#algues brunes

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Les macro algues comestibles, bien connues pour leur richesse nutritionnelle, suscitent désormais l’intérêt des chercheurs pour leurs effets protecteurs sur le cerveau. Et si ces végétaux marins, consommés depuis des siècles, étaient aussi de futurs alliés contre Alzheimer ou Parkinson ? 

Des composés neuro-protecteurs dans les algues

Les macro algues contiennent des substances bio actives rares : fucoïdanes, laminarines, polyphénols marins, phlorotannins ou encore pigments comme la fucoxanthine. Ces molécules présentent des effets :

- Antioxydants puissants : elles protègent les cellules nerveuses du stress oxydatif, un facteur clé dans les maladies neurodégénératives. 

- Anti-inflammatoires : elles réduisent l’inflammation chronique du cerveau, impliquée dans la progression de maladies comme Alzheimer.

- Neuroprotecteurs : des études in vitro montrent que des extraits d’algues brunes peuvent ralentir l’agrégation de peptides bêta-amyloïdes (source : International Journal of Molecular Sciences, 2020).

Des recherches prometteuses mais à approfondir

Des travaux récents (Neurochemistry International, 2022) ont observé des effets positifs de la fucoxanthine sur la mémoire chez des modèles animaux. Une consommation régulière d’algues riches en iode, oméga-3 végétaux et antioxydants pourrait contribuer à une meilleure santé cérébrale sur le long terme.

Prévention douce, naturelle et accessible

Intégrer des algues alimentaires dans une alimentation végétale, variée et équilibrée pourrait donc, en prévention, soutenir la vitalité cognitive et ralentir le vieillissement neuronal. Les algues brunes comme le kombu, le wakame ou la laminaire digitée sont les plus étudiées dans ce domaine.

macro-algues et cerveau, algues marines et Alzheimer, fucoxanthine, prévention neurodégénérative naturelle, antioxydants marins.

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Sargasses aux Antilles françaises : anticiper les échouements d'une algue envahissante

Cette année encore des bancs d’algues brunes, appelées Sargasses, ont repris leur dérive à travers l’Atlantique Nord tropical et menacent les

[dandanjean]

Cultiver des algues

De longues algues brunes, qu’on appelle des laminaires, sont en déclin sur la côte de la Colombie-Britannique. Une océanographe québécoise s’affaire à les restaurer. Cultiver des algues pour régénérer les océans | Découverte

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BIENFAISANTE LAMINAIRE

Le laminaire, une algue brune parmi tant d'autres, un des trésors de la mer.

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Dernières pages des Rhodophyceae:)

[kaantt]

Holaaaaaaaa est-ce que ce serait possible d'avoir le 2 pour les chouchous ❤️

Hairspray

Venec déplaça le petit fauteuil du salon pour l'installer devant le miroir. Arthur sortit au même moment de la salle de bain en traînant des pieds, une serviette blanche protégeant son dos de l'excédant d'humidité dans ses cheveux, ses boucles sombres tombant en cascade contre sa nuque. Sa tignasse sombre était complètement emmêlée, Venec lui avait ordonné d'aller se laver les cheveux dès leur retour à la maison pour qu'il se débarrasse du sel et des algues qui étaient coincés dans ses boucles. Son compagnon tapota d'une main le coussin du siège et de l'autre montra à Arthur la brosse. Avec un soupir il se dirigea vers le fauteuil et s'assit mollement contre le dossier. Venec souleva sa masse de cheveux et donna un premier coup de brosse pour débroussailler, arrachant un cri dramatique à Arthur :

« Aïe-euh !! »

Arthur attrapa son propre crâne avec ses mains, repoussant celles de Venec par la même occasion. Venec secoua rapidement la tête de droite à gauche avant d'attraper le spray démêlant et d'en répandre un peu dans la chevelure de son compagnon. Il reprit la brosse et se remit à démêler la tignasse brune. Il grommela en rencontrant les paquets de nœuds contre lesquels les picots de la brosse butaient.

« Quelle idée d'aller te baigner dans cette partie de la plage aussi... Tu le sais pourtant que tu te coinces des algues dans les cheveux quand tu nages près des rochers. »

Le reflet d'Arthur dans le miroir lui tira la langue, arrachant un rire étouffé à Venec. Sentant que la simple brosse n'allait pas suffire pour redonner son éclat à la chevelure de son amant, il récupéra le peigne sur la table. Il approcha l'objet dentelé des boucles d'Arthur, celui-ci bondit hors de son siège et se tourna vers Venec, une main devant lui en symbole d'interdiction.

