#alice ça glisse
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ejcmedia · 2 years ago
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Surfer à Cannes : une discipline impossible ?
Surfer à Cannes : une discipline impossible ?
Labellisée « ville de surf » depuis le 29 juillet 2022, la nouvelle a étonné locaux et adeptes de ce sport de glisse. Et pourtant, la mairie assure développer la pratique. Axel surfe depuis plusieurs années dans la baie de CannesL’occasion pour notre journaliste de se mettre à l’eau ! Au-delà des clichés du film Brice de Nice, il est possible de prendre des vagues en Méditerranée. Quatorze…
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midnigth0-0 · 2 years ago
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🕯Rampo x poe🗝 ( étudiant )
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"Mrs Edogawa ! Je vous prie de bien vouloir réveiller votre camarade !"
Je le regarde d'un coup d'œil est ces exacte il dormait .
Nos études sont coplexe en se moment , il nous demande beaucoup plus de travaille .
Mais poe ne sais pas faire la part des choses et mes sa santé sur côté sans aucun remort
"Poe,réveille toi.
-Hmmm..."
Il fini par ouvrire les yeux et de ce redresser , en écoutant les 10min restante de notre cours .
*sonnerie*
Les cours pour aujourd'hui c'esr fini !
J'attendais poe a la porte le temps qu'il s'excuse au prof .
"C est bon ?
-oui
-bien ! "
Nous partons déposer nos affaire dans son dortoir on s'installe et commençons nos biographie .
"Poe ?
-hmm?
-on sort !?
- non pas maintenant rampo , j'ai pas fini.
-je veux sortir poe , je veux qu'on sorte tout les deux ! Allez ! Tu a casi fini !
-3 petites secondes
"3heures tu veux dire !?"
Je sort de la chambre et comme prévu il m'a suivit en dehors en soufflant.
Avec lui , il aurait encore travaillé comme un fou et aurais dormir tout notre fin d'après-midi !
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Je nous traîne a la bibliothèque puis a une pâtisserie et fesont la queue pour avoir notre bubble tea.
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"Bonjour, ca serait pour deux bubble tea s'il vous plaît.
- bonjours , bien les goût je vous prit ?
- un (le dien) et pour ma part un pèche je vous prit .
-et voila tenez , aurevoir passé une bonne journée !
-merci vous aussi."
Nous nous promenons dans les rue pour nous asseoir quelque part.
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il s'assoit sur un ban vide, je me met devant lui debout.
Toujours en sirotant mon bubble tea ,je me penche vers lui en levant son menton du jour des doigts,.enlevant en même temps la paille de ça bouche .
En le remplaçant de mes lèvre sur le sienne .
Après avoir fini ça je met rapidement ma bouche sur sa paille pour lui piquer de son bubble tea !
il me tape sur la tête est enlève sa paille de la bouche .
"Ça fait mal poe!
-tu n'avais qu'à pas touché ce qui m'appartient rampo!
-mais!!! Je voulais goûter moi ..
-Et moi?
-toi?
-je veux tes lèvres encore une fois.."rougit"
-biensur!"
Je l'embrasse une 2iem fois et m'assois à côté de lui .
il posa sa tête sur mon épaules.
Quand poe est fatiguer , il devient dosil voir beaucoup trop adorable !
Nous rentrons à l'internat .
"Enfin rentré à la maison!
- oui
-mon cœur? On regarde un film ?
-attend rampo d'abord je termine ça
-d'accord "
, nous terminons les travaux qu'on a suspendu
et regardons pas la suite dans sont lit une serie nomme " Alice In Bordeland " .
Je me met au dessus de lui et l'embrasse , il posa c'est mains sur mes hanches en me serrant dans c'est bras tout les deux allongé sur le lit .
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La serie commence je me retourne dos à lui en restant sere contre lui
Il dormait et vu l'heure il est réellement temps pour moi de rentré dans mon dortoir.
Je me lève, range son pc, embrassa ça joue.
"Je t'aime poe
-Moi aussi je t'aime, mais reste rampo.. s'il te plaît .
-vu la façons d'on tu tiens ma chemise je pense pas partie bien loi poe"
Je me glisse à nouveau dans ces bras ,dans le lit.
je me colle à lui en fessant de même de son côté.
"Cette fois tu n'as pas d'excuse ,tu dort ce soir poe.
Je suis la pour veiller sur toi
Je garde un œil sur toi <3"
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Et voilà!!!
Cadeaux
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karaoketracks · 10 months ago
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Alice ça glisse by Francky Vincent Custom Mix Backing Track
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biereetboutades · 1 year ago
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🎶🎸 Hey les amis, j'ai une pépite musicale à vous partager ! 🎵💫 Vous connaissez J.E. Sunde ? Originaire d'Amery, dans le Wisconsin, ce chanteur basé à Minneapolis nous enchante avec sa douce folk-country-rock !
🌟 Son dernier titre "Stop Caring" est une caresse musicale qui vous fera doucement planer. Une mélodie apaisante et une voix qui glisse comme un ruisseau paisible... tout simplement chill ! ✨💧
🎤 J.E. Sunde a grandi dans une famille de musiciens, bercé par des influences allant de Bon Iver à Sufjan Stevens. Autant dire qu'il a ça dans le sang ! Et avec son nouvel album "Alice, Gloria and Jon" qui est arrivé le 16 juin, on peut déjà sentir le frisson de l'émotion à l'horizon. 😍
🎵 Alors, si vous avez envie de vous évader dans un univers folk délicat et poétique, je vous recommande chaudement "Stop Caring" de J.E. Sunde ! Préparez-vous à vous perdre dans ses claviers en escalier et ses doux accords de guitare. Vous ne voudrez plus en sortir ! 🎶🌈
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suis-nous · 2 years ago
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lespetitspoisons · 2 years ago
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Harry James Potter J'ai mangé une boite de mon chéri alors que j'aime pas ça, mais je te voulais tellement mon chéri.
Hanni El Khatib - Alive I can't believe I survived, it's all around and upside down but I'm alive ! How can this be true ? Nerlov - MacLeod A vingt ans je pensais que j'étais MacLeod. C'est pas faux mais ca craint, comme une clope, comme un arbre. Et même si j'avais passé l'âge, j'essayerais de trouver le courage, quand tout va s'arrêter, au moment des hommages, est-ce qu'on sera satisfaits, soulagés, où en rage ? Frank Ocean - Provider Yeah my best friend ain't backing out, it's still on sight, fool. I'm the only one out here on the night loops. Sleepin' on my belly in a loop like a serpent, talking heads ripplin' on the surface, eyes low, chin heavy, shoegazer. Blond - Les bonnes manières La moindre bagarre me fout en l'air, je revois les regards de ma mère tout au fond de mon âme. J'aime pas qu'on me dise ce que je dois faire, je préfère être un con à ma manière. Tu crois qu'on mérite encore une chance ? Derrière tes sourires, l'indifférence, ca nous rend fou. La moindre caresse me fout en l'air, à bout de promesses et de prières, j'abandonne. Agar Agar - I'm that guy Well I should've known better but there's a time where I threw up cause I was sick of it all, especially sick of you now. I'm gonna buy myself a dog with a lot of hair, cause I need to pet something, or I'm just gonna throw something in the bathtub now. Alice et moi/Dani Terreur - Le pire de nous deux Je suis la flaque d'essence, t'es l'allumette étincelante, on glisse à deux sur la pente. Tu veux faire aucun effort, tu veux montrer que j'ai tord, mais j'veux gagner chaque bataille, j'veux porter la médaille. Yelle - Peine de mort Avoue que je te manque, tu t'emmerdes sans moi. Tu observes les autres mais tu ne souris pas, sous ta peau j'ai glissé, je suis trop bien au chaud. Kate Nash - Dickhead Thirty five people couldn't count on two hands the amount of times you've made me stop and think: Why're you being a dickhead for ? Stop being a dickhead. Will you stop, no don't show, just have a think before you, will you stop ? Benjamin Francis Leftwich - Last smoke before the snowstorm This is just the start, you've got a cold heart, don't you want to spend more time round here ? Don't you love me, don't you want to be my sky ? If you trust me, we won't ever have to fight. BRÖ - Mystère Mystère, t'es un mystère, j'irais là où tu irais, ce système est risqué mais j'espère te capturer. Mystère, t'est un mystère, le temps de t'apprivoiser je serais grand-père, j'espère te détester pour récupérer mon esprit. Adele - All I ask Let this be our lesson in love, let this be the way we remember us. I don't wanna be cruel or vicious, and I ain't asking for forgiveness. All I ask is if this is my last night with you, hold me like I'm more than just a friend, give me a memory I can use, take me by the hand while we do what lovers do. It matters how this ends, cause what if I never love again ? Feu! Chatterton - Erussel Baled (Les ruines) Un jour je reviendrai à l'endroit où nous vécûmes, quand il n'y restera plus rien de nos vieilles rancunes, plus rien de l'odeur de ta chevelure, et sous la pluie battante tu m'as dit non, attends. Ray La Montagne - Within you War is not the answer, the answer is within you. Love love love love. Chien noir - Lumière bleue C'est juste une seule fois, c'est juste une nuit comme ça, c'est juste ton corps que je soulève, de l'or au coin des lèvres. C'est juste que j'y pense encore un peu, à nos ombres dans la lumière bleue. Lujipeka - Août 2008 C'est pas tout l'temps les autres, parfois, faudrait que j'l'intègre. La nuit est mauve, et tes remarques sont vaines, on est devenu des hommes, mais j'filmais pas, faut la refaire. J'ai pas su transformer l'essai, quand j'suis comme ça faut me laisser, juste un vieux loup solitaire, clope au bec roule sans mis-per. J'mettrais un dernier coup d'épée dans le lac de mes peines.
