#Un témoin dans la ville
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Un Témoin dans la ville, Edouard Minaro, Lino Ventura, 1959.
Synopsis : Madame Ancelin a été tuée par son amant, un certain Verdier. Plutôt que de dénoncer le meurtrier, monsieur Ancelin préfère le supprimer à son tour. Il maquille son crime de façon à faire croire à un suicide, mais en sortant de chez sa victime, il rencontre un imprévu : un chauffeur de taxi que Verdier venait d'appeler. Ce témoin gênant est loin de se douter qu'un meurtre vient d'être commis. Il s'éloigne, persuadé de s'être trompé d'adresse. Ancelin, méfiant, entreprend de le retrouver pour s'assurer définitivement de son silence.
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Un témoin dans la ville (Witness in the City, 1959)
"I'll yell. I'll yell for help. The neighbours will come."
"The rich don't have neighbours, Mr. Verdier. Just trees surrounding their homes."
#Un témoin dans la ville#witness in the city#french cinema#film noir#1959#édouard molinaro#pierre boileau#thomas narcejac#gérard oury#lino ventura#sandra milo#franco fabrizi#jacques berthier#ginette pigeon#françoise brion#robert dalban#micheline luccione#janine darcey#gérard darrieu#jacques monod#barney wilen#beautifully stripped down‚ jazzy noir; simple and brutal‚ as Lino Ventura's righteous murderer stalks the sole witness to his crime and#very gradually loses his humanity and the sympathy of the audience. it's all hard shadows and collateral damage‚ a nihilistic study of the#inescapable escalation of violence in the search for revenge. Ventura is fantastic: he had such a great face for cinema‚ a big blank canvas#just waiting to be painted with all the worries the world has to offer‚ here running the gamut from hard and pitiless to soft and frightene#he's the noir archetype‚ a thoroughly ordinary man caught up in an extraordinary situation and rapidly spiralling out of control#waltzing ever steadily towards a destruction of his own making. everyone's great here tho‚ and there's not an ounce of flab on this film#nor a single wasted shot. Molinaro works in some light among the dark‚ moments of life that stand in contrast to the moments of death#warmth against cold; unsentimental‚ from the brutal opening murder to the perfunctory bleakness of the finale#an indispensable noir full of detail and realism and life and character. highly recommended for p much anyone
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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Le Pigeon et l’Homme. Sur le pavé froid et mouillé d’une ruelle de Paris, un homme gisait, oublié du monde. Ses haillons trahissaient une misère profonde, et son visage, marqué par le froid, portait l’ombre d’un destin brisé. Autour de lui, les passants passaient, pressés, insensibles, absorbés par les méandres de leur propre existence. Mais du haut d’un toit, un œil brillant observait cette scène. Un pigeon, humble créature des cieux, se tenait là. Son plumage gris semblait absorbé par la pâleur du ciel hivernal, et pourtant, en lui brûlait une lumière. Ce pigeon n’était pas ordinaire : il portait en son cœur une noblesse que peu d’hommes possèdent. Voyant l’homme abandonné, il descendit en une volée d’ailes, et se posa doucement à ses côtés. Là, il vit la détresse. L’homme, au bord de l’inconscience, murmura : Laissez-moi. Paris n’a plus besoin de moi. Mais le pigeon, dans son silence, avait entendu mille histoires. Et dans son instinct, il comprit qu’un geste devait être fait. Il battit ses ailes avec force, saisit les pans du manteau de l’homme entre ses serres, et dans un effort titanesque, il s’éleva. Oh, que dire de cette vision le ciel de Paris s’ouvrit comme un poème. Un pigeon, frêle et déterminé, portait un homme, lourd de douleur, à travers les brumes de la ville. Les toits d’ardoise devinrent spectateurs, et les cheminées, témoins muets d’un miracle. Il le déposa enfin sur un banc, sous la lumière vacillante d’un réverbère. Là, il vola en quête d’aide, et trouva une vieille femme, marchande de fleurs, qui passait avec un panier d’herbes. Elle s’arrêta, interloquée. Que fais-tu là, oiseau des rues ? demanda-t-elle en voyant le pigeon qui voletait autour d’elle avec insistance. Elle suivit son étrange guide, et trouva l’homme affaissé. Avec douceur, elle le ranima, partageant son pain et son vin. L’homme, éveillé, croisa le regard du pigeon perché non loin, comme un ange discret. Était-ce toi ? murmura-t-il, les larmes aux yeux. Le pigeon, dans un battement d’ailes, s’éleva vers le ciel, disparaissant parmi les étoiles naissantes. Et ainsi, dans cette nuit parisienne, un simple oiseau avait rappelé à un homme sa propre valeur, et à une ville son humanité. Car Paris, sous ses façades de pierre, est un théâtre d’ombres et de lumière, où même les plus humbles peuvent devenir héros, et où les cieux abritent des cœurs plus vastes qu’ils ne le laissent paraître. Barbesànthiel
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Une sculpture le passage de Fredrik Raddum
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Ces derniers temps je pense beaucoup à ma meilleure amie d'enfance et d'adolescence avec qui j'ai plus trop de contact parce qu'elle sera pas à mon mariage et ça me travaille beaucoup, pas parce que j'aurais aimé l'inviter mais plutôt par nostalgie de la relation qu'on avait petites, quand on pensait à l'avenir on était persuadées qu'on vivrait dans la même ville je serais bibliothécaire et elle fleuriste (ça ça s'est bien réalisé pour le coup mdr) et on serait témoin au mariage l'une de l'autre et on serait marraine des enfants de l'autre mais ça s'est pas passé comme ça je suis partie et elle est restée là où on a grandi, on voulait plus les mêmes choses de la vie et surtout j'ai commencé à assumer de vouloir des trucs qu'elle ne voulait pas alors qu'avant je m'écrasais pour faire comme elle. Je pense pas que la relation était spécialement toxique mais en tout cas très déséquilibrée elle était la meneuse extravertie jolie etc et moi la suiveuse réservée un peu cheum lol je pense que ça la flattait d'avoir toujours quelqu'un avec elle qui la rendait encore mieux par comparaison. Moi je disais rien parce que j'avais trop peur d'être seule mais maintenant j'ai ma vie ma maison mon keum mon travail et je suis loin donc on s'est pas quittées en mauvais termes mais juste on s'est éloignées et maintenant se suivre sur instagram c'est le seul aperçu de la vie de l'autre qu'on a. Bref tout ça pour dire que je rumine beaucoup sur le fait de vivre mon mariage sans elle tout en étant sûre que j'ai pas envie qu'elle soit là non plus c'est difficile à appréhender mais j'étais trkl dans mon coin avec mes pensées sauf que ma mère m'a dit hier qu'elle avait laissé une lettre pour moi chez mes parents et ça m'a mis dans un état d'angoisse pas possible parce que j'ai peur de lire cette lettre et d'être assaillie de sentiments pas sains pour moi ou être obligée de reprendre contact (parce que j'ai clairement pas envie, je suis très bien maintenant avec seulement la nostalgie de ce qu'on avait) et en même temps ne pas la lire me rendrait foldingue parce que je suis la meuf la plus curieuse de la terre bref je sais pas quoi penser de cette histoire 🤪🤪🤪 oui vous avez lu jusque là pour cette conclusion je suis bien désolée pour vous
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Chaque jour, le monde bruisse de heurts invisibles, ces collisions ordinaires qui déchirent les silences. Une parole de trop, un regard de travers, une main levée, un cœur fermé. Les rues résonnent des pas pressés de ceux qui fuient l'autre, de ceux qui ne s'entendent plus, ni en mots ni en âmes. Les murs de nos villes deviennent des témoins muets, impuissants face à la violence qui s'insinue, insidieuse, dans les esprits fatigués.
Pourtant, quelque part, entre deux silences, l'espoir demeure. Il se glisse dans un sourire échangé, dans un geste offert sans attendre. Il naît dans le murmure de ceux qui, malgré tout, croient encore que la douceur est possible. Qu'un jour, les barrières tomberont, que les voix s'accorderont, et que chacun pourra poser son fardeau pour marcher aux côtés de l'autre, non pas en ennemi, mais en frère. Alors, la violence s'éteindra, et nos différences seront des ponts plutôt que des armes.
Un jour, peut-être, le monde s'écoutera. Et dans le fracas des époques anciennes, s'élèvera une mélodie d'harmonie retrouvée.
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between two floors ll jooseok
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pairing - jooyeon x jiseok
tw - humour, présence de smooch facial de type baiser, présence de références de pop culture
✧ (mention de crise d'angoisse, j'espère avoir été au plus proche de la réalité mais n'hésitez pas à me faire savoir si ça vous paraît incomplet ou incohérent)
— Dis-moi que l’ascenseur ne vient pas de se bloquer entre deux étages.
Le silence qui s’était installé dans la cabine depuis qu’elle s’était immobilisée continue de s’étirer et la grimace sur le visage du garçon devant lui n’augure absolument rien de bon.
— Je crois que l’ascenseur vient de se bloquer entre deux étages, finit-il par déclarer, l’air déconfit et Jiseok ferme les yeux un instant, réprimant à peine un râle de dépit.
— Putain.
Il savait qu’il aurait dû prendre les escaliers, quitte à se briser la colonne en deux. Mais le mal du siècle autrement nommé flemmingite et le poids plus que conséquent de son colis l’avaient poussé à prendre la pire décision de son existence : utiliser l’appareil qu’il considérait comme une création de Satan lui-même.
Dire qu’il détestait les ascenseurs était un euphémisme. Son aversion s’étendait à tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à un endroit confiné, avec très peu (voire pas) de portes de sortie et l’idée même d’être bloqué dans une cabine hermétique pendant de trop longues secondes était ce qui se rapprochait le plus possible de la torture psychologique.
