#Tant Qu’il Le Faudra tome 1
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Tant Qu’il Le Faudra, tome 1
Présentation :
Titre français : Tant Qu’il Le Faudra, tome 1
Auteurice : Mx Cordélia
Type d’ouvrage : Roman feuilleton sur Wattpad (chapitres 1 à 23)
Publication : https://www.wattpad.com/story/157446281-tant-qu%27il-le-faudra-t1-t2-et-t3
L’entièreté de Tant Qu’il Le Faudra restera disponible sur Wattpad jusqu’au 1er septembre 2020. Les trois tomes seront ensuite retirés de la plate-forme en vue de la publication papier chez les éditions Akata.
Genre : Contemporain, Tranche de vie
Résumé :
Roman feuilleton très porté sur la romance retraçant la vie de jeunes LGBT+ au sein d'un magazine associatif LGBT+ à Paris. Entre les réunions, les soirées, les manifs et les dramaqueer, iels s'aiment, s'entraident, se trahissent, se déchirent, mais surtout se soutiennent.
Représentation : un personnage asexuel, panromantique et trans, de nombreux personnages LGBTQI+ (gay, bi, lesbiens, pan, non-binaire), plusieurs personnages racisés, plusieurs personnages handicapés, un personnage neuroatypique, un personnage malade chronique, ...
TW/CW : homophobie, lesbophobie, transphobie, LGBTphobie, racisme, antisémitisme, validisme, grossophobie, TOC, agression, relations parentales abusives, consommation d’alcool, mentions d’actes sexuels
L’avis du CLAAN :
Chaque chapitre est raconté à travers le regard d’un personnage différent.
Positif :
La représentation est nombreuse et très variée.
Chaque chapitre inclue une liste de ressources concernant des thèmes abordés.
L’auteurice s’est bien documenté·e sur les problématiques abordées, qui sont par ailleurs nombreuses.
On nous offre différents points de vue en suivant plusieurs personnages.
Le roman est réaliste, on arrive bien à s’y projeter.
Le style d’écriture est très fluide.
Les personnages principaux sont approfondis, de même que les relations qu’iels entretiennent entre elleux.
Des illustrations représentant les personnages ont été réalisées par Perrine Fromentin.
C’est très chou !
Négatif :
On met un peu de temps à s’attacher à certains personnages.
Il n’y a pas de réelle intrigue : c’est du slice of life, on suit un groupe de personnages durant 1 an autour de leur association.
Malgré le très grand nombre d’identités représentées, le roman ne semble comporter aucun personnage sur le spectre de l’aromantisme.
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Dernier (?) loot manga de la semaine des années 2010 !
Bonjour !
Et voici donc le tant attendu ultime (normalement) loot manga de l’année ! Faudra que je prépare le programme du mois prochain, tiens… Enfin, qu’avons-nous cette fois ? Le deuxième tome d’Aime ton prochain (titre non contractuel, à la vue de la couverture… ^^), les deux tomes de Frankenstein Family (un coup de tête sur lequel je reviendrai plus bas), un hentai avec Vivid Honey (et cette fois-ci, Tora-chan ne suffisait pas à censurer astucieusement la couverture), et on finit par le premier tome (sur six, ouf !) d’Octave, une nouvelle série de Taifu censée succéder à Citrus, mais on a vu que l’éditeur avait, en parallèle, profité de la sortie de son dernier tome pour enchaîner aussi sec et en simultané sur sa suite Citrus+…
Concernant Frankenstein Family, donc… Vous voyez le perso d’Alsace (ou Ashise, en VO), la brune végétale sur la couverture du tome 2 ? Voilà, hein… Une fille aussi mignonne et en apparence adorable comme ça, avec le fait que la série ne compte que deux to… Ah, on me dit que la mangaka a décidé d’en sortir un troisième dans un avenir proche, uniquement pour Taïwan et la France (ou ce qu’il en reste). Bref, je pouvais pas y résister ! ^^
À noter que la couverture du tome 2 est réversible, en fait. Sympa ! Ah, mais c’était aussi le cas du premier tirage du tome 1 ? Tant pis…
C’est tout pour cette fois. Bonnes vacances, bonnes fêtes de fin d’année, et on se revoit logiquement pour le premier billet de 2020 !
À la prochaine ! o/
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Pumpkin Autumn Challenge
C’est bientôt l’automne et le retour du Pumpkin Autumn challenge de la blogueuse et booktubeuse le terrier de Guimause, dont voici la vidéo.
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J’avais beaucoup apprécié le challenge de l’année dernière c’est pourquoi j’ai décidé de rempiler cette année avec une sélection automnal et fraîche que voici. je suis plutôt contente de dire que j’avais presque tout ce qu’il fallait dans ma PàL, il y en a trois qu’il faudra que je me procure quand je voudrais les lires.
Automne frissonnant
Le cri de la banshee - Bazaar (Stephen King)
Un challenge sur le thème d’halloween et de l’automne sans Stephen King ? Ce n’était pas possible. Du coup j’ai hâte d’aller visiter le magasin de cet empêcheur de tourner en rond qu’est monsieur Gaunt, qui, semble t-il en quelques pages va semer la discorde dans une petite ville du Maine (n’aller pas dans cet état, jamais).
Le fantôme de l’opéra - Journal d’un marchand de rêve (Anthelme de Hauchecorne)
J’avais adoré Le Carnaval aux Corbeaux, tant du point de vue de l’écriture que de l’histoire, c’est pourquoi quand j’ai vue ce roman en librairie je l’ais pris sans réfléchir. On ne sait pas vraiment à quel genre de créature on va avoir affaire... On sait juste que c’est une sale histoire de cauchemars et d’asile psychiatriques. Forcément un bon mélange.
Vous prendrez bien un verre de True Blood ? - Heca-Tomb (Zaroff)
Ici c’est carrément du splatter gore, c’est-à-dire sang pour sang du gore pour du gore soupoudré de gore emballé dans des intestins. Je ne m’attends à une merveille d’un point de vue scénaristique, mais on verra le style. En littérature c’est un style totalement nouveau pour moi.
Automne douceur de vivre
Trick or Treat - Coraline (Neil Gaiman)
Une sorcière, un monde parallèle, bref. Je ne vous présente plus Coraline, une petite fille qui va se retrouver dans une vie parallèle étrange et absurde, à la recherche de ses parents.
Pomme au four, tasse de thé et bougie - Outlander t.1, le chardon et le tartan (Diana Gabaldon)
Une histoire d’amour, entre deux époques, en Ecosse, les higlands balayé par le vent... J’attends énormément de cette histoire mais j’ai tout de même des appréhension. Je m’attends à vivre un rêve à cette lecture et je n’ai pas regardé la série exprès. Bon, je ne vous présent pas Outlander, c’est la hype du moment sur la blogosphère, mais ça aussi ça me fait peur du coup.
La feuille d’automne emportée par le vent en ronde monotone, tombante, tourbillonnante - Le bestiaire de l’épouvanteur (Joseph Delaney)
Dans le monde de l’épouvanteur on crois tout un tas de créature toutes plus étranges les unes que les autres.... Et bien en voici un recueil non exhaustif. Pour ma part je vais aussi tenter de fini les deux autres tomes qu’il me reste de cette merveilleuse saga pendant ce challenge. Cette saga nous emmène dans un pays pouvant s’apparenter à la Bretagne dans un moyen-âge fantastique. On y suit Tom Ward, un apprentie épouvanteur. Un septième fils d’un septième fils qui aura pour mission de chasser l’obscure et défendre les bonnes gens de la Comté. Il deviendra ami avec Alice, une jeune sorcière qui cherche à échapper à son destin. Pour le moment ? Douze tomes de pur bonheur que je vous recommande chaudement.
Automne ensorcelant
Witches Brew - Les chroniques des Féals intégral ( Mathieu Gaborit)
Bon, c’est un festival. Une tour mystérieuse, une cérémonie qui tourne à la catastrophe, des mages en veux-tu en voilà, un ennemie nommé “La Charogne”, bref.., De la magie dans un univers SFFF que j’ai vraiment hâte de lire au plus vite.
Cristaux, tarot et encens - Comment le dire à la nuit (Vincent Tassy)
L’auteur du conte horrifique Apostasie nous propose cette fois-ci de rencontrer une dame en noir qui a cruellement besoin d’amour... C’est pour ça que l’enlèvement lui semble pertinent lorsqu’elle trouve un jeune homme égaré. Connaissant la plume et l’esprit tortueux de Vincent Tassy, je me suis dit qu’il entrerait parfaitement dans cette catégorie-ci.
Ballai Pattes ! - Âme de Sorcière (Odile Chabrillac)
Ces derniers temps je vois une énorme hype autour de la figure de la sorcière, cette démarche de se réapproprier son féminin au travers de cette figure de femme qui vit selon ses propres principes et ses propres valeurs. Outre le fait que je me reconnais vraiment dans cette démarche, ce livre m’intrigue.
“Symbole subversif de la révolte féministe, la figure de la sorcière est aujourd'hui de retour, prête à questionner nos choix, notre rapport au monde, à la nature, au corps, à la rationalité, à la sexualité... Et ce qu'elle a à nous apprendre peut réellement changer nos vies. Loin du folklore et des clichés, les sorcières sont porteuses d'un savoir riche et multiple, qui dérange et bouscule l'ordre établi. Pourquoi les a-t-on massacrées au XVe siècle, pourquoi a-t-on cherché à les oublier ? Car elles ont osé, en leur temps, défier l'église, l'autorité (masculine en particulier) et l'idée même de propriété ; elles savaient dire " oui " lorsqu'elles avaient envie et " non " quand elles le pensaient. Se réapproprier leur histoire, leurs savoirs, leurs pouvoirs, c'est autoriser chaque femme à retrouver sa puissance, en faisant d'elle une digne héritière des guérisseuses et des sages-femmes d'antan. C'est ouvrir de nouveaux possibles, dans tous les champs (politique, artistique, écologique, philosophique, humain surtout), c'est oser se revendiquer différente, puissante et néanmoins bienfaisante. “
Ais-je besoin d’en dire plus ? Non je ne penses pas. Ce livre me parle dès la lecture de la quatrième et je penses que je dois le lire.
Automne enchanteur
Les métamorphoses - Adjaï au milles visages t.1, Ceux qui changent (Aquilegia Nox)
Adjaï est un changelling. C’est une raison suffisante. Dans un univers mi-fantasy mi steampunk, c’est l’argument final.