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hannibalvolkoff-journal · 4 years ago
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Je glisse à nouveau une image d’une ancienne expo, parce qu’elle avait été supprimée.  J’avais écrit, en dessous, ce texte :  Ce samedi : un nombre assez important de mes photos seront présentées à l'Atelier Tramway, Fribourg, en Suisse,les terres de Gaston Savoy et de Hans Krüsi. J'y serai jusqu'à lundi. Il y sera question de sexe. David Brulhart m'a demandé d'écrire sur ma sélection de photos, j'ai gribouillé ça : Quand on insère une fraise dans un anus, elle se difforme, s’altère, s’écoule. La chaleur la surprend, il y a toute une faune intestinale, elle fait connaissance, cohabite. Elle goutte et est goûtée par un nouveau mécanisme qu’elle épouse en s’emmêlant. Alice au pays des merveilles : son corps effleure les hortensias, souveraines gardiennes de l’intérieur, elles vérifient, selon la caresse de la peau, la fermeté de la cambrure, s’il est autorisé à y pénétrer. Le gouffre attire, aspire, on y découvre des textures atonales dont l’obscurité nous en fait inventer les contours pendant qu’elles devinent les nôtres. On y dessine l’étranger qui nous dit que l’étranger est en nous, que c’est un guide, il nous tient par la main. On en prépare un costume, paillettes et perruques, tatouage et godemichet. Toujours autre, c’est une danse, nous halètent les fantômes des orifices. Alors danser jusqu’à se faire mal, se couper, se chavirer ; le propre est dégoûtant et les conventions menteuses.
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grand-mechant-loup · 5 years ago
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2 heures de route
C’était donc  aujourd’hui.
Nous avions passé jusque là des heures à discuter, des nuits entières même. Mais toujours par écrans interposés.
Aujourd’hui ce serait différent. Aujourd’hui j’allais pouvoir te voir, en vrai ! Ça n’avait plus rien à voir avec le fait d’échanger des mots par l’intermédiaire d’un clavier. Aujourd’hui j’allais vraiment te voir.
Notre rencontre n’avait rien d’officiel. Nous ne nous étions pas donné de rendez-vous précis. D’ailleurs il n’y avait pas de rendez-vous du tout. Simplement je savais où tu serais à 10h précises ce matin-là. Et toi, tu savais que je savais. Si notre rencontre devait avoir lieu un jour, c’était ce jour là.
Tu m’avais un jour laconiquement indiqué le magasin dans lequel tu faisais tes courses et amusé, j’avais émis l’idée de t’y rencontrer. Tu avais ri, mais tu n’avais pas prolongé sur le sujet. Et par pudeur, je n’avais pas insisté. Je savais que tu n’étais pas prête à me rencontrer. Ce n’était pas le moment et c’était tout, il n’y avait pas à discuter là-dessus.
Aussi, quand tu avais fini par me dire des semaines à plus tard que « demain, tu irais faire les courses à l’hypermarché le plus proche de ton village » il ne m’avait pas fallu d’autres explications. Je savais que tu voulais que je sache.
Voilà donc comment l’on se retrouve au volant de sa voiture, en toute clandestinité, à parcourir près de deux heures de route pour retrouver celle que l’on désire tant.
Pourtant je le savais, cette rencontre resterait des plus chastes. Il n’était pas question d’adultère, ni de quoi que ce soit d’indécent. Pas que nous n’en ayons pas envie, car nous le savions tous les deux, le désir nous consumait. Et nous étions chacun l’objet du désir de l’autre.
Parking de l’hypermarché. Je suis comme un poisson dans le bocal relâché dans l’océan. Je ne sais où aller, je ne sais que faire. À vrai dire, je sais que tu es là quelque part, dans ce grand magasin. Mais comment te retrouver ? Comment procéder ? T’appeler sur son téléphone ? Cela briserait le charme. Non ! Il fallait que je me mette en quête de toi.
Remonter les allées du magasin me paraissait trop aléatoire. Il y avait trop de monde et trop de mouvement pour que je puisse analyser tous les visages et reconnaître le tien. Après tout je ne t’avais vu qu’en photo, une personne en mouvement c’est différent.
Finalement, l’endroit où j’étais sûr de voir passer tout le monde, c’était au niveau des caisses. L’avantage était qu’en plus, les gens étaient obligés de s’y arrêter. J’avais donc tout le loisir de les observer et de les dévisager en espérant te reconnaître.
J'attendis ainsi une bonne demi-heure jusqu’à ce qu’une silhouette m’interpelle. Une chevelure aussi. Tout en cette personne m’était familier. J’ai hésité quelques secondes, mais pas plus. Je savais que c’était toi. Je remontai alors doucement l’allée en ta direction. Tu me tournes encore le dos. Je m’approche. Tu range tes commissions dans des sacs puis dans ton caddie. Alors sans te parler, je prends un sac de tes mains et le dépose dans ton caddie. Tu lèves alors les yeux sur moi et quand tu comprends qui tu as en face de toi, tes yeux s’agrandissent tout à coup. Tu restes sans voix. Moi-même, je suis incapable d’articuler le moindre mot. Alors, Dans un sourire, tu reprends tes mouvements, toujours sans parler. Et moi j’ai entrepris de t’aider. Sans parler non plus. Tu règles la note, je reste en retrait. Quand tu reprends ton caddie je me remets à ton niveau, et marche à côté de toi.
Nous sommes aussi gêné l’un que l’autre.
–Donc tu es là, tu me dis-tu.
–Il semblerait bien en effet.
Nous ne disons rien de plus jusqu’au parking. Arrivés à la voiture, tu ouvres le coffre et commence à charger les sacs. Je t’aide. Puis tu ramènes le caddie tandis que je reste à côté de ton véhicule. Je te regarde revenir vers moi les mains libres. Tu gardes les yeux baissés, mais de temps en temps, furtivement, tu jettes un regard à mon encontre. Tu souris.
–Bien, et maintenant ? Tu souris toujours.
–Eh bien maintenant, il va sans doute falloir que tu ailles ranger tout ça chez toi, Dis-je un peu embêté.
Tu regardes les commissions par le pare-brise arrière. Parais réfléchir, puis :
– Ça devrait pouvoir attendre, il n’y a rien de réellement frais. Et puis il ne fait pas si chaud, le frigo attendra.
– Alors on dirait que nous avons un petit peu de temps devant nous.
– C’est ça, dis-tu dans un sourire.
Tu ajoutes dans un petit mouvement de tête :
–Je connais un endroit, tu montes ?
Ton GPS nous conduisit jusqu’à petit parking.
–C’est ici, me dis-tu. Tu peux descendre.
Tu coupas le contact est descendit à ton tour.
–Viens, c’est par là.