Il était resté un bon moment à lorgner les portes avec méfiance, une balle de golf logée dans le creux de la gorge. Il avait pesé le pour et le contre suffisamment longtemps pour saluer au moins deux salves de voisins lors de leur sortie de l’ascenseur. Voisins qui lui avaient jeté des regards circonspects avant de s’éloigner en chuchotant et devaient désormais le prendre pour un dégénéré.
Si ce n’était pas déjà le cas, compte tenu de ses cheveux couleur Malabar ou de la ribambelle de chaînes et de clous qui parsemaient ses habits.
Il avait été tenté d’appeler Jungsu pour lui demander un coup de main avant de se raviser, gêné à l’idée de le faire traverser la ville simplement pour l’aider à grimper trois étages avec un carton excessivement lourd. Mais la simple pensée d’être enfermé dans la cabine lui avait donné des sueurs froides alors il lui avait fallu de nombreuses minutes et tout autant de respirations pour prendre son courage à deux mains.
Ce n’était qu’un court moment à passer. Il en était capable.
Enfin, c’était ce dont il avait essayé de se convaincre pour ne pas rester planté au rez-de-chaussée jusqu’à ce que mort s’en suive.
Même s’il n’arrivait pas à contrôler la crainte qui le saisissait à la gorge dès qu’il se retrouvait confronté à ce genre de situation, il savait pertinemment qu’il ne pourrait pas l’éviter toute sa vie. Et il n’y avait, de toute façon, personne pour l’aider à monter son colis jusqu’à son appartement.
Fébrile, il s’était avancé jusqu’à la cabine désormais vide de tout occupant et il avait senti la boule grossir un peu plus dans sa gorge lorsqu’il avait vu les portes se refermer. Une infime partie de lui avait espéré de la compagnie lors de cette traversée de l’enfer, mais il allait devoir affronter ce moment en solitaire et il avait dégluti, les doigts crispés contre le rebord du carton. Peut-être que c’était mieux ainsi. Personne ne serait témoin de la paralysie qui allait le clouer au plancher de cabine pendant l’ascension et de ses inspirations bruyantes par le nez pour éviter de suffoquer à cause de la panique.
Pourtant, une main s’était glissée dans le mince espace entre les portes au dernier moment, le faisant tressaillir. Un garçon qui devait sûrement avoir son âge était apparu dans l’ascenseur, essoufflé mais vibrant d’une bonne humeur communicative. Il l’avait salué dans une expiration, l’unique mèche blonde au milieu de ses cheveux noirs valdiguant sur son front dans le mouvement.
Jiseok avait peut-être songé à se rendre à l’église pour y allumer une bougie, en guise de remerciements à la divinité supérieure qui avait entendu ses prières silencieuses.
Une présence à ses côtés, même celle d’un illustre inconnu (aussi charmant semble-t-il être, derrière l’étui à guitare qui le cachait à sa vue) était un réconfort tout ce qu’il y avait de plus appréciable.
Finalement, peu importe l’humiliation cuisante. Au moins, il n’allait pas mourir seul.
Les premières secondes s’étaient déroulées de manière tout à fait normale et il avait senti le poids sur son cœur s’alléger un tant soit peu. Tu peux le faire. Tu peux le faire. Tu peux le faire. Il s’était répété cette phrase comme un mantra, prenant de profondes respirations pour se forcer à rester aussi détendu que possible. La sensation d’élévation n’était pas déplaisante mais il avait essayé de ne pas trop fixer les parois de la cabine, concentrant son regard sur l’arrière de la tête du garçon devant lui, son énorme carton gisant entre eux sur le plancher.
— Tes cheveux déchirent, au fait.
La voix du brun s’était élevée entre eux et Jiseok avait souri, ses doigts glissant à la base de sa nuque pour enrouler une courte mèche rose bonbon autour de son index. Sa mère avait failli faire un arrêt cardiaque en le voyant, le premier jour. Avant de lui tourner autour comme un prédateur, le jaugeant comme un jury d’un défilé de mode et de finalement déclarer que c’était parfait assorti au reste de son look. Mais qu’il ressemblait tout de même à un Malabar. Il l’avait pris comme un compliment, venant d’elle et lui avait promis de la prévenir à l’avenir, s’il décidait d’opter pour quelque chose d’encore plus tapageur.
— La mèche à la Malicia est également un très bon choix, lui avait-il répondu, amusé, en espérant qu’il aurait la référence.
— Wolverine reste quand même mon personnage préféré.
Il avait reconnu la référence à X-Men. Pourquoi Jiseok n’avait-il jamais vu ce garçon avant aujourd’hui ?
— La question ne se pose même pas, avait-il soufflé, les lèvres étirées par un large sourire.
Il allait lui demander s’il habitait dans l’immeuble (et si oui, depuis quand) quand une vive secousse avait ébranlé la cabine, soulevant son cœur dans sa poitrine. Celle-ci avait aussitôt stoppé son ascension et le compteur s’était figé sur le deuxième étage, la flèche lumineuse indiquant la montée s’éteignant d’un seul coup.
Le pire cauchemar de Jiseok avait pris vie en un instant et son corps s’était plaqué contre la paroi à laquelle il s’était appuyé, ses yeux rivés sur le panneau de commande de l’ascenseur.
— Seungmin-hyung va me tuer…soupire le garçon en secouant la tête. Je vais appuyer sur le bouton d’alarme. Et on aura plus qu’à espérer qu’il redémarre au plus vite.
Ses paroles étaient comme un bourdonnement étouffé, pratiquement indistinctes. Jiseok ne l’écoutait plus vraiment, envahi par une soudaine chaleur qui lui donnait l’impression d’avoir été lâché au beau milieu d’un feu de forêt. Ses doigts s’agrippent au col de son pull, tirant dessus pour dégager son cou. Son cœur palpitait avec férocité dans sa cage thoracique, pareil à un oiseau affolé et il se sentait étourdi, sa gorge un peu plus obstruée à chaque seconde.
— Euh…Est-ce que ça va ? T’es tout pâle, l’interroge-t-il, l’air inquiet.
Non, ça n’allait pas. Il était juste un petit peu en train de rendre l’âme.
Les parois de l’ascenseur semblaient se rétrécir peu à peu autour de lui et sa respiration s’étrangle dans sa gorge à cette vision. Son dos cherchait à s’enfoncer davantage dans le métal glacé, comme s’il pouvait s’y fondre et son corps tout entier tremblait, ses jambes réussissant à peine à supporter son propre poids. Puis elles atteignent à leur tour leur limite et il se laisse glisser au sol, repliant ses jambes contre son buste. Sa vision s’était troublée et il ferme les yeux un instant pour essayer de garder un point de contact avec la réalité.
— …coincés entre le deuxième et le troisième étage. Je crois que le garçon qui est avec moi fait une crise de claustrophobie. Faites-vite, s’il vous plaît !
La voix du brun lui semble si lointaine et ses ongles s’enfoncent dans le tissu épais de son jean à cette simple pensée. Un mouvement sur le côté lui arrache un glapissement et il plonge la tête entre ses genoux, le souffle court.
— …ce que je peux faire ? Hey !? Tu m’entends ?
Il serre les dents, fermant les poings pour endiguer les spasmes qui parcouraient ses mains et se force à relever le nez pour le regarder. Des larmes avaient pointé au coin de ses yeux et des soubresauts secouaient sa poitrine à chaque inspiration. Il ne pensait même plus à la vision pitoyable qu’il devait représenter en cet instant, accaparé par la sensation de suffocation qui comprimait sa poitrine et la terreur qui se répandait à l’intérieur de lui, pareille à du mercure en fusion.
Il faisait beaucoup trop chaud. Ou froid. Il n’arrivait plus à faire la différence.
— Hey, reste avec moi. Ok ? lui murmure le brun, les yeux écarquillés.
Sa main se pose sur l’épaule de Jiseok pour le secouer et celui-ci s’accroche à cette pression comme Thésée l’avait fait avec le fil offert par Ariane. Il se concentre dessus pour ne pas perdre complètement pied, pour ne pas se laisser dériver dans ce mauvais rêve aux origines purement irrationnelles. Rien n’était réel, il aurait dû en avoir conscience.
Pourtant, il se laissait submerger un peu plus par les parois de la cabine, par le manque d’oxygène qu’il croyait ressentir à chaque halètement, par les scénarios délirants qui se frayaient un passage devant sa rétine.
Est-ce que c’était ici et maintenant qu’il allait rendre son dernier souffle ?
— Dis-moi ce que je peux faire !
Au prix d’un effort surhumain, il arrive enfin à focaliser son regard sur le visage du jeune homme qui lui faisait face. Est-ce que c’était de l’affolement qu’il distinguait dans ses yeux ? Celui-ci s’était teinté d’une lueur trouble et sa bouche en forme de cœur s’était plissée vers le bas, lui donnant un air que Jiseok sûrement trouvé adorable dans d’autres circonstances.
Là, il essayait juste de comprendre ses paroles, les mots se faisant difficilement un chemin jusqu’à ses neurones.
— Quoi ? croasse-t-il, avant de fermer subitement les yeux en voyant les parois de l’ascenseur se rapprocher davantage.
Il avait l’impression de les entendre racler le sol et le bruit métallique faisait déferler des vagues de frissons à travers son corps.
— Dis-moi ce que je peux faire pour toi, lui souffle à nouveau le brun et Jiseok prend une inspiration tremblante devant la volonté contenue dans ses propos. N’importe quoi.
Il y avait quelque chose dans sa voix, comme une fêlure qui n’avait rien à voir avec la brève chaleur qu’il avait pu ressentir lorsque le garçon l’avait salué. Une sorte d’impatience qu’il avait du mal à contenir, proche du désespoir.