Clochettes, germoirs et chandelles - Harry Potter t.2, La chambre des secrets
J’ai plusieurs challenge en cours, alors je me suis efforcée de matcher le tout. Harry Potter c’est féérique et Dobby est un elfe de maison. Fin de l’histoire. bHarry Potter reste clairement ma saga chouchou.
Au détour de Brocéliande - Aliénor, un dernier baiser avant le silence (Mireillle Calmel)
Je suis tombé dessus à la librairie... Ce livre a clairement tout pour me plaire.
“1204 : Jean sans Terre règne sans partage sur l'Angleterre, décidé à éteindre jusqu'au souvenir de son frère, l'illustre et défunt Richard Cœur de Lion. Une femme pourtant se souvient. Eloïn Rudel, grande prêtresse d'Avalon. Celle qui fut la compagne de l'ombre de Richard et la mère de ses enfants. Dissimulée au cœur de la forêt de Brocéliande avec sa fille Anne, traquée par Jean au titre de sorcière, elle est déterminée à livrer dans ses mémoires toute la vérité sur ses véritables relations avec Saladin, la légende d'Excalibur et du Graal, sa rencontre avec Merlin, les complots de Jean et la mort de Richard. Un témoignage qui apporte un éclairage différent et inattendu sur les événements retranscrits par sa mère, Loanna de Grimwald. Un témoignage qui offrira à Anne son ultime chance de survie contre Jean à l'heure où, à Fontevrault, la grande Aliénor tente de pérenniser l'empire Plantagenet en unissant sa petite-fille, Blanche de Castille, à l'héritier de France “
Une femme, vraisemblablement crainte car puissante, qui rencontre Merlin, avec Excalibure et le Graal dans le schamilblick, avec une touche de vrais personnages historiques.... Comment voulez-vous ne pas vous arrêtez ?
Et voilà pour moi... Alors, tu nous rejoins ?
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Le grand livre écrit par Kazuki Takahashi vous devriez lire est YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005. Je suis sûr que vous allez adorer le sujet à l'intérieur de YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005. Vous aurez assez de temps pour lire toutes les pages 208 pages dans votre temps libre. Le fabricant qui a sorti ce beau livre est Kana (1 décembre 2005). Obtenez le YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005 maintenant, vous ne serez pas déçu par le contenu. Vous pouvez télécharger YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005 à votre ordinateur avec des étapes modestes.. Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005 pour votre référence.
Revue éditoriale de YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005
Critique 1 Comme très souvent, les cartons éditoriaux sont victimes de leurs succès et « doivent subir » de nombreuses adaptations en tout genre, des dictionnaires, des agendas ou tout simplement des suites ! Succès s'il en est, Yu Gi Oh n'échappe pas à cette règle et connaîtra plusieurs suites ou spin-off, Yu Gi Oh R, est la seule véritable suite mettant en scène les héros de la grande saga de Kazuki Takahashi, mais pour l'occasion ce dernier se contente de superviser, c'est l'un de ses assistants, Akira Ito, qui va dessiner. Yugi vient de remporter le tournoi de Battle City et par la même occasion a vaincu Marik. Avant que notre héros parte explorer la mémoire de son double, il va devoir subir les assauts d'un nouvel ennemi : Yako Tenma, un disciple de Pegasus bien décidé à venger ce dernier. Tenma va prendre possession de la Kaiba Corporation et va enlever Anzu sous les yeux de nos héros, bien obligés d'accepter d'affronter l'élève de Pegasus… Ils vont devoir gravir les marches (au sens propre comme au figuré) les séparant de leur adversaire en affrontant à chaque étape des gardiens : les Card Professor ! Une intrigue bien simpliste pour un résultat loin d'être convaincant ! Le pitch de départ fait penser à un titre comme Saint Seiya, où les héros de la série vont devoir progresser en affrontant des gardiens pour continuer à avancer, c'est cliché, c'est linéaire, mais c'est surtout mal exploité ! Après tout pourquoi pas, mais l’intérêt de ce genre de concept vient du charisme des adversaires et de la mise en scène des affrontements ; si vous vous retrouvez avec des adversaires creux et sans personnalité livrant des duels tout aussi inintéressants, le concept s'effondre ! Il suffit simplement de se dire que dans ce premier tome, outre l’introduction posant les bases de l'intrigue, on assiste à pas moins de sept duels, soit huit au total avec le premier affrontement dés les premières pages. Inutile de dire qu'aucun d'entre eux n'est correctement développé, qu'aucun ne propose de surprise si ce n'est le premier qui voit apparaître un nouveau dieu, qui sera au centre de l'intrigue. Tout va donc très vite, trop vite, beaucoup trop vite pour qu'on ait ne serait ce que le temps de s'immerger un minimum. A peine se font ils face, que les protagonistes entament les duels, dés les premiers tours ils sortent des combos dévastateurs...c'est bien simple tous les duels sont réglés en trois tours. Pourtant, et c'est d'autant plus regrettable, on retrouve les mêmes mécanismes, les mêmes possibilités, avec des créatures et pièges inédits, donc des combos inédits. Mais tout est fait dans la précipitation et ne nous laisse pas le temps de profiter. En ce qui concerne le moment où se déroule ce titre court de cinq tomes, on peut également se poser la question de sa légitimité. Pourquoi ne pas avoir introduit cette histoire de vengeance tout simplement après la conclusion de la première série, rien dans cette dernière n’empêchait Yugi de continuer les duels. A l'issue du tournoi Battle City, les événements s’enchaînent immédiatement et laissent peu de place à cette incursion. L'idée de départ était intéressante, d'autant plus qu'effectivement, on pouvait trouver regrettable que Pegasus ait purement et simplement disparu de la série d'origine, mais tout est fait de manière bien trop maladroite. Si le dessin, bien qu'ayant changé de main, reste sensiblement le même, Akira Ito faisant du très bon travail, la narration elle est catastrophique. Mais l'adaptation française n'est pas loin de l'être également. On trouve de nombreuses pages floues et mal ancrées, tout simplement moches. Et on trouve des commentaires pas loin d'être ridicules « il y avait treize Card Professor, vous en avez vaincu six...il en reste environ sept »...quoi environ ? Une simple soustraction ne donne pas environ un résultat ! La lecture de ce premier tome s'avère être une belle déception, mais au rythme où se sont déroulées les choses, il est probable (du moins on l'espère) que la suite nous réserve quelques surprises...et il faudra bien ça pour commencer à susciter un minimum d’intérêt ! Critique 2 Après avoir remporté haut la main le tournoi de Battle City, Yugi est devenu le duelliste le plus redouté à travers le monde, réputé pour détenir désormais les trois cartes de Dieux Egyptiens. La tranquillité est revenue à Domino City, jusqu’au jour où Yakô Tenma, fils spirituel de Pegasus Junior Crawford, pirate le système de la Kaiba Corporation pour s’en emparer et kidnappe Anzu. Son objectif ? Yugi Mutô, le responsable de la disparition de son maître bien-aimé… Yu-Gi-Oh ! R et le seul spin-of de la saga Yu-Gi-Oh ! directement lié à l’aventure de Yugi, contrairement à Gx, 5D’s ou plus récemment Zexal. Pour les fans, voici donc le moyen idéal de retrouver le roi des jeux et sa joyeuse bande le temps de cinq volumes qui racontent une aventure inédite, à base de duels de carte. Formule alléchante, mais le contenu est loin d’être satisfaisant... Dans la chronologie Yu-Gi-Oh !, cet épisode « R » se déroule entre l’arc Battle City et celui du voyage dans le monde de la mémoire. On s’attend ainsi à découvrir une histoire inédite située à un moment opportun dans l’histoire, un peu comme l’ont fait certains fillers de la série animée, qui étaient somme toute plutôt réussis. Pourtant, cette nouvelle intrigue s’annonce comme intimement reliée à l’histoire principale, tant l’antagoniste de ce manga est lié à Pegasus lui-même et semble revenir sur la création des Dieux Egyptiens. Intriguant, n’est-ce pas ? Mais le développement de cette intrigue sur ce premier volume est bien loin d’être convaincant. En effet, les enjeux sont fixés dès les premières pages, de même que les objectifs de ce nouvel adversaire. L’auteur ne prend pas la peine d’instaurer au titre un réel mystère ni quelques tensions. La seule énigme de « R » sera la présence de ce fameux Dieu pouvant égaler Râ. Pour le reste, Yugi et les siens devront affronter un à un les différents duellistes se présentant à eux, jusqu’à atteindre Yakô Tenma pour sauver Anzu. Et… c’est tout. Le schéma intégré au récit dès les premiers chapitres n’est pas le réel problème de Yu-Gi-Oh ! R. Après tout, cette linéarité connue depuis certains titres comme Saint Seiya et régulièrement retrouvée dans les shônen d’aujourd’hui n’est pas dérangeante si l’intrigue et les affrontements proposés sont correctement développés. Le problème de l’entièreté de ce volume, c’est que la forme de chaque épisode est la même : Un « Card Professor » se présente à nos héros, ces derniers l’affrontent, sont d’abord malmenés puis remporte la victoire grâce à un combo miraculeux. Alors oui, ce schéma a été largement exploité dans la série principale, mais les duels étaient suffisamment développés et les adversaires originaux et intéressants pour apporter un intérêt aux parties de cartes. Ici, chaque duel occupe un unique chapitre. Les affrontements ne sont ainsi pas développés, les différents adversaires clichés et jamais fouillés. Aucune tension ne règne, l’issue des matchs est évidente. Le titre ne parvient même pas à se rattraper sur l’humour, tombant souvent à plat lorsqu’il intervient. Au final, les seuls bons points dans ce volume sont sa fin qui vient chambouler la linéarité de l’histoire, le retour d’un personnage porté disparu depuis longtemps, et les éventuelles révélations qui pourraient intervenir autour du Dieu de Tenma. Mais sur les duels de cartes, ce premier opus est un véritable fiasco. On notera que si Kazuki Takahashi supervise l’œuvre, nous devons le dessin à Akira Itô, un assistant du maître qu’il parviendrait presque à égaler ! Le style de dessin si particulier de Takahashi est reconnaissable et malgré quelques petites imperfections, le tout est globalement très convaincant, de même pour le design des monstres. Reste une mise en scène des duels qui ne pourra pas égaler l’excellent travail du mangaka originel de Yu-Gi-Oh ! . Kana avait fourni un excellent travail d’adaptation sur le titre principal, et nous retrouvons ici cette qualité. Cependant, ce tome 1 souffre de gros problèmes en ce qui concerne l’impression. En milieu de tombe, de nombreuses pages s’avèrent floues, comme si l’éditeur avait agrandi les planches de manière maladroite, gâchant la netteté de celles-ci. C’est très dérangeant tant le contraste avec les premiers chapitres est flagrant, et le dessin d’Akira Itô s’en retrouve gâché. Un gros carton rouge pour l’éditeur qui aurait mieux fait de vérifier ses volumes. On espère que les quatre prochains tomes ne souffriront pas de ces tares. Au final, ce premier tome de Yu-Gi-Oh ! R déçoit. L’histoire annoncée ne volait pas bien haut, mais aurait pu aboutir à de nouveaux duels palpitants et des réponses à certaines questions en suspens autour de Pegasus. Au final, il en résulte une succession de duels téléphonés et sans saveur, bien loin des affrontements dantesques que l’on a suivis dans la série principale. Gageons qu’il reste quatre tomes à la série pour se rattraper, et le titre ne pourra pas tomber plus bas que ce premier opus. Kazuki Takahashi supervisant le tout, on espère que l’épisode « R » parviendra à redresser la barre sur sa suite. (Critique de www.manga-news.com). Avant de créer ce manga exceptionnel, le jeune mangaka Kazuki Takahashi a publié en 1990 un récit d'histoires courtes, Tokio no Tsuma, avant d'entamer l'année suivante sa première série : Tenkai Iro Otoko Shu Buray. Cinq ans plus tard, il atteint la gloire grâce à un graphisme étonnant et un groupe de héros attachants unis par une amitié sans faille. Moteur du manga, elle le sublime, rendant captivant ce récit où jeu et force des sentiments s'accordent au trait élégant de Takahashi. La fougue des trois héros de Takahashi touche aussi bien les petits que les grands. Ito (Akira)
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LA VOIE DU SAMOURAÏ
5 ans après avoir marqué l’histoire du manga avec Naruto Masashi Kishimoto nous présente sa nouvelle oeuvre, Samurai 8: La légende d’Hachimaru.
