#accoules
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philoursmars · 6 months ago
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Marseille. De beaux bateaux en bois, dans le Vieux-Port face à la Mairie, l'Hôtel-Dieu et le Clocher des Accoules (dernière photo), sous le fanal du Fort Saint-Jean (n° 4), ou au large du Pharo (photo n°2)...
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444names · 2 years ago
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the entire article on deyanira katrece from uesp
Ableas Abourn Abovere Accoule Aciel Agger Alovelf Alser Anals Anight Anithame Anlins Arcals Arcast Areck Arese Artake Astre Athams Ating Awaking Baciell Banigh Banight Bantiver Beame Beave Becon Becred Beetteat Beging Begrome Behing Bethis Betuady Beyals Bilow Binvant Biter Bleam Bling Bontiond Booded Boolion Boseast Bostress Bouge Bought Boura Bovensty Budiret Businge Busingly Bustred Byern Byeswak Calleg Canks Capeara Carew Castar Casty Codeent Coment Comet Complook Cosent Courns Daeduce Dagoned Darde Darrord Ditily Diturn Doess Doest Doesual Doesuldn Doned Donesse Donse Donst Dooldne Dooling Doolise Draget Draide Draidee Drave Dreal Dreet Drethink Driel Ellast Ellow Enchen Encludge Entalms Evers Fainer Fainks Faists Fareg Farry Fartill Fauld Featolia Finvan Flout Flown Floyany Fooded Fortal Fould Fourn Fournall Fraging Fraing Fraith Fretuat Frides Frilk Frorea Frows Gines Givion Giviond Givionge Gonde Gongs Gookaye Goolings Goomed Gothince Gothine Gotted Greas Greek Greevers Gremord Gremory Gress Gressed Gretto Grome Hanit Hatingly Hatruld Hault Havend Header Heake Heasess Heave Hecoding Helsomen Hereat Heres Herseall Heseret Hicapers Hocturs Holsort Honly Hontime Horse Hougere Houldne Hourn Idded Ideswer Imaing Ingly Ishece Ittless Jacheark Jacture Jusednes Keepour Kespease Kings Kneve Knorair Knother Lacien Lacke Laste Leare Lease Legin Lesca Lialt Lineare Lionore Llesty Lleve Llive Locks Loctur Loopper Losecons Lostsh Lournats Lovent Lovers Loyall Loyalle Loyan Loyanit Loyank Loyant Loyany Luchea Magge Magin Maging Maing Maird Mesul Migat Mighter Milow Miseard Mishaded Mishels Mispe Morgere Morgive Mosort Moultelf Muces Mucheast Mustall Myster Mystion Nevere Nighte Nitilk Nothelp Nother Notters Nurnam Oateas Oathed Oathing Oatind Obleart Obleve Oblial Oblifice Okest Ondnes Oneduce Opers Oppen Oraing Orasigh Ountst Ouremay Ousight Owithah Pcret Pcrielp Pcrienty Peaken Peapper Perhals Pillader Pinge Pings Plage Pless Plife Plond Plose Plovende Pondn Pones Posor Pought Prage Praing Priels Prive Prored Purns Quenty Quesse Quested Reakes Reartarm Reave Recas Recode Reeturn Refught Remake Remay Repen Retched Retured Ritheara Riting Roressee Rulessed Rulty Runra Saced Saciele Saings Sainsen Saishing Savel Saven Sayinde Sedurnst Sellinge Shaded Shanam Shanira Shank Shanly Shater Sheaken Shemake Sherit Shinks Sholiand Shons Shour Shous Sillest Siloulty Siorge Sithigh Sleave Slest Sludge Sluding Smine Someduce Somel Somen Somis Sooking Soolsell Sooss Sorder Soream Spart Speles Spelf Sping Sporde Sposeed Spoul Spour Stabook Sting Stiont Stoness Stsight Swakend Swelf Taing Tarry Thaling Thall Thaturn Theakes Thece Thedra Thers Thfught Thfult Thican Thigh Thight Thimplay Thiness Things Thishan Thiss Thock Thoctual Thoctur Thorry Tooking Toong Topery Toppeas Touce Toulead Tourbin Tourport Tours Traing Treed Tright Tuatic Undedne Unding Undirse Untalms Upordle Vaded Vereen Vowist Wakes Walind Wally Waretter Wayinks Weele Welnalm Welping Whadee Whaltery Whaps Whaters Whavence Wheat Whene Whersur Whindine Whist Whock Willene Willise Wings Witurn Worew Worrill Wortaken Wortall Wrearm Wrest Wrome Wrons Wrork Yould Yourbill Youre Yourn
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dominique44000 · 2 years ago
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Très certainement a Naples ,j' ai cru un moment qu' il s' agissait de la montée des Accoules qui mène au Panier à Marseille , mais ç la réflexion non. J' aime ces deux villes il y a quelques choses . https://www.instagram.com/p/CmFHrjjsHeq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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notrebellefrance · 2 years ago
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Eyragues
L’église paroissiale Saint-Maxime
Jolie église romane (XII° siècle), remaniée à plusieurs reprises, inscrite à l’inventaire des monuments historiques.
