#arnaud vaillant

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COPERNI PRE-FALL 2024

[valntini]

the crystal swipe bag by swarovski

[la-situde]

Coperni RTW Runway F/W '24

[le-monde-sans-couleur]

Bella Hadid at Coperni S/S 2023

[camillerowep]

October 1, 2023 — Camille Rowe, Arnaud Vaillant and Sebastien Meyer attended Mert Alas’ and Seventy One Gin’s secret party to celebrate Paris Fashion Week!

[francoisgoize]

2023 - Arnaud Vaillant & Sébastien Meyer - Sidaction ©François Goizé

[liquidodesign]

Coperni Spring Summer 2024 - Forms of Attunement

By Sébastien Meyer & Arnaud Vaillant Film direction Alexandre Silberstein Film production Fantastic studio Styling Helena Tejedor Casting Samuel Ellis DM CASTING Creative Direction Kévin Tekinel & Charles Levai Head of design Charlotte Raymond Silberstein Music u.r.trax Hair Duffy with l’Oreal Paris Make up Fara Homidi with Fara Homidi Beauty Skincare Orveda Nails Marie Rosa Production La Mode en Images Press Lucien Pages Communication Sales Tomorrow LTD Ai-Pin hu.ma.ne Speaker Jacket transpa.rent Collaboration PUMA Location IRCAM, espace de projection Ircam sound director Pierre Carré

[kaliforniaaajenner]

October 16th, 2024 — Arnaud Vaillant via Instagram Stories.

[sensitiveuser]

Portrait of a Communard (1) : Arthur Arnould (1833-1895)

During the Second Empire, Arthur Arnould was a journalist at the Revue nationale, a newspaper opposed to Napoleon III. In 1870, he joined La Marseillaise.

After the proclamation of the Third Republic, he became assistant librarian of the city of Paris.

On March 26, 1871, he was elected to the Council of the Commune, as a representative of the 4th arrondissement. He was first a member of the Commission of External Relations, whose delegate was Pascal Grousset. In April, he joined the Commission of Labor and Exchange, whose delegates were Augustin Avrial, Léo Frankel, Benoît Malon, and Albert Theisz. He then joined the Commission of Subsistence, under the responsibility of Auguste Viard. Finally, we find him at the Commission de l’Enseingement, under the responsibility of Edouard Vaillant.

During the Commune, Arthur Arnould worked for Le Rappel, La Nouvelle République, and L’ Affranchi. On May 1, alongside Auguste Vermorel, he became an editor at the Journal officiel. When the Committee of Public Safety was created, he was one of the nineteen internationalists of the anti-authoritarian minority, alongside Andrieu, Avrial, Babick, Beslay, Chalain, Clémence, Cluseret, Frankel, Girardin, Langevin, Lefrançais, Longuet, Malon, Pindy, Serraillier, Rheiz, Vaillant, Varlin. As a reminder, the Committee of Public Safety, following the proposal of Jules Miot, was established on May 1, 1871, by 45 votes to 22. The five members were Antoine Arnaud, Gabriel Ranvier, Léo Meillet, Félix Pyat, and Charles Gérardin. The anti-authoritarians saw their power confiscated by the Committee of Public Safety; they were ousted from the delegations. On May 15, Arthur Arnoult signed the declaration of the internationalist minority, which publicly denounced the "dictatorship" of the Committee of Public Safety, "The Paris Commune has abdicated its power into the hands of a dictatorship to which it has given the name of Public Safety."

In November 1872, Arthur Arnould was sentenced in absentia to deportation. He therefore took refuge in Switzerland with his wife Jeanne Matthey (Jenny). In Geneva, among the proscribed, he was active in the Socialist Revolutionary Propaganda and Action Section. In 1873, he was sent to Lugano to attend the congress of the International League for Peace and Freedom. A year after the Saint-Imier Congress, he became close to Bakunin.

In 1874, he left for Argentina with Jenny.

In 1876, Bakunin died. Arthur Arnould was one of the people responsible for managing his manuscripts, which he then passed on to James Guillaume. In Geneva, he contributed to the Bulletin de la Fédération jurassienne, La Commune, and Le Travailleur. He published L’État et la Révolution (in 1877), and his Histoire populaire et parlementaire de la Commune de Paris (in 1878). With Gustave Lefrançais, he wrote Souvenirs de deux communards réfugiés à Genève, 1871-1873.

