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Chatte douloureuse à Poitiers : la maire féministe annonce jusqu’à 24 jours de vacances gratuits pour les 2000 femmes fonctionnaires de la ville.
Les mecs n'avaient qu'à être des femmes s'ils voulaient 12 jours de vacances à l'œil.
À Poitiers, les femmes auront droit à 3 semaines de vacances supplémentaires par an offertes par tous les contribuables.
C’est l’égalité homme-femme.
Libération :
La ville de Poitiers, dirigée par les Écologistes, a annoncé la mise en place d’un congé menstruel dès le 1er janvier 2025 pour ses 2 000 agentes. Un dispositif détaillé ce lundi 16 décembre, à l’occasion de la présentation de son rapport annuel sur l’égalité professionnelle des agentes de la collectivité de Poitiers. A l’aide d’un certificat médical, les employées de la collectivité pourront prendre un à deux jours de congé menstruel chaque mois, en cas de règles douloureuses voire d’endométriose. «Chaque agente pourra en bénéficier sans impact sur sa rémunération car il n’y aura pas de jour de carence, sans impact sur sa carrière, et sans stigmatisation possible puisque cette autorisation spéciale d’absence est noyée parmi les autres, seul le médecin en connaissant la raison», a expliqué Stéphane Allouch, adjoint au personnel et au dialogue social à la ville de Poitiers, interrogé par France Bleu Poitou. Afin de lever le tabou autour des règles, la ville a également organisé des ateliers avec des agentes de la collectivité. «La première question qui s’est posée pour elles, c’est de savoir qui allait faire leur travail si elles sont absentes, a rapporté la conseillère municipale à l’égalité des droits Alexandra Duval. Il faut déconstruire cela. Les femmes ont droit d’avoir des conditions de travail adaptées.»
Ils vont déconstruire, mais ça ne répond pas à la question : qui va bosser à leur place ?
La réponse est simple : personne.
Parce qu’elles ne foutent rien pour commencer.
Celles qui ont posé cette question avaient peur de se faire réquisitionner pour remplacer leurs collègues, mais évidemment ce n’est pas à l’ordre du jour.
Poitiers suit l’exemple d’autres municipalités. La première d’entre elles, Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), a été la première ville française à mettre en place le congé menstruel, proposant jusqu’à deux journées par mois et sans carence à ses administrées. L’expérimentation avait été lancée le lundi 27 mars 2023. Depuis, d’autres collectivités ont pris le train en marche. C’est le cas de l’Eurométropole de Strasbourg, qui permet, depuis le 1er septembre 2024, à ses 3 500 agentes de bénéficier d’un «congé de santé gynécologique», soit treize jours d’absence exceptionnelle par an. Il y a deux mois, le 17 octobre, ce fut au tour de la commune de Barentin, en Seine-Maritime, de proposer à ses employées ce congé particulier. On peut également nommer Lyon, Nantes, Châlette-sur-Loing dans le Loiret, Orvault en Loire-Atlantique ou encore Abbeville dans les Hauts-de-France. Mais ce congé menstruel ne dépend pas du simple bon vouloir des mairies. Le 20 novembre dernier, la ville de Plaisance-du-Touch en Haute-Garonne, son centre communal d’action sociale ainsi que la communauté de communes du Grand Ouest Toulousain se sont heurtés à une réalité juridique : l’absence d’un cadre législatif, alors que le préfet local avait saisi le tribunal administratif pour demander l’annulation du dispositif. «Le tribunal estime que ces collectivités territoriales n’ont pas le pouvoir de prendre ce genre de décisions en l’absence de dispositions législatives ou réglementaires», avait rapporté France Bleu Occitanie.
À Poitiers, comptez 1,5 jour pour chacune des 2000 fonctionnaires de sexe féminin de la commune concernées par la mesure, soit 3000 jours d’absence mensuels.
Si on estime que ces fonctionnaires font semblant de travailler 7 heures par jour, cela représente 21000 heures de travail qui seront facturées aux contribuables chaque mois. Pour 11 mois (hors vacances d’été), c’est 230000 heures d’absence rémunérées.
Le salaire moyen d’un fonctionnaire territorial est de 2200 euros, auquel il faut ajouter les diverses cotisations à la charge de l’État et de ses collectivités, soit au moins 3000 euros. Une heure de travail d’une de ses gonzesses coûte au strict minimum 21 euros.
21 euros x 7 heures x 3000 jours x 11 mois = 4,8 millions d’euros par an.
Le budget annuel de la ville en 2024 est de 221 millions d’euros. Cette histoire d’ovaires douloureux à dormir debout va bouffer à elle seule 2% du budget de fonctionnement de la ville.
Oubliez la gangue du marketing féministe, c’est de l’achat de votes organisé par la traînée écologiste locale. Les 2000 garces qui vont bénéficier de ces 3 semaines de vacances supplémentaires vont bien évidemment voter pour cette tarée de maire en 2026.
Qui aurait pu croire qu’élire une dinde à la mairie se transformerait en gabegie généralisée ?
À un moment donné, quand on fait tout pour, on mérite le djihadisme.
Démocratie Participative
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Rien De Sérieux - Natasha "Phoenix" Trace
Top Gun Maverick Masterlist
Résumé : Trois fois où tu flirtes avec Natasha et une fois où tu confesses tes sentiments.
Warnings : Angst, fin heureuse, consommation d'alcool (consommez l'alcool avec modération), vomissements, confession sous les effets de l'alcool, sous-entendus de sex mais rien d'explicite, dites-moi si j'en ai oublié d'autres.
Nombre de mots : 5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Flirting With Her par Sir Babygirl
-Au célibat ! cries-tu avant de boire un shot cul sec avec tes deux amies Sarah et Alison.
Un bruit résonne au moment où tu poses le verre avec force sur la table. L’alcool te brûle la gorge, mais tu pousses un léger cri de victoire. Ce soir, tu célèbres ton célibat comme tu l’as annoncé haut et fort.
Tu as été en couple pendant près de trois ans avant que ton ex se sépare car elle a trouvé quelqu’un de mieux que toi, apparemment. Tu ne vas pas mentir, il y a une semaine, tu étais une épave. Tu étais inconsolable, tu ne sortais que pour le travail et tu restais devant ta télé à ne rien faire. Finalement, grâce aux nombreux discours encourageants de tes deux meilleures amies, tu as réalisé que c’était sa perte et non la tienne. C’est pourquoi ce soir tu veux célébrer le fait d’être célibataire et sans attache.
-Je vais enfin pouvoir faire ce que j’ai toujours voulu faire et je vais le faire sans prise de tête, annonces-tu avec joie. Je vais pouvoir m’éclater, sortir autant que je le veux, être tranquille. Tu as raison, Sarah, c’est la meilleure chose qui pouvait m’arriver. Et moi, je vous le dis, je vais m’éclater…, continues-tu alors que tes yeux se posent sur une femme aux cheveux noirs, avec elle, par exemple. Elle est magnifique.
-La phase célibataire aura duré longtemps, rigole Alison alors que tu continues à fixer la femme.
-Qui a dit que je voulais me mettre en couple ?
-Tu viens de flasher sur elle.
-Et alors ? Rien ne dit que ça va être sérieux.
-Mais tu fais que dans le sérieux, contredit Sarah.
-Plus maintenant, déclares-tu alors que tu recommandes un shot.
-T’es sûre de ce que tu veux faire ?
-Totalement ! Elle est dans la Navy, expliques-tu en pointant son uniforme, elle ne doit pas être là pour longtemps autrement dit, si ça se passe bien, tant mieux et si ça se passe mal, je n’aurai pas à m’inquiéter de la recroiser. C’est tout bénéf’.
-Eh bien, vas-y ! t’encourage Alison.
-Et comment ! t’exclames-tu avant de boire ton nouveau shot.
Tu t’assures que tes vêtements soient en place avant d’aller au bar sous les encouragements de tes amies. Tu t’adresses d’abord à Penny et payes un verre. Tu attends patiemment que Penny donne le verre à la femme et explique que ça vient de ta part. Quand Penny part s’occuper des autres clients, la brune te regarde avec un sourire avant de boire une gorgée. Tu prends cela comme un bon signe donc tu te lèves et tu vas t'asseoir à ses côtés.
-Merci pour le verre. Bon choix, commente-t-elle en buvant un peu plus.
-Ravie que ça te plaise. Je m’appelle Y/N et toi ?
-Natasha.
-C’est quoi ton callsign ?
Natasha te regarde surprise suite à ta question, ne s’attendant pas à ce que tu t’intéresses à ce détail.
-Phoenix, informe Natasha avec un sourire confiant.
-Je parie que tu portes bien ton callsign.
-A toi de me le dire. Qu’est-ce qui t’amène ici ce soir ? questionne-t-elle, intriguée.
-Je profite de ma nouvelle liberté et toi ?
-Rien de spécial, juste la détente après le travail.
-Tu es ici pour un déploiement ?
-Oui, je reste que deux semaines. Je veux en profiter un maximum.
-Je veux également en profiter un maximum, déclares-tu avec un sourire dragueur. Tu devrais nous rejoindre, mes amies et moi. On va jouer aux fléchettes, tu es la bienvenue.
-Je viendrai.
Tu souris à Natasha puis retournes vers tes amis, la bouche grande ouverte simulant un cri de joie. Tes amies t’assoment de questions dès que tu les rejoins à la table et tu leur réponds sans perdre de temps.
-Je vous le dis, à la fin de cette soirée, j’ai au moins son numéro !
Et tu as même eu plus.
Le lendemain, tu te réveilles dans une chambre inconnue, les bras de Natasha enroulés autour de ta taille. Comprenant que tu n’es pas rentrée après votre moment à deux, tu t’insultes mentalement. Tu ne sais pas si tu devrais attendre qu’elle se réveille ou partir tout de suite. Tu débats pendant quelques secondes avant de venir à la conclusion qu’il est préférable de fuir maintenant, surtout car tu as du travail qui t’attend.
Doucement, tu t’extirpes des bras de Natasha et récupères tes habits au sol. Tu t’habilles en quatrième vitesse avant de marcher vers la sortie. Quand tu es sur le point d’ouvrir la porte, tu soupires de soulagement quand la voix de Natasha résonne derrière toi. Tu sursautes et te retournes vers elle, une main sur le cœur.
-Je ne pensais pas que tu étais le genre à partir comme une voleuse, rigole-t-elle.
-Oh, eh bien, je me disais que tu ne voudrais pas que je reste plus longtemps. En fait, je…, tentes-tu d’expliquer avant de t’avouer vaincue, j’admets que je connais pas trop les conventions des plans d’un soir. C’est la première fois que je fais ça.
-Ravie d’avoir été la première. Et pour info, selon les personnes, ça peut différer, mais personnellement, ça ne me dérange pas si tu veux rester un peu plus longtemps.
-Compris. Mais, je vais devoir y aller. J’ai du travail à faire, informes-tu, triste de devoir la quitter si vite.
-Pas de soucis. Tu vas sortir comme ça ?
Suite à sa question, tu baisses le regard sur ta tenue, ne comprenant pas sa critique. Certes, on devine que tu n’as pas une tenue habituelle pour un dimanche matin, mais elle ne paraît pas si moche. Tu ne vois pas le problème. Phoenix quitte le lit avant d’ouvrir son armoire.
-Il fait froid le matin. Tiens, tu peux prendre ma veste, dit-elle en te tendant le vêtement.
-Je suis pas sûre que je pourrais te la rendre avant que tu partes.
-Ce n’est pas grave. Au moins, ça me fera une excuse pour te renvoyer un message quand je serai dans le coin à nouveau.
-Merci pour la veste, alors.
Natasha te sourit avec tendresse pendant que tu enfiles la veste. Tu n’oses pas bouger pendant quelques secondes, admirant une dernière fois le visage de Natasha avant de partir. Tu veux mémoriser son visage car, même si elle t’as dit qu’elle t’enverra un message quand elle reviendra, tu en doutes. Vous avez flirté, vous avez accroché, vous avez passé un moment intime agréable, mais vous n’êtes qu’une histoire d’un soir. Et puis, tu ne penses pas être prête pour commencer quoi que ce soit.
Quand tu détaches enfin tes yeux de Natasha, tu fermes le vêtement avant d’ouvrir la porte. Natasha te demande de lui envoyer un message quand tu seras rentrée chez toi. Tu lui promets de le faire avant de la saluer.
Et, la seconde où tu arrives chez toi, tu te saisis de ton téléphone pour la prévenir :
Message de toi à Natasha, 7h36 :
Je suis bien arrivée. Merci encore pour la veste, je te promets de te la rendre quand tu reviendras…
Ou pas ;)
Six mois se sont écoulés depuis ta rencontre avec Natasha. Après ton message quand tu étais arrivée chez toi, elle t’avais répondu par un simple “contente que tu sois bien arrivée. À bientôt :)” puis, plus rien. Tu ne pouvais pas t’attendre à autre chose. Après tout, vous n’aviez partagé qu’une nuit ensemble. Il n’empêche que tu avais ressenti un léger pincement au cœur en réalisant son manque de message.