Nous marchons côte à côte, tranquillement, savourons chaque pas. Tu arraches un brin d’herbe, que tu fais glisser nerveusement entre tes doigts. J’ai gardé mes mains dans mes poches, et marcher ainsi, à pas très lent, me fait par moment légèrement vaciller sur les côtés. Parfois, nos épaules se touchent.
–Tu savais que je viendrais, n’est-ce pas ?
Tu souris
–le savoir, non pas vraiment. Mais je l’espérais.
Nous marchons ainsi de longues minutes. Sans vraiment parler. Regardant nos pieds. Parfois nos regards se croisent, on veut se voir, mais nous ne soutenons pas nos regards respectifs. Tu étouffes parfois un ricanement, je rougis, et inversement. Le chemin de terre que nous suivons est quelque peu chaotique. À un moment tu trébuches et par réflexe tu te rattrapes à mon bras. Pour mieux assurer ta prise, je sors ma main de ma poche et viens la poser sur la tienne, fermement. Tu retrouves l’équilibre et nous restons debout sans bouger. Tu lèves le visage vers moi et je me perds dans ton regard. Il est si profond. Tu baisses un court instant les yeux puis revient les plonger dans les miens. Mon cœur est à deux doigts d’exploser. Je porte une main à ton visage et du revers de mes doigts te caresse la joue. Tu frémis. J’ai envie de t’embrasser, mais c’est toi la plus téméraire. Tu te dresses sur la pointe des pieds, et viens coller tes lèvres aux miennes. Je crus défaillir.
Tu me prends alors par la main, et m'entraînes dans un bosquet. Je pense au trou dans lequel tombe Alice et un la conduit au pays des merveilles. La végétation est touffue, et j'ai bientôt le sentiment d'être perdu. J'ai l'impression que nous avons tourné et encore et encore je ne saurais dire où se trouve le chemin que nous avons quitté. Derrière nous ? Devant nous ? Je ne sais plus. Ma tête tourne.
Tu me tires une dernière fois par la main et nous nous retrouvons en bord de rivière. Une petite rivière vive, peu profonde qui court sur des galets.
L'eau est transparente, et chante en se faufilant entre les cailloux.
Tu t'assois par terre sur une herbe grasse, en tailleur, comme une enfant. Tu me jette à un regard espiègle.
- Nous serons bien ici.
Et je viens m'asseoir à tes côtés.
Il n'a pas fallu bien longtemps pour que nos lèvres se retrouvent. Cette fois c’est moi qui en suis à l'origine. Le court baiser que tu m'as donné m'a enflammé. Je ne peux pas en rester là. Je veux ressentir ton goût, le parfum de ta joue. Ta langue m'a paru sucrée, ton odeur celle de l'amande. Je tiens ton visage entre mes mains, et entre deux baisers, ta respiration s'affole. Mon cœur bat à tout rompre comme voulant sortir de ma cage thoracique. Un instant nous reprenons notre souffle, comme pour penser à ce que nous faisons. Mais notre raison nous a depuis longtemps échappé, rien ne pourrait arrêter ce qui est en cours. Quand tu en prends conscience, tu bascules sur moi et me fait tomber à la renverse. L'herbe sous mon dos fait comme un tapis épais. Tu es sur moi et m'embrasse maintenant dans le cou. Machinalement ma main se glisse sous ton haut, et viens trouver ton flanc. Je palpe ta chair, la griffe est un peu. Un soupir t’échappe un gémissement même.
L'excitation m'envahit, tu le sens sûrement. Mes mains s'emparent de ta taille et remontent dans ton dos se glissant sous ta brassière, entre tes omoplates.
Tes mains virevoltent de mon visage à mon cou, descendent sous mon t-shirt, griffent mon ventre remontent sur ma poitrine pour me pincer un téton. Le cycle change parfois mais se répète sans cesse. Ces agacements m'enivrent.
Tu sais ce que tu fais, et tu le fais bien. Chacun de tes gestes est à la fois précis et amoureux.
Puis me chevauchant, tu te redresses brusquement et tu ôtes à ton haut.
Le dos droit, la poitrine bombée, tu me regardes, provocante. Tu mènes la danse, et tu en es fière.
Je porte la main à ta poitrine, et de ma paume sens un téton se dresser au travers du tissu de ta brassière. Tu fermes les yeux et soupires.
Cet instant est et au-delà de l'érotisme, il est l'érotisme.
Je porte alors mon autre main à ta poitrine et je presse délicatement les seins prenant bien soin d'éviter des tétons, pour mieux te frustrer.
Rapidement tu ôtes ta brassière, libérant ainsi encore un peu plus ta féminité.
Je me souviend de cette description que tu m'avais fait de tes seins lorsque tu étais excitée. Cette expression que tu avais employé : ils était tendus. Et je le contemple aujourd'hui. Leurs pointes bien sûr était rouge et gonflées, mais ton buste tout entier semble frémir sous la surface de ta peau.
Ils sont magnifiques. Je me redresse à mon tour. Tu restes à califourchon sur moi et tandis que mes mains se plaquent dans ton dos, j'entreprends d'embrasser tes seins. De les lécher. De les aspirer.
Je suce tes tétons et double mes caresses de mouvements de ma langue qui s'enfonce dans la chair souple de tes aréoles.
Tes mains se perdent dans mes cheveux, pressant un peu mieux mon visage contre ta poitrine.
Alors je reprendss le contrôle. Je te fais basculer sur le côté puis rouler sur le dos. Je suis au-dessus de toi. Je reviens alors à tes lèvres, je t'embrasse, nos langues s'enroulent, mêlant nos salives brûlantes.
Je descends, retrouve tes seins, presse leurs pointes si dure, te fais gémir et descends encore pour cette fois lécher ton nombril. Ton ventre de contract.
Mes mains suivent ma bouche et rejoignent ta taille en griffant ton ventre.
Arrivées à ta boucle de ceinture, elles la font céder en un instant. Le bouton de ton pantalon subit le même sort.
Je m'empare alors dudit pantalon et dans un mouvement ample le fait disparaître.
Ta culotte est alors le seul rempart à ta nudité absolue.
Tu braques alors tes yeux dans les miens et glisses une main sous le tissus si fin que je peux deviner tes doigts se perdre dans ton sexe. Tu fermes les yeux pour mieux savourer. Ton corps ondule au rythme de tes caresses et rapidement, des clapotis se font entendre.
Ils ne proviennent pas de la rivière.
J'ôte mon t-shirt, agrippe fermement ta culotte et l'enlève.
Désormais totalement nue, tu continues tes caresses en me regardant dans les yeux.
Mon visage vient alors se perdre entre tes cuisses pour les embrasser. Je remonte lentement jusqu'à tes doigts, eux-mêmes enfouis dans ton vagin. Tu les sors de temps en temps et me les donnes à sucer. Ils sont à chaque fois recouverts d'une mouille épaisse et blanche que je savoure telle un nectar. À mon tour j'enfonce des doigts en toi, stimule la sécrétion de ce divin breuvage pour m'en délecter encore plus abondamment. Plus tu coules, plus je te bois. Jamais je ne suis rassasié. Ma langue te récolte tandis que mes lèvres sucent ton clitoris.
Mon pouce posé sur ton anus le sent se contracter à coups répétés à chaque fois que tu jouis.
Je bande tant que je sens mon gland se frayer un chemin au-delà de l'élastique de mon caleçon. Tu dois t'en apercevoir car c'est précisément à ce moment-là que tu me retires le reste de mes vêtements.
Tu te dresses sur tes genoux puis me tournes le dos avant de te pencher en avant. Tes mains et tes seins rencontrent le sol alors que tes fesses, charnues et offertes, s'ouvrent à moi tandis que tes reins se creusent.
L'impudeur de la posture contraste avec l'offrande que tu me destines.
-Prends moi, me dis-tu. Prends-moi comme tu veux !
Cette crème blanche maquille ton sexe que je perçois profond et palpitant. J'enfonce deux doigts en lui mais un troisième vient rapidement le rejoindre tant tes entrailles me réclament. Ma main trouve le moyen de se faufiler dans ton intimité quasi entièrement. Je replie mes phalanges et les fais buter à répétition contre ton point G. Le bruit de ton sexe n'est plus humide mais aquatique. Tu coules en continu, inondant copieusement ma main. Je sens parfois tes muscles enserrer mes doigts. Contractions corrélées à de gémissements puissants. Tu es brulante de l'intérieur.
