Text
B I O G R A P H I E (original)
J A M E S W O O D . not nice to meet me. 20 sept. 2000. .Homosexuel non out au début de sa scolarité. American.1ere année en lettres.
{TW ; homophobie,violences physiques, maltraitance, bullying,auto mutilation. }
8h du matin. Des cris dans le salon de cette grande villa , papa et maman se disputent. James a 8 ans, il descend, se cachant entre les barreaux de la cage d'escalier. Sa mère crie, et pleure, son père a l'air au bout de sa vie. James a mal au ventre, il s'est réveillé avec la boule au ventre. Qu'est-ce qui se passe ? Maman n'est jamais là à cause de son travail, tout comme papa, et là, elle se dispute avec lui. James n'a jamais vraiment ressemblé à son père. Cette femme qui s'égosille, avec ses cheveux bruns toujours bien coiffés et ses grands yeux bleus, est une étrangère pour son fils. Mais il a si mal pour elle, elle a l'air désespérée, il voudrait tout faire pour que maman arrête de pleurer et vienne le bercer le soir. Elle crie sur son mari, le ton pleins de reproches.
-Mais je n'ai jamais voulu de gosse!! Il m'est étranger!! Tu voulait un héritier, Henry ?! Ben t'en a un ! Moi j'en ai ma claque, j'ai trouvé un autre homme, j'me casse. Garde ton héritier. Ta descendance de fils de putes! J'espère même qu'il sera gay et te fera pas de petits enfants, tiens! Enfoiré, tu me demande sérieusement de quitter mon job pour que toi tu puisse avoir ta foutue promotion de merde, et que je garde James ?! Va te faire foutre. De toutes manières j'avais prévu de me casser.
Le petit coeur de James se brise. Il ne comprend pas. Sa mère part. C'est la dernière fois qu'il la voit. Son père lève ses yeux pleins de reproches vers son fils, haletant de colère. C'est le début de la fin. Ils n'ont jamais vraiment été une famille. James entre au collège, et son père ne cesse depuis ce jour, comme s'il avait peur que son ex femme ai jeté une malédiction sur son enfant, de répeter à son fils que les homosexuels iront en enfer, de lui interdire d'écouter de la musique catégorisée queer, de laisser pousser ses cheveux plus que mi longs, de couper ses ongles courts jusqu'à le faire saigner. Le brun pense que c'est normal. Etre homosexuel, c'est mal. Ils ont raison, les autres, de les persécuter. Sauf que voilà, aujourd'hui, ses hormones se réveillent. Ce nouvel élève, qu'est ce qu'il est beau avec sa peau halée et ses longs cils, James ne sait pas pourquoi il le regarde sans arrêt. Il pense être jaloux. Travail en binome, Alexandro viens chez lui pour bosser. Ils deviennent amis. Un jour, chez le brun, ils s'embrassent. James panique, c'est mal, c'est sale. Mais pourtant, il aime ça. -James... Ce n'est rien, tu peux aimer les hommes aussi... Ce n'est pas sale. Bien sûr qu'il le sait que ce n'est pas sale, au fond. Mais il doit survivre, et les homosexuels sont faibles, c'est papa qui l'a dit. Cependant, il se sent comme aspiré, l'envie se fait trop lourde, il se penche, lentement, vers Alexandro, fermant les yeux. Il fait de même, et la porte s'ouvre. Henry Wood se tient dans l'encadrement, fou de rage.
-SORT DE CHEZ MOI, SALE PETITE PEDALE!
Il empoigne l'adolescent, James pleure, crie, supplie son père de ne pas lui faire du mal. Ce dernier met à la porte l'un de ses seuls amis, et, son premier amour. James est prêt à lui tenir tête, sa rage de vivre est tuée dans l'oeuf. Il se prend la première claque retentissante de sa vie par son père. Et pas la dernière. Trainé par terre par le col, roué de coups, son géniteur est pris d'une rage sombre, horrible, anormale. Il se fait traîter de tous les noms. Ce soir là, James s'endort après avoir fixé le plafond pendant des heures, des bleus sur le corps, sous le choc. Quelque chose en lui s'est brisé. Le lendemain, à l'école, il croise Alexandro, qui vient à lui, inquiet. Il pose une main sur son épaule.
