#alternatively: c'est comme ça... c'est la vie
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Ce N'est Rien
#alternatively: c'est comme ça... c'est la vie#de toute façon... ça n'a pas d'importance#idk what to tag this tbh#thats just my sona guy in my favourite sweater
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Re-desing personnel de Macabre, la version de Nightmare dans Vampireverse !
Personal re-desing of Macabre, the Vampireverse version of Nightmare!
Dès que j'ai connu le personnage, j'ai tout de suite aimé son design : le chapeau, la plume, le grand manteau... J'ai adoré le fait qu'il soit un voleur en couple avec Cruzar (Cross), j'ai adoré le fait que ce soit Fallacy qui soit un roi et que lui soit juste une sorte de mercenaire, le fait que ce ne soit pas forcément un méchant, ça change vraiment des versions qu'on a l'habitude de voir et c'est tout aussi badass ! (Je suis désolée mais je ne peux pas supporter les versions de Macabre où il a des tentacules, où il est noble et tout, où il est genre... Comme TOUTES les versions de lui qui existent déjà et ça gâche tellement le design incroyable qu'il a canoniquement–)
Je ne conseille pas Vampireverse et je n'approuve pas ce que la créatrice (TheGreatRouge) fait avec, je déteste le comic pour des raisons évidentes (romantisation du viol, pédophilie, pervers narcissisme impuni), mais j'aime tellement le potentiel du Lore ! C'est pour ça que malgré tout j'aime garder ce qu'il est bon de garder dans cet univers. Alors c'est pour ça que j'aime réécrire ce personnage qui n'a jamais... Être autre chose qu'un design quand on y pense.
As soon as I got to know the character, I immediately liked his design: the hat, the feather, the greatcoat... I loved the fact that he's a thief in a relationship with Cruzar (Cross), I loved the fact that Fallacy is the king and he is just some sort of mercenary, the fact that he's not necessarily a bad guy, it's a real change from the versions we're used to seeing and it's just as badass! (I'm sorry, but I can't stand the versions of Macabre where he's got tentacles, where he's noble and everything, where he's like... Like ALL the versions of him that already exist and it's such a waste of the amazing design he canonically has-)
I don't recommend the Vampireverse comic and I don't approve of what the creator (TheGreatRouge) has done with it, I hate the comic for obvious reasons (romanticising rape, paedophilia, perverse narcissism with impunity), but I love the potential of the Lore so much! That's why, despite everything, I like to keep what's good to keep in this universe. So that's why I like rewriting this character who has never... Be anything other than a design when you think about it.
Donc oui, il a des rides, oui il a l'air vieux car oui, c'est un vioque xD un vieux schnok !
Je l'aime juste trop comme ça ! J'aime le fait que si Nightmare devait avoir une version alternative dans un univers de Dark Fantasy ou d'autres univers favorisant l'aventure comme un Pirateverse ou un Mafiaverse il serait un vieux badass ! Parce que... Parce que Nightmare est vieux en fait !
So yes, he's got wrinkles, yes he looks old because yes, he's a vioque xD an old fart!
I just love him too much as it is! I love the fact that if Nightmare were to have an alternative version in a Dark Fantasy universe or other adventure-favouring universes like a Pirateverse or a Mafiaverse he'd be a gaffer! Because... Because Nightmare is actually old!
Dans mon imagination il n'a plus que des similitudes avec Nightmare qu'en matière de référence, sinon c'est une sorte de croisement étrange entre Maître Yupa de Nausicaa de la vallée du vent, Mendoza des "Citées d'Or" et Pandiego de la Vega de "Wakfu" :
In my imagination, he only has similarities with Nightmare in terms of references, otherwise he's a sort of strange cross between Yupa from Nausicaa of the Valley of the Wind, Mendoza from Cities of Gold and Pandiego de la Vega from Wakfu:
Yupa :
– Design
– Vieillesse, expérience et culture (Age, experience and knowledge)
– Skills en combat (Skills in fight)
Mendoza :
– Mouvement de cape badass (Badass cape move)
– Espagnol (Spanish)
– Cupide (Greedy)
– Sournois, rusé et sourire narquois (Sly, cunning and sneering smile)
Pandiego de la Vega :
– Hygiène de vie (hygiene)
– Mauvaises manières (bad manners)
– Go��t pour la bière et les tavernes (A taste for beer and taverns)
– Langage et humour (language and humor)
Et autres critères que je ne dirai pas maintenant car y'a des gens de Wattpad ici–
And other criteria that I won't go into now because there are people from Wattpad here-
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La période est difficile. C'est une alternance je le sais. C'est censé passer mais je n'en vois pas le bout. J'ai du mal à être autre chose que profondément triste et en totale inertie. J'ai envie de disparaitre et recommencer ailleurs. Ne plus donner de nouvelles parce que ça paraît tellement plus facile de soi même supprimer son existence de celle des autres. Pourtant, ça ne fonctionne pas si ce ne sont pas les autres aux mêmes qui suppriment notre existence de la leur. J'essaie de temporiser, d'avaler ma salive moins fort, de faire des choses mais je n'y arrive pas. Je ne parviens pas à accueillir toutes les possibles bonnes habitudes, décisions, pensées par contre j'arrive à me complaire dans ce que j'ai déjà qui ne me satisfait pas. J'ai beau m'accrocher, mes mains glissent lentement et c'est la panique. Je suis submergée de panique. Je me noie dans la panique. Tout me paraît être important, être un choix cornélien, être le prédicateur de ma vie future. Certains jours je me lève et je m'accuse de tout, je me déteste et je me dis que j'agis comme une putain de cinglée, je me dis qu'ils auraient mieux fait de me garder internée si c'était pour ça. Et d'autres jours, je me lève et je me sens rejetée, seule, remplie de haine pour mon entourage, je me dis qu'il n'y a que moi qui aie avancé depuis l'hôpital. Je ne sais pas qui est fautif, si je suis particulièrement mal adaptée ou si c'est les autres. Je ne sais pas si c'est une question de faute d'ailleurs mais j'ai toujours besoin d'avoir un responsable qui reconnaît ses fautes -moi ou les autres-. J'ai ce besoin de vérité parce que je me sens étouffée et enfermée dans un tissu de mensonges. Je ne sais même pas trop ce que j'entends par mensonges c'est plutôt la sensation désagréable que rien n'est vrai, que tout est faux, que je me suis trompée mais je ne sais pas où. Je suis perdue parce que j'ai accepté de me mentir et qu'on me mente. J'ai jamais été aussi irrespectueuse avec mes émotions et mes limites.
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Qu’est ce que vous trouvez à melechon ? Et qu’est ce que vous pouvez critiquer chez lui ? (Ce n’est pas une critique, c’est juste que je suis jeune et que je ne connais pas bien son parcours) qu’est-ce qui fait de lui un grand homme politique ? Merciii
C'est difficile de décrire ce que je pense de Mélenchon sans parler aussi de la dimension émotions plus personnelle 😅 Est-ce que tu étais assez grande en 2012 pour suivre la campagne ?
J'avais 17 ans, mes parents avaient voté Arlette Laguiller toute ma vie sans jamais militer et sans vraiment y croire, ma seule éducation politique c'était mon expérience personnelle de fille d'immigré pauvre et les discussions très générales de ma famille. Quand on a allumé la télé ce printemps là et qu'on a écouté Mélenchon parler avec autant de conviction de ce que pourraient être nos vies, ça a été une révélation. Il y avait quelqu'un, quelqu'un qui était même parfois pris au sérieux, qui dénonçait ce que je haïssais et proposait de le changer. Qui le disait avec passion, sans faire les simagrées du PS, sans refuser de prendre position, en argumentant rigoureusement, parfois avec des références à des livres que je pouvais lire, souvent sans insulter l'intelligence de son public, en faisant des liens que d'autres avaient sans doute fait avant mais jamais là où je pouvais les entendre. J'avais toujours connu la gauche faiblarde, traîtresse, dont on ne pouvait attendre qu'un sursis. Pour moi c'était vote "utile" pour le PS et affiliés, ou vote complètement inutile mais cohérent pour l'extrême-gauche, sans autre possibilité, sans espoir. Et là il y avait autre chose. C'est pas par conviction que l'autre flanby a balbutié son fameux "mon véritable adversaire, c'est la finance" - c'est parce que l'aile gauche de la gauche lui soufflait dans le cou. J'ai entrevu autre chose pour la première fois, et un autre chose qui semblait même assez directement atteignable. J'ai imprimé des tracts en douce avec l'imprimante familiale et séché des cours pour les distribuer - gros acte de rébellion pour moi à l'époque. J'étais sûre que ça allait arriver, en 2012 ou la fois d'après, ça ne pouvait qu'arriver.
