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La liberté appartient à ceux qui n’ont pas d’habitudes…
V. H. SCORP
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collage 26
état 1
#lours-se-remet-a-la-colle#collage#ciseaux#colle#extrait comics#photographie#attendre#Elle va arriver#Lui appartenir#pieds nus#collier#chaîne#silence#avant affranchissement#travail en cours
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source : @cheminer-poesie-cressant
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A quel domaine appartenir sous ce ciel pointillé
en tout point rassemblé par le vent ?
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(samedi 8 octobre 2005)
#poésie#poème#poètes français#poètes sur tumblr#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#dans la portée des ombres#art photography#photographers on tumblr#ciel#paysage#être
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le train du sommeil il doit appartenir à la sncf je pense
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Le fait que Lois ne se souvient pas de qui elle est, donne un côté innocent à sa rencontre avec Kal El. Et ce dernier commence petit à petit à se souvenir mais ses faux parents essaient de l'arrêter. D'ailleurs même dans la tête de Kal El, il pense qu'il ne peut pas appartenir à Krypton, qu'il ne serait pas un guerrier. Mais malgré tout, Lois a bravé tout les dangers pour le sauver. Et leur baiser est juste parfait !
The fact that Lois doesn't remember who she is lends an innocent air to her encounter with Kal El. He gradually begins to remember, but his false parents try to stop her. Even in Kal El's mind, he thinks he can't belong to Krypton, that he wouldn't be a warrior. But despite everything, Lois braved every danger to save him. And their kiss is just perfect!
#my adventures with superman#maws#maws season 2#maws spoilers#lois lane#clark kent#clois#Even to him Lois has the same abilities as him it's makes me smile
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Ton corps nu devrait seulement appartenir à ceux qui tombent amoureux de ton âme nue.
Charlie Chaplin
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« Le syndrome de Stockholm… Rien ne résume mieux l’état de la recherche universitaire. Il y a un consensus académique pour dire que le racisme antiblanc n’existe pas. Aucun travail savant sur le sujet, rien qu’un modeste recueil de témoignages colligés par Tarik Yildiz dans Le racisme antiblanc (2010), un fascicule d’une cinquantaine de pages. Que pèsent-elles face à l’avalanche d’articles et de livres qui nous expliquent que ce racisme est un objet sociologiquement douteux, illégitime, raciste ? Qu’il y a un seul racisme structurel, etc. Il y a des raisons inavouées à ce déni. La première d’entre elles, c’est que ces enseignants du supérieur viennent des beaux quartiers ou des quartiers gentrifiés. Ils n’ont pas fait leurs années de collège dans des écoles gangrenées par les enjeux raciaux. Leurs enfants non plus. Eux sont détenteurs du seul privilège qui compte : le privilège progressiste, parisien, métropolitain, avec un capital culturel épais comme le Who’s who et une bonne conscience haute comme la tour Eiffel. Il faut être fils d’un vice-recteur d’académie comme Edwy Plenel ou appartenir à la très haute bourgeoisie comme Clémentine Autain pour être à l’abri de ce racisme. S’ils sortaient de leur bulle, ils verraient que, pour nos enfants, il n’y a pas de privilège blanc, seulement un handicap blanc. »
François Bousquet, « Le racisme antiblanc à l’école. La vérité interdite. »
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Je ne rêve pas d'une prison dorée mais d'une liberté impossible... M'envoler vers les étoiles... Espérant naïvement trouver ma place auprès d'elles... Changer le noir en gris... Ne plus froisser mes ailes au contact d'un monde indifférent... Je pourrais guérir entourée d'une tendre lueur... La lune telle une veilleuse qui me garderait en sécurité... L'obscurité est devenue le démon que je traque jusqu'à l'épuisement... Je voudrais toucher l'éternité... Connaître l'apaisement... La tendresse d'un amour pur et sincère... Appartenir juste à moi... Rêver d'avoir l'autorisation d'exister tel que je suis... Sans trahir mes convictions... Tout est si fade sur ce sol stérile... Où l'imagination est considérée comme inacceptable... Leurs idées contredisent ce que je ressens... Leurs mots sont trop lourds sur mes frêles épaules... Je veux partir avant qu'il s'infiltre dans mon esprit...