-James.. Ca va ..?
James le repousse violemment. Toute la colère envers son père non exprimée ressort, et il renvoie la violence qu'il subit sur un autre, s’époumonant devant une myriade d'étudiants qui ricanent, se moquent, s'étonnent.
-Mais lâche moi sale pédale!! Je t'ai dit que j'étais pas gay!! Tu m'dégoûte m'approche plus JAMAIS!!
Seul. James Wood est terriblement seul, dans sa vie, depuis ce jour. Ceci est resté son méchanisme de défense ; frapper, crier, intimider quiconque pourrait lui plaire, trop s'approcher. Bien vite, il fait partie de la clique de ces bully populaires, ces rapaces scolaires. Il joue le rôle du gars riche, branché, trop bien pour tout le monde, et sacrément hétéro. Un amour de lycée ? Ah non , désolé, il n'y a pas eu le droit. Par contre, les coups de son père ? Souvent. Fort heureusement, ce dernier se déplacant tout le temps pour son travail, il n'eut plus le temps dans l'adolescence de son fils de venir fouiller sa chambre, James cachant ainsi son vernis, son maquillage, sa musique dans un coin de sa chambre, explorant hors de l'école sa part de féminité qu'il aime cultiver en secret.
Le soir, James sort en ville, dans les bars et boites lgbt, il rencontre des dates grindr aussi, et bois beaucoup pour pouvoir coucher avec certains. Il couche avec tous ceux qui veulent de lui, en constante recherche d'affection. Ses bras sont jonchés de brûlures de cigarettes qu'il cache à l'école , s'en voulant à chaque fois de brutaliser ses camarades. Mais il ne sait pas comment faire autrement, il se protège, il ne veut pas se faire tuer par son père. Il a peur, il est agressif. Studieux, il passe son diplome sans problèmes.
Maintenant, il veut partir loin, très loin. Mais son père n'accepte de lui payer des études que dans une préstigieuse école. Il est encore financièrement dépendant, un faux pas, et il est renié, désherité, à la rue. James choisis la Corée, sachant que son père ne s'y déplace jamais pour les affaires. S'inscrivant pour étudier la littérature, il espère pouvoir avoir un peu plus de libertée là bas.
Mais James a peur, et il est habitué à se dire que, si les gens découvrent qu'il est gay, il se fera frapper, et qu'il le mérite. James ne dit rien, il continue sa vie comme avant, sauf qu'il n'a même plus de faux amis à présent.
______________________________________________________________
F A C T S :
Il aime manger, cuisiner, et jouer du piano.
Il a de sévères Daddy Issues, pas seulement en kink.
Il aime beaucoup la musique, et danser.
James a les yeux de différentes couleurs ; l’un est légèrement vert à la lumière. C’est à cause d’un coup que son père lui à porté à la tête quand il avait 13 ans. L’effet Bowie. Il ne trouve pas ça “stylé” ni “joli” à cause de ça. Bien qu’il ne s’en cache pas et ne ment pas si on lui demande d’où ça vient.
S'il rit à votre blague, c'est qu'il vous apprécie. D'ailleurs son humour à lui est très pipi caca et basé sur des jeux de mots de merdes, s'il plaisante avec vous bien sûr.
Il paraît froid, suffisant, arrogant et ne se gêne jamais pour insulter, violenter, martyriser les gens. C'est comme ça qu'il s'exprime. (réglé depuis son arrivée.)
Au fond, il est gentil, il n'aime pas faire du mal aux gens. Mais il ne sait pas comment faire autrement.
Il dort encore avec ses peluches.
