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#actualité Algérie
ornoirafrica · 1 year
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Algérie : Sonatrach a réalisé six (6) découvertes d’hydrocarbures
SONATRACH annonce avoir réalisé six (06) découvertes d’hydrocarbures, en effort propre, durant le premier trimestre de l’année 2023. Ainsi, deux découvertes d’huile et gaz ont été réalisées dans le bassin d’Amguid Messaoud, lors du forage des puits BRM-1 et BMD-1 avec des débits de 5 699 barils/jour d’huile et 170 461 m3/jour de gaz enregistrés dans le premier puits et des débits de 4 856…
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frenchbulletin · 2 years
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Algérie. Un caricaturiste a été condamné par contumace à 10 ans de prison pour "outrage au président"
Algérie. Un caricaturiste a été condamné par contumace à 10 ans de prison pour “outrage au président”
Le dessinateur algérien Gilles Ainous, qui vit en France, a été condamné aujourd’hui par contumace par un tribunal algérien à dix ans de prison pour “outrage au président de la République” à travers ses caricatures, comme le rapporte le Comité national de libération des détenus ( CNLD). “C’est officiel, le tribunal correctionnel de Béjaïa a condamné le dessinateur Gilas Ainous à 10 ans de prison…
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astrelief · 2 months
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Je n'ai jamais peint dans l'optique d'une tendance mais je me suis toujours basé sur des techniques utilisées ( surtout le relief ). La tendance esthétique de mon travail est souvent qualifiée d'orientalisme contemporain. Pourtant je n'aime pas beaucoup le terme "d'orientalisme" car lorsqu'il est classique ou européen cela n'a rien à voir avec ce que j'exprime.
Cette nouvelle page personnelle c’est pour diffuser mon travail, exposez mes œuvres d’art, parler de mon actualité, de mes souvenirs.
La peinture et la sculpture sont deux passions que j’ai depuis mon jeune âge. En 1989, j’ai suivi un stage de perfectionnement en restauration artistique et moulage d’art dans les ateliers du Maître Lorenzi à paris 👉🏽 https://www.maitredart.fr/maitre-art/michel-lorenzi Par la suite je me suis orienté vers mes propres recherches et j’ai ainsi réalisé plusieurs maquettes en Algérie.
J'ai expérimenté diverses techniques artistiques telles que le dessin, la peinture, la sculpture, la calligraphie, le relief. J'aime allier à la peinture divers matériaux
Par ailleurs, j’ai participé à plusieurs expositions individuelles et collectives, dont les plus importantes en Algérie sont:
Le millénaire d’El Atteuf à Guardaia en 1996.
Le millénaire d’Alger à la bibliothèque nationale de Hamma à Alger en 1997. -Le colloque international de la Casbah d’Alger à la bibliothèque nationale de Hamma à Alger en 1998.
Trentième anniversaire de la Sonelgaz au palais de la culture à Alger en 1999.
Mois du patrimoine au centre des arts, palais des Rais, bastion 23 à Alger en 1999, 2000, 2001 et 2002.
École polytechnique d’architecture et d’urbanisme à Alger en 1996 et 1997.
Salon des arts à la galerie de l’hôtel El-Aurassi en 1996, 1997 et 1999.
Salon des arts musulmans à la galerie Ismail Samson à Alger en 1998. Ainsi que dans d’autres lieux en Algérie tels que la galerie Mohamed Racim, l’hôtel Haurassi, les centres culturels et plusieurs fois au palais de la culture kouba Alger.
Depuis mon arrivé en France j’ai commencé à exposer:
Salon des arts plastiques à Haute-Indre en 2005, 2007 et 2009.
Salon des peintres des pays de la Loire à la galerie commerciale Orvault Grand Val en 2008, 2009,2010,2011,2012, 2013, 2015,2016,2017,2018 et 2022.
Le MANOIR des Arts Parc de Procé Nantes 2012, 2015 et 2016.
Salon des peintures à Teillé en 2008.
Mon exposition au cinéma Beaulieu à Bouguenais en 2010.
L’es Belles Chaises, place Royale à Nantes en 2008 et 2009.
Mes expositions au CSC à Nantes en 2015, 2019 et 2022.
Salon de peinture et sculpture à la Manufacture de Nantes en 2019.
salon des arts plastiques à Hôtel d'horticulture Nantes, 2016 et 2018.
Bibliographie :
-Dictionnaire des Artistes Algériens 1917-2006 de Mansour Abrous. (Ed. l’Harmattan 2006)
-Algérie : Arts Plastiques. Dictionnaire biographique 1900-2010 de Mansour Abrous (Ed. l’Harmattan 2011).