Fasciné par la science fiction, Samurai 8 représente pour lui l’occasion d’explorer ce genre. Ainsi, c’est dans le cadre d’un monde dans lequel la technologie est bien plus avancée que la nôtre que les aventures d’Hachimaru prennent place. Bien que dépaysant, on retrouve dans Samurai 8 les éléments qui ont su faire le succès de Naruto. La mise en scène des combats mais aussi l’esthétique épurée des décors.
Samurai 8 est un travail collaboratif. Masashi Kishimoto scénarise tandis qu’Akira Okubo dessine. La coopération entre les deux auteurs commence en 2005. La publication de Naruto ayant commencé depuis 6 ans M. Kishimoto nécessite l’aide d’un assistant pour améliorer son efficacité. A. Okubo est contacté et commence son travail à ses côtés en tant qu’assistant. Il l’accompagne jusqu’à la fin de la publication du manga en 2014. Désormais, mangaka et assistant travaillent en tandem afin de nous livrer une histoire inédite.
(croquis de samurai 8 réalisé par Masashi Kishimoto à gauche mis en parallèle avec l’encrage d’Akira Okubo à droite )
Samurai 8 est le premier manga d’A. Okubo, cela laisse entendre deux choses:N’ayant encore jamais conçu de série son style narratif reste encore à définir. Mais surtout, ayant réalisé le travail d’un assistant pendant 9 ans, son atout principal consiste à s’adapter aux attentes du mangaka, M. Kishimoto. De plus, maintenant que leur travail est commun faire la part des choses entre ce qu’A. Okubo désire créer et ce que M. Kishimoto lui demande de créer pourrait se révéler ardu. On espère donc que Samurai 8 sera le manga permettant à A. Okubo de se révéler. Comme le dit un personnage de la série « l’essence se trouve dans les contraires » et il se pourrait bien qu’ici la surprise ne viennent pas du grand maître mais de l’apprenti mangaka.
Samurai 8 est publié chaque semaine dans le Weekly Shonen Jump, le magazine phare de la maison d’édition japonaise « Shueisha ». Il s’agit du magazine ayant publié auparavant Naruto et dans lequel on retrouve aujourd’hui des manges prometteurs tels que My Hero academia, Dr. Stone ou Les rôdeurs de la nuit. À la fin de chaque Jump sont présentés les résultats d’un concours de popularité. Les 15 manga du magazines sont classés par les lecteurs par ordre de préférence.
Ce classement joue un rôle capital pour les auteurs car il décide de leur avenir. Un bon classement signifie un succès à venir, tandis qu’un mauvais classement peut parfois signifier l’arrêt prochain d’une série. Lancé en Mai 2019 au Japon le manga semblait s’être fait une place dans le cœur des lecteurs oscillant entre la 5ème et la 10ème place. Mais l’arrêt de plusieurs séries en peine de succès risquent de troubler ce rythme de croisière, Samurai 8 se retrouvant régulièrement dans les parties plus basses du classement.
Ainsi les tomes de Samourai 8 seront édités à la fois Japon et en France par la Shueisha et Kana, les maisons d’édition s’étant occupés de Naruto et plus récemment Boruto. Les tomes 1 et 2 de Samurai 8 seront disponibles en France dès le 6 décembre 2019.
« La galaxie est en fin d’existence. Pour tenter de sauver les planètes éparpillées en son sein, un samurai a reçu la mission de trouver la "boîte de Pandore », dans laquelle le Dieu de la guerre Fudo Myoo a enfermé le secret qui sauvera le monde. Pour l’ouvrir, il faudra tout d’abord trouver les 7 clés. Hachimaru, un enfant faible et sous assistance médicale depuis sa naissance pourrait jouer un rôle dans cette quête ».
Mais qu’est ce qu’un samurai dans un monde ou le divin et la science se côtoient ?
Eh bien dans samurai 8 les samurai sont des êtres élus. Autrefois humains ils ont reçu la bénédiction de Fudo Myoo. Transfigurés, leur corps devient une mécanique complexe alimentée par leur âme, ce sont des cyborgs invulnérables. Constituant leur arme la plus puissante, l’âme des samurais représente leur honneur. Un honneur qu’il est nécessaire de nourrir par une passion ardente au risque que l’âme ne s’éteigne emportant avec elle le téméraire.
Les personnages présentés par Samurai 8 sont attachants. Que ce soit Daruma le samurai intrépide, Hachimaru l’enfant plein de rêves ou encore Hayataro le chien qui miaule, ils contribuent à la création d’une atmosphère de sérénité soutenue par le style graphique. Bien que certains visages puissent nous rappeler nos ninjas préférés, les personnes arpentant le monde des samurais semblent présenter des traits plus avenants. Les formes sont pour le plus souvent arrondies et l’épaisseur des traits plus marquée nous rappelant le style graphique de bandes dessinées franco belges. Ainsi une certaine chaleur se dégage des personnages évoluant dans des décors tout aussi somptueux. Les paysages sont épurés et étendus. Une sentiment de liberté, d’insouciance se dégage des différents sites traversés par nos personnages. Mais fidèle à ses propos l’essence du manga elle aussi réside dans ses contraires. Progressivement, le dépaysement laisse place à la solitude et les vaste étendues à un espace infiniment vide. La menace rôde et peut frapper à tout moment. Cette ambiguïté est retranscrite par un découpage simple de l’action permettant au lecteur de facilement se projeter dans cette dernière. Malgré le temps intersidéral sur lequel l’histoire est censé s’étaler l’action se suit en temps réel accentuant l’immersion dans ce monde irréel.
On retrouve dans Samourai 8 une thématique chère à M. Kishimoto, celle de la destinée déjà explorée dans Naruto à travers le prisme des divinités shintoïstes, et désormais dans Samurai 8 au travers du panthéon bouddhique. La destinée, ambivalente se place au centre des oeuvres de l’auteur. Néanmoins Redéfinie par de multiples révélations au cours des 15 premiers chapitres, elle évolue . Guidé par Daruma, un chat ayant fait de son mantra la phrase « Plus une chose est précieuse plus elle échappe à notre champ de vision » le protagoniste est incité à se questionner perpétuellement: Qu’est ce que le destin ? Qu’est ce que le hasard ? Quelle direction prendre ? Toutefois, il est regrettable que les personnages évoluant en orbite d’Hachimaru ne subissent le même traitement. On pense notamment à An introduit lors du 6ème chapitre. Liée à Hachimaru par le destin celle ci est censée prendre de plus en plus de place dans la trame principal et pourtant bien que nécessaire ce personnage semble rester passif.
Cette conflictualité entre le traitement du personnage principal masculin Hachimaru et du personnage principal féminin An semble faire écho à un thème aussi encré dans l’univers de Samurai 8, celui de la dualité entre tradition et modernité. Faisant partie intégrante de l’oeuvre les auteurs nous en offre le meilleur, l’histoire palpitante de samurai censés protéger leur galaxie, mais aussi le moins bon, ces samouraïs ont aussi pour rôle de protéger des princesse élevées dans la seule optique de favoriser l’apparition de plus de samouraïs. Bien que pouvant évoluer il peut être problématique de conserver un tel élément du traditionnel dans une oeuvre se voulant si résolument moderne en s’adressant avant tout à la nouvelle génération.
Samurai 8 s’impose comme une oeuvre ambitieuse souhaitant rassembler passé et futur, premiers comme prochains lecteurs de Masashi Kishimoto. Il s’agit d’une célébration des valeurs du Shonen nekkestsu dans la forme et le fond où l’ancien sert le nouveau. Bien que le risque de s’éloigner de son propos originel soit présent Samurai 8: La légende d’Hachimaru propose une expérience dépaysante et rafraichissante. C’est que nous en attendons la suite !
Jesse Eko Ebongue
Pour TEAM MANGA: https://teammanga.fr/2019/12/05/samurai-8-tomes-1-et-2-lapres-naruto-de-masashi-kishimoto/
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La symphonie des siècles, tome 1 : Rhapsody, partie 2
La deuxième partie du premier tome ! Résumé : Quoique leur périple au cœur du monde n'ait duré à leurs yeux que quelques années, quatorze siècles se sont en réalité écoulés depuis le départ des trois compagnons de l'île de Serendair ! Sur les conseils de Llauron, le patriarche d'une bien étrange religion, la jeune Baptistrelle et ses acolytes ont pris la route de Roland, puis celle de Canriff, l'ancienne capitale des Cymriens. Achmed et Grunthor nourrissent le projet d'y rallier sous une seule et même bannière les différentes tribus bolgs des montagnes et de ressusciter la grande nation qui fut la leur. Mais il faudra compter avec une nouvelle recrue, au caractère aussi trempé que l'acier des couteaux qu'elle lance avec une précision mortelle... Mon avis : Encore une fois j’ai adoré ce livre ! Cette série démarre vraiment très bien et j’ai hâte de continuer avec les autres tomes. On retrouve donc Achmed, Grunthor et Rhapsody là où on les avait laissés dans le précédent tome. Le gros point positif dans ce livre est, selon moi, l’évolution des personnages : on voit que le trio développe une vraie complicité et une confiance, j’ai surpris plus d’une fois Achmed sourire, ou du moins esquisser un sourire, si si ! Achmed se dévoile (un peu) et ça me fait vraiment plaisir parce que mine de rien, j’aimais bien ce personnage pour son courage, sa force et son intelligence.