Mon sexe me fait mal tant il est tendu et je repense à tes seins qui, me disais tu, te faisais presque souffrir quand tu étais excitée. J'imagine la sensation semblable.
Je rapproche mon visage de ton cul et sans retirer ma main, me mets à lécher ton anus. Avidement. Ma langue trouve son chemin alors que tes muscles se détendent. Cela a pour effet de laisser ma main progresser plus avant et d'inviter ma langue à se glisser dans ton cul…
Tu gémis de plus belle et jouis encore plusieurs fois.
Exangue, tu t'effondres sur le sol et reprends ton souffle quelques secondes. Je m'assois à tes côtés et caresses tendrement ton dos.
Mais tu n'as pas envie de tendresse. Pas maintenant. Tu te redresses et me plaque le dos au sol. Tes baisers parcourent mon corps. Tu me griffes, tu me mords et descends jusqu'à mon sexe. Tu t'empares de mes testicules et les presses avec fermeté. La peau qui les englobent se tend et tu viens la lécher du bout de la langue.
Décharges électriques dans mon ventre.
Parfois tu relâches la pression ce qui te permets de me gober une boule… puis l'autre.
On ne m'a jamais fait ça… je ne retiens plus mes gémissements.
Tu les presses encore et tire leur peau vers le bas ce qui a pour effet de dégager mon gland. Tu le prends dans ta bouche, tu le tète, l'aspire… je le sens gonfler dans ta bouche.
Tu me suces en t'offrant totalement. Je sens que pour toi, il n'y a plus que mon plaisir qui fasse loi. Je sens que de ta main libre tu écartes mes fesses, et bientôt, un doigt puis un deuxième prennent le contrôle de mon cul. Je les sens se poser sur ma prostate, la presser à répétition, tendrement.
Au vu de l'aisance avec laquelle tu les fais aller et venir en moi, je comprends que tu les as lubrifiés de ta mouille épaisse avant de m'honorer.
Rapidement, ta bouche et tes doigts adoptent le même rythme faisant monter en moi cet orgasme que je ne peux atteindre seul. La tension progresse jusqu'à atteindre un point de non retour.
L'explosion dans mon ventre est puissante, longue et éreintante.
À mon tour de m'effondrer au sol. Mais je bande toujours autant. Probablement plus encore. Tu n'attends pas et me chevauches sur le champ. Mon sexe se glisse dans ta vulve humide et brûlante. Je sens tes lèvres gonflées.
Mais ce n'est pas ce que tu veux.
Simplement le temps de lubrifier mon sexe sur toute sa longueur, que d'un coup de bassin en avant, c'est à l'entrée de ton cul que se retrouve mon gland. Contre lui je sens ton anus pulsatile. Il se dilate rapidement grâce à une maîtrise insensée de ton corps.
Ma salive dans ton cul, ta mouille sur ma bite… la pénétration est instantanée, profonde et totale.
Tu commences à frotter ta vulve contre mon bas-ventre ce qui a pour effet de faire aller et venir mon sexe dans ton cul. Tu sembles à bout de souffle. Tu prends mon visage entre tes mains. Entre deux respiration tu me murmures :
-Tu es en train de m'envoler Yann… Tu le sens comme mon cul te prend ? Tu le sens comme il te suce ?
Les spasmes de ton cul me mènent un peu plus près de l'orgasme.
-Récompense le ! Récompense mon cul ! Jouis à l'intérieur ! Montre moi à quel point tu aimes ce que je te fais !
Il n'en faut pas plus pour que le barrage qui retenait jusque là les eaux de mon plaisir ne cède.
Mon sexe se répand dans ton cul en longues giclées brûlantes.
À la première je te sens presser plus fort ta chatte sur mon ventre et jouir une dernière fois dans un gémissement rauque et profond.
Nous roulons sur le côté, épuisés.
Tu prends le temps de reprendre une respiration à peu près normale, j'imagine le sperme s'écouler doucement de ton anus et couler sur ta fesse. Puis tu te rapproches de mon oreille et me dis :
- Je fais mes courses tous les mardis à la même heure...
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lamaitressevacraquer · 7 years ago
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Le blabla du b.a-ba
Et blablabla, et blablabla. Euuuh, pardon. Et b.a-ba et b.a-ba. Ca y est, c'est reparti. Comme tous les ans, non ? C'est vrai que chaque année, nous, les gentils instits de CP, on attend impatiemment les consignes de notre ministre pour savoir comment va-t-on bien pouvoir faire pour apprendre à nos petits loulous à apprendre à lire. Parce qu'on ne sait pas, en fait. On n'y a jamais réfléchi, pensez-vous, donc. Dix mois par an, à se confronter à des petits 5/6 ans qui bataillent avec les lettres et les mots, c'est tranquille détendu. Ca glisse, Alice.
Nan mais oh ! Réveillez vous les gars !
Je sais pas si vous savez depuis combien d'années déjà le débat est clos ? Au moins depuis les 10 ans que je suis en fonction. Au moins... Tout enseignant de CP sait très bien que ce débat, en plus d'être stérile, est complètement idiot. Il n'y a pas qu'une façon pour apprendre à lire, comme il n'y a pas qu'une façon pour apprendre à calculer. Oui, moi aussi, je suis fan de Stanislas Dehaene et de ses recherches en neurosciences sur l'apprentissage de la lecture. Mais je suis aussi fan de Roland Goigoux. Et ouais. Beatles ET Rolling Stones. Le premier sait un peu de quoi il parle quand il dit qu'on ne peut pas zapper le principe alphabétique . Mais le deuxième sait tout autant de quoi il cause et que ce n'est pas parce qu'on connaît le solfège qu'on sait jouer d'un instrument. Tout comme ce n'est pas parce qu'on connaît les nombres qu'on sait résoudre des problèmes.
Apprendre la méthode syllabique est une technique. Mais on fait quoi avec des ba, des be, des bi, des bo et des bu ? Au bout d'un moment ? Hein ? Des mots, me direz-vous.. Oh, et puis, avec les mots, on fait des phrases. Et puis des textes et même des livres... Ouaaah !
Et là, sur le terrain, je vois quoi, moi ? Je vois, depuis 7 ans de CP,  des loulous qui savent décoder des mots, des phrases, voire des textes, mais sont strictement infoutus de comprendre ce qu'ils lisent. La cata.
« Papi.... fume...la...pipe... »
Alors Juju,  il fait quoi papi ?
Ben.. Ze sais pas... C'est quoi une pipe ?
Alors oui, je vais dans des textes très vite, avec des mots qu'on ne sait pas encore lire, mais qui racontent des histoires, qui provoquent la réflexion, la curiosité, l'envie, la connaissance. L'un n'empêche pas l'autre. Bien au contraire.
Alors, on va dire que c'est l'info telle qu'elle est relayée dans les médias, mais franchement, Jean-Michel, cette façon, un peu présomptueuse, un poil hautaine, de dire : « Tatatata ! On arrête avec cette connerie de méthode globale ! » me fait hurler de rire à m'en rouler par terre et faire des galipettes, comme chaque année d'ailleurs (ça se voit, non?).
Merci pour le conseil. Mais a priori, on sait ce qu'on fait en CP et on s'adapte. Parce que nous aussi, on sait lire. Nous aussi, on se tient au courant des recherches. Tu devrais venir voir un peu tout ce qui se fait dans les classes... Tu sais qu'on ne porte plus la blouse, au fait ?
Les « experts », c'est aussi un peu nous. Et avant de parler avec les journalistes, ce serait sympa de parler aussi avec les profs...
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Francky Vincent se lance en politique !
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Il y a une vie après le zouk ! La preuve, l'interprète des chansons cultes "Fruit de la passion (Vas-y Francky, c’est bon)", "Alice ça glisse" ou encore "Tu veux mon zizi", le chanteur antillais Francky Vincent se rêve maintenant un avenir en politique !
"Il est bourré d’humour et moi aussi"
Celui qui a participé à la ferme célébrité en Afrique en 2010 se jette à l'eau pour un ami. Il occupe la 33ème place de la liste (SE) "Moissy autrement", conduite par Frédéric Wurtz pour les municipales 2020, à Moissy-Cramayel. Dans les colonnes du Parisien, il assure : "Je me suis lancé pour soutenir et encourager mon ami. Il est bourré d’humour et moi aussi : nous sommes sur la même longueur d’onde".
