#Thèmes: Religion
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#La prière (2022)#Oeuvres d'Artistes#Peintures#Acrylique#Auteur: Audran#40 x 30 cm / 15.7 x 11.8 in#Thèmes: Religion#Spirituel / Origines: Europe / Genres: Impressionnisme / Caractéristiques: Signée / Authenticité: Original / Types d'Artiste
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fav character tag game 🌷🌙
Règles : faites un sondage auprès de vos cinq personnages préférés de tous les temps et voyez qui est le favori parmi vos abonnés !
Taggué par @ladyniniane ! Merci pour le défi !
Et pour le retour de tag... je dirais @mwezina , @randomnameless et n'importe qui passant et voulant tenter l'exercice !
#jeu de questions#ça a été dur de faire un choix !#Parmi les mentions honorables :#Félix évidemment aurait pu être là mais je me suis borné à un seul personnage par oeuvre donc il n'est pas en duo avec son père#(vu que c'est la relation entre les deux que j'adore le plus)#Ophilia d'Octopath Traveler 1 j'adorais son arc et que pour une fois le personnage religieux soit traité comme un personnage#et l'église n'est pas montré comme la grande méchante responsable de tout parce que RELIGION = MAAALLL !!!#vu que j'ai étudié le culte de Mithra ça fait plaisir de voir un culte traité comme quelque chose qui peut aider pour une fois#Mao Mao des Carnets de l'Apothicaire j'adore son intelligence et sa capacité d'adaptation ainsi que son côté très... “chat”#mais j'avoue que son absence de curiosité ou quand elle se borne à ne pas se poser de question m'énerve parfois un peu alors...#L'Avatar de Monster Hunter Story 2 : premier degré iel a un chouette arc avec son Monstie où elle doit apprendre à lui faire confiance#et iel fait tout pour le sauver et prouver que ce n'est pas un monstre avec un chouette message sur les histoires déformées avec le temps#Fubuki aurait pu remplacer Tokiyuki mais... mais je suis toujours pas remise du tome 12 -ceux qui ont lu le manga sauront... pourquoi ? T_T#Carmilla Carmine de l'Hellaverse a failli être ici aussi vu que c'est le seul parent autorisé à être compétent chez VivezziPop ça change...#vu que même si j'aime son univers- son traitement des personnages de parents m'énervent de plus en plus et me fait hésiter à arrêter Helluv#Stolas a déjà assez de problèmes pas la peine de lui en ajouter un avec Octavia qui le rejette pour soutenir sa mère toxique et abusive#Et Zeno dans Yona - Princesse de l'Aube qui est un personnage très touchant surtout que le thème de l'immortalité me touche beaucoup#Si je devais donner deux récurrences ce serait :#Les personnages jeunes qui doivent grandir pour devenir des adultes responsables décents tout en gardant leur joie de vivre#et les adultes responsables prenant soin des plus jeunes et pouvant les protéger et les guider en cas de besoin#(ou la retrouvant ou est les deux dans le cas de Zeno)
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Cet homme n'est pas un mendiant ou un vagabond sans abri
Il s'agit de Léon Tolstoï, romancier et philosophe russe, surtout connu pour ses romans « Guerre et Paix » et « Anna Karénine ». Il est considéré comme l'un des plus grands auteurs de tous les temps et une figure clé du mouvement réaliste en littérature.
Il a vendu tout ce qu'il possédait pour que les sans-abri aient un toit et que les mendiants aient de la nourriture. Tolstoï est né le 9 septembre 1828 en Russie et est décédé le 20 novembre 1910. Ses écrits exploraient souvent les thèmes de la moralité, de l'éthique et de la condition humaine, et ses œuvres sont encore largement lues et étudiées aujourd'hui. Certaines de ses citations notables incluent : « Ne me parlez pas de votre religion, laissez-moi voir votre religion dans vos actions ». Si vous ressentez de la douleur, vous êtes vivant. Mais si vous ressentez la douleur des autres, vous êtes humain. L'héritage de Tolstoï s'étend également au-delà de la littérature. Il était également philosophe et réformateur social, et ses idées sur la résistance non violente et la vie simple ont inspiré des dirigeants comme Mahatma Gandhi et Martin Luther King Jr.
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Librairie L’Ambassade 6 rue Saint André 11170 Montolieu
✔ Livres anciens et modernes : littérature, poésie, arts, musique, philosophie, sciences humaines, religions, histoire, artisanat, thèmes divers.
✔ Documents anciens : photographies, cartes, partitions…
✔ Disques (classique, jazz, musiques populaires, poésie et théâtre).
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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Rire de tout?!
18 avril 1988 mort de Pierre Pierre Desproges
Humoriste français réputé pour son humour noir, son anticonformisme et son sens de l'absurde. Célèbre pour son humour grinçant, mis en valeur par une remarquable aisance littéraire, il s'est notamment illustré avec des thèmes souvent évités par les autres humoristes de son époque, prenant à contre-pied certaines positions convenues dans la société. Il est notamment l'auteur de la maxime suivante : « On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui. ». Auteur de spectacles, il a aussi présenté l'émission humoristique « La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède » sur la chaine de télévision FR3.
Pierre Desproges (né le 9 mai 1939 à Pantin et décédé le 18 avril 1988 d'un cancer) était un humoriste français. Célèbre pour son humour grinçant mis en valeur par une remarquable aisance littéraire, Desproges s'est souvent illustré par ses sujets de plaisanterie inhabituels : comme il le disait lui-même, « On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui ». Ses traits d'humour reflètent ses positions antimilitaristes (« Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires ») ou anticommunautaristes (« Il y a plus d'humanité dans l'oeil d'un chien quand il remue la queue que dans la queue de Le Pen quand il remue son oeil », « Anne Sinclair a déclaré qu'elle n'aurait jamais épousé un non-juif ; on pourrait y voir comme une sorte de racisme »).
Il n'hésita pas à s'attaquer aux sujets les plus sensibles, comme la religion (« Dieu a dit : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, c'est vrai. Mais Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie, et puis je préfère moi-même, c'est pas de ma faute »), la Seconde Guerre mondiale (« L'embêtant dans la collaboration, c'est qu'il fallait dénoncer des juifs. C'est pas très joli comme occupation de dénoncer les juifs. Oui mais... dans la résistance, on dénonçait pas les juifs... mais fallait vivre avec ! ») et même sa propre maladie (« Plus cancéreux que moi, tumeur ! »).
