#Philippe Gimet
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Titre : Le sceau de Kropotkine (Les mémoires d’un bardache, tome 1) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O Publié le : 9 septembre 2012 Genre(s) : Polar historique Pages : 166 Lu par : ParisDude Sensualité : 5 flammes sur 5 Note : 5 étoiles sur 5
Synopsis
À l’aube du XVIIIe siècle, Henry, adolescent béarnais de petite noblesse au physique hors du commun, devient l’amant du riche comte d’Ystirac, qui l’emmène à Paris. Installé dans l’hôtel particulier de son bienfaiteur, il parfait son éducation, fortifie ses muscles et assouvit une insatiable lubricité. Le jeune homme découvre le monde caché des bardaches lors d’une orgie organisée chez l’intrigant prince Kropotkine, qu’il humilie en terrassant son champion au cours d’un combat singulier. Rejeté par son maître, le perdant – un Maure aux appas titanesques – est recueilli en l’hôtel d’Ystirac. Furieux, Kropotkine et ses complices n’auront de cesse de se venger : ils feront payer cher à Henry son intimité avec les grands du royaume et tenteront l’impossible pour freiner son irrésistible ascension.
Ce premier volume des « Mémoires d’un bardache » nous entraîne à la découverte de l’Europe débauchée des débuts du siècle des Lumières et de ses principaux protagonistes. Vaste fresque historique où le précieux côtoie l’obscène, « Le Sceau de Kropotkine » brosse, de l’intérieur, un tableau fidèle de la vie secrète de l’aristocratie aux dernières lueurs du Roi Soleil.
Eh oui, on va encore parler de Philippe Gimet. Quand on aime un style, une écriture, un(e) écrivain(e), on a souvent tendance à enchaîner les bouquins. Donc, après les aventures du Dioscure, je me suis procuré le premier tome des Mémoires d’un bardache, série de six livres dont rédaction et publication précèdent celle du Dioscure, mais dont l’époque qui sert de cadre se situe plus près de nous (pas trop non plus ; nous sommes, là, au début du XVIIIe siècle). Ce premier tome commence à la toute fin du règne de Louis XIV. Le protagoniste Henry, qui relate ses mémoires à la première personne, est alors un adolescent rêveur issu de la petite noblesse de province et vit au fin fond du Béarn. Un jour, il se fait repérer par le jeune et séduisant comte d’Ystirac (alors qu’il est en pleine séance de gamahuchage, ai-je besoin de le préciser ?). Celui-ci le prend a) avec lui à Paris, b) sous ses ailes et c) tout court (autre précision inutile) et lui enseigne non seulement comment évoluer dans un entourage des plus sophistiqués, mais aussi tout ce qu’il faut savoir sur l’art de se donner du plaisir entre hommes. De ces débuts modestes, le jeune Henry se fait rapidement connaître du petit monde des bardaches nobles, c’est-à-dire des invertis de l’époque, qui forment comme une société « secrète » (ce secret en étant un de Polichinelle, d’ailleurs). Le lieutenant général de police, le marquis d’Argenson, le repère et lui confie des missions nécessitant du doigté (dans tous les sens du terme), de la discrétion et un tant soit peu de ruse et d’intelligence.
Une fois de plus, Philippe Gimet nous emmène avec brio dans les histoires d’alcôve de l’Histoire en nous présentant un héros pas trop héroïque, mais extrêmement attachant. Cette fresque historique, du crépuscule de Louis XIV à la Régence du duc d’Orléans en passant par les intrigues de cour du duc du Maine, est peinte magistralement, et ce qui lui donne ce côté piquant et plaisant, c’est que nous voyons l’époque non pas avec les yeux des soi-disant « grands », mais plutôt par derrière (excusez le jeu de mot). Car, comme le dioscure qui m’a tant amusé, Henry est un insatiable de l’acte sexuel sous toutes ses formes, gamahuchage, fondements dûment labourés, tendres baisers, jeux manuels et sensuels. Ah, il aime le mâle, ses effluves, ses humeurs, ses jus, ses parties saillantes comme ses parties les plus cachées, pas sectaire pour un Louis d’or quant à ses partenaires. Oui, Henry fait une ascension fulgurante parmi les nobles de son temps à force de se montrer endurant et peu farouche. Il se marie, bien sûr, par bienséance, et l’on peut même dire qu’il aime sa femme avec tendresse, à sa façon, même s’il ne partage pas souvent sa couche (suffisamment, tout de même, pour produire des enfants). Il l’aime aussi, son comte d’Ystirac, tout comme il aime la femme que celui-ci est forcé de prendre à son tour, à un moment (par chance, celle-ci penche plutôt pour les amours saphiques, bien qu’étant extrêmement bigote).
Ce que j’aime dans ce livre, et que j’ai déjà apprécié dans la série du Dioscure, c’est l’intelligence et la facilité avec lesquelles Gimet insère son intrigue dans l’époque décrite. Nous croisons comme personnages secondaires Madame de Maintenon, amie loyale de Madame d’Ystirac et du jeune Henry, le roi lui-même, puis Philippe, duc d’Orléans, et toute une ribambelle de nobles dont on ne sait pas toujours s’ils ont véritablement existé ou non. Ce n’est pas important, par ailleurs, car le fait qu’ils aient pu exister tels que décrits nous montre à quel point Gimet brosse un portrait fidèle de l’époque. Je suis certain que des historiens trouveraient à redire sur tel ou tel détail, mais rien que d’imaginer que l’époque aurait pu être comme ça procure un grand plaisir. Ce plaisir est dédoublé, une fois de plus, par la plume solide, assurée et jouissive de l’auteur, qui fait avancer son récit au rythme d’une prose vraiment amusante et plaisante à lire (vous réviserez par la même occasion vos imparfaits du subjonctif). Heureusement, il me reste encore cinq tomes supplémentaires à découvrir, et je vous invite à faire de même. Philippe Gimet – auteur à lire ! PS : les adhérents de la Manif pour tous et autres coincés préféreront s’abstenir.