Je ne vais pas faire semblant que tout ça n'influence pas mon opinion de Mélenchon. Évidemment que ce souvenir m'encourage toujours à être un peu plus indulgente.
Mais je crois aussi sincèrement que le projet qu'il défend est un projet qui nous rapprocherait d'un monde plus juste.
Impossible de séparer Mélenchon du LFI, alors parlons de ça. Je ne vais pas refaire le programme, mais c'est le seul qui propose une alternative avec un plan d'action concret et plus ou moins immédiat. Et j'ai peut-être tort mais, si LFI ne propose pas en soi de sortir du capitalisme, j'ai toujours pensé que sortir du capitalisme serait plus facile avec le modèle que propose LFI qu'avec le modèle actuel. J'ai parfois même encore la naïveté de penser que c'est le but final, juste à horizon très lointain.
Toutes les critiques que je pourrais faire sur Mélenchon ou LFI, je peux les faire sur la plupart des autres personnalités et partis politiques.
Je trouve leur ligne sur les droits des femmes très faible (mon plus gros problème ; malheureusement pas plus faible qu'ailleurs), j'aimerais qu'ils se battent ouvertement pour la mise à mort du capitalisme (comme je le disais, certaines de leurs positions me laissent penser qu'ils n'y sont pas opposés, mais si c'est le cas il faut être plus clair, et si ce n'est pas le cas c'est une déception ; mais là encore, à moins de regarder vers l'extrême-gauche, ils remettent plus en cause le système capitaliste que les autres partis), et je pense qu'ils passent un peu trop de temps sur certains sujets qui n'ont pas lieu d'être ou qui n'aident pas sur un plan purement stratégique (mais c'est aussi le climat actuel qui veut ça).
En ce qui concerne Mélenchon lui-même, il s'emporte parfois trop. C'est la principale critique qu'on peut lui faire, et qui lui est faite d'ailleurs à longueur de journée. Mais est-ce que c'est le plus important ? Lors de ses interventions, il est la plupart du temps posé malgré les interruptions intempestives et la mauvaise foi chronique de ses interlocuteurs. N'importe qui finirait par s'énerver !
Quant à ses "phrases polémiques", que dire ? On lui a récemment reproché d'avoir dit que l'antisémitisme est résiduel en France. Sans rentrer dans le commentaire de texte, les mots qu'il a employés exactement sont "l'antisémitisme reste résiduel". "Reste" ; or il n'a jamais, à ma connaissance, nié l'Holocauste, donc le sens le plus probable de "résiduel" ici est bien "qui persiste de quelque chose en dépit de tentatives faites pour l'éliminer". Étant donné l'autre sens du mot et la malhonnêteté ambiante, il aurait dû choisir un autre mot, mais de là à utiliser cette phrase comme preuve d'un antisémitisme débridé... On sait tous de toute façon que le problème ici ce n'est pas un quelconque antisémitisme à gauche, mais le refus de LFI de soutenir à 100% le génocide qu'Israël mène contre les Palestiniens.
La vérité c'est que même les sorties les plus stupides de Mélenchon passeraient inaperçues dans la bouche d'une autre personnalité politique. Le problème ce n'est pas vraiment ce qu'il dit, ou comment il le dit, mais c'est qu'il est le chef de file du parti qui a le plus de chances d'ébranler la dictature de la bourgeoisie en France. S'il se retirait, la prochaine tête de liste serait accueillie exactement de la même manière.
Ni LFI ni Mélenchon lui-même ne sont parfaits, mais si l'on admet qu'ils sont généralement de bonne foi, pourquoi ne pas essayer de les pousser à mieux au lieu de tout condamner ? Ils ont déjà changé d'avis sur certains sujets, ils peuvent le faire encore. Il y a des différences entre le monde qu'ils dessinent et celui que je désire, mais ils ne sont pas si incompatibles qu'il faille tout balayer.
Bref, je n'aime pas trop parler de "grand homme politique" pour plein de raisons (ça a aucun sens, on y met tout et rien, etc.), mais on peut lui reconnaître qu'il n'a pas vacillé malgré un acharnement politique et médiatique de plus en plus intolérable, qu'il a redonné de l'espoir à une grande partie des électeurs de gauche qui ne croyaient plus (2012, j'étais loin d'être la seule, et après la catastrophe Hollande encore plus), et qu'il est vraiment très bon orateur.
#après si tu veux son parcours politique c'est grand admirateur de mitterrand au ps (😔) > alliance pcf (avant la saucisse roussel 😔) > lfi#il a beaucoup évolué sur plein de questions et dans l'ensemble pas en se droitisant comme le reste de ces clowns#donc ça aussi c'est un point positif pour moi#(il me semble qu'il est tjrs fan de mitterrand malheureusement mais bon. je choisis de pardonner ce méfait aujourd'hui)#je mets de côté l'extrême-gauche parce qu'ils ont jamais eu aucune chance aux élections+c'est mm pas leur but premier+leur programme est svt#pas assez concret pour que ça donne qqch immédiatement ou en tt cas pour qu'on puisse facilement imaginer sa mise en oeuvre#pr moi l'extrême-gauche c'est les idéaux et lfi c'est une marche vers ces idéaux. encore une fois c'est mon avis naïf lol#ça aide aussi que j'attende rien d'autre que le moins pire de la part des politiciens en ce qui concerne les femmes... :/#french side of tumblr#upthebaguette#mine
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Salut ! D'habitude, je blogue en anglais, mais je viens tout juste de terminer ce livre en français, et je dois ABSOLUMENT en parler.
Le voilà :
Nous Sommes la Poussière, de Plume D. Serves. Photo prise ici avec la recommandation de Les Mots A La Bouche, la librairie queer à Paris. C'est pas là où je l'ai acheté d'ailleurs, mais dans Le Nuage Vert, librairie fantastique à Paris, car Paris est grande et a des magasins spécialisés comme ça (je viens de la campagne, pour moi, c'est du nouveau). J'avais demandé des livres queer des écrivains français (Les Mots A La Bouche) et des livres des écrivains français qui parlent des minorités, surtout queer ou handicapés (Le Nuage Vert), car je lis presque exclusivement en anglais, et je ne sais pas comment trouver le genre de livre que je cherche en autres langues, bien que je sache qu'ils existent de super choses.
Et ce livre-là, il était TELLEMENT BIEN, je ne peux pas dire.
La madame de Le Nuage Vert me l'a vendu comme science-fiction très léger, mais je trouve que c'est mieux décrit comme du réalisme magique. L'idée est qu'il y a cette condition qui fait matérialiser autour des gens un nuage des particules de poussière électromagnétiques, ce qui évidemment va impacter la qualité de vie. Ce qu'est pire, c'est tous les stigmas sociétaux qui viennent avec. En fait, c'est un handicap et traité comme un. Le personnage principal est une jeune femme diagnostiquée assez tard, qui vécut toutes ces discriminations, et s'engage dans de l'activisme pour les combattre. Elle est aussi lesbienne.
Et ce livre, il parle DE TOUT. Je n'ai jamais vu la monde dans laquelle j'existe représentée comme ça avant.
Il parle des difficultés de recevoir une diagnose, le sentiment de voir ta vie se passer sans toi, les différentes difficultés des gens qui sont diagnostiqués comme adultes vs comme enfants, le privilège de "passer", la discrimination que font face les couples handicapés qui veulent des enfants, les difficultés d'organiser un mouvement activiste, activisme violent vs non-violent, la médecine alternative, les difficultés qu'ont les parents à se faire croire si leur enfant a un handicap invisible, l'intersectionnalité des identités marginalisées et comment la société les criminalise... Je ne balgue pas, je pourrais encore continuer avec les sujet auquel il touche.
C'est super clair que l'écrivaine a des expériences personnelles dans ce milieu (son bio dit qu'elle est militante autiste et queer, et c'est vrai qu'on reconnait la communauté autiste dans celle des magnophiles). Je ne suis pas de tout, mais pas de toute une personne à faire des notes dans un livre, mais ici, j'ai passé toute la lecture à vouloir souligner des passages que OUI, REGARDEZ, C'EST EXACTEMENT COMME CA ! (Évidemment, je ne l'ai pas fait. Je ne prends pas de notes dans des livres.)