Il excellait à prendre son public à contre-pied des positions convenues : « Quand je pense que je gagne en une soirée l'équivalent de trois mois de salaire d'un ouvrier spécialisé alors que tout près d'ici, et en ce moment même, Guy Bedos gagne en une soirée six mois de salaire d'un cadre supérieur ! ».
La légende voudrait qu'il ait tourné son propre décès en dérision en rédigeant lui-même la dépêche annonçant sa mort : « Pierre Desproges est mort d'un cancer. Étonnant, non ? » en référence à la phrase de conclusion rituelle de sa Minute nécessaire de Monsieur Cyclopède. À la base, celle-ci devait être « Pierre Desproges est mort d'un cancer sans l'assistance du professeur Schwartzenberg », proposée par Héléne Desproges, mais les médecins lui ont fait savoir qu'elle risquait d'aller au devant d'une polémique. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris (juste en face de Frédéric Chopin).
Son humour me manque 😢
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La mondialisation heureuse ou la fin d'un mythe...
Pour bien comprendre le sens de l'évolution du monde actuel, que certains qualifient de ''moderne'' (en perdant de vue que la modernité, dit Larousse, est un concept désignant l’idée d'agir en conformité avec son temps et non plus en fonction de valeurs, considérées de facto comme ''dépassées''), il faut remonter à Napoléon Ier. Même si cela peut paraître étrange à certains, cet immense génie, aujourd'hui décrié, vilipendé et ostracisé par une Gauche qui a entre temps perdu son âme, toute justification, et sa raison d'être (ceci expliquant sans doute cela !), fut en son temps assimilé au libérateur de toute humanité...
Un vent de liberté avait alors soufflé de France, et le monde entier allait en profiter –naissance de dangereux thème du ''paradis sur terre'', laïcisé par les Lumières : à la seule annonce de la bonne nouvelle, les armées s'effondreraient, les rois s'enfuiraient, les sociétés se déliteraient, les vieux interdits sauteraient à la grande satisfaction des opprimés, les religions disparaîtraient.. Hegel, reflet de son temps, dira que ''devant l'entreprise napoléonienne, il savait qu'il assistait à la fin de l'Histoire'', raconte Alexandre Kojève, spécialiste de ce philosophe : il voyait là l'unification des peuples et 'entrée du monde dans une paix perpétuelle... Et lorsqu'il a entendu les sabots du cheval de l'Empereur en route pour Iéna (où la Prusse allait être écrasée) frapper le sol devant sa maison, il a écrit ''la Phénoménologie de l'esprit'' (1807) : le monde, l'humanité, l'esprit et l'Histoire prenaient enfin un sens, leur sens. Cette idée du ''sens de l'histoire'' va ruiner les 250 ans suivants.
Dans cet ouvrage qui l'a rendu célèbre, il développe une théorie de l'histoire universelle qui trouve sa réalisation objective dans l'État, qu'il voit comme une organisation juridique capable de réaliser la liberté qui est son essence, c'est-à-dire : dans ce qu'elle était déjà, en germe. ''Ce qui est rationnel est réel, et ce qui est réel est rationnel'', explique Hegel dans ''Principes de la philosophie du droit'', 1820), formule qui condense l'audace philosophique de cet homme dont l'ambition aura été de surmonter la déchirure entre l'esprit et le monde et de réconcilier définitivement la raison et le réel. En ce sens, on peut voir en lui un père historique de toute ''mondialisation''.Le vecteur indirect qu'était le triomphe napoléonien de la Révolution française, outre rendre leur sens à l'Histoire et à la Liberté, allait tout rendre clair et possible : c'était la fin des conflits, la fin de la dialectique, Napoléon était ''l'âme du monde'' qui allait enfin se réaliser, sous les drapeaux de sa victoire... (NDLR - On retrouve là des intonations du début de l'Ouverture ''1812'' de Tchaïkowski, avant l'effondrement final). Après la fin catastrophique de l'aventure napoléonienne, Hegel admit s'être trompé mais n'abandonna pas pour autant sa foi dans une Raison qui gouvernerait l'Histoire (les majuscules sont de lui).
Dans les années 1970, il aurait fini par déchanter devant l'échec incompréhensible (et retentissant) de l'Occident cultivé à faire advenir le règne de la raison, la fin de la barbarie et le temps de la paix... alors que De Gaulle, Schuman, Adenauer, Spaak et de Gasperi tentaient de démontrer le contraire, grâce à une paix et une harmonie qui durent depuis bientôt 80 ans, mais uniquement à cause de la menace nucléaire qui établit une ligne rouge à ce jour infranchissable, même dans l'imbroglio russo-ukrainien.
D'ailleurs, souvenez-vous : lorsque le mur de Berlin est tombé, entraînant l'enfer communiste dans sa géhenne, le monde s'est remis à croire aux chimères, et Francis Fukuyama a écrit en 1992, à l'antipode des analyses marxistes, un des livres marquants du XXème siècle, ''La fin de l'Histoire'' : le communisme mort, plus rien ne ralentirait la marche du monde vers la paix, et tous les peuples ''sous développés'', Chine en tête, allaient enfin devenir ''des américains comme les autres'', des démocrates, des capitalistes... et que sais-je, encore ! Tiens : des mondialistes heureux, peut-être ?
C'était trop beau ! Dès 1996, un autre livre marquant du XX ème siècle, ''Le Choc des Civilisations'', de Samuel Huntington, remettait à nouveau en question le mythe mortifère de la ''Mondialisation heureuse'', et le 11 septembre 2001 ouvrait grands les yeux des derniers rêveurs : ''Le choc des civilisations'' était la seule réalité palpable ! Le monde se réveille trop lentement de ce long cauchemar : la soi-disant ''mondialisation heureuse'' --qui sert encore de drogue à toute la génération qui s'est installée aux commandes pour notre malheur, dont notre Président, ce ''progressiste-rétrograde'' bon teint--, était une vue de l'esprit et, pire encore, vraiment pas souhaitable : les faux ''artisans de la Paix'' n'étaient que des esprits pervers, des faiseurs de mythes, des prêcheurs de vent, des prophètes de malheur... et de piètres ''leaders''.