— Je ne sais pas quoi faire, je panique de te voir paniquer et je vais devenir barjo si je continue de te regarder partir en vrille sans pouvoir me rendre utile. Alors dis-moi comment t’aider.
Sa main se trouvait toujours sur son épaule et l’autre venait de s’avancer avec lenteur pour recouvrir celles de Jiseok, toujours entrelacées au niveau de ses chevilles. Des mèches de ses cheveux sombres effleurent ses joues lorsqu’il penche la tête pour le regarder, une expression peinée creusant des sillons sur son visage.
Il se force à réfléchir, à sillonner les méandres de sa mémoire pour lui donner une réponse. Bravant l’épais brouillard qui avait envahi sa boîte crânienne, il cherche dans ses souvenirs.
Il doit bien y avoir quelque chose.
“Il faut distraire tes pensées de la situation qui génère la crise et les localiser sur autre chose.”
— Occupe-moi.
Sa gorge nouée avait rendu sa voix rauque et son regard croise celui du brun, interdit.
— Hein ?
Jiseok déglutit, fermant les yeux avant de resserrer ses bras autour de ses jambes.
— Je n’arrive pas à penser à autre chose qu’à ces putain de parois qui se rapprochent et la probabilité que la cabine se détache et que je ne veux pas mourir aussi jeune et tu dois vraiment me distraire pour que j’arrête de psychoter sinon je pense que je vais vraiment rendre l’âme et-
Ses paroles sont étouffées par la bouche chaude qui se pose d’un seul coup sur la sienne, lui arrachant un couinement. Des mains glissent contre sa mâchoire pour prendre son visage en coupe et son cerveau se vide instantanément.
Un choix insolite mais tout ce qu’il y a de plus efficace.
Ses paupières - qui s’étaient ouvertes à cause de la surprise - se referment à la pression suivante contre ses lèvres. Jiseok se concentre sur leur texture charnue, sur la manière timide qu’elles avaient de glisser contre les siennes, sur les doigts brûlants posés contre sa peau et qui semblent diffuser une chaleur pareille à un feu de cheminée après une longue journée d’hiver.
La position n’avait rien de confortable, avec Jiseok toujours roulé en boule contre le mur et le brun qui devait se contorsionner pour l’embrasser sans lui dévisser la nuque mais c’était un détail comparé au crépitement qui montait petit à petit dans sa poitrine.
C’était maladroit, inexpérimenté des deux côtés mais ça avait le mérite d’avoir arraché Jiseok au cauchemar dans lequel il était plongé. C’était d’une douceur presque douloureuse, d’une gaucherie proche de la perfection et son corps se détend de lui-même au fur et à mesure des baisers déposés avec une hésitation touchante contre sa bouche.
Son cœur papillonne et son souffle vient à lui manquer, le forçant à reculer. Mais le brun ne lui laisse que le temps d’une inspiration tremblante avant de le ramener vers lui, picorant ses lèvres de nouvelles attentions. Ses yeux bruns l’observaient, attentifs et avides. Comme s’ils cherchaient à percevoir quelque chose en lui, leur immensité troublant Jiseok plus qu’il ne l’aurait jamais imaginé.
Est-ce qu’il était vraiment en train d’embrasser un inconnu dans un ascenseur ? Apparemment. Est-ce que ça se serait produit, dans un autre contexte ? Probablement pas. C’était uniquement dans le but de l’aider à gérer sa crise.
— Ne te déconcentre pas, lui susurre le brun, sa bouche effleurant imperceptiblement la sienne.
Jiseok ferme à nouveau les paupières, intimidé par le regard posé sur lui et le temps semble se tordre dans tous les sens. Il n’arrivait plus à distinguer s’il passait trop vite ou s’il s’étirait en longueur, son monde ne se résumant plus qu’à la sensation brûlante logée dans son ventre. Les pouces du garçon imprimaient un rythme lent sur ses joues, teinté d’une tendresse insoupçonnée et il laisse échapper un soupir. Ses membres se délient et ses doigts crispés se raccrochent à la veste en jean du garçon, trouvant un certain réconfort dans le tissu rêche.
Il ne sait pas combien de minutes s’écoulent, après ça. Il ne s’en souciait pas vraiment, à vrai dire. Tout ce qui comptait, c’était cette présence rassurante et cette chaleur qui rampait sur ses bras, s’étirant jusqu’à l’arrière de sa nuque. La sensation d’ivresse qu’il ressentait devant l’incongruité de la situation et la langueur de leurs mouvements, devenus presque paresseux.
Comme si tout était parfaitement normal.
Un gros déclic se fait entendre, les interrompant et Jiseok a l’impression de se réveiller en sursaut, d’émerger d’un rêve dont il n’avait pas pu découvrir la fin. Il secoue légèrement la tête, la gorge nouée et le regard fuyant. Ils reculent tous les deux, sans un mot et Jiseok ne s’est jamais senti aussi gêné de toute sa vie. Après avoir vérifié qu’il était capable de tenir sur ses deux jambes, il se redresse, suivi de près par le brun.
“Est-ce que vous allez bien ? L’ascenseur va repartir. Nous sommes vraiment désolés pour le désagrément.”
Une voix s’échappe du petit combiné logé dans le panneau de commande de la cabine et ils tournent la tête dans sa direction. L’appareil se remet en mouvement au même instant avant de se stabiliser une poignée de secondes plus tard, le petit ding qui annonçait l’ouverture des portes se faisant entendre au-dessus de leurs têtes.
Jiseok allait être libéré de cet enfer.
Ils sortent de la cabine aussitôt, le jeune homme l’aidant à pousser son carton dans le couloir et il prend une grande inspiration, tâtant la dureté du sol sous ses pieds comme pour se rassurer quant au fait que c’était enfin terminé.
— Je ne suis pas mort, murmure-t-il pour lui-même, une main posée sur le cœur.
— Tu te sens vraiment mieux ? l’interroge le brun à ses côtés, après un moment de silence.
Il n’était pas en meilleur état, avec ses yeux luisants et ses lèvres encore gonflées. Mais il n’avait pas l’air particulièrement mal à l’aise, malgré la teinte rose qui s’étalait sur ses pommettes ciselées.
Néanmoins, il mettait le doigt sur un point essentiel.
Le geste avait fait refluer la panique dans un coin de sa tête. Ce n’était pas très conventionnel, il devait l’avouer mais ça avait fonctionné et la crise lui semblait déjà comme un mauvais rêve qui s’effaçait petit à petit après s’être levé.
— Ouais. Bizarrement, ça va mieux, lui confie finalement Jiseok, dans un souffle.
Le brun pouffe, son étui à guitare à nouveau juché sur son dos.
— Tant mieux. C’était l’idée, après tout.
— De toutes les possibilités pour me distraire, la seule chose à laquelle tu as pensé c’était de m’embrasser ?
— Je…Tu…J’ai paniqué, d’accord ? bafouille le jeune homme, ses paumes levées vers lui en signe de reddition. C’est la première chose qui m’est venue à l’esprit.
Jiseok rosit à son tour mais ses lèvres esquissent un sourire amusé.
— J’ai cru remarquer.
Le guitariste rougit davantage avant de s’approcher, l’air soudainement inquiet.
— Je suis désolé si je-
— Merci, l’interrompt-il pour le rassurer, penchant légèrement la tête pour accompagner ses paroles.
Il le pensait. Et ce n’était pas à la hauteur de la reconnaissance qu’il ressentait à son égard. Peu importe le moyen employé, il avait été là et c’était plus significatif que toute autre chose. Il l’avait aidé à traverser ce moment et l’avait accompagné sans le moindre jugement.
De plus, il était loin d’avoir trouvé ce moment désagréable.
— Merci. Tu m’as évité de finir en position foetale à attendre que la mort ne vienne me chercher. Et ton choix d’occupation, bien que discutable, était…intéressant ? poursuit-il, en lui jetant un coup d’oeil.
Il ne perdait rien à tenter le coup, non ?
Le visage du brun se détend de manière significative et il relâche les épaules, ses bras retombant le long de son corps. Jiseok se rapproche de son carton, ses dents mordillant sa lèvre inférieure.
— Tu habites ici ? demande-t-il, l’air de rien.
Il se renseignait simplement à propos de son sauveur, rien d’autre.
— Juste là, lui répond le garçon, en pointant la porte située au fond de l’étage. J’ai emménagé la semaine dernière.
— Oh.
Oh.
Il habitait au même étage que lui. Très bien. Il ne savait pas trop quoi faire de cette information, mais elle n’était pas dénuée d’intérêt.
— Mon appartement est là, explique-t-il en désignant sa porte ornée d’une petite plaque noire en forme de guitare.
Oui, il faisait aussi de la musique mais il n’avait pas vraiment eu l'occasion de le préciser, jusqu’ici. Et l’idée d’approfondir le sujet était plutôt tentante.
— Ah oui ?
— Ouais, souffle Jiseok, en faisant jouer le bout de sa chaussure sur le sol.
Ils se regardent sans un mot et Jiseok déglutit avant de s’emparer du haut de son colis, glissant ses mains sous les attaches en plastique pour sécuriser le carton contre lui.
— Je dois installer ça. Vu ce qu’il m’a coûté et je dis ça dans tous les sens du terme, autant qu’il se rende utile, plaisante-il pour dissimuler sa gêne.
— Bon courage. Moi je vais certainement subir les foudres de mon hyung à cause de mon retard, mais je lui dirais que c’était pour la bonne cause, lui répond le brun en mimant un salut militaire.
Un sourire fleurit sur les lèvres de Jiseok et il retrouve le même sur celui de son vis-à-vis. Il le salue timidement et il entend ses pas s’éloigner avant de chercher ses clés pour ouvrir la porte de son appartement.
