuve – Arrival
Best Actor
Casey Affleck – Manchester by the Sea as Lee Chandler
Andrew Garfield – Hacksaw Ridge as Desmond T. Doss
Ryan Gosling – La La Land as Sebastian Wilder
Viggo Mortensen – Captain Fantastic as Ben Cash
Denzel Washington – Fences as Troy Maxson
Best Actress
Emma Stone – La La Land as Mia Dolan
Isabelle Huppert – Elle as Michèle Leblanc
Ruth Negga – Loving as Mildred Loving
Natalie Portman – Jackie as Jackie Kennedy
Meryl Streep – Florence Foster Jenkins as Florence Foster Jenkins
Best Supporting Actor
Mahershala Ali – Moonlight as Juan
Jeff Bridges – Hell or High Water as Texas Ranger Marcus Hamilton
Lucas Hedges – Manchester by the Sea as Patrick Chandler
Dev Patel – Lion as Saroo Brierley
Michael Shannon – Nocturnal Animals as Detective Bobby Andes
Best Supporting Actress
Viola Davis – Fences as Rose Maxson
Naomie Harris – Moonlight as Paula
Nicole Kidman – Lion as Sue Brierley
Octavia Spencer – Hidden Figures as Dorothy Vaughan
Michelle Williams – Manchester by the Sea as Randi
Best Original Screenplay
Manchester by the Sea – Kenneth Lonergan
Hell or High Water – Taylor Sheridan
La La Land – Damien Chazelle
The Lobster – Yorgos Lanthimos and Efthimis Filippou
20th Century Women – Mike Mills
Best Adapted Screenplay
Moonlight – Barry Jenkins and Tarell Alvin McCraney from In Moonlight Black Boys Look Blue by Tarell Alvin McCraney
Arrival – Eric Heisserer from "Story of Your Life" by Ted Chiang
Fences – August Wilson from Fences by August Wilson (posthumous nomination)
Hidden Figures – Allison Schroeder and Theodore Melfi from Hidden Figures by Margot Lee Shetterly
Lion – Luke Davies from A Long Way Home by Saroo Brierley and Larry Buttrose
Best Animated Feature Film
Zootopia – Byron Howard, Rich Moore, and Clark Spencer
Kubo and the Two Strings – Travis Knight and Arianne Sutner
Moana – John Musker, Ron Clements, and Osnat Shurer
My Life as a Zucchini – Claude Barras and Max Karli
The Red Turtle – Michaël Dudok de Wit and Toshio Suzuki
Best Foreign Language Film
The Salesman (Iran) in Persian – Asghar Farhadi
Land of Mine (Denmark) in Danish – Martin Zandvliet
A Man Called Ove (Sweden) in Swedish – Hannes Holm
Tanna (Australia) in Nauvhal – Martin Butler and Bentley Dean
Toni Erdmann (Germany) in German – Maren Ade
Best Documentary – Feature
O.J.: Made in America – Ezra Edelman and Caroline Waterlow
Fire at Sea – Gianfranco Rosi and Donatella Palermo
I Am Not Your Negro – Raoul Peck, Rémi Grellety, and Hébert Peck
Life, Animated – Roger Ross Williams and Julie Goldman
13th – Ava DuVernay, Spencer Averick, and Howard Barish
Best Documentary – Short Subject
The White Helmets – Orlando von Einsiedel and Joanna Natasegara
Extremis – Dan Krauss
4.1 Miles – Daphne Matziaraki
Joe's Violin – Kahane Cooperman and Raphaela Neihausen
Watani: My Homeland – Marcel Mettelsiefen and Stephen Ellis
Best Live Action Short Film
Sing – Kristóf Deák and Anna Udvardy
Ennemis intérieurs – Sélim Azzazi
La Femme et le TGV – Timo von Gunten and Giacun Caduff
Silent Nights – Aske Bang and Kim Magnusson
Timecode – Juanjo Giménez
Best Animated Short Film
Piper – Alan Barillaro and Marc Sondheimer
Blind Vaysha – Theodore Ushev
Borrowed Time – Andrew Coats and Lou Hamou-Lhadj
Pear Cider and Cigarettes – Robert Valley and Cara Speller