Il n'avoue pas facilement son homosexualité. ( réglé depuis son arrivée : maintenant totalement out )
Il détèste les femmes, à cause de sa mère. Super misogyne en plus d'être perçu comme homophobe, il ne souhaite pas leurs compagnie, sauf si forcé. Ou cas rares. (Nikita, Suji)
Il a foutu un procès bien mérité au cul de son père
Il est passionné de Serial Killers fictifs comme réels.
James est fan d’Ezra Evander, qui est devenu un de ses proches en venant étudier à McK.
DADDY ISSUES - PEUR DE L’ABANDON - HYPER-SEXUEL POUR COMBLER LE MANQUE - EN MANQUE D’AFFECTION CONSTANT - ATTIRANCE POUR LE DANGER ET LA VIOLENCE - RÉGRESSIONS.
0 notes
Text
S T O R Y.
Ch.1 : D o n ‘t d o a n y t h i n g s t u p i d.
James est arrivé à McK avec ses habitudes lui collant à la peau. Difficile de ne pas se croire encore au Lycée, paranoïaque. Ah ça! Son père l’a bien dressé. A la moindre pensée tendancieuse envers les hommes en public, à la moindre supposition de son homosexualité aussi, il sentirait presque le coup venir. Alors il sort les crocs, il insulte, il fait tout pour qu’on le pense homophobe, et hétérosexuel.
Entrée chaotique dans l’université, il se met à dos tous les SFF après une altercation houleuse avec tout le monde et reçoit un avertissement de l’administration. De quoi le calmer un peu. Il évite donc de recommencer, le but étant qu’il réussisse à être lui même petit à petit en études supérieures. Mais voilà, il a peur que, si tout le monde est au courant, son homosexualité arrivera aux oreilles de son père, qui risque de le mettre à la rue ou pire.
Il se cherche, il ne sait pas comment se faire des amis, il est à cran. C’est lors d cette période que James sort en boîte pour se défouler et trouver de l’affection. Il y rencontre HanJae, qui devient vite un ami lorsqu’il découvre qu’il étudie aussi à McK. C’est à ce moment aussi qu’il dérape, son passé de bully lui revenant dessus un matin où il est fatigué. Un jeune homme en fauteuil roulant du même prénom que lui le bouscule, et il se renverse du café dessus. Furieux, James lui balance le reste de sa boisson à la figure avant de passer une bonne heure à pleurer aux toilettes. Il se déteste. Il n’a jamais pu réparer cette erreur auprès de ce James, mais fort heureusement, il n’a eu aucunes répercussions.
Bêtises sur bêtises, James s’embrouille également avec Ehsan et Oliver au cours d’une soirée. Ils sont là, devant lui, à se câliner et l’américain est jaloux. Lui, il n’a jamais pu faire ça en public. Il leurs en veut, de pouvoir exprimer leurs affection librement. Il bafouille, boue de colère, s’emmêle, et jette son briquet en plein visage du plus vieux en tentant de le balancer à Oliver. Pendant la nuit, il cherche le Delta, l’insultant par messages, ce dernier le taquinant en lui disant qu’il a sûrement des Daddy Issues et l’appelant Baby boy. Le lendemain, James le fait savoir à Oliver, créant une tension en plus. Oop’s?
Ch. 2 : A t t e n t i o n, e n v y, c a r e.
James se prend d’envie d’intégrer une fraternité. Peut être qu’il y apprendrait à être sociable et se faire des amis ? Il devient donc stagiaire Delta. Manque de pot, il se retrouve dans la même fraternité qu’Ehsan, à qui il a envoyé des nudes et commence à entretenir une relation ambiguë que les deux gardent secret. Forcément ! C’est une mauvaise idée, le plus vieux est clairement attaché à Oliver, et James ne fait que ramasser les miettes et tenter de s’approprier cette chose qu’il enviait à la soirée.