Par conséquent, tu as tout fait pour laisser cette histoire derrière toi. Même si tu la recroisais par hasard, rien ne se passerait, c’est une certitude. Tu dois continuer ta vie tranquillement où, ces derniers temps, tu as pris de nouvelles habitudes. L’une d’entre elles étant d’aller au Hard Deck une fois par semaine avec tes amies. Contrairement à quand tu étais plus jeune, tu apprécies maintenant mieux une soirée où tu t’amuses avec tes proches, une boisson alcoolisée en mains. Tu as fait quelques nouvelles rencontres, mais rien qui ne puisse arriver à la cheville de ce que tu avais ressenti en voyant Natasha.
Ce week-end là n’étant pas différent des autres, tu te retrouves au Hard Deck. Tu rigoles avec tes amies quand une serveuse vient te servir un cocktail que tu n’as pas commandé. Quand elle te dit qu’on te l’a offert et que tu découvres Natasha au loin, tu n’en crois pas tes yeux. Tu ne pensais plus la revoir. Elle te fait un signe avec son propre verre avant de boire une gorgée. Tu lui rends le geste et bois ton verre. À côté de Natasha, Bradley la regarde faire avant de soupirer, désespéré par la situation.
-Tu devrais aller lui parler au lieu de tenir une stupide distance de sécurité.
-On ne s’est pas vu pendant six mois, je voulais m’assurer qu’elle était encore intéressée avant de faire quoique ce soit.
-Maintenant que tu sais que c’est le cas, va la voir, ordonne-t-il en tentant de pousser Phoenix dans ta direction.
-Elle est avec ses amies.
-Et ça ne l’a pas dérangée la dernière fois pour venir te parler. Je comprends pas Natasha, t’as jamais été comme ça auparavant.
-Je sais ! s’exclame-t-elle, énervée contre elle-même. Et je déteste savoir que je réfléchis autant. J’ai l’impression d’être toi.
-C’était gratuit. Ce n’était même pas sérieux ce que vous aviez, tu n’as pas à te faire des nœuds au cerveau. Allez, va lui parler.
-Et lui dire quoi ?
-J’en sais rien, moi ! J’ai pas eu une aventure avec elle. Si tu veux pas lui parler, invite la à danser alors, propose Bradley, agacé.
-Personne est en train de danser.
-Dans moins d’une minute, ça ne sera plus le cas. Va la rejoindre, je m’occupe du reste.
Natasha boit d’une traite son verre avant de marcher vers toi avec un faux air confiant. De son côté, Bradley se dirige vers le piano, attendant le moment parfait pour commencer à jouer.
Tu parles avec Sarah qui est en face de toi quand Alison attire ton attention en te donnant un léger coup dans les côtes. Tu regardes ton amie, les sourcils froncés alors qu’elle te fait un signe de regarder de l’autre côté. Au même moment où tu tournes la tête, Natasha arrive en face de toi et Bradley commence à jouer les premières notes de Great Balls Of Fire. Les personnes du bar se mettent à danser instantanément alors que Natasha te tend sa main avec un sourire.
-On danse ?
Pour simple réponse, tu lui prends la main. Tu te lèves de ta chaise et suis Natasha qui t’amène vers le piano, tes amies sur tes talons. Vous accompagnez Bradley au chant alors que Natasha et toi dansez sans vous souciez du monde qui vous entoure. Vous rigolez, vous vous faites tournez chacun votre tour jusqu’à la dernière note de la chanson.
Quand Bradley termine de chanter, Natasha garde ta main dans la sienne. Vous vous regardez avec un grand sourire.
-Je ne savais pas que tu étais de retour. Tu ne m’as pas envoyé de message, déclares-tu, encore surprise.
-J’allais le faire, je viens juste d’arriver.
-Tu restes là pendant combien de temps ?
-Trois semaines.
-Donc on a un peu plus de temps que la dernière fois. Il faut en profiter pour rattraper le temps perdu. J’espère que j’aurai le temps pour te rendre ta veste, même si je dois t’avouer que j’aimerais bien la garder, mais tu peux toujours venir chez moi pour essayer de la récupérer, proposes-tu avec un regard dragueur.
-Je le ferai. Au moins, cette fois, je serai sûre que tu ne partiras pas comme une voleuse, rigole Natasha et tu lèves les yeux au ciel, faussement énervée.
-Tu ne vas pas me lâcher avec ça, hein ?
-Non.
Malgré toi, ton cœur fond en regardant le sourire malicieux de Natasha. Tu ne veux pas l’avouer, mais elle t’a manqué. Toi qui pensais l’avoir oubliée, tu réalises que tu étais loin de la réalité. Mais il faut croire que tu n’étais pas la seule. Tu es rassurée de constater que tu l’as marquée autant qu’elle t’a marqué, mais tu ne voulais pas t’attacher à quelqu’un de nouveau de sitôt.
Cependant, tu laisses derrière toi ces sentiments conflictuels le restant de la soirée, profitant de ce moment avec Natasha et apprenant à mieux la connaître.
Comme il y a six mois auparavant, après quelques commentaires dragueurs, Natasha se retrouve dans ton lit, tes bras autour de son corps.
Message de Natasha à toi, 21h05 :
Hey, je suis de retour en ville. Tu es libre ce soir ?
Tu regardes le message de Natasha pendant plusieurs minutes, ignorant quoi répondre. Tu es, effectivement, libre ce soir-là, mais tu ne sais pas si c’est une bonne idée. Depuis vos retrouvailles au Hard Deck il y a trois mois, vous vous êtes revues à de nombreuses reprises et tu dois avouer que tes sentiments pour elle sont de plus en plus forts.
Au début, tu as pensé que ça serait un simple béguin passager, mais elle hante ton esprit et tu n’attends que le moment où tu la reverras. Certes, votre relation est plus physique qu’émotionnelle, mais tu prends tout ce qu’elle veut bien te donner. Malgré toi, elle a réussi à laisser son nom sur tes lèvres et tu te languis de l’avoir dans tes bras. Tu aimerais plus, cependant ce n’est pas son cas, tu en es à peu près certaine. Tu devrais garder tes distances avec Natasha, ça serait préférable. Ainsi, tu pourras éviter ton cœur de se briser à nouveau, surtout pour une relation inexistante.
Tu dois lui mentir et dire que tu ne peux pas la voir. C’est ce qui est mieux pour toi. C’est ce que tu vas faire. Tu vas rester loin d’elle.
Tu n’es pas restée loin d’elle.
Sans vraiment savoir comment, tu t’es retrouvée dans la chambre d’hôtel de Natasha, vos vêtements se sont retrouvés au sol et vous vous êtes retrouvées dans le lit. Une partie de toi t’insulte de tous les noms pour ne pas avoir écouté ton côté rationnel, mais actuellement, c’est le cadet de tes soucis.
Dans les bras de Natasha, vous discutez sur divers sujets et tu réalises que si vous aviez une réelle chance, vous pourriez avoir une belle histoire d’amour. Vous avez de nombreux points communs et votre vision sur le monde et le futur sont similaires. Tu aurais pu avoir un beau futur avec Natasha. Cependant, après chaque moment intime passé ensemble, Natasha te rappelle bien que vous n’irez jamais plus loin que des nuits partagées ensemble.
-Je suis contente de t’avoir rencontré, tu sais, commence Natasha en te serrant un peu plus contre elle. À cause de mon boulot, ça a toujours été compliqué de former des relations, mais avec toi c’est simple, sans prise de tête. On ne cherche pas du sérieux donc ce qu’on a nous suffit.
-Ouais, c’est vrai que c’est bien. Je profite à fond de ma vie de célibataire pour la première fois de ma vie, affirmes-tu en cachant ta déception.
-Tu sais le jour où tu auras rencontré quelqu’un qui en vaut la peine, tu pourras me le dire. Je comprendrai si tu voulais qu’on coupe tout contact.
-De même pour toi .
-Tu n’as pas à t’inquiéter de mon côté.
-Tu ne veux pas de relation sérieuse ? Jamais ? questionnes-tu en la regardant dans les yeux.
-C’est pas que je n’en veux pas, c’est que c’est plus simple comme ça. Je ne pourrais jamais réellement donner à une autre personne la relation qu’elle mérite alors autant gagner du temps. Et puis, les relations à distance, ce n’est pas vraiment mon truc et je ne veux pas demander à la personne de tout plaquer pour moi, déclare-t-elle comme si c’était une évidence.
-Mais certaines personnes arrivent à trouver un équilibre entre le boulot et leur couple.
-Tu as raison. Je ne sais juste pas si je trouverai cette personne un jour.
En entendant sa phrase, ton cœur se serre. Natasha vient de te faire une bonne piqûre de rappel. Tu dois t’éloigner d’elle. Elle ne veut pas de relation sérieuse et même si elle en voulait une, clairement tu n’es pas la personne qu’elle aime. Elle t’a dit les yeux dans les yeux qu’elle n’avait pas trouvé une personne qui valait la peine d’avoir une relation.
Tu retiens les larmes du mieux que tu peux en la regardant. Quand tu réalises que tu ne vas pas y arriver, tu éclaircis ta gorge avant de te relever et récupérer tes affaires au sol.
-Je… Je dois y aller. Je travaille tôt demain, annonces-tu en enfilant ton haut.
-On peut aller se coucher maintenant si tu veux.
-Non, je dois rentrer chez moi. Je n’ai pas mes affaires.
-On pourra se revoir dans les jours à venir ?
-Je ne pense pas, je suis plutôt occupée en ce moment, mens-tu en remontant la braguette de ton pantalon. Je… Salut, bégayes-tu.
Tu ne laisses pas le temps à Natasha de te dire au revoir et tu fuis sa chambre d’hôtel. Tu cherches tes clés de voiture dans ton sac à main alors que tes larmes s’agglutinent dans tes yeux. Tes larmes finissent par couler quand tu quittes le parking.
Tu le savais. Tu savais que tu allais finir avec un cœur brisé si tu continuais et ça ne t’a pas arrêté. Pourquoi faut-il que tu aies un cœur si fragile ? Pourquoi faut-il que tu t’attaches aux personnes aussi facilement ? Pourquoi ne peux-tu garder une distance émotionnelle ? Natasha y arrive très bien, alors pourquoi pas toi ?
En arrivant chez toi, tes pleurs se sont calmés, même si tes joues sont encore mouillées. Tu te prépares pour aller te coucher et avant de t’installer dans ton lit, tu prends ton téléphone. Tu es sur le point d’ouvrir tes contacts quand tu reçois un message de Natasha.
Message de Natasha à toi, 00h30 :
J’espère que la prochaine fois on aura un peu plus de temps :)
Tu n’as pas la force de répondre. À contrecœur, tu supprimes la conversation puis tu supprimes son numéro - non sans hésiter pendant quelques secondes. Tu reposes ton téléphone et tentes de trouver le sommeil malgré ton cœur en mille morceaux.
Quatre mois sont passés depuis ta dernière fois avec Natasha et tu t’en es plus ou moins remise.
Enfin, si on prend en compte ton état actuel, on dirait que tu en souffres encore. Dire que tu es saoule serait un euphémisme. Tu ignores combien de verres tu as bu au total mais tu sais que si tu essayes de marcher, tu vas tomber. Et tout ça, à cause d’un maudit message. Techniquement, tu aurais pu passer outre ce message. N’ayant plus le numéro de Natasha, il était indiqué comme venant d’un numéro inconnu et elle ne disait rien de spécial. Son message était un simple et innocent "hey 😘", mais ça a suffi pour comprendre qui était l’expéditrice et te faire souffrir au passage. Tu pensais que tu avançais enfin et ta réaction te prouve que ce n'était qu'une impression.
Tu es seule à ta table même si tu es venue avec ton amie Sarah. Elle est actuellement en train de danser avec un homme qu'elle vient de rencontrer. Au départ, elle ne voulait pas te laisser seule, sachant que tu noies ton chagrin. Toutefois, tu lui as assuré qu'elle pouvait s'amuser sans culpabiliser alors que tu commandais un sixième verre.
Tes yeux fixent tes mains tenant le verre alors que tu te perds dans tes pensées. Tu n'aurais pas dû commencer cette relation avec Natasha. C'est la phrase qui tourne en boucle dans ta tête depuis que tu as quitté sa chambre d'hôtel.
Le lendemain de votre dernière fois, tu étais allée voir tes amies et avait déversé toute ta tristesse dans leurs bras. Toutes les deux, elles t'ont affirmé que tu devais passer à autre chose, comme tu le craignais. Une partie de toi espérait qu'elles t'encourageraient à te battre pour ta potentielle relation avec Natasha. Malheureusement, tes amies sont réalistes.
Tu continues de boire ton verre lentement quand tu sens la présence de quelqu'un à tes côtés. En tournant la tête, tu vois Natasha et tu te dis que tu ne devrais pas finir ta boisson. Ton état d'ébriété est si fort que tu commences à avoir des hallucinations. Tu ne pensais pas ça possible.
-Hey, comment ça va ?
Ce n'est peut-être pas une hallucination finalement. La voix de Natasha te semble bien réelle.
-Oh, salut ! t'exclames-tu en tentant d'être naturelle.