He also wrote novels under the pseudonym A.Matthey.

In the 1880s, when he returned to France, we can say that the character changed, and not in a good way, for a former communard and anarchist ! In 1881, he joined the Republican Socialist Alliance, a reformist socialist party of which Clemenceau was a member... A few years later, he had to deal with Jenny's death... The worst thing about his evolution was that he would have accepted to be decorated with the Order of Isabella the Catholic ! Then he joined an esoteric sect, the Theosophical Society.

Nevertheless, I would not say that he had completely erased his past as a communard and anarchist, since he still wrote an article about Bakunin in the Nouvelle Revue in 1891.

He died in 1895.

[everydayfashionistablog]

Fashion show + Technology

The Coperni designers Sébastien Meyer and Arnaud Vaillant may have been responsible for the most viral moment of fashion week for the second consecutive season. A pack of robot dogs prowled the runway like wolves as models made their way down the runway in their latest show by the design duo who last fall spray painted a dress on the nearly naked body of the model Bella Hadid. During one of the robot demonstrations, one of the machines caressed a model's face before tugging her jacket off her shoulders. Coperni's decision to have models interact with machines has sparked a polarizing debate on the Internet and critics say it is reminiscent of a fever dream that could only be imagined by Elon Musk.

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COPERNI PRE-FALL 2024

[marie-bradshaw]

Poupée cassée

Chers lecteurs,

Le temps passe, j'avance péniblement mais sûrement sur mon projet, les leçons de vie et les épreuves s'enchaînent comme à leur habitude.

Des amitiés se renforcent, d'autres se brisent, et quand le moral est à la baisse je garde cette certitude au fond de mes entrailles: à coeur vaillant rien d'impossible, Dieu teste notre foi et notre ténacité.

Ce qui nous est destiné finira par nous trouver.

Faire de notre mieux, jour après jour, s'améliorer pour avancer vers la meilleure version de nous-même, constitue déjà une victoire en soit.

Sortir de vieux schémas toxiques, comprendre nos mécanismes internes et travailler sur soi pour ne plus en être esclave.

C'est le mot d'ordre de mon début d'année 2025.

Ca et m'ouvrir plus.

On pourrait penser de l'extérieur, sans me connaitre, qu'étant quelqu'un d'extravagant, avec une personnalité affirmée, je n'ai peur de rien, j'ose tout, et je m'ouvre avec beaucoup de facilité.

C'est faux bien entendu.

J'ose, oui.

Je sais ce que je vaux - les 95% du temps, absolument.

M'ouvrir vraiment en revanche, prendre un risque, perdre le contrôle et laisser quelqu'un m'approcher d'assez près pour contempler toutes les cicatrices qui ornent ma peau et mon âme - c'est une autre histoire.

Les personnes les plus fortes que je connaisse, sont celles qui en ont le plus bavé et ont pris le parti de rester du bon côté de la barrière - là o�� la bienveillance règne et non la rancoeur ou la haine.

Voilà d'où je tire ma force.

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts.

A ce stade je dois être général quelque part.

Passons les grands traumatismes de ma vie en revue si vous le voulez bien, que vous fassiez partie de mon cercle proche, un prétendant, un ex ou juste un membre de ma communauté - vous y verrez sans doute plus clair sur les raisons de ma personnalité actuelle.

Des troubles violents de l'adolescence dans un foyer où l'amour était conditionné à la réussite et aux exploits en tout genre - qui m'ont laissé de bien nombreuses cicatrices sur les bras, là où je plantais les lames qui me faisaient saigner.

Une douleur physique prévalant sur la plus grande souffrance morale qui m'habitait

A l'overdose d'amphétamines au lycée parce que je ne me sentais pas à la hauteur du poids qu'on avait mis sur mes épaules pour encore une fois être la meilleure, briller, intégrer la meilleur école... à mes yeux je ne valais rien, un gâchis d'espace et d'oxygène, alors jouer avec ma vie à cette époque - ne me posait vraiment aucun problème.

Cyril, ma plus longue relation (5 ans) m'avait appris à l'époque ce qu'était qu'aimer, et l'être en retour, a donné de la valeur à ma vie et fait arrêter les conneries.