Il y a forcément quelque chose derrière ces attaques étranges, et là où apparaît un chaos inexplicable, c’est souvent la marque de fabrique des F’dors. Bien sûr, ils n’ont l’apanage ni de la destruction, ni de l’agression. L’homme s’en tire très bien tout seul depuis des siècles, dans ce domaine.
Grunthor est quant à lui toujours fidèle à lui-même, attentionné, patient et doux envers ses amis mais extrêmement féroce envers les ennemis : un personnage que j’aime beaucoup pour ces deux facettes de sa personnalité. Malheureusement, cette fois-ci c’est Rhapsody qui ne m’a pas convaincue. Si dans le premier tome je l’avais plutôt appréciée pour sa sensibilité, là elle m’a parfois un peu agacée avec sa manie d’adopter tous les enfants qui passent à sa portée, de jouer à la maman poule étouffante ce qui lui donnait un côté trop « gnangnan » que je n’aime pas. Petite déception également du côté de Jo non pas à cause de sa personnalité mais du fait qu’elle ne prend finalement pas un si grand rôle que ça : je m’attendais après avoir lu le résumé qu’elle serait davantage présente mais non. Malgré son courage et sa piquante répartie, je n’ai pas pu l’apprécier pleinement. L’intrigue maintenant. Dans le premier tome, on n’a pas eu la possibilité de connaître un peu mieux le monde de Rhapsody puisqu’elle passait son temps dans les entrailles de la Terre. Là nos trois personnages sont de nouveau à l’air libre et forcément, on en apprend davantage sur ce monde (qui, je le rappelle, n’est pas le leur – ils ont quatorze siècles de retard) et notamment sur son histoire ce que j’ai trouvé intéressant : la religion, les conquêtes, les guerres (même si ça avait été abordé à la fin du tome 1). Mais surtout l’intrigue se concentre sur un peuple en particulier, les bolgs, et enfin on se pose un peu et on n’arrête un temps de faire défiler des noms de races sans trop savoir à quoi ça correspond.
Rhapsody déglutit, essayant de se remémorer des bribes de ses leçons. « Il y avait les Mythlins, qui descendaient de l’eau. Cette race vivait dans les mers qui recouvraient le globe, et on ne pouvait la discerner à l’œil nu. Tout comme les Anciens Serennes, ils avaient une vision du monde très vaste, mais en général ne se souciaient pas de ce qui se passait au-delà de leur propre domaine. On dit que les humains tirent leur origine des Mythlins, que le corps humain provient d’une solidification de l’eau de mer et des membranes translucides propres à la physiologie mythlin. C’est ainsi qu’on tente d’expliquer l’attirance des hommes pour la mer, et pourquoi les larmes et le sang humains sont salés. »
Le projet d’Achmed pour ce peuple est digne de lui et même s’il est réalisé assez rapidement par rapport à sa complexité, ça ne m’a pas choquée connaissant l’efficacité d’Achmed et de Grunthor. Ce livre arrive à maintenir notre intérêt jusqu’à la fin même si après, je me dis qu’il n’y a pas eu tant de rebondissements que ça : quelques révélations, quelques scènes d’actions. C’est juste le début de la série alors laissons le temps à l’autrice de tout mettre en place – n’oublions pas qu’une prophétie est en marche !
J'aurais dû me douter que ce monde n'était pas assez vaste pour me cacher de lui, de moi-même. L'avalanche approche, et je ne peux rien faire pour l'arrêter.
Pour finir, je souligne encore un point particulier de cette saga que j’aime beaucoup : la place de la musique. Elle est présente absolument partout et devient un atout majeur pour Rhapsody. Ça donne vraiment de l’originalité et un souffle nouveau à une série fantasy qui, sans ça, donnerait peut-être une impression de déjà-vu. Des citations : ici, ici et là.
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Black Ink éditions ( septembre 2019) – Format numérique –
Nous remercions les éditions Black Ink pour ce service presse.
Farah Ana nous livre une histoire bouleversante avec Esme…
Lorsque Esme rencontre Abain elle n’a que douze ans et lui dix-sept, il sera sa lumière dans l’obscurité, dans son quotidien, tout son monde au fil des années…
Mais le sera-t-il vraiment ?
Lorsque l’amour est tellement fort qu’il en devient destructeur, lorsqu’un rêve se transforme en cauchemar. Le destin n’épargnera rien à Esme, l’horreur, les coups, la misère et j’en oublie.
Cette auteure m’a fait vaciller constamment entre admiration, et haine pour le personnage d’Abain. Le doute n’a cessé de s’insinuer dans ma lecture… aime-t-il vraiment sa gitane, ou est-ce que c’est un besoin protecteur à la limite de l’avilissement ?
Lui a ce besoin de contrôle et elle, ne livrera pas toutes les horreurs qu’elle vit et subit chez elle. Entre la honte, la violence, la déchéance qu’elle subit au quotidien avec ses parents : il est ce petit espoir, sa bouffée d’oxygène, malgré une communication verbale difficile entre eux.
La construction de la trame narrative est très réussie, j’ai aimé le début avec leur adolescence, pour ensuite découvrir les manques de leur histoire au travers des bonds dans le passé d’Esme. J’aurais aimé avoir la vision d’Abain (peut-être dans le second tome !), mais cela aurait enlevé tout le mystère qui l’entoure.
Il veut son bonheur pourtant, il sera bien souvent sa perte, voire la source de son coeur brisé. J’en finis par me demander les réelles intentions d’Abain, est-ce qu’il est lâche? Egoïste ? Voulant apaiser sa mauvaise conscience, créant plus de mal que bien ? Entraînant Esme dans une situation inconfortable, malsaine, avec de la dépendance ? Il est presque un drogué pour elle, ne lui résistant jamais… ou alors la protège-t-il de quelque chose ? Mais de quoi ?
Beaucoup de questions sans réponse donc vous imaginez ce qui a agité mon cerveau et mon cœur tout au long de cette lecture, et qui continue de l’agiter !! Au point de disserter d’Abain avec mon binôme d’avis Valou, oui, oui ça nous arrive souvent, et d’être pour ma part dans la « Team Esme » !
Cette romance est d’une intensité incroyable, on ne cesse de vivre le yo-yo incessant des sentiments qui animent Esme. La voyant, grandir, s’épanouir, chuter et vouloir se reconstruire, malgré sa « kryptonite » : Abain.
Elle est étonnante par sa maîtrise, par tout ce qu’elle a vécu et qu’elle encaisse encore. Plus, d’une fois on s’attend à ce qu’elle s’insurge. Elle surprend en se refermant plutôt que d’évacuer tout ce qui la ronge. Jusqu’où est-elle prête à aller par amour ?
C’est une lecture vraiment prenante dont j’ai voulu en comprendre les enjeux en sachant pertinemment qu’il faudra attendre le second tome pour avoir mes réponses ! Oui, la patience ne fait pas partie de mes qualités, en lecture, surtout avec un tel opus.
Farah Anah rend son histoire addictive grâce à ses personnages complexes, tortueux, plongés dans leurs sombres pensées, démontrant qu’entre l’amour et la haine il n’y a qu’un pas, et que trop d’amour peut rapidement devenir un fléau. Elle a une plume sans concession, qui livre les tréfonds des âmes de ses personnages au point que vos entrailles soient touchées. On ne peut rester insensible à leur histoire torturée, l’option mouchoir est à prévoir !
Cela va être difficile d’attendre la suite, et je n’ai pas le choix… Je plongerai dans ce second tome avec avidité, impatience, tellement, l’histoire d’Esme est aussi accaparante qu’intrigante, tout comme sa relation avec Abain est passionnelle et destructrice.
Pourra-t-il en sortir quelques choses de beau après autant de tourments ? Le pardon sera-t-il suffisant ?
Waaaaouuuuuuuuh !!! Je ne pouvais pas commencer mon avis autrement que comme cela ! Une vraie claque ce livre, je pense qu’il fera partie de mon top 5 de 2019.
Je vous le dis d’emblée c’est un magnifique coup de cœur pour ce premier tome qui m’a, tour à tour, chamboulée, bouleversée, énervée, peinée…Bref, je crois être passée par tous les états ! Impossible de rester indifférente face à cette histoire, elle nous a d’ailleurs occasionnée bien des discussions avec Julie, comme elle vous disait juste avant !
Esme. Abain. C’est l’histoire d’un amour ultime mais déchu. C’est l’histoire d’un amour ravageur qui rend dépendant, (autant Esme que le lecteur d’ailleurs). C’est l’histoire d’un amour passionnel, peut être voué à l’échec.
Farah Anah a l’habitude de nous écrire des histoires intenses, mais là je crois qu’elle a mis la barre très très haute sur l’échelle de l’intensité romanesque ! Ces deux personnages principaux ont le chic pour vous prendre aux tripes. Petit à petit l’auteure dépeint le quotidien misérable et peu sécurisant d’Esme. Depuis son enfance, elle se bat seule, face à la vie qui prend un malin plaisir à la malmener. Comme elle le dit souvent « elle fait avec ». Elle a appris à développer ses propres mécanismes de défense, pour ne pas flancher. Si jeune et déjà confrontée à tant de haine. Abain va être, un sauveur et son protecteur. De 5 ans son aîné, il va la prendre sous son aile. En lui Esme va trouver un roc auquel se raccrocher. Accueillie à bras ouverts par la famille de celui-ci, la jeune fille va pouvoir souffler, un peu. Mais l’amour et le désir vont naitre entre ces deux-là au fur et à mesure des années qui passent, pour devenir extrêmement fort et indestructible. Mais il y a toujours le revers de la médaille, celui qui vous fait vite déchanter. Esme va apprendre à ses dépends, parce que Abain, bien que fou amoureux, est bien souvent maladroit et blessant.