-J'imagine que c'est pas ton premier verre.
-Eh bien, c'est possible. Probable.
-Tu crois pas que tu devrais rentrer ? Tu es venue seule ? questionne-t-elle en cherchant une de tes amies du regard.
-Avec Sarah.
-Tu veux que je te ramène chez toi ?
-Non, je vais attendre Sarah, te dépêches-tu de répondre, te rappelant que tu dois garder tes distances.
-Elle m'a l'air occupée, constate Natasha en voyant ton amie. Attends ici.
Sans que tu puisses l'arrêter, Natasha s'éloigne de toi et va retrouver Sarah. Tu la vois lui parler et ton amie te regarde avant de hocher la tête, réticente. Rapidement, Natasha revient vers toi et enlève ton verre de tes mains. Tu t'apprêtes à protester quand elle t'aide à te relever.
-Allez, on rentre.
-Mais je dois rentrer avec Sarah, t’opposes-tu.
-Je l'ai prévenue que je te ramène, t’informe-t-elle, te surprenant.
-Elle a accepté ?
Tu n'aurais pas pensé que Sarah aurait accepté, sachant qu'elle ne cesse de te répéter que tu dois absolument oublier Natasha. Ton état doit être encore plus pathétique que tu ne le croyais.
-Vu à quel point tu es bourrée, on s'est dit que c'était préférable de te ramener chez toi maintenant. Allez, viens.
N'ayant pas la force de te battre, tu cèdes et suis Natasha dans sa voiture. Une fois attachées, Natasha démarre. Ta tête collée contre la vitre de la voiture, tu contemples la nuit, tes pensées tout embrouillées.
Après quelques minutes, tu détaches tes yeux du ciel et regardes Natasha. Tu admires chaque centimètre de sa peau alors qu'elle est concentrée sur la route.
-Tu es vraiment magnifique, déclares-tu sans préambule.
-Oh, euh, merci, répond Natasha, gênée.
-Comment tu peux être si magnifique ? Et ce n'est pas tout ! Tu es aussi intelligente, drôle et encore pleins d'autres qualités.
-Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que c'est des accusations ? demande-t-elle en entendant ton ton rempli de reproches.
-Parce que si tu étais moins parfaite ça serait plus simple.
-Je suis loin d'être parfaite. Et qu'est-ce que tu veux dire par "ça serait plus simple"?
-Arrête la voiture, rétorques-tu en sentant une envie de vomir monter.
-Quoi ?
-Arrête la voiture ! Gare toi !
La voiture est à peine à l'arrêt que tu es déjà sortie. Tu peux tout juste faire deux pas avant de vider le contenu de ton estomac. Natasha vient rapidement derrière toi et tient tes cheveux. Quand tu as fini de vomir, tu respires pendant quelques secondes avant de te redresser, une expression honteuse sur ton visage.
-Désolée, c’était pas sexy.
-Ce n’est pas grave. Tu te sens mieux ? s’inquiète-t-elle en examinant ton visage.
-Ça m’a fait du bien de vomir.
-Tiens, te dit Natasha en te donnant un mouchoir. Je crois que j’ai une bouteille d’eau dans ma voiture et des pastilles à la menthe, tu en veux ?
-Je veux bien, s’il te plait.
Pendant que tu t'essuies la bouche, Natasha va chercher de l’eau et une pastille. Quand elle te tend la bouteille, tu te rinces rapidement la bouche avant de mettre la pastille dans ta bouche. Vous restez debout encore quelques minutes, voulant s’assurer que ton ventre ne va pas continuer à se vider.
-Tu te sens prête à repartir ? questionne-t-elle en caressant ta joue.
-Je crois, oui, mais conduis doucement, c’est plus sûr.
-Dis-moi si tu as besoin qu’on s’arrête à nouveau.
Délicatement, Natasha te prend la main et t’accompagne vers la voiture. Cette fois, tu restes silencieuse tout le long du trajet. Tu es concentrée sur le paysage et Natasha n’ose pas perturber tes pensées. Au fur et à mesure de la route, tes paupières deviennent lourdes et tu finis par t’endormir.
Quand Natasha arrive chez toi, elle te réveille doucement. Tu grognes légèrement avant d’ouvrir les yeux. Natasha te soutient jusqu’à ta porte alors que tu dors debout. Elle t’amène dans la salle de bain où elle t’aide à te préparer pour aller te coucher - et où tu peux enfin aller te laver les dents. Quand tu es prête, vous allez dans ta chambre et tu t’allonges sans attendre une seconde. Tu t’installes confortablement pendant que Natasha positionne la couverture comme il faut sur toi. Elle s’apprête à partir quand tu serres sa main.
-Reste, murmures-tu avec des yeux endormis. Je ne veux pas être seule.
-Je reste là, je vais juste dormir sur le canapé.
-S’il te plaît, reste avec moi, insistes-tu en tentant de la tirer vers toi.
-Tu en es sûre ?
Pour simple réponse, tu hoches la tête. Natasha enlève ses chaussures et son pantalon, restant seulement avec ses sous-vêtements et son tee-shirt avant de te rejoindre dans le lit. Allongée sur le côté, tu cherches la main de Natasha. Elle comprend ce que tu veux et place sa main autour de ta taille, plaquant ton dos contre son torse. À son touché, tu lâches un soupir d’apaisement.
-Au fait, il faut vraiment que je te rende ta veste, dis-tu avec une voix endormie. Je ne peux plus la garder tout comme je ne devrais pas t’avoir aussi proche de moi, continues-tu, faisant froncer les sourcils de Natasha. Je tiens à toi, tu sais. Plus que je ne le devrais. Je t’aime bien, Nat’.
Et sur ces mots, tu t’endors. Derrière toi, Natasha se demande si elle a bien entendu ce que tu murmurais et surtout si tu le pensais. Après tout, ce n’est peut-être que les effets de l’alcool ? Cependant, elle ne peut empêcher un sourire de prendre place sur ses lèvres avant de resserrer son étreinte autour de ton corps.
Le lendemain matin, tu te réveilles avec une des plus grosses gueules de bois de ta vie. Tu as définitivement passé l’âge pour boire autant sans en affronter les effets. Tu ouvres doucement les yeux, craignant que la lumière du jour ne te les brûle. Heureusement, il y a assez de lumière pour te permettre de voir sans te faire mal. En jetant un coup d'œil à ta table de nuit, tu trouves un verre d’eau et un médicament que tu prends sans te faire prier après t’être assise.
Quand tu reposes le verre, la porte de ta salle de bain s’ouvre sur Natasha, te faisant froncer les sourcils instantanément. Tu ne te rappelles pas d'être rentrée avec elle. En voyant la panique dans tes yeux, Natasha se rapproche de toi avec un sourire rassurant.
-Il ne s’est rien passé. Je t’ai aidé à rentrer chez toi cette nuit.
-Oh, d’accord. Et Sarah, elle sait que…
-Elle sait, oui. Je l’avais prévenue avant qu’on parte. Comment tu te sens aujourd’hui ? demande Natasha en s’installant en face de toi sur le lit.
-Comme si j’avais trop bu hier soir, rigoles-tu et elle fait de même.
-Je peux imaginer. Tu te rappelles de quelque chose, par rapport à hier soir ? questionne-t-elle, une pointe de peur dans sa voix
-Euh, quelques passages, mais…
Tu t’arrêtes dans ta phrase alors que tu essayes de te rappeler de la soirée d’hier. Certains passages sont plus flous que d’autres, mais un est très net. Ta confession avant que tu ne t’endormes. Tes joues chauffent et tes mains deviennent moites. Tu espères de tout coeur que Natasha n’ait rien entendu. Toutefois, son regard appuyé te fait comprendre que tes espoirs sont vains.
-Dis-moi que je n’ai pas dit ça. Est-ce qu’on peut faire comme si je n’avais rien dit ?
-Pourquoi ? demande-t-elle sans comprendre.
-Parce que c’est gênant et parce que ça ne pourrait pas fonctionner entre nous.
-Qui te dit que ça ne pourrait pas ?
-Toi, déclares-tu comme une évidence. Tu as dit que tu ne voulais pas d’une relation sérieuse ou d’une relation à distance.
-C’est pour ça que tu ne réponds pas à mes messages ?
-A quoi ça aurait servi ? A part à me faire mal au coeur, dis-tu en évitant son regard. Je sais que j’ai dit que je ne voulais rien de sérieux quand on a commencé à se voir et c’était vrai au début, mais j’aime passer du temps avec toi, être à tes côtés, t’écouter parler même si je sais que je ne devrais pas. J’aurais dû mettre un terme à notre relation quand mes sentiments ont changé. Je comprendrais si tu ne voulais plus me parler, chuchotes-tu, les larmes te montant aux yeux.
-Y/N…, commence-t-elle en te prenant la main. Je suis désolée de t’avoir donné l’impression que je ne voulais pas de toi. J’ai paniqué quand j’ai réalisé mes sentiments. Je pensais que tu ne voulais rien de sérieux alors j’ai essayé de garder mes distances tout en restant proche de toi et je t’ai blessé. Je suis désolée. Mais je veux une relation sérieuse avec toi. Et peu importe, s’il y a la distance, je veux essayer avec toi, car tu en vaut la peine. Je tiens à toi, confesse Natasha, te faisant relever les yeux vers elle.
-Ne dis pas ça pour me faire sentir bien, j’étais ivre quand je l’ai dit et…
Les lèvres de Natasha sont sur les tiennes avant que tu puisses ajouter un autre mot. Surprise, il te faut un temps avant de répondre à son baiser. Les mains de Natasha trouvent leur chemin jusqu’à tes hanches alors que les tiennent se perdent dans ses cheveux. Vous vous embrassez quelques secondes avant de vous séparer. Tu gardes les yeux fermés un peu plus longtemps, appréciant ce sentiment. Ce n’est peut-être pas la première fois que tu embrasses Natasha, mais ce baiser est différent de ceux que vous avez pu partager.
-Tu me crois maintenant quand je te dis que je tiens à toi aussi ou il te faut plus de preuves ?
-Je crois qu’il m’en faut encore d’autres, oui, souris-tu avec un regard amoureux.
-Dans ce cas-là, alors…, reprend Natasha avant de poser ses lèvres sur les tiennes à nouveau.
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du coup je viens de voir le dernier épisode des petits meurtres et je vais essayer de faire une critique (comme pour l'épisode les souris dansent).
d'abord j'ai tout de suite capté le personnage autiste et ça m'a même surprise quand Rose a dit le mot parce que je me suis habituée à juste des sous-textes très souvent involontaires (en plus il a le même prénom que mon frère qui est aussi autiste mdr). mais ça m'a fait plaisir de voir que Rose était attentive à son trouble, ça c'est mon comfort character <3 !!
par contre vu que les auteurs savent que les personnes autistes existent, j'aurais aimé que ça se fasse peut-être plus tôt parce que je suis sûre que Marlène, Arlette et Le Goff (dans la saison 3) sont autistes (et vraiment sûre de chez sûre pour Arlette).
J'adore Rose, je veux tellement la voir avec une femme (Gréco si possible svp) purée, c'est tellement une high femme, je l'aime (son costume noir là cette femme est LESBIENNE !!!!). Et la scène avec Annie à la fête chez les patrons de l'agence.. je veux juste des lesbiennes pitié. aussi j'ai failli oublier mais j'adore le fait qu'elle soit toujours autant féministe, et même plutôt radicale pour son milieu (c'est sûr elle a lu dworkin ma vie)
En parlant des patrons, j'ai bien aimé la directrice de l'agence, surtout son jeu et ses robes :').
aussi, c'est plus général mais j'adore voir des acteurs et des actrices que j'ai déjà vu soit dans d'autres épisodes de la série soit ailleurs !
pour les points plus négatifs, la romance d'Annie m'a ennuyé, je trouvais que quitte à lui donner un love interest masculin, elle avait plus d'alchimie avec François de l'épisode 2 (peut-être parce que ce personnage a un nom de famille sépharade aussi).
le truc Rose/Max j'ai soufflé, à chaque épisode j'ai peur qu'ils les mettent ensemble (ex : la bande annonce de l'épisode 5) et là j'ai vraiment eu peur, en plus qu'elle l'empêche d'avoir un rendez-vous.
aussi le fait que le garçon autiste soit un pervers (je dis pas que ça n'existe pas) est peut-être pas le meilleur move quand c'est le premier personnage canoniquement ayant ce trouble dans la série mais personnellement ça ne m'a pas trop dérangé, ils pourront toujours rattraper leur coup.
mais ces deux premiers points m'ont assez gêné, d'autant plus que j'ai toujours un peu du mal avec Blum. je vais développer vite fait mais la relation Marlène/Swann était différente parce que même si Marlène avait une obsession pour le commissaire de la même manière que Blum, il y a dans la saison 3, même si les rôles des sexes sont inversés, un déséquilibre des pouvoirs et un homme harcèle littéralement une femme puisqu'elle lui a explicitement répété à plusieurs reprises qu'elle n'était pas intéressée. en plus, je trouve que la blague s'essouffle assez vite et j'aurais aimé voir Bob un peu plus !!
mais malgré ça, j'ai passé un bon moment, j'adore ce trio !!
mais si je devais faire un classement des épisodes de la saison 3, je pense que ça serait :
épisode 2 (celui avec les mannequins)
épisode 5 (le bar)
épisode 1 (beaucoup parce qu'on découvre le trio 💙)
épisode 3 (chirurgie esthétique)
épisode 4 (groupe de musique, presque à égalité avec le 3 parce que les deux ont des très bons points forts mais aussi quelques points faibles)
épisode 6 (je l'ai bien aimé mais il est avec un net écart après le 4)
bref, il a apparemment fait 3,5 millions d'audience, j'espère que ça va encourager la production et france 2 à ne pas annuler la série.
et j'ai trop hâte pour le prochain épisode, je le sens bien, il y aura des cosmonautes français dans les années 1970s, ça a l'air d'avoir les mêmes vibes qu'OVNI(s) qui est une série que j'adore :') !!