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Ton corps nu devrait appartenir à celui qui tombe amoureux de ton âme nue.
Charlie Chaplin
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Chers amis,
Je vous annonce mon au revoir définitif de cet endroit. J'apprécie énormément l'attention de tout le monde à mon égard, surtout dans certains moments qui ont été très drôles. Mais, je n'ai pas l'intention de rester ici, ni de rentrer heureusement, je veux dire que je n'ai rien contre personne et que je ne m'en vais même pas pour quelqu'un en particulier. Je demande juste que vous ne me cherchiez pas parce que vous ne me trouveriez pas. Seuls ceux qui ont été près de moi sauront comment me joindre. Je tiens à préciser que l'amour et l'amitié pour chacun d'entre vous se prolongent dans le temps et si jamais je vous ai offensé, je m'excuse. Je me retire tout simplement parce que je pense de ne pas appartenir à cet endroit. Prenez soin de vous, soyez heureux et je vous souhaite le meilleur.
C'était la lettre que El Chapo Guzman a abandonné dans sa cellule quand il s'est enfui de prison. Merci pour votre attention
P.S. Si tu es arrivée jusqu'ici tu es patiente, tu as tout mon respect et toute mon amitié.
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Il y a en nous une part de nous-mêmes qui semble ne pas nous appartenir, qui nous apparaît toujours étrangère et inacceptable. Mais si nous nous en laissons affecter, elle nous pénètre et nous sommes enrichis d’une nouvelle parcelle de connaissance de nous-mêmes. Seul un sot s’intéresse à la faute des autres, à laquelle il ne peut rien changer. L’homme intelligent puise ses enseignements dans ses propres fautes. Il se posera la question : qui suis-je donc pour que tout cela m’arrive ? Il contemplera ses propres profondeurs pour y chercher la réponse à cette question fatidique. L’être qui est un homme dans toute l’acceptation du terme, se rend compte que son ennemi le plus redoutable, et même qu’une coalition de ses ennemis, ne peut se comparer en malfaisance à celle de son adversaire le plus acharné, à savoir l’adversaire intérieur, l’“autre que l’on porte en son sein”.
C.-G. Jung, L'Âme et la Vie, “Du recueillement et de la prise de conscience de soi-même”
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L'expérience concluante du nihilisme enseigne à contrario qu'être homme c'est être de quelque part, appartenir à une lignée, à une tradition, parler et penser dans une langue antérieure à toute mémoire, que l'on reçoit à son insu et qui forme la perception de façon définitive.
Dominique Venner
#venner#dominique venner#quote#tradition#heritage#custom#ancestry#nihilism#memory#family#connection#generations#society#femme#beauty#tea
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Message de soumise elsa
Salut a toute et a tous voila a se jour je tien a annoncer ma mise sous collier envers ma maitresse et déesse de toujours Maitresse V Cette divine personne a su me recarder et faire de moi la personne soumise que je suis quiconque s’imposant ou s’attaque a Maitresse V se retrouve a avoir affaire a moi également. Je suis très heureux de lui appartenir et de la servir et je vais même ajouter que j’ai hate de sentir sa grosse bite de 31 cm me dechirer de la manière la plus violente possible
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Les fiers patriotes se mobilisent contre les identitaires européens (blancs)
J’adore ce débat.
Le JDD :
La citoyenneté européenne a-t-elle une prise sur les Français ? Selon un sondage réalisé par les instituts Odoxa-Backbone pour Le Figaro, le rapport à la citoyenneté française reste prioritaire dans l’Hexagone. Ainsi, 91 % des personnes interrogées estiment être « en priorité français » contre 8 % en « priorité européens ». Mais cette proportion, estimée à un mois des élections européennes, ne fait pas l’économie d’un constat d’une identité plurielle pour une majorité de Français.