Il se fait néanmoins de vrais amis pendant cette période, notamment Suji. Suji, c’est la première à savoir que James est homosexuel dans son cercle d’amis. D’ailleurs, c’est sa première amie de sexe féminin. Ils s’entendent tout de suite , conversant par messages, et James s’y attache comme une soeur. Elle devient vite sa meilleure amie, et il découvre ce que c’est, justement, l’amitié. Au début, il lui fait croire qu’il est hétérosexuel par habitude, et puis il panique après avoir tenté de l’embrasser pour voir ce que ça fait d’embrasser une fille: il lui dit.
Voyant qu’elle n’a aucune réactions violente, il se sent déjà reposé.
Mais James souhaite encore et toujours être le centre d’attention de ses conquêtes. Sauf une. Celui avec qui il à couché après avoir envoyé des messages au numéro trouvé dans les toilettes d’un bar. Impulsif, et idiot, comme comportement. D’ailleurs il découvre vite que c’est un étudiant de McK, et l’ami d’un de ses camarades Delta.
Les Delta, d’ailleurs. Auprès d’eux, il découvre une seconde famille qui, après un coming out forcé lors d’un vérité vérité, l’acceptent sans même vraiment trop en reparler. Il s’y sent bien, et se découvre lui même. Il n’a plus besoin de trop sortir dans les bars, et ne sent plus l’envie de se montrer mauvais et agressif.
La dualité de son caractère dérange néanmoins certains qui le trouvent insupportable et en manque d’attention, chose qu’il finit par adoucir en public, se contentant d’être capricieux et chiant en privé auprès de ses nombreux “crush”. Finalement, James est accepté en tant que Delta, et il laisse tomber Ehsan en tant que sexfriend, ayant appris à connaître Oliver, lui aussi stagiaire, et comprenant qu’il était , lui, de trop dans leurs relation. Il trouve une figure paternelle en la personne d’Isaac, qu’il affectionne beaucoup, et apprécie tous ses frères Delta, se trouvant attristé quand l’un d’eux ne l’aime pas.
Ch. 3 : M u r p h y ‘s l a w.
0 notes
Text
A S T R O L O G Y
♍︎ Soleil en Vierge;
Les natifs du signe de la Vierge sont matérialistes. Facilement stressés, ils aiment la routine. Ils aiment aider, mais ne donnent pas plus que ce qu’ils peuvent. Si aider quelqu’un demande un sacrifice trop important de leurs part, ils se rétractent. Ils peuvent se montrer mauvais parfois, et se pensent au dessus des autres dans certains domaines. Souvent, ils ont la mauvaise habitude de se changer pour plaire aux autres.
Les hommes du signe de la Vierge sont narcissiques, perfectionnistes, et aiment critiquer. Si on les met face à leurs mauvaise foi et leurs mauvaise langue, ils disent que c’était simplement un conseil, pour aider, et qu’ils sont honnêtes. Mais ils aiment être petty. Il peuvent être jaloux lorsque leurs amis réussissent mieux qu’eux, et se montrent parfois manipulateurs. Ils sont connus pour paraître prude et correctes mais avoir une libido très prononcée en privé.
♓︎ Lune en Poisson;
Les personnes ayant la Lune (qui définis l’aspect social) en Poisson sont dotées d’un grand sens de l’intuition. Ces natifs ont beaucoup de sympathie et de compassion envers leurs proches, et ont du mal à ne pas se laisser débordés par leurs émotions, comme celles des autres. Des éponges empathiques, voilà ce qu’ils sont. On arrive facilement à se confier à eux, et à se sentir compris par les personnes ayant la Lune en Poisson. Ils sont affectueux, séduisants et romantiques.
La Lune affectant comment une personne se conduira ivre, les personnes ayant la Lune en Poisson après quelques verres en trop se montreront émotives et auront tendance à être tristes, ou bien totalement lunatique. C’est le genre de personne que l’on retrouve dans la cuisine en train de parler avec n’importe quelle personne venue à elle, la bouteille à la main, pleurant en donnant des conseils sur comment gérer la mort de son hamster et passer par dessus cette dure épreuve de la vie.