#les petits meurtres#les petits meurtres d'agatha christie#french stuff#french tv show#french side of tumblr#up the baguette#sophia talks#je suis pas une très bonne critique mais j'avais envie d'en parler#bref la prochaine fois je vais parler de mon rapport en tant que lesbienne butch à la caractérisation d'Alice après le miroir se brisa#et je vais dessiner Rose avec une petite amie butch
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REGARD SUR L’INDUSTRIE DE LA PORNOGRAPHIE
#Regard_sur_l_industrie_de_la_pornographie #Serge_Rossi Qc_0825
Deuxième partie de l’article (2/2)
EST-IL POSSIBLE DE SORTIR DU PORNO OU DE L’IMMORALITÉ SEXUELLE ?La conversion de l’apôtre Paul montre que le changement d’une personne injuste et méchante est possible, qu’elle peut revenir de sa mauvaise voie en renonçant à ses oeuvres mortes. Paul était convaincu que tous les hommes et toutes les femmes de son temps puissent être libérés de l’emprise du diable et de leurs péchés, sinon il n’aurait pas parcouru le monde entier pour leur annoncer l’Évangile, il n’aurait pas donné sa vie pour le salut des hommes pécheurs et méchants.
En effet, il était convaincu de la puissance de l’Évangile, car lui-même a changé grâce à la Parole de Vérité. Il est arrivé à abandonner ses persécutions contre l’Église du Seigneur. Il a renoncé à sa haine et à sa méchanceté pour revêtir une force spirituelle pour supporter toutes sortes d’épreuves et de tribulations manifestant de l’humilité, de la patience, de l’amour envers ses adversaires et une espérance sans faille dans notre Seigneur bien-aimé.
Cependant, il faut reconnaître que le changement qui consiste de passer des oeuvres charnelles et infâmes de la pornographie à des oeuvres de la foi par l’Esprit de Dieu peu prendre du temps et demander à ceux qui enseignent la Parole de Dieu d’avoir de la patience et de la persévérance envers les nouveaux convertis qui étaient dans ces péchés d’immoralité sexuelle.
Il faut savoir que Satan maintient la conscience de ses captifs par deux mensonges : La tentation est irrésistible, car il est impossible de lui résister et la honte des oeuvres mauvaises est insurmontable et impardonnable de la part des autres !
Attention ! C’est un piège pour retenir les accros du sexe qui sont appelés par l’Évangile, c’est justement là que l’appelé à la foi au Seigneur Jésus doit avoir du discernement entre la Vérité du pardon de l’Évangile et les résidus de sentiments qui altèrent l’âme pécheresse. Celui qui vient à l’Évangile reçoit la repentance, c’est-à-dire que Dieu lui donne la force spirituelle de changer de vie, il devient capable de résister à la tentation du diable pour ne plus jamais regarder du « porno » sur Internet.
Bien sûr, certains chrétiens qui étaient des « accros du sexe » devront mener un combat qui, pour ne pas tomber dans les tentations, peut être long. Pour ne pas abandonner la voie de Dieu et fouler aux pieds la grâce du Seigneur, le chrétien doit prier et supplier le Père avec persévérance, afin qu’il le libère des convoitises qui attirent le péché.
Dans cette lutte, ce que Dieu veut pour le chrétien, c’est sa sanctification ; il est donc inutile pour lui de combattre pour la suppression de l’industrie du sexe afin de ne plus être tenté, ou de jeter son ordinateur pour ne pas retourner sur les sites « porno » qui suscitent chez lui la tentation et qui amorcent ses convoitises.
Il doit plutôt et sans attendre faire deux choses afin de discerner les moyens que Dieu va lui donner pour surmonter ses épreuves. Il demande avec instance à Dieu d’éliminer la convoitise de la sexualité déviante et infâme qui est dans son coeur.
Il demande à ses frères et soeurs en Christ de l’assemblée de le soutenir dans ce combat spirituel :
Jacques 1.13-15 : « Que personne, lorsqu’il est tenté, ne dise : C’est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne. Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché, et le péché, étant consommé, produit la mort. »
I Corinthiens 10.13 : « Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces, mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter. »
QUELQUES PENSÉES CHARNELLES QUI PEUVENT FAIRE OBSTACLE À LA SAINTETÉ
Nous sommes tous responsables de nos péchés et nous devons prendre gardes de ne pas succomber nous-mêmes à la tentation, car Satan, le père du mensonge ne se lasse pas d’exploiter nos faiblesses spirituelles.
C’est pourquoi, les Écritures nous recommandent de ne pas mépriser un frère ou une soeur qui a péché, mais de l’aider à porter son fardeau en le ramenant dans la bonne voie dans un esprit de douceur, car Dieu peut nous mettre aussi à l’épreuve :
Galates 6.1-5 : « Frères, si un homme vient à être surpris en quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le avec un esprit de douceur. Prends garde à toi-même, de peur que tu sois aussi tenté. Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de Christ. Si quelqu’un pense être quelque chose quoiqu’il ne soit rien, il s’abuse lui-même. Que chacun examine ses propres oeuvres, et alors il aura sujet de se glorifier pour lui seul, et non par rapport à autrui, car chacun portera son propre fardeau. »
Voici quelques pensées charnelles telles que la pornographie et toutes sortes de déviances sexuelles, l’idolâtrie, la cupidité, les passions et autres idées charnelles auxquelles les hommes et les femmes succombent et sont entraînées dans le péché lorsqu’ils n’ont pas mis en oeuvre les pensées de l’Esprit de Dieu et le renouvellement de leur intelligence.
Observons ces pensées charnelles qui peuvent nous égarer de la sainteté et prions pour avoir la force de les faire mourir :
Colossiens 3.5 : « Faites donc mourir les membres qui sont sur la terre, l’immoralité sexuelle, l’impureté, les passions, les mauvais désirs, et la cupidité, qui est une idolâtrie. »
CE N’EST PAS SI GRAVE, C’EST JUSTE UNE FOIS !
L’air de rien, il s’agit de minimiser la gravité du péché. Tout péché est grave, car chaque péché a contribué aux souffrances de Christ. Réduire le moindre péché à néant montre un lien avec l’iniquité. Pour la nature de Dieu, il n’y a pas de circonstances atténuantes, car la Justice de Dieu n’a rien à voir avec la justice des hommes ...
Les Écritures témoignent de cette différence notamment quand Adam et Ève ont péché une seule fois pour faire intervenir la rétribution divine en mangeant de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
C’était une fois de trop pour Dieu puisqu’Adam et Ève ont été sévèrement puni pour ce péché :
Genèse 3.17-19 : « [...] Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris, car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. »
Galates 6.7-8 : « Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption, mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. »
LA PORNOGRAPHIE, C’EST SEULEMENT SEXUEL !
Cette pensée fait une séparation entre les conséquences sur le corps et sur celles de l’esprit. Elle fait croire à l’individu que les convoitises des yeux n’ont aucune influence sur son esprit et sur son comportement, alors que les actes et les paroles qui se manifestent chez lui viennent des effets de son être intérieur, c’est-à-dire de ses propres convoitises.
Car la pornographie ainsi que toutes les déviances sexuelles ne sont pas exemptes de conséquences toxiques. Cette pensée est une tromperie ! Elles nourrissent l’âme, elles entretiennent la rébellion envers Dieu, elles modifient d’une part, la vision des quatre réalités concernant la sexualité et du respect de la femme, et d’autre part, la personne va chercher à imiter ce qu’il a regardé sur ces sites de pornographie.
Le Pr Israël Nisand, un gynécologue-obstétricien de Strasbourg est alarmé par l’impact du porno sur la société et notamment sur la jeunesse actuelle. Il a écrit un livre intitulé Parlez sexe, Éditions Grasset, paru en février 2024. Certains passages sont très crus alors que la sexualité relève de l’intimité, mais le médecin qui traite ce problème ne fait que décrire les questions des jeunes.
Voici le résumé de son livre avec un florilège de questions : Quand une meuf(fille) ne veut pas, est-ce qu’un copain peut la tenir pour qu’on puisse se la faire ? Pourquoi les garçons ne regardent que nos fesses alors que nous les filles on tombe amoureuses ? Est-ce qu’avaler du sperme fait grossir ? Je n’aime faire l’amour qu’avec un âne, est-ce normal ? Des questions déroutantes et inquiétantes auxquelles répond le professeur de gynécologie Israël Nisand lors de ses interventions en classe de troisième et de seconde.
Les Écritures nous apprennent que Dieu a créé l’homme et la femme à son image et qu’ils sont composés d’un esprit, d’une âme et d’un corps, et Dieu veut non seulement qu’il parvienne à la sainteté du corps, mais aussi à la totalité de son être intérieur, c’est-à-dire que ces trois entités forment un ensemble interactif qui ne peut pas être séparé par la pensée erronée : C’est seulement sexuel ! :
I Thessaloniciens 4.2-5 : « Vous savez, en effet, quels préceptes nous vous avons donnés de la part du Seigneur Jésus.
Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification ; c’est que vous vous absteniez de l’immoralité sexuelle ; c’est que chacun de vous sache posséder son corps dans la sainteté et l’honnêteté, sans vous livrer à une convoitise passionnée, comme font les païens qui ne connaissent pas Dieu. [...] »
I Thessaloniciens 5.23 : « Que le Dieu de paix vous sanctifie Lui-même tout entiers, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ! »
POUR TOUTE DÉVIANCE SEXUELLE, IL S’AGIT D’EN ÊTRE CONSCIENT !
C’est la pensée de l’excuse qui pousse l’individu à croire qu’il a le pouvoir de contrôler sa dépendance à l’immoralité sexuelle. Il y a des personnes qui pensent que : L’important ce n’est pas de pratiquer une sexualité débridée, c’est d’être conscient de ce que l’on fait ! Cette pensée « il s’agit d’en être conscient » que nous pouvons trouver parmi les gourous hindous qui enseignent une spiritualité mensongère à leurs disciples, afin de les disculper de leurs pratiques malsaines et iniques concernant la sexualité ...
Quand nous comparons cette instruction de la conduite avec celle du livre des Proverbes, nous constatons une différence significative pour ce qui concerne la voie à suivre :
Proverbes 4.10-15 : « Écoute, mon fils, et reçois mes paroles, et les années de ta vie se multiplieront. Je te montre la voie de la sagesse, je te conduis dans les sentiers de la droiture. [...] N’entre pas dans le sentier des méchants, et ne marche pas dans la voie des hommes mauvais. Évite-là, n’y passe point, détourne-t’en, et passe outre. »
Les Écritures nous donnent des exemples concernant l’enseignement de « la conscience du bien ». À la différence de cette pensée inique, la Parole de Dieu ne justifie personne à faire le mal, car ceux qui savent ce qui est bien et qui ne le font pas, commettent un péché devant Dieu, ainsi que ceux qui enseignent aux autres une règle de vie et qui ne la mettent pas en pratique pour eux-mêmes :
Jacques 4.17 : « Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché. »
Romains 2.22-23 : « Toi qui dit de ne pas commettre d’adultère, tu commets adultère ! Toi qui as en abomination les idoles, tu commets des sacrilèges ! Toi qui te fais une gloire de la loi, tu déshonores Dieu par la transgression de la loi. »
J’AI VAINCU MES MAUVAIS DÉSIRS ET MES FANTASMES SEXUELS
Le chrétien doit faire attention aux pensées orgueilleuses, car la prétention peut éloigner de l’humilité, car il risque de tomber. La recherche de la pureté est un défi de tous les jours dans ce monde ...
Même si les Écritures ne mentionnent pas le fantasme sexuel, il est important d’en parler, car il existe dans le coeur et la tête d’une personne « accro au sexe et au porno » ; c’est une production de pensées qui représente un acte imaginaire ou intentionnel et qui provoque du désir ou de l’excitation érotique.