Aussi, j'aime bien le style de l'écriture. C'est assez léger comme structure, comme ce sont des chapitres courts interrompues de textes encore plus courts dans la première et deuxième personne, qui donnent voix à l'inventeur des mailles qu'ils forcent les gens à porter et a au moins deux personnes anonymes qui sont aussi en train d'essayer de vivre avec leur handicap (ou bien une personne différente chaque chapitre, ce n'est pas vraiment clair). C'est super, parce que ça aide beaucoup avec l'immersion et donne le sentiment qu'on parle d'une vraie communauté de gens, et aussi, ça permet de temps à se passer entre les chapitres. Donc la narrative est plus une collection de petits moments de la vie d'Elias, au lieu d'une narrative stricte qui progresse de A à B à C et puis c'est fini. C'est un bon choix, que rend le tout beaucoup plus réaliste.
En bref, c'est un super livre que je recommande fort de lire à tout le monde. Surtout si tu es un peu dans ce milieu de l'activisme qui se bat pour les droits de minorités. Ou si tu veux lire un bon livre d'un écrivain français.
#ce n'est pas la revue la plus claire comme je viens juste de finir la lecture#et j'ai toujours besoin d'un peu de temps pour sortir de l'euphorie de l'histoire#mais je peux déjà dire que ce sera un livre que je vais beaucoup recommander si je reçois l'opportunité#Nous Sommes la Poussière#Plume D. Severs#Écrivains français#Livres français#Recommandation de livre#Livres#Réalisme Magique#livres queer#livres avec des personnages handicapées
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bouteille à la mer
Bonjour, bonsoir.
Je me lance dans la recherche d'un ou de deux nouveaux partenaires de rp. Ecrire est une véritable passion pour moi et, si après plus de 2 ans, ma partenaire et moi avons cessé d'écrire ensemble, l'envie m'est toujours restée. C'est pour cette raison que je lance cette bouteille à la mer. Vous ne me connaissez sûrement pas, je ne suis active sur aucune plateforme et ce depuis plusieurs années (au moins cinq ans). Je n'écrivais que sur des forums privés avec cette unique personne et c'est ce que j'aimerais retrouver de nouveau.
En quelques mots, je vous explique notre fonctionnement qui se plaçait à mi chemin entre le rpg et l'écriture d'un roman. A deux, nous avions une petite poignée de personnages placés dans un univers fictif inspiré d'une grande saga. Le forum avait un thème, un plot vers lequel on faisait avancer l'ensemble de nos personnages (tous se connaissaient, aussi les évènements arrivant dans la vie de l'un impactaient celle des autres) ; et chaque personnage ou duo de personnages avait droit à son propre character's arc. On avançait par ordre chronologique, alternant entre les rps drivés par les personnages et ceux drivés par le plot. Cela nous permettait de créer une ambiance évolutive et de travailler à fond nos personnages, c'était vraiment une expérience incroyable.
Pour l'univers, comme nous étions toutes les deux fan de Naruto, nous avions décidé de creuser le quotidien des jonins de Konoha. Je ne souhaite pas reprendre cet univers mais j'ai une grosse préférence pour les univers de fantastique, fantasy ou sf (particulièrement les manga mais je suis également une grande fan de saga littéraires type red rising et j'adooore parler des heures sur discord de ces saga ou des personnages). Je cherche donc quelqu'un qui serait intéressé à l'idée d'écrire à deux ou trois sur un forum privé (pas d'administratif comme ça), creuser un univers donné de façon mature. Pour les avas, je ne joue que de l'illustré, j'écris à la troisième personne et je préfère les ship m/m (en restant super ouverte).
Si jamais l'envie vous tente, n'hésitez pas à me mp (nb : sachez que je suis sûrement aussi timide que vous...)
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24 mars
j'ai pleuré devant la la land ce soir, quand emma stone passe son audition et qu'elle raconte l'histoire de sa tante qui est tombée dans la seine, je me suis mise à sa place quand ils lui disent just tell us a story, qu'est-ce que je raconterais comme histoire moi en impro comme ça mon dieu j'y arriverais jamais, et puis je me suis rappelé du stage de théâtre à prague et de mon histoire sur paris/l'islande et des réactions que ça avait suscité et je me suis dit SI bien sûr que j'y arriverais, i'd fucking NAIL IT. ce qui me fait pleurer dans cette scène à chaque fois c'est quand elle dit here's to the ones who dream, foolish as they may seem, here's to the hearts that ache, here's to the mess we make. j'ai un peu honte d'aime la la land mais c'est comme ça.
25 mars
cet après-midi pendant que le kiné me manipulait la nuque et les épaules il a fait une manip qui aurait pu se terminer en étranglement s'il avait continué et je me disais vas-y, étrangle-moi, qu'on en finisse, j'étais tellement bien entre ses mains avec le soleil qui me caressait le visage et le bruit des oiseaux qui entrait par la porte du jardin entrouverte que ça m'aurait rien fait de mourir entre ses mains là sur le champ. il faudrait qu'un kiné me manipule la nuque à chaque fois que je commence à spiraler comme ce weekend. j'avais l'impression qu'en manipulant tous mes gros noeuds il arrivait à voir tous mes gros soucis. j'avais envie qu'il me demande comment ça va et que je puisse dire pas bien du tout et qu'il me dise de tout lui raconter et puis qu'il arrive à tout remettre en ordre, ma nuque et ma vie. il s'est laissé pousser les cheveux depuis la dernière fois, ils sont longs et bouclés maintenant. il portait un serre-tête. j'aimerais bien être son amie, il a l'air cool.
ce matin en regardant mamma mia 2 avec m. quand j'ai vu amanda seyfried entrer dans l'église avec son bébé dans les bras je pensais à cette deuxième moi, cette moi alternative dénouée, ou raisonnablement nouée, normalement nouée. cette moi qui pourrait avoir un bébé elle aussi, même si j'en veux pas. une moi vivante, une moi qui vit. j'ai l'impression qu'elle existe, en parallèle de la moi que j'habite dans ce monde. parfois je pense à elle. comme quand j'ai vu amanda seyfried avec son bébé ce matin. amanda seyfried a le don de me faire entrevoir une vie meilleure. en 2016 quand je la voyais claquer du pied sur le toit d'un immeuble parisien pour allumer la tour eiffel dans la pub lancôme je me disais que si je ressemblais à amanda seyfried il me suffirait de claquer du pied avec mes escarpins pour faire apparaitre mon appart de rêve à berlin un job dans une petite librairie indépendante et une fille qui m'aime.
26 mars
j'ai enfin acheté des nouvelles lunettes de soleil, des jolies, avec des verres assez foncés pour cacher mes yeux. mon oeil est hors de contrôle, la paupière est énorme et j'ai le visage tout gonflé, je ressemble à rien et ça me donne encore moins envie de sortir de la maison, donc je me suis dit tant pis pour l'argent je vais m'acheter des lunettes de soleil qui me plaisent et je les porterai même les jours où il fera gris. elles étaient pas très chères en plus j'ai payé 170 euros en tout. quand je suis entrée dans le magasin j'avais envie de pleurer parce que je venais d'avoir une discussion sur mon visage gonflé avec m. qui me disait qu'elle aussi elle avait le visage gonflé et j'ai dit oui mais toi t'es pas défigurée et elle a dit je sais. comme je me sentais un peu seule j'ai demandé à un des opticiens de me donner son avis, malgré mes gonflements, mes plaques rouges, ma peau qui pelait entre le menton et la lèvre inférieure, mes cheveux gras et le col de ma doudoune couvert de pellicules, mais l'opticien s'est révélé être un excellent commerçant parce qu'après avoir passé une heure ensemble il m'avait presque convaincue que j'étais jolie. je crois que ça m'a fait presque autant de bien que le massage du kiné hier. il me massait avec de la gentillesse et de l'attention. il m'écoutait avec ses yeux bleu ciel un peu écartés, se pliant à mes moindres demandes, et à chaque fois qu'il devait toucher aux lunettes posées sur mon nez pour vérifier les réglages il demandait j'ose? et je disais mais oui allez-y touchez-moi autant qu'il vous plaira ne vous gênez pas.