Aujourd'hui, l'Occident déchante : il s'est trompé sur à peu près tout –ou... on l'a trompé : les ''valeurs'' qu'on lui a imposées n'en étaient pas, et il n'était ''un modèle'' pour personne ! Comme chaque année, avant la réunion des puissants de la planète à Davos pour fabriquer d'autres non-solutions épouvantables, le World Economic Forum vient de publier son Global Risk Report 2024, et la conclusion des 1 500 experts (?) internationaux interrogés est inquiétante : "Les perspectives mondiales se dégradent", et 30% du panel s’attend à "une catastrophe mondiale" dans les 2 ans --53% dans les 10 ans. Ambiance ! Et nos paysans qui, histoire d'enfoncer encore plus le clou, confirment que nos ''intelligences'' stupides avaient tout faux !
Parallèlement, le baromètre annuel d’Ipsos : "Prédictions dans 33 pays de l’OCDE'' nous apprend que ''les français (restent) plus pessimistes que les autres''. Il faut dire que nos dirigeants, confits dans leur absurde dévotion pour une Europe qui n'existera jamais telle qu'ils la fantasment (et c'est tant mieux) se propulsent systématiquement aux avant-postes de... tout ce qu'il ne faut surtout pas faire... Depuis le temps qu'on l'annonçait, le monde des fous est parmi nous !
Nous avons laissé être construit ou plutôt dé-construit autour de nous un enfer qui ressemble plus à une dystopie inventée par des ''cavaliers de l'apocalypse'' mandatés par les puissances infernales, qu'à un pas de plus vers le Paradis, quel qu'il soit. On doit le regretter... mais on ne peut pas rester ''les deux pieds dans le même sabot'', car il est temps, encore, de sortir de ce piège diabolique dans lequel nos gouvernants et une ''l'intelligentzia'' bête à en pleurer et indignes de leurs missions, voulaient nous enfermer, dans un grand plongeon dans le néant qu'ils nous ont préparé... sans voir que c'est devant eux, qu'ils l'ouvraient, ces cons !
Le résultat est là : la coupe est pleine, partout, pour tous, dans tous les pays, et il va falloir ''replier la voilure'' dans l'improvisation... car dans leur certitude d'avoir raison à quelques uns contre le monde entier... ils n'ont pas de ''Plan B''. Tant pis : mieux vaut une improvisation que le cul-de-sac mortel auquel la poursuite des errements actuels nous condamnait... L'immense majorité des européens se réveille ? Juste avant les élections, c'est bon signe : ''la mondialisation heureuse'' était un mensonge. Comme tout le reste. Nous le répétons presque chaque jour depuis 10 ans !
H-Cl.
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quelques informations.
Bonjour, bonsoir, et merci jeune explorateur de l'inconnu de vous intéresser à mon projet de forum. Plus sérieusement, je pense qu'il est nécessaire de communiquer quelques informations supplémentaires sur la gestion d'Old Time Religion, peut-être pour attiser votre curiosité, peut-être pour voir si vous aimeriez rejoindre le forum une fois qu'il sera terminé.
Qui suis-je ? Alors déjà, salut, je suis Redylann ou Red sur les forums rpg, et si le nom Old Time Religion vous parle, c'est peut-être parce que vous êtes tombé sur (l'honteuse mais fun) première version. Sur le forum, lors de son ouverture, vous me trouverez sous le nom de Dante Castillo ((ft. Diego Luna)).
Fonctionnement du forum ; il sera simpliste afin que nous puissions nous concentrer principalement sur le jeu. Un recensement bimensuel tiendra lieu avec un minimum de 300 mots par post. Je suis actuellement toute seule (pas vraiment mais j'y viens juste après) au niveau de la gestion et du staff mais j'aimerais pencher vers un concept collaboratif par la suite avec des personnes matures et de confiance qui se succéderaient si elles ont le moindre empêchement, de même pour des animateurs qui, imprégnés du contexte, auraient des idées pour des events. Nos vies réelles passent avant tout, d'où l'importance de pouvoir faire confiance à des membres qui se sentiraient l'étoffe de modérer et d'administrer le forum lorsqu'un coup de pouce est nécessaire.
Avancement du forum ; et bien, je dirais que le plus gros est fait ! Il manque quelques parties au niveau du graphisme et du codage. Concernant celui-ci, j'utilise le thème en libre service de @poesiescendrees trouvable sur le forum Ghostly Daze.
En ce qui concerne les parties manquantes du design, je tiens à remercier 100heartbeats. qui s'occupe de leur création, de me conseiller (grosse brêle du codage que je suis) ainsi que d'apporter un regard extérieur au forum et de me lire, merci fort, fort, fort à toi, tu es d'un énorme soutien à la création d'Old Time Religion et fais largement partie du forum.
Pour l'écriture des annexes, il manque encore certaines parties qui sont en cours de réflexion/de rédaction, de même pour certains prédéfinis. Je dirais que compléter ce qu'il manque du forum prendrait quelque chose comme un bon mois. Qui plus est, je dois me faire opérer du poignet d'ici peu, ce qui risque de retarder le tout, mais bon, autant soigner le forum avant qu'il n'ouvre !
Enfin, parlons de quelques points plus que primordiaux.
Le forum va traiter de sujets sombres, macabres, sérieux. De ce fait, il sera interdit aux personnes mineures et les fiches de présentation ainsi que les posts touchy devront être précédés par la mention de tw/cw. C'est le minimum pour un forum qui traite littéralement d'une secte en train de prendre le contrôle d'une ville en usant de méthodes peu scrupuleuses. Ainsi, considérez-vous prévenus du poids de l'univers d'Old Time Religion. ((encore une fois, le contexte est très largement inspiré du jeu vidéo far cry 5)) Une partie entière est dédiée sur le sujet dans le règlement alors je ne m'étalerais pas plus que nécessaire.
Mentalité no bullshit, no drama ; Alors sur ce point, je vais être intransigeante (voire chiante). Je ne veux pas de ça. Par ça, je veux dire, pas d'embrouilles stériles, de création de clan, de nian-nian. Je ne vais pas être votre mère et vous fliquer, parce que déjà, je n'ai pas le temps (comme tout le monde), et ensuite, parce qu'on est littéralement sur nos claviers en train de rédiger des p'tites histoires pour nos p'tits persos afin de se défouler. Ainsi, je compte sur vous afin de régler vos embrouilles en privé, si vous n'y parvenez pas, je peux venir modérer une discussion entre vous, encore une fois, si aucune entente n'est possible, je vous fais confiance pour vous ignorer.