-El Watan 24/4/2002.
-Diwan Al Fen. Dictionnaire des Peintres, Sculpteurs et Designers Algériens de Djamila Flici Guendil (Ed. Enag-Anep Alger 2008).
-L’Art en Algérie. Répertoire bibliographique 1844-2008 de Saadia Sebbah et Mansour Abrous (Ed. Casbah Alger 2009)
Souvenir !!! Archive.
📷 maquette que j’ai réalisé pour le Musée Public National-Sétif, Algérie.
Reconstitution du quartier des Basiliques ( 1,80m x 1,22m) en 1998.
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lerpesse · 4 years
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موقع “المنشار” الساخر لا يجد سبباً لاستمراره بعد ملاحظته فرط حرية التعبير في البلاد بعد خمس سنوات على انطلاقه، عاصر خلالها بوتفليقة وأخاه والثورة ثم قايد صالح، لاحظ موقع المنشار الجزائري الساخر فرط حرية التعبير الذي باتت تنعم به البلاد في عهد عبد المجيد تبون، ليجد ألَّا مبرر لوجوده، ويبادر للإغلاق من تلقاء نفسه.
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theatreetplus · 5 years
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LE HASARD MERVEILLEUX au Théâtre de la Contrescarpe
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Sylvie a la petite cinquantaine et entraîne une équipe féminine amateure de handball. Dans le cadre d’un tournoi amical, elle et ses joueuses se rendent à Constantine, en Algérie. Pour elle, cette ville est symbolique même si dans un premier temps, elle refuse d’y voir un heureux hasard. Il s’agit de sa ville d’enfance où elle n’est pas retournée depuis quarante ans. Sa famille, juive, a dû quitter l’Algérie, comme beaucoup en 1962. Elle se rappelle y avoir une tante. Par un concours de circonstances, Omar, son guide le temps de son séjour, se met en tête de l’aider à retrouver cette vieille parente, quasi-centenaire. En parallèle de l’entrainement d’avant match, Sylvie se remémore son enfance avec un père rigide et brutal aujourd’hui disparu, une copine qui devait l’accompagner voir “Grease” au cinéma et sa tante Viviane, justement, qui a refusé de quitter l’Algérie par amour.
La mise en scène est étonnante et originale. Par d'ingénieux tours de passe-passe : un foulard flotte, un téléphone portable tombe au ralenti, une robe est suspendue dans les airs ou une ombre au sol figure un souhait de Sylvie. Et quelle interprétation de Brigitte Guedj ! Vive et juste, elle se fait aussi drôle qu’émouvante. Son interprétation sert le texte : fin et enlevé. “Le Hasard merveilleux” est une jolie surprise : un magnifique spectacle sur la tolérance et la fraternité. > Le Hasard merveilleux avec Brigitte Guedj Texte // Jean-Christophe Dollé Mise en scène // Laurent Natrella Photo // Christophe Raynaud de Lage du 7 au 28 mars 2020 Samedi et dimanche à 14h30 Durée // 1h15
> Théâtre de la Contrescarpe 5 rue Blainville - 75005 Paris Métro : Place Monge ou Cardinal Lemoine www.theatredelacontrescarpe.fr Actuellement, dans le même théâtre : le spectacle “Fausse Note”
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jmdessinateur · 6 years
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Algérie Bouteflika renonce à briguer un 5e mandat et reporte la date de la présidentielle… Suite à un mouvement de contestation inédit en Algérie, Bouteflika a annoncé ce lundi 11 mars renoncer à briguer un 5e mandat et le report sine die de la présidentielle prévue le 18 avril le temps de mettre en place un « nouveau système »…
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reseau-actu · 6 years
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La révolte déclenchée par les jeunes Algériens a rapidement été amplifiée par la mobilisation, à leurs côtés, de leurs aînés. Cette génération, qui a connu la révolte d'octobre 1988, l'ouverture politique puis la guerre civile des années 1990, vit avec une intense émotion les événements de 2019.
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Alger
Ammar Bouras a ressorti son Nikon. Les boulevards haussmanniens d'Alger-Centre, noirs de monde, le flou rouge-vert-blanc des drapeaux qui virevoltent, les regards fatigués des policiers sous leur casque bleu sont pour lui une matière enthousiasmante. Cela faisait bien longtemps que l'artiste plasticien, 54 ans, connu pour ses installations contemporaines, n'avait pas photographié l'actualité. Presque trente ans, en fait. Ses clichés argentiques en noir et blanc de l'Algérie des années 1990 (les défilés du Front islamique du salut, le président Mohammed Boudiaf quelques secondes avant son assassinat, le premier tour des élections législatives dans une école d'Alger…) justement réunis dans un beau livre qui vient de sortir aux prestigieuses éditions Barzakh, à Alger, se regardent comme une page en train de se tourner.
