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#altercation houleuse
snap221sn · 4 months
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Cameroun : Samuel Eto’o limoge Marc Brys
Quelques heures après une altercation houleuse avec le nouveau sélectionneur des Lions Indomptables, Marc Brys, le Président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), Samuel Eto’o, a convoqué d’urgence le comité exécutif ce mardi 28 mai 2024. À l’issue de cette réunion, la FECAFOOT a annoncé la mise à pied de Marc Brys en raison … L’article Cameroun : Samuel Eto’o limoge Marc Brys est…
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sublimationleblog · 2 years
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Jérôme C. par Jérôme D. : 2006, année zéro du podcasting
La préparation du podcast #SublimationIsBack Guerres et Paix avec Serge Coosemans m'amène à parcourir mes archives afin de reconstituer la ligne du temps de nos interactions houleuses. Cette recherche m'a fait remettre la main sur une interview que j'ai réalisée en 2006 de Jérôme Colin, journaliste rock de service public. Il se démarquait alors en parallèle de la RTBF avec Vox, le show qui fit de lui l'un des pionniers du podcasting culturel en Belgique.
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Je ne sais pas exactement ce que Jérôme Colin devient en 2022. Il parait qu'il est devenu woke, mais je n'ai pas vérifié. Je boycotte la RTBF sous toutes ses incarnations, je ne l'ai pas entendu animer une émission de radio depuis au moins... 2014 ? Quid de la télé ? Véhicule-t-il toujours des célébrités à travers Bruxelles au volant de son taxi, ou a-t-il arrêté cela aussi ? Et ses chroniques pop-rock dans le Télé-Moustique que j'ai souvent lues dans la salle d'attente de mon dentiste ? Je n'en sais rien et j'ai la flemme de vérifier... Pourtant, je dois commencer cette rétrospective par un aveux : j'ai compté il y a bien longtemps parmi les auditeurs fidèles du Colin paillard. Son style direct et décontracté à l'antenne me plaisait, ainsi que son expertise musicale indie-rock/folk, incontestable. J'aimais aussi son enthousiasme. Je me souviens l'avoir entendu jouer The Killing Moon d'Echo & The Bunnymen avant de s'embarquer dans un commentaire extatique, une allégresse communicative… On en reparle dans l’interview en 2006, il l’a même jouée deux fois de suite et était encore excité en m’en reparlant… C'était de la radio rock de qualité, de la radio comme je l'aime. Nos routes se sont croisées à plusieurs reprises avant que je finisse par publier son interview sur Pop-Rock.com, média dont j'étais l'éditeur. Dans mon souvenir, je me suis présenté spontanément à lui la première fois dans les coulisses d'une édition du Dour Festival que je situe en 2002 ou en 2003, sans plus de précision (vous vous souvenez dans le détail de ce que vous avez fait à Dour il y a vingt ans, vous ?). Contrairement à d'autres journalistes de radio établis, Jérôme Colin a pris les webzines indépendants et les blogs au sérieux très tôt dans l'histoire du développement des médias sur internet. Tout comme il a eu le nez fin concernant le podcasting. C'est peu dire qu'il avait toute ma sympathie et mon attention. Le lancement de son podcast Vox - visionnaire - , durant l'hiver de cette même année 2005, constituerait, plus tard, une occasion de lui proposer une entrevue. La rencontre eut lieu au café Saint-Hubert, près de la RTBF, et ne fut pas totalement cordiale. J'étais, il est vrai, alléché par la perspective de lui parler d'autres sujets que de ce nouveau produit qu'il avait à vendre. Au moment de cette interview, nous sommes en novembre 2006. Son licenciement de Pure FM remonte à treize mois mais est encore un sujet de conversations et gossips dans les milieux initiés tant il existe de zones d'ombre sur le pourquoi du comment... Colin doit s'y attendre, je ne peux évidemment pas éluder cette question. Après avoir précédemment refusé de commenter dans la presse le motif de son renvoi, il consentira à me lâcher "Je me suis disputé avec la direction". C'est également ce qui a circulé, et que certains journaux ont rapporté. La direction en question a parlé d'une "série de faits inacceptables, notamment à l'antenne" (La Libre Belgique, 18 octobre 2005).
Il aurait reçu un ou plusieurs avertissements préalables... Selon les bruits de couloirs, le dernier incident en date fut une altercation avec un agent de sécurité. Pressé, Colin avait oublié son badge d'accès au bâtiment de la RTBF, un gardien zélé lui en refusa l'entrée et la situation a dégénéré ("Comment ça, vous ne me reconnaisez pas ?"). Rock'n'roll, le Jéjé !