1er avril
au soleil soleil soleil dans le jardin d'hélène, il me fonce droit dessus. j'étais censée être chez m. là en train de faire des brioches lapin de pâques et commencer ma semaine bruxelloise que j'avais remplie à ras bord de trucs à faire tous les soirs. j'avais très peur de me retrouver dans le lit de sébastien avec maman hier soir à étouffer mes pleurs silencieux pour pas la réveiller comme une fois chez martine y a longtemps, mais tout s'est bien passé. j'ai dormi seule dans le lit de juliette avec le livre de l'intranquilité de pessoa et je crois que j'ai eu une espèce de sugar rush littéraire, j'avais le corps qui frémissait d'excitation en lisant la première page. j'avais lu l'introduction samedi soir au lit et déjà ça m'avait mise dans un état de fébrilité à l'idée d'enfin rencontrer fernando pessoa. hier dans la voiture à chaque fois que j'avais un coup de putain de merde qu'est-ce que je fous encore dans cette voiture avec maman, je pensais au livre de l'intranquilité dans mon sac à dos et je me sentais réconfortée. c'est pas grave si je suis morte-vivante, pessoa dit que quand on vit on est mort, mais écrire donne un sens à la vie-mort ou à la mort-vie. c'est pas grave si j'ai pas d'amis avec qui passer mes vacances et que je me trimballe derrière maman comme un boulet éternel et que personne, mais alors personne ne like ce que je poste sur ig, j'ai pessoa qui vit-meurt ou meurt-vie dans mon sac à dos.
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Vendredi 22 mars 2024
Adieu Toriyama Sensei
Un soir, il y a quelques jours de ça, j'ai craqué pour une somptueuse sérigraphie de Blutch qui représente Miles Davis, numérotée et signée par le dessinateur. Elle me faisait de l'oeil depuis quelques années. Lorsqu'on aime l'art pictural et qu'on n'a pas forcément l'argent pour s'offrir des originaux, la sérigraphie est une bonne alternative puisque pour quelques centaines d'euros on peut s'offrir une belle oeuvre. Je vais la faire encadrée et elle trônera quelque part sur un mur de ma chambre.
Je suis allé au cinéma, seul, l'autre fois. J'y ai vu la suite de Dune. J'ai passé un bon moment mais j'ai loupé quelques scènes parce que j'ai cette tendance, lorsque je suis dans une salle de cinéma, à me perdre dans mes rêves. Je pense à des trucs et de fil en aiguille je pars loin avant de me rendre compte que j'ai totalement loupé la scène qui vient de s'achever. C'est terrible ça, je ne parviens pas à me « débrancher » afin de passer en mode spectateur et d'apprécier le film...
Mon neveu est venu plusieurs fois chez nous passer l'après midi ces derniers temps. C'est super, car ça me permet de développer une belle relation avec lui. Quand il est là, ce ne sont pas des moment de tout repos. Nous jouons à cache cache (dans un petit appart, et avec une taille dépassant le mètre 90, ce n'est pas une tâche aisée pour moi de trouver où me planquer), nous dessinons et allons à la médiatèque, lisons des bande dessinées et regardons des dessins animés... quand je dis nous j'inclue ma mère, à vrai dire c'est elle qui s'occupe le plus de lui et qui arrive à le gérer, ce n'est pas évident parce qu'il faut parfois dire non et comment dire non à son adorable petit fils lorsqu'il demande à manger un troisième chocolat alors que de base on est censé ne pas lui en donner trop ? J'aime beaucoup le fait qu'il vienne désormais de façon régulière chez nous. Et en même temps je réalise que je serais incapable de devoir gérer 24 heures sur 24 un môme de cet âge voir un autre plus jeune : c'est un travail dantesque ! Alors je suis content d'être tonton et pas papa.
L'autre soir je me suis levé et comme tous les jours j'ai saisi d'abord mon téléphone pour y voir les notifications et j'ai ouvert un message de mon cousin qui m'envoyait un article m'apprenant le décès d'Akira Toriyama. Quel choc ! Juste avant de dormir, la nuit d'avant, j'avais vu passer un message en anglais le concernant et pour une raison que j'ignore je n'avais pas pris le temps de le parcourir, c'était le fameux message officiel annonçant le décès de celui qui était l'une de mes plus anciennes idoles.
Alors, je suis toujours prêt à recevoir ce genre de nouvelle concernant mes musiciens boomers préférés car ils sont octogénaires, mais je n'aurais pas cru voir disparaître le maître Toriyama de sitôt parce qu'il était japonais et que je pensais naïvement qu'il allait vivre au moins nonagénaire parce que les japonais ont une espérance de vie longue, eh bien je m'étais bien trompé...
Ainsi j'ai passé les jours qui ont suivi à lire des dizaines d'hommages (dont une de l'Elysée, chose impensable il y a encore 30 ans) à travers le monde. Et tout ça m'a plongé dans un drôle de désarroi, comme si je réalisais que mon enfance était définitivement et officiellement partie... je n'aurais pas cru être aussi touché.
Il faut dire que Akira Toriyama a beaucoup compté dans ma vie. Avant lui je lisais des bandes dessinées sans trop me soucier de qui les faisaient. Et puis, quelque part en 1994, je me suis prit de passion pour Dragon Ball Z (grâce à un cousin qui m'a transmis son enthousiasme, ce même cousin qui m'a envoyé le message annonçant le décès du maître, comme quoi tout est lié !) et j'ai découvert les mangas de Toriyama dont Dr Slump, dans lequel l'auteur se mettait souvent en scène de façon humoristique dans des scènes de vie désopilantes (à l'époque je ne trouvais rien au monde de plus drôle que Dr Slump, aujourd'hui encore d'ailleurs, et la vue seule de la tronche de ce con de Suppaman suffisait à me faire mourir de rire), j'ai donc découvert par la même occasion qu'il existait des gens derrière les bandes dessinées et j'ai alors commencé à vénérer Akira Toriyama comme l'un de premiers dieux de mon panthéon personnel qui commençait alors à se développer tout doucement.
Oh, je pourrais écrire des dizaines de pages pour raconter combien Dragon Ball a compté dans mon enfance, comment la toute première recherche internet que j'ai effectuée seul chez moi concernait Akira Toriyama, comment j'avais entrepris de traduire ses histoires courtes d'anglais en français quand j'avais 16 piges et comment au même âge j'avais écris un article sur la carrière de Toriyama pour un site de fan (en me basant sur un magazine hors série du Club Dorothée qui contenait les précieuses informations avec quelques images inédites de ses œuvres passés qui me faisaient tant fantasmer), comment depuis une douzaine d'années j'avais décidé que mon premier tatouage serait à l'effigie de Toriyama, du moins de son avatar dessiné, Toribot (et ça tient toujours), comment je tiens depuis des années un tumblr consacré aux dessin de Toriyama (« theartofakiratoriyama ») et qui compte plus de 5000 abonnés, comment j'ai crée le subreddit consacré à lui, r/AkiraToriyama ...
Alors bon, Toriyama Sensei est parti pour de bon et mon espoir de le voir interviewé (chose quasi impensable puisqu'il vivait reclus loin des médias depuis des décennies mais j'avais un petit espoir malgré tout) est ainsi réduit à néant et le monde perd un très grand artiste, un dessinateur aussi talentueux qu'humble et moi je perds encore un de mes plus grand héros.
Tout ça n'a fait que me redonner envie de me relire l'intégrale de Dragon Ball qui est l'une des rares sagas de bande dessinée que je peux me refaire inlassablement avec toujours le même plaisir.
Depuis plusieurs jours, plusieurs semaines à vrai dire, j'ai perdu ce truc que je qualifierais d'élan de vie, c'est très embêtant. Je broie du noir en permanence et si ça m'arrivait régulièrement de temps en temps, cette fois là, ça persiste plus de deux ou trois jours. Je deviens très malheureux et je ne vois plus de lumière au bout du tunnel, plus trop de raisons de me réjouir, rien d'intéressant ne semble m'attendre dans l'avenir... pour la première fois, lors de mon rendez vous bimestriel avec mon psy, j'ai répondu que ça n'allait pas lorsque comme toujours il m'a accueilli en me demandant comment j'allais. Ce n'était pas évident à admettre parce que j'ai dû mal à confier quelque chose d'aussi intime à quelqu'un en face de moi (alors que quand il s'agit de l'écrire, c'est beaucoup plus simple). Je ne crois pas avoir su bien lui expliquer mon mal et ses raisons mais il m'a demandé si j'avais des idées noires, j'ai répondu que c'était plutôt le cas et puis nous avons convenus de modifier le traitement, d'augmenter la dose.