» LIRE AUSSI - Les impressionnantes images de la mobilisation contre Bouteflika
Une parenthèse est en train de se fermer. «Celle de la sortie de guerre», relève Malika Rahal, historienne à l'Institut d'histoire du temps présent, au CNRS, à Paris. Depuis quelques années, elle observe dans la société algérienne les signes discrets d'une renaissance, d'un plaisir et d'une fierté de l'action collective retrouvés. «On sort d'une époque où on résistait encore au fait d'être ensemble.» Il y a notamment, pour cette «génération 88», celle qui a connu la révolte d'octobre de cette année-là, l'ouverture politique puis la guerre civile des années 1990, «une libération du corps et de l'esprit, un allègement», note-t-elle. «Ça ne préjuge en rien de ce qui peut se passer. C'est de la joie toute nue.»
«Le drapeau incarnait tout ce que nous rejetions, le faux nationalisme qui bridait les gens. Peut-être qu'on est en train de se le réapproprier, ce drapeau, de dire qu'il est à nous ?»
Mouna, 52 ans, prof de lettres
Depuis le début de la mobilisation contre le cinquième mandat, le 22 février, la jeunesse qui s'est brusquement révoltée contre le système, que l'on dit peu concernée par les violences des années de terrorisme dans lesquelles l'Algérie a sombré en 1992, capte toute l'attention. Mais dans les rues, il y a aussi les quadras et les quinquas qui «ont repris espoir», constate Ammar. «Je retrouve cette Algérie de 1988, des gens soudés par des idées, un désir de changement, qui, d'une certaine manière, disent à nouveau leur refus du parti unique.»
À la veille de l'acte III des manifestations, dans un salon algérois, alors que des amis se retrouvent pour partager leurs émotions, les souvenirs ressurgissent invariablement dans les discussions. «La différence, c'est qu'à l'époque nous ne sortions pas avec les drapeaux!, s'amuse Mouna, 52 ans, prof de lettres. Le drapeau incarnait tout ce que nous rejetions, le faux nationalisme qui bridait les gens. Peut-être qu'on est en train de se le réapproprier, ce drapeau, de dire qu'il est à nous?»
Adlène Meddi, 43 ans, journaliste et écrivain dont les trois romans policiers transpirent le traumatisme des années 1990, en est convaincu: «La mobilisation aujourd'hui est une continuité de notre printemps, de l'incroyable révolution qu'a connue le pays à la fin des années 1980, résultat d'une prise de conscience de la société et d'une partie du système de la nécessité d'ouvrir le pays. Comme aujourd'hui, tous les Algériens étaient dans la rue, refusant le fait accompli. Ce souffle a été interrompu par les ténèbres, la frigorification. Mais la nuit s'est terminée le 22 février.»
Et si ce ne sont pas ces quadras qui ont enclenché les manifestations, c'est bien, comme le rappelle sur France Inter l'écrivain Kamel Daoud, 48 ans, parce que «le régime a toujours su opérer sur deux traumatismes». Celui de l'époque coloniale et de la menace d'une intervention de la France, comme en Libye, et celui de la décennie noire. «L'équation qui consiste à dire “soit nous, soit le chaos” a beaucoup pesé sur les consciences de ma génération.»
» LIRE AUSSI - Abdelaziz Bouteflika, un président usé qui ne comprend plus son peuple
Inquiet du rapport de force qui est en train de se jouer dans la rue, le pouvoir appuie sur la menace comme il jouerait une dernière carte. «Nous nous devons d'appeler à la vigilance et à la prudence quant à une éventuelle infiltration de cette expression pacifique par une quelconque partie insidieuse, interne ou externe, qui pourrait, qu'Allah nous en préserve, susciter la fitna et provoquer le chaos avec tout ce qu'ils peuvent entraîner comme crises et malheurs», a prévenu un message attribué à Abdelaziz Bouteflika. «L'Algérie a payé le prix fort pour le recouvrement de son indépendance et sa liberté, et notre peuple a payé un lourd et douloureux tribut pour en préserver l'unité et le rétablissement de sa paix et stabilité, après une tragédie nationale sanglante», a souligné le chef de l'État en appelant «les mères à veiller à la préservation de l'Algérie, en général, et de ses enfants en particulier».