« Non je veux pas ! Éloigne ce peigne de moi maintenant !

-Fais pas l'enfant Arthur.. » Soupira Venec.

Son compagnon leva les yeux au ciel en entendant le reproche qu'il venait d'émettre, Venec posa une main sur son épaule et le poussa à se rasseoir dans le fauteuil. Il put finalement glisser le peigne dans ses cheveux sombres. A chaque fois qu'il tirait un peu pour démêler les nœuds Arthur grognait et lui lançait des regards meurtriers que Venec pouvait voir dans le miroir. Quand il fut satisfait du résultat il passa rapidement ses doigts dans les boucles de son amant. Il déclara d'un ton satisfait :

« Voilà ! Maintenant on met le produit. »

Venec attrapa une bouteille et en versa une partie dans sa paume pour ensuite l'appliquer dans la chevelure d'Arthur avant de reprendre sa brosse pour achever le travail. Il embrassa légèrement la tempe d'Arthur une fois que son travail fut terminé. Il enlaça son cou avec ses bras avant de se pencher à son oreille et de lui demander d’un ton taquin :

« Voilà, c'est mieux comme ça ? »

Arthur se contenta de grommeler un vague remerciement. Venec lui adressa une petite moue dans le miroir avant de marmonner à son oreille :

« J'ai pas entendu.

-Merci... » Bougonna son compagnon.

Venec sourit tendrement au reflet d'Arthur dans le miroir, ce même reflet leva légèrement les yeux au ciel avant de lui rendre son sourire. Venec se pencha sur la forme assise de son compagnon et posa ses lèvres contre le sommet de son crâne, embrassant tendrement son amant avant de prendre une profonde inspiration, s'enivrant de l'odeur de la chevelure sombre d'Arthur. Il remplaça bien vite ses lèvres par sa main, glissant ses doigts entre les boucles soyeuses, appréciant leur douceur. Venec déplaça le bout de ses doigts pour masser tranquillement le crâne de son amant avant de reprendre ses caresses. Arthur leva un de ses bras pour venir plonger sa propre main dans les cheveux courts de Venec, attirant son visage vers le sien et l'embrassant tendrement.

!Prompts list!

[lupitovi]

Au clair de notre nuit,

Des fleurs de lune,

Lunes à la nuit, sont posées.

Tes mains à mon cou nu,

Comme des algues brunes,

Se sont enroulées

Dans tes cheveux,

A mon cou nu.

- Barbara - Clair de nuit

[eclektika]

Au clair de notre nuit, Des fleurs de lune, Lunes à la nuit, sont posées. Tes mains à mon cou nu, Comme des algues brunes, Se sont enroulées Dans tes cheveux, A mon cou nu. Tous les deux, accrochés, Ah, recommence. La voile de notre lit Se balance, se balance Sur l'océan de la nuit. On voyage Et l'amour est un pays Où nos deux corps font naufrage Dans l'océan de la nuit.

Barbara, Clair de nuit, Amours incestueuses, 1972

[aupinparasol]

À la rivière saumâtre

Rivière de mon coeur. Voyageuse amnésique. Sans cesse venue, sitôt partie. Encore tu viens, puis tu t’en vas. Tes échappées. On pourrait bientôt s’en lasser, si tu n’étais pas belle, une beauté renouvelée, à chacune des marées.

Toi la rivière saumâtre, te livrant en glissant, à l’océan délecté, en tant d’amour invariable. Toi l’estuaire débordant, s’asséchant à moitié, et puis l’autre gonflant, tout le jour gigotant, épousant les poussées, de l’eau salée du large. Filin parfois subtile ou bien fleuve par ses flancs, largement déroulés sur ses rives, alors ; qui sont d’eau submergées.

Boyau chétif et chaud qui bientôt regrossit, buvant tant qu’il le peut et s’il ne peut plus tant pis. Elle a le bon goût de mer et regorge de poissons, aventuriers nomades qui vont au gré des fonds, cette eau qui prend couleur de gris, de reflets vert, noir, bleu.

Belle comme mille mers déchaînées, belle comme un lac de montagne, belle comme des canaux vénitiens et des fontaines, tu as pour or le sel et le granit pour marbre.

Je te regarde descendre, ou peut-être que tu montes.