Petit arrêt sur image sur le personnage d’Abain. Mention spéciale pour lui évidemment et gros crush littéraire pour moi ! Son côté ultra protecteur m’a conquise, même si j’ai conscience qu’il exerce une influence voire une emprise parfois néfaste sur Esme. Mais Farah Anah a réussi à nous faire sentir combien Abain ferait tout pour sa belle, quitte à prendre de sacrés risques pour elle.
Malheureusement, les choses ne vont pas se dérouler comme prévu et leur histoire va s’effondrer comme un château de cartes, laissant Esme désemparée et au bord du gouffre.
Quand ils vont se retrouver fortuitement (ou pas ?), Abain a changé : il est froid, distant et souvent odieux. Esme a beaucoup souffert de bien des manières en son absence, on se demande même comment elle tient encore débout. Pourtant, le revoir lui fait un choc, parce qu’elle l’aime toujours, probablement à jamais. Là où l’auteure fait très fort, c’est qu’elle arrive à nous embarquer dans sa trame, malgré l’ambivalence malsaine d’Abain. Il donne et reprend tout dans l’instant ! Comment ne pas être déstabilisée par ce comportement. Comment Esme peut-elle tenir le coup, lorsque la seule personnage qui l’ait véritablement aimée, qui lui ait donnée tant d’importance, la trahit de la pire des manières ? Qui est Abain ? Un connard ou un maladroit ? Un amoureux fou surprotecteur à l’extrême ou un vil manipulateur ?
Ce sont ce paradoxe ambulant qu’est Abain, la souffrance si bouleversante d’Esme, et leur amour si dément, qui m’ont donnés une claque livresque monumentale ! J’ai souvent pleuré en lisant ce premier opus, tant la douleur d’Esme était magnifiquement décrite, mais j’ai kiffé grave, comme on le dit trivialement ! Je pourrai encore en écrire davantage pour vous décrire mon ressenti, mais le mieux est que vous alliez découvrir par vous-même ce roman. Tout y est : des personnages atypiques et attachants, de l’intensité dans les sentiments et dans le corps, une trame prenante construite sur des flash-back denses…
J’ai aimé l’abnégation des personnages d’Esme et Abain. J’ai aimé essayer de les comprendre. J’ai aimé lire leurs contradictions. Je les ai aimés tout simplement.
Bref vous aurez compris les raisons de mon énorme coup de coeur. Je ne mets que très rarement une telle note! Je ne dirai qu’une seule chose : vivement la suite ! Je veux savoir ce que cache Abain, comprendre son comportement si perturbant et bien je veux un happy end, mais est-il seulement possible ?
Je vous laisse avec la beauté des mots d’Esme :
« Cette intimité m’est plus précieuse encore que tous les orgasmes qu’il est susceptibles de me procurer. Elle ancre notre liaison plus profondément dans l’histoire et la grave dans l’essence de mon âme »
Esme
Cliquez sur l’image ci-dessous pour vous procurer le format numérique que Amazon (format broché bientôt disponible):
L'avis des Tentatrices sur Esme, Tome 1, écrit par Farah Anah et publié aux éditions Black Ink Nous remercions les éditions Black Ink pour ce service presse. Farah Ana nous livre une histoire bouleversante avec Esme...
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Couverture de “L’affaire de Luynes”
Titre : L’affaire de Luynes (Le Dioscure, tome 2) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O Publié le : 13 mars 2017 Genre(s): Polar historique Pages : 207 Lu par : ParisDude Sensualité : 5 flammes sur 5 Note : 5 étoiles sur 5
Synopsis
Décembre 1621, sud du royaume de France : en campagne contre les huguenots, le connétable de Luynes, favori et amant de Louis XIII, meurt brutalement dans sa chambre. La version officielle parle de fièvre pourprée mais le grand nombre d’ennemis que s’est attiré le Connétable durant sa fulgurante carrière fait soupçonner un empoisonnement. Louis de Bourbon-Verneuil, alias le Dioscure, demi-frère du Roi, est chargé d’enquêter en secret. Ses investigations, aussi dangereuses que luxurieuses, le conduiront de riches salons en bas-fonds sordides où amitiés et inimitiés se brouillent : il lui faudra déployer tous ses talents pour échapper aux pièges parfois mortels et percer le mystère !
Après la lecture du premier tome de cette série de polars historiques, j’espérais que le deuxième serait tout aussi réussi. Et que puis-je dire – point ne fus déçu ! Le livre commence par la mort du favori du roi Louis XIII, le connétable (c’est-à-dire, chef des armées et de la guerre, juste derrière le roi, bien sûr) Charles d’Albert, duc de Luynes, pendant une campagne militaire contre les Huguenots, menée dans le sud du pays. La raison officielle évoquée est la fièvre pourprée, mais le demi-frère du roi, Louis « Louison » de Bourbon-Vernueil, suspecte tout de suite un empoisonnement – la mort a été trop fulgurante, après tout. Ses soupçons se portent aussitôt sur la Reine mère Marie de Médicis. À peine réconciliée avec son fils et réadmise à la cour après un long exil à Blois, celle-ci a toujours détesté l’influence du connétable sur le roi, et le décès d’icelui pourrait lui permettre de revenir au pouvoir. Puis, franchement : du poison d’un côté, une Médicis de l’autre – point ne faut être doué en criminologie pour faire le rapprochement.
Louison s’attelle donc à l’investigation de l’affaire. Il part pour Bordeaux, où il enquête dans les bas-fonds de la Cour des miracles, où règne le coësre local. S’ensuivent des attaques par d’illustres et inquiétants agents presque fantomatiques, des fuites, des infiltrations, de folles chevauchées, des séjours d’étape dans des châteaux, des manoirs, des abbayes ; et, Louison étant Louison, des joutes sensuelles à qui mieux-mieux. Le tout sur fond d’intrigues politiques et de luttes de pouvoir entre nobles du royaume. Bien entendu, notre Dioscure, assassin mais grande fleur bleue devant l’Éternel, tombe aussi amoureux. Il réussit in extremis à résoudre l’énigme et même d’en faire une grande victoire politique pour son roi bien-aimé.
J’ai retrouvé dans ce livre la même verve, la même pétillance, le même amour et le même appétit de l’auteur pour croquer cette belle langue qu’est le français. D’un rythme soutenu, il même sa barque jusqu’à bon port en nous offrant de savoureux dialogues, des situations coquines, des intrigues et complots dans tous les sens (sans être complètement déroutants), et le tout dans le format d’un polar bien ficelé. Pour qui suit les pistes, le coupable peut être trouvé aisément, mais avec des retournements de situation et les allégeances trompeuses des uns et des autres, on ne sait jamais vraiment si l’on a bien visé. Le tout est moult fois entrecoupé et allégé par les galipettes de notre Louison. Ce gars-là aime le mâle sous toutes ses formes, jeune ou vieux, musclé ou adipeux, poilu ou glabre, parfumé ou exhalant une virilité épicée, et n’est pas sectaire quant à ses origines sociales, non plus. Il explore muges et oursins, pectoraux et entre-jambes avec un enthousiasme communicatif. Puis, ses aventures de couche sont narrées dans ce langage qui se veut d’époque et qui ajoute à la croustillance, pour ne pas dire qui rend tous ses actes sexuels joyeux, parfois drolatiques, mais toujours jouissifs (sans jeu de mot).
D’aucuns ont argué qu’il fallait être un féru d’Histoire pour suivre les péripéties de notre beau Dioscure. Je ne suis pas de cet avis. Il suffit de s’y connaître un tant soit peu (genre, on passe cinq minutes sur Wikipédia, et le tour est joué) pour savoir que, derrière le sobriquet de « grosse banquière » se cache, bien sûr, la Reine mère Marie de Médicis (les Médicis étaient à l’origine une famille de banquiers à Florence), que le connétable, c’est de Luynes, qu’il s’agit du frère jumeau de Louison, Henri, quand il est question d’évêque de Metz, etc. Je dirais même plus : quand on aime l’Histoire (même sans en être un grand expert) et quand, en outre, on aime les romans gay avec un côté ancien régime et une grosse pincée d’olé-olé, eh bien, on est bien servi par cette série. J’ai hâte de poursuivre les aventures de Louison dans le tome 3.
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Toute la série Le Dioscure
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Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 1
Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 2
Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 3
L’affaire de Luynes (de ParisDude) Titre : L'affaire de Luynes (Le Dioscure, tome 2) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O…
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La chute de la météorite Trump. Tome 1 : Un objet populiste mal identifié (septembre 2015 – avril 2018)
J’ai mis hier un point final au manuscrit du Tome 1 de mon livre. Mon planning est que ce Tome 1 soit en librairie le jour de la chute, pour vous faire patienter pendant que je termine la suite.
Vous me connaissez, on y trouve cela va de soi bien davantage que les aventures de Donald Trump : un portrait des États-Unis bien sûr, et du monde en chute libre où nous vivons au sein de la IIIe guerre mondiale sans en avoir même la moindre notion, et une esquisse aussi de ce qui pourrait venir à la place.
En conclusion du Tome 1, une adaptation de mon billet du 28 avril de l’année dernière : « Trump et pourquoi j’entends contribuer à sa chute ». Voici la nouvelle version.
Vous vous demandez pourquoi il vous semble que je consacre ces jours-ci toute mon énergie à un seul combat : commenter en direct la chute prochaine de Donald Trump (et pourquoi pas y contribuer dans la mesure de mes très faibles moyens).
Quelle est la raison d’un tel combat ? Le fait que Trump utilise la pleine puissance du pouvoir dont il dispose en tant que président des États-Unis à précipiter l’extinction du genre humain en annulant les mesures que ses prédécesseurs ont prises pour tenter de maîtriser la dégradation de notre environnement, pour tenter aussi de réduire le volume de la combustion par nous d’énergies fossiles, principale source du réchauffement climatique et de la montée des eaux par fonte des glaces et dilatation de l’eau des océans.
Pourquoi Trump a-t-il adopté cette stratégie suicidaire pour le genre humain ? Parce qu’il a pris la tête d’une « croisade des pauv’ cons », comme il y eut autrefois une « croisade des enfants » qui, en 1212, vit partir en errance sur les routes une horde de déclassés, dont les maigres survivants finirent esclaves à Saint-Jean-d’Acre.