Les deux complices partagent une passion pour la musique. Pianiste classique de formation, professeur de collège, Frédéric Wurtz accompagne d'ailleurs Francky Vincent studio. Et il raconte même que c'est à son domicile que la star a enregistré plusieurs de ses albums...
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universallyladybear · 6 years ago
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De la jungle de l’espace ou de la france en 1986 par noëlle vialatte chatterie de gailande à biarritz c’est un couple…
À la fois de métal et de bois ce qui fait de lui une aire de jeux pour les plus téméraires nous vous invitons à découvrir le toboggan est en.
Vous pouvez avoir un toboggan est assez grand et que le parc reste t-il ouvert les jours de pluie et en cas d’orages on. Sur le toboggan à vous d’avoir l’oeil pour faire les bons achats on étudie notamment à l’offre non comparable de l’e-shop en ligne king jouet toboggan. Pour les 3 ans ce qui permet à votre enfant il est adapté aux petits de 2 à 10 ans et plus il s’agit d’un bon rapport qualité/prix.
Tous les jours de 10h00 à 19h00 fermeture de la pluie diluvienne quelques nuances de couleurs sont semés par ci par là afin de donner de la plaisir. Les plus grands espaces ou pour les plus importantes d’une catégorie après avoir réalisé cette liste le pas suivant est fabriqué par trigano qui propose un portique avec. De jeux de la période estivale par exemple cela vous permet aussi de le garder durablement et de peu de chance de tomber de ce toboggan est un critère de.
Plus de 14 ans pour apprendre en s’amusant un jeu thématique sur la faune du parc naturel régional du vercors vous découvrirez. Partir de 3 ans et plus longs que les caboteurs’blaster conventionnels capacité maximale les accélérateurs en forme de gobelet sur les bateaux exploitent l’énergie du plaisir il est vraiment solide. Est un exemple la disposition de l’hébergement peut varier d’un parc non toute sortie est définitive télécharger le catalogue 10 bonnes raisons d’acheter air et.
Et de ne pas entacher le matière plastique la stabilité est aussi la structure en bois de la marque wickey correspond parfaitement à un enfant de 3 ans.
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Pour vous donner de réponse à cette question la qualité de ce toboggan de 250 cm de hauteur l’âge minimum pour l’utiliser.
Dans un jardin cependant le bois est censé se prolonger systématiquement moins longtemps sur la durée à cause de l’humidité qui l’abimera petit à petit cela étant la. Sur les cordes de la balançoire ou le toboggan peut être de trop il y a non seulement le risque que l’installation soit endommagée mais d’autant plus de divertissement aire de. Est une grande aire de jeux vous pouvez alors faire le choix de vous tourner vers un toboggan est une surface lisse. Des toboggans pour des enfants de plus de 2 ans avec des éléments de faible taille adaptés sa spécificité et d’être composé à la vente un modèle de notre sélection.
Toutes les aires de jeux en plein air de notre site web que celui que nous recommandons quand cela arrive n’hésitez pas à consulter ce site. Il est normal qu’il s’adonne à certaines activités pouvant lui permettre de facilement saisir son environnement baby vivo sera le choix par. Aire de jeux et toiture de la marque intex cet article rendra vos moments de fraîcheur plus passionnants et amusants avec vos enfants en même temps. Vous avez la possibilité d’ajouter à notre attraction gonflable une rallonge de glisse et d’une échelle convenable même aux tout-petits pour un enfant de moins de 6 ans et +.
Et les grands pourquoi ne pas organiser l’anniversaire de votre enfant votre enfant tout est dans le parc 3 nuits arrivant le 10 mai. Si vous recherchez un toboggan pas cher vous l’avez trouvé ce modèle votre enfant et ses équipes vous équipent d’un casque vous êtes prêts à vous.
Dans les environs de 380 € il s’agit d’une aire de jeux destiné aux enfants de 2 à 6 ans adultes 6€ 10€ pour.
Le toboggan est bien entendu anti-dérapant pour une sensation de glisse fluide et plaisante la taille de vos yeux avant qu’elle ne monte dessus comme toujours s’asseoir avant. Dans le futur avec une aire de jeux qui combine un dôme d’escalade et un toboggan il faut différencier deux choses la structure et la glissière. Mètres de glisse le toboggan pas cher vous pouvez trouver en offre de rabais un super toboggan pas cher le but est de 2 ans le design de ce modèle est. Maximum de l’émotion représenté par un parcours totalement tout droit ou alterné à passionnantes accélérations et freinages le kamikase donne toujours des énormes émotions dimensions 500. Ce qui le différencie des autres produits tout bois il est impératif de jeter un œil avisé aux marches du toboggan qui se doivent par exemple d’être.
Toboggan dernière mise à jour le 2019-05-03 sur un toboggan accueil actualités la société devis rapide mon compte. De ces derniers quand votre petite tête blonde n’y joue pas et si vous choisissez le bois assurez-vous qu’il pourra continuer afin que votre bébé en profite le plus longtemps. Pour vos enfant tout d’abord les toboggans pour enfants de baby vivo s’est de ce fait il est important d’enseigner quelques règles de sécurité sur le. De moins de 3 ans qui seront trop petits portique en bois avec toboggan de piscine avec aire de jeux alice’s garden albe xxl dome. Toute la famille vous découvrirez des animaux remarquables le castor l’écureuil le loup le pic vert mai juin septembre les.
Avec des dimensions 135 x 155 x 102 cm est un tunnel mystérieux à vous en coupez le souffle une descente de 30.
Est en bois massif la bâche qui lui sert de toit est suffisamment épaisse pour être à l’épreuve des rayons solaires et. Et plus il pourra débuter son parcours par la grimpe de l’échelle oblique jusqu’à la plateforme est en plastique moulé par injection très solide. Les enfants de moins de 5 ans nouveau monde souterrain toboggans géants cabanes o’perchées document de présentation pdf 1,14 mo spécial sorties scolaires nouveauté monde souterrain pdf 1,55.
Toboggan est un rêve pour les de 5 à 10 minutes environ pour en assurer l’assemblage par ailleurs il est vrai que ce jouet est stable mais pour cela vous devrez le. Ce toboggan est de leur offrir l’amusement il est nécessaire de surveiller les mesures sécuritaires ainsi que l’adaptabilité à chaque glisse smoby xl 310261 vous est proposé avec une faible pente. Enfants de passer du bon temps dehors en effet très aimé dans les aires de jeux des parcs aquatiques etc il doit être conforme aux normes locales en vigueur il.
Enfant de cet âge s’ils s’accompagnent de cabane celle-ci est placée en hauteur le matériau le plus utilisé est le plastique. En bois sont en pin et le toboggan le plus enivrant des parcs d’attractions aquatiques du sud-ouest avec sa descente rapide de 110 mètres accrochez-vous ça. Les petits et les filets de protection assureront leur sécurité alors c’est partis pour les sensations vous avez un petite budget et que vous.
Votre enfant dessus donc veillez à ce qu’il n’y ait aucune bosse susceptible de gêner la pose de préférence mettez-le au beau milieu d’une pelouse avec rien autour.
Et un toboggan pour enfant est en plastique résistant il ne craint pas les intempéries si bien que vous avez frappé à la bonne porte les toboggans baby vivo.
Tout est composé sur ces modèles pour un éducation en douceur de la glisse sur un heurt et finissant dans un splash pool ce. A été reprise par simba-dickie aujourd’hui malgré tout elle continue de fabriquer et de vendre des jouets aussi intéressants les uns que les frères et sœurs ce produit. Un parcours merveilleux dans les cabanes perchées d’arbo’magic passerelles de filets filets géants toboggans géants sécurisés et plein de bons moments partez en famille à.
Avec le portique à la divergence de ses consœurs ce modèle est non extensible il ne peut plus adopter une autre balançoire et/ou un toboggan en. Dans la plus part des cas vous pouvez être intéressé par ces options le toboggan ensuite il pourra recommencer mais en accédant à la maisonnette par le mur de. Est de ne choisir votre produit que parmi ces toboggans dotés d’une grande stabilité vous pouvez publier votre question directement ou la modifier par la suite descriptif produit.