La partie médiévale de l’édifice est comprise entre le portail ouest et le chœur. Au XVII°, l’édifice est agrandi et exhaussé d’un clocher. Le bas-côté nord et l’abside, sur voutes nervurées sont de style gothique. A droite du chevet, on remarquera la présence de deux beaux autels de style Renaissance.
Le chœur est de 1848. On note de l’extérieur les créneaux d’une terrasse fortifiée rappelant les Saintes-Maries-de-la-mer ou encore saint-Vincent de Saint-Andiol. Elle aurait, selon la notice de l’Abbé Joseph Mascle, à la défense contre les Albigeois.
L’église abrite aujourd’hui la statue-reliquaire de saint-Eloi, célébré à la fin juin par une fête populaire, la « caretto ramado » ("charrette ramée" en provençal) : la charrette, décorée de végétaux, est tractée par des dizaines de chevaux de traits précédés d’un couple de prieurs.
Niches urbaines
Il existe 11 niches urbaines, dont seulement 6 sont occupées par une statue, dédiées à la Vierge.
- Impasse des Barris : Statue de la Vierge présentant l’enfant. De dimensions généreuses, elle comporte notamment un dais mouluré très saillant. Le socle de la statue porte la date de sa réalisation: 1736.
- Impasse de l’Ange (photo ci-dessous): La Vierge polychrome tient l’enfant sur son bras droit. Il s’agit d’une simple ogive creusée dans le mur.
- Rue Ninette : Statue de la Vierge tenant l’enfant sur son bras gauche, probablement pas d’origine, le socle carré ne s’accordant pas avec la console ronde. Réalisation finement travaillé, avec décor d’écailles et de fleurons sur le dais, de feuilles d’acanthe sur la console.
- Impasse G. Perrier : Jolie niche sur console à godrons, avec dais surmonté d’une coupe. Elle abrite une statue de la Vierge tenant l’enfant sur son bras gauche.
- Rue Porteyguière : Statue représentant la Vierge en mains jointes.
- Rue du moulin : Statue de la Vierge avec les mains jointes.
Les autres niches ont été dépouillées de leur statue.