Trump est honnête : il se sent pauv’ con à l’égal de l’ensemble de ses troupes. Dès sa naissance, les zélites n’ont cessé de le lui faire comprendre. « La caque sent toujours le hareng » lui a-t-on sans cesse répété. Son grand-père Friedrich a fait fortune dans la prostitution, complétant sa collection de bordels par des pensions et des restaurants aux idées larges. Son père Fred a fait croître la richesse familiale en tant que marchand de sommeil sympathisant du Klu Klux Klan, condamné en justice pour discrimination raciale. Donald lui-même a cru faire le saut de la respectabilité, colonisant les quartiers rupins, ce qu’il n’aurait probablement pas pu faire (nous en saurons bientôt sans doute bien davantage) si l’argent sale venu des quatre coins du monde n’avait pas été lavé plus blanc qu’Omo par ses soins.
Cette histoire familiale explique pourquoi le moindre centime additionnel récolté par lui, pourquoi la moindre virgule ajoutée dans une flatterie qui lui est adressée, est bienvenu, parce que son estime de soi tend en permanence vers le zéro de son niveau naturel, et est disposée du coup à faire feu de tout bois – dans l’espoir de la faire remonter.
Trump est pétrifié depuis la saisie par la justice des dossiers de Michael Cohen, son avocat, dont il affirme qu’il s’occupait davantage d’opérations immobilières juteuses que de peccadilles comme quelques centaines de milliers de dollars répartis entre des dames de mœurs légères pour qu’elles n’entament pas par leurs propos son image de marque d’irrésistible Casanova : « Moi, Madame, je fais l’amour aux femmes les plus belles du monde pour pas un rond : elle font la queue, c’est le cas de le dire ! ». La saisie de ces dossiers sonne le glas, il le sait, sinon de sa carrière tout entière, du moins du personnage auquel il s’identifie de chevalier blanc « drainant le marécage » des gens en place, des satisfaits d’eux-mêmes.
« Vous êtes des pauv’ cons à leurs yeux, et moi aussi d’ailleurs, prêche-t-il à ses troupes surexcitées dont l’amertume est le seul carburant, malgré mes millions – pardon, mes milliards, en dépit du fait que je sois diplômé d’une université de l’Ivy League (en français : « grande école »). Mais ce que j’ai vu là ne doit pas vous faire envie : je n’y ai vu que des gens dont les bonnes manières voudraient que je les qualifie d’incompétents, mais je vais les appeler – puisque nous sommes entre nous – du terme qui s’applique véritablement à eux de stupides. Oui ils sont en réalité stupides : ils n’ont pas compris comment le monde marche vraiment : que le pouvoir vient avec le pognon et que, quoi qu’on en dise, on n’en a jamais assez ! Mais je suis à vos côtés, et je suis Président (à ma première tentative !), et nous leur en ferons voir ! ».
Et Trump d’ajouter : « Ce que je vais faire pour vous, c’est rouvrir les aciéries, faire revenir les boulots à la con du Bengladesh. Parce qu’au moins ils rapportent quelque chose, alors que la racaille de Mexicains violeurs qui sont prêts à travailler pour de la roupie de sansonnet et les robots qui sont prêts eux à travailler pour pas un rond, ne vous laisseront rien : ils vous voleront le peu qui vous reste ! »
Et il pourrait ajouter, mais comme il ne le fera pas, je le ferai à sa place : « Bien sûr que nous foutrons la planète en l’air en deux temps trois mouvements, mais comme leurs vélos, leur triage de déchets, leur permaculture, et autres gadgets débiles, ne feront de toute manière aucune différence à l’arrivée, autant que le genre humain disparaisse dans un grand feu d’artifice, avec les pauv’ cons au pouvoir et s’en payant une bonne tranche, la dernière, pendant le temps qui reste ! »
Trump a-t-il tort sur le fond ? Peut-être pas. Alors pourquoi désigner comme l’ennemi ultime son carnaval en forme de danse macabre de la fin des temps ? Parce qu’il incarne la mort et que la mort n’a rien de particulièrement original car on la trouve absolument partout dans l’univers – voyez pour vous en convaincre les plus récentes photos de la sonde machin sur la comète trucmuche : que de la mort, vers le haut, vers le bas, et dans toutes les directions. Alors que nous, nous sommes la vie, et que la vie, petit brandon qui rougeoie, est précieuse parce qu’infiniment rare et que le combat que nous menons pour maintenir la vie en vie toutes les minutes que Dieu fait (lui ou qui que ce soit d’autre), est ce qui fait de nous l’exception cruciale de l’univers, et que toute lutte pour la perpétuer est belle en soi, même si ce n’est plus en fin de parcours que pour la simple beauté du geste parce qu’il ne reste plus rien, même s’il ne s’agit plus que d’un baroud d’honneur car c’est celui du savoir et non de l’ignorance. Et c’est pour cela que Trump et son nihilisme, celui de ceux qui n’ont hélas pour eux et pour nous, rien compris quand ils étaient sur les bancs de l’école, est en travers de notre chemin, même si notre compassion, notre sympathie, notre compréhension, va aux perdants magnifiques qu’ils sont, au sein d’une histoire humaine qui n’a en effet jamais beaucoup dévié hélas du « Malheur aux vaincus ! ».
Pour sauver le monde tous ensemble, il faudra d’abord les faire émerger eux de leur amertume et leur faire à nouveau aimer la vie pour qu’ils cessent de lui préférer la politique du pire qui ferait que nous disparaîtrions au moins tous ensemble : pauv’ cons et rupins enfin réunis dans un bouquet final. Il faudra ensuite sauver la planète dans sa capacité à nous supporter encore, nous, pauvres pécheurs !
Il reste du pain sur la planche !
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Tous les ans Futuropolis est le premier éditeur à dégainer ses parutions ambitieuses en janvier et à proposer des nouveautés sur lesquelles il faudra compter le restant de l’année. En 2017 étaient parus Kuklos de Sylvain Ricard & Christophe Gaultier, Au bout du fleuve de J.D. Pendanx, Un million d’éléphant de J.L. Cornette & Vanyda et surtout Scalp de Hugues Micol que l’on retrouve dans la sélection officielle du prochain festival d’Angoulême et qui restera sans doute l’un des albums les plus marquants de 2017.
Cette année ce sont 3 nouveautés et une réédition (Notes pour histoire de guerre de Gipi) qui sortent en cette première semaine de janvier alors que tous les autres éditeurs se font encore discret.
Le suaire 1/3, Mordillat/ Prieur/ Eric Liberge
Au milieu du XIVème siècle alors que la grande peste est encore dans tous les souvenirs, une tragédie se joue entre 3 personnages, un évêque séculier, un prieur régulier et une religieuse d’une grande beauté qui seront victime de leur passion. La diffusion des reliques sacrées, indispensable moteur financier des communautés religieuses de l’époque les entraînera dans une spirale infernale. La scène se rejouera-t-elle à nouveau ? Il semble que le Suaire, qu’il soit relique véritable ou supercherie, n’ai pas finit de jouer avec les âmes ni avec les cœurs.
Cet album est écrit comme un one-shot dont la scène sera rejouée au XIXème siècle puis au XXIème siècle dans les deuxième et troisième tome. Les scénaristes y questionnent le rôle des reliques à l’époque médiévale ainsi que l’importance de leur authenticité à partir du moment ou elles parviennent à générer la ferveur des fidèles… De son côté, Liberge de son noir et blanc vif et nuancé, dépeint un moyen-âge d’un réalisme crû et sans concession baigné d’une lumière vive aux accents quasi divins. Un rendu très à propos pour cette époque d’une grande violence et d’une grande ferveur religieuse.
Un très bon album et un concept intrigant et prometteur pour la série !
Seule, Denis Lapière et Ricard Efa
Lola n’a pas encore 7 ans et cela fait déjà plusieurs années qu’elle vit avec ses grands-parents. La responsable de cette situation qui dure : la guerre civile espagnole. La guerre, Lola n’en connaît que les mots des adultes et ce qu’elle souhaite plus que tout, c’est qu’elle se termine afin de retrouver ses parents, image rassurante qu’elle s’efforce chaque jour de ne pas oublier. Quand un beau jour cette guerre la rattrape lui exposant toute son horreur, Lola va comprendre qu’il est temps pour elle de grandir et de saisir l’occasion de peut-être retrouver ses parents. Mais l’amour sera-t-il encore au rendez-vous ?
Seule est une bande dessinée touchante et émouvante dans laquelle le sujet n’est pas tant la guerre d’Espagne que les dégâts collatéraux d’un conflit sur l’enfance. Intelligente et pleine de poésie, l’écriture met avec beaucoup de tact l’accent sur l’innocence qu’un conflit fane bien souvent prématurément. Le dessin de Efa, à la couleur directe est plein de lumière et de chaleur malgré l’horreur de la guerre qu’il dépeint. Il est à l’image du mental de Lola, fort et plein d’espoir, cherchant le bonheur là ou il se trouve, malgré tous les drames qui se jouent.
Essence, Fred Bernard et Benjamin Flao
Voici la première petite pépite BD de l’année. On était en droit de s’y attendre. En effet, entre Fred Bernard au scénario et Benjamin Flao au dessin, cela ne pouvait qu’être bon. On y suit les péripéties d’Achille, mordu de belle mécanique, de course automobile et de bande dessinée, dans une quête jamais assouvie du précieux carburant qui doit le mener sur le chemin de la rédemption. Un purgatoire sur mesure !
Un concept qui permet la mise en place d’un univers déjanté et surréaliste admirablement illustré par Flao qui fait varier son trait au fil des besoins de l’histoire, allant parfois presque jusqu’au pastiche quand il s’agit de faire un clin d’œil à “L’affaire Tournesol” d’Hergé et bien d’autres encore. Tout cela dans un format carré totalement maîtrisé au niveau du découpage pour le plus grand plaisir de lecture. Une leçon !
Côté scénario, les ambiances décalées et les situations absurdes et délirantes de ce purgatoire pour chauffards marchent sur les traces de “Ici même” de Tardi et Forest ou bien encore “Qui a tué l’idiot ?” de Dumontheuil. On pense même à “Julius Corentin Acquefacques” de Marc-Antoine Mathieu par certaines des règles qui régissent cet univers.
On vit ces aventures souvent loufoques, parfois tendres, parfois plus sombres, au rythme du héros : celui vibrant et vrombissant d’une grosse cylindrée !
Du nouveau SurLaBD : #BD - La rentrée #Futuropolis #EricLiberge #FredBernard #BenjaminFlao #RicardEfa #DenisLapiere Tous les ans Futuropolis est le premier éditeur à dégainer ses parutions ambitieuses en janvier et à proposer des nouveautés sur lesquelles il faudra compter le restant de l'année.