« Je culpabilise quand je vois cette génération qui a su faire ce que nous n'avons pas su faire parce que nous étions trop marqués par la guerre civile», regrette aussi Kamel Daoud. Plus indulgente, l'éditrice Selma Hellal, de la maison Barzakh, préfère voir en «Silmiya» («pacifique», en arabe), écrit sur les pancartes brandies depuis quinze jours, «une passerelle» entre cette jeune génération et celle qui l'a précédée. «Un peu comme si elle avait une conscience sourde du chaos des années 1990.»
« Je culpabilise quand je vois cette génération qui a su faire ce que nous n'avons pas su faire parce que nous étions trop marqués par la guerre civile»
Kamel Daoud
Le traumatisme n'a pas été verbalisé dans toutes les familles. Mais il s'est transmis malgré tout, et se lit dans le regard inquiet des parents qui savent leurs enfants dans la rue. «Ce “Silmiya” est brandi comme un bouclier, analyse encore Selma. Comme pour dire: “On ne sait rien exactement des exactions, des violences, de la sauvagerie de cette époque, mais on refuse tout ça.”»
Dans un texte publié dans le quotidien El Watan, la sociologue Fatma Oussedik, qui analyse le profil démographique et sociologique des manifestants, remarque «une forte présence des classes moyennes habituellement silencieuses». «Ce sont ces avocats, ces médecins, ces enseignants qui ont 40 à 50 ans», précise-t-elle. «Cette classe moyenne, laminée pendant les années 1990, ciblée par des assassinats dont les auteurs n'ont jamais été retrouvés, s'est reconstituée et a mué pendant que le pouvoir, qu'elle considère comme un ennemi de classe, ne bougeait pas.» Bahia Bencheikh El Fegoun, 41 ans, illustre parfaitement son propos. Son documentaire prémonitoire, Fragments de rêves, qui donne la parole aux acteurs et leaders des mouvements sociaux en Algérie depuis 2011, a été censuré par le ministère de la Culture aux Rencontres cinématographiques de Béjaïa. Heureuse qu'il trouve aujourd'hui toute sa place dans le cours de l'histoire, la réalisatrice préfère parler de «réparation» plutôt que de «renaissance». «Chaque fois que je marche au milieu des manifestants, je ne peux pas m'empêcher de penser que nous sommes en train de réparer ce désamour que nous avions de nous-mêmes. Mais je n'ai jamais perdu la foi. Je n'ai jamais baissé les bras. Quand j'ai fait ce film, j'étais même en quête de révolution, et je peux vous dire que pour nous, Algériens, la révolution est un héritage très lourd! Aujourd'hui, je ne dirais pas que mon rêve se réalise. Il se met en route…»
Cette réparation, chacun la vit à sa façon. Vendredi matin, Ammar et sa femme se préparent à partir à la manifestation. « Avec notre voisine, on s'est organisés. J'ai acheté les drapeaux, elle nous a ramené des tee-shirts où est écrit “Non au cinquième mandat!” », explique-t-il en pensant, comme tous les Algérois qui s'apprêtent à «descendre à Alger», à l'itinéraire à emprunter et à l'endroit où stationner. «Bien sûr, je me demande ce qui va se passer après, aux lendemains, confie-t-il. Mais je veux profiter de l'instant. Parce que ce que je vois, c'est cette envie d'être ensemble. De faire quelque chose ensemble.»
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Algérie : le président opère un remaniement partiel du gouvernement
Algérie : le président opère un remaniement partiel du gouvernement
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a opéré jeudi un remaniement partiel du gouvernement, a indiqué la présidence de la République dans un communiqué. Le remaniement concerne trois portefeuilles ministériels, à savoir le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, le ministère de la Communication, et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale. Avec AP Xinhua
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weshfm · 4 years
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"Akhbar El-Kitab".. Un quotidien pour l'actualité culturelle en Algérie
“Akhbar El-Kitab”.. Un quotidien pour l’actualité culturelle en Algérie
ALGER- Un nouveau quotidien d’actualité culturelle, “Akhbar El-Kitab”, traitant des secteurs de l’Edition et du livre,  vient d’être accrédité par le ministère de communication. c’est la bonne nouvelle que M.Samir Kacimi,directeur de publication de L’Entreprise Nationale Des Arts Graphiques (ENAG) a annoncée sur sa page Facebook . le projet du quotidien s’inscris dans la nouvelle stratégie du…
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ornoirafrica · 3 years
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L'Algérie examine 2 projets de décrets exécutifs sur le transport par pipeline
L’Algérie examine 2 projets de décrets exécutifs sur le transport par pipeline