♌︎ Ascendant Lion;
Le Lion, en ascendant, rend le natif créatif. Couplé au signe de la Vierge, il fait de la personne quelqu’un de perséverant, stratège, et exigeant. L’ascendant Lion est instinctif, félin, ambitieux, astucieux & inspiré. Il s’incite lui même à repousser ses limites, et sa timidité.
Il cherche à dominer le milieu dans lequel il se trouve, et est à l’écoute de son enfant intérieur.
♈︎ Venus en Bélier;
Vénus est la planète qui influe sur l’amour et le plaisir. Couplé au signe du Bélier, elle rend le natif impulsif en amour et en drague. Capable d’en passer aux mains si quelqu’un essaie de s’en prendre à sa moitié ou de lui piquer, la personne possédant ce placement est passionné. Il aimera avoir des surprises autant qu’en faire. Un peu égoïste, très flirty, il peut devenir très excité quand on lui parle de quelqu’un ou quelque chose qu’il aime.
Ce signe peut faire peur car il est très direct et rentre dedans en matières amoureuses .
0 notes
Text
Caractère
G A M I N. "He said poop ahah!"
James aime ses peluches, se faire entretenir et chouchouter. Bien sûr, c'est parce que ses parents ne lui ont pas donné une enfance heureuse. Alors James rattrape tout, il a du mal. Il va vous spammer de gifs de petit chats et disney pour avoir votre attention. Votre attention, il en a faim. Bordez le avec une peluche dans son kigurumi, chantez lui une berçeuse et il ne râlera pas une seule fois. Il se peut même qu'il sourie en grand. N'initiez pas une partie de chat ou de cache cache pour rire, lui , il dira oui en étant tout à fait sérieux. Batailles de chatouilles, châteaux forts avec des couettes et des coussins, dessins animés, make a happy James.
S E N S I B L E. "Ouch, that hurt."
Il se vexe facilement, avec son besoin d'attention constant. Qu'il ai fait une bêtise, ou blessé quelqu'un, que quelqu'un lui ai dit "je ne t'aime pas", et voilà qu'il sent son petit coeur se briser. James fait semblant d'être un gros dur, mais son coeur est fait de mousse. N'importe qui peut glisser sa main pour le serrer et jouer avec comme une yoga ball. Il a facilement des crush à cause de ça. Et il a la larme facile. On l'appelle Cry Baby ? Bien fait pour lui. C'est plutôt vrai. Relâcher la pression. Parfois il en a besoin quand ça lui fait trop mal au ventre. C'est le genre de gars qui va mal prendre un truc, pleurer, et parfois en vomir. Dans ces cas là, une petite incision derrière son genoux en haut du mollet avec un objet tranchant, et il soupire. La douleur s'en va. Il n'y va pas profond en général, mais ça lui arrive. Quand ça a cicatriser, il dit aux gens que c'est dû à un accident de vélo.
C O L E R I Q U E. "I don't even like you, anyways."
Vexé ? Insulté ? James peut rapidement s'énerver, et quand le flot d'insultes se libère, c'est l'hécatombe. C'est qu'il est inventif, le jeune homme. Et surtout très cru. Il sait où taper pour faire mal, comme il est attentif à ce qu'on lui raconte. Ca ne lui plaît pas ? Il bloque, il ignore, il boude, il crie, il mord, il insulte. Il faut vraiment le pousser pour arriver aux extrêmes, car il garde tout pour lui, mais quand la tempête éclate, éloignez vous. C'est le genre de coléreux qui peut vous lancer une assiette en pleine figure.
C A P R I C I E U X. "Can I have a macaron?"