#BenjaminFlao#DenisLapiere#EricLiberge#FredBernard#Futuropolis#Guerre d&039;Espagne#Histoire médiévale#RicardEfa
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Hello mes Contaminé(e)s,
Aujourd’hui, je veux vous parler d’un auteur auto-édité cher à mon cœur car très talentueux. Je vous en ai déjà parlé dans ces pages en été 2016. Il s’appelle Pierre Zandvliet et écrit de l’Héroïc-Fantasy. Son premier roman brillait d’ingéniosité et avait obtenu le statut de “Super Contagieux” à l’époque. Aussi quand Pierre m’a contacté pour m’annoncer qu’il comptait créer sa propre maison d’édition, LYCANE EDITIONS, via le Crowdfunding (cliquez ici pour en savoir plus et participez !), j’ai trouvé l’idée ingénieuse et je n’ai pas pu résister à vous en parler. Il faut soutenir le talent et l’esprit d’initiative. Comme dirait le chevalier de Lagardère “si la maison d’édition ne vient pas à toi, crée ta propre maison d’édition !”. Et ça lui a réussi à ce Lagardère !
Plus sérieusement, aidez-le à réaliser son rêve. Vous ferez une bonne action et vous contribuerez à la création d’une nouvelle maison d’édition. C’est pas si fréquent !
Son projet enthousiasme même la Presse, le quotidien “La Charente Libre” lui a consacré un article :
Article Presse de La Charente Libre
Je le laisse vous présenter son projet :
Logo Lycane Editions
“Cette campagne de financement participatif à plusieurs buts : elle sert à poursuivre la publication du tome 1, à permettre celle du tome 2 qui va bientôt sortir, mais elle sert aussi à créer une nouvelle maison d’édition, LYCANE EDITIONS. En effet, jusqu’ici, j’étais en contrat avec une maison d’édition à compte d’auteur. Or, il faut savoir que je suis mon propre graphiste, et que pendant ces deux années de contrat, j’ai fait plus de cent séances de dédicace en France… toutes par mes propres moyens ! En clair, aucune aide n’est venue de mon éditeur. Donc j’ai décidé de m’auto-éditer pour être complètement autonome.
Mais le projet ne s’arrête pas là, car j’ai aussi l’intention d’éditer d’autres auteurs ou illustrateurs dans le secteur de la Fantasy. J’ai déjà une première illustratrice qui travaille sur mon projet des Terres d’Alme, et qui travaillera aussi pour les futurs auteurs que j’éditerai (je connais déjà quelques auteurs qui sont prêts à me suivre dans l’aventure !). Et évidemment, ma maison d’édition sera à compte d’éditeur !
En revanche cette étape sera dans un second temps car pour éditer à compte d’éditeur, il faut que je génère suffisamment de trésorerie pour financer les impressions, les frais de déplacement et d’hébergement pour les dédicaces, les promotions…
Participer à ma campagne de financement, ce n’est pas juste pour imprimer un livre, c’est aussi me permettre d’écrire de nouvelles histoires et m’aider à m’épanouir dans le monde de l’édition !”
Peux-tu nous présenter les Terres d’Alme, Pierre ?
“Près de huit cents ans se sont écoulés depuis la dernière grande guerre qui opposa l’Alliance à Dorgath, le seigneur de l’empire. Huit siècles, où il prépara méthodiquement son retour pour s’emparer de l’Alme. C’est aux prémices d’un nouvel affrontement que débute la première saga « Les Terres d’Alme », où les peuples de l’Alliance vont faire face à un vieil ennemi, devenu plus fort et plus redoutable qu’il ne l’a jamais été.
Plongez dans une épopée où les créatures sont nées de légendes encore inconnues, où les cités planent dans les airs… où des rivières de magie s’écoulent entre ciel et terre !”
Voilà,vous savez quasiment tout, le reste vous le trouverez sur la plateforme de Crowdfunding Ulule où Pierre vous explique tous les détails de son projet. Les contributions démarrent à 5€, c’est donc totalement accessible quels que soient vos moyens. Allez, faites un beau geste, on compte sur vous !
Pour terminer et s’il fallait encore vous convaincre, je vous remets la chronique que j’avais publié dans ces pages l’année dernière. Je m’étais régalé à la lecture de ce bouquin !
« Les Terres d’Alme T1 » de Pierre Zandvliet – La chronique fée maison !
Les Terres d’Alme T1 – Pierre Zandvliet
Mordragon ! Bienvenue sur les terres d’Alme l’ami(e) ! Te voici en terres inconnues, ombrageuses et dangereuses. Oublie tes repères, prends ma main et saute vers l’inconnu !
« Les Terres d’Alme – Les Ombres de Chevalienne » est un bouquin d’une richesse absolue et propose une immersion complète dans un univers chatoyant et empreint de magie. Une invitation au fantastique et à l’aventure épique. C’est un roman ambitieux, c’est un roman addictif. Les pages ne se lisent pas d’une traite, elles ont besoin de toi, de ton attention. Paradoxe : les chapitres défilent et tu ne lâches pas le bouquin. Le roman prend son temps pour s’installer, et c’est tant mieux car il te faudra t’initier aux contrées, aux peuplades et aux nombreux noms des personnages. Pierre a créé ces noms de toutes pièces. Pas de Marcel, de Gisèle ni de Jean-Pierre dans son livre. Mais une Swéna, un Seïssuk, une Lyona, un Dranzil, une Méhnsyl…
L’ombre de Tolkien plane en filigrane sur le récit mais l’auteur ne se contente pas de copier/coller. Le talent de Pierre est d’assimiler et de s’approprier l’ancien pour en faire du neuf. Ébéniste de métier, il sait tailler des bases de matières nobles pour en faire de merveilleux objets aux rotondités seyantes.
Comme écrit dans le titre de la chronique, ici c’est du fée maison mais je t’embrouille car de fées il n’est pas question. Tu y trouveras des humains, des espèces de dragons sans flammes mais à la queue meurtrière et aux pouvoirs magiques, des sorciers, des civilisations d’hommes ailés, des créatures gigantesques dont tu n’as même jamais entendu parler. Du fée maison donc, car Pierre Zandvliet a créé de toutes pièces ce monde merveilleux ainsi que le bestiaire somptueux qui le compose. Que ce soient ses habitants ou les créatures fabuleuses qui le peuplent et le hantent.
Les personnages sont multi-dimensionnels, à la texture lourde. On s’y attache vite car chacun a une personnalité haute en couleurs et du charisme à revendre. Ses personnages ne sont pas statiques, ils évoluent au fur et à mesure du récit. Notamment Swéna, sa jeune héroïne impétueuse et capricieuse, qui verra ses péripéties la changer, son caractère évoluer et son âme se forger.
Il y a une féminité, une douceur et une sensibilité particulière dans ce livre ce qui n’empêche pas l’auteur de nous régaler de combats homériques.
C’est un premier roman et pourtant l’écriture est fluide, maîtrisée, mature, pleine de panache et de grâce. Le jeune auteur pourrait en démontrer à beaucoup déjà installés. Alors certes l’éditeur n’a pas bien fait son travail et quelques coquilles subsistent mais elles ne nuisent en rien à la lecture et au plaisir.
Pierre est un conteur, il fait penser au joueur de flûte de Hamelin. De son étrange mélodie, il te mènera au bord du précipice que sont ces 600 pages, t’hypnotisant et te laissera languir pour le volume 2.
Et si vous participiez à la création d'une maison d'édition ? Bienvenue sur les Terres d'Alme ! Pierre Zandvliet, jeune auteur surdoué, crée sa propre maison d'édition et vous invite à tenter l'aventure avec lui. Cliquez pour en savoir plus ! Hello mes Contaminé(e)s, Aujourd'hui, je veux vous parler d'un auteur auto-édité cher à mon cœur car très talentueux.
#Auto-édition#Crowdfunding#Fantastique#Fantasy#Heroïc-Fantasy#Les Terres d&039;Alme#Littérature Française#Pierre Zandvliet
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Tant Qu’il Le Faudra, tome 3
Présentation :
Titre français : Tant Qu’il Le Faudra, tome 3
Auteur : Mx Cordélia
Type d’ouvrage : Roman feuilleton anciennement publié sur Wattpad (chapitres 58 à 107)
L’entièreté de Tant Qu’il Le Faudra a été retirée de Wattpad le 1er septembre 2020. Les trois tomes seront publiés en papier chez les éditions Akata.
Genre : Contemporain, Tranche de vie
Résumé :
Roman feuilleton très porté sur la romance retraçant la vie de jeunes LGBT+ au sein d'un magazine associatif LGBT+ à Paris. Entre les réunions, les soirées, les manifs et les dramaqueer, iels s'aiment, s'entraident, se trahissent, se déchirent, mais surtout se soutiennent.
Représentation : un personnage asexuel, panromantique et trans, de nombreux personnages LGBTQI+ (gay, bi, lesbiens, pan, non-binaire), plusieurs personnages racisés, plusieurs personnages handicapés, un personnage neuroatypique, un personnage malade chronique, ...
TW/CW : homophobie, lesbophobie, biphobie, acephobie, transphobie, LGBTphobie, racisme, validisme, dépression, grossophobie, TOC, agression, mention d’actes de violence, hospitalisation, relations parentales abusives, consommation d’alcool, actes sexuels, thérapie de conversion, mention d’outing
L’avis du CLAAN :
Ce volume est dans la lignée des précédents tomes. La plupart des remarques faites lors de nos lectures du tome 1 et du tome 2 sont donc toujours valables.
Positif :
La relation entre Harry, le perso ace, et son copain est bien représentative.
La fin est ouverte, pas de résolution rapide des intrigues complexes. Elle convient bien au ton de l'histoire.
Négatif :
Malgré le nombre et la grande diversité des personnages, il n’y a toujours pas de personnage sur le spectre de l’aromantisme. La thématique n’est pas non plus abordée.
De même, il y a très peu de représentation sur le spectre de l’asexualité (un seul personnage, plus précisément).
Il y a un contraste entre le côté très "personnage de fanfic" de Galahad et le sérieux des intrigues dans lesquelles il est impliqué : par exemple, est-ce que la thématique des thérapies de conversion a été exploitée de manière exagérée pour accentuer le côté dramatique, ou est-ce que c'est réaliste ?
#Tant Qu’il Le Faudra#Tant Qu’il Le Faudra tome 3#Mx Cordélia#roman#feuilleton#contemporain#tranche de vie#asexualité#panromantisme#transidentité#ace#représentation asexuelle#lgbt#gay#bi#homosexualité#bisexualité#lesbianisme#non-binarité#personnages racisés#personnages handicapés#neuroatypie#français
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Confiance en soi mon cul
Comme tous les dimanches, le petit Pierre prend son vélo de garçon bleu là et il s’en va faire un tour. À quelques mètres de la maison, sur un petit sentier connu de lui seul, sa maladresse le projette dans le canal. Il faudra plusieurs jours au rescapé pour tourner la page de ce spectaculaire accident et se remettre en selle.