Le gouvernement a examiné, lors de sa réunion présidée mardi par le Premier ministre Abdelaziz Djerad, deux projets de décrets exécutifs définissant les modalités d’obtention des autorisations de construire des ouvrages de transport par pipeline de produits pétroliers, et un système de transport par pipeline. Ces deux projets de décrets exécutifs traitent des principes applicables à ce jour et…
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blogsmartlab · 4 years
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Il faudra réussir une opération logistique rarement vue dans l’histoire de l’humanité pour en finir avec la pandémie : acheminer et distribuer des milliards de doses de vaccins contre le Covid-19. Le vaccin contre la Covid-19 du géant américain Pfizer et l’allemand BioNTech a déjà commencé à être distribué au Royaume-Uni (plus de 140 000 personnes qui ont reçus une dose du vaccin en ce moment). En plus, depuis la publication des résultats de l’essai clinique de ce dernier par la revue américaine « New England Journal of Medicine », la demande a explosé partout en Europe. l’Algérie se penchera très probablement pour le vaccin Russe « Sputnik V », car d’après l’ambassadeur russe en Algérie Igor Beliaïev, il est possible que le vaccin « Sputnik V » soit produit localement en Algérie avec le soutien des scientifique russe pour tout ce qui est transfert de technologie et formation. Le dit soutien passera par l’intermédiaire du Fonds souverain russe. Ce fonds d’État est chargé de distribuer le vaccin à l’étranger. « La Russie se tient prête à aider l’Algérie pour produire le vaccin localement ». C’est ce que réaffirme l’ambassadeur. Le vaccin « sputnik V » a un taux d’efficacité de 95% selon les autorités russe. #smartlab #algérie #covid_19 #vaccin #pharma #actualité https://www.instagram.com/p/CI3xL0Mn5El/?igshid=12e47rq2pppux
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businessalgerie · 4 years
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La Chine a ordonné le 24 juillet la fermeture d’un consulat américain, répliquant ainsi aux États-Unis trois jours après la décision de Washington de fermer le consulat chinois à Houston sur des accusations d’espionnage. Les Américains vont devoir fermer leur représentation diplomatique dans la grande ville de Chengdu (sud-ouest), a annoncé le ministère chinois des Affaires étrangères. Cette décision constitue «une réponse légitime et nécessaire aux mesures déraisonnables des États-Unis», a souligné dans un communiqué le ministère, sans préciser s’il avait des accusations spécifiques contre la présence américaine à Chengdu. Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a déclaré le 23 juillet, cité par l’AFP, que le consulat de Chine à Houston était une plaque tournante de l’espionnage» chinois et «du vol de propriété intellectuelle» américaine. La diplomatie chinoise n’a pas précisé non plus dans quel délai le consulat devrait fermer ses portes. Dans le cas de Houston, l’administration Trump n’a donné que 72 heures aux diplomates chinois pour plier bagage. «La situation présente des relations sino-américaines ne correspond pas aux souhaits de la Chine et les États-Unis en sont entièrement responsables», a dénoncé Pékin, appelant Washington à «créer les conditions nécessaires pour que les relations bilatérales retournent à la normale». Pékin avait d’ores et déjà annoncé des représailles contre la fermeture de son consulat dans la grande ville du Texas (sud). La tension sino-américaine, déjà alimentée par les différends commerciaux et les accusations mutuelles sur l’origine du Covid-19, est montée d’un cran ces dernières semaines avec l’imposition par Pékin d’une loi sur la sécurité nationale à Hong Kong. Washington a dénoncé une loi qui détruit l’autonomie de l’ancienne colonie britannique et a pris des mesures de représailles économiques contre la région autonome chinoise. Pékin a dénoncé une ingérence dans ses affaires intérieures. #BusinessAlgérie #News #Actualité #ActualitéAlgérie #Russie #Algérie #Algerianews https://www.instagram.com/p/CDWI9UkijQz/?igshid=x2y07j5gzloz
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213news-blog · 4 years
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Arkab: Concertations avec des producteurs hors "OPEP+" pour la réduction volontaire de la production