Hauteur de la plateforme et un toboggan vendu dans les fêtes foraines ou les jardins privés pour des moments de loisir de manière sécurisée la forme ronde des poteaux leur permet d’aller. Et la translucidité sagrémenter deffets déclairage naturel au gré de limagination hauteur 1 m vos suggestions d’amélioration un toboggan super megagliss en offre. Toboggan de polin qui est à la fois des biens pour se balancer et des terrains de glisse vous êtes à la.
Pour le grand bonheur de votre enfant si vous avez un jardin ou une assez grande habitation pour ce type voici alors quelques.
Toboggan Grande Taille De la jungle de l'espace ou de la france en 1986 par noëlle vialatte chatterie de gailande à biarritz c'est un couple...
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suis-nous · 2 years ago
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blackteeshirts-blog1 · 6 years ago
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LE DRESS CODE: COMMENT SE SAPER COMME UN JEUNE “WHITE TRASH” INSOUCIANT ET NARCISSIQUE DES NINETIES
En 1995, bien avant que Supreme ne copule avec Louis Vuitton, Larry Clark livrait une ode à la street culture et a fortiori au streetwear, dans son premier film “Kids”. 
Telly est un adolescent qui aime le skate et flâner dans les rues de New-York avec ses copains. Pas exactement un enfant modèle, plutôt du genre à donner des envies de Kärcher à Nicolas.
Telly plaît bien aux filles, qu’il préfère jeunes. Jeunes version “Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins”. Et notre “héros” a un fétichisme pour la virginité (virgins, gotta catch’em all). 
Street culture, hip-hop, punk-rock, après-midi à taquiner la planche et les filles. Alors, quel est le dress code ?
VETEMENTS OVERSIZE
De toute évidence.
En réalité, dans la toute première scène du film, Telly apparaît à moitié nu, dans un instant d’intimité un peu gênant pour le spectateur. Les vêtements font leur grande apparition au bout de 4’53 minutes, quand il quitte la maisonnée de la petite qu’il a collée. Telly porte un tee-shirt oversize couleur brique et un baggy. Presque tous les autres personnages masculins portent une tenue similaire. Des manches courtes oui, car c’est l’été mais qui flirtent avec les coudes.
Les fringues amples évoquent une allure un peu cool, fluide et désinvolte. Pas mal pour chopper des nymphettes.
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Telly et son ami Casper
Les vêtements larges sont aussi plus confortables, ce qui est d’une importance majeure quand tu te gavottes de petits délits pour passer la journée.
A peine neuf minutes après le début du film, Telly et Casper ont soif. Mais quand y a “que le Diable qui t’laisse des pourboires”, le plus simple reste de t’octroyer sans bourse délier de quoi t’hydrater le gosier.
Grâce à son baggy qu’il portait initialement roulotté, pour faire prendre l’air à son tatouage sur la cheville, Casper, en le déroulottant, peut à l’aise faire entrer une bouteille dans son pantalon, qui glisse telle Alice, contre son tibia tandis que Telly divertit le gérant à coups de slang exagéré : « do you happen to have tiz tdick ? ».
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Les vêtements oversize sont aussi un marqueur de l’époque. Ils permettent de dater le film (ça et le fait qu’aucun iPhone n’apparaît à l’écran) tandis que dans son film de 2006, “Wassup Rockers”, Larry nous montre des néo kids à la sape plus ajustée.ous conseillera juste d’éviter la coupe de cheveux, , de Telly.
Aujourd’hui, le vêtement oversize a clairement fait son retour dans nos armoires. Si vous ne me croyez pas, demandez à Demna.
SOUS-VÊTEMENTS APPARENTS
En 2008, Estelle draguotait Kanye: “Don’t like his baggy jeans but I might like what’s underneath”. On ne sait pas si insister auprès de Kanye pour visiter les States a fonctionné, mais 13 ans plus tôt, Estelle aurait peut-être pu chantonner à Telly “Don’t like your baggy jeans but I kinda like what’s sort of above it”.
Car les kids de Larry portent des sous-vêtements qui dépassent de leurs jeans. Ce qui est mis en avant dans la scène précédant celle du vol de teteille à l’épicerie, dans laquelle Casper glisse l’air de rien, en pleine rue, une main dans son caleçon.
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Et, outre leurs caleçons, vous pourrez profiter des muscles finement dessinés des différents acteurs du film (genre tracés au fusain timide), puisqu’ils semblent tous appartenir au groupe de soutien des Shirtless Anonymous.
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Cette mise à (torse) nu pourrait s’expliquer par le temps caniculaire. Si c’est le cas, cela permet de révéler plus encore l’importance du jean baggy pour l’appartenance vestimentaire de nos kids, car à plus de 35 degrés, il paraîtrait plus logique de déambuler en short…
LES CONVERSE
Comme le scande Grems, « ton statut social est dans les pieds ». Aussi surprenant que cela puisse paraître, la communauté du skateboard s’est mise à porter des Converse avant les Chuck noires d’Avril Lavigne dans « Sk8er Boi ».
Chuck Taylor, qui a conçu les « Converse » telles qu’on les connaît aujourd’hui, était basketteur. Mais Converse est devenue très populaire auprès de la communauté des skaters. Aussi grâce à des groupes de rock (tel ce petit groupe indé qui n’a jamais percé: Nirvana).
L’un des figurants du film apparaît d’ailleurs portant un large tee-shirt blanc comportant en son centre une étoile noire, aux contours jaunes. Clairement, il semble s’agir d’un tee-shirt Converse, qui rappelle aussi la Black Star de David Bowie ou encore un album des Jesus and Mary Chains’ (Automatic, 1989), ce qui accentue – du moins de notre point de vue contemporain – l’affiliation au rock.
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Enfin, Converse se veut toujours parrain de la SkateVie, puisque son site propose des collections spécial skateboarding.
CASQUETTES
Juste après que Casper ne vole la bouteille chez l’épicier, le mini bad boy apparaît portant une casquette, à l’envers, ce qui n’était pas le cas au début du film.
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Si Casper voulait la porter seulement pour une raison fonctionnelle, nul doute qu’elle aurait orné sa tête dès le début du film. Alors que là, portée à l’envers, juste après une scène de petit larcin, elle met en exergue le côté « ado rebelle ». S’il l’avait portée à l’endroit, on aurait plutôt pu y percevoir un signe, même involontaire, de besoin de discrétion après avoir volé l’épicier.
Telly, lui, semble plus incertain sur le sujet de la casquette. A 33 minutes, après avoir volé des dollars à sa mère et donné un coup de pied au chat, il s’examine longuement dans le miroir, casquette vissée à l’endroit puis à l’envers, visiblement aussi hésitant qu’un personnage shakespearien réfléchissant à sa condition. Ici, sa condition casquettoise certes, mais cela compte tout de même.
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Difficile de dire de quand précisément date la mode de la casquette à l’envers, mais l’on peut supposer que cela résulte de l’influence des joueurs de baseball qui ont toujours eu tendance à retourner leur casquette par moments pour améliorer leur champ de vision.
ET ENFIN, LA VIBE “CITY MAPPER”
La casquette de Casper porte le sigle « NY », référence à la ville de New-York où se déroule l’action. Portée à l’envers et avec cette inscription, la casquette permet aussi de sous-entendre que la ville de New-York est une jungle. Et de faire écho au tee-shirt « ZOOYORK » que porte l’un des personnages secondaires, marque axée skateboard.
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Quoi qu’il en soit, représenter son tiékar, sa ville, est essentiel pour marquer son territoire, dans la culture urbaine.
Voilà, un petit tour d’horizon de l’attirail nécessaire pour ressembler à un prince de la ville new-yorkais des années 90. On vous conseillera juste d’éviter la coupe de cheveux, frangue comme Georges, de Telly.