L’apôtre Paul exhorte les chrétiens de Philippes à travailler à leur salut, mais la progression dans la sainteté se produit en nous par le Saint-Esprit selon la Volonté de Dieu. Ce qui signifie que la pensée de l’Esprit travaille en nous quand nous avons le coeur disposé à l’humilité envers Dieu :
Philippiens 2.5 : « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé, Lui-même, en prenant une forme de serviteur. [...] »
Le processus de la pensée charnelle conduit souvent à des actes orgueilleux et exprime des paroles arrogantes qui peuvent dire : J’ai vaincu mes mauvais désirs et les tentations du diable. Alors que la pensée de l’Esprit de Dieu dit : Ce n’est pas une pensée humble, car d’une part, l’orgueil empêche de voir les faiblesses spirituelles qui ne garantissent pas de rester debout, mais d’être une occasion de chute :
I Corinthiens 10.12 : « Ainsi donc que celui qui croit être debout prenne garde de tomber ! », et d’autre part, nous n’avons pas connaissance de ce qu’est la sainteté parfaite comme l’avait expérimenté le prophète Ésaïe :
Ésaïe 6.5-7 : « Alors je dis : Malheur à moi ! Je suis perdu, car je suis un homme dont les lèvres sont impures, j’habite au milieu d’un peuple dont les lèvres sont impures, et mes yeux ont vu le Roi, l’Éternel des armées. Mais l’un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente, qu’il avait prise sur l’autel avec des pincettes. Il en toucha ma bouche, et dit : Ceci a touch�� tes lèvres, ton iniquité est enlevée, et ton péché est expié. »
L’apôtre Paul enseigne aux chrétiens que le travail du salut et de pureté ne dépend pas de nos propres forces comme le suggère des pensées d’orgueil, mais de Dieu. En effet, il faut travailler avec Dieu par sa force toute puissante pour progresser dans la sainteté.
C’est pourquoi, dans le travail du salut et de sainteté, les chrétiens doivent se revêtir des sentiments d’humilité et d’acquérir un esprit de service que nous montré le Seigneur Jésus-Christ :
Philippiens 2.12-13 : « Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent, car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir ... »
JE SAIS VAINCRE LES TENTATIONS DU DIABLE
La pensée qui consiste à se mesurer avec Satan en sachant surmonter les épreuves et les tentations qu’il nous envoie ne doit pas être arrogante et supérieure, car il ne faut pas oublier que le malin a l’avantage de l’invisibilité et de nous surprendre quand nous manifestons une faiblesse et que nous n’utilisons pas les armes spirituelles de Dieu et comptant sur notre force humaine et personnelle.
Cette pensée de vaincre les tentations de Satan peut induire le chrétien à surestimer sa victoire dans l’épreuve et succomber à la tentation, car même si Satan ne connaît pas nos pensées, il connaît nos faiblesses et il appuiera sans aucune pitié aux endroits sensibles et accessibles pour nous entraîner à commettre un péché ...
La surestimation de soi n’est pas la solution pour remporter une bataille contre les esprits méchants, parce que dans cet état d’esprit-là, le chrétien ne verra pas le soutien de Dieu à cause de son sentiment d’orgueil, alors qu’il doit tenir ferme et combattre avec les armes de Dieu et ouvrir son coeur à la situation présente ...
Car à travers cette situation, il y a toujours la main de Dieu qui est tendu vers son enfant mis à l’épreuve :
II Corinthiens 10.4-6 : « Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair. Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser les forteresses. Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance de Christ. »
L’apôtre Pierre exhorte les chrétiens à rester sobres et à veiller concernant notre conduite spirituelle, c’est-à- dire à garder les idées claires et à ne pas se laisser bercer et endormir par les choses du monde, afin de résister au diable qui rôde autour de ceux qui ont reçu le Saint-Esprit afin de les séduire et les éliminer de l’élection.
Pierre utilise une image du lion rugissant employant le verbe « dévorer » pour imprimer dans la conscience du lecteur l’acharnement vorace de Satan à vouloir détruire un chrétien qui est l’œuvre de Dieu :
I Pierre 5.8-9 : « Soyez sobres, veillez. Votre adversaire le diable rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde. »
Nous voyons que l’arme de combat pour résister à Satan est la fermeté de la foi, alors que Jacques, dans sa lettre, nous exhorte à combattre avec une autre arme pour résister au diable, il s’agit de la soumission à Dieu ...
Il faut garder à l’esprit que durant son ministère terrestre les principales armes spirituelles du Seigneur Jésus étaient la foi en l’humilité envers Dieu pour combattre les tentations de Satan et les desseins pernicieux des chefs religieux qui étaient opposés à sa mission :
Jacques 4.6-8 : « Dieu résiste aux orgueilleux et il fait grâce aux humbles. Soumettez-vous donc à Dieu, résistez au diable, et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. »
Jean 8.28-29 : « Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous connaîtrez ce que Je Suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais je parle selon ce que le Père m’a enseigné. Celui qui m’a envoyé est avec moi, il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable ... »
DEMAIN, C’EST SÛR J’ARRÊTERAI D’ATTISER MES DÉSIRS AVEC LE PORNO
Cette pensée ressemble aux autres qui ont été citées auparavant ; elles montrent une estimation démesurée de soi-même, et en même temps, un manque de confiance en Dieu et une ignorance de son état spirituel qui devient une proie pour ses adversaires cachés et prêts à intervenir pour faire sombrer le chrétien.
Que ce soit pour les mauvais désirs sexuels ou pour toutes autres oeuvres charnelles, l’idée de se dire j’aurai la force d’arrêter demain n’engage pas une personne à combattre et à travailler pour son salut, mais à s’autoriser à vivre selon ses désirs malsains par une conduite pernicieuse.
De plus, Satan et ses serviteurs se frottent les mains quand un chrétien exprime la pensée d’arrêter demain, car il se moque de savoir si le chrétien obéira demain à Dieu. Pour Satan, ce qui compte, ce n’est pas nos intentions ni nos résolutions, aussi nobles soient-elles, c’est ce que le chrétien fait ici et maintenant.
Ainsi, nous pouvons dire que malgré son invisibilité, le diable a vraiment les pieds sur terre :
Jacques 4.14-16 : « Vous ne savez pas ce qui arrivera demain ! Car, qu’est-ce que votre vie ? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît. Vous devriez dire, au contraire : Si Dieu le veut, nous vivrons, et nous ferons ceci ou cela. Mais maintenant vous vous glorifiez dans vos pensées orgueilleuses. C’est chose mauvaise que de se glorifier de la sorte. »
Une citation populaire : Ne remettez pas à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui. Ceux qui se conforment à cette tendance de remettre à demain marchent dans la procrastination, ils remettent à plus tard ce qu’ils pourraient faire maintenant. Cette conduite s’applique surtout aux tâches pénibles de la vie quotidienne, mais aussi elle reporte une pratique d’un bien spirituel qui est remplacé par des activités secondaires ou de nature à satisfaire ses désirs terrestres :
Proverbes 3.28 : « Ne dis pas à ton prochain : Va et reviens, demain, je donnerai ! quand tu as de quoi donner. »
Cependant, la procrastination n’est pas une maladie, mais elle peut être le symptôme d’une anxiété qui peut générer des troubles psychiques pouvant conduire à la dépression, ou à un manque de motivation à réaliser les activités de la journée, et à plus forte raison à faire le travail de son salut.
Pour se débarrasser de la procrastination, il est nécessaire de prier Dieu pour repérer son état spirituel, puis il est nécessaire de mettre en pratique une méthode dynamique qui pousse à l’action telle que : Établir une liste de tâches quotidiennes à faire ou à ne plus faire, (ne plus aller sur les sites porno). – Se fixer des objectifs journaliers réalisables – Évaluer sa journée et l’accomplissement des objectifs fixés et ce qui n’a pas été fait dans la liste journalière.
JE NE POURRAI JAMAIS ME DÉFAIRE DE MAUVAIS DÉSIRS ET VAINES PENSÉES
Cette pensée rend aveugle ; elle génère en plus un sentiment de défaite spirituelle qui exprime "À quoi bon lutter, je suis trop mauvais, Dieu ne peut pas aimer quelqu’un comme moi, car je vais le décevoir à cause de ma méchanceté persistante".
La pensée de ne pas pouvoir changer empêche de voir la miséricorde, la puissance et la patience de Dieu misent en oeuvre pour sauver les hommes de leur géhenne, car elle fait croire que le péché demeure notre maître et que nous resterons son esclave.
C’est pourquoi, l’Évangile n’est pas une idéologie inventée par l’homme ; il ne repose pas sur des idées philosophiques, mais sur des faits historiques ayant créé un impact cosmique dans les cieux et sur la terre ; il requiert une puissance spirituelle qui a la vertu de supprimer la culpabilité, la honte, l’orgueil, l’égoïsme et les convoitises du coeur des hommes ...
L’Évangile libère l’homme de la puissance du péché, mais la sainteté est un processus lent et difficile dont le chemin est souvent parsémé d’épreuves et de tentations :
I Corinthiens 1.18-21 : « Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes sauvés elle est une puissance de Dieu. Aussi est-il écrit : Je détruirai la sagesse des sages, et j’anéantirai l’intelligence des intelligents. Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le disputeur de ce siècle ? Dieu n’a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde ? Car puisque le monde avec sa sagesse, n’a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. »
Se débarrasser de tous ses mauvais désirs et de ses vaines pensées ne se réalisent pas selon notre volonté ni dans notre empressement, car c’est un travail de Dieu en nous par son Esprit qui s’effectue selon sa patience, sachant que le temps de Dieu n’est pas du tout le même que le nôtre.
C’est pourquoi, il faut rester vigilants sur ce que Dieu fait dans notre vie :
Romains 6.17-19 : « Mais grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de coeur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits. Ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la Justice. Je parle à la manière des hommes, à cause de la faiblesse de votre chair. De même donc que vous avez livré vos membres comme esclaves à l’impureté et à l’iniquité, pour arriver à l’iniquité, ainsi maintenant livrez vos membres comme esclaves à la Justice, pour arriver à la sainteté. »
Serge Rossi
Évang��liste prédicateur
Groupe privé : NOUVELLE NAISSANCE
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Note : Cliquez toujours sur le dièse (#) du titre d'une leçon AFIN D'AVOIR UN MEILLEUR VISIONNEMENT DU TEXTE, de rejoindre les différentes parties, l’option de commenter, d'imprimer, de partager les Études Bibliques et historiques, sur Messenger, votre portail, groupes Facebook ou autres plateformes, à la gloire de Dieu : #Regard_sur_l_industrie_de_la_pornographie
Jean 8.31-32 : « Si Vous DEMEUREZ dans Ma PAROLE, Vous Êtes Vraiment MES disciples ; Vous Connaîtrez la VÉRITÉ et la VÉRITÉ Vous Rendra LIBRES ... »
INDEX alphabétisé d'Études Bibliques :
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INDEX alphabétisé de Chants :
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Groupe public : Assemblée de l'Église du Christ, Ste Foy, Québec
https://www.facebook.com/groups/1793477057490510/
« Toutes les Églises du Christ vous saluent. » Romains 16.16
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MARDI 9 AVRIL 2024 (Billet 1 / 3)
« ET PLUS SI AFFINITÉS » (1h 20min)
Un film d’Olivier Ducray et Wilfried Méance, avec Isabelle Carré, Bernard Campan, Julia Faure et Pablo Pauly.
Présenté en avant-première au Festival de l’Alpe d’Huez, les 2 acteurs principaux obtiennent les récompenses de meilleurs acteurs et le film, le Prix Spécial du jury et le Prix du Public.
La critique du Figaro ci-dessous dit très bien tout ce que nous en avons pensé.
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Dans cette comédie très bien interprétée, un couple coincé reçoit ses voisins entreprenants.
« L’amour, enfant de bohème, n’a jamais connu de loi... » La rengaine est prémonitoire mais Xavier (Bernard Campan) ne le sait pas encore. Alors qu’une élève massacre avec application Carmen à la flûte à bec, ce professeur de musique blasé l’écoute à peine, ne cherchant même pas à lutter contre la somnolence qui le gagne. Il aurait sûrement été moins pressé de voir le cours se terminer s’il avait su ce qui l’attendait chez lui. Sophie, sa femme (Isabelle Carré), a invité à dîner Adèle et Alban (Julia Faure et Pablo Pauly), leurs voisins du dessus dont l’intensité sonore des ébats nocturnes ne fait pas débat.
À peine sont-ils arrivés que les premières piques fusent entre ces deux couples que tout oppose, l’un bourgeois et coincé, l’autre bien plus jeune et moins conventionnel. D’autant que la cuisson lente d’un gigot de sept heures va laisser du temps pour des préliminaires savoureux, avant que cette soirée explosive ne parte en vrille, de révélations en rebondissements. Adapté de « Sentimental », un film espagnol lui-même tiré d’une pièce de théâtre, « Et plus si affinités » est une belle surprise. Anatomie de la vie conjugale à la mode partagée, ce vaudeville filmé à huis clos sur les désirs enfouis et l’usure amoureuse ne ménage pas ses effets, aussi drôles qu’efficaces.