— Attends !
La voix désormais familière de son voisin de palier lui parvient au moment où il est en train de refermer la porte et il s’arrête aussitôt, pointant la tête dans le couloir. La silhouette dégingandée de celui-ci s’approche dans sa direction et il tend la main devant lui, paume tournée vers le haut.
— Ta main.
— Ma main ?
Le guitariste tape du pied, ses cheveux voltigeant à cause du mouvement avant de presser sa main vers lui.
— Donne-moi ta main.
Jiseok s’exécute malgré la surprise et le brun l’attrape entre ses doigts pour la retourner. C’est là qu’il remarque le marqueur noir qu’il tient dans l’autre et la sensation de la mine se mouvant sur sa peau lui procure de petites chatouilles qui le font glousser malgré-lui. Une fois l’autre satisfait, sa main lui est rendue et il la lève au niveau de ses yeux pour observer ce qui y est inscrit.
Un numéro de téléphone. Et un…surnom ?
— Joo ? s’enquiert-il, les sourcils froncés.
— Jooyeon. Mais tu peux m’appeler Joo, si tu veux.
Jooyeon. Joli. Le prénom roulait agréablement bien sur sa langue.
— Jiseok, se présente-t-il à son tour.
Il jette un nouveau coup d'œil aux chiffres qui se succédaient sur le dos de sa main avant de la désigner à Jooyeon d’un geste du menton.
— Je…J’ai pensé…Si jamais tu as besoin de quelqu’un pour t’aider à porter un colis, balbutie celui-ci en haussant les épaules. Ou si tu te sens l’envie d’un marathon X-Men, à l’occasion.
Un feu de joie se met à crépiter dans la poitrine de Jiseok à ces paroles.
— Je prends note, souffle-t-il, son pouce longeant la ligne de numéros tatoués momentanément sur sa peau.
— Voilà…Euh…C’était tout, poursuit Joo en se frottant l’arrière de la tête. Je vais aller récupérer les partitions que j’ai oublié et me dépêcher avant de rater complètement la répétition.
— Je sais où tu habites de toute façon, lui répond Jiseok avec humour, avant de l’inciter à fuir avant de subir davantage les foudres de son hyung.
Il l’observe cavaler jusqu’à l’ascenseur, un frisson remontant le long de sa colonne vertébrale en le voyant s’engouffrer dans la cabine. Mais les portes s’ouvrent de nouveau et le buste de Jooyeon émerge dans l’embrasure, son bras faisant de grands gestes vers lui.
— Je n’ai pas de répet le jeudi soir, si jamais ! beugle-t-il avant de disparaître à l’intérieur, tirant un éclat de rire à Jiseok.
Il finit par refermer la porte de chez lui avant de s’adosser à celle-ci, les lèvres étirées par un sourire des plus stupides.
D’aussi loin qu’il s’en souvienne, il ne lui était jamais rien arrivé de similaire. Et il n’avait jamais rencontré quelqu’un comme Jooyeon. Pourtant, c’était comme si les choses avaient été écrites, comme s’il avait été destiné à le croiser sur sa route. L’image du brun lui souriant à pleines dents en lui donnant pratiquement rendez-vous persistait sur sa rétine, lui volant quelques battements de cœur.
Est-ce que c’était de l’espoir qu’il sentait naître au fond de lui ?
En tout cas, si ça ressemblait à ça, c’était une sensation drôlement agréable.
#xdinary heroes#xdinary heroes jooseok#jooseok#jooyeon x gaon#jooyeon x jiseok#french fanfiction#xdinary heroes fanfiction
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Les Secrets de la Nuit Rennaise : Une Vérité Qui Fait Froid dans le Dos
Par Éclaireur de l’Ombre
Rennes, une ville connue pour son dynamisme culturel et son histoire millénaire, dissimule peut-être un côté bien plus sombre que ses façades colorées ne le laissent paraître. Depuis plusieurs mois, j’ai recueilli des témoignages étranges, analysé des événements inexpliqués, et suivi des pistes qui mènent toutes à une conclusion troublante : Rennes pourrait être le théâtre d’un phénomène qui dépasse l’entendement.
Des disparitions sans explication
Avez-vous remarqué l’augmentation des disparitions inexpliquées ces dernières années ? Étudiants, noctambules ou simples passants semblent se volatiliser dans la nuit rennaise. Les autorités minimisent le problème, parlant de fugues ou de crimes isolés. Mais les chiffres ne mentent pas : les disparitions sont en hausse et suivent un schéma précis.
Témoignages glaçants
Je me suis entretenu avec un vigile qui travaillait près du centre-ville. Il affirme avoir vu une silhouette "inhumaine" bondir d’un toit à l’autre à une vitesse effrayante. "Ce n’était pas un humain, c’est sûr," m’a-t-il confié, encore sous le choc.
D’autres témoins parlent de rencontres troublantes dans les ruelles sombres de Rennes : des hommes et des femmes d’une beauté saisissante qui disparaissent comme des ombres, laissant derrière eux une étrange sensation de malaise.
Un lien avec les légendes urbaines ?
Rennes n’est pas étrangère aux histoires de créatures nocturnes. Certaines chroniques médiévales évoquent des "démons" rôdant dans la région, des êtres qui se nourrissent de la vitalité des vivants. Coïncidence ? Peut-être pas.
Des preuves troublantes
Lors de mes recherches, j’ai trouvé plusieurs anomalies :
Des photos floues montrant des silhouettes aux yeux brillants prises près du parc du Thabor.
Une série d’incidents où des animaux retrouvés exsangues dans les quartiers périphériques, comme si on leur avait retiré tout leur sang.
Des rumeurs persistantes sur une organisation secrète qui contrôlerait les nuits rennaises.
Un appel à la vigilance
Je ne prétends pas avoir toutes les réponses. Mais une chose est claire : Rennes cache des secrets qui méritent d’être dévoilés. Ceux qui marchent dans l’ombre ne veulent pas que vous sachiez la vérité. Mais ne vous inquiétez pas, je continuerai à creuser, pour vous, mes lecteurs.
Si vous avez été témoin de quelque chose d’étrange, contactez-moi via le formulaire anonyme de ce blog. Ensemble, nous pourrons révéler ce qui se trame dans les ruelles sombres de Rennes.
À bientôt, sous la lumière de la vérité.
Votre Éclaireur de l’Ombre.
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" Let's Not Fall In Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Bruno Buccellati.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré sa vie au sein de l'organisation Passione, Bruno vit une liaison avec une citoyenne lambda depuis quelques mois. Cette matinée ne fait pas exception alors qu'il a passé la nuit auprès d'elle et qu'il se réveille ainsi donc dans ses bras.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟔𝟏𝟏.
Musique : Let's Not Fall In Love - Big Bang.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Depuis le lit dont les draps sont défaits, il m'est possible d'apercevoir une petite partie de la banlieue de Naples, jolie ville d'Italie. Elle est éclairée par le soleil matinal puissant qui illumine le ciel d'un bleu paradisiaque, aux côtés d'oiseaux dont les chants s'additionnent au brouhaha des passants. L'on se croirait en milieu d'après-midi. C'est un mélange de vie, entre voitures, vélos, bateaux, piétons et animaux, Naples ne se repose qu'une fois la lune sortie de sa cachette.
La fenêtre est grande ouverte, ses deux portes sont collées au mur de la pièce, quant à la dentelle qui sert de rideau, elle flotte au gré du vent marin entrant dans la pièce, les volets en extérieur n'ont pas été fermés depuis hier matin, c'est la raison pour laquelle la chambre est aussi éclairée. Il devrait faire froid, pourtant c'est tout le contraire, la température est idéale. Les draps ont été poussés au bord du matelas pour une raison. Ma tête ne repose plus sur mon oreiller, je n'ai aucune idée d'où il se trouve tandis que, de ma hauteur --c'est-à-dire allongée--, j'admire le paysage qui m'est offert depuis cet appartement miteux. La verdure se fait rare en ville. Je ne peux voir, d'ici, que des arbres plantés en deux lignes longeant la route, pariant que les feuilles sont sèches, les troncs meurtris, et qu'une odeur d'essence s'en dégage, cela me rappelle les années où je passais mon temps davantage dehors qu'à la maison. Mes yeux y sont rivés, de petites perles salées se sont formés au bord de ceux-ci car, trop émerveillée par la beauté de mon pays, j'en ai oublié de cligner.
Avec mes mains abandonnées au dessus de ma tête, les doigts emmêlés dans mes cheveux, j'en oublie de sentir mon cœur battre. Les mèches me coupent la circulation, elles étrangles mes extrémités. Perdue dans mes pensées, il m'est impossible de songer à quoi que ce soit.
Je ne suis que la témoin de ce spectacle, tendant l'oreille à la moindre discussion provenant de l'extérieur, que cela soit des disputes ou des ragots bon à se mettre des vieilles mégères à dos.
Mes yeux changent de trajectoire avec fainéantise lorsque le matelas s'affaisse. Je ne vois qu'une silhouette floue le temps que ma vue s'adapte, du côté de la porte. Une main élégante tire sur un bout de costume blanc saupoudrées de gouttes noires. Un bruit de fermeture éclair survient. Sans attendre, je saisis ce qui est en train de se passer, mes doigts se crispent, ils s'accrochent à mes mèches de cheveux jusqu'à en casser certaines.
Mon regard accusateur se porte sur lui.
Buccellati. Bruno Buccellati.
« Tu me quittes déjà ? Reste donc, nous avons tant de temps à rattraper. Pourquoi tu pars ? Tu vas me rendre triste. »
Ma main s'approche de son torse pour jouer avec une des grosses fermetures éclaire sur son épaule. Puis, elle se pose sur sa poitrine.