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ALGER- Le ministre de l'Energie, Mohamed Arkab, a indiqué dimanche à Alger que des concertations étaient en cours avec d'autres producteurs hors "OPEP+" pour adhérer à l'accord de réduction de la production, affirmant que cette démarche contribuerait à accélérer le recouvrement de l'équilibre des marchés internationaux.  Invité de la Chaine 1 de la radio nationale, M. Arkab a déclaré "nous ambitionnons d'élargir l'accord de réduction de la production décidé lors de la réunion OPEP+ tenue jeudi dernier, à d'autre pays non-OPEP qui devraient baisser volontairement leur production pétrolière en sus des réductions des pays concernés par l'accord de coopération", faisant état "de concertations en cours et d'une grande possibilité d'adhésion par d'autres pays". Selon le ministre de l'Energie qui préside la conférence de l'OPEP, "des concertations sont en cours avec les 7 pays ayant participé à la dernière  réunion OPEP+ en tant qu'observateurs" y compris l'Argentine, la Colombie, l'Equateur, la Norvège et l'Indonésie. Il a estimé, à ce propos, que la réduction volontaire de la production par d'autres pays accélèrera le recouvrement de l'équilibre des marchés,  soulignant que les pays ayant participé à la Réunion OPEP avaient consulté les rapports élaborés par l'organisation au sujet du marché mondial de pétrole notamment en ce qui concerne les 15 mbj d'excédent enregistré. S’exprimant sur les prix pétroliers après l’accord de baisse de la production de 10 millions barils/jour durant deux mois à partir du 1er mai,  M. Arkab a souligné « en tant que techniciens, nous ne privilégions pas de parler des prix, mais plutot de se concentrer sur l’offre qui doit être en équilibre avec la demande ». L’équilibre du marché sera favorable à la stabilisation des prix «il est question d’offre et de demande, sachant que la demande est actuellement en net recul, en raison d’un double choc induit par l’impact de la pandémie du nouveau coronavirus sur l’économie mondiale, vu les mesures préventives prises, y compris le gel du transport aérien et maritime, et ce de par l’approvisionnement des marchés internationaux en quantités importantes de pétrole. Revenant à la réunion du 9 avril ayant réuni les pays membres de l’OPEP/NON OPEP, M. Arkab a souligné que la réunion a abouti à un accord de coopération qui prévoit de réduire la production en trois étapes, de 10 millions de barils/jour (mb/j) durant les deux prochains mois, à compter du 1er mai et jusqu’à la fin juin 2020. Lire aussi: OPEP+: accord pour une réduction massive de la production sur deux ans Cette réduction devrait ensuite se poursuivre, dans une deuxième étape, du 1er juillet à la fin décembre 2020, mais avec une cadence inférieure, à savoir une baisse de 8 mb/j. Il a été convenu dans une troisième étape de réduire la production pétrolière de l'ordre de 6 millions (mbj), et ce à partir de janvier 2021 jusqu'au mois d'avril 2022, a-t-il ajouté. Qualifiant l’accord « d’historique », il a souligné que l’objectif actuel est de rétablir la stabilité du marché suite aux quantités importantes injectées. Arkab a fait état d’une saturation des stocks, ce qui a grandement influé sur les cours pétroliers. La définition de trois étapes pour la baisse de la production permettra d’interagir en fonction du rééquilibre économique de certains pays notamment après le rétablissement du transport qui permettra, à lui seul , d’augmenter progressivement la demande sur les produits pétroliers. Il a cité, en outre, le début d’une relance économique en Chine, citant les pronostics d’une relance économique mondiale durant le deuxième semestre de 2020, faits par plusieurs experts, ce qui sera favorable à la hausse de la demande sur le pétrole. Concernant le rôle de l'Algérie dans l’aboutissement à l’accord de réduction de la production, il a précisé que cet accord a été précédé de consultations intenses entre les pays concernés jusqu’au niveau des chefs d'Etat, dont le président de la République, Abdelmadjid Tebboune , soulignant que l'Algérie avait un rôle à jouer pour rapprocher les vue car elle croit en l'importance de préserver le cadre de coopération de l'OPEP+ signé en Algérie en 2016. S’agissant de l'impact de ces réductions sur l'Algérie, M. Arkab a assuré que les revenus de l'Algérie ne seront pas affectés, précisant que sa part de réduction pour une première étape est de 240.000 bj, suivie de 193.000 bj avant d’atteindre dans la dernière étape de l'accord OPEP+ à 145.000 bj. Il a ajouté, dans ce sens, que ces revenus connaîtront un équilibre à l'avenir à travers la rationalisation de la consommation interne d'énergie et le maintien  des quantités exportées, appelant à l'utilisation de nouvelles technologies pour accompagner et rationaliser les réductions. Le ministre a également souligné l'importance de concrétiser le programme de transition énergétique à travers l'utilisation des énergies renouvelables, notamment  photovoltaïque dans la production d'énergie et la généralisation de l'utilisation du gaz de pétrole liquéfié (GPL). Concernant le projet éco-énergétique "Desertec" qui prévoit l’exploitation du potentiel énergétique du désert, dont la convention devait être signée, début avril, entre un consortium international et le groupe Sonelgaz, le ministre de l'Energie a indiqué que les répercussions de la pandémie de Coronavirus sont à l’origine du report de la signature du mémorandum d’entente. A ce propos, il a expliqué que les consultations se poursuivent à distance entre le président