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Il fut initialement annoncé comme étant viré de partout (radio et télé) mais, après pourparlers, ne fut finalement écarté que de la radio (où il allait revenir plus tard...) et conserva son poste dans le taxi. Au grand soulagement de ses fans et auditeurs, lesquels s'étaient mobilisés en grand nombre, notamment au moyen d'un pétition (relayée par Colin lui-même...). La RTBF se sera en quelque sorte ravisée. Ou bien sa direction, divisée sur la suite à donner à ses "comportements inacceptables", aura opté pour un consensus.
Cet épisode me fit découvrir que Colin n'avait pas que des amis. Des rumeurs ont commencé à courir lui prêtant des attitudes de diva et un tempérament colérique. Des journalistes me disaient de ne pas être étonnés de la sanction. Des commentaires désobligeants le visant ont été publiés sous l'article de Pop-Rock.com qui annonçait sa fin de contrat sur Pure FM. L'un d'eux se réjouissait avec vulgarité de sa mise à pied et provenait de l'adresse IP de la RTBF (tous les administrateurs de site web ont accès à l’adresse IP des commentateurs). Je l'ai signalé à Colin. Il était vert et voulait essayer d'identifier plus précisément le fonctionnaire indélicat auteur du postillon aigre. En vain, l'adresse collectée par le site était l'IP générique de Reyers et ne permettait pas de remonter plus loin... Je découvrai le visage sombre du personnage : gris, revanchard... La nécessité de l'interviewer pour mon webzine rock impertinent n'en devint que plus urgente.
J'avais également en tête de le faire parler de Coosemans, mon ennemi intime. Il faut se souvenir que fin 2006, nous sommes encore en plein dans la période de la "Guerre des Blogs" : Casacosmani de Serge contre Pop-Rock.com de Jérôme. Des critiques sévères (ou insultes, selon les points de vue) s'échangent d'une page à l'autre et divertissent tout un microcosme d'artistes, journalistes et initiés. Et justement, Serge a récemment écharpé publiquement Colin en raison du choix du nom de son podcat, Vox, qu'il juge, à juste titre, trop proche de Voxer, un magazine culturel de niche pour lequel il écrit. Connaissant le franc-parler légendaire de Colin (encore confirmé par les événements récents susmentionnés), il me suffira d'amener le sujet pour que les punchlines volent, me disais-je. Et Coosemans répondra, et il y aura un petit buzz autour de nos blogs, etc. Once again. Je ne serai pas déçu.
Ce qui suit est une reproduction fidèle de ce passage de l'interview publiée sur Pop-Rock.com le samedi 25 novembre 2006.
Le choix du nom Vox a suscité des réactions d’énervement chez Voxer, ce magazine culturel gratuit dont les responsables t’ont reproché d’avoir pris un nom trop proche du leur alors qu’ils comptaient aussi lancer un podcast…
Oui, c’est ridicule. C’est Serge Coosemans, qui est un drôle de rigolo, qui devait lancer un podcast et qui ne l’a toujours pas fait. Il m’a écrit en me parlant de cette histoire de similitude des noms, mais je n’y avais même pas pensé. Voxer, c’est tout sauf ma culture. C’est un truc branché graphisme, etc., mais moi je suis plus orienté fanzine paysan campagnard et bottes en caoutchouc, tu vois ? Les trucs un peu branchés de la ville, ça m’échappe totalement, je n’avais donc absolument pas pensé à Voxer. J’avais pensé à Vox populi, vox dei, moi. (Rires) Je m’adresse à Serge : je n’ai toujours pas vu ton podcast. Mais où est-il ? (Rires) C’est dommage qu’il ne le fasse pas car ce serait peut-être bien. Le seul reproche qu’on peut lui faire, à Coosemans, c’est qu’il aime un peu trop souvent dire du mal. Et d’ailleurs, toi aussi ! Moi je trouve que dans la vie, c’est vachement plus enrichissant d’utiliser ton temps pour parler de choses que tu aimes plutôt que de dépenser ton énergie à parler de ce que tu n’aimes pas. Et des fois, de ce côté-là, vous êtes un peu dans la même case, Serge et toi. (Rires)
C’est un peu notre trademark, en même temps…
En fait, vous êtes des putes !
Pourquoi des putes ?
Parce que vous savez bien que c’est très agréable à lire, les gens viennent pour ça. Alors qui est le plus vendu ? Celui qui met une pub de vingt secondes dans son programme (allusion à une pique lancée plus tôt dans l'interview) ou celui qui dit du mal parce qu’il sait très bien que ça fait venir les gens ? Là je m’adresse à Serge et à toi. (Rires) Je le dis avec humour, car moi aussi, j’adore faire ça. Simplement, j’ai une émission qui dure 1h20 et je ne trouve pas le temps de le faire. Je pourrais dire du mal de Keane, de Muse et de certains groupes belges qui se la pètent, mais finalement je m’en fous, en fait. Je passe ma route et je consacre mon temps à autre chose. S’ils se la pètent, je ne les aime pas, un point c’est tout. Je ne vais pas leur consacrer ne fût-ce qu’une seconde de ma vie. Si tu faisais un peu de polémique dans ton programme, tu verrais tes statistiques gonfler…
(Rires) Ben oui, mais je m’en fous. Par contre, je suis client de ce genre d'attitudes. Je lis Coosemans, et je te lis toi, et ça me bidonne. Mais moi, je ne sais pas le faire, voilà...