Et puis j'ai grandi, à travers le travail, un parcours de succès souvent acquis dans la violence de moi-même, j'étais en quête de reconnaissance.

Ce que je n'obtiendrais jamais de mon père je l'obtenais de mes N+1.

Une course qui ne se terminerait jamais qui rappelle le châtiment de Sisyphe avec son rocher à porter au bout d'une montagne en permanence (mythologie grecque).

J'étais passé d'un dérivé à un autre pour combler le vide et éviter d'affronter ce qui me blessait vraiment.

C'est là que j'ai rencontré Arnaud, un ange transformé en démon après 2 ans de relation, devenu la définition du mec toxique, violent en soirée passé 3 verres, qui n'a pas supporté que je m'éloigne de lui, accro à mon amour, à mon attention, et bientôt au désir de me posséder quoi qu'il en coûte.

Le coût ici c'était ma vie.

Il n'a levé la main sur moi qu'une seule fois, mais quelques semaines plus tard (et ceci devrait être ton signe qu'un acte de violence ne doit jamais être excusé, en aucune manière, peu importe le motif) quand je l'ai "repris" persuadée d'être la cause à son mauvais comportement, "qu'il était tellement désolé", "que je ne l'avais pas assez rassuré", une décision stupide vraiment avec le recul... il s'en est pris à plus que ma joue.

Je me souviens de ses mains autour de ma gorge, serrant si fort que je ne pouvais plus respirer.

Les 30 sec les plus longues de ma vie.

A force de me débattre de toutes mes forces il s'est réveillé, et a lâché prise, encore une fois "tellement désolé".

A ce moment-là, j'ai compris qu'au plus profond de son inconscient la haine le dévorait, si je n'étais plus à lui je ne serais plus à personne.

Nous devions passer la semaine ensemble sur Toulouse avant de retrouver des amis sur Lyon, semaine que j'ai vécu comme une séquestration.

Il avait mon téléphone, mes clefs, je n'osais même plus respirer près de lui de peur qu'il s'énerve et se remontre violent.

Le moment où j'ai du recoucher avec lui par instinct de survie, pour "apaiser sa colère" et qu'il ne sente pas que ce serait définitivement la fin- mon esprit s'est dissocié de mon corps, c'était moi sans être moi, la seule manière vivable de se protéger - tout comme le font souvent les victimes de viol.

Je me souviendrai toujours de son regard, quand une fois arrivés sur Lyon à un concert avec nos amis, l'un d'eux m'a serré dans ses bras.

Noir, obscure, empli de haine et de violence.

Il a fallu 600Km entre nous, un double verrou et d'innombrables douches brûlantes à m'en décaper la peau pour que je me ressente enfin à peu près en sécurité.

Sauf qu'à partir de là, et c'était il y'a (déjà) dix ans, je n'ai plus que très rarement réussi à baisser suffisamment la garde avec un homme pour parvenir à me laisser suffisamment aller et m'endormir à ses côtés.

Un vrai stress post-traumatique, et une source d'angoisse dès que je me mettais en couple.

Combien de nuits de sommeil j'ai dû sacrifier?

Beaucoup.

Beaucoup trop.

A une époque je prenais l'habitude de partir dormir sur le canapé, aujourd'hui je me "force" à essayer de me détendre, mais je n'y parviens que peu.

La super psy qui m'a suivie en thérapie après l'agression suivante, en 2020, au GHB (et qui a encore une fois failli me tuer en me coûtant fractures, micro coma et multiples opérations) me demandait de me mettre en condition en dormant avec un homme et en observant que ma vie n'était pas en danger, reprogrammer mon cerveau en quelques sortes.

Sauf qu'en ayant subi autant de traumatismes, on n'enchaîne pas les relations où les tentatives.

Longtemps, j'étais encore persuadée d'être la source de tous ces maux, un poison incurable qui transformait des agneaux en monstres.

Mais après tout, si mes propres parents, et surtout mon père, ne m'aimait pas en étant "programmés pour le faire" ça me semblait logique d'être par définition "mauvaise".

Quand j'y repense aujourd'hui, après tout ce travail sur moi, je trouve ça complètement ridicule.

L'amour d'un parent devrait toujours être inconditionnel.

Le respect et la considération, quant à eux, être au centre de toute relation saine.

Seulement voilà, j'étais habituée à en manquer.