Toute tentative de création de clan, d'intimidation, d'harcèlement, de chantage, de plagiat ou de drama pour faire du drama se soldera pas un ban définitif (ainsi que de l'ip du membre). Vraiment, je n'ai pas le temps de gérer les états d'âme de chacun et/ou la toxicité de certains qui ne savent pas vivre en communauté. Nous sommes là pour écrire en paix et laisser cours à notre créativité, pas pour se trouver des poux au moindre soucis.
Le consentement rpgique ? Ai-je réellement besoin d'en parler ? Bien qu'une grande liberté de jeu soit accordée, il est primordial, voire obligatoire de discuter avec votre partenaire pour toute action pouvant causer du heurt à son personnage et vice-versa.
C'était plus long que prévu, dites donc ! J'espère ne pas vous avoir fait peur, surtout sur la dernière partie. Je ne mords pas, promis, et je suis très ouverte sur beaucoup de sujets Je garde pour l'instant certains détails du contexte secrets, ce ne serait pas drôle sinon !
Plein de p'tites pensées positives.
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Les conversations entre Pier Paolo Pasolini et Gideon Bachmann, longtemps restées confidentielles, sont enfin révélées dans ce recueil exceptionnel. Enregistré au fil d’une amitié de quinze ans, ce document nous transporte des débuts cinématographiques de Pasolini avec Accattone (1961) jusqu’à son Salò ou les 120 journées de Sodome (1975). Structurées autour de trois thèmes majeurs — Polémique, Politique et Pouvoir — ces conversations dévoilent les fondements de l’oeuvre de Pasolini. Elles abordent des sujets aussi variés que l’art, la société, la religion, le langage, la poésie et le cinéma, offrant une vision claire et percutante de ses idées. Les échanges entre Pasolini et Bachmann sont vifs, parfois amers, toujours fascinants, dépeignant une époque de bouleversements sociaux et culturels. Ces paroles résonnent encore aujourd’hui, apportant une réflexion profonde sur notre société contemporaine. Un livre indispensable pour comprendre Pasolini et les dynamiques sociales et politiques qui perdurent.
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L'ENLEVEMENT - Le film Rapito du réalisateur italien Marco Bellocchio a été projeté à la 76ème édition du Festival de Cannes, plongeant le public au cœur de l'affaire Mortara. Il offre une immersion captivante dans l'Italie du XIXe siècle et soulève des questionnements profonds sur la liberté religieuse, l'identité et la tolérance.
Le film retrace le destin extraordinaire d'Edgardo Mortara qui a suscité une vive émotion dans toute l'Italie du XIXe siècle. Les autorités sont venues chez ses parents un soir de juin 1858 et leur ont donné vingt-quatre heures pour leur remettre leur enfant. Cette intervention a été réalisée sur ordre du pape, après la révélation du baptême secret de l'enfant.
Face à cette décision implacable, les parents d'Edgardo ont tenté de comprendre et de faire valoir leurs arguments. Ils ont rapidement découvert qu’une ancienne servante catholique était à l'origine de cette trahison. Malheureusement, dans l'État pontifical de Bologne, toute discussion était vaine et les autorités ne laissaient place à aucun compromis.
En raison de son baptême, Edgardo est considéré comme un apostat et il lui est donc impossible de vivre au sein d'une famille juive. Selon les croyances de l'époque, seule l'Église peut le sauver et le protéger spirituellement. L'inquisiteur de Bologne organise donc son placement dans une maison des catéchumènes, un institut fermé destiné à la conversion au catholicisme des jeunes juifs, musulmans et chrétiens non catholiques.
L'affaire Mortara, bien qu'exceptionnelle, n'est pas un cas isolé. Lors de la conférence de presse qui a suivi la première du film, le réalisateur a révélé que de nombreux autres enlèvements et conversions forcées ont eu lieu depuis le XVIe siècle. En effet, les familles juives étaient contraintes d'employer des servantes catholiques pendant le shabbat et celles-ci se chargeaient secrètement de baptiser les petits enfants juifs dans le but de les "sauver". Cette pratique était soutenue par les autorités religieuses catholiques au nom de Dieu. Au cours du procès, la servante a d’ailleurs affirmé avoir baptisé le petit Edgardo alors qu'il était malade et qu'elle le croyait mourant, dans l'espoir de le sauver des limbes, conformément à la croyance répandue à l'époque.
Ces conversions secrètes étaient utilisées comme moyen de pression par les autorités pour inciter les familles juives à se convertir au catholicisme afin de récupérer leurs enfants. Une alternative farouchement rejetée par la famille Mortara, qui refusait de choisir entre leur enfant et leur religion.
Rapito va bien au-delà d'un simple drame historique, il rappelle l'importance de la liberté religieuse et soulève des questions profondes sur l'identité, la foi et la tolérance.
Rapito explore avec minutie le thème de l'emprise à travers l'histoire bouleversante de ce jeune enfant soudain plongé dans les préceptes de la religion catholique. Dès son arrivée dans sa nouvelle demeure, Edgardo reçoit un conseil d'un autre garçon, lui indiquant qu'il doit se comporter de manière exemplaire s'il souhaite rapidement retrouver sa famille. Cependant, ce conseil se révèle être un piège, donnant l'illusion d'une conversion heureuse, alors qu'en réalité, il renforce la décision des autorités papales de le tenir éloigné de sa famille. Parallèlement, un processus d'endoctrinement se met en place, basé sur l'enfermement et la culpabilisation.
Un autre élément remarquable de cette histoire est la trajectoire d'Edgardo Mortara lui-même. Malgré l'épreuve incommensurable qu'il a vécue, il deviendra prêtre et restera un fervent catholique jusqu'à sa mort, restant à distance de sa famille, essayant même de la convertir au catholicisme. Marco Bellocchio a mis en évidence les contradictions d'Edgardo Mortara et la souffrance qui en découle. Il utilise habilement le mystère qui entoure la psychologie du personnage tout au long du film.
Est-ce qu'il fait semblant ? Est-ce qu'il agit par réflexe de protection ou est-il victime du syndrome de Stockholm ? Tout au long du récit, le personnage fascine et suscite des questionnements.
L'histoire d'Edgardo Mortara est exceptionnelle à bien des égards, notamment par sa médiatisation. Ses parents ont lutté sans relâche contre les autorités pontificales pour récupérer leur enfant, mobilisant la presse libérale qui en a fait un scandale national. Elle est devenue un symbole de résistance face à l'inquisition, renforçant ainsi la position inflexible du pape Pie IX, déterminé à appliquer strictement les dogmes religieux et à préserver son pouvoir. Marco Bellocchio souligne que cette affaire a pris une dimension "politique", en soulignant son lien avec la "dislocation de l'État pontifical" à l'époque.