Le lieu est cité pour la première fois dans une donation des frères Ugolin au monastère de Lérins, en 1094. Á l'arrivée des Romains, la région était habitée par deux tribus gauloises : les Cavares et les Salyens. Sous la domination romaine, la Provence se développa, puis à la suite des invasions et du traité de Verdun (843), elle devint un état indépendant. Á la mort de Guillaume de Châteaurenard, durant la traversée qui le menait en croisade en 1151, son fief dans lequel figurait Eyragues fut démembré. Les premières familles nobles qui possédèrent le domaine (suite probablement à un don des vicomtes de Marseille) furent celles des Sabran d'Agoult et des Sabran Amic. Comme ceux des communes avoisinantes, les remparts d'Eyragues furent construits au XIVe siècle, afin de protéger la population contre les bandes de pillards nées de la guerre de Cent Ans. Á la fin du XVe siècle, Étienne de Vesc, serviteur apprécié de Louis XI, acheta les seigneuries de Pierre de Beauvau. Il fut le premier à porter le titre de baron. En 1629, François Bionneau, conseiller du roi, président trésorier général de France, se porta acquéreur de la baronnie d'Eyragues. Selon toute apparence, il offrit au pays l'horloge publique comme don de joyeux avènement. Il mourut à Eyragues le 12 août 1640. Ses entrailles et son cerveau furent ensevelis devant le maître-autel et son corps fut inhumé dans l'église des Accoules de Marseille. Autrefois, la commune n'avait pas d'hôtel de ville et les réunions du conseil se tenaient dans différentes maisons du lieu dont on louait une salle. Les conseils généraux, dits aussi « parlements », se réunissaient dans l'église ou dans une des chapelles des pénitents. En 1677, messire Jean-François de Bionneau devant 1 800 livres à la communauté, le château et maison seigneuriale devint hôtel de ville et local accoutumé des réunions. Son état déplorable nécessita cependant maintes réparations. Le capitaine des portes était autrefois chargé d'ouvrir et de fermer les portes quand le pays courait le danger d'être exposé au pillage. Le 25 novembre 1771, une délibération mentionna que cet emploi et son crédit de 18 livres étaient devenus inutiles : les portes tombant de vétusté ne pouvaient plus servir à rien. Une glacière fut établie en 1648. Son exploitant devait recueillir la glace durant l'hiver et la débiter du 1er mai au 1er octobre au prix de trois deniers la livre. Les habitants tenaient beaucoup à cette vente, confiants dans l'idée accréditée que la glace devait les préserver de la fièvre.
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de-gueules-au-lion-d-or · 4 years ago
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Robert Doisneau (Français, 1912-1994), Légionnaires à La Montée des Accoules, Marseille, 1951
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waltersartmuseum · 6 years ago
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Art of the Day: Saint Sebastian Interceding for the Plague Stricken St. Sebastian was a Roman military officer martyred about AD 300 by being shot full of arrows and then clubbed to death. He was prayed to for protection against the plague. This painting depicts one instance of his intercession. According to legend, this event occurred long after the saint's death, during an outbreak of the plague in 7th-century Pavia, Italy. Here, just as a victim is to be buried, a grave attendant is struck by the disease. The plague-or Black Death-devastated Europe for centuries, and the painting's viewers would have known its horrors. St. Sebastian, pierced with arrows, kneels before God to plead on behalf of humanity, while an angel and a demon battle in the sky. The artist was never in Italy and based the appearance of Pavia on that of Avignon. In 1497, Lieferinxe contracted with the Confraternity of St. Sebastian to paint an altarpiece dedicated to their patron saint in the church of Notre-Dame-des-Accoules (now destroyed) in Marseille, France. Six other panels from this altarpiece are now in the Philadelphia Museum of Art (Johnson Collection), the Museo di Palazo Venezia in Rome, and the Hermitage Museum, Saint Petersburg. For more information, see the article by Melissa R. Katz, "Preventative Medicine: Josse Lieferinxe's Retable Altar of St. Sebastian as a Defense Against Plague in 15th Century Provence." Interfaces 26 (2006-7): 59-82. Learn more about this object in our art site: http://bit.ly/2KQkj3j
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veganlogicdinamo · 6 years ago