Une tempête d’océan, où les dieux firent vacarme, sorts, draina un jour par mégarde, l’Esprit jusqu’en tes bords. Tu pris à toi l’ébauche, dégringolée d’une joute, et te fis serpent de mer, étourdissant la côte. Par tes méandres, tes anses, tes franches avenues, ton clapot marin et ton courant épais, tu sculptes au besoin les champs mous. Tu fis ta place en la terre, et bientôt mer de replis. Les oiseaux t’aiment et les algues aussi, qui te colonisent et t’habillent, et les poissons, plats, chasseurs, chassés, dormeurs, timbrés, sol, lançon, vétéran, alevin, dorade, saumon, tous, qui supportent tes caprices aigre-doux, te parcourent et te louent. Te voilà devenu vivante et vie, respirante, havre. Paradis. Réservoir, abreuvoir. Garde-manger.

C’est vraiment ta couleur, qui est indescriptible. Ce n’est pas vert, ni gris, c’est davantage un vert de gris aux accents de bleu, d’argent, de blanc, d’écaille. Ô rivière de mon coeur. Comme une grande membrane glacée, fragile, qui ondule en zébrant, par un ciel pur ou encombré, toujours la même couleur, frappant du même reflet : la rivière ici sera toujours glaz. Entre le vert le bleu le gris, le glaz breton, évite de choisir. On dit les trois couleurs avec une seule, et la rivière est trois choses à la fois. La mer, la rivière, le lac. Mais laquelle est-elle vraiment ?

De la mer tu as l’odeur, tu as les cycles. Les habitants, les habitats. Tu as le sable tu as le sel, le chenal, les rochers affleurants. Tu as le vent tu as le frai, la promesse du large tu la hurles aux longs rivages, et elle résonne dans les recoins. La promesse du large, on l’entend dans tes voiles. De la mer tu as les embruns et l’iode, les mâts, les barres, les moteurs, les peaux brunes. Tu as l’eau qui déborde à la lune pleine, et qui s’éclipse aussi quitte à t’en laisser nue. Tu as les marées et la chasse, de tous ces carnassiers toqués, qui remontent ton cours, quitte à n’y rien trouver. Plies, sols, raies, chahutent aussi ton ventre, doucement, depuis quelques hauteurs d’eau ; ce plancher lisse et tendre, soumis au courant double. L’un de l’amont, suivant la norme, l’autre à l’inverse, à rebrousse-poil. Cela fait parfois même une vague, comme deux mondes qui se touchent. Le mascaret.

De la rivière, tu as la douceur, l’assurance, le sucre. La sérénissime c’est toi. Je me ferai gondolier pour me laisser porter, du long de ton corps jusqu’à ton grand abandon. Tu es rivière infinie, sans cesse en haut sans cesse en bas, sans cesse naissante, mourante déjà, et le sacrifice que tu fais n’est pas vain car il te reviendra. Dans un million d’années, qu’importe les jours. Tu aimes ton sort. Voilà pourquoi tu es rivière.

Du lac enfin tu as tout et puis tu détruis tout : et c’est ce qui est beau ! qui choisirait au juste, au zénith de soi-même, à l’âge d’or de son être, de tout recommencer ? tu le fais tous les jours. Et c’est ce qui est beau !

Devenue lac parfait, pas une ride en surface, des arbres les pieds dans l’eau. Bipolaire consoeur ! où tout était si bien ! on allait s’y baigner et l’eau était même chaude. On avait tout pour soi, et partout ça flottait. Elle était salée, en plus, à la rame on filait ! doucement, doucement c’est le plus dur, elle se met à descendre, minute après minute, doucement, maigrie, moignon, plus rien.

De lac en somme, tu n’as rien.

Ainsi, rivière saumâtre, tu dis trois choses à l’homme : fils, essaie-toi au mouvement. Tu n’es pas un sapin. Mets tes combinaisons, tes palmes tes breloques, accoutré comme tu veux, va vers du renouveau. Joue plein d’actes en la scène. Regarde-moi qui suis, à la fois mare et fleuve. Vous tous pourtant, ne me donnez qu’un nom : le mien.

Tu dis aussi : navigue-moi ! qui sait à la fois me nager, me flotter, me croquer, me photographier, me promener, m’aimer ? si tu me vis, homme, tout ira bien. Mais ne viens pas me piller.

Tu dis encore : j’accepte les mélanges, je connais le métisse. Je draine mes bas-fonds, j’ai l’écume à mes cimes. Mon envers est mon endroit, mon sommet bientôt six pieds plus bas. Je ruisselle en tout point, je fuis, je coule. Je suis mon cours. Mais malgré cela, ne suis-je pas vie sur terre ?

[guilbertjj]

Algues brunes et algues vertes se côtoient sur les rochers.