Alors voilà, je ne sais pas si ça va changer grand chose, toujours est il qu'au moment où j'écris ces lignes je suis en plein désarroi mental et mes journées me semblent longues, très longues, j'ai envie de m'échapper mais comment, et où ? Je ne vois pas d'issue et j'ai peur que demain soit aussi long qu'aujourd'hui.
Le problème quand je suis dans cet état c'est que j'arrive peu à lire.
Je vais me forcer un peu et puis j'irai m'abrutir sur les apps de rencontres (j'y passe des heures chaque jour parce que la seule perspective qui me semble attrayante dans cette vie de merde est la présence d'une amoureuse) et faire en sorte de dormir jusqu'à tard dans la journée.
La fin de cette note n'est pas des plus gaies, j'en suis navré.
Je remercie les fidèles qui me lisent encore et qui sont de moins en moins nombreux (mais peu importe après tout) !
Bande son : Playlist "Cool Songs"
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #3
Comme j'ai chopé un sale truc pendant les vacances, je n'ai pas pu avancer tant que je voulais sur la traduction.
Traduction faite durant le mois :
Vieille Maison : celle avec le sous-sol et l'autel des Nouveaux Dieux.
Cabane Abandonnée : la cabane à côté du train.
Une partie de la cabine du train, comprenant la discussion avec Pav, Marina qui dégrade le train (racaille), Tanaka après l'entrainement, et les pauses de Marina, Abella, Karin et Daan. Avant d'écrire ce billet, j'était en train de bosser sur les dialogues d'Osaa.
Du coup, pas grand chose ce mois-ci. Mais j'ai quand même des choses à dire !
Ça va être assez urgent et important de trouver un moyen de décrypter les fichiers du jeu. Non pas juste les images et la bande-son, ça c'est assez facile à trouver, mais vraiment les lignes de codes. De transformer le game.exe en game.rpgproject. Il y a pas mal de dialogue où, comme je n'ai pas les moyens de faire une version masculine ou féminine, je n'ai pas le choix d'utiliser, par exemple, un verbe du troisième groupe, ou de faire une grosse bidouille qui m'éloigne clairement du sens original de la phrase :
Surtout que je sais que c'est possible. Il y a des mods sur ce jeu, il y a eu des propositions de fangame (tous abandonnés mdr), donc il existe bien un outil pour faire ça. Je pourrais enfin faire des dialogue différents si on incarne un personnage féminin ou masculin, tutoyer les gamins (aka Levi, Marina et p'têt Olivia) et sortir des insultes plus fleuries que « Sale ordure ! ».
Vieille maison
Lorsqu'on lance la discussion de groupe, avec Daan dedans, il dit que la maison sent le moisi, le "black mold". Tout bêtement, j'aurais traduit ça par moisissure noire, mais j'en n'ai jamais entendu parler de ça de ma vie, en tout cas dans ces termes. J'ai toujours entendu juste moisi ; sur les sites des dénominateurs de France métropolitaine, ils appellent ça eux aussi moisi. Il n'y a que sur les sites québecois où ils parlent de moisissures noires, et tout le monde sait que le Québec hait les anglicismes encore pire que l'Académie Française. Du coup, j'avais pensé à le traduire comme ça :
La mention du Stachybotrys (le vrai nom de cette moisissure) est là pour mieux marquer que ce n'est pas une odeur de moisi normale.
Comme je l'ai mentionné plus haut, j'ai un autre cas où je bloque avec le dialogue, à cause de problème technique :
La ligne en anglais était "You, who came with the offering". Du coup, vu que je ne peux pas le traduire par « Vous, qui êtes venu(e) avec l'offrande. », je dois me contenter de cette bidouille ci-dessus.
La ch'tite ref à un film bien rigolo, j'ai repris juste le même dialogue que dans la VF.
2. Cabane Abandonnée Rien de particulier à dire dessus.
3. Cabine du train (1er partie)
J'ai un blocage dans un des dialogues avec Pav : "He had one long time coming. Too bad it wasn't enough". Le vrai sens de la phrase est « La balle a mis longtemps à venir. Dommage qu'une n'ai pas suffit. », car elle suit la bulle précédente, qui était " You don't think the big man deserved a bullet to the head?". J'ai du mal à trouver une phrase qui garde le même sens sans être lourdingue. Pour le moment, je pars sur cette traduction :
Un petit parti-pris, pour la traduction "banjo-playing yokels" :
Un autre blocage, un peu moins emmerdant, à propos d'un dialogue avec Karin, pour la ligne "Whatever is happening here, could be an alternative to that.". J'ai du mal à saisir ce que veux dire "alternative". Le mot est bizarre dans le contexte, je pense du coup que riposte colle mieux.
Pas plus de choses à dire, je tafferai sûrement mieux le mois prochain, vu que j'suis plus en train de mourir.
À la prochaine, et tombez pas malade !
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Mon premier fist... partie 1
C'est une soirée dont je me rappellerai toute ma vie je crois... tellement elle s'est bien déroulée.
A l'époque je m'appelais Sophie Delane, j'habitais à Nantes et j'avais un blog sur Erog... oui oui c'était avant Facebook😅
Je discutais avec un mec qui s'appelait Florent et qui était très chaud !
On parlait de baise et tout et tout... puis on s'est donné rendez-vous un soir sur le parking d'un supermarché à Ancenis, histoire de faire connaissance et d'éventuellement aller chez lui après.
Comme il y avait un peu de route ce soir là, j'ai évité de m'habiller trop court au cas où et j'ai pris une mini-jupe dans mon sac à mains.
Me voici en train de prendre la route, j'étais Sophie dans ma tête. Jolie brunette. Petit top moulant blanc et leggings couleur jean avec escarpins à talons.
Je me sentais trop bien, avec cette pointe de stress habituelle quand je sors. Un stress très excitant! Et en même temps, je ressentais un sentiment de liberté incroyable.
J'arrive sur le parking, une Clio est déjà garée. Il est 22h environ et il fait nuit. Des lampadaires éclairent un peu la zone. Je me gare un peu plus loin. L'appréhension est à son comble. Mon cœur bât fort. La peur de l'inconnu, l'envie de faire la pute, tout se mélange en moi.
Je remets mes escarpins que j'avais enlevés pour conduire, je prends mon sac à mains je regarde aux alentours avant de sortir. Personne.
Juste sa Clio. Il me l'avait dit sur un message.
Je sors. Je marche tranquillement vers sa voiture. Je respire. Je fais attention à ma démarche tout en me mattant dans la vitrine du supermarché. Je me trouve trop belle.
Il sort de sa voiture. On se salue. Il est plutôt jeune et beau gosse. Par rassuré non plus de ce que j'observe.
Quelques petites phrases de politesse... il me trouve belle. Je kiffe.
On avait pas mal discuté par messages. Il était beaucoup moins chaud en vrai.
Pour casser la glace et détendre l'atmosphère, je lui propose directement d'aller le sucer dans un coin du parking.
Il n'ose pas. J'insiste.
- Non, pas dans la voiture, je préfère en extérieur. T'inquiète il n'y a personne...
Bref il me suit. Je kiffe. Il me matte, toujours pas rassuré.
J'ai trop envie. Je suis très exhib!
Au coin du bâtiment, je me mets face à lui et je m'accroupis. J'adore. Je me sens très pute. Directe. Cash. Les préliminaire ce n'est pas mon truc!
Je défait son pantalon. Je baise son caleçon et je prends sa bite en main.
Elle est déjà bien tendue. Elle est agréable au toucher. De bonne taille.
Je m'approche un peu et la glisse dans ma bouche. Elle est bonne. Oui toutes les bites sont différentes. La sienne est vraiment bonne. Propre. Douce. Elle durcit vite.
Je m'applique. Doucement au début. Des vas-et-vient de plus en plus profonds. Puis je la léche doucement. Sur le gland avec le bout de ma langue. Puis sur toute la longueur, depuis ses couilles lisses jusqu'au bou. C'est bon.
Agréable. Je suis bien. Je me sens tellement chienne, là, dans la pénombre, à le sucer!
Il a l'air d'apprécier. Je prends mon temps.