Il demande, on lui donne. On ne lui donne pas ? Voyez la catégorie précedente. Cela ne viens pas du fait que son père le gâtait, au contraire, mais plutôt les hommes plus vieux, depuis qu'il sort et fréquente le monde de la nuit, à ses 15 ans. Oh la belle petite bouille! Il fait ronron comme un chat, demande avec ses grands yeux bleus, on lui offre. Il est content, ah soyez en sûrs, et reconnaissant. Mais voilà, après il va faire des petits caprices. Donnez lui un doigt, il va vous prendre un bras. Il vous bouffera si vous dîtes oui à tout, et prendra de plus en plus ses aises, comme un gros chat.
L I B I D I N E U X. "You turned the slut switch on."
Boh, il a l'air plutôt innocent avec sa bouille d'enfant, non ? Vous vous êtes trompés. James est vraiment un obsédé. Il accumule les kink, un simple baiser dans le cou peut suffir à le chauffer. La moitié du temps, il pense au cul. Non si vraiment, ça ne se voit qu'en dernière minute. Vous le pensiez vanilla ? Que neni! Et puis il parle vraiment sale quand il a la trique, c'est comme deux personnes différentes lorsqu'il laisse sortir ses pulsions animales. Daddy Kink, Daddy Issues, soumis bdsm, dirty talk, spanking, blood kink. Si on ne le brusque pas au moins une fois, il assume que ce n'était pas un bon coup. Ouvrez la boîte de Pandore à vos risques et périls, car il reviendra chercher son fix si vous êtes à son goût. Attention, il envoie des nudes sans prévenir!
I N T E L L E C T U E L. "But tell me more about it!"
James adore apprendre, mais seulement sur ce qui l'intéresse. Et il s'intéresse à la littérature, au cinéma, à la nature, à la cuisine, aux sérial killers et aux autres cultures. Mais surtout, il s'intéresse à quelques personnes. Les personnes qu'il apprécie. Il voudra tout savoir, petit à petit. S'il vous écoute parler de quelque chose, c'est qu'il n'en sait rien sur le sujet, et vous aime bien. Il se nourris d'informations, sur les sujets qu'il aime, sur les gens qu'il porte dans son coeur, des fun facts, aussi. Ca l'amuse, il adore vraiment ça. Mais si vous lui parlez de quelque chose et refusez de continuer à en parler alors qu'il s'intéresse, il va se frustrer et se fâcher. Come on guys, ça ne se fait pas, dîtes!
P A S S I O N N E. "I love to cook and I love serial killers! And I love you, too."
Quand James aime quelque chose, il peut passer des heures à en parler ou à pratiquer la chose. C'est un passionné. Passionné de quoi ? De pleins de choses! Lancez le sur un sujet qu'il aime et il parle, encore et encore, et ça peut le faire passer pour quelqu'un qui ne parle que de lui, alors qu'en fait, il ne parle que de ce qu'il aime. Et il aime beaucoup, beaucoup. Alors, quand il s'entiche de quelqu'un, il risque d'en parler énormément à son ou sa confidente. Y penser, encore et encore, s'en rendre fou, tout graviter autour de cette personne. Parfois pour rien parce que ça lui passe quand il s'intéresse à autre chose. Mais il aime, il aime énormément, ce James.
C O Q U E T. "Brush my hair, do I look pretty?"
James aime les belles choses, et encore plus sur lui. Autant, pour aller en cours, il porte des vêtements simples, parfois même ample, autant seul chez lui, il va enfiler ses jolis collants, ses sous vêtements en dentelle, ses bijoux, fumer des cigarettes colorées juste parce que c'est beau. Il collectionne les belles choses, aime se maquiller juste pour décorer son joli visage, se vernir les ongles. James se fait souvent des masques, et il est très exigeant sur ses produits: ça sent la rose, ou la framboise, ou rien. Il embaume donc de cette odeur chacuns de ses passages, il se trouve beau, et veux que les autres le voient aussi ainsi.
S O C I A L Y A W K W A R D. "I don't know how to engage the conversation."