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#marseille #france ⬅️ #architecture #3gen_binalar #buildings #mimari #wall #travel #streetart #graffiti (at Montée des Accoules) https://www.instagram.com/p/BqsqzwGBzmE/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1h1plzjw5hjog
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gerardbillet · 3 years ago
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MARS_54. Le bazar de Cesar. #mars_54 #lebazardecesar #montéedesaccoules #savonnerie #invaderwashere #invader #invaders #invadersmarseille #spaceinvader #spaceinvaders #spaceinvadersmarseille #mosaic #mosaique #reactivationteam #protect_them #instapic #photooftheday #marseillemylove (à Montée des Accoules) https://www.instagram.com/p/Ccdl12kLUtI/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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stijenafurormonachus-blog · 7 years ago
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Josse Lieferinxe, St. Sebastian Cured by Irene, (Panel from the altarpiece of the Saint Sebastian chapel of Notre-Dame-des-Accoules, Marseilles, done in collaboration with Bernardino Simondi),1497, Oil on panel, 81,3 x 54,8 cm, Philadelphia Museum of Art
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alouestriendenouveau · 3 years ago
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L’été indien à Marseille
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Nous avons récemment visité Marseille pour la première fois, ville où nous n'étions jusqu'ici passé qu'en coup de vent entre deux trains. C'était aussi l'occasion pour nous de s'octroyer un premier week-end sans enfants depuis la naissance de Suzanne. Nous sommes arrivés dans la cité phocéenne le samedi midi, et avons filé directement déposer nos affaires dans notre hôtel, le plus vieux de Marseille : le Grand Hôtel Beauvau, datant de 1816, où ont séjourné notamment Lamartine, Chopin et Sand. Un premier coup d'œil jeté au Vieux-Port, puis on s'est installé à la terrasse des Arcenaulx pour déguster, un plat de poisson pour moi, et une bouillabaisse pour Rémy. Le tout au soleil, histoire de se croire encore en vacances en ce début de mois d'octobre.
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Le ventre plein et les papilles ravies, on a déambulé jusqu'à notre hôtel pour se reposer un peu. C'était aussi le moment pour moi de tirer mon lait. Comme pour les premiers week-end que nous avions fait sans Lou il y a 4 ans, j'ai emporté mon tire-lait afin de ne pas ressentir d'inconfort, et surtout de continuer à stimuler ma lactation. Suzanne a 8 mois et ma lactation tiendrait sans doute le coup sans stimulation pendant 2 jours, mais je ne préfère pas prendre le risque. De son côté, j'ai laissé chez mes parents plus d'un litre de lait tiré, qu'ils lui ont donné au biberon en mon absence. Après cette petite pause, on démarre une bonne balade sur le littoral. On a de la chance, le temps est avec nous. Premier arrêt, la plage des Catalans. Ce n'est sans doute pas original de s'y baigner, d'ailleurs il y a du monde, mais c'est le plus pratique sans voiture, et quelle beauté cette eau bleue !
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Après une baignade, on reprend la marche, qui nous amènera jusqu'à Malmousque. Le soleil commence doucement à décliner et on se dit qu'on s'installerait bien en terrasse pour boire un verre devant le soleil couchant, mais tout est pris d'assaut, et les prix du bar de notre hôtel sont prohibitifs ! Qu'à cela ne tienne, on s'achète de quoi boire et manger au Monoprix du coin et on dégustera tout ça dans notre chambre avec vue plongeante sur le Vieux-Port et le crépuscule !
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Le dimanche matin, petit déjeuner bien fourni mais chaotique (horreur, panne de café pendant 30 minutes !) à l'hôtel. Puis on s'élance pour, déjà, nos dernières heures dans la ville. La météo a prévu de la pluie, mais heureusement on n'en sentira pas une goutte. Au programme nous avions planifié une visite à la Bonne Mère (Notre-Dame de la garde) mais on se décourage vu le peu de temps qu'il nous reste. On passe au Four des Navettes et dans une savonnerie faire quelques emplettes, puis on envisage de prendre le ferry pour éviter d'avoir encore une fois à faire tout le tour du Vieux-Port. Mais malheur, pas de ferry à cause du temps (pourtant très paisible à ce moment-là, mais effectivement en fin de journée on verra le vent se lever).
On utilise donc nos jambes et on arrive du côté de Notre-Dame-des-Accoules. On grimpe dans le Panier, ce vieux quartier où des immeubles au style provençal se mêlent à du street art. On continue notre marche jusqu'au Mucem puis on repart à nouveau faire le tour du Vieux-Port pour repasser de l'autre côté.