« Je t'ai prévenue que je devais partir, je suis occupé aujourd'hui. » il explique, d'un ton posé, quoique compréhensif.
« Bruno.. »
Ma supplication le laisse indifférent. Il ne sourcille même pas.
Quel homme, j'en veux plus, mais parviendrais-je à le convaincre ? Il me paraît si souvent inaccessible, je ne le connais pas aussi bien que je le pense. Depuis quelques années déjà, Bruno Buccellati est sur toutes les bouches de notre petite ville aux abords paradisiaque, que ce soit sur celles de jeunes sauvés de la drogue, ou de parents, grand-parents, reconnaissants. Je me souviens de notre rencontre comme si cela datait d'hier.
Dès que ses yeux se sont posés sur moi, j'ai su que j'étais sienne.
Encore aujourd'hui, son emprise n'a fait que se raffermir.
« J'aimerais te garder rien que pour moi, tu es si cruel. »
Mes lèvres se posent sur sa joue.
« Mouah. »
J'embrasse chaque partie de son visage, désormais redressée, le torse bombé, et ignorant mon corps en tenue d'Ève. Je ne suis focalisée que sur un seul objectif : envelopper Bruno d'un océan d'amour. Mes mains prennent appui sur le matelas chaud, avec mes doigts agrippés au drap, je dépose de nombreux baiser sur sa joue, il ne dit rien lorsque je dérive sur son nez jusqu'à finir mon trajet à ses lèvres. Bruno ne fait que m'observer. Ce n'est pas un homme particulièrement bavard, je m'y suis habituée depuis le temps que nous nous fréquentons, et à vrai dire, c'est ce que j'aime le plus chez lui.
« Je reviendrai ce soir. » murmure-t-il en attrapant mon menton, me stoppant dans ma démarche. « Tu m'attendras ? »
Malgré moi, je glousse.
« Toujours. »
Sa question résonne dans ma tête et il m'est impossible d'ignorer le ton incertain qu'il a utilisé, parce que cela me surprend. Comment ose-t-il douter de ma fidélité ? Pas un instant ne passe sans que je n'espère le voir apparaître dans mon appartement. Je me moque de savoir si il a réussi à se procurer une clé en volant mon trousseau lorsque j'étais inconsciente, ou si entrer par effraction l'amuse, j'aime ça. J'aimerais qu'il le fasse plus souvent si possible, j'en ai assez de passer mes soirées à l'attendre au bord de ma fenêtre, jusqu'à m'assoupir ou me lasser et finir contrariée. Si possible, je voudrais l'ouvrir de l'intérieur et me glisser dans sa chair, le pénétrer et le refermer afin de vivre auprès de lui, d'unir nos cœurs dans un rythme que eux seuls pourraient répéter. Qu'il me fasse une telle proposition n'est pas inhabituel, Bruno Buccellati est bien plus qu'un homme respecté, auprès de tous il est vu comme un gentleman. Parfois je l'oublie. Il se fait un plaisir de me le rappeler, comme en cet instant.
Bruno caresse mon menton. Il jete des coups d'œil envieux à mes lèvres pendant que son pouce me touche, comme résistant l'envie de m'embrasser. Il me regarde de haut avec une expression plus douce. Son odeur empeste mon gel douche, à cela, je remarque que ses cheveux ont été récemment séchés et qu'il a la peau toute douce. Lorsque je me penche pour l'embrasser, il me stoppe d'un doigt sur la bouche.
« Je te gâte décidément trop. Tu as oublié tes manières ? »
Avec un tel homme dans mon lit, je suis plus que gâtée. Mais est-ce qu'il peut réellement me le reprocher ?
« Je reviendrai. » promet-t-il en se levant, m'abandonnant soudainement.
Paniquée, j'attrape sa main. Bruno l'esquive sans s'en apercevoir, forçant une plainte hors de mes lèvres.
« Tu es cruel, Bruno Buccellati. Tu me brises le cœur avec tes fausses promesses et tes flatteries, je suis une femme sensible, tu le sais, non ? »
Je ne l'atteins pas. Ma tentative de le manipuler échoue, je parviens toutefois à lui arracher un sourire. Il se courbe en rattrapant ses souliers et en les enfilant puis, lorsque sa main se pose sur la poignée de ma porte de chambre, je pose mes pieds par terre. Je suis chargée de regret. Tant de temps gâcher à dormir alors que j'aurais pu profiter de sa compagnie... c'est une erreur destinée à se répéter car ce n'est qu'en sa compagnie que je parviens à trouver du repos.
À sa hauteur, je pose ma main sur son bras et l'accompagne.
Bruno et moi échangeons un ultime regard, celui-ci, empli de tendresse, fait fleurir en mon bas ventre un cocon de papillons. Je me bats tant bien que mal. De toute mes forces, je me plie à ses désirs et évite de faire une scène.
Je m'arrête toutefois en entendant du bruit dans la cuisine, plus précisément des clés. Elles se posent sur le comptoir avant qu'une fois familière n'appelle mon prénom. Elle poursuit.
« Tu es là ? Je suis rentré plus tôt aujourd'hui. »
Bruno ferme la porte.
D'un calme calculateur, il examine ma chambre du regard, l'espace d'un instant il m'est impossible de comprendre ses intentions, car je suis bien trop partagée entre ces deux hommes chez moi. Finalement, il jete son dévolu sur ma fenêtre. Tandis que le bruit de pas se rapproche, que, horrifiée, je m'accroche à lui, Bruno se dirige jusqu'à elle. En chemin, il se saisit de mon drap pour m'envelopper dedans. Je renifle. Ses doigts s'attardent sur mon épiderme, ce n'est qu'une fois certain que je suis parfaitement couverte qu'il passe ses jambes au travers de la fenêtre et qu'il ne nous sépare. Immédiatement, ma main part à sa recherche.
Bruno ne me repousse pas.
« Reviens-moi. » je le supplie.
Il ne répond pas, plutôt, il embrasse le dos de mes doigts. L'onctuosité de ses lèvres me coupe le souffle. Lorsque la porte de ma chambre s'ouvre subitement, je fais volte-face.
Mon compagnon entre.
Son expression paniquée fond pour laisser place à une soulagée.
« Pourquoi tu répondais pas ? Je t'ai appelée. »
Il entre, cherche à me rejoindre.
Je suis trop occupée à me retourner pour m'assurer que Bruno est parti. Où est-il ? Disparu. Il tenait ma main une seconde plus tôt. Je sens encore sa chaleur et l'odeur de mon gel douche envahir mes narines, me faire flotter sur un petit nuage loin d'ici, comme imprimé dans mon esprit. Il me manque déjà. Je n'ai pas envie de redescendre.
« Qu'est-ce que tu fiches ? Tu m'entends ? »
Il est là !
Au bout de la rue, sur le trottoir. Je l'ai cherché partout... Je reconnaîtrais ce costume et cette allure entre mille, ça ne peut être que Bruno. Pendant que mon compagnon s'approche de moi et pose sa main sur mon épaule, je m'accroche à la fenêtre et plisse les yeux. Par peur de le perdre de vue, je ne cligne pas, et c'est à peine si je respire, à vrai dire, je retiens mon souffle.
Bruno marche de manière décontractée, les mains dans les poches. Il salue un trio de vieilles femmes qui lui sautent dessus l'instant même où elles le reconnaissent. Elles l'ont arrêté juste avant qu'il s'engouffre dans une autre rue, loin de moi. Je l'aurais perdu de vue. À cette pensée, ma gorge se serre. J'essaie de former des mots, de dire n'importe quoi, mais je ne peux que faire le deuil de cette nuit que nous avons passé ensemble en espérant que ce soir, il me reviendra. Que ça n'est pas encore un de ses mensonges. À cause de sa fichue bonté, je ne peux même pas me montrer égoïste, le garder rien que pour moi. Il sert le peuple, rend service, il tue pour protéger le nom de son gang, Passione, tandis que je reste dans l'ombre à attendre son retour dans les bras d'un homme pour qui je n'éprouve rien. Son toucher m'est indifférent. Le son de sa voix est aussi doux que du papier de verre. Il m'erraffle le cœur. Je ne veux qu'un homme, et il me glisse entre les doigts, fuyant ses responsabilités après qu'il se soit emparé de mon âme.
En pleine discussion, Bruno tourne la tête. Les dames s'écrient joyeusement, quémandant de l'aide, elles ignorent qu'il ne les écoute plus.
Au même moment, mon compagnon dépose un baiser sur mon épaule.
Nos regards se croisent. Lui dans son monde, moi dans le mien.
J'en ai le souffle coupé. Une brise se met à souffler, l'air marin me frappe au visage. Tandis que mes mèches de cheveux emmêlés me reviennent au visage, je ferme les paupières. Lorsque je les rouvre, mes mains sur le visage, glissant mes mèches derrières mes oreilles avec hâte, il a disparu. Bruno s'en est allé.
De notre liaison, ne me reste que la douce sensation sur mes lèvres. Du bout de mes doigts, je les touche.. Elles sont encore chaudes.
À m'y méprendre, je peux sentir les rémanences de notre dernier baiser.
#bruno bucciarati#bruno buccellati#bruno buccerati#bruno buccerati x reader#bruno buccellati x reader#bruno bucciarati x reader
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Compilation de réponses écrites au sujet de l'univers de Steam Powered Giraffe
Hare : Ass-où-quoi ??
The Skull : Mauvais Becile. C'est là que Ignatius a fini.
Hare : … Ignatius ? Bon sang, je n'ai pas pensé à lui depuis des lustres. Où as-tu entendu ça ?
The Skull : Becile Industries. J'ai obtenu un travail chez eux et ai entendu par hasard des… rumeurs. Des soupçons sur son travail, sur ce qui lui est arrivé. Je suppose qu'il a pété les plombs.