Bah, James n'a pas eu beaucoup d'amis pendant son adolescence. Il laissait une distance pour se protéger lui même, ne faisant confiance à personne. Alors, il ne sait pas trop comment se faire des amis. C'est le genre de gars à gêner en demandant cash "tu veux être mon ami?". Imaginez le donc essayer de draguer autrement qu'avec des nudes. Tragique! Il fait des boulettes, s'excuse, pose des questions bêtes, ne sait plus quoi répondre. Une catastrophe! Mais parfois, il n'a besoin d'aucuns efforts pour que le courant passe. Et là, dans ces moments là, il est heureux. Il n'angoisse pas.
O R G U E U I L L E U X :
“Remember when you said I was a slut one month ago? Yeah. Fuck you bitch.”
James peut accorder sa confiance aux gens facilement, seulement, lorsqu'il juge que cette personne est étrange, qu'elle cache quelque chose, ou qu'on la lui fait à l'envers, il devient un vrai petit con. Froid, vous ne remarquerez pas tout de suite qu'il ne vous porte plus dans votre coeur. Il continue de voir ces personnes, étant très sociables, mais aura tendance à ne jamais leurs confier quoi que ce soit, et même parfois se servir d'eux pour parvenir à ses fins. Vous l'avez balancé à quelqu'un, trahis sa confiance, raconté ses confidences ? Vous serez donc maintenant son messager sans le savoir. Il se venge rarement, il voit surtout le côté pratique de la chose et s'en sert à son avantage. Attention cependant à sa vengeance. Rare, elle est puissante, parfois longue, et il arrive toujours à ses fins. Demandez à son père. Il vous le diras..oh.. wait, il est mort en prison!
J U S T I C I E R :
“How can you eat your fucking turkey when the natives aren’t pleased with your thank you? Fucking moron.”
C'est comme ça. James a bon coeur. Et il aime que les gens soient corrects, respectent les autres. Déjà en primaire, il s'était disputé avec son professeur lorsqu'il avait appris les origines de Thanksgiving. Depuis, il refuse catégoriquement de le f��ter. Depuis qu'il est out, et qu'il n'as plus à craindre son père, le jeune homme défend aussi avec tout son coeur la cause LGBTQ+ , voulant se rattraper de ses bêtises et surtout, que personne ne vive des expériences similaires à la sienne. Il est contre toutes formes d'injustices, de discrimination, et se fera entendre sans vous laisser parler. Ouvert au débat ? Oui. Mais pas sur ça. Tu as tord, c'est tout, et James te le fais comprendre avec son petit air supérieur et ses grands mots. Parfois, il va trop loin. Et il s'en fiche.
C A L C U L A T E U R :
“Yeah no, go on, I’m listening. Even if I already know what you have to confess.”
James aime énormément tout analyser. Les livres, les films, les enquêtes criminelles, les autres... Croyez le : si James vous fixe longuement et que vous avez l'impression qu'il vois dans votre cerveau et sait tout, les chances sont que oui. Qu'il a deviné quelque chose, et fait le calcul de tout ce qu'il s'est passé pour savoir si il a mis le doigt sur le bon truc ou non. Il n'as pas forcément besoin de ragots, il sait lire entre les lignes. S'il ne dit rien, même s'il vous juge, c'est simplement parce qu'il est blasé de votre attitude, ou bien qu'il attend d'avoir une preuve ou que vous craquiez pour qu'il vous regarde avec un grand sourire froid, vous disant que vous n'êtes qu'une sous merde. Gentil , James ? Avec qui il veut, en vérité. Il est difficile, de plus, pauvre de vous, de savoir s'il fait vraiment attention. Il s'amuse souvent, fait l'idiot, il a l'air de tout prendre à la légère, mais que nenni. Vous avez fait un lapsus révélateur et il a juste ri? Cachez vous, faites attention, parce qu'il l'a noté, et peut le ressortir pour mettre en relation tous vos dires s'il vous soupçonne de quoi que ce soit. James voit tout, et il vous juge. Si vous avez quelque chose à vous reprocher, sachez qu'il vous le reproche depuis longtemps en silence.
0 notes