Je continue à alterner avec ma langue et ma bouche. C'est trop bon.
Je jouis du moment.
Je le carresse un peu. Ses couilles, que je prends d'une main. Que je malaxe délicatement pendant que ma langue s'occupe de son gland.
Puis à nouveau à pleine bouche. A priori il est satisfait. Je le sens. Ça ce sent.
Un petit moment de recul.
Je l'interroge du regard.
Il vient déjà.
Il ne sait pas quoi faire.
- Tu veux que je mette une capote?
- Non t'inquiète. Laisse toi aller.
- Sûre?
- Oui!
Je l'enfourne profondément pour lui montrer qu'il n'y a pas de sujet. Que j'ai envie. Qu'il peut se laisser aller!
Encore quelques caresses. Je sens qu'il se contracte. C'est imperceptible, mais je le sens. En même temps, dans ma bouche, je commence à sentir le goût de son jus. Ça y est, il jute!
C'est bon. Enfin non.
Le sperme c'est dégueu. Ce qui est bon, c'est d'être accroupie devant un mec et de le sentir juter de plaisir dans ma bouche. C'est la situation qui est bonne! Me sentir rabaissée. Avoir la sensation d'être une salope. De savoir vider un mec. De se sentir à la place de la pire des putes, d'être prise pour un vide-couille. Et en même temps, de maîtriser la situation. D'être à l'initiative. De savoir que tous les mecs, après avoir joui, redeviennent des petits garçons polis et gênés...
Je finis par le lécher avec soin. Je fais toujours cela. J'appuie doucement sur sa bite. Du pubis au gland. Plusieurs fois. Pour tout faire sortir jusqu'à la dernière goutte. Puis je lèche très doucement et assez vite parce qu'un gland est très sensible après l'éjaculation.
Une fois propre, je relâche doucement sa bite qui reprend sa taille normale et je me relève.
Je me détourne pour lui laisser le temps de se rhabiller. Je lui parle doucement.
Il a aimé.
Il est dans le sentiment du regret. C'est normal après s'être vidé. Ça dure quelques minutes. Je m'allume une cigarette. J'ai son goût dans ma bouche.
- Tu viens chez moi?
- ok avec plaisir... je te suis.
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Il y aurait une solution ?
L'humanité semble être entrée dans une ère nouvelle : tout se passe comme si nous étions en route vers un monde d'un autre type, comme si le développement des sciences et des techniques –le fameux ''fruit défendu'' dont parle la Genèse-- n'affectait pas seulement la nature, le cours des choses et la manière de voir le monde, mais aussi l'évolution du genre humain. Par exemple, nos contemporains se passionnent pour le ''comment'' des choses, sans plus jamais se poser de question sur leur ''pourquoi'', ce qui est une rupture historique dans la pensée. Est-ce un pas définitif ?
L'apparente fuite en avant des hommes d'aujourd'hui devant le temps ne fait pas que ruiner, détruire et ravager la planète. Ça, c'est ''ce qu'on voit''. Mais ce qu'on ne voit pas, c'est qu'elle ''chosifie'' de plus en plus les personnes, avec la fin de la politesse, de la galanterie, du ''respect humain'', de ''la bonne éducation'', de l'affabilité ou de la gentillesse, et même du souci de la langue employée... –qui étaient autant de marqueurs de ces temps oubliés où ''l'autre'' –que l'on appelait souvent : ''mon prochain''-- jouait un rôle primordial. Et un président qui a fait honte à notre pays en a été réduit à affirmer ''Un Président ne devrait pas dire ça'' … Même lui...
Dans ce monde en cours d'installation, un individualisme de système cultive et privilégie la revendication de ''Droits à'', en tout genre et de toute nature, au détriment des ''Devoirs de'' les plus élémentaires. La recherche constante de gratifications apparentes (que l'on espère être ''payantes'') occulte l'ancien besoin de partage, de transmission, et de ''fructification'', qui était considéré, avec juste raison, comme la source unique de croissance, d'épanouissement, et de bonheur. (NDLR : j'ai été élevé avec la phrase suivante, que mon Père répétait sans cesse à ses 6 enfants : ''Je dois'' passe toujours avant ''j'ai envie''. Il semblerait bien qu'on en soit arrivé à l'exact antipode de cette règle de bon sens qui rendait possible --et facile-- toute vie en société).
On assiste à une prolifération incontrôlée de ''vérités alternatives'', brandies par les pouvoirs en place et relayées par une presse coupable, soumise, ignorante et... stupide. En lieu et place des anciennes ''valeurs'' qui avaient fait leurs preuves, on nous incite (on nous force ?) à errer dans des univers virtuels et des addictions létales, jusque chez les plus jeunes. La sexualité, longtemps auto-contrôlée, ne sert plus qu'a satisfaire des pulsions ou des fantasmes, parfois mortels, eux-aussi, à remédier à de soi-disant frustrations, ou à satisfaire des plaisirs présentés comme ''normaux'' quand ils ne sont que fabriqués par des gens à l'équilibre psychique peu recommandable... le tout sous l’œil dépassé d'un corps médical qui, ayant oublié ses fondamentaux, n'est plus du tout dans le coup (comme l'ont démontré les mensonges mille fois réitérés sur le covid, où des médicastres ont fait leurs... les mensonges comminatoires de politicards incultes et de médias suivistes et les notices trompeuses des géants du profit de ''Big Pharma'').
Et planant au dessus de tout ça, voilà que nous nous trouvons face à la menace d'une soi-disant ''intelligence artificielle'' qui n'est évidemment ni l'une, ni l'autre (elle est, en fait, la victoire des nombres sur l'intelligence, du quantique sur le qualitatif, du général sur le particulier...), mais qui n'a aucune raison de ne pas être prise en mains par des êtres nuisibles, comme toutes les autres techniques depuis 2 ou 300 ans... mais cette fois, vers un point de non-retour qui est le véritable enjeu de cette guerre de tous contre tous : on ne voit pas, à ce jour, comment l'humanité va pouvoir se défendre et se protéger contre une arme létale qui n'a aucun frein structurel et rien à perdre, mais dont des utilisateurs sans vergogne ont tout à gagner...
Seul et ultime rempart contre les méfaits inguérissables du modernisme, l'Eglise catholique elle-même semble avoir adopté comme ligne de conduite la volonté de se tirer des balles dans le pied en imposant à ses ouailles totalement ''paumées'' des idées (?) progressistes (écologie mal revisitée, à en être devenue mortifère... confusion entre migrations et invasions... déni généralisé des réalités non-conformes à une ''doxa'' progressiste... remise en cause systémique les bases de la civilisation occidentale que son seul devoir est de protéger et de maintenir... et depuis peu, attaque en règle des fondements-même du rite, tout ce qui est ''ancien'' étant sauvagement réprimé (éviction honteuse de Mgr Rey ou de Mgr. Strickland, ''jeté'' pour avoir osé critiquer la ligne progressiste : du jamais vu ! Ce n'est plus l'Eglise que j'ai connue et tellement aimée, c'est ''Dallas''!) : dans le fond, on peut se demander si ce qui est en train de détruire ''pour de bon'' notre civilisation (certes imparfaite mais –on ne le dira jamais assez-- la meilleure ayant jamais existé, et de loin), ce n'est pas... l'étendue de son succès !
Un seul exemple suffira à ma démonstration : pour la première fois dans l'Histoire de l'Humanité, les références (vocabulaire, calendrier, critères de jugement et de comportement, définition du Beau, du Vrai, du Juste, du Bon, etc...) d'une civilisation majoritaire comme jamais dans l'Histoire, fille d'une religion qui touche un humain sur sept (1,3 milliards sur 8), se sont imposées sans violence (je veux dire : ''sans violence pour les imposer''. Le reste... on en parlera une autre fois !). Même Dubaï, état musulman, a jugé sage de prendre le dimanche, choix chrétien s'il en est, comme jour ''off'', à la place du vendredi choisi par le Prophète. Autre exemple : qui n'a pas vécu les fêtes de Noël à Singapour ne sait pas ce qu'est une ville qui fête l'Avent... sans que 95 % et plus des participants à cette joie réelle n'aient la moindre notion de ce dont il s'agit (''it's good for money''... disent les singapouriens sans fausse honte, à l'opposé complet de nos ''libres penseurs'' idiots, confits dans leur haine primaire !).