Après m'avoir donné cette petite leçon de bienveillance - cocasse de la part de quelqu'un viré un an plus tôt pour une série d'outrages verbaux envers autrui dans le cadre professionnel -, Colin confesse émarger aux rangs de ceux qui nous lisent car ils adorent la "méchanceté" (plus exactement l'impertinence). Est-ce faute d'oser en produire eux-mêmes ? Colin serait un faux gentil ? Allons donc ! Son personnage de passionné ouvert et bienveillant ne serait qu'un gimmick ? C'est ce qui se dit dans les backstages à ce moment... Au diable les ragots, quelqu'un qui voue une telle admiration à Thom Yorke ne peut pas être foncièrement mauvais !
Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts. Jérôme Colin a prêté allégeance au féminisme folklorique, nous n'avons pas gardé le contact. Sans trop savoir ce qu'il devient, l'on me rapporte qu'il joue toujours son rôle de super-sympa en façade dans les médias, avec parfois un "dérapage", vite-fait... En 2017, les wokes lui sont tombés dessus après qu'il ait lâché à l'antenne «Je vous présente Walid, on l’a invité pour les quotas ! » (Sudinfo, 31 mai 2017). Pas de sanction cette fois, Jérôme a une explication, il était « stressé et fatigué », ça arrive… N’empêche, à six mois près, la Cancel Culture l’enterrait définitivement !
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Coup de chance : Margaux De Ré n'était pas encore parlementaire, ni même militante, et n'appela donc pas sur Twitter à son (deuxième) licenciement doublé de sa flagellation en place publique ! Il est devenu écrivain aussi entretemps, c'est à la mode. Les attitudes de bully dans les couloirs de la RTBF, par contre, c'est fini. Selon plusieurs sources journalistiques concordantes, aucune assistante (ou community manager, ou whatever...) n'a jamais à eu subir ses moqueries méchantes ni celles d'une autre personne. Ce n'est pas son genre, Jérôme est féministe, progressiste, écologiste, et tout et tout... Jérôme est adoré de tous, sauf de ceux qui ne l'aiment pas. Jérôme est comme moi, il s'est rangé. Et en plus, il est dans le Camp du Bien, laissez-le donc tranquille.
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(Capture de 2006, le lien n’est plus valide.)
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stevelucienrodrigue · 4 years
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=L’AUTRE JOUE=
Je dis à ma petite fleur « Respecte ton adversaire » lors de tes disputes. Ne diminue pas cette personne aux yeux des autres. Ne fais pas de faux témoignages à son égard. Et appelle-la par son nom propre dans tes conversations avec tes parents.
La grandeur que tu as dans ces circonstances évacuera ta colère en douceur et aucun regret pour des paroles maladroites ne viendra envenimer davantage ta relation houleuse avec cet être qui souffre également.
Tourne le dos à la haine et ce conflit s’évanouira aussi soudainement qu’il a surgi. Le but n’est pas de devenir meilleurs amis après une altercation, mais d’être une personne qui sait quand tendre l’autre joue lorsqu’on la frappe. Paix pour vous deux ma Grande Fille !
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Can 2019 : Wahbi Kahzri aurait attaqué Aliou Cissé à la fin du match
Can 2019 : Wahbi Kahzri aurait attaqué Aliou Cissé à la fin du match
Alors que la rumeur faisait état d’une altercation physique entre le joueur tunisien et le coach Cissé. Rien de tel! Ils ont juste eu une échange houleuse.
Il aurait perdu son sang froid et s’est donné en spectacle. Wahbi Kahzri s’est énervé sur le sélectionneur du Sénégal à la fin du match Sénégal vs Tunisie. Kahzri n’a pas supporté l’élimination de son équipe en demi-finale et l’a…
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james-ward-bio · 6 years
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S T O R Y.
Ch.1 : D o n ‘t   d o   a n y t h i n g   s t u p i d.
James est arrivé à McK avec ses habitudes lui collant à la peau. Difficile de ne pas se croire encore au Lycée, paranoïaque. Ah ça! Son père l’a bien dressé. A la moindre pensée tendancieuse envers les hommes en public, à la moindre supposition de son homosexualité aussi, il sentirait presque le coup venir. Alors il sort les crocs, il insulte, il fait tout pour qu’on le pense homophobe, et hétérosexuel.