Ce contexte historique, étroitement lié à l'affaire Mortara, se reflète dans la structure du film, qui s'appuie sur trois moments clés : l'enlèvement en 1858, le procès en 1860 rendu possible par l'arrivée des nationalistes au pouvoir à Bologne, et enfin, la conquête de Rome en 1870.
L'affaire Mortara est devenue célèbre et a posé un casse-tête pour le pape Pie IX et son principal conseiller, le cardinal Antonelli. Face à la pression publique et aux pétitions incessantes de la communauté juive réclamant le retour d'Edgardo, le pape, a simplement publié son édit : "Non possumus" (Nous ne pouvons pas).
Ce n'est qu'en 1859, lorsque l'armée italienne renverse la domination papale à Bologne, qu'un nouvel espoir surgit avec un procès contre Felletti, l’inquisiteur. Malheureusement, il est disculpé et l'avocat répond sèchement à Momolo, désespéré de ramener Edgardo à la maison, que cela ne sera possible que lorsque Rome sera prise.
Marco Bellocchio a découvert le destin d'Edgardo Mortara dans un livre de Vittorio Messori, un auteur catholique et conservateur qui défendait les raisons justifiant la séparation de l'enfant de sa famille par le pape. Cette affaire hautement médiatisée a suscité des passions déchaînées et a donné lieu à de nombreux récits, parfois contradictoires, parmi lesquels il a fallu faire le tri. Lors de la conférence de presse, Marco Bellocchio, le réalisateur, et Susanna Nicchiarelli, la coscénariste ont déclaré avoir eu la chance de travailler sur les sources directes de l'affaire Mortara, notamment les dépositions du procès, dont celle de Mariana Mortara, la mère, qui a décrit en détail les événements relatés dans la première partie du film, tels que l'arrivée des policiers et leur demande du nom des enfants. Cette richesse d'informations a permis de sélectionner parmi de nombreux éléments réels. Cependant, il restait à imaginer l'intimité des personnages, un aspect pour lequel très peu d'informations étaient disponibles.
Le film documente de près les circonstances de l'enlèvement d'Edgardo et les premiers efforts pour le ramener. Malgré son jeune âge, Sala a brillamment incarné le personnage, même s'il n'a probablement pas pleinement saisi l'importance du film en raison de sa jeune expérience de vie. Le réalisateur estime avoir fait un choix judicieux en sélectionnant cet acteur très jeune, qui a su apporter une profondeur émotionnelle remarquable à son interprétation. Il souligne également que Sala, n'ayant jamais mis les pieds dans une église et étant dépourvu des contraintes d’une éducation catholique, sans être non plus juif, et a pu puiser dans une profondeur intérieure pour incarner le personnage.
Marco Bellocchio a révélé que Steven Spielberg avait également prévu de réaliser un film sur l'affaire Mortara et avait même commencé à repérer des lieux en Italie. Cependant, il a finalement abandonné le projet, ouvrant ainsi la voie à Bellocchio et son équipe, ce qui est préférable, le film devant être tourné par des italiens et en langue italienne.
NOTE 17/20 - En plus de susciter une réflexion intense et captivante sur l'univers des religieux, la croyance et ses modalités d'adhésion, Rapito plonge le public au cœur d'un épisode bouleversant de l'histoire italienne.
Les performances exceptionnelles des acteurs donnent vie aux personnages avec une intensité émotionnelle palpable. L'esthétique soignée du film s'inspire des grands maîtres de la peinture pré-impressionniste italienne et française, tel Eugène Delacroix.
Les décors minutieusement reconstitués, les costumes somptueux et les couleurs vives et contrastées créent une atmosphère visuelle captivante, transportant le spectateur dans un univers saisissant de réalité.
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«Ce qui me rattachait au judaïsme ce n’était pas la foi – je dois l’avouer – ni même l’orgueil national car j’ai toujours été incroyant. J’ai été élevé sans religion, mais non sans le respect de ce que l’on appelle les exigences «éthiques» de la civilisation humaine. Chaque fois que j’ai éprouvé des sentiments d’exaltation nationale, je me suis efforcé de les repousser comme étant funestes et injustes, averti et effrayé par l’exemple des peuples parmi lesquels nous vivons, nous autres juifs. Mais il restait assez de choses capables de rendre irrésistible l’attrait du judaïsme et des Juifs, beaucoup d’obscures forces émotionnelles – d’autant plus puissantes qu’on peut moins les exprimer par des mots – ainsi que la claire conscience d’une identité intérieure, le mystère d’une même construction psychique. À cela s’ajouta bientôt un autre fait: je compris que c’était seulement à ma nature de juif que je devais les deux qualités qui m’étaient devenues indispensables dans ma difficile existence. Parce que j’étais juif, je me suis trouvé libéré de bien des préjugés qui limitent chez les autres l’emploi de leur intelligence ; en tant que juif, j’étais prêt à passer dans l’opposition et à renoncer à m’entendre avec «la compacte majorité». (Sigmund Freud, 𝙇𝙚𝙩𝙩𝙧𝙚 𝙖̀ 𝙡’𝙖𝙨𝙨𝙤𝙘𝙞𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝘽’𝙣𝙖𝙞 𝘽’𝙧𝙞𝙩𝙝 - 1926)
L’humanité n’a qu’un véritable ennemi, sa propre indigence à s’extraire de l’idéologie dans lequel le sujet du signifiant est toujours pris a priori, à savoir le discours dominant qui l’enjoint de choisir un camp, souscrivant ainsi de facto aux fausses oppositions (droite/gauche, tolérance laïque/ fondamentalisme religieux, libéralisme/socialisme, etc.) du discours capitaliste.
Pour s’extraire des puissantes mâchoires du piège létal, il n’y a pas d’autre choix que la violence, un violent effort d'arrachement au discours courant qui ouvre au sujet la possibilité de nommer de façon plus juste son environnement - sans oublier de s'inclure lui-même dans cette description du monde! - et donc la violence s'exerce toujours forcément et en premier lieu sur lui-même…
Voilà le prix de la véritable subversion psychanalytique, qui est aussi le thème du film de David Fincher "Fight Club".
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Je sais pas comment j'ai pu rater cette occasion- Mais je suis la pour le DVD commentary !! :DD
Et sans grande surprise j'aimerais tout savoir sur Lux Lunae ! J'aime trop comment tu met en scène cet univers !!