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On s'installe alors dans un petit café vietnamien, Cà Phê S, pour goûter notamment le cà phê trứng, un café à l’œuf, sucré et onctueux. Avant de lever l’ancre on y prend aussi des snacks à manger dans le train. Puis on s’installe en terrasse d’un bar, le Marengo, pour boire du pastis et des cocktails, et profiter de nos derniers instants à Marseille, sur fond d’un immense tas de poubelles, suite à la grève des éboueurs.
On nous avait prévenu, Marseille ce n’est globalement pas une jolie ville. Effectivement, et je ne m’attendais pas à être presque oppressée par toute cette foule, la circulation, les bruits des voitures, les odeurs de poubelles, la saleté ambiante, pourtant venant de Paris qui n’est pas très réputée pour tout ça, mais que j’ai trouvé presque raffinée à côté de Marseille. On n’a pas retrouvé le charme du Sud auquel on s’attendait. Mais j’ai tout de même aimé ce week-end, la côte est magnifique, la luminosité intense m’a vraiment ravi, et surtout on a passé un chouette moment de détente, je reviendrai avec plaisir !
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platform58 · 6 years ago
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#SUPPORTARTISTS Regrann from @eddiecolla - #Repost @caroline.ganay Quartier du Panier, Marseille - « Street Art lover : by the artist @eddiecolla » - Mai 2018 #france#sud#paca#marseille#lepanier#streetart#marseillestreetart#eddiecolla#accoules#perspectives#wall#man#bnw_marseille#BNW_PLANET_2018#bnw_greatshots#bnwsouls#bnw_drama#bnw_rose#bw_divine#bnw_mustery#bnw_madrid#bnw_international#CHOOSEMARSEILLE#fotopavia
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philoursmars · 7 months ago
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Marseille, le Clocher des Accoules et les toits du quartier du Panier.
A gauche, on voit les vestiges d'un ancien moulin.
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libidomechanica · 7 years ago
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Untitled (At of sweets shut out then i feel of be January people link on the green)
At of sweets shut out then i feel of be January people link on the green Into shes infused fore that do noctorrown here a ger cry mous vely. Parand him sloome becade slapped herded ster, and out discolo as its ste! Catch. What day and thand see of you cour bling
The strough basked wide— Befor the dartle ribly to the reast ponded daught, dow cloused and pland in ther; everywher came. Then face You knell.
Those, Wakind solord’s beforegreet— And, a wring— Blace Your losing, gle I severy part me play is where lack of love graspeed three      weed alright all brushe, and tables the of feath ale get us people. Would you hair in and sheeks. Her will of the sure rottedly, the can I cats.
Then of the deats. Where blacell. I red up ther’s accoul, my wife blaces, The see her he gray with back-in ance!
Imple don’t you of a his night, in a larms burse once … the back. Kill the the peak boy wher hellinks in the row the sugall the wate glare with glare city, and too his a cinn-doom when the Owl to me i res, on my face an I me.
Sunlight But the passuress, and light what lean islaiting daugh the on her the word’s raighter in the seem of myselves rund in the holding the long, to simpo.
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dominique44000 · 3 years ago
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Montée des Accoules -Le Panier Marseille. 📷 Dominique Dubois #marseille #marseillecity #marseillais #lepaniermarseille #lepanier #photooftheday #photo_of_the_day #photodemarseille https://www.instagram.com/p/CTsXAHyMFXG/?utm_medium=tumblr
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desfleursetduchocolat · 7 years ago
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Histoire authentique de la Sardine qui a bouché le port de Marseille et la non moins histoire authentique du fameux, du sublime Molinari de La Ciotat.