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🧬 Découverte majeure : le génome des algues brunes dévoilé

Des chercheurs de la Station biologique de Roscoff (CNRS/Sorbonne Université) ont analysé 60 nouveaux génomes d'algues brunes. Cette étude révèle des innovations génomiques clés ayant permis l'adaptation des algues brunes aux environnements côtiers soumis aux marées. [1]

Ces avancées éclairent l'évolution de ces "forêts sous-marines" qui jouent un rôle crucial dans la séquestration du carbone et la résilience des écosystèmes côtiers. Les données génomiques sont accessibles via la plateforme Phaeoexplorer, offrant de nouvelles perspectives pour la conservation et l'exploitation durable des algues brunes. [1]

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  Source : 1. https://www.sb-roscoff.fr/fr/2024/12/12/une-plongee-dans-les-genomes-d-algues-brunes-revele-les-secrets-de-leur-evolution

[zehub]

Au Groenland, des algues prolifèrent et réchauffent les glaciers

Ces microalgues, brunes ou violettes, accélèrent la fonte des glaces. Explications de France 2.

[la-bucolie]

Je marche en Z, tantôt face au soleil et tantôt pas. Près du pont il n’y a plus ce mémorial en l’honneur de deux pré-adolescentes renversées sur la route. Il n’y a que le pied de leur stalle au milieu d’un terrain-vague. Sans doute y a-t-il prescription pour le deuil – sans doute le deuil n’existe-t-il pas chez les promoteurs immobiliers. J’avance tout le long de la berge au niveau des voitures. Les cheveux de mon ombre se sont emmêlés. J’aperçois de l’autre côté du muret des adolescents torse nu. J’ai envie de les regarder s’amuser, je réalise que je suis parfois cette fille brune que j’ai inventée et qui erre dans mon roman. Les maisons qui s’entassent et les arbres me font penser aux vacances. Tout ici aspire à respirer mieux. J’y arrive plutôt bien sous mon masque. Je peux sourire sans qu’on le voie. Je descends au bord de l’eau, au risque de croiser des groupes de jeunes. Je décide de ne pas avoir peur. Au loin, des chiens se battent à mort. L’eau remue doucement, sale et trouble. Je ne baisse pas les yeux mais ne croise le regard de personne. Plus j’avance et plus s’entassent les herbes et les algues. Des gouttes de sueur roulent le long de mes bras que je n’ose pas lever au dessus de ma tête. Bon sang que j’aimerais marcher seins nus au bord de cette eau, mais j’ai ce stupide débardeur qui me colle au corps. Un oiseau d’eau à long bec plonge et ressort, l’air content de lui. J’ai élu domicile sur un escalier. (Alors que j’écris, un bateau passe, baptisé Lucifer. À bord, quelqu’un s’ennuie.)

[hellolamaramotteencoree]

8 et 9 mars 2019

On est allées avec les d’autres étudiants étrangers (dont Xandra et Anna mes deux acolytes) à la marche contre les violences faites aux femmes, particulièrement suivit suite aux évènement sordide d’un club, le ‘’bruning sun’’, tenu par un chanteur de kpop (Seungri des Bigbang) où ils droguaient des jeunes femmes pour les offrir a des clients VIP, qui abusaient de la jeune femme inconsciente. Les employés du club ne se privaient pas non plus. Chose rassurante, cependant, j’étais impressionnée de voir le nombre d’hommes venus protester contre ces agissements. Il y avais quasiment autant d’hommes que de femmes dans la foule, et pour avoir participé  plusieurs marches féministe en France, je peux vous assurer que ce n’est pas en France que l’on verrait ça !

sur la pancarte est écrit : Brûlons la culture du viol !

et Puis, le lendemain nous partons visiter Hongdae, un des quartiers les plus actifs de Séoul, de jour comme de nuit. On y trouve des magasins et des stands de nourriture et vêtement partout, et beaucoup BEAUCOUP de monde. On a vu aussi pas mal de performance, dont une jeune fille qui dansait sur ‘’Love you’‘ de Chungha, si quelqu’un connait. J’avais envie d’aller danser avec elle ^^ C’était vraiment chouette de voir ça.

Et aussi du français: des trucs écris en français partout! Même les poubelles parlent français ici :

et puis des fois... ça rate.

café bonjur. Oui. Bon. C’est presque ça XD . Et puis, ça va c’est pas comme si c’était écrit sur la devanture d’un building de 4 étages hahaha ^^’.