Quand votre propre mère vous demande ce que vous portiez pour justifier qu'on ait voulu vous violer, qu'on vous ait droguée, après une semaine alitée à l'hôpital sans un seul soutien familial, on voit le niveau auquel j'avais le droit au quotidien.

Cette psy m'a sauvé la vie.

Dans tous les sens du terme.

Et je pense sincèrement que nous pourrions tous bénéficier d'un accompagnement psychologique à un moment ou à un autre de notre vie pour évoluer positivement, guérir.

Bref.

Tout ça pour dire que la route a été longue jusqu'à aujourd'hui et ma volonté d'amener de la stabilité émotionnelle dans tous les aspects de ma vie.

Recréer du lien familial, tant que possible, en expliquant calmement ce que je ressens et de le dire tout aussi paisiblement quand une attitude envers moi est irrespectueuse.

Déjà ça - ça tient du miracle.

Ce chemin est en cours avec ma mère après un an de cohabitation pour mon projet, (et encore une fois je suis intimement persuadée que rien n'arrive par hasard, sans cette opportunité nous n'aurions jamais rien réparé).

Quant à mon père je sais qu'il m'aime à sa manière, aura-t-on un jour une relation père-fille saine et épanouissante?

Je n'ai pas la réponse.

Je continuerai toujours à espérer au fond de moi qu'il ait envie de me connaître, qu'il me regarde avec fierté.

Des larmes silencieuses roulent le long de mes joues juste à l'écriture de ces quelques mots.

A girl can dream.

Pourquoi cette introspection aujourd'hui?

Et bien parce que j'ai eu l'occasion de passer la nuit avec quelqu'un qui a retenu mon attention il y'a peu.

Qu'encore une fois je n'ai pas pu fermer l'oeil, et que ça m'a profondément blessé de ne pas encore en être capable.

En résumé, sortir avec moi s'avère être assez proche du parcours du combattant pour un guerrier non aguerri.

Si je me sens menacée, qu'on me manque de respect ou de considération, même par des actes minimes et "sans importance", je me braque très vite.

Je n'ai pas la bande passante/tampon qu'ont beaucoup de femmes, suite à tout cela.

Mon premier réflexe sera toujours de me protéger.

Vouloir faire partie de ma vie, sentimentalement parlant, cela nécessite énormément de douceur, couvrir chaque cicatrice de milliers de baisers, me montrer par des actions que oui je peux avoir confiance, de la patience, et de la détermination à comprendre mon fonctionnement.

Communiquer.

Tenir parole.

Me rassurer.

Me dire qu'il n'a l'intention d'aller nul part, que je le verrai par moi-même, sans non plus trop envahir mon espace.

Des mots magiques à mes oreilles.

Tout en menant sa barque personnelle, professionnelle, une âme de guerrier tout comme moi, mais avec un tempérament beaucoup plus calme et apaisé que le mien.

L'image de la force tranquille de l'eau, là où moi je serais plutôt le feu et le tonnerre.

Des éléments complémentaires en somme.

Liste non exhaustive messieurs, vous vous en doutez.

J'ai également besoin d'être challengée intellectuellement, d'avoir quelqu'un en face qui saura me tenir tête gentiment, et qui intègrera que de m'avoir dans ses bras toute la nuit, endormie, signifie que je me battrai bec et ongle pour prendre soin de lui.

Ca fait beaucoup, je sais.

Mais j'en vaux la peine, c'est une certitude.

Alors poupée cassée mais réparable?

J'en suis persuadée, avec la bonne personne.

[la-situde]

Coperni RTW Runway F/W '24

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Na Disneyland Paris, Coperni desfila em frente ao castelo da Bela Adormecida: Kylie Jenner fecha o show #ÚltimasNotícias #França

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Coperni S/S 2024 Campaign

Coperni S/S 2024 CampaignSource: coperniparis.comPublished: March 2024 In this picture: Lulu TenneyCredits for this picture: Arnaud Vaillant (Designer), Sebastien Meyer (Designer), Karim Sadli (Photographer), Charles Levai (Creative Director), Kevin Tekinel (Creative Director), Helena Tejedor (Fashion Editor/Stylist), Stephane Lancien (Hair Stylist), Christelle Cocquet (Makeup Artist), Vincent…

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2023 - Arnaud Vaillant - Babeth Djian Gala dinner ©François Goizé