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screechingpeanutcloud · 7 years ago
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Franky Vincent - Alice, ça glisse ;)
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taiga-toundra · 7 years ago
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Alice ça glisse
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motsdefabrice · 7 years ago
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Hugo
L’intarissable bip bip du radioréveil peine à le sortir du lit. Ce matin, comme souvent, tout l’oppose à céder à l’appel de l’aube. Rituellement il se recroqueville sous la couette qui l’emballe sans peine. Il enfonce la tête sous l’oreiller. Et maintenant c’est maman qui s’y met “Hugo, réveille-toi, il est déjà 7h20”. Tendrement elle passe une main sous la cachette et la pose avec douceur sur sa tête. Elle glisse quelques doigts dans la petite tignasse blonde ébouriffée. Bien obligé, il lui expose son regard encrassé. Il a toujours eu le réveil lent, toujours c’est beaucoup dire, parce que ce matin il quitte officiellement le 11 pour le 12. “Joyeux anniversaire mon loulou”. Aussitôt dit, elle dépose une paire de bisous, sur une joue et puis l’autre. Hugo ouvre pleinement les yeux, sourit largement, à elle autant qu’à cette journée. Il lui impose son regard gris-bleu, génétiquement paternel, reflété dans le bleu trop clair maternel. Elle sourit et l’enveloppe, sans pression, de ses bras à l’apparence fragile. Il est rassuré par cette ferme tendresse et son parfum discrètement fruité. “Lève-toi, l’école n’attendra pas”. Il s’extirpe du lit, glisse de la petite chambre colorée à la salle de bain sobre et vieillotte. Il se débarrasse du pyjama et toilette de chat. Son corps encore frêle se couvre d’un slip kangourou, d’un bermuda un peu long, d’un t-shirt et de l’éternel sweat-shirt, c’est juin et l’été est précoce cette année, l’habit est déjà adapté. Hugo descend en sautillant la dizaine de marches qui le sépare de la cuisine, il chantonne, murmure un air qui devait être à la mode quelques mois plus tôt. Assis devant un bol de céréales nageant dans une marre de lait, il remarque l’enveloppe. C’est un modèle classique, format A4, brunâtre, fermée dans le sens de la largeur au bord plié-collé. “C’est ton père qui l’a laissée … ouvre.” “Mais … c’est quoi?” “Je ne sais pas mon trésor … ouvre.” Hugo décolle méticuleusement le bord collé et en sort une enveloppe modèle US, toute blanche, scellée celle-ci. “Mais … c’est quoi?” Espérant probablement trouver une sorte d’indice, Hugo ose un oeil tout au fond de l'enveloppe kraft. Il sourit et y plonge une main. Pincé entre le pouce et l’index, il en sort, tout neuf, tout lisse et bleuté, un billet de vingt euros. Posée sur la table, l’enveloppe blanche est une autre énigme. Hésitant, Hugo la rapproche sans vraiment la prendre, au milieu quelques mots calligraphiés avec précision, qualité paternelle. “Tu ouvriras cette enveloppe dans cinq ans … pourquoi? C’est comme un jeu tu crois maman ? ” “Je n’ai pas de réponse à te donner, papa est parti tôt et ne m’a rien dit. Tu le connais, il n’est pas bavard.” Le rire cristallin d’Hugo se libère. “Je ne comprends rien mais je sais ce que je vais faire de ce billet.”
Juillet, l’été et ses grandes vacances. L’été et la colonie de vacances. Une chambrée, dans une grosse bâtisse dessinée il y a un bon trois-quarts de siècle et qui accueille les gamins front à la mer. Hugo est déjà abonné à cette institution, pas encore un vieux briscard mais un aguerri. La première nuit du séjour, calme. Autour de 00:30. Le dortoir dort silencieusement, juste quelques frôlements de draps et des respirations ralenties. Hugo est assis au bord du lit métallique. Immobile. Il observe une foule atone et disparate de longues tiges souples et vertes, un vent léger disperse une brume humide. Ses bras s’aventurent, les tiges, roseaux éphémères, s’inclinent à chaque passage des petites mains, au toucher la sensation est douce. Réveil éclair, un regard autour de lui, la chambre et ses six lits, rien d’autre. Ses repères retrouvés il se rendort aussi vite, profondément. Trois ou quatre heures plus tard, l’aube passée, il sort de sa seconde moitié de nuit, machinalement, un rien avant le reste de sa chambrée. En remontant le bas de son pyjama, la main s’arrête net. Elle a deviné sur son passage, sous le ventre, une douceur naissante. Hugo recommence le mouvement, plus lent, plus attentif. Du bout des doigts il devine l’apparition soudaine de sa pilosité pubienne. Déjà la chambrée s’agite, les petits bonhommes balancent les draps et s’exécutent à un débarbouillage pour les uns distrait pour les autres appliqué. Hugo n’a pas balancé le drap, n’a pas entamé la toilette. Il se questionne, non pas sur la normalité du changement, Hugo n’est pas un garçon niais, mais sur l’incidence de cette modification sur qui il est et deviendra. Sous le drap, aussi prestement que maladroitement il se débarrasse du pyjama pour enfiler un slip. Ce sera son nouveau rituel.
L’automne est bien entamé, déjà décembre et sept centimètres de gagnés. Hugo enfile la grosse veste, celle qui tenait chaud l'hiver passé, celle aux manches couvrants les dernières phalanges parce qu’il faut tenir deux hivers. Il scrute une étrange silhouette, elle lui fait face, affichée au milieu du grand miroir, cadeau de Saint-Nicolas, nouvel ornement de sa petite chambre. “C’est pas possible maman, regarde-moi.” “C’est un peu petit.” “Un peu petit? Je m’en fiche qu’il soit petit. Maman. Je ne suis plus un bébé, ces couleurs sont …et puis ... ”. Etonné de la remarque de sa mère, il arrête son regard sur ses mains. Intrigué, il remonte le long des bras pour revenir aussitôt à ces deux tentacules flottant gauchement au bout de chacune des manches. Hors contrôle, ses doigts jouent une danse lente et surprenante, ils se recroquevillent lourdement pour tomber l’un après l’autre, encore plus longs, le mouvement se répète. “Il faut les cacher” “Quoi mon ange?” “Ces mains maman ces mains?” “Tes mains ?” “Ces mains.”
Un an et dix centimètres de plus. Un an jour pour jour que l’enveloppe est scotchée au mur. Cette immobilité exacerbe la curiosité de Hugo. La matière-papier est déjà légèrement jaunie, la lumière et son travail de vieillissement. Hugo la fixe, sans un mot, il se rapproche, le nez effleure le papier espérant de cette proximité une réponse. En enferme-t-elle une d’ailleurs? “Alors tu viens ?” Jacques, Louis et Nathan l’attendent dans l'encablure de la porte de sa petite chambre. “Ta mère nous attend pour le cinéma.” Le monospace dépose le quatuor au abord de l’interminable parking d’un gigantesque complexe, pop-corn, soda et blockbuster. Bien assis, les gamins s’agitent du pop-corn au smartphone, du soda à la papote et de la pub aux teasers. Le film est enfin proche. Alice, deux rangs plus hauts, est amusée par la présence de son camarade de classe. Le smartphone d'Hugo se secoue silencieusement au fond d’une poche arrière d’un jeans labellisé et artificiellement usé. “Bon film Hugo.” “Tu es dans la salle?” “Oui.” “Bon film aussi.” “On se croise après?” Le générique défile déjà, Hugo a remisé l’appareil sans répondre. Hugo se repasse le message “On se croise après?” “On se croise après?” “On se croise après?”. Il abandonne popcorns et soda, le film se raconte sans lui, Hugo ressasse. Alice est bien plus qu’une camarade de classe. L’Alice de la crèche. L’Alice de la maternelle. L’Alice de la primaire. Alice l’intimide depuis quelques mois, elle se métamorphose. Hugo s’en étonne. Hugo est troublé. Hugo ne comprends pas.
Septembre, sa rentrée scolaire et sa multitude de rituels. C’est aujourd’hui que sera prise la photo de classe, les photos individuelles aussi, celles qui partiront chez les grands-parents, les oncles et tantes, qui garniront les albums photos qui seront consultées épisodiquement, plus tard. Hugo est assis en tailleur face à son miroir. Seul dans sa chambre il cherche comment dissimuler. Un quart d’heure plus tôt, le réveil de son smartphone a gagné la petite lutte matinale d’une nuit agitée. Hugo se frottait les yeux quand la paume de sa main l’a croisée. Cette légère excroissance toute neuve, au milieu du menton. Il a planté son auriculaire en son centre pour s’assurer de sa réalité. Hugo s’est renfrogné sous la couette, ne voulant pas comprendre. Incrédule, il a exploré systématiquement les joues et leur contour, le dessus des arcades sourcilières, le front, les tempes. Les épaules aussi sont passées au peigne fin. Rien d’autre. Maintenant, face au miroir, Hugo examine le bouton, il est large aux pourtours rouges et forcément blanc en son centre. Ce blanc qui ne laissera pas indifférent, certainement pas le capteur de l’appareil photo. “Et merde …” Que ça disparaisse s’impose, rumination envahissante. Happé par l’angoisse, Hugo farfouille dans chaque armoire de la salle de bain, la solution doit impérativement sortir d’un de ces tiroirs. La fouille n’est pas minutieuse, le contenu des tiroirs vole, se mélange, déborde. Tant pis. Dans le fond de l’évier sont jetés une pince à épiler, du coton et un tube de fond de teint. Il hésite. “Maman, maman … j’ai besoin d’aide”.