Alors que 86 % se déclarent être « fiers d’être Français », près de 6 Français interrogés sur 10 exhibent également leur « fierté d’être européens ». Dans le détail, ce rapport à la France et à l’Union européenne s’avère disparate selon le positionnement politique. Pour les partis assumant un fort héritage européen, comme Renaissance ou Les Écologistes, la « fierté d’être français » et « d’être européens » se situe quasiment au même rang, variant de deux à quatre points. En revanche, l’écart s’avère abyssal pour les électeurs du Rassemblement national, puisque 86 % se disent « fiers d’être français », contre 40 % « fiers d’être européens ». Cet étiage correspond au programme du RN, résolument opposé à une Europe fédérale et prônant une Europe des nations, comme l’indiquait sa tête de liste, Jordan Bardella.
« L’Europe des nations » – l’Europe des états plus exactement – est ce qui existe actuellement.
La Commission Européenne, qui détient le véritable pouvoir de cette ONU continentale, est composée de 27 commissaires, un par état, désignés souverainement par les 27 états-membres.
La Commission Européenne est tout simplement à l’image des états qui la désigne. Ces états étant tous dirigés par des oligarchies cosmopolites, sans-frontiéristes et pro-américaines, la Commission Européenne est pro-américaine et sans-frontiériste.
L’idéologie profonde de l’UE est celle des états démocratiques, celle des droits de l’homme (marron). Rien ne distingue l’idéologie de la France, de l’UE ou de l’ONU.
C’est la même idéologie sans-frontiériste d’essence juive.
Le sondage témoigne également des différences d’engagement des citoyens français dans le cas du déclenchement d’une guerre. Au total, près de la moitié (49 %) serait prêt à se battre dans l’armée française, contre plus d’un quart (26 %) pour l’Europe. Les sympathisants du RN sont les personnes étant le plus enclins à s’engager pour la France (60 % contre 21 % pour l’Europe), contrairement aux électeurs de La France Insoumise (43 % pour la France contre 39 % pour l’Europe).
J’ai remarqué, au fil des ans, que les Français sont incapables de visualiser ce qu’est l’Europe et de distinguer notre continent, ses peuples, et l’Union Européenne, le truc administratif de Bruxelles. Vous pouvez répéter mille fois à un Français que l’Europe est une notion vieille de 25 siècles, qu’il y a un continent européen et des peuples européens, rien n’y fait : pour un Français, l’Europe, c’est l’UE.
C’est un peu comme si un Américain ne parvenait pas, au plan cognitif, à distinguer l’Amérique du Nord du gouvernement fédéral américain de Washington.
Et comme certains Français sont très hostiles à l’UE, ils s’excitent très longuement pour nier que l’Europe existe. Les plus radicaux vont même jusqu��à dire que si l’Europe n’a aucune réalité physique, il existerait en revanche un beau continuum culturel allant de Dieppe à Brazzaville, par le miracle de la colonisation et de la langue française. C’est à peu près la trame élémentaire du souverainisme : recréer, par un moyen ou un autre, l’empire café-au-lait.
Je dois dire que cette idée est certainement baroque, mais aussi mortelle à l’heure du cataclysmique démographie nègre.
Être européen, c’est tout simplement être blanc et de culture aryenne (« indo-européenne »), c’est appartenir à la race dite « caucasienne » qui a émergé des plaines orientales d’Ukraine il y a 50,000 ans. Ce sang a irrigué le continent et lui a donné vie, comme grand foyer de culture.
Replacées sur le temps long, les nations européennes actuelles ne sont que des sous-ensembles régionaux récents du monde aryen et le nationalisme moderne un régionalisme qui se limite à une aire géographique, comme jadis les cités-états grecques. Prétendre à une incompatibilité fondamentale entre ces différentes composantes de l’Europe est une idée grotesque.
Sparte et Athènes, séparées de 236 kilomètres, se sont faites la guerre pendant des siècles bien qu’en pratique, ces gens étaient identiques.
À l’époque, si le monde grec était culturellement uni et homogène, il était politiquement très divisé. Aurait-on demandé à un Spartiate s’il se sentait « en priorité Spartiate » avant d’être grec, il aurait répondu par l’affirmative.
La question de l’unité est une question politique qui découle de la nécessité. Aujourd’hui, les états-nations d’Europe ne sont plus guère que des objets trop vieux pour être en mesure de faire quoi que ce soit, mais encore trop récents pour être dépassés.