J’ai eu beaucoup de mal à choisir un seul passage, du coup j'en ai pris 2 qui font 500 mots à eux 2. ( J'espère que c'est okay )
Donc de "Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit..." à "..y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.” Pour la première.
Et "Un battement. Deux battements. Trois battements..." à "...un monument à l’inévitable et à l’éternité."
(Referring to this ask game)
Ohohoho, kitty time !! :3c
Et 😭 oui c'est ok, prenez des extraits de plus 500 mots si vous voulez, je suis pas à ça près X) Voire plusieurs extraits, en fait, moi on me donne l'opportunité de ramble sur mes fics je suis ravie–
Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit – et encore moins de le faire sans la protection d’un ou deux gardiens. Même les chatons le savaient : la ville était sans pitié pour ceux qui s’y égaraient, et sans soleil pour veiller sur eux, ils n’avaient plus un chat à prier.
(Les gardiens étant l'équivalent des guerriers, Béa/Tournesol n'a pas l'habitude de sortir sans ; techniquement cette ligne est. Un peu stupide vu qu'on apprend quelques paragraphes plus tard qu'elle est accompagnée par Liam, mais shhh– Je réalise d'ailleurs maintenant que la ligne sur le soleil insinue un peu que les chats de la Colonie ont un genre de religion autour du soleil, mais c'est pas le cas, hein, c'est juste. Plus safe en journée en ville X'))
Enfin, si. Elle en avait, maintenant, des chats à prier.
Ç’avait été une découverte déroutante. Toute sa vie, elle avait vécu sans croyances, s’était dévouée à son rôle de guérisseuse, malgré des méthodes qu’on lui reprochait peu orthodoxes mais qu’elle ne considérait que comme une façon comme une autre de sauver des vies. Toute sa vie, elle s’était jugée seule responsable des vies qu’on lui confiait, des vies qu’elle avait entre ses pattes.
(Petite référence aux saignées de la Béa canon, même si honnêtement j'ai aucune idée de comment ça se retranscrirait dans l'AU – est-ce qu'elle. Mort ses patients jusqu'au sang ? À réfléchir... ou pas, d'ailleurs 😭)
Et voilà qu’on lui présentait une puissance autre. Une puissance supérieure, capable de régir la vie des chats de Gangs, de leur apporter leur aide ou, au contraire, de les maudire s’ils leur désobéissaient.
(En utilisant Béa/Tournesol ici, j'utilise une technique très commune dans pas mal de fantasy, qui a probablement un nom, mais que j'appelle affectueusement "je lance un pèquenaud qui connaît rien au système du coin pour l'introduire au lecteur non initié" <3 D'ailleurs, techniquement, de tout l'OS, c'est le passage avec Yann qui est venu en premier ! À la base je voulais juste écrire un passage cryptique avec une apparition de Yann, et j'ai même failli utiliser MT en personnage principal (et réduire tout ça à un rêve qu'il finirait par shrug off au réveil), mais Béa me fournissait plus d'opportunités de subplots et me permettait de coller au thème Lune, sur lequel j'avais très envie d'écrire :])
Où avaient été ces chats, tout ce temps, lorsqu’elle s’était battue contre le temps, tentant désespérément de garder en vie une âme qui lui échappait ?
(Petit questionnement à la Papillon ✨ ... enfin je crois, mes souvenirs de Papillon sont vagues et j'en suis pas arrivée là à ma relecture du cycle 2, mais c'est l'idée que j'en ai en tête X))
Elle avait du mal à croire en eux, elle devait se l’avouer. Mais intégrer le Gang signifiait accepter ses traditions, et ce voyage au clair de lune n’en était qu’une parmi tant d’autres.
(Le clair de lune..... *sigh* la première version de cet OS parlait de pleine lune, parce que je pensais que c'était là que se réunissaient les guérisseurs, pour une raison ou une autre ? Puis j'ai relu le tome, quoi, 3 ? Et j'ai réalisé que c'était à la demi-lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'ai lu le tome 5 et en fait c'était à la nouvelle lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'en ai discuté avec Spotty et en fait non c'était bien la demi-lune– bref, tout une histoire X'))
“Un problème, ma pote ?”
(Si y a bien un problème auquel je m'attendais pas en écrivant cet AU, c'est bien la question des speech patterns, parce que mine de rien, la façon de parler des chats de LGDC est très "simpliste" : ils se tutoient tous, ont tous un niveau de langage globalement courant et family-friendly, s'aventurent peu dans le familier ou le soutenu, et ont rarement des tics de langages bien à eux ; or, ce genre de différences dans le langage, RPZ en regorge– et encore, ça se voit peu dans Ad Nominem et encore moins dans Lux Lunae, parce qu'il n'y a que des personnages qui se tutoient et ont un niveau de langage courant, même si j'ai cru comprendre que les chats qui lâchent des 'putain' avaient surpris, mais pour écrire des personnages comme MT ? MT, le chef de gang qui qualifie tout le monde de reuf et de bitch, menant une cérémonie, ce truc au langage extrêmement précis et solennel ? Ouais, c'est un équilibre à trouver, hein X') Je ne prends bien sûr absolument pas cet exemple à cause d'un potentiel WIP, nooon.....)
Les oreilles de Tournesol Écarlate tressaillirent tandis que se coulait à ses côtés la forme rousse et élancée de Faux Trèfle, l’œil curieux et la queue battante.
“Non, non, pas du tout, m’sieur !” miaula-t-elle prudemment tandis que ses oreilles, par instinct, s’aplatissaient contre son crâne.
(Aslkjsdfs au contraire, les comportements de chats, c'est quelque chose que je m'attendais pas à autant apprécier écrire <3 Les mouvements d'oreilles, de queues, la fourrure, le museau, les miaulements, les feulements, les ronronnements, j'adore écrire tout ce qui est relatif aux habitudes et actions des chats en tant que chats ✨)
Faux Trèfle pencha la tête sur le côté, comme peu convaincu, mais n’insista pas. “Bon. Prête pour ta première rencontre avec nos ancêtres ?”
Non, bien sûr que non. Comment être prête à rencontrer les esprits potentiellement fictifs de chats de Gangs morts ?
Tournesol Écarlate acquiesça néanmoins.
“Tu les as déjà vus, les chats des étoiles, toi, m’sieur ?” tenta-t-elle, en une tentative à peine dissimulée de se rassurer.
Le matou leva le museau vers le ciel.