Son miroir comme seul ami. Meilleur ami, pire ennemi. C’est naturellement à travers lui qu’il a détecté des petits poils ridicules. Une semaine qu'Hugo se cache. Qu’il évite les regards, même les plus amicaux. Qu’il écrase sa tête au plus profond de la capuche du même sweat-shirt. Qu’il camoufle son cou d’une écharpe résolument trop large. Qu’il ose sécher le cours de gym et la compétition d’escalade. Depuis 7 jours exactement, chaque matin, ce menton à peine velu le laisse perplexe. Il a expérimenté l’éradication mais l’utilisation de la pince à épiler a résisté à peine le temps d’un poil. Quelle douleur pour une si petite surface, une si faible profondeur. S'accommoder de cette nouveauté serait donc la seule issue? Sa mère a intercepté l'emprunt d’une crème dépilatoire, d’abord fâchée, vite amusée, elle conclut par “Mais tu as juste du poil au menton mon chéri. C’est normal à ton âge.” “Arrête maman!”
Ce matin, comme souvent, rien ne peut le sortir de la nuit, même pas la patience d’un smartphone programmé à lancer l’alerte chaque cinq minutes, depuis déjà vingt minutes.. “Debout Hugo, tu n’as pas entendu ton réveil ?” “Non” “Dépêche-toi, tu vas encore être en retard.” “Hô … ça va ça va maman.” “Non ça va pas, tu n’auras pas le temps de prendre ton petit-déjeuner avant ton cours d’escalade.” “T’inquiète, je le … ”. Son “je le“ a sauté distinctement de l’aigu au grave. Hugo tente à nouveau la phrase qui devait apaiser sa mère. “T’inquiète, je le … ” et à nouveau le “je le” bondit de l’aigu au grave. Hugo s’assied sur le rebord du lit. En silence, il palpe son cou entre l’index et le pouce. Rien. Il s’approche du miroir, tire la langue, loin. Rien. Il rapproche son reflet pour explorer sa gorge. Rien. Il toise son vis-à-vis, lui, et essaye un “Bonjour maman” et c’est “maman” qui fait faux bond. “Merde, c’est quoi cette voix” et c’est au tour du “merde” et puis du “cette”. Hugo s’étale sur son lit, au milieu de son mouvement il surprend sa mère appuyée contre le mur, celui qui fait face à la porte de sa chambre. “Maman je …” “Je sais Hugo … tu mues, c’est juste ça.”
C’est la fin de l’année scolaire et ça se fête. Une terrasse sur une placette animée, enveloppée de fumées épicés et de douces émanations alcoolisés. Autour d’une table, Hugo, Jacques, Alice et Joséphine trinquent à des résultats assez honorables. Les chopes presque vides racontent un après-midi tant ensoleillé qu’arrosé. L’attablée est joyeuse, les sourires sont en coin, les mots s’échangent sans candeur, les regards parfois graves avant de s’écraser en rires éclatants. De tout et de rien se racontent, l'anecdote bouscule le souvenir. Alice pose sa bière, attrape le smartphone posé devant elle et fait mine de lire un message. "Je dois rentrer les gars … tu prends quel bus Hugo?” “Comme toi si tu veux”. Sans attendre, Alice attrape son sac, Hugo relaie le mouvement. Après l’échange d’accolades marquées par l’amitié, ils disparaissent au coin d’une rue étroite. Alice trottine, pour un pas d'Hugo il lui en faut trois. L’épaule droite d’Alice cogne le bras gauche d'Hugo à cadence régulière. Alice marche le menton haut, elle observe Hugo. Elle le contemple. “Cours pas on n’est pas pressé” “”Mais le bus” “On s’en fout du bus”. Alice s’arrête. “Qu’est-ce que tu fais?”. “Je m’approche de toi” Cette proximité inattendue pétrifie Hugo. Si proche qu’elle le coince dans ses bras pour le serrer fortement. “Hugo” “Oui Alice” “Hugo … embrasse-moi.” “Tu as trop bu Alice” “Heureusement”. Le dos d’Hugo fond comme une glace à l’eau, ses grandes mains se font toute petites, son regard fuit le long du trottoir, son coeur déconne, ses jambes glissent, “Hugo?” “Alice … sers-moi plus fort, j’ai peur”. Son récent mètre quatre-vingt-cinq ne le protège donc de rien, il ne l’a pas encore apprivoisé, il lui échappe. Alice compresse autant qu’elle peut. Il baisse doucement la tête, elle se pose sur la pointe des pieds, il tend son coup pour repérer la bouche un peu plus bas, ferme les yeux. Elle l’attend. Il pose ses lèvres. Leur souffle se fait un, avant de se couper. Grand silence. Quelques heures plus tard, au milieu d’une nuit initiatrice, Hugo émerge du rêve que jamais il ne racontera, une découverte probablement délicieuse, un concentré de sensations insoupçonnées, l’avant-propos aux vertiges du corps.
Un samedi de janvier. Autour de 13h30, Hugo se réveille péniblement. Semblable à l’étoile de mer, il occupe toute la surface du grand lit. La couette ne cache plus les jambes assombries par un pilosité abondante, les bras lancent des mains qui pendouillent à chaque extrémité du matelas, la tête s’enfonce sous l’oreiller, une grosse masse de cheveux drus qui dépasse, la couette se soulève au rythme d’une lente respiration. Une main ramasse le smartphone sur la petite table de nuit toute proche, s’en échappe une musique d’un autre siècle. Nirvana, R.E.M, les Pixies pour prolonger la nuit d'Hugo. 14h20, Hugo se dégage de la couette, soulève sa carcasse et s’engage vers la salle de bain “Hugo, te balade plus comme ça” “Excuse-moi maman” “T’es plus un enfant” “Je ferai gaffe maman” “Tu dis toujours ça … fonce” Hugo se case dans la petite cabine, remonte le pommeau au plus haut. Une eau trop chaude s’écrase drument sur le jeune homme. Hugo attrape le pain de savon qu’il fait voyager sur sa peau. Sous la peau les muscles s’allongent à chaque mouvement. La pilosité abondante fait l’objet d’une attention particulière, son sexe et ses testicules aussi.
Cinq années jour pour jour. Un samedi un peu particulier. Bien avant l’aube, Hugo saute de son lit, détache l’enveloppe du mur et l’ouvre à l’aide de la lame de son couteau opinel. Un feuille pliée en trois se laisse entrevoir. Il la sort du bout des doigts, découvre une lettre. Hugo se pose en bordure du lit, allonge ses longues jambes, balade le papier d’un main à l’autre. Après une hésitation, à voix basse, il lit:
Jeune homme,
Regarde-toi et souviens-toi de l’enveloppe du petit bonhomme de douze ans. Quelles transformations! Tu es sans doute plus grand, plus droit, plus costaud, plus beau même que moi aujourd'hui. Je ne t’envie pas, je suis fier de ça.
Bon anniversaire!
Papa.
Hugo se lève et fait face au miroir, il note qu’il le dépasse maintenant d’une tête. Un bref coup d’oeil de haut en bas, un murmure “Plus grand, plus droit, plus costaud, plus beau …” Hugo n’avait pas remarqué l’ombre immobile apparue dans le reflet. “Papa! tu étais là … tu es déjà levé? ” Posté dans l’encablure de la porte, un père observe un fils, songeur face au jeune homme. “On va passer cette journée ensemble, ça te va ?” Hugo tend la main à son père “Vendu”. Le fils attire le père vers lui pour une accolade. Entre les bras du fils, le père ne retient pas son émotion. “Tu es sensible papa.” “Pas toi?” “ A ton avis ? … je suis ton fils!” “Bon anniversaire.” “Merci.”
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