et directeur général de Sonelgaz et les représentants de l'Initiative Desertec pour signer la convention dans les prochains jours. Le mémorandum d’entente comprend un accord technique et un autre portant sur l'aspect de formation pour préparer des études précises dans le domaine sur le potentiel de l'Algérie en matière d'énergie solaire. Ce projet s'ajoute à d'autres projets visant à concrétiser la stratégie des énergies alternatives et à rechercher un modèle efficient de consommation des énergies. Concernant la production d'électricité, le ministre a rassuré que « l'Algérie ne souffre pas de crise de production », relevant que selon les prévisions la consommation d'électricité devrait atteindre un pic de 17.000 mégawatt durant l'été prochain.       Read the full article
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magaratimes · 4 years
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#REUTERS.| Le Monde Aujourd'hui Édition de 18h30
#REUTERS.| Le Monde Aujourd’hui Édition de 18h30
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Le programme phare du service francophone dure 30 minutes sur les informations de dernières minutes, des reportages de nos correspondants, des interviews et analyses sur la politique, l’économie, les phénomènes de société et sur la société civile. . Source: Reuters-VOA. [ad_2]
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hyatiblog · 5 years
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Emmanuel et Brigitte Macron craignent pour leur sécurité... https://hyati-dz.com/emmanuel-et-brigitte-macron-craignent-pour-leur-securite/ #Hyati #News #EmmanuelMacron #BrigitteMacron #Macron #NewsMacron #France #Algérie #Nouvelles #Actualités #Actuality #ActualityFrance #Actualité #Alger #Oran #Annaba #Constantine #Setif (à Algeria) https://www.instagram.com/p/B6vDV17IFdo/?igshid=ipny67bfldfj
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reseau-actu · 6 years
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À travers tout le pays, plusieurs dizaines de milliers d'Algériens ont défilé vendredi pour dire non à un cinquième mandat du président sortant. Des affrontements, faisant des blessés, ont eu lieu avec les forces de l'ordre.
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À Alger
Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Alger, pour le deuxième vendredi consécutif, afin de protester contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika. Un important dispositif policier a quadrillé la capitale, tôt le matin, vendredi 1er mars. Des fourgons des URS (Unité républicaine de sécurité), des camions anti-émeutes et des canons à eau ont été installés dans divers lieux stratégiques, notamment devant la présidence sur les hauteurs de la ville et devant les sièges de l'Assemblée populaire nationale (APN) et du Palais du gouvernement. La police a dispersé les manifestants à coups de grenades lacrymogènes aux abords du Palais du gouvernement. En fin de journée, des heurts ont éclaté entre les jeunes et la police près de la présidence de la République, dans le quartier de Mouradia, faisant 56 blessés parmi les policiers et sept chez les manifestants selon la police. 45 personnes ont été interpellées.
De nombreux groupes de policiers à pied, en uniforme et en civil, circulaient dans les rues du centre-ville alors qu'un hélicoptère survolait la capitale. Cette fois-ci, le déploiement des forces de l'ordre était beaucoup plus important que vendredi 22 février, jour de la première manifestation d'ampleur contre le cinquième mandat d'Abdelaziz Bouteflika. En poste depuis 1999 et fortement diminué par un AVC, le président est à Genève depuis le 24 février pour des examens médicaux.
Manifestations en Algérie : premiers heurts à Alger - Regarder sur Figaro Live
Toutes les couches de la société algérienne ensemble
Dès le vendredi matin, des manifestants se sont rassemblés à Ghardaïa, dans le sud, à Tiaret, dans l'ouest, et dans les wilayas de Bouïra et Sétif, à l'est en scandant les mêmes slogans entendus tout au long de la semaine. «20 ans, barakat (ça suffit)», «Algérie, Chouhada (martyrs)», ont notamment crié les participants à ces rassemblements.
«Je suis sorti pour dire à ce gouvernement de lâcher le pouvoir. Le peuple n'a ni travail ni logements. Les citoyens d'autres pays voyagent et nous, nous avons des difficultés pour avoir des visas.»
Un manifestant de 48 ans
Dans la capitale, le coup d'envoi de la manifestation a été donné en début d'après-midi après la prière hebdomadaire du vendredi. En l'espace de quelques minutes, les rues du centre-ville ont été submergées par une vague d'hommes et de femmes portant des drapeaux et écharpes de l'Algérie. Les manifestants ont convergé vers la place Maurice-Audin, dans l'hyper-centre de la capitale, avant d'être rejoints par d'autres cortèges venus de plusieurs points de la ville.