Imaginez, en 1775, sous le règne de Louis XVI, le vieux port de Marseille ; de gros navires à quai, d’autres croisant au large entre le château d’If et le Fort St Jean. Imaginez les quais encombrés de marchandises : tonneaux de vin de Bandol, de Provence, du Comtat Venaissin…, des fûts d’huile d’olive des Baux ou du haut pays…, des poteries d’Aubagne, des ballots de laine des Alpes…, et aussi les riches soieries d’Orient, les fruits venus d’ailleurs, les bois précieux d’Afrique… Imaginez le soleil du mois de juin qui chauffe les têtes et met le feu dans les coeurs et les gosiers…. Regardez ces magnifiques bateaux qu’on charge et qu’on décharge : le va et vient des portefaix, les cris des charretiers, la colère des Capitaines, le souci des armateurs… Regardez tout ce petit peuple qui vit du port et sur le port : hommes de peine, ouvriers charpentiers, marins en maraude, pêcheurs de girelles ou de poulpes, demoiselles galantes, partisanes et leurs paniers de poissons, enfants chipeurs d’oranges….mais aussi les bonnets rouges des bagnards de l’Arsenal des galères… Mais regardez aussi les belles dames en habits dorés, les gentilshommes traînant leurs perruques et leurs épées, les commis de négoce et les ecclésiastiques à larges chapeaux …. Remontez La Canebière, vous y rencontrerez des entrepôts, des remises, des écuries, des tavernes, des accueillantes maisons à lanternes rouges, des églises pour la rémission de vos pêchés… Dans ce Marseille, toutes les langues se mélangent, on se parle en provençal, on se dispute en sicilien, on fait des affaires en grec, on marchande en arabe, on négocie en catalan …, dans une odeur de fruit, de poisson, de crottin de cheval, de thym et de lavande ! Bref, vous avez Marseille à vos pieds ! Un personnage important pèse sur la ville, les consuls de la mairie, le gouverneur, l’archevêque lui rendent les honneurs qu’il convient à son rang et ne peuvent enfreindre les désirs et les ordres de ce si puissant seigneur ! En fait, il commande à toute la ville ! Ministre de la Marine au Conseil du Roi, Monsieur le Comte de Sartines est aussi le plus puissant armateur de Barcelone à Gênes. En toute modestie, le fleuron de sa flotte, un magnifique navire marchand, a été baptisé le « de Sartines ». Il est si beau et si imposant que même les pirates barbaresques n’osent l’attaquer ! Cette merveille est commandée par le Chevalier de Peil (poisson en provençal), solide officier très expérimenté, bien connu sur toutes les côtes de la Méditerranée. Ce mardi du mois de mai 1775, les cales du navire sont remplies à ras bords de marchandises à destination de Constantinople. Le départ est prévu pour le lendemain à l’aube et l’équipage consigné depuis la veille est déjà aux ordres. Le mardi soir, un violent mistral se lève, l’orientation de la passe entre les Forts St Nicolas et St Jean empêche toute manoeuvre de sortie. Il faut attendre …, et calmer l’équipage. Le vent souffle en tempête pendant 3 jours. Le samedi matin, enfin le vent tombe mais la mer reste grosse, très grosse. Le Capitaine et son Bosco, très sûrs de leurs talents de manoeuvriers, décident de la sortie. Le navire sort tout doucement de son appontement et se présente devant la passe….. Au droit de St Nicolas, une première vague met le bâtiment en travers, la seconde le couche et la troisième l’envoie par le fond.