Comme en Grèce, c’est une question d’échelle. Tant que la Grèce était sa seule mesure, les cités-états pouvaient se maintenir indépendantes. Spartiates et Athéniens ont finis unifiés, mais une puissance extérieure : la Macédoine d’abord, Rome ensuite.
Dans notre cas, c’est l’Amérique qui a unifié les cités-états que sont les nations d’Europe, raison pour laquelle l’Europe est entrée dans la voie de l’involution et de la dégénérescence raciale : elle a été conquise par sa colonie multiraciale.
Si l’Allemagne avait gagné la guerre, c’est elle, comme nouvel empire carolingien, qui aurait unifié le continent, sur une base raciale consciente, et mis en mouvement l’Europe pour mille ans.
Le résultat de cette défaite de l’Allemagne, donc de l’Europe indépendante, c’est que Strasbourg est désormais une ville turque, mais demeure administrativement « française ».
De quoi satisfaire les droitardés.
Quand des abrutis parlent de « libération » en évoquant le 8 mai 1945, on est sûr d’avoir face à soi des empoisonneurs.
La « France libre », oui, mais sous la botte des juifs.
La droite réactionnaire, comme c’est sa fonction, s’agite d’impuissance en rabâchant sur le thème du « retour de l’état-nation » dans un pays peuplé de toutes les ethnies du globe, alors même que l’état-nation n’était qu’un effort d’unification et de standardisation culturelle par l’action de l’État.
Prôner ce stato-nationalisme, c’est prôner dans les faits l’amalgame autoritaire de toutes ces ethnies par la force de l’appareil d’état, c’est-à-dire le lent métissage racial. C’est le véritable mot d’ordre derrière « l’assimilation », impraticable, et la « laïcité ».
Paradoxalement, au plan opératif, le nationalisme en France, comme plébiscite de l’état-nation hérité de 1789, ne peut mener qu’à toujours plus d’abâtardissement racial et de dégénérescence antropologique, ce pour préserver une forme historique temporaire, « l’État », bureaucratie coloniale aux mains des juifs.
Le tricolore est le symbole de cette guerre à la race blanche, une réalité inconnue de 99,9% de la population française de souche.
Y’a bon
C’est justement parce que la prolifération des races étrangères s’accroît toujours plus que les Européens, les Blancs, prennent conscience de leur proximité raciale par contrecoup. C’est la base de l’émergence d’une conscience européenne nouvelle, au sens véritable du mot, par opposition au patriotisme administratif qui commande, pour des raisons purement légalistes et géographiques, de se dire le compatriote d’un nègre d’Afrique titulaire d’un passeport similaire au sien.
Française
La question du 21e siècle en Europe est celle de l’émergence d’un patriotisme aryen (« indo-européen ») continental. Les états actuels à l’agonie, coquilles vides démocratiques, s’effondreront sous le poids de leur inconséquence historique. S’agiter pour sauver ces bureaucraties est aussi contre-productif que voué à l’échec, peu importe ce que l’extrême-droite démocratique dira et fera. Les démocraties constitutionnelles ne survivront pas plus que les monarchies au deux derniers siècles.
Il y a bien sûr pléthore de Français qui, par conditionnement chauvin, préfèreront infiniment cohabiter avec des nègres ou des maghrébins au motif qu’ils ont une CNI que de se solidariser des autres Européens. Dans une certaine mesure, plus la France devient multiraciale, orientale, islamisée, plus l’assimilation des indigènes à la culture invasive progresse et plus le monde blanc, chez les beaufs, est identifié à l’ennemi.
C’est le point de jonction entre l’ancien nationalisme chauvin hérité de 1914 et la haine antiblanche des métèques promue par la gauche radicale et le système en place.
Dès l’origine né dans le caniveau de la révolution française, le nationalisme français, adossé aux « droits de l’homme », était voué à devenir l’instrument des juifs et des métèques, machine à abrutir les Blancs pour en faire de la viande à métisser.
C’est la révolution et sa « nation » qui a proclamé l’égalité des nègres avec l’homme blanc et, plus odieux encore, proclamé l’abolition de l’esclavage pour ce motif.