La police a tenté à plusieurs reprises de bloquer ou de ralentir l'avancée des personnes mobilisées en utilisant des gaz lacrymogènes, tandis que des fourgons d'URS et des canons à eau ont bloqué les rues permettant d'accéder au Parlement où la foule avait fait un sit-in, vendredi dernier, après avoir brisé un cordon de police anti-émeute.
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Dans la foule, toutes les composantes de la société algérienne sont représentées. Des avocats, des étudiants, des fonctionnaires et même des cadres travaillant dans les ministères ont pris part à la protestation. «Je veux juste vivre dans un pays normal, je ne veux plus être à la merci d'un quelconque réseau de personnes. Dans tous les pays du monde, il y a du changement, alors pourquoi pas chez nous», s'enthousiasme Naïma, 35 ans, qui prône un changement radical de système.
Politiques de restriction
«Ça fait vingt ans qu'on a le même président. C'est mon âge», s'indigne Ines, une autre manifestante qui dit ne pas être intéressée par la politique. «Nous ne sommes du tout représentés, surtout nous, les étudiants et les jeunes», se justifie-t-elle. «Mais les choses peuvent changer. Pour l'instant, tout le monde dit tout et n'importe donc j'attends de voir. Mon vote sera très réfléchi», affirme cette étudiante à la fac centrale d'Alger.
«J'ai vécu octobre 1988 et celle-ci est la manifestation la plus belle et la mieux organisée à laquelle j'ai pu assister. Ils disent que le peuple n'est pas éduqué mais regardez autour de vous»
Plus loin, un homme de 48 ans s'est muni d'un masque chirurgical pour contrer les effets du gaz lacrymogène. «Je suis sorti pour dire à ce gouvernement de lâcher le pouvoir. Le peuple n'a ni travail ni logements. Les citoyens d'autres pays voyagent et nous, nous avons des difficultés pour avoir des visas alors qu'eux, leurs enfants vivent tous en Europe.»
Ce fonctionnaire dénonce également les politiques de restrictions imposées à la population et la chute de la valeur de la monnaie nationale depuis la crise économique provoquée par la baisse des prix du pétrole, principale source de revenus en devise de l'Algérie. «J'ai vécu octobre 1988 et celle-ci est la manifestation la plus belle et la mieux organisée à laquelle j'ai pu assister. Ils disent que le peuple n'est pas éduqué mais regardez autour de vous», explique le même homme.
Comme lors des précédents rassemblements, des policiers, notamment en civil, ont fait usage de gaz lacrymogène pour empêcher l'avancée de certaines manifestations. En face, ces derniers sont restés calmes en répondant «silmiya, silmiya (pacifique, pacifique)» et en s'asseyant parfois devant les cordons de police, en signe de protestation. D'autres personnes ont aussi tenté de calmer des manifestants parfois virulents.
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«Ah la liberté!», s'exclame un jeune homme en courant au milieu de la foule. «Ils meurent en mer, les jeunes de ce pays. Que Dieu nous garde!», dit un vieil homme qui contemple les événements depuis une rue adjacente du centre-ville. Depuis le début des manifestations, la référence aux «harragas (littéralement, les brûleurs)», ces candidats à l'émigration clandestine dont beaucoup ont disparu en mer ces derniers mois, revient régulièrement dans les rangs des personnes mobilisées.
«Nous ne brûlerons pas vers l'étranger. Nous brûlerons vos têtes», peut-on lire sur une grande affiche en tissu portée par plusieurs jeunes hommes
Vendredi 1er mars, des jeunes ont de nouveau accusé le gouvernement d'être directement responsable de leurs morts. «Les harragas, qu'ils reposent en paix», ont chanté à tue-tête des groupes de jeunes. «Nous ne brûlerons pas vers l'étranger. Nous brûlerons vos têtes», peut-on lire sur une grande affiche en tissu portée par plusieurs jeunes hommes.
Des personnalités politiques d'oppositions ont rejoint les manifestants, à l'image d'Ali Benflis, ancien ministre, désormais à la tête du parti Talai el Houriyet, qui a apporté son soutien aux participants en apparaissant dès ce vendredi matin à Alger centre. Rachid Nekkaz, potentiel candidat indépendant, a également été aperçu près de la place Audin dans l'après-midi. Ahmed Benbitour, ancien chef du gouvernement, Abdelaziz Rahabi, ancien ministre, ainsi que le sociologue Nacer Djabi étaient aussi mobilisés après un appel lancé cette semaine. Fait encore plus notable, Djamila Bouhired, figure de la lutte pour l'indépendance algérienne, a aussi pris part aux marches qui ont eu lieu à Alger. Très respectée au sein de la population algérienne, elle s'était déjà opposée à un quatrième mandat de Bouteflika en 2014.
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