Il faut déjà saluer la durée du film, rare aujourd’hui, d’une heure vingt seulement, qui exploite jusqu’à l’os (du gigot) son thème, sans s’éparpiller dans des digressions inutiles. La mécanique est implacable, les répliques s’enchaînent et le rythme ne faiblit pas. À l’apéritif, on se jauge et on se provoque, avant de passer à table, au sens propre comme au sens figuré. En amuse-bouche devant les verrines, face à leurs hôtes bouche bée, Alban et Adèle confient pratiquer le « sexe en groupe », terme qu’ils préfèrent à « partouze ». « C’est plus joli comme expression » précisent-ils. « En langage militaire, exaction, c’est plus joli que massacre mais ça reste quand même une boucherie », leur rétorque Xavier. Avec les entrées, une nouvelle révélation va faire grimper la folie. Personne ne sera épargné.
Bernard Campan est formidable en mari aigri, sarcastique et ronchon, Isabelle Carré, tout aussi épatante dans le rôle de la maîtresse de maison empathique et bien élevée qui va se révéler bien plus surprenante, prête aussi à interroger leur couple usé par vingt-cinq ans de vie commune. À leurs côtés, Julia Faure en psychologue comportementaliste pour animaux domestiques et Pablo Pauly en pilote fanfaron et arrogant sont des partenaires de taille.
Aucune raison de bouder son plaisir !
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Ayant vu la bande-annonce (voir ci-dessus... surtout, ne la ratez pas !), au début, nous avons été surpris car nous pensions que c’était un film comique. Or, ça n’est pas du tout le cas. Pour vous donner une idée de l’humour TRES particulier de « Et plus si affinités », disons qu’il se situe entre « Cuisine et dépendances », « le Prénom » et « Le dieu du carnage »… Si vous avez vu l’un de ses trois excellents films, vous saurez de quoi nous parlons.
Nous lui avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5.
Et si cela peut vous rassurer et peut-être vous inciter à aller le voir, sachez que les spectateurs l’ont noté 3,8 et tous les critiques « Pro » l’ont bien apprécié, à l’exception du Monde et de Télérama… ce qui est pour nous un gage de qualité (🤪).
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Ce qu’il faut retenir des septennats de François Mitterrand quant aux droits des femmes
En ce 10 mai 2021, quarantième anniversaire de la prise de fonction du premier président socialiste François Mitterrand, il est temps de revenir sur les mesures phares qui ont marqué ses deux septennats. En effet, sous François Mitterrand de nombreux droits des femmes ont vu le jour. Troisième président français de la V ème République, François Mitterrand a aboli la peine de mort en 1981 et instauré la cinquième semaine de congés payés. Ce président a aussi établi les 39 heures de travail par semaine en 1982. Connu pour ses mesures tendant à faciliter la vie ouvrière, François Mitterrand s'est aussi investi dans les causes féminines et celles touchant à l’orientation sexuelle. Durant son second septennat, il a d'ailleurs nommé Édith Cresson au rôle de première ministre, en mai 1991. C'est la première femme qui a accédé à cette fonction. La création de la Journée de la femme Le 20 janvier 1982, le Conseil des Ministre a officialisé l’instauration de la journée de la femme. Elle est depuis célébrée le 8 mars. Cette proposition venait d’Yvette Roudy, ministre des droits de la femme. À l’occasion de cette première célébration, le président avait fait une déclaration où il soumet l’hypothèse de créer une loi anti-sexiste. « Ceux qui se sont battus pour les libertés, les républicains, les démocrates, les socialistes, savent que la liberté de chacun s’arrête là où commence celle d’autrui : c’est ce qu’on appelle la tolérance. Au nom de cette tolérance, nous nous sommes dotés, dans notre pays, d’une loi antiraciste. Pourquoi n’y aurait-il pas, et cela sera proposé, une loi antisexiste ? Il ne faut pas faire ou exagérer la comparaison. Mais enfin, si elle sert à permettre à des associations régulièrement déclarées et qui ont cet objectif dans leurs statuts, de se constituer en cas de provocation à la discrimination, d’injures, diffamations, de refus du droit d’une personne ou d’un groupe en raison de leur sexe. Cette proposition de loi pour ce projet de loi verra le jour. » Ce discours a annoncé la ligne gouvernementale que le président a adopté pour les femmes et la prise de plusieurs mesures. Ces dernières seront en effet mises en place progressivement sous son gouvernement. À lire également : L’interdiction du certificat de virginité validée par les députés Les lois marquantes pour les droits des femmes sous les septennats de François Mitterrand Avril 1982 Le mois suivant son annonce, il instaure un projet de loi sur la présence égale des hommes et des femmes au statut de fonctionnaire. Cette loi doit faciliter l’accès des femmes dans ce domaine. Décembre 1982, une loi pour l'avortement L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est désormais remboursée et prise en charge par l'État. Les femmes peuvent alors prétendre à des soins et se rendre dans des lieux médicaux sans se soucier des frais. 13 Juillet 1983 : la Loi Roudy Elle vise l’égalité professionnelle homme-femme. 23 décembre 1985 Loi n°85-1372 reconnaît l’égalité des époux dans les régimes matrimoniaux. Elle instaure la parité des parents dans la gestion des biens des enfants mineurs. Dès lors, les divorces sont plus faciles. 5 septembre 1990 La cour de Cassation reconnaît pour la première fois le viol conjugal. Par conséquent, les femmes peuvent désormais porter plainte lorsqu'elles subissent des violences. 27 janvier 1993 L’auto-avortement n’est plus un délit, les sanctions sont donc retirées. Grâce à cette loi, les femmes peuvent avorter de manière plus sécurisée. Ainsi, grâce à l'application de ces diverses mesures et projets de lois, la condition des femmes a pu évoluer. Malgré les nombreuses controverses à son sujet, François Mitterrand reste un homme politique engagé. Les nombreuses mesures prises pour les causes féminines et sociales font de lui un président marquant et historique. Par ailleurs, les nombreux reportages sur sa vie et sa politique diffusés à l’occasion du quarantième anniversaire de sa mort en témoignent. Read the full article
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Actu trans d'octobre 2023
Le 21 octobre a eu lieu une manifestation contre la fermeture partielle de la Maternité des Lilas, une des seules maternités en France accueillant des personnes trans.
A l’occasion de la Quinzaine de Visibilité Intersexe, différents événements se sont déroulés dans plusieurs villes françaises. Cela regroupait entre autres choses des conférences, des projections, et un Bingo Drag caritatif.
Le Sénat a adopté en commission une proposition de loi visant à interdire l’usage de l'écriture inclusive (notamment les pronoms "iel", "al" et "ul") dans de nombreux documents type annonces de vente, notices d'utilisation, règlements internes, documents d’entreprise, offres d'emplois, etc. indiquant que cette dernière ne serait pas compatible avec la « neutralité » d’opinion attendue dans certains contextes.
Le ministre de la Santé britannique a annoncé le projet d’interdire aux hommes et aux femmes trans d’être soigné·es dans des salles exclusivement masculines ou féminines.
Toujours côté ministère britannique, le 1er ministre Rishi Sunak, a tenu et soutenu des propos transphobes prononcés lors de la conférence du Parti conservateur. Ces commentaires sont intervenus au moment où de nouvelles statistiques sur les crimes de haine ont montré que l'Angleterre et le Pays de Galles deviennent moins sûrs pour les personnes LGBTQIA+. Les chiffres révèlent notamment une augmentation de 11% des crimes de haine liés à l'identité de genre, la plus élevée depuis 2012.
En réponse à ces commentaire, des centaines de personnes ont manifesté devant les grilles de Downing Street pour exprimer leur mécontentement. Les manifestant·es ont exprimé leur soutien aux personnes trans et ont appelé le gouvernement à engager un dialogue respectueux avec la communauté trans pour mettre fin à cette stigmatisation.
On poursuit dans les personnalités britannique transphobe puisque JK Rowling a indiqué joyeusement qu’elle « passerait volontiers 2 ans en prison pour avoir délibérément mégenré une personne trans » en ajoutant amusé « Collez moi un procès. Ce sera plus amusant que n’importe quel tapis rouge que j’ai pu faire ».
Pour les dernières personnes qui ont passé ces dernières années à défendre l’autrice en indiquant qu’elle n’était pas transphobe, j’ose espérer qu’avec un discours qui ne cache plus du tout sa transphobie, ces personnes retireront enfin leurs œillères…
Le Tribunal social fédéral (le BSG) de Kassel a récemment émis une décision suscitant des préoccupations concernant le remboursement des frais liés aux opérations de changement de sexe pour les personnes trans non-binaires, et possiblement binaires, en Allemagne.
Selon cette décision, les frais de ces interventions – notamment les mastectomies - ne seront remboursées par l'assurance maladie que lorsque la Commission mixte fédéral (la G-BA) formulera une recommandation correspondante, qui sera un processus qui pourrait prendre plusieurs années.
Marina Machete est devenue la toute première femme trans élue Miss Portugal. La jeune femme de 28 ans affrontera, en autres candidates, Rikkie Kollé, la Miss Pays-Bas également trans pour le titre de Miss Univers.
En Pologne, le parti conservateur PiS, qui a attaqué les droits LGBTQ+ depuis son accession au pouvoir il y a 8 ans, a été battu lors des dernières élections. Cela va permettre d’offrir une bouffée d’air frais aux personnes queers polonaises.
Le tribunal de la préfecture de Shizuoka au Japon, a accordé à un homme trans la permission de changer juridiquement sa mention du sexe à l’état-civil sans avoir subi de stérilisation. Cette dernière étant l'une des 5 conditions normalement requises lors d’une procédure juridique de ce type en vertu de la loi japonaise. Le tribunal a également a jugé inconstitutionnel le critère de stérilisation pour l’accès au changement de la mention du sexe à l’état-civil. C’est une première historique dans le pays.
15 jour après, la Cour suprême du Japon a annulé une partie de cette même loi obligeant les personnes trans à subir une intervention chirurgicale afin de faire reconnaître légalement leur sexe. Les 15 juges du Grand Banc du tribunal ont statué à l’unanimité que cette exigence était inconstitutionnelle.
Bonne nouvelle, donc !
World Aquatics, anciennement connue sous le nom de la FINA, annonçait dans un communiqué il y a quelques moi, la création d'une "catégorie ouverte" réservée aux athlètes trans visant à favoriser l’équité dans le sport. Finalement cette catégorie vient d’être retirée pour la coupe du monde à Berlin car, comme on l’avait prédit, aucune athlète trans ne s’est inscrite aux courses de 50 et 100 mètres, toutes nages confondues. (C’était bien la peine de faire tout un foin de cette histoire à créer des catégories pour les supprimer quelques mois après hein..)
On termine avec les États-Unis. Côté lois, nous avons ce mois-ci :
- Le conseil d'administration de l'Alaska School Activities Associationqui interdit aux filles trans de participer aux équipes sportives féminines des lycées de l’état. - Dans la même veine, les républicains du Wisconsin qui avancent l’interdiction des soins d’affirmation de genre et de participation aux sports pour les personnes trans.
- Les règles restrictives d’accès aux toilettes pour les personnes trans qui s'étendent désormais aux écoles privées de Floride.
- La Cour d’appel du 9ème circuit de l’Idaho qui a temporairement bloqué l’interdiction d’accès aux toilettes dans l’état pour les étudiant·es trans.
- Un juge californien a accordé une ordonnance d'interdiction temporaire bloquant la majeure partie de la politique d’outing forcé du district scolaire pour les enfants trans et non-binaires, jusqu'à ce qu'une décision finale concernant l'affaire soit prise. Ce dernier a jugé que la politique semble inconstitutionnelle car elle cible spécifiquement la communauté trans.
- Après près de 4 ans de négociations, un Tribunal fédéral a statué que les prisons de l’État de Washington sont désormais tenues de fournir des soins d’affirmation de genre aux détenu·es trans. Que ces dernier·es soient entrées en prison avec une prescription de THS ou non. Le Département d'État des services correctionnels (le DOC) devra également fournir des vêtements et autres biens d’affirmation de genre aux personnes trans. En plus de devoir embaucher un médecin désigné spécialisé dans les soins médicaux d'affirmation de genre. Les agents devront également suivre une formation axée sur les personnes trans, et les détenu·es pourront décider quels agents les palperont.
- Et pour terminer, les personnes non-binaires de New-York qui pourront utiliser la lettre « X » comme marqueur de genre sur leurs documents officiels à partir de janvier 2024.
Dans le reste de l’actu USA :
- L’American College Of Pedia-tri-cians, qui est un organisme de droite, a lancé un site web destiné à aider les familles à pratiquer des thérapies de conversion sur leurs enfants trans mineur·es. Leur truc est présenté comme de la « thérapie exploratoire de genre » mais dans les faits, ça tombe bien sous le coup des thérapies de conversion…
- Une femme cis de New York a été attaquée par un caissier car ce dernier l'a prise pour une femme trans. Encore une fois, nous avons la démonstration que la transphobie ruisselle pour toucher également les femmes cis.
- Le réseau social X, anciennement connu sous le nom de Twitter, a supprimé la possibilité de signaler les abus transphobes sur sa plateforme. Elon Musk et sa plateforme continuent donc à pousser, doucement mais sûrement, l’exposition de comptes extrêmes notoirement connus pour leurs positions anti-LGBTQ+, et favorisant grandement l’explosion d’engagement transphobe.