Quiconque boit de ce calice devra le boire jusqu’à la lie.
On ne peut pas s’extraire de sa conclusion logique dès lors qu’on y souscrit.
L’extrême-droite démocratique, pas plus en France qu’en Grande-Bretagne, ne fera de miracle, ni ne ressuscitera l’état-nation. Elle ne fera que ratifier en temps et en heure son ralliement au camp de la Nouvelle Haïti, moyennant quelques conventions de pure forme, à base de flonflons tricolores.
Les racistes empêcheurs de négrifier en rond n’auront jamais bonne publicité chez les réactionnaires adeptes du patriotisme créole.
Une fois que l’on a dit cela, la question raciale et l’émergence d’une conscience raciale européenne ne dispensent pas de la création d’un état, bien au contraire. Aucune conscience collective ne peut agir sur l’histoire sans état, la question de l’État est donc au coeur de cette guerre pour la survie de la race blanche en Europe.
Où commencera-t-il ? C’est impossible de le dire. L’État allemand actuel est le produit d’un combat entamé par l’ordre teutonique il y a 8 siècles dans les Pays Baltes. Composé de Germains et de Slaves, et sans en avoir conscience à ses débuts, il a mis en mouvement, sous sa forme prussienne, le monde germanique entier après des siècles de lutte, jusqu’à embrasser la totalité de l’Europe à son apogée, en 1942.
Pendant quelques années, sous son action, l’Europe a été libérée du sémitisme par la Swastika, de l’Acropole au cercle polaire, de la steppe pontique où est né l’homme blanc, à Brest, à l’extrême-occident.
Mont Elbruz, Caucase, 1942
L’histoire, c’est le risque et l’imprévu.
Les patriotes euro-aryens devront se doter d’un état, peu importe sa taille première, peu importe où en Europe, et sédimenter par son moyen les bases de la renaissance et de la victoire de l’homme européen.
Ce projet d’état racial futur n’est pas incompatible avec l’amour traditionnel de la terre de ses ancêtres, mais faut-il encore comprendre la notion d’ancêtres pour ne pas s’engoncer dans une perception restrictive. Que l’on remonte suffisamment les générations et les ancêtres sont ceux de la même souche primordiale du Caucase qui a conquis l’Europe, les peuples solaires des steppes enneigées.
Il faut la plus longue mémoire pour avancer le plus loin et cet état devrait être un pont tendu entre le passé le plus lointain et le futur le plus lointain.
Que l’écrasante majorité des gens, en France ou ailleurs, plébiscitent ce qui l’ordre en place n’a aucune importance. L’histoire n’est pas faite par les majorités lestées d’habitudes et de poncifs, mais par les minorités révolutionnaires qui imposent leur volonté à la masse après l’avoir soumise à leurs conceptions. L’histoire n’est pas démocratique, aucun changement, pas même la proclamation de la démocratie, ne découle d’une action majoritaire. Toujours, une avant-garde dicte et commande.
À l’idée raciale en Europe il faut un état racial en Europe. C’est cette guerre-là qu’il faut mener, partout sur le continent. Il faut déjà l’annoncer pour qu’elle commence, que l’idée s’enracine pour que les esprits s’en emparent.
Démocratie Participative
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Letter to 13-year-old Hortense
Quartier général, Milan, 22 prairial an IV [10 juin 1796]
J’ai reçu votre aimable lettre au milieu des horreurs de la guerre. Il n’est rien de plus charmant que ce qui me rappelle le souvenir d’aimables enfants que j’aime pour eux et parce qu’ils appartiennent à la personne du monde qui m’intéresse le plus.
Vous êtes une méchante et très méchante. Vous voulez me mettre en contradiction. Sachez donc, aimable Hortense, que lorsque l’on dit du mal des hommes l’on s’expose.