Il semblerait que l'Europe et l'Occident soient en train de prendre pour argent comptant les absurdités prononcées contre eux, qui les condamnent et les damnent en les rendant (sous leur forme, majoritaire, de ''hommes blancs''... mais les japonais ne perdent rien pour attendre) responsables de la totalité de ce qui ne tourne pas rond sur Terre, même s'ils sont les seuls à s'être approchés de la solution comme aucune autre civilisation n'a jamais réussi non seulement à le faire, mais même à rêver de pouvoir le faire. Tout ce que notre civilisation dite judéo-chrétienne a pu offrir de nouveau au monde (et de bon pour lui) est nié, déformé, refusé, attaqué, recalé et blackboulé, contesté et contourné... sans que rien, à la place, ne soit ni proposé ni même suggéré : c'est le puéril ''détruire pour détruire'' du sale gosse qui casse son jouet... et ne se guérira jamais de cette perte (et de nos jours, en plus, sous la poussée d'une Gauche totalement irresponsable, cet enfant trop gâté veut, en plus, changer de sexe, sans avoir la moindre idée de ce que cette vilenie va entraîner comme conséquences, inévitables et dramatiques, à terme).
On connaît cette pathologie auto destructrice, et la plupart des aliénistes sont équipés pour y faire face. La seule chose qui fasse cruellement défaut, dans le cas présent, c'est la volonté de se sortir de ce faux échec, inventé pour nous détruire, dans lequel il n'y a aucune issue qui ne mène à des catastrophes. La seule bonne nouvelle, mais elle est de taille, c'est qu'on sent depuis peu, montant de partout, un ras-le-bol généralisé qui peut être porteur de changement en profondeur vers un sain retour aux ''fondamentaux'' de notre civilisation : l'Italie, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie, la Lettonie, la Finlande, même la Suède, cet ex-modèle ''à Gauche'', et les Pays-bas, ex-progressistes aussi, qui ont basculé la semaine dernière… semblent chercher une vraie ''sortie de crise''. Courage : tout n'est pas perdu, le monde semble bouger ! Nos ennemis nous auraient-ils enterrés trop tôt ?
H-Cl.
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N°1853 – Samedi 16 avril 2022
C'était un examen médical, simplement pour me rassurer. Au final, je me retrouve avec une conclusion qui me laisse sans voix. Vais-je devenir folle ? Sans voix ? Sans pouvoir bouger ? Vais-je perdre la tête ? Perdre la mémoire ? Je n'en sais rien. Mercredi prochain, j'aurai ma réponse. Je m'attends à tout. Et en attendant, je m'inquiète. A quoi bon ? C'est là ou ça sera là dans tous les cas. Je dois me laisser du temps pour encaisser et accepter ses alternatives futures, quelles qu'elles soient. Puis, je pense que le mieux est de laisser respirer mon cerveau, en attendant d'avoirs plus d'informations de la part du médecin. Elle saura mieux me dire qu'internet, qui n'est franchement pas le meilleur endroit pour se renseigner. Puis, en qui je peux faire confiance sur le net ? Tous les articles ne disent pas la même chose. Ils ont tous une même base, mais le reste devient flou au fil des lignes. Je ne comprends rien. Je dois prendre mon mal en patience. Je me dis que si cela était grave, le médecin ne m'aurait pas laissé repartir comme je suis repartie. J'ose espérer cela. Je sais que, parfois, la vie fait mal les choses. Quand je dis que le karma s'occupe forcément de ceux qui font du mal, ce n'est pas si véridique que cela. Ou alors, je fais partie de la pire espèce ? Celle qui est méchante et qui fait du mal autour d'elle ? Je ne sais pas. Je crois que je suis plus ébahie qu'autre chose et que mon cerveau n'arrive plus à penser correctement. Je dois me laisser du temps, c'est très important. Si je divague maintenant, qu'est-ce que ça sera le jour j ?
Un an et demi après l'examen, il n'y a rien qu'y a changé. Rien du tout. Le médecin m'a dit, quelques jours plus tard, qu'il n'y avait rien de flagrant au sujet de mon cerveau. Alors peut-être que... tout ça c'était du flan ? Peut-être que je me suis mise dans un état lamentable pour rien ? Je ne sais pas et finalement, je ne veux pas savoir. Je ne veux pas savoir si je serai atteinte d'une maladie neurologique plus tard. Depuis toute petite, je sens que je vais mourir "jeune", est-ce dû à mon hypocondrie ? A mes troubles de l'anxiété ? Ou une forte intuition ? J'en sais rien non plus. Alors, autant que je profite de ma vie, comme je l'entends et comme je peux, au plus possible, avec ceux que j'aime, et encore plus avec lui. L'idée simple de le laisser seul, sans moi, de ne plus être avec lui, m'effraie tellement.. Rien que pour ça, si cela arrive, je me battrai encore plus.
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Épuisée ...😭
Fin de cette première semaine de boulot ... et c'est ce que je craignais.
Je me lève, je bosse, je fais des glisser-déposer toute la journée ... et puis je vais me coucher. Parce que je suis à 39h ...
J'ai à peine le temps de bosser sur ma création de boite en rentrant ... J'ai peur de voir des opportunités me glisser entre les doigts parce qu'obligée d'acheter la paix sociale à la maison en acceptant le poste ...
J'appréhende d'être renouvelée (car il y en aura très certainement besoin !) ... J'ai peur que ce qui devait simplement dépanner devienne durable ...
J'ai l'impression de m'être faite arnaquée ... "fais des études comme ça tu gagneras bien ta vie ..." hehe ...
Sans parler d'Indeed qui me liste les dernières "offres" en Communication :
Recherche STAGIAIRE en Communication ayant des compétences pointues en graphisme/community manager/montage vidéo afin de saisir l'opportunité UNIQUE de se faire de l'expérience dans le domaine. Expérience requise. Non rémunéré.
Recherche Chargé de Communication ALTERNANT ayant des compétences solides dans le domaine. Autonome, vous ferez de la prospection téléphonique, du mailing, vous prendrez des RDV ...
Du coup ... encore 4 semaines ...
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Je me sens triste. L'impression que les connaissances m'échappent. Que la vie me broie. Qu'il n'y a plus rien à faire. J'ai eu ma mère au téléphone et elle me parle d'assurance vie, ça me donne la sensation que je vais la perdre précocement et ça me fait beaucoup de peine. La solitude me pèse aussi. N'être attendue nulle part c'est bien uniquement quand on a envie d'être attendue nulle part et par personne. J'occupe le temps comme je peux mais souvent c'est pas suffisant. J'ai des temps d'écran affolantes tout ça parce qu'une fois le cours lu, j'ai rien d'autre à faire. C'est la première fois que mon mec me manque je crois. Qu'il me manque vraiment je veux dire. Je pleure fréquemment sans réelle raison. Je sais juste que ça arrive si rapidement que j'ai pas le temps de faire quoi que ce soit. Il y a plein de choses qui tournent dans ma tête. Des fois, je me dis que j'ai fait une erreur en pensant que javais plus assez besoin d'aide pour continuer à voir un psy. Je suis tout ce qu'il y a de plus bancale. Je fais des efforts, vraiment, et pourtant je me sens toujours autant grignotée par un chagrin qui puise sa source dans tout. Peut-être que c'est tout ce que je mets de côté, surtout les gens et les interactions, qui me revient dessus. Peut-être que je souffre plus de la solitude et de ma présence que je veux bien le reconnaître. Le temps passe et ça m'est toujours aussi pénible de voir comme rien de bouge, des années que je suis la même gosse triste assise derrière un bureau en attendant un truc qu'elle ignore. Je m'efforce de me rappeler que ça va passer tout ça, cette énième crise de panique aussi, mais c'est pas parce que ça passe que ça ne revient pas. Tout est une violente agression, une alternance de désagréable et de moins désagréable. Je suis le serpent qui se mord la queue.
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My beloved, qu'est-ce que votre titre dit? (Ist "le titre" le mot correct? Por les mots en japonais?)
Et aussi bonne nuit, don't stay up too late!