On a aussi croisé un youtubeur coréen qui était en plein vlog, et du coup on est passés dans son live! Il nous a demandé d’où on venais, (Anna et moi) et son audience a envoyé plein de message pour dire qu’on était toute mignonnes, alors on leur a envoyé des cœurs et on est parties . Drôle de rencontre, mais sympathique !  

et puis de retours à HyeHwa, on est allée manger avec nos autres petits camarades étrangers et quelques amis coréens, qui nous avais réservé un petit restau à pancakes Coréens, à l’ancienne, où l’on mange assis par terre devant une table basse et où l’on doit enlever ses chaussures. Voici le pancackes aux fruits de mers, qui à mon goût, était le meilleur :) 

avec un peu de calamar, de crevette et des algues. Délicieux! 

La bouteille de vous voyez sur la photo, c’est un alcool de riz traditionnel. Pas mauvais mais pas ouf non plus. Et puis de la rigolade pour des européens alcooliques comme nous. Vous inquiétez pas, on représente bien nos pays respectifs! (Je rigole panique pas maman ;) )

Et puis, la plupart d’entre nous sommes allés dans un bar peu après et dans les toilettes il y avait ça:

pour les non-anglophones: Les hommes à gauches parce que les femmes on toujours raison/sont toujours à droite, jeu de mots car ‘’right’’ veux dire à droite mais aussi vérité .  (Anna à gauche et Océane à Droite)

et puis après avoir fait connaissance avec ceux qu’on ne connaissait pas, nous sommes retourné a Hongdae, mais mon appareil photo sur mon téléphone galère un peu beaucoup avec les photos de nuit alors j’ai rien à vous montrer réellement. Seulement cette photo du bâtiment ‘‘ Gare de kingcross’‘ de la saga Harry Potter, où l’on peu se mettre en scène en train de passer la voie 9 3/4 ... pourquoi c’était là, je ne sais pas mais ça nous as bien amusés!

en route pour le Poudlard express!

[algae-word]

Suite des algues brunes ;) 

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Recherche théorique 1 : Sites internet

Faire son propre papier, mais avec quoi? C’est sur quoi ont porté mes récentes recherches. J’ai commencé par tester la matière la plus logique, l’écorce de bois. Malheureusement mon teste n’a pas été très concluant car j’ai tenté de faire bouillir l’écorce pour la ramollir et ensuite créer une substance plus liquide, mais l’écorce est resté dure et de toute façon elle était brune très foncé alors j’ai réalisé que ça ne serait pas l’idéal de peindre sur une surface brune foncé. J’ai donc fait plus de recherches sur les anciennes méthodes de fabrication de papier, j’ai alors vu que se sont les chinois qui ont créer le papier, il ont commencé par écrire sur des os d’animaux et des carapaces de tortues, ils ont aussi utilisé du bambou, de la soie, du chanvre, etc. J’ai aussi appris que plusieurs choses étaient née à la suite du papier comme la peinture, l’écriture, l’imprimerie, donc le monde de l’art est en quelque sorte née du papier. Pour moi, le papier est donc la base, le point de départ de la création, mon oeuvre prend alors encore plus de sens.

En poussant mes recherches un peu plus loin, je suis tombé sur la lignine, un élément présent en grande quantité dans le papier et qui permet la rigidité , l’imperméabilité et la résistance à la décomposition. Les végétaux contenant de la lignine sont : les plantes vasculaires, algues, plantes herbacées et ligneuses.

J’ai ensuite pensé aux quenouilles car je trouvais qu’ils y en avait en quantité industrielle tout au long de l’année. J’ai alors découvert que la quenouille est une plante herbacée et j’ai appris des choses étonnantes. Les Amérindiens utilisaient cette plante auparavant pour fabriquer des vêtements, du papier, des paniers, de la corde, des tapis en tressant les feuilles. Cette plante est aussi comestible dans presque son entièreté, on peux même faire de la farine en broyant les racines de la plante. Finalement elle possède aussi des vertus médicinales, le jus entre les feuilles peux servir d’antidouleur, d’antiseptique ou de coagulant.

Bref, des plantes aussi anodines que les quenouilles peuvent nous surprendre! J’aimerais d’ailleurs mettre l’emphase sur ce phénomène, car nous sommes entourés de plantes aux vertus incroyables dont nous ne connaissons même pas l’existence. J’aimerais donc faire un papier à base de cette plante et utiliser le plus de parties de la plante possible, tout en conservant les graines de quenouilles pour replanter le nombres de quenouilles que j’ai utilisé pour faire mon papier

(Sources) : https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/quenouille

https://www.rds.ca/plein-air/la-quenouille-et-la-survie-en-foret-1.1242219

https://www.chine-magazine.com/quatre-grandes-inventions-de-chine-ancienne-fabrication-papier/