Hare : Hein ! Il était vraiment spécial. Je n'ai jamais aimé la façon dont il me regardait, comme s'il me désassembler du regard. J'ai toujours pensé qu'il aller devenir un ermite fou.
Hare : … Je suppose qu'il a suivi les traces de Pa' après tout.
The Skull : …
Hare : …
Hare : Eh bien, voilà ta réponse. Nous n'avons aucune idée de ce à quoi ressemble Ass-land ou quoi que ce soit. Bonne chance avec ça.
Note du traducteur: Ass signifie cul en anglais.
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Hare : Je n'ai jamais rencontré ce type. Ce qui le place au-dessus du reste de la famille.
The Skull : J'ai travaillé pour sa société, mais c'est tout. Il semble intelligent. Et il est un beau parleur. C'est assez pour être dangereux. Franchement, je suis satisfait de le garder à distance.
Hare : Hé, ouais…
Hare : …
Hare : Dis, euh…
Hare : Est-ce que… est-ce qu'on sait exactement quel est son lien de parenté avec Pa' ?
The Skull : … Euh.
Hare : Je veux dire, ça doit être par Norman, non ? C'est le dernier que nous ayons vraiment connu.
The Skull : Je… ne sais pas.
Hare : Mais bon, hé. Il aurait pu voler le nom, devenir célèbre rapidement grâce à la mauvaise réputation.
The Skull : …
The Skull : Je dois y aller.
The Skull : Je vais faire un peu de... « Recherches. »
Hare : Oups ! Que quelqu’un dise à Buster qu’il est sur une liste noire ! Hahaha !
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Hare : Ha ! Qu'est-ce que je ferais dans le Wisconsin ? Traire des vaches ? C'est ça, oui. Ce n'est pas comme si quelqu'un me conduirait là-bas non plus. Je n'ai pas le fric, je n'ai pas le temps. C'est pourquoi je n'y suis jamais allé. Je ne suis jamais euh... allé en dehors de la ville. *tousse*
The Skull : Je suis allé à Santa Ana une fois, avec Maître Becile.
Hare : Ah ouais ? Comment c'était ?
The Skull : … C'était une ville.
Hare : … C'est vraiment tout ce que tu vas me dire.
The Skull : Ce n'est pas comme s'il s'intéressait aux visites touristiques.
Locksmith : Quelles vies terriblement déprivées de tout que vous menez ! Ne jamais être témoin des sources culturelles qui parsèment notre continent, et encore moins notre globe. Admirer les paysages et les odeurs des montagnes et des déserts, contempler l'art immuable des maîtres artisans, savourer un spectacle en direct, sachant qu'il ne pourra jamais être reproduit. Comme je désire ardemment cette liberté de voyager ; Le Caire est splendide à cette époque de l'année.
The Skull : Et comment diable le saurais-TU ?
Locksmith : ...
Locksmith : National Geographic.
Note du traducteur : National Geographic est une chaîne culturelle qui parle d'histoire et de géographie populaire dans les pays anglo-saxons.
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Hare : Oh, tu veux dire Papa. Papa le merveilleux. Papa le génie. Monsieur Grand Maître-Des Robots. Monsieur A-Fait-Un-Million-De-Choses. Monsieur Peut-Pas-Trouver-Une-Autre-Petite-Amie. Le gars qui a fait jeter mon Pa' en prison. Le gars qui a ruiné sa réputation et l’a rendu fou. Le gars qui a « gagné ! » Le gars qui a pu vivre heureux pour toujours, riche et célèbre !
Hare : Colonel Peter A.-putain-Walter, le putain de Premier !
Hare : Le gars qui a construit Rabbit.
Hare : NIQUE CE TYPE.
The Skull : Dieu. Tu as tout fait sortir de ton système ?
Hare : TAIS-TOI.
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Hare : Le son que fera Rabbit quand je la jetterai enfin dans les égouts. Suivant.
The Skull : Je n’écoute pas leurs conneries.
Lockslith : De la même manière, je m’abstiens de m’adonner au style rudimentaire des Walters. Une fois a suffit pour trouver que l’orchestration faisait défaut.
Dee : Non.
The Jack : Ju Ju Magic.
Hare :
The Skull :
Locksmith :
Dee :
The Jack : HAHAHAHAHA !
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0️⃣ La lettre d’infO (la quotidienne annécienne) 🤍
Sélection journalière à destination de 12 réseaux sociaux et de 3 messageries instantanées en provenance directe de la version 3 de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées (j’adOre) 💛
Aujourd’hui, samedi 26/10/22, Journée de la visibilité intersexe (depuis 1996) 👌 et Journée mondiale de l'amylose (depuis 2021) 🙏
2️⃣ L’actu (point trop n’en faut) 🧡
Disparition inquiétante à Annecy : un homme de 52 ans est porté disparu depuis mercredi sur le secteur d'Annecy-le-Vieux. Sans signe de vie de sa part depuis deux jours, les gendarmes ont lancé un appel à témoins hier 📣
Le FC Annecy (6e avec 15 pts) recevait Laval (9e avec 14 pts) hier soir à 20h et s’est imposé 2-0 sur sa pelouse du Parc des Sports 💪 Trois points de plus au compteur pour cette 10e journée, sur 34, du championnat de France de Ligue 2 ⚽ Bravo les Rouges et Blancs 👏
Un joueur d'Euromillions ayant gagné un million d'euros est recherché dans le département de la Haute-Savoie, a indiqué la Française des Jeux. C'est le tirage du mardi 03/09/24 qui est concerné. La date limite approche : vendredi 01/11/24 à 23h59 💶
3️⃣ L’agenda (l’agendalp pour les ancien·nes) 🩷
⚠️ Dernier jour❗️Tout feu, tout femme du 21 au samedi 26/10/24 : ce festival met les femmes à l'honneur. Découvrez le parcours de Femmes et profitez d'animations, d'ateliers, de rencontres, de conférences (Les Carrés, 43 avenue des Carrés) 👩
🧺 Trois marchés le samedi matin à Annecy ➡️ Marché du boulevard Taine (alimentaire et produits divers) ⌚️ 7h-13h ➡️ Marché de Vieugy (marché alimentaire) ⌚️ 8h-12h ➡️ P'tit marché du Vieux Meythet (marché alimentaire) ⌚️ 8h30-12h30 🍴
🛒 Vide-greniers ➡️ Vous cherchez la perle rare ? Dénichez des trésors : jouets, livres, matériels, petits équipements, électroménagers, vêtements et pleins d’autres articles et achetez à petits prix ℹ️ Buvette sur place 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 8h-14h 📍 Place des Rhododendrons 📼
🏺 Brocante ➡️ 50 professionnel·les pour trouver l’objet rare ℹ️ Toute l’année, le dernier samedi du mois 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 8h-18h 📍 Rue Sainte-Claire 🗿
🎨 Marché de l’Art et des Créateurs ➡️ Une trentaine d’artistes peintres, créateurs de bijoux, vêtements ou encore mobiliers de fabrication artisanale ℹ️ Toute l’année, le dernier samedi du mois 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 8h-18h 📍 Quai Vicenza 🎁
🛒 Braderie de Livres ➡️ Près de 3.000 livres d'occasion dans les domaines suivants : théologie, bible, spiritualité, religions, Pays de Savoie, histoire, livres anciens, arts, philosophie, littérature, polars, jeunesse et aussi des CD musique, DVD, disques vinyles 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 9h-17h 📍 Maison du diocèse d'Annecy (4 avenue de la Visitation) 📚
🛒 Bourse aux skis ➡️ Organisation : Aso NTN et SCA Ski Compétition Annecy ℹ️ Jusqu’au dim. 27/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 9h-19h 📍 Cap Périaz (100 avenue de Périaz) 🎿
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (café solidaire avec l’Ukraine) 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 9h30-15h 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) 😍
🧏 Visite expO ➡️ Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque en langue des signes française ℹ️ Visite proposée avec un interprète en LSF ⏱️ 1h 🎫 0€ 🎟️ Sur inscr. auprès des médiathécaires 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
✍ Ateliers d'écriture ➡️ Cycle avec Nabil Louaar sur le thème Ma vie, ma ville : réflexions partagées sur l'appartenance à un lieu à travers un instant créatif ℹ️ Débutants ou faux débutants, à vos carnets ⏱️ 2h 🎫 0€ 🎟️ Sur inscr. 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) 😍
🧏 Atelier (animé par Danièle Gay) ➡️ Découverte du fonctionnement de la gravure et des différentes étapes menant à la réalisation finale ℹ️ Les participants repartiront avec plusieurs estampes qu'ils auront réalisées durant l'atelier ⏱️ 2h 🎫 0€ 🎟️ Rens. au 04 50 85 76 00 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
🖼️ Dernier jour❗️ExpO : L'effet Matilda ➡️ Dans le cadre de la FDS, une exposition proposée par le CNRS, le Quai des savoirs et l’association Femmes & Sciences ℹ️ Jusqu’au sam. 26/10/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-12h & 13h30-17h 📍 Médiathèque Novel (7 bis rue Louis Armand) 👩🔬
🖼️ ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) 😍
🧒Les secrets du Palais de l'Île ➡️ Visite pour enfant à partir de 8 ans, accompagné d’au moins un adulte (activité en autonomie) ℹ️ Carnet illustré à demander à l’accueil 🎫 4€, 2€ & 0€ (-12 ans) 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Palais de l’Île (3 passage de l'Île) 🏛️
🖼️ ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-17h 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨🎨
🧒 Vacances d’automne ou de la Toussaint ➡️ Fabrique ta lanterne d’Halloween ℹ️ À partir de 5 ans 🎫 Anim. et visite : 10€, 8€, 6€ (6-15 ans) & 0€ (-6 ans) 🎟️ Sans réservation 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-17h30 📍 Château de Montrottier (Lovagny) 🏰
🖼️ ExpO : Les Temps changent ➡️ Lauréats de la commande nationale d'estampes initiée par le Centre National des Arts Plastiques (CNAP) en partenariat avec l'Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA) ℹ️ Jusqu’au sam. 30/11/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-18h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) 🎨
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-13h & 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩🎨
🖼️ ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
🎂 150 ans du Club Alpin Français d'Annecy ➡️ Table ronde, conférence, initiation aux activités de montagne avec un parcours de "randorientation" pour les familles, démonstrations de secours en montagne, rappels, remontées sur corde en escalade et en alpinisme 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 11h-17h 📍 Salle Eugène Verdun et Square des martyrs de la déportation (1 rue Jean Jaurès) 👶
🖼️ Deuxième jour❗️ExpO : Salon des artistes peintres d'Annecy ➡️ Évènement qui célèbre la créativité et le talent des artistes de notre territoire ℹ️ Jusqu’au ven. 22/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu (1 rue Jean Jaurès) 🎨
🏊 Journée de prévention sur les risques de noyade ➡️ Apprenez les gestes essentiels pour garantir votre sécurité et celle de vos proches ⏱️ 1h 🎫 0€ 🎟️ Rens. au 04 85 46 77 40 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 14h, 15h & 16h 📍 Piscine Jean Régis (90 chemin des Fins) ���
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) ⏱️ 2h 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🧠
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
🗣 Visite commentée❗️ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24 🎫 0€ 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 14h30 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) 😍
😴 Sieste musicale épicée ➡️ Détendez vous, tendez l'oreille... pour une découverte sonore et olfactive des épices du monde : bienvenue dans votre bulle musicale pour un temps consacré à l'écoute et à la découverte ℹ️ Spécial famille avec enfants, pour votre confort, n'hésitez pas à apporter votre nécessaire de sieste (tapis, serviette, plaid, coussin, etc.) ⏱️ 1h 🎫 0€ 🎟️ Inscr. auprès des médiathécaires 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 14h30 📍 Médiathèque Seynod (1 place de l'Hôtel de ville) 👨👩👧👦
🗣 Visite commentée❗️ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas ➡️ Laissez-vous porter, une médiatrice vous accompagne et vous livre les clés de l'exposition d'Annabelle Guetatra ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 ⏱️ 1h 🎫 0€ 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 14h30 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 😍
🗣 Visite commentée❗️ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Visite commentée, gratuite et sans réservation, de l'exposition par une médiatrice d'Imagespassages ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 0€ 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 15h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 😍
🗣 Visite guidée : découvrez la vieille ville d’Annecy, son histoire, son architecture et ses personnages marquants ℹ️ Théo vous accompagne le long de ses canaux et à travers ses arcades et passages couverts 🎫 12, 6 & 4€ 🎟️ Réserv. en ligne oblig. 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 16h 📍 Centre Bonlieu (Forum) ❤️
🎭 Soirée Théâtre : Madame (durée : 1h) et Demain dès l'aube (à 20h) ➡️ Deux pièces présentées par la Compagnie Les Femmes s'inventent ℹ️ À partir de 16 ans 🎫 Pass 2 spectacles : 20€ ou 12€ par pièce 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 18h 📍 Théâtre de l'Échange (26 rue Sommeiller) 👩
🎭 Le syndrome de l'apéro (Théâtre du coq) ➡️ Vous avez déjà essayé de vous sortir d’un mensonge ? Non, d’un Très gros mensonge ? Pas facile, surtout lorsque votre meilleur ami est impliqué et que votre carrière est en jeu ? ℹ️ Dès 9 ans ⏱️ 1h25 🎫 19€ & 10€ (-18 ans et étudiant·es) 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 20h📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🫒
🎭 Théâtre : Réveil de dingue ➡️ Suite à l'accouchement de sa femme, Véro, Jean-Phi s'est évanoui. Enfin, c'est ce qu'il croyait ℹ️ Les réparties claquent et les rires fusent, une comédie hyper dynamique pour le duo de Couple en délire 🎫 18€, 16€ & 12€ (-12 ans) 📆 Sam. 26/10/24 ⌚️ 20h30 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 👶
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre) ❤️
Qualité de l’air à Annecy : le temps sera plus nuageux avec une légère baisse des températures 🌡 Les niveaux d’ozone devraient baisser un peu 📉 Les indices ATMO pourraient être bons à moyens 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 19/10/24 au vendredi 01/11/2024 inclus 🤧
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes) 💚
Tout comme hier, deux dictons du jour : « À la saint Dimitri, le froid est bien pris. » 🥶 et « À la saint Dimitri, redouble la pluie. » 🌧
Je me lance dans la météo, mes nouveaux amis : « Âne qui brait sans fin, pluie pour le lendemain. » 🫏 « La pintade perchée qui crie, appelle la pluie. » 🪶 « La rainette de sortie s’en va chercher la pluie. » 🐸 et « Quand les chèvres broutent sans hâte, signe de pluie. » 🐐
Météo et animaux : « Pigeons qui s’ébrouent, annoncent pluie et temps doux. » 🐦 « Oies batailleuses, présagent année venteuse. » 🪿 « Quand les poules se mettent en boule, c’est signe de froid. » 🐔 et « Si le coq chante avant minuit, c’est du brouillard ou de la pluie. » 🐓
La météo étant un secteur d’avenir, j’accueille beaucoup d'animaux : « Quel que soit le temps en fait d’oiseau préfère la pie au corbeau. » 🐦⬛ « Serpent ne va pas ou le géranium croit. » 🐍 et « Si le rouge gorge chante sur l'aubépine, le beau temps est en ruine. » 🧐
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier) 🩵
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🎹
Bonne fête aux Dimitri et demain aux Émeline 😘
7️⃣ Cohérence (histoire de simplifier) 💜
J’utilise les chiffres 0, 7, 8, 9 et 10 pour rendre plus lisibles les différentes parties de cette sélection (simple utilisation n’ayant absolument aucun rapport avec les parties “officielles”).
JamesO InfO V1 : jusqu’en 2012 🅰️
8️⃣ Migrations en cours (à marche forcée) 🤎
Les parties 7, 8 et 9 ne peuvent pas encore être diffusées totalement pour des raisons techniques. J’y travaille actuellement de manière régulière.
JamesO InfO V2 : de 2013 à 2022 🅱️
9️⃣ Abonnez-vous (nouveaux tarifs en 2025) 🩶
Les parties 10, 11 et 12 sont exclusivement réservées à mes abonné·es et ne sont plus diffusées sur les réseaux sociaux et autres messageries instantanées.
JamesO InfO V3 : depuis 2023 🆎
🔟 L’ours (nette préférence pour le dahu) 🖤
Par JamesO (Presse & Édition)
Information - Expression - Opinion
JamesO InfO n° 1.169 du samedi 26/10/24
📷 JamesO PhotO à Annecy le 24/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
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Andromeda est une petite ville située au cœur de la forêt de Tillamook, dans l'Oregon, nichée entre océan et montagnes. Avec une population de 20 738 habitants, Andromeda est un endroit où l'histoire et les légendes urbaines ne font qu'un.
La ville est connue pour son atmosphère mystérieuse et ses légendes urbaines. D'aussi loin qu'on s'en souvienne, les habitants d'Andromeda racontent des histoires de phénomènes surnaturels et de rencontres avec des créatures étranges. Certains prétendent avoir vu de curieuses lumières dans le ciel la nuit, tandis que d'autres affirment avoir été témoin de manifestations paranormales dans les vieilles maisons abandonnées qui parsèment les environs. L'histoire d'Andromeda remonte à plusieurs siècles, les premiers colons ayant établi la ville dans les années 1800, attirés par les riches ressources naturelles de la région. Si à ses débuts la ville était très appréciée des nouveaux arrivants et dynamique pour l'époque, au fil du temps, Andromeda est devenue un endroit isolé, coupé du reste du monde. Les routes menant à la ville sont peu à peu abandonnées, faute d'entretien et de passage réguliers, contribuant à l'isolement de la bourgade déjà difficilement accessible.
La ville elle-même est un mélange unique d'architecture ancienne et de bâtiments plus modernes. Dans le centre historique, les rues sont bordées de vieilles maisons victoriennes et de boutiques atypiques, accentuant l'ambiance étrange et étouffante d'Andromeda. Les habitants sont fiers de leur patrimoine et de leur histoire, mais ils sont également conscients des légendes sombres qui entourent leur ville. La plus célèbre, celle racontée à tous les nouveaux venus, à toutes les soirées autour d'un feu de camp, à tous les enfants le soir d'Halloween, est celle de Lonely Maddie. On dit que son esprit hante la forêt environnante, apparaissant aux voyageurs égarés et aux curieux qui s'aventurent trop loin. Les habitants ont appris à respecter la nature et à éviter les zones les plus reculées, craignant de rencontrer le fantôme.
Malgré tout, Andromeda reste appréciée des familles y résidant, généralement présentes depuis des générations. La communauté locale est soudée et organise régulièrement des événements culturels et des festivals pour célébrer leur histoire et leur identité unique. Les marchés fermiers locaux proposent des produits frais et des spécialités régionales, tandis que les galeries d'art exposent des œuvres d'artistes locaux talentueux.
La nature environnante, même si parfois inquiétante, est un véritable trésor pour les habitants d'Andromeda. Les montagnes offrent des possibilités infinies de randonnées et d'explorations, avec des sentiers sinueux qui serpentent à travers la forêt dense. L'accès direct à l'océan Pacifique est parfait pour la pêche et les sports nautiques, attirant les amateurs de plein air de tous horizons.