“Pas vraiment, non. Ils apparaissent pas trop aux guerriers ordinaires comme moi. On est pas assez intéressants pour eux, je suppose.”
Son ton était presque… mélancolique. Presque déçu.
(Est-ce vous aussi vous pensez souvent au fait que 90% des chats ne voient jamais aucun chat ou signe du Clan des Étoiles avant leur mort et croient toute leur vie en l'existence d'esprits qu'ils n'ont pas de chances de rencontrer. Est-ce que vous aussi vous pensez aux jeunes chats qui apprennent que les esprits choisissent certains d'entre eux et en font leurs héros et qui espèrent longtemps être choisis par une prophétie avant de lentement réaliser qu'ils font partie de ceux qui ne seront que des chats ordinaires ? Parce que moi jamais, hahaa... Bref je pense que ce serait le cas de Liam. J'ai aucune preuve et ça sert pas à grand-chose niveau scénario mais. Ouais.)
“De toute façon,” enchaîna-t-il en secouant le museau, “y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.”
(Et ooh, une angsty backstory qui pointe :3c Techniquement il a pas de backstory décidée, mais j'aime bien me dire qu'il avait pas vraiment d'amis autres que Marcello et que les seules personnes qui l'attendent au Clan des Étoiles sont ses parents, qu'il a pas particulièrement envie de revoir.....)
–––
Un battement. Deux battements. Trois battements.
(Une énumération à trois éléments, aka ce que je fais de mieux 👍 /hj, mais un ami m'a fait remarquer que j'en utilisais beaucoup en lisant une de mes fics il y a des années et j'y repense à chaque fois que j'en fais une T-T)
Tournesol Écarlate avait cessé de compter depuis bien longtemps lorsqu’elle décida qu’elle en avait assez, et qu’elle se contenterait de mentir à Faux Trèfle s’il lui demandait ce qu’elle avait vu.
Lorsque ses yeux se rouvrirent, elle n’était plus à Los Santos.
(Le coup de "le protagoniste attend un changement qui ne vient pas mais découvre que le changement s'est produit hors champ alors qu'iel est sur le point d'abandonner", un classique !)
Elle laissa échapper un hoquet de surprise.
(Apparemment les chats peuvent vraiment avoir le hoquet ; j'aurais mis ça quoi qu'il arrive je pense. J'aurais pas été la première à trop personifier les chats pour que ce soit réaliste X))
Partout autour d’elle s’étendait une vaste plaine semblant infinie, sans un arbre ou un rocher pour en perturber la clarté. L’herbe était agitée d’un léger vent dont Tournesol Écarlate ne ressentait pourtant pas la moindre brise, et le ciel nocturne était parsemé de plus d’étoiles qu’elle n’en avait jamais vues. Le lieu semblait imperturbable, imperturbé, un monument à l’inévitable et à l’éternité.
(Honnêtement je savais plus comment était décrit le lieu où les chats rencontraient le Clan des Étoiles dans les livres (et d'ailleurs je crois qu'il y en a plusieurs, en fait, ça dépend des chats) donc j'ai improvisé une plaine un peu surnaturelle~ Et j'aime beaucoup la dernière phrase mais c'est purement des fioritures, hein, je trouvais juste ça joli X))
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Podcast recommendations: September 2023
the podcasts I listen to the most are the daily ones from news organizations
a ton of podcasts around the world have copied the format of The Daily from The New York Times
I wrote in that post about how I've made a habit of listening to those copycats in my ~target languages~ (Dutch, Spanish) so as to improve my listening comprehension
below are other podcasts that I find interesting
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🇬🇧 Good podcasts in English 🇬🇧
Global News Podcast: international news from the BBC that will remind you of the existence of some countries
H3 Podcast: off-the-rails pop culture chats with so much lore that it may feel opaque at first, but it becomes family™ if you stick with it (excerpts: tagged/h3)
The Ezra Klein Show: insightful left-leaning conversations about politics and society, good way to find new books to read
Pivot: banter between an abrasive lesbian journalist [laudatory] and a filthy rich straight guy [derogatory] about media and business
Philosophize This!: philosophy class but not pretentious
Revisionist History: people who don't like Malcolm Gladwell's style because it's not "scientific" are so boring to me istg
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🇫🇷 En français 🇫🇷
Les couilles sur la table: excellent podcast sur "les masculinités" (le féminisme) qui devrait être écouté par les hommes mais est surtout écouté par les femmes
Un podcast à soi: aussi un excellent podcast féministe, à chaque coup on se whatsappe avec ma bff pour se dire "rolala trop bien le dernier épisode"
La semaine des 5 heures: passage en revue des sorties cinéma, tv, musicales, etc, de manière méchante-mais-drôle et surtout très belge (extraits: tagged/5 heures)
Cultures monde: un thème géopolitique hebdomadaire est décliné chaque jour en différents points de vue (ex: la politique migratoire européenne selon le gouvernement italien, selon les ONG, etc.)
La science, CQFD: conversations avec des académiques sur un sujet scientifique, très abordable et pas chiant du tout
Sans oser le demander: idem qu'au-dessus sauf que ça traite de culture générale et part dans tous les sens (ex: "les grandes religions ont-elles tout compris du marketing?", "le meilleur du rap français est-il belge?", "le spiritisme est-il de retour?")
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🇪🇸 En español 🇪🇸
Carne Cruda Podcast: aquí se queda la clara, la entrañable transparencia, de tu querida presencia, comandante Che Guevara
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Je viens de finir voyage au gouinistan voilà incroyable si vous voulez un podcast court (10 épisodes) qui aborde des sujets super divers (religion, sexualité,enfants...) sur les lesbiennes (c'est le thème quoi).
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Un ZCC radical recruté finit par capituler..ANC ;. Le vote DA avance.