Quelques années plus tard, Paul prend sa voiture pour rendre visite à ses parents. Il croise la route d’un chauffard. Accident, hospitalisation, rééducation. ll ne veut plus reprendre le volant. La voiture, c’est chaud.
Pas besoin d’avoir un QI de 150 pour comprendre que la sécurité est plus accessible à Pierre sur son vélo qu’à Paul dans sa voiture. La confiance en soi peut effacer la crainte de ne pouvoir faire ce dont on est objectivement capable (faire du vélo, par exemple, ou apprendre à en faire). Elle ne peut rien contre les chauffards. Une évidence, me direz-vous. Pourtant, beaucoup de gens continuent de réduire à une histoire de confiance en soi des problèmes plus proches de celui de Paul que de Pierre.
Dans beaucoup d’entreprises par exemple, les hésitations, les doutes et les craintes d’un employé sont volontiers imputés au manque de confiance en soi dès lors qu’elles font obstacle au(x) projet(s) approuvés par la direction. De cette manière, au lieu d’être prises en compte, les contraintes objectives (le manque de temps, de moyens), les craintes justifiées (se faire lâcher par la hiérarchie en cours de route ou servir de bouc émissaire en cas de résultats décevants ouais tu verras c’est rigolo ça aussi) ou encore la prudence la plus élémentaire, sont réinterprétés comme symptômes d’un problème individuel, personnel, intime. La pensée positive devient alors le cache-sexe des pressions exercées sur l’individu pour qu’il fasse au nom de la confiance en soi tout le contraire de ce qu’il juge pertinent.
Le but n’est pas seulement de mater l’individu, mais de sauver les apparences. Si vous justifiez vos craintes par les doutes que vous avez sur la probité de vos collègues ou sur la compétence de vos supérieurs, vous portez atteinte à l’idée que le groupe se fait de lui-même. Il existe une parade qui consiste à dire que le « manque de confiance en l’autre » (l’autre au singulier, c’est-à-dire l’autre imaginaire, dans ta tête, dissocié des « autres » réels, de chair et d’os) est une conséquence du manque de confiance en soi. C’est peu ou prou le discours qu’on sert aux indésirables : « personne veut de toi car toi-même tu ne t’aimes pas ». Si cette formule a tant de succès, ce n’est pas seulement parce qu’elle permet de dire « casse-toi » en ayant l’air de dire « tu es formidable » - c’est surtout parce qu’elle sauve les meubles du petit salon mondain où les humains dégueulent leur humanité. Car il n’y a pas de problème, que des solutions, mais si vraiment t’as un problème, c’est toi le problème. Avec un tel credo mon loulou, mieux vaut être en haut de la chaîne alimentaire.
En apparence, ça ressemble à un problème de philo : le soi, l’autre, ce qui dépend de nous, ce qui ne dépend pas de nous, tout ça. Mais c’est beaucoup plus simple en fait, c’est une bête histoire de pouvoir. Et le pouvoir je sais pas si t’as remarqué c’est con comme une bite. Grosso modo, ça consiste à (1) faire faire quelque chose à quelqu’un (2) sans que sa réaction annule le bénéfice de l’action imposée. Cette couillonnade de « confiance en soi » est en quelque sorte le versant idéologique des contraintes institutionnelles, matérielles et sociales : tu n’agis que dans certaines limites, et tu le fais sans contester la légitimité de ces limites, soit parce que tu as appris à les aimer, soit parce que t’as fini par comprendre que tu pissais dans un violon (soit encore parce que t’es con mais après tu fais ce que tu veux hein). Heureusement il te reste assez de temps pour te chatouiller le pistil sur Lordon et son « angle alpha », si c’est ton truc.
Alors le truc sympa avec le pouvoir (mais tu gardes ça pour toi) c’est qu’à l’instar de la pub et des chanteurs de variétoche, il est pas borné : le caca qu’il te sert sur son lit de confiance en soi il pourrait aussi bien te le servir sous un coulis de réalisme ou accompagné d’une mousse de prévoyance. N’importe quelle saveur fait l’affaire pourvu qu’elle fasse oublier l’arrière goût de « ferme ta gueule ». En vrai c’est chaud !
Pour autant, en tant que telle, la notion de « confiance en soi » n’est pas vide de sens. Je peux avoir plus ou moins confiance en ma capacité à marcher sans me casser la gueule, péter sans me chier dessus ou regarder un film de Christopher Nolan sans m’endormir. Certes, je ne suis jamais à l’abri d’un accident (genre Bruno Dumont), mais foncièrement, la balle est dans mon camp. A contrario, il ne dépend pas de moi seul de trouver un emploi, avoir 1 000 débiles profonds comme amis sur Facebook, ou faire éditer par Gallimard mon autobiographie en 10 tomes intitulée L’homme couvert de phasmes. Le fait qu’une chose ne me soit pas impossible ne signifie pas que j’en aie la capacité : je peux vivre plus de 100 ans mais je ne suis stricto sensu « capable » que de faire ce qui augmente mes chances d’y arriver.
Ainsi ramenée à ses frontières, la confiance en soi paraît bien ridicule. Pour l’étoffer un poil, on peut à la rigueur tenir compte non seulement des capacités avérées (savoir marcher), mais des capacités latentes. Pas mal de trous du cul croient tendre la main aux pauvres en expliquant les inégalités scolaires par la manque de confiance des élèves dans leurs capacités. C’est pas complètement con : si la performance est mesurable, la compétence, elle, ne l’est pas. Du coup, s’il est absurde de dire qu’un général manque de confiance en lui simplement parce qu’il hésite à faire feu (si le camp adverse est deux fois plus nombreux, on appelle ça de la prudence), il paraît toutefois légitime de dire la même chose d’un élève inquiet pour ses études. Ce raisonnement tient la route si on voit l’étudiant comme une demeuré et les études comme une fin en soi. Mais notre « défaitiste », peut-être que justement, très confiant dans son approche probabiliste, il en est venu à la conclusion qu’il serait plus prudent pour lui, compte tenu de ses ressources, de ses opportunités, des ses priorités et de mille autres facteurs, de viser plus bas pour un résultat plus sûr. Du coup, l’explication psy là, je dis pas qu’elle pue du cul, mais elle fera la queue comme tout le monde, car c’est pas la plus évidente. Et elle pue du cul en fait, si.
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Une nouvelle fois, on voit bien là à quoi ça sert, ces conneries de confiance en soi : l’idée c’est de transformer une affaire collective en affaire individuelle. Tu crois avoir quelque chose à dire sur le monde qui t’entoure, sur son fonctionnement, sur les chances que t’as d’y trouver ton compte ? Que nenni. Tu es un gros beta effrayé par son ombre. L’heure n’est pas aux arguments mais à la rééducation. Ca doit faire partie des « prodigieuses victoires de la psychologie moderne » (sérieux les gars...).
Le plus croustillant dans l’affaire c’est que dans un tour de passe passe tout emersonien, une idée aussi conformiste (« plutôt affirmer que l’individu a un problème que de s’interroger sur la société ») passe pour anticonformiste. La honte et le silence sont le prix à payer quand on s’ingénie à montrer (de manière peu convaincante mais fort édifiante) la toute puissance du soi, de la volonté, de l’espérance. Qui croit pouvoir déplacer des montagnes ne se plaint à personne de moisir dans le caniveau. En vrai y en a qui aiment.
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Tant Qu’il Le Faudra, tome 2
Présentation :
Titre français : Tant Qu’il Le Faudra, tome 2
Auteurice : Mx Cordélia
Type d’ouvrage : Roman feuilleton sur Wattpad (chapitres 24 à 57)
Publication : https://www.wattpad.com/story/157446281-tant-qu%27il-le-faudra-t1-t2-et-t3
L’entièreté de Tant Qu’il Le Faudra restera disponible sur Wattpad jusqu’au 1er septembre 2020. Les trois tomes seront ensuite retirés de la plate-forme en vue de la publication papier chez les éditions Akata.
Genre : Contemporain, Tranche de vie
Résumé :
Roman feuilleton très porté sur la romance retraçant la vie de jeunes LGBT+ au sein d'un magazine associatif LGBT+ à Paris. Entre les réunions, les soirées, les manifs et les dramaqueer, iels s'aiment, s'entraident, se trahissent, se déchirent, mais surtout se soutiennent.
Représentation : un personnage asexuel, panromantique et trans, de nombreux personnages LGBTQI+ (gay, bi, lesbiens, pan, non-binaire), plusieurs personnages racisés, plusieurs personnages handicapés, un personnage neuroatypique, un personnage malade chronique, ...
TW/CW : homophobie, lesbophobie, biphobie, acephobie, transphobie, LGBTphobie, racisme, antisémitisme, validisme, dépression, mention d’une tentative de suicide, description d’une crise d’angoisse, grossophobie, TOC, agression, relations parentales abusives, consommation d’alcool, jeux d’alcool, mentions d’actes sexuels, mention de harcèlement scolaire, mention de violences policières, thérapie de conversion, sexto, deuil, mort d’un proche
L’avis du CLAAN :
Par rapport au tome 1, on est moins spectateur·ice de la vie des personnages, et on se sent plus impliqué·e dans leur histoire.
Positif :
Les intrigues se mettent en place, elles sont plus nombreuses et plus filées.
Il y a toujours une grande variété des points de vues et des identités.
Le personnage de Harry est plus présent que dans le premier tome, et le sujet de son asexualité est abordé à plusieurs reprises, notamment à travers le prisme de sa relation amoureuse.
Le roman aborde des situations qui sont hélas réalistes et banales bien que peu souvent montrées : on y rencontre par exemple différentes mentions d’acephobie ordinaire, y compris venant de la part de personnes censées être sensibilisées.
Les personnages gagnent en complexité, on apprend à apprécier même celleux qui étaient les moins sympathiques.
On découvre également de nouveaux personnages.
Le roman est illustré de belles illustrations représentant les personnages, réalisées par Perrine Fromentin.
Ce deuxième tome est tout aussi chou que le premier !
Négatif :
Il n’y a toujours aucun personnage sur le spectre de l’aromantisme.
Certaines situations sont un peu caricaturales (il y a par exemple des malentendus qui semblent parfois un peu forcés).
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