MON AMOUR!!! 🥺🥺🥺 Oui titre c'est le bon mot! C'est mignon le vouvoiement accidentel aussi haha
C'est les deux premières lignes d'un pangramme japonais, une version alternative de l'Iroha. Je pense que tu sais ce que c'est un pangramme mais au cas où, c'est une phrase avec toutes les lettres de l'alphabet, et généralement si la phrase ne veut rien dire elle ne compte pas vraiment comme un pangramme. En anglais le standard c'est "the quick brown fox jumps over the lazy dog" mais les gens aiment bien "sphinx of black quartz, judge my vow", en français on a des accents et le c cédille (ç) donc c'est un peu plus compliqué, le plus connu c'est "portez ce vieux whisky au juge blond qui fume" et il y a aussi "voix ambiguë d'un cœur qui, au zéphyr, préfère les jattes de kiwis" avec des accents (je te le traduis parce que j'ai pas confiance en google trad sur ce coup là: "ambiguous voice of a heart which, at zephyr, prefers kiwi bowls") Oui celui là il est un peu bizarre mais c'est la phrase standard pour tester les polices de caractère en français parce qu'elle comprend des accents en plus de toutes les lettres. Tu verrais le nombre de fois où j'ai dû supprimer une police de caractère que j'avais téléchargée parce qu'elle n'avait pas d'accents!
Enfin du coup, en japonais, comme leur système d'écriture n'est pas un alphabet mais deux syllabaires et des milliers de signes, c'est un peu différent. L'Iroha c'est un très vieux poème qui utilise toutes les syllabes une seule fois tout en ayant du sens. Il est extrêmement connu, et il sert même d'ordre "alphabétique", voire parfois de système de numérotation à la place de chiffres arabes (que ça soit 1234 ou 一二三四). Les dictionnaires utilisant l'alphabet latin vont dans l'ordre alphabétique, A B C D, mais les dictionnaires japonais vont soit dans l'ordre de l'Iroha soit dans l'ordre des syllabaires. Pour contexte les syllabes c'est les voyelles, a i u e o d'abord toutes seules puis avec une consonne devant: a i u e o, ka ki ku ke ko, sa shi su se so, ta chi tsu te to, etc. (Si on était face à face je te dessinerai le tableau mais tu peux aller le voir en ligne en cherchant "hiragana" ou "katakana").
Voici le lien de la page wikipédia (anglaise) de l'Iroha, pour que tu voies un peu à quoi il ressemble. C'est pas intuitif quand on a l'habitude d'un ordre alphabétique qui commence par a et finit par z d'aller chercher un mot dans un dictionnaire ou l'ordre c'est i ro ha ni o e do, mais je trouve que c'est cool qu'ils aient leur propre version.
Bref, mon titre! C'est les deux premières lignes d'un autre pangramme japonaise, comme l'Iroha, qui est sur la page française de l'Iroha mais qui n'a pas l'air très connu. La page ne cite pas de source mais appelle le poème le Tori naku, et donc mon titre c'est 鳥(tori)鳴(na)く(ku)声(koe)す(su) / 夢(yume)覚(sa)ま(ma)せ(se) - 鳥鳴く声す veut dire "le chant des oiseaux", 夢覚ませ veut dire "me réveille d'un rêve" ou "me rappelle un rêve".
Au début j'avais mis le titre d'une chanson de Daoko que j'aime bien (la chanson et son titre), 夢見てたのあたし, Yume miteta no atashi, "Le moi que j'ai vu dans un rêve", mais après je me suis dit que c'était mieux de mettre un poème. J'ai aussi hésité avec un autre titre de chanson, 命の食べ方, Inochi no tabekata, "Comment manger une vie", mais pareil, j'ai trouvé ça un peu trop simple. J'aime beaucoup ces titres parce que les chansons sont bonnes ET que j'arrive à les comprendre avec mon A1/A2 en japonais haha.
Merci de la question et de me souhaiter une bonne nuit <3 !!! Il me semble que tu vas aller te coucher dans pas longtemps aussi, alors bonne nuit à toi aussi <3
(je crois que t'avais pris des cours de français, est-ce que t'as écrit le message tout seul?? Ça serait trop trop mignon que t'aies fait un effort vu que c'est pas ta langue 🥺)
#je t'aime <3 <3 <3 merci encore pour la question!!#je trouve ça marrant d'avoir écrit un post en français pour parler de japonais haha#très très spyld tout ça#ça me MANQUE le japonais j'ai presque envie de retourner au lycée pour les cours de jap#spyld#speak your language day#upthebaguette#wow i have an asks tag now#wow i have a ramble tag now
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“Hirogaru Sky! Precure”, le plein d’infos!
La prochaine Saison de Precure est officielle, place aux infos! (Je mettrais à jour si des nouvelles arrivent)
- Titre -
Tout d’abord,le nom de cette Saison: “Hirogaru Sky! Precure”
On pourrait traduire ça par: “Les Precure du ciel infini” ou bien “Prenez votre envol! Precure”. Mais il s’agît aussi d’un jeu de mot pour un des thèmes de cette Saison “Hero Girls Sky! Precure” et sachant qu’elles s’appellent les “Sky Precure”, il faut garder ça intact.
- Le Staff -
Ogawa Kouji (”World Trigger”, “GeGeGe no Kitarō”, “Precure All Stars New Stage 2: Kokoro no Tomodachi”, “Precure All Stars New Stage 3: Eien no Tomodachi”) va diriger l’Anime chez Toei. Kingetsu Ryunosuke (”Futakoi Alternative”, “Gakuen Utopia Manabi Straight!”, “Ulysses: Jeanne d'Arc to Renkin no Kishi ”) s’occupe des scripts, et Saitō Atsushi (”Love Live! Superstar!!”, “Black Fox”) est en charge du design des persos.
Imai Miki est l’Art Designer, et Kadoguchi Aya l’Artiste en chef. Yanagisawa Kumiko est en charge des couleurs tandis que Fukasawa Erika (”Just Because!”, assistant on "Kimi no Na wa”.) s’occupe des musiques.
Ishii Ami va chanter l’OP "Hirogaru Sky! Precure ~Hero Girls~," et Ishii avec Yoshitake Chihaya vont chanter l’ED "Hirogarhythm."
- Thèmes & Synopsis -
Le Trailer:
youtube
Les thèmes - le Ciel et être une Héroïne.
L’histoire - Il s’est passé quelque chose de grave à Skyland!? La jeune princesse, El-chan, a été enlevée par l’Empire Underg! Sora, une brave jeune fille, cours après elle à travers un mystérieux portail. Une “télévision"? Des “voitures”? C'est de la magie!?!? Pas le temps d’être étonnée, il faut ramener la princesse au château! Voyageant entre deux monde, les Precure vont commencer leurs aventures!
- Les Persos -
Sora Harewataaru/Cure Sky, la Precure des cieux:
Notre héroïne principale doublée par Sekina Akira (Fujimaru Ritsuka dans “Fate/GO” ou bien Princess dans “Princess Principal”). Une athlétique jeune fille de 14 ans en provenance de Sky Land, le royaume flottant dans les cieux. Elle s’entraîne tous les jours depuis sa tendre enfance pour devenir une héroïne, comme la personne qui l’a sauvée par le passé. Elle se transforme en Cure Sky avec la phrase: “Un ciel bleu qui s’étend à l’infini! Cure Sky!“
Nijigaoka Mashiro/Cure Prism, la Precure de la lumière:
Une jeune fille de 14 ans qui habite à Sorashido doublée par Kakuma Ai (Rabirin dans “Healin’Good Precure”, Eldegard dans “Fire Emblem”, Unicorn dans “Azur Lane”, Aiko dans “Arifureta”) . Mashiro est gentille et douce, et est passionnée de cuisine et de nature. Elle vie avec sa grand-mère, Yoyo, tandis que ses parents travaillent à l’étranger. Elle est surnommée "Mashiron". Elle se transforme en Cure Prism avec la phrase: “Une douce lumière qui s’étend gentiment! Cure Prism!”
El-chan, la Princesse de Skyland:
La jeune princesse de Skyland doublée par Koga Aoi (Paimon dans “Genshin”, Kaguya dans “Kaguya-sama”, Shōko Komi dans “ Comi-san wa Comyushō desu”). El-chan est arrivée à Sorashido avec Sora après s’être fait enlever. Elle a le pouvoir de créer des Sky Tones, les objets qui permettent aux Precure de se transformer.
Cure Wing:
Cure Butterfly:
Deux autres Precure qui apparaissent dans les affiches et autres, mais aucune info à leur sujet. A voir pour plus tard!
- Date & autres -
La Saison commence le 5 Février sur les chaînes habituelles et bien sûr dans la foulée ici-même chez la Ai no Senshi!
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