#gravity falls#pacific northwest#pnw gothic#projet forum#projet rpg#rpg#rpg francophone#stranger things#twin peaks#forum rpg
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Rêve dans la nuit du 1er au 2 octobre 2024.
Je ne sais pas où je suis, un lieu de terres ocres, des morceaux de falaises, des terre-pleins, quelques huttes de pisan, un chemin où entre elles circulent les autochtones. Je vois un vieil homme, assi-accroupi, un stylet à la main, comme un calame ou un morceau de bois. Il en use pour gratter un bloc de terre, lequel s'effrite, puis il reprend ailleurs sur un autre petit bloc, et à chaque petit coup qu'il donne il fait apparaître des maisons, des immeubles et autres constructions d'une grande ville, qui étaient déjà là mais que son stylet fait exister. Immédiatement l'impression de lieux sortis de l'oubli et peuplés. Le vieil homme est au bout de la route et je suis venu lui rendre visite pour lui dire adieu et recevoir de lui quelque chose. C'est une étape d'une initiation, un passage de témoin. Dans sa hutte il est étendu sur une paillasse, se relève sur un coude lorsque j'entre et pose un genou au pied du lit. Il tient dans ses mains un petit bloc rectangulaire entouré de tissu, dans lequel je sens des milliers d'écritures pliées enroulées les unes dans les autres, un espace d'une densité de sens inégalée, et une étrange lumière vibre en ses interstices. Il me donne cet objet, je le reçois, et je sais cette oeuvre en train d'être continuée à travers moi. Il y a quelque chose de si pur dans son regard et de si ancien. Dans quelques instants il va s'éteindre et moi je serai là, je l'aurais accompagné jusqu'à sa fin -- mais n'est-ce pas lui qui m'accompagne et vit en moi désormais ?
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LANCEMENT et EXPOSITION MUSIQUE DU DIABLE III à la LIBRAIRIE DISPARATE
VENDREDI 5 JUILLET 2024
MUSIQUE DU DIABLE III présente une sélection de flyers liés à la culture Free Party, tirée de la collection de Mö, Platiniste-Artiviste.
Le projet de livre est né il y a trois ans et s'inscrit dans le cadre d'un travail de recherche plus vaste intitulé "Merci La Nuit", axé sur les archives de la culture Free Party en Europe. La collection de Mö représente une multitude de flyers français et européens de la période 1996-2001, une époque où la scène Free Party était florissante en France. Ce livre est l'un des premiers à présenter une collection aussi vaste sur cette scène particulière et à réaliser une étude graphique traitant le flyer en tant qu'objet archéologique. Ces flyers ont fait la fête, on fait les fêtes et sont désormais les uniques témoins de cette époque où il y a très peu d’archives photos et vidéos. Leur survie est symbolique, et il est significatif qu'ils refassent surface en 2023.
Format 29,7×21 cm - 256 pages - Texte FR / EN Couverture souple - Reliure Otabind - Impression offset 3 couleurs de couvertures différentes Décembre 2023 Auto-édité par Acacia Books
Dans le cadre du 𝗭𝗜𝗡𝗘𝗙𝗘𝗦𝗧 𝟭𝟭 RENCONTRES INTERNATIONALES DE MICRO-ÉDITIONS, FANZINES & MULTIPLES
Organisé par l’association DISPARATE Avec le soutien de la DRAC Nouvelle-Aquitaine et la ville de Bordeaux
zinefest.fr
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Le chef du bureau de Pittsburgh du FBI, Kevin Rojek trouve surprenant qu’un assaillant ait pu tirer à plusieurs reprises sans que le Secret Service ai agit. Ce dimanche 14 juillet 2024, le Secret Service a par ailleurs démenti une rumeur «selon laquelle un membre de l'équipe de l'ex-président avait demandé des moyens supplémentaires de sécurité et que ceux-ci avaient été refusés». «C'est absolument faux, a déclaré le porte-parole du Secret Service Anthony Guglielmi. En réalité, nous avons ajouté des moyens de protection dans le cadre du rythme accru des déplacements de campagne.
Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir épondu à un certain nombre de rapports d'activité suspecte, sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu «un homme ramper sur le toit» et l’avoir montré «pendant plusieurs minutes» aux forces de l’ordre. «On pouvait clairement le voir avec son arme», a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Secret Service ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient. Des élus demandent une enquête parlementaire pour faire la lumière sur les événements. Il est incroyablement difficile d’avoir un lieu ouvert au public et de le sécuriser contre toute menace potentielle, a reconnu George Bivens, porte-parole de la police de l’État de Pennsylvanie. L’enquête nous donnera l’opportunité de voir ce qui n’a pas marché et ce qui pourra être mieux fait dans le futur. Les élus républicains ont appelé à une enquête parlementaire au Congrès. La commission de la Sécurité intérieure doit enquêter sur la tentative d’assassinat et la tentative de tuerie de masse et déterminer comment cela a pu arriver, a affirmé Josh Hawley, sénateur du Missouri. Son collègue de Floride, Rick Scott, a jugé «absolument inexcusable» qu’un tireur «ait pu avoir en ligne de mire l’ancien président et candidat en tête à la présidentielle», soutenant également une enquête au Congrès.
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Le sniper du Secret Service aurait posté ce message en prenant soins de prendre une photo : “Mon nom est Jonathan Willis, je suis l'officier sur la célèbre photo des deux tireurs d'élite sur le toit du rassemblement de Trump, je suis venu ici pour informer le public que j'avais l'assassin en ligne de mire pendant au moins 3 minutes, mais le chef du services secrets ont refusé de donner l'ordre d'éliminer le criminel. À 100 %, les hauts gradés m'ont empêché de tuer l'assassin avant qu'il ne tire sur Le président Trump.” Cette affaire va faire couler beaucoup d’encre ….
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«Hé, il y a un type sur le toit avec un fusil…» : les quelques minutes qui ont bouleversé la campagne présidentielle américaine les politiques réagissent après la tentative d’assassinat de Trump
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Une photo prise par Doug Mills du New York Times montre une balle volant vers la tête de Donald Trump. Dans une publication sur les réseaux sociaux, Truth Social, Trump a déclaré qu’il avait su que quelque chose n’allait pas dans la mesure où j’ai entendu un sifflement, des coups de feu et j’ai immédiatement senti la balle déchirer la peau ».
Photo prise à l'arrière du pupitre, ça démontre un plan préparé
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Plan de la scène
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Publication pour ceux qui le déteste
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L'architecture tout un art !
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Du 13 au 15 octobre ont lieu les journées de l’architecture. Elles visent à mettre en lumière l’importance de l’architecture dans la vie de tous les jours, mais aussi comme témoin du passé et tremplin vers le futur.
L’architecture entre art et réalité
J’ai entendu à la radio un truc qui m’a fait tiquer, dit Gaétan. Le journaliste a déclaré que le gouvernement veut faire naître des vocations au cours des journées de l’architecture.
Qu’est-ce que ça a de choquant ? demande Inès.
Moi, « une journée de » est l’occasion de mettre en lumière les enjeux et spécificités d’un domaine, d’une pathologie, d’une pratique culturelle et sportive. C’est aussi mon point de vue dit Inès, mais je ne vois pas bien en quoi cela gêne la naissance d’un intérêt pour un zp sais, vocation est un terme positif qui renvoie cette à une notion de travail, mais en corrélation avec le plaisir et le sentiment d’être à sa place. Je trouve ça plutôt heureux, moi.
C’est vrai que je ne l’avais pas vu sous cet angle. Je pense que je suis trop dans l’idéalisation et que le mot architecture renvoie systématiquement chez moi à l’amour des vieilles pierres.
L’architecture, une séparation illusoire
- Architecture et amour des vieilles pierres sont évidemment intimement liés et nombre de nos contemporains séparent l’architecture artistique ou culturelle liée à des constructions anciennes et l’architecture moderne dont le seul but serait de construire des pavillons et des supermarchés. La réalité est comme souvent bien plus complexe que cela. Le métier d’architecte est toujours aussi riche et peut-être même encore plus.
- Que veux-tu dire par là, Inès ? la questionne Gaëtan.
- L’architecture moderne a pour mission de construire des bâtiments publics, des maisons individuelles, des immeubles et des centres commerciaux, entre autres points. On lui demande en outre de prendre en considération des contraintes environnementales et de s’adapter à de nouveaux matériaux de construction. L’architecte peut être amené à concevoir un édifice qui prend corps au sein d’un édifice plus ancien qui crée un pont entre deux édifices existants. Si je te comprends bien, l’architecture est à la fois un métier et un art. Elle doit s’adapter sans cesse à de nouvelles normes et contraintes et en même temps traduire des réalités en langage universel.
- Tu essaies d’expliquer des choses simples avec un langage alambiqué. Je rêve, s’exclame Inès.
L’architecture, un témoignage du passé
- Excuse-moi, j’ai dit les choses telles qu’elles me venaient.
- Ouais, mais fait le tri la prochaine fois.
- Ce que j’ai voulu dire, c’est que l’architecture est comme un pont historique qui s’ancre dans le passé pour nous ouvrir la porte de l’avenir.
- C’est joliment dit et c’est une partie de la vérité. L’architecture est une discipline complexe qui a beaucoup d'impacts sur notre vie quotidienne. Elle structure nos villes et nos maisons, traduit l’identité culturelle d’un pays ou d’une région (Longère en Normandie ou maison à colombages en Alsace). Elle est aussi utilisée pour fluidifier les déplacements et améliorer le confort. Certaines initiatives s’en servent pour améliorer les liens sociaux.
- Tout ça méritait bien des journées, s’enthousiasme Gaëtan.
Et toi pour ces journées, tu vises plutôt l’architecture historique ou la version plus moderne ? Réponse souhaitée en commentaire. Merci.
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