Thème : Un ZCC radical recruté finit par capituler..ANC ;. Le vote DA avance Thomo : l'honnête radical DA vaut mieux que le plus beau discours.; Liberté, Égalité, Fraternité. Brant. Le temps postcolonial de l'ANC des 40 dernières années a été caractérisé à la fois comme une attente pour sortir d'un monde inhumain de colonie impériale anglaise - avec tout ce que cela implique sur le plan religieux D'A" - et comme un temps où opérer un nécessaire réinvention radicale D "A" vs ANC. Chris. C'est à mes yeux à la fois le temps de la fin et le temps de la réinvention, à commencer par la réinvention de ce qui a le plus souffert : le corps et l'esprit égyptiens. Mais c'est aussi le temps de nouvelles luttes radicales D'A' pour le peuple africain Dans des contextes d'extrême pauvreté due à une faim imposée par l'ANC britannique pro-impérialiste, de racialisation extrême et d'omniprésence de la mort de cet empire britannique malade, le corps est le premier à être touché et torturé la faim des pauvres en Afrique centrale Ethiopie . Chris Hanni les avait déjà soulignés dans un exergue à la fin de ses premières débuts publics, Pelle Bianca, parti Black D'A égyptien, lorsqu'il adressait à son corps cette prière : "Ô mon corps, fais toujours de moi un homme interrogateur". cependant, comme le montre l'exemple sud-africain de l'ANC après la fin de l'apartheid de la colline pénale impériale britannique, il ne peut être réinventé que si nous savons regarder l'ANC en arrière et non en avant. Là où ce qui a commencé dans du sang neuf D'A" se termine par une protestation radicale, les chances d'un nouveau départ sont en fait réduites par le danger d'infiltration de l'obsession des matières premières à l'horreur du passé colonial impérial britannique. En d'autres termes, il est facile de réinventer quelque chose simplement en dirigeant contre l'ANC d'autres la violence et la corruption de leur politique anti-foncière qui était autrefois employée contre le D'A' est le vrai cheval de bataille de la réforme radicale protestante ZCC rurale. Il n'y a pas automatiquement une "bonne agriculture D'A" qui devrait remplacer une "mauvaise Incotozizwe à ZAMA" ou qui en tirerait sa légitimité. Tout D'A, bon, consacre toujours une disjonction d'un post-impérialisme. Réinventer la politique dans les conditions postcoloniales nécessite d'abord d'abandonner la logique de revanche de l'ANC, surtout lorsqu'elle s'habille des atours du droit au profit d'une politique peu radicale. Cela dit, la lutte pour sortir d'un ordre des choses ANC ne peut ignorer ce qu'on pourrait appeler la productivité poétique de la religion protestante radicale ZCC : après tout, que serait l'Afrique sans la religion protestante ZCC ? La ZCC religieuse représente ici la ressource imaginaire par excellence du protestant. La contestation radicale ZCC s'entend non seulement comme un rapport au divin en annonçant la contestation radicale ZCC, mais aussi comme une salle de D'A' et d'espoir, dans un contexte historique où l'ANC a échoué et changé de camp non seulement sur le plan matériel infrastructures vendues, mais aussi humaines perdues à cause de la corruption, par le dénigrement et l'anéantissement de ressources précieuses pour les pauvres ». C'est ce discours contestataire radical D'A - parfois intériorisé dans le peuple protestant radical ZCC qui est remis en cause par certaines formes de croyances religieuses populaires égyptiennes, dans le but ultime de rendre enfin capables ceux qui étaient à genoux de "se lever et de marcher". ”. Dans ces conditions, la question dialectique D'A' , politique et éthique est de savoir comment accompagner cette "montée protestante ZCC dans l'humanité" - une ascension au terme de laquelle le dialogue entre les hommes redevient possible et remplace les injonctions de l'homme devant de son objet.
#Democratic Republic of the Congo#japan#ticino#namibia#france#china#uk#lgbtq#afrikaans#south africa#Djibouti#Egypt#Gabon#Gambia#Guinea-Bissau#Saint Helena#São Tomé#Senegal#Seychelles#Sudan#Eswatini#Uganda#Zambia#Algeria#Cameroon
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Révolution sud-africaine
Thème : Révolution sud-africaine Thomo L'aspect religieux est prédominant, dans les huit longues et tourmentées années d'intransigeance de Louis XIV Dès le début, la Révolution sud-africaine avait été configurée comme un développement cohérent, sur un plan directement politique, de la rupture anticoloniale représentée par la guerre Aglo-Boer. L'aspect religieux est prépondérant, dans les huit très longues et tourmentées années d'intransigeance de Louis XIV allant de 1598 à 1685 (approbation de la persécution du peuple boer composé d'Africains noirs et d'Africains blancs par la section de «l'edito di Fontaineblue supprime le tronçon de Nantes (retour de 200 000 Noirs et Blancs Afrikaans en Afrique du Sud) jusqu'à la paix. 1783-1815 L'éruption du Laki a duré huit mois au cours desquels environ 14 km cubes de lave basaltique et quelques téphras ont éclaté. La brume de l'éruption a été signalée de l'Islande à la Syrie. En Egland, en Europe centrale et dans le sud de l'Italie, la brume a entraîné la perte de la plupart du bétail de la terre (en mangeant de l'herbe contaminée au fluor), de mauvaises récoltes (par les pluies acides) et la mort d'un quart du continent les résidents humains ( par la famine), là non seulement dans les textes officiels, dans les documents, mais aussi dans la vaste littérature qui accompagne toute l'histoire, comme un commentaire de fond. Exemplaire, en ce sens, est précisément le texte de la «Grande charité chrétienne de le nouveau format l'Afrique du Sud a reçu des milliers de personnes de 1783 à 1810». Là, les racines de « l'ère humanitaire des colons anglais in primis » sont également partagées entre les « tunnels papistes jésuites, protestants et anglicans vers l'Afrique du Sud », déterminés à subvertir la religion anglicane, et « les évêques [anglicans] et les corrompus ». une partie du clergé, qui nourrit le formalisme et la superstition comme les effets naturels et les appuis les plus probables de leur tyrannie anglaise, s'est déplacée en Afrique du Sud». Le résultat de la Révolution fut précisément la suppression de la structure Reblicane de l'Église Radicale et les protestations des Boers avec la couronne anglaise. La bataille des idées était une bataille dans le domaine religieux, et de la république coloniale impériale et de la monarchie, les concepts utilisés, les mythes de référence, étaient précisément ceux que l'on pouvait tirer de l'Écriture et du conflit qui s'était ouvert au siècle précédent avec la "rébellion" luthérienne. contre Rome. De plus, il ne fait aucun doute que l'Église anglicane, fortement hiérarchisée ainsi que destinée à une dévotion à la couronne anglaise vers une religion résolument politique, était le principal soutien de l'absolutisme monarchique impérial (la réforme protestante pour une république libre en Afrique est née à défaut de la couronne impériale anglaise le « resta une colonie jusqu'en 1994 »
#São Tomé and Príncipe#Rwanda#Réunion#Saint Helena#Senegal#Tanzania#Zambia#Zimbabwe#Libya#Guinea#Eritrea#south africa#china#japan#ticino
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