- USA Cyclinga mis à jour sa politique de participation des athlètes trans, séparant les athlètes trans qui souhaitent participer à des courses nationales aux États-Unis en 2 nouveaux groupes en fonction de leur discipline et de leur catégorie de course. Cette mise à jour de politique s'aligne sur les normes établies par l'organe directeur mondial et devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2024.
- Un article passant en revue la littérature sur les évaluations de genre dans les soins d'affirmation de genre a conclu que ces tentatives d'évaluation de l'identité de genre et/ou de la dysphorie des personnes ne sont pas plus efficaces pour prévenir les regrets liés à l’auto-détermination, et que ces évaluations sont basées sur des stéréotypes arbitraires. Les résultats suggèrent que les clinicien·nes devraient se concentrer sur un soutien d’une prise de décision éclairée via consentement plutôt que sur une évaluation clinicienne du genre.
- Un rapport récent du Williams Institute de l'UCLA a révélé que plus de 105 000 mineur·es trans vivent actuellement dans des États ayant interdit l'accès aux soins d’affirmation de genre, affectant ainsi environ un tiers de cette population.
Les politiques de législation anti-trans se sont renforcées en 2023, avec la majorité de ces jeunes (soit 92 700) résidant dans des États qui ont adopté ces interdictions cette année. Au total, 22 États ont interdit les soins d’affirmation de genre.
En ce qui concerne le sport, un tiers des jeunes trans (101 500) sont touchés par des lois interdisant leur participation dans des équipes en accord avec leur identité de genre. Les interdictions d'accès aux toilettes pour les élèves trans sont également en hausse, affectant 32 700 d'entre eux, sans qu'aucune décision de justice ne les bloque encore.
Heureusement, environ la moitié des jeunes trans aux États-Unis vivent dans des États ayant adopté des lois de "protection" pour celleux qui nécessite ces soins, avec 12 États ayant mis en place de telles lois en 2023. La plupart des jeunes trans vivent dans des États qui ont interdit la thérapie de conversion.
- Philadelphie est devenue une ville sanctuaire pour les soins d’affirmation de genre. Le décret interdira l’utilisation des ressources de la ville dans des enquêtes qui puniraient toute personne cherchant des soins d’affirmation de genre dans la ville. Il indique également que si des restrictions fédérales ou étatiques sont adoptées concernant les soins d'affirmation de genre, la ville n'accordera plus la priorité à l'application de ces lois. De plus, l’ordonnance rend les soins d’affirmation de genre accessibles aux personnes incarcérées dans les prisons municipales.
- L’athlète non-binaire Cal Calamia a reçu une exemption de l’USADA (l'Agence américaine antidopage) lui permettant de participer au marathon de San Francisco et à d'autres événements gérés par l'USA Track & Field tout en prenant de la testostérone dans le cadre de sa transition médicale. Cette exemption est considérée comme la première du genre et constitue une avancée pour les athlètes trans et non-binaires qui n’ont eut de cesse d’être injustement exclu·es des compétitions sportives ces derniers mois et années.
Cette approbation est historique, cependant c’est une victoire en demi-teinte puisque l’athlète a indiqué que le processus d’obtention de cette approbation a été excessivement intrusif. Le formulaire de demande n’offrait que des options de genre binaires, et un historique médical complet (comprenant des dossiers psychologiques, des notes médicales et un diagnostic officiel de dysphorie de genre) a dû être soumis.
- En parlant de personnes non-binaires dans le sport : la ligue de basket NBA a vu l’arbitre Che Flores faire son coming out trans non-binaire. La nouvelle a été bien reçu puisqu’iel a reçu du soutien.
- La drag queen Jade Jolie, compétitrice de Drag Race USA, a fait son coming out trans.
- Et pour terminer, Lynn Conway a été intronisée au Temple de la renommée des inventeurs nationaux. Elle a transformé l'industrie microélectronique mondiale en permettant à de petites équipes de concevoir des puces puissantes comme celle qui alimente votre ordinateur portable et votre smartphone.
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Table-ronde virtuelle. Le think tank Wathi et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) organisent, jeudi, à 11 h, une table-ronde virtuelle sur ‘’le rôle des médias sur l’égalité des sexes et les droits des femmes au Sénégal’’, annonce un communiqué reçu à la rédaction. Table-ronde virtuelle sur le rôle des médias sur l’égalité des sexes et les droits des femmes, jeudi Cette rencontre fait partie des ‘’seize jours d’activisme contre les violences faites aux femmes’’. Les canaux , les médias et les autres moyens Selon le communiqué, le think tank Wathi et l’AECID estiment que pour mieux combattre les violences faites aux femmes, ‘’il est nécessaire d’aller vers une revalorisation du rôle de la femme dans la société́, comme citoyenne et actrice du développement’’. Les médias ‘’sont des acteurs incontournables’’ dans ce combat pour la revalorisation du rôle de la femme dans la société, soulignent les deux structures. travaux sur les médias sont largement ignorés par les universitaires pour un faisceau de causes A lire aussi Gbagbo exhorte près de 500 partisans nommés à aller implanter le PPA-CI Ils expliquent que ‘’cette table-ronde virtuelle [fait partie] du projet dénommé ‘Débats citoyens sur la participation des femmes à la vie politique, économique et sociale au Sénégal’’’. Olga Cabarga Gómez, ambassadrice d’Espagne au Sénégal, y prendra part, selon la même source. Des options de changement politique Médias, démocratie et démocratisation quels enjeux Les organisateurs de cette table-ronde ‘’cherchent à faire ressortir des connaissances, des idées, des options de changement politique, des pistes d’actions collectives et individuelles’’, lit-on dans le texte. Il s’agit aussi de donner aux journalistes et aux organisations de femmes l’occasion de proposer de ‘’nouvelles pistes d’actions à mettre en œuvre, pour réduire considérablement les inégalités entre les hommes et les femmes’’. Médias, démocratie et démocratisation quels enjeux 3 A lire aussi Visite de travail du président de la CAF au Ghana (médias) Le think tank et son partenaire veulent sensibiliser les médias sur la perception de la place des femmes dans la société, pour accorder davantage d’importance à leurs programmes et interventions liées aux inégalités entre les hommes et les femmes et au dialogue, pour améliorer le bien-être des filles et des femmes.
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Table-ronde virtuelle. Le think tank Wathi et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) organisent, jeudi, à 11 h, une table-ronde virtuelle sur ‘’le rôle des médias sur l’égalité des sexes et les droits des femmes au Sénégal’’, annonce un communiqué reçu à la rédaction. Table-ronde virtuelle sur le rôle des médias sur l’égalité des sexes et les droits des femmes, jeudi Cette rencontre fait partie des ‘’seize jours d’activisme contre les violences faites aux femmes’’. Les canaux , les médias et les autres moyens Selon le communiqué, le think tank Wathi et l’AECID estiment que pour mieux combattre les violences faites aux femmes, ‘’il est nécessaire d’aller vers une revalorisation du rôle de la femme dans la société́, comme citoyenne et actrice du développement’’. Les médias ‘’sont des acteurs incontournables’’ dans ce combat pour la revalorisation du rôle de la femme dans la société, soulignent les deux structures. travaux sur les médias sont largement ignorés par les universitaires pour un faisceau de causes A lire aussi Gbagbo exhorte près de 500 partisans nommés à aller implanter le PPA-CI Ils expliquent que ‘’cette table-ronde virtuelle [fait partie] du projet dénommé ‘Débats citoyens sur la participation des femmes à la vie politique, économique et sociale au Sénégal’’’. Olga Cabarga Gómez, ambassadrice d’Espagne au Sénégal, y prendra part, selon la même source. Des options de changement politique Médias, démocratie et démocratisation quels enjeux Les organisateurs de cette table-ronde ‘’cherchent à faire ressortir des connaissances, des idées, des options de changement politique, des pistes d’actions collectives et individuelles’’, lit-on dans le texte. Il s’agit aussi de donner aux journalistes et aux organisations de femmes l’occasion de proposer de ‘’nouvelles pistes d’actions à mettre en œuvre, pour réduire considérablement les inégalités entre les hommes et les femmes’’. Médias, démocratie et démocratisation quels enjeux 3 A lire aussi Visite de travail du président de la CAF au Ghana (médias) Le think tank et son partenaire veulent sensibiliser les médias sur la perception de la place des femmes dans la société, pour accorder davantage d’importance à leurs programmes et interventions liées aux inégalités entre les hommes et les femmes et au dialogue, pour améliorer le bien-être des filles et des femmes.
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CINÉ CINÉMA #cineserie #cinécinéma MUNICH SYNOPSIS Dans la nuit du 5 septembre, un commando de l'organisation palestinienne Septembre Noir s'introduit dans le Village Olympique, force l'entrée du pavillon israélien, abat deux de ses occupants et prend en otages les neuf autres. 21 heures plus tard, tous seront morts, et 900 millions de téléspectateurs auront découvert en direct le nouveau visage du terrorisme. Après avoir refusé tout compromis avec les preneurs d'otages, le gouvernement de Golda Meir monte une opération de représailles sans précédent, baptisée "Colère de Dieu". Avner, un jeune agent du Mossad, prend la tête d'une équipe de quatre hommes, chargée de traquer à travers le monde onze représentants de Septembre Noir désignés comme responsables de l'attentat de Munich. Pour mener à bien cette mission ultrasecrète, les cinq hommes devront vivre en permanence dans l'ombre... BANDE ANNONCE https://youtu.be/CQNUwN5d5ck DÉTAILS 25 janvier 2006 en salle / 2h 40min / Drame, Historique, Thriller De Steven Spielberg Par George Jonas, Eric Roth Avec Eric Bana, Daniel Craig, Ciarán Hinds CRITIQUE Munich n’est pas qu’un film politique qui par ailleurs fustige toute notion d’exposé didactique. C’est surtout un objet de cinéma ludique qui, s’il n’évite pas quelques scories (baisse de régime dans le dernier tiers de bobine, élans mélodramatiques...), se situe en permanence au-dessus de la production actuelle. Il y a dans Munich suffisamment de substance pour nourrir les scénarios de dix films actuels. La toile de fond politique peut presque être considérée comme un cache-sexe qui permet au cinéaste de revisiter deux genres précis (le film d’espionnage et le polar) et par intermittences d’en bouleverser les codes (Marie-Josée Croze fait une apparition brève mais marquante en femme fatale) dans un contexte explicite (le fait que l’action se passe dans les années 70 exige un travail de reconstitution soigné et minutieux). Munich constitue également une aubaine pour les acteurs qui trouvent matière à étayer des personnages complexes. Spielberg s’autorise de vraies audaces de cinéma comme celle de confronter, dans un dialogue quasi surréaliste, Michael Lonsdale e https://www.instagram.com/p/CocBDXdM9uL/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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LE LEADERSHIP FÉMININ DANS LES ASSEMBLÉES CHRÉTIENNES.
(2ème et dernière partie)
Dans le Nouveau Testament, la Bible nous présente plusieurs femmes qui ont été mises à contribution par le Seigneur Jésus, lors de sa mission terrestre, pour répandre la Bonne Nouvelle du royaume des cieux ; à l'instar de Marie de Magdala et de la femme samaritaine : deux figures emblématiques féminines du Nouveau Testament, souvent citées en exemple par de nombreuses femmes chrétiennes qui revendiquent leur droit de diriger des assemblées locales, afin de conduire le peuple de Dieu, par le moyen de l'enseignement des Saintes Écritures.
* MAIS, QUE NOUS ENSEIGNE LA BIBLE AU SUJET DU RÔLE TENU PAR CES DEUX FEMMES EMBLÉMATIQUES, DANS LA PROPAGATION DE L'ÉVANGILE DE CHRIST ???
Voyons ensemble !
En Jn.4:7-30, pour ainsi résumer, Jésus s'étant assis au bord d'un puits, se mit à évangéliser une femme samaritaine qui, à son tour, alla répandre la Bonne Nouvelle du royaume des cieux aux habitants de sa ville.
De même, en Jn.20:1-18, Jésus ressuscité, se révéla à Marie de Magdala qui, elle aussi, alla annoncer la Bonne Nouvelle de la résurrection du Christ aux autres disciples.
* Dans les deux cas de figure, ces deux femmes firent ce qu'il était convenable de faire à ce moment-là ; c'est-à-dire s'empresser d'aller rapporter à leurs proches ce qu'elles avaient vu et entendu du Seigneur Jésus, comme le ferait toute personne se trouvant dans la même situation.
MAIS ALORS, PEUT-ON DÉFINIR LES DEUX ACTES SPONTANÉS À CARACTÈRE ÉVANGÉLIQUE, POSÉS PAR CES DEUX FEMMES, COMME ÉTANT UNE VOCATION DE LA FEMME À DIRIGER UNE ASSEMBLÉE CHRÉTIENNE PAR LE MOYEN DE L'ENSEIGNEMENT DES SAINTES ÉCRITURES ???