Lorsque l’on dit du mal des femmes, l’on excepte celles dont les charmes et la douce influence a captivé notre cœur et absorbé tous nos sentiments… Et puis, vous le savez bien, votre maman est incomparable sur la terre, personne ne joint à son inaltérable douceur ce je-ne-sais-quoi qu’elle inspire à tout ce qui l’entoure. Si quelque chose pouvait ajouter au bonheur que j’ai de lui appartenir, c’est les doux devoirs qu’il m’impose à votre égard. J’aurai pour vous les sentiments de père et vous aimerai comme votre meilleur ami… Mais je suis fâché contre vous, contre votre bonne maman, elle m’avait promis de venir me voir et elle ne vient pas. Le temps est long loin de ce que l’on aime. Jugez du plaisir que j’aurais réhaussé à vous voir, à discuter avec vous et à vous conter des histoires terribles. Une petite part dans votre souvenir. Un baiser à Eugène à qui je dois écrire. Croyez-moi pour la vie.
Vôtre
Bonaparte
P.S. Vous devez avoir reçu la petite boite de parfums. Je vous rapporterai cent belles choses.
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Headquarters, Milan, 22 prairial year IV [June 10, 1796]
I received your kind letter amidst the horrors of war. There is nothing more charming than that which reminds me of lovely children whom I love for themselves and because they belong to the person in the world who interests me the most.
You are bad, very bad. You want to contradict me. Please know, kind Hortense, that when we speak ill of men we expose ourselves.
When we say bad things about women, we except those whose charms and gentle influence have captivated our hearts and absorbed all our feelings… And then, you know well, your mother is incomparable on earth, no one joins unalterable sweetness with the je ne sais quoi that she inspires in everything around her. If anything could add to the happiness I have in belonging to her, it is the sweet duties she imposes on me towards you. I would have the feelings of a father for you and would love you as your best friend… But I am angry with you, with your good mother; she promised to come to see me and she is not coming. It’s a long time away from those we love. Judge the pleasure I would have had seeing you, talking with you and telling you terrible stories. A small part in your memory. A kiss to Eugène to whom I should write. Trust me for life.
Your
Bonaparte
P.S. You should have received the small box of perfumes. I will bring you a hundred beautiful things.
napoleonica
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La Page vagabonde
Il n'était pas rare que la neige s'invite sur les côtés de la Vieille Sharlayan. N'altérant en rien l'activité des marins et des marchands.
Assis sur un banc sous le dôme de la douane , une grande silhouette fine d'un homme semblant appartenir à la race des Elezens. L'homme referma un livre à la couverture brodée, montrant les signes d'usure. Son regard perdu vers cette pointe d'horizon difficilement nette avec la neige qui tombait telle une petite pluie d'étoiles scintillantes.
L'homme prit son chapeau et le vissa sur sa tête puis se leva, d'un hochement discret et il salua respectueusement l'employé du comptoir des douanes. Ses pas l'emmenant vers la partie des quais vides. Il s'arrêta devant l'imposante statue de Thaliak l'érudit, protecteur de Sharlayan et le salua très respectueusement puis se releva les yeux perdus de nouveau vers l'horizon. Le tumulte de l'activité du port ne semblait pas le gêner dans sa contemplation, il s'en amusait même.
Chose surprenante pour le commun des mortels mais pas pour lui, deux papillons apparurent et vinrent virevolter près de la bordure de son large chapeau. L'homme leva les yeux vers eux et leur murmura quelques mots avec une grande douceur. " Il est temps n'est ce pas?" dit-il en caressant les gravures de la couverture de son livre. Il l'ouvrit et fit apparaitre une grande plume de calligraphie dans ses doigts agiles.
Il regarda la première page... Blanche... Il prena une grande inspiration et d'une écriture élégante il écrivit:
"Mémoires d'un enfant passionné" par Abriel Ver Luern.
Il laissa la page danser avec le vent, comme si elle essayait de s'échapper du livre pour prendre son envol, cela fit sourire Abriel... Même ses mots étaient épris de liberté. Il déchira délicatement la page et la laissa s'envoler vers l'océan, souhaitant qu'elle fasse bon voyage jusqu'au continent de sable, de roche et de sel.
Il porta sa main à la page suivante et écrivit en italique.
"Soyez toujours ouvert d'esprit et le monde s'offrira à vous comme le plus précieux des paradis. "
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