Pearl – Patrick Osborne
Best Original Score
La La Land – Justin Hurwitz
Jackie – Mica Levi
Lion – Dustin O'Halloran and Hauschka
Moonlight – Nicholas Britell
Passengers – Thomas Newman
Best Original Song
"City of Stars" from La La Land – Music by Justin Hurwitz, Lyric by Benj Pasek and Justin Paul
"Audition (The Fools Who Dream)" from La La Land – Music by Justin Hurwitz, Lyric by Benj Pasek and Justin Paul
"Can't Stop the Feeling!" from Trolls – Music and Lyric by Justin Timberlake, Max Martin, and Karl Johan Schuster (Shellback)
"The Empty Chair" from Jim: The James Foley Story – Music and Lyric by J. Ralph and Sting
"How Far I'll Go" from Moana – Music and Lyric by Lin-Manuel Miranda
Best Sound Editing
Arrival – Sylvain Bellemare
Deepwater Horizon – Wylie Stateman and Renée Tondelli
Hacksaw Ridge – Robert Mackenzie and Andy Wright
La La Land – Ai-Ling Lee and Mildred Iatrou Morgan
Sully – Alan Robert Murray and Bub Asman
Best Sound Mixing
Hacksaw Ridge – Kevin O'Connell, Andy Wright, Robert Mackenzie, and Peter Grace
Arrival – Bernard Gariépy Strobl and Claude La Haye
La La Land – Andy Nelson, Ai-Ling Lee, and Steve A. Morrow
Rogue One: A Star Wars Story – David Parker, Christopher Scarabosio, and Stuart Wilson
13 Hours: The Secret Soldiers of Benghazi – Greg P. Russell,[n 1] Gary Summers, Jeffrey J. Haboush, and Mac Ruth
Best Production Design
La La Land – David Wasco and Sandy Reynolds-Wasco
Arrival – Patrice Vermette and Paul Hotte
Fantastic Beasts and Where to Find Them – Stuart Craig and Anna Pinnock
Hail, Caesar! – Jess Gonchor and Nancy Haigh
Passengers – Guy Hendrix Dyas and Gene Serdena
Best Cinematography
La La Land – Linus Sandgren
Arrival – Bradford Young
Lion – Greig Fraser
Moonlight – James Laxton
Silence – Rodrigo Prieto
Best Makeup and Hairstyling
Suicide Squad – Alessandro Bertolazzi, Giorgio Gregorini, and Christopher Nelson
A Man Called Ove – Eva von Bahr and Love Larson
Star Trek Beyond – Joel Harlow and Richard Alonzo
Best Costume Design
Fantastic Beasts and Where to Find Them – Colleen Atwood
Allied – Joanna Johnston
Florence Foster Jenkins – Consolata Boyle
Jackie – Madeline Fontaine
La La Land – Mary Zophres
Best Film Editing
Hacksaw Ridge – John Gilbert
Arrival – Joe Walker
Hell or High Water – Jake Roberts
La La Land – Tom Cross
Moonlight – Nat Sanders and Joi McMillon
Best Visual Effects
The Jungle Book – Robert Legato, Adam Valdez, Andrew R. Jones, and Dan Lemmon
Deepwater Horizon – Craig Hammack, Jason Snell, Jason Billington, and Burt Dalton
Doctor Strange – Stephane Ceretti, Richard Bluff, Vincent Cirelli, and Paul Corbould
Kubo and the Two Strings – Steve Emerson, Oliver Jones, Brian McLean, and Brad Schiff
Rogue One: A Star Wars Story – John Knoll, Mohen Leo, Hal Hickel, and Neil Corbould
Governors Awards
The Academy held its eighth annual Governors Awards ceremony on November 12, 2016, during which the following awards were presented:
Academy Honorary Awards
Jackie Chan — Hong Kong martial artist, actor, director, producer and singer.[16]
Anne V. Coates — British film editor.
Lynn Stalmaster — American casting director.
Frederick Wiseman — American filmmaker, documentarian and theatrical director.
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