À cette question, bon nombre d'entre nous répondront par l'affirmatif, en évoquant pour raison principale, la souveraineté du Saint-Esprit qui utilise qui il veut dans le corps de Christ, sans distinction de race, ni de sexe, ni même de nationalité, pour la propagation de l'Évangile de Christ ; d'autant plus qu'en Ga.3:27-28, il est écrit :
[27] Vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.
[28] Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ.
* Mais voyez-vous, bien-aimés !
Ce qui est paradoxal dans cette vue de l'esprit de certaines femmes chrétiennes, c'est que l'auteur de ce passage biblique, que beaucoup aiment citer pour défendre leur argumentaire, est bel et bien le même apôtre qui, poussé par le même Saint-Esprit, avait formellement interdit aux femmes d'enseigner dans les assemblées chrétiennes et de prendre de l'autorité sur l'homme (1Ti.2:11-12) ; car une femme à la tête d'une assemblée chrétienne est forcément investie d'un pouvoir et d'une autorité sur ses ouailles, parmi lesquels se trouverait son époux.
L'apôtre Paul, puisqu'il s'agit bien de lui, se serait-il alors contredit dans ses propos, lui qui, à ce moment-là, parlait poussé par l'Esprit du Seigneur ???
Bien sûr que non !!!
Ce qu'il y a lieu de comprendre dans ce passage biblique de Ga.3:27-28 évoqué par Paul, c'est que :
- PREMIÈREMENT :
Ce passage biblique ne fait pas allusion à l'exercice d'un ministère biblique quelconque par la femme au même titre que l'homme ; mais il fait plutôt allusion à l'unité du corps de Christ, sans distinction de race, ni de sexe, ni de nationalité.
- DEUXIÈMEMENT :
Nous devons retenir de ce passage biblique que notre égalité spirituelle en Jésus-Christ n'annule pas les principes sacrés d'autorité et de soumission, établis par Dieu entre l'homme et la femme.
C'est pourquoi d'ailleurs, en 1Co.14:33-34, l'apôtre Paul, conduit par l'Esprit de Dieu, insista sur le rôle de la femme dans l'Église du Seigneur, sur la base du respect de l'ordre hiérarchique établi par Dieu entre l'homme et la femme, en disant ce qui suit :
[33] Car Dieu n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix.
Comme dans toutes les Églises des saints,
[34] que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d'y parler [c'est-à-dire d'y prendre la parole en public] ; mais qu'elles soient soumises comme le dit la loi.
En d'autres termes, que la femme chrétienne écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission (1Ti.2:11).
* Remarquez, bien-aimés, que cette injonction de l'apôtre Paul ne s'appliquait pas qu'aux seules femmes de l'Église de Corinthe, elle s'appliquait à toutes les femmes des Églises des saints ; c'est-à-dire à toute la gente féminine de l'Église Universelle de Jésus-Christ (1Co.14:33-34).
* Donc, balayer du revers de la main cette interdiction formelle que le Saint-Esprit donne aux femmes chrétiennes, par les écrits de l'apôtre Paul, revient à faire preuve d'une insubordination notoire envers Dieu, comme le fit Ève au jardin d'Éden ; car l'apôtre Paul avait déclaré que ce qu'il écrivait à ce sujet était un commandement du Seigneur (1Co.14:37).
Et nous savons du reste, quelles ont été, pour l'humanité entière, les conséquences de l'insubordination de la femme vis-à-vis de Dieu ; car ce n'est pas Adam qui avait été séduit, mais la femme (1Co.2:14).
Puisse donc notre Dieu ouvrir l'entendement spirituel de nos sœurs en Christ qui confondent, d'une part, leur rêve et leur désir personnel de diriger une assemblée chrétienne, avec, d'autre part, l'appel au ministère pastoral qui est, selon Dieu, l'apanage des seuls hommes.
D'autant plus que :
"Dieu n'est point un homme pour mentir, ni Fils d'un homme pour se repentir ..." (No.23:19)
QUE DIEU NOUS BÉNISSE PAR CE PETIT ENSEIGNEMENT !!!
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SAMEDI 18 FEVRIER 2023 (Billet 1 / 3)
« UN HOMME HEUREUX » (1h 29min)
Un film de Tristan Séguéla, avec Fabrice Luchini, Catherine Frot, Philippe Katerine…
« C’est une comédie très réussie et qui a su synthétiser l’esprit des classiques du cinéma français des années 70/80 (« La cage aux folles » vient tout de suite à l’esprit) et les films américains comme « Tootsie » qui font d’une situation difficile un hymne à la tolérance drapé de légèreté, le tout sans aucune vulgarité. »
C’est une spectatrice qui a écrit ces lignes sur le site de « AlloCiné » et c’est exactement ce que nous en avons pensé. On ne rit pas aux éclats mais on sourit, très souvent. La performance des 2 comédiens principaux est exceptionnelle. Une mention toute particulière à Catherine Frot… qui commence à devenir une des plus grandes comédiennes du cinéma (et du théâtre) français. Le reste de la distribution ne démérite pas, Philippe Katerine est d’une crédibilité hallucinante, épatant comme toujours.
Les critiques (pro et celles des spectateurs lambda) sont bonnes ou assez bonnes dans l’ensemble, à l’exception notoire de Télérama, le « journal de télé pour instits » (c’est nous qui lui avons donné ce surnom), qui a massacré le film. Les pauvres, ils ont beau « avoir la carte » comme on dit dans le milieu intello-parisien, ils n’ont rien compris !
Etonnant quand même (et encore plus étonnant lorsque vous aurez vu le film), c’est Le Figaro qui lui a accordé le plus d’étoiles. Certains auraient pensé le contraire.
Ne manquez pas en tout cas de lire la critique ci-dessous, écrite par Eric Neuhoff, le critique cinéma préféré de notre amie Marie-Ange (T.) et de regarder les 2 bandes-annonces ci-dessus.
Marina a donné à « Un homme heureux » ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️,5 sur 5 (un demi-point de plus pour Catherine Frot/Fabrice Luchini et le message du film).
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Un maire de droite découvre que sa femme veut devenir un homme. Tristan Séguéla opte pour la comédie légère et joyeuse sur ce sujet qui fait souvent grincer des dents.
Ça, il prend très mal la chose. Ce maire de droite a des excuses. Sa femme lui annonce qu'elle veut devenir un homme. Et puis quoi encore ? D'abord, il songe à une plaisanterie. Mais la dame est sérieuse. L'élu s'arrache les cheveux. Sa campagne ! Il lui avait promis qu'il renonçait à la vie politique et voilà qu'il a choisi de se représenter. Elle lui cite l'exemple du mérou, des escargots. En langage moderne, on appelle ça une transition. Déjà, elle a commencé à prendre des hormones. Dans cette petite ville du Nord, cette lubie fait désordre. Burn-out ou ménopause, on se perd en conjectures. Que vont penser les électeurs ?
La théorie du genre débarque chez ce couple tout droit sorti de chez Chabrol. Veste Barbour, vacances à La Baule, la panoplie est au complet. Monsieur tombe de haut. Après tout ce temps, avait-il mérité ça ? Que vont dire les enfants, hein ? Tout cela est bien compliqué. On a beau être sans étiquette, l'élection risque de tanguer. Alors Fabrice Luchini pousse des hurlements, dort sur le canapé. « J'aurais préféré être plaqué pour une girafe. »
Une comédie pour un samedi-soir
Catherine Frot s'affuble d'une fausse moustache, demande à la domestique de ne plus l'appeler « Madame ». Édith se transforme en Eddy. Les complets-vestons lui vont bien. « Ça n'est pas parce que j'ai un sexe de femme que je ne peux pas être un homme. » La théorie se défend.
Avec un sujet pareil, il faut marcher sur des œufs. Cette « Cage aux folles version LGBT » opte pour un ton léger, ne se soucie pas du vraisemblable. C'est une comédie pour un samedi-soir, un spectacle à voir en famille. Cela permet à Philippe Katerine d'être un adjoint efficace et ironique. La surprise permet de s'intéresser enfin à d'autres problèmes que l'emplacement des dos-d'âne. Luchini ouvre des yeux ronds, affiche un désarroi de gamin. Il faut le voir vider des alcools forts pour supporter le choc, distribuer des tracts sur les marchés, recevoir dans sa permanence avec le slogan « En avant comme avant ».
Catherine Frot cultive des airs inquiétants, avec sa casquette à la Gavroche, trouve refuge chez un ami homosexuel et golfeur, assiste à des réunions menées par des transsexuel(le)s. On ne va pas faire la fine bouche devant un film qui a le mérite de traiter d'une actualité délicate et d'éviter la vulgarité. Tristan Séguéla signe un hymne à la tolérance, choisit la gentillesse contre le pamphlet, ne crache pas sur un happy end durant le carnaval de Dunkerque. Il montre sans lourdeur toutes les dimensions de cette histoire, aidé en cela par deux acteurs complices, malins, au diapason. La « Fête des mères » réserve des grincements de dents. Une naissance arrondit les contours. L'amour continue, envers et contre tout. La candeur le dispute aux sourires. Qu'on imagine un Jean-Pierre Mocky sous bromure et on aura une idée assez juste de l'ensemble. En plus, ces péripéties très « Saintes Chéries » sont accompagnées par des chansons des Rita Mitsouko et de William Sheller, ce qui ne gâche rien !
(Source : « Eric Neuhoff – Le Figaro »)
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Ce qu’il faut retenir des septennats de François Mitterrand quant aux droits des femmes
En ce 10 mai 2021, quarantième anniversaire de la prise de fonction du premier président socialiste François Mitterrand, il est temps de revenir sur les mesures phares qui ont marqué ses deux septennats. En effet, sous François Mitterrand de nombreux droits des femmes ont vu le jour. Troisième président français de la V ème République, François Mitterrand a aboli la peine de mort en 1981 et instauré la cinquième semaine de congés payés. Ce président a aussi établi les 39 heures de travail par semaine en 1982. Connu pour ses mesures tendant à faciliter la vie ouvrière, François Mitterrand s'est aussi investi dans les causes féminines et celles touchant à l’orientation sexuelle. Durant son second septennat, il a d'ailleurs nommé Édith Cresson au rôle de première ministre, en mai 1991. C'est la première femme qui a accédé à cette fonction. La création de la Journée de la femme Le 20 janvier 1982, le Conseil des Ministre a officialisé l’instauration de la journée de la femme. Elle est depuis célébrée le 8 mars. Cette proposition venait d’Yvette Roudy, ministre des droits de la femme. À l’occasion de cette première célébration, le président avait fait une déclaration où il soumet l’hypothèse de créer une loi anti-sexiste. « Ceux qui se sont battus pour les libertés, les républicains, les démocrates, les socialistes, savent que la liberté de chacun s’arrête là où commence celle d’autrui : c’est ce qu’on appelle la tolérance. Au nom de cette tolérance, nous nous sommes dotés, dans notre pays, d’une loi antiraciste. Pourquoi n’y aurait-il pas, et cela sera proposé, une loi antisexiste ? Il ne faut pas faire ou exagérer la comparaison. Mais enfin, si elle sert à permettre à des associations régulièrement déclarées et qui ont cet objectif dans leurs statuts, de se constituer en cas de provocation à la discrimination, d’injures, diffamations, de refus du droit d’une personne ou d’un groupe en raison de leur sexe. Cette proposition de loi pour ce projet de loi verra le jour. » Ce discours a annoncé la ligne gouvernementale que le président a adopté pour les femmes et la prise de plusieurs mesures. Ces dernières seront en effet mises en place progressivement sous son gouvernement. À lire également : L’interdiction du certificat de virginité validée par les députés Les lois marquantes pour les droits des femmes sous les septennats de François Mitterrand Avril 1982 Le mois suivant son annonce, il instaure un projet de loi sur la présence égale des hommes et des femmes au statut de fonctionnaire. Cette loi doit faciliter l’accès des femmes dans ce domaine. Décembre 1982, une loi pour l'avortement L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est désormais remboursée et prise en charge par l'État. Les femmes peuvent alors prétendre à des soins et se rendre dans des lieux médicaux sans se soucier des frais. 13 Juillet 1983 : la Loi Roudy Elle vise l’égalité professionnelle homme-femme. 23 décembre 1985 Loi n°85-1372 reconnaît l’égalité des époux dans les régimes matrimoniaux. Elle instaure la parité des parents dans la gestion des biens des enfants mineurs. Dès lors, les divorces sont plus faciles. 5 septembre 1990 La cour de Cassation reconnaît pour la première fois le viol conjugal. Par conséquent, les femmes peuvent désormais porter plainte lorsqu'elles subissent des violences. 27 janvier 1993 L’auto-avortement n’est plus un délit, les sanctions sont donc retirées. Grâce à cette loi, les femmes peuvent avorter de manière plus sécurisée. Ainsi, grâce à l'application de ces diverses mesures et projets de lois, la condition des femmes a pu évoluer. Malgré les nombreuses controverses à son sujet, François Mitterrand reste un homme politique engagé. Les nombreuses mesures prises pour les causes féminines et sociales font de lui un président marquant et historique. Par ailleurs, les nombreux reportages sur sa vie et sa politique diffusés à l’occasion du quarantième anniversaire de sa mort en témoignent. Read the full article
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