De la merveille flottante il ne reste plus que le bout des mâts émergeant au dessus des flots. Pas de victime, tout le monde rejoint les quais sous les lazzis de la foule. Tout Marseille s’esclaffe, se raconte l’affaire, brode autour du naufrage; bref, même les paysans d’Allauch et de Plan de Cuques en route pour le marché d’Aubagne se moquent allègrement de ces fichus marins. Tout Marseille rit…..mais pas trop longtemps. Le « de Sartines » bouche bien l’entrée du port ! Impossible d’y entrer et encore moins d’en sortir. Marseille est en panne ! Toute la bonne ville bruisse de cet événement, le bruit court comme une balle de mousquet : le « de Sartines a bouché le port », le « de Sartine a bouché le port », le « de Sartine et le Peil ont bouché le port » ! et bientôt, comme de bien entendu, pour des oreilles non averties, « le poisson et la sardine ont bouché le port», puis tout bonnement « la sardine a bouché le port » ! La rumeur enfle, court, se transforme, envahit bientôt toute la Provence, puis le Languedoc voisin et bientôt même le Dauphiné et le Lyonnais. Encore quelques jours et la France se moque de ces braves méridionaux beaux parleurs mais médiocres marins. Mais la galéjade et les fariboles n’ont qu’un temps : plus de bateaux, plus de travail, plus d’argent, plus de pain ! Le peuple gronde ! Le peuple a faim ! Les bourgeois, les notables, les syndics ont beau faire donner des messes à l’église des Accoules ou à l’église St Laurent…… Le bateau bouche toujours le port. La « sardine » bouche vraiment l’entrée du port ! Marseille est prête pour la révolte et manifeste bruyamment ; de leurs bastides aixoises les autorités font bien distribuer du pain, du poisson séché, quelques livres de pois chiches…..le peuple gronde de plus en plus fort. On fait manoeuvrer quelques régiments venus du Dauphiné, l’Archevêque fait faire de belles homélies …, rien n'y fait, la disette s’installe avec le désordre. Bien sûr, les services de l’Etat et M. de Sartines ont bien compris qu’il fallait renflouer le bateau ; mais comment ? Paris envoie en urgence ses meilleurs ingénieurs, mais il faut 10 bons jours pour venir de Paris avec tout le matériel…, et en attendant…, la ville a faim ! Les ingénieurs parisiens se montrent, bientôt, incapables de résoudre le problème, d’ailleurs tout le monde s’en mêle : le Roi, les Ministres, le Gouverneur, l’Abbé de St Victor…… Rien ne sort de ces interminables palabres ! De guerre lasse, on s’en va quérir des ingénieurs à Barcelone, puis à Gênes et même en Turquie….. Rien, pas de solution, « la sardine » empêche tout mouvement de navire…. Et le peuple gronde de plus en plus et a de plus en plus faim. Une rumeur commence, piano piano, à courir et à se répandre sur le Vieux Port : « faù ana cerca Molinàri », « faù ana cerca Molinàri » , « faù ana cerca Molinàri a La Cieuta » (il faut aller chercher Molinari à La Ciotat). Les autorités tergiversent encore ! Pensez donc, ce Molinari n’est qu’un petit charpentier de marine, patron d’un petit chantier naval dans la bonne ville de La Ciotat, tisseur de voile et quelquefois fondeur d’ancre de marine. D’ailleurs, les gens de la région l’appelaient « le marchand d’ancre ». Il a aussi la réputation, entre Marseille et Toulon, de génial inventeur jamais à court d’innovation
… Mais les grands personnages hésitent à faire appel à cet artisan que la vox populi réclame si fort. Le peuple, désoeuvré et sans un liard, a faim, des émeutiers ont mis le feu à quelques belles demeures du côté du quartier Ste Anne …… La haute société commence à avoir peur, mais tergiverse toujours ! Pensez donc ce Molinari n’est qu’un artisan presque analphabète, qu’a-il fait d’autre que de construire que des pointus et des tartanes ? Il n’est même pas bourgeois et puis c’est un gavot de l’Ubaye, il ne parle que le provençal des montagnes et si nous le sollicitons, combien cela va nous coûter ? Mais l’idée fait peu à peu son chemin, il est, enfin, fait appel à ce Molinari. Ce n’a pas chose aisée, Marseille est à 6 lieues de La Ciotat, les marseillais ne sont pas des clients faciles, et puis Marseille pour un ciotaden ……. les bons gros Louis d’or ont un effet salutaire sur les réticences du charpentier. Venu à pied d’oeuvre, Molinari évalue rapidement la situation, demande aux Syndic de lui fournir 5000 cochons qu’il tue immédiatement pour récupérer les « bouffigues » (les vessies, en provençal). Prestement, il invite, 5000 marseillais à venir sur le port munis de longs tuyaux de cannes (les roseaux de Provence), face à cette pauvre sardine qui bouche toujours le port ! Des plongeurs courageux placent astucieusement dans le bateau les 5000 bouffigues et Molinari, tel un chef d’orchestre, demande au 5000 marseillais de souffler en cadence pour gonfler les vessies de porc ! Miracle sans nom, le bateau commence à tressaillir, puis à bouger, on voit les 3 mâts qui montent peu à peu vers le ciel, puis petit à petit le navire émerge des flots ! Le pari était gagné ! Lecommerce peut reprendre et le pain revenir ! Le peuple exulte, le peuple n’a déjà plus faim !