Entrée chaotique dans l’université, il se met à dos tous les SFF après une altercation houleuse avec tout le monde et reçoit un avertissement de l’administration. De quoi le calmer un peu. Il évite donc de recommencer, le but étant qu’il réussisse à être lui même petit à petit en études supérieures. Mais voilà, il a peur que, si tout le monde est au courant, son homosexualité arrivera aux oreilles de son père, qui risque de le mettre à la rue ou pire.
Il se cherche, il ne sait pas comment se faire des amis, il est à cran. C’est lors d cette période que James sort en boîte pour se défouler et trouver de l’affection. Il y rencontre HanJae, qui devient vite un ami lorsqu’il découvre qu’il étudie aussi à McK.  C’est à ce moment aussi qu’il dérape, son passé de bully lui revenant dessus un matin où il est fatigué. Un jeune homme en fauteuil roulant du même prénom que lui le bouscule, et il se renverse du café dessus. Furieux, James lui balance le reste de sa boisson à la figure avant de passer une bonne heure à pleurer aux toilettes. Il se déteste. Il n’a jamais pu réparer cette erreur auprès de ce James, mais fort heureusement, il n’a eu aucunes répercussions.
Bêtises sur bêtises, James  s’embrouille également avec Ehsan et Oliver au cours d’une soirée. Ils sont là, devant lui, à se câliner et l’américain est jaloux. Lui, il n’a jamais pu faire ça en public. Il leurs en veut, de pouvoir exprimer leurs affection librement. Il bafouille, boue de colère, s’emmêle, et jette son briquet en plein visage du plus vieux en tentant de le balancer à Oliver. Pendant la nuit, il cherche le Delta, l’insultant par messages, ce dernier le taquinant en lui disant qu’il a sûrement des Daddy Issues et l’appelant Baby boy. Le lendemain, James le fait savoir à Oliver, créant une tension en plus. Oop’s?
Ch. 2 :  A t t e n t i o n,   e n v y,  c a r e.
James se prend d’envie d’intégrer une fraternité. Peut être qu’il y apprendrait à être sociable et se faire des amis ? Il devient donc stagiaire Delta. Manque de pot, il se retrouve dans la même fraternité qu’Ehsan, à qui il a envoyé des nudes et commence à entretenir une relation ambiguë que les deux gardent secret. Forcément ! C’est une mauvaise idée, le plus vieux est clairement attaché à Oliver, et James ne fait que ramasser les miettes et tenter de s’approprier  cette chose qu’il enviait à la soirée.
Il se fait néanmoins de vrais amis pendant cette période, notamment Suji. Suji, c’est la première à savoir que James est homosexuel dans son cercle d’amis. D’ailleurs, c’est sa première amie de sexe féminin. Ils s’entendent tout de suite , conversant par messages, et James s’y attache comme une soeur. Elle devient vite sa meilleure amie, et il découvre ce que c’est, justement, l’amitié. Au début, il lui fait croire qu’il est hétérosexuel par habitude, et puis il panique après avoir tenté de l’embrasser pour voir ce que ça fait d’embrasser une fille: il lui dit.
Voyant qu’elle n’a aucune réactions violente, il se sent déjà reposé.
Mais James souhaite encore et toujours être le centre d’attention de ses conquêtes. Sauf une. Celui avec qui il à couché après avoir envoyé des messages au numéro trouvé dans les toilettes d’un bar. Impulsif, et idiot, comme comportement. D’ailleurs il découvre vite que c’est un étudiant de McK, et l’ami d’un de ses camarades Delta.
Les Delta, d’ailleurs. Auprès d’eux, il découvre une seconde famille qui, après un coming out forcé lors d’un vérité vérité, l’acceptent sans même vraiment trop en reparler. Il s’y sent bien, et se découvre lui même. Il n’a plus besoin de trop sortir dans les bars, et ne sent plus l’envie de se montrer mauvais et agressif.
La dualité de son caractère dérange néanmoins certains qui le trouvent insupportable et en manque d’attention, chose qu’il finit par adoucir en public, se contentant d’être capricieux et chiant en privé auprès de ses nombreux “crush”.  Finalement, James est accepté en tant que Delta, et il laisse tomber Ehsan en tant que sexfriend, ayant appris à connaître Oliver, lui aussi stagiaire, et comprenant qu’il était , lui, de trop dans leurs relation. Il trouve une figure paternelle en la personne d’Isaac, qu’il affectionne beaucoup, et apprécie tous ses frères Delta, se trouvant attristé quand l’un d’eux ne l’aime pas.
Ch. 3 : M u r p h y ‘s   l a w.
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