La fête est immense, Molinari fait marseillais d’honneur…. retourne vite à La Ciotat où d’autres exploits l’attendent. Telle est la (presque) véritable histoire de cette sardine qui a bouché le port et du non.moins célèbre Molinari ; elle m’a été racontée par ma grand-mère, née en 1890 à la Seyne/mer, et qui la tenait, elle même de son aïeule.
Mais mon histoire ne serait pas assez belle si elle se terminait ainsi. Nous les provençaux, lorsqu’on ne peut résoudre un problème ou une difficulté , il nous vient toujours cet expression « faù ana cerca Molinari » et il m’arrivait lorsque mon patron me demandait quelque chose d’impossible de m’écrier, devant mes collègues ébahis, « il va falloir encore aller chercher Molinari ! ».
Mon petit conte ne s’arrête pas encore. Vous me le pardonnerez. C’est Molinari qui a aussi construit le Pont du Gard, les arènes de Nîmes, Notre Dame de la Garde, le viaduc du TGV de Ventabren et l’Airbus A380 ! « se non è vero, è ben trovato » Daniel Dadone mai 2006
Dernière minute! Naguère dans les pages de l’Écho notre ami Daniel Dadone nous racontait l’histoire in-vraisem- bla-ble que le sieur Molinari aurait enlevé l’épave d’un navire appelé « De Sartine» devenu ensuite « La Sardine » et qui aurait bouché le port de Marseille en des temps reculés et néanmoins proches.
Je profite de cette chronique pour rétablir un fait historique nié par notre collègue. C’est bien une sardine qui a bouché le port en voici la preuve ci contre :
Le courrier des lecteurs… Jojo du Canet 04/2010
- Christian de Saint François 
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artconnaisseurdetectiveus · 7 years ago
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LE MUCEM : Galerie de la Méditerranée
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Pour ceux qui pensent que Marseille est un endroit idéal pour aller à la plage ou pour chercher des fossiles dans les calanques blanches aux roches calcaires, je suis totalement d'accord, vous n’avez pas tort.
A part les pastis, les navettes à la fleur d'oranger chez "Navette des accoules" ou la bouillabaisse au Rhul, nous ne devons pas oublier que la deuxième ville la plus grande de France fait partie de la Méditerranée.
Dans l’antiquité ce port était un point d'échanges commerciaux par des cultures telles que la phénicienne, et si nous allons encore plus loin dans l'histoire, même les pingouins étaient arrivés avant les Romains.  
Surprenant mais vrai, j'ai découvert de tels mystères lors de ma visite au musée MUCEM installé au Fort Saint-Jean. Accessible à travers une passerelle, cet original centre culturel est composé de deux axes principaux : l’un historique et l’autre contemporain, un parfait mélange !
Une fois à l'intérieur du fort, avec une petite balade vous avez accès à La Tour du Roi René, la Chapelle, la Tour du Fanal ou le bâtiment Georges Henri Rinvière, ce qui m’a fait penser au Fort de Carthagène. L'une de mes pièces préférées était la gamme des bijoux berbères et kabyles exposés sur une table de montage avec toute une série de photos, travail compilé par M. Bounani.
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Une fois traversée la deuxième passerelle, nous avons accès à la partie moderne du musée ressemblant à un glaçon flottant. Avec une belle terrasse donnant sur la mer, cette partie était plus axée sur les conquêtes entre les XV-XVIII siècle. Comme un bon Mageyanes ou Christophe Colon, je suis resté agréablement surpris par l'immense Mappemonde que Fra Mauro a dessinée en 1495 pour le roi du Portugal.
Une fois la visite terminée, la sens de la Méditerranée s’éclaircit : elle est mille choses à la fois, non pas un paysage, mais d’innombrables paysages, non pas une mer, mais une succession de mers, non pas une civilisation mais des civilisations interposées les unes sur les autres.
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