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Philippe Gimet, “La conspiration des scorpions”
Titre : La conspiration des scorpions (Le Dioscure, tome 3) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O Publié le : 31 octobre 2018 Genre(s) : Polar historique Pages : 256 Lu par : ParisDude Sensualité : 5 flammes sur 5 Note : 5 étoiles sur 5
Synopsis
Août 1626. Tandis qu’à Nantes on exécute pour haute trahison le comte de Chalais, favori répudié de Louis XIII, une conjuration diabolique se trame à Paris, dans l’ombre des palais, frappant ses propres membres de terreur et de mort. Le Dioscure, demi-frère du Roi, appelé à enquêter sur le décès du maréchal d’Ornano, ancien précepteur de Gaston d’Orléans, va devoir démêler un écheveau où se brouillent amitiés, amours et déloyautés sur fond de conflits religieux. Payant hardiment de sa personne, jouant sans hésiter de ses virils appas, notre royal enquêteur aura fort affaire quand la peste, fléau de ce siècle, s’invitera au bal des comploteurs ! Ce troisième opus de la série policière historique de Philippe Gimet nous plonge une nouvelle fois dans le tourbillon luxurieux des affaires de cour où l’on ne mouchette pas davantage les fleurets que le langage : un autre regard, salutaire et divertissant, sur les débuts du XVIIe siècle !
Quand on aime, comme moi, tout autant les livres gay que l’Histoire, il est toujours jubilatoire d’ouvrir un nouvel ouvrage de Philippe Gimet, tant il est devenu maître incontestable de polars mêlant fiction et faits et personnages historiques avérés. Dans ce dernier opus, nous retrouvons notre Dioscure, le fourmillant et pétillant Louis « Louison » de Bourbon-Verneuil, fils bâtard légitimé de feu le bon roi Henri IV et frère jumeau tout à fait fictif d’Henri de Bourbon-Verneuil, qui a, lui, bel et bien existé. Nous sommes en 1626 (Louison a donc 25 ans), et la guerre de Trente Ans fait rage chez les voisins allemands depuis maintenant huit ans. Nulle mention n’en est faite ni dans ce livre ni dans les conversations des différents protagonistes, et pour cause. Depuis la réconciliation entre le roi Louis XIII, illustre demi-frère de Louison, et la reine-mère Marie de Médicis, l’ancien soutien de celle-ci est devenu l’homme fort du royaume : le cardinal de Richelieu. Sur lui reposent les affaires de l’État ; la cour et le roi, en revanche, s’intéressent davantage aux diverses intrigues, complots, cabales et machinations internes.
La dernière en date, encore toute fraîche d’ailleurs, et par laquelle débute ce livre, est « la conspiration de Chalais », avortée, bien sûr, et qui porte le nom du malheureux Henri de Talleyrand-Périgord, comte de Chalais, qui y a laissé la tête. Pour placer l’intrigue : le roi n’est pas partant du tout pour partager la couche de sa royale épouse Anne d’Autriche, tellement il est occupé à poursuivre diverses bondieuseries et se divertir dans les bras de robustes mâles de son entourage. La position de la reine, dont l’unique raison d’être est, après tout, de fournir un fils et héritier au roi et au royaume (difficile quand on est rarement honoré par son époux), s’avère de plus en plus difficile à défendre. Celle du roi s’en voit également affaiblie, car en l’absence d’héritier mâle, son prétendant n’est nul autre que son propre frère Monsieur, Gaston d’Orléans, petite frappe, fils à maman et au cœur de cette « conspiration de Chalais », dont le but était d’écarter le roi et mettre Gaston à sa place. Le complot ayant été découvert, les châtiments ont suivi, gradués selon le rang de tout un chacun, bien entendu : pour Gaston, à peine un froncement de soucils ; pour l’intrigante duchesse de Chevreuse, l’injonction d’aller voir chez le duc de Lorraine si l’herbe y était plus verte ; pour d’autres soutiens de la haute noblesse, la prison de Vincennes ; et pour Chalais, simple comte, le billot.
Or, un des anciens soutiens de Monsieur emprisonnés, son précepteur en l’occurrence, meurt soudain dans des circonstances troublantes dans sa luxueuse cellule à Vincennes. Raison suffisante pour que Louison, notre 007 d’Ancien Régime avec sa licence (royale) de tuer, soit dépêché sur place pour mener l’enquête. Accompagné de son valet et confident, le valeureux et perspicace Castor (dont on ferait bien son quatre heures), il découvre de troublants indices prouvant qu’il s’agit d’un meurtre. Le modus operandi s’avère ingénieux et assez exotique. Je ne révélerai pas de quoi il s’agit (mais regardez bien le titre de l’ouvrage – je dis ça, je ne dis rien…) pour ne pas vous gâcher le plaisir de le découvrir par vous-même. S’ensuivent d’autres décès suspects ainsi que des tentatives d’éliminer Louison, auxquelles, fort heureusement, il échappe. Aidé par l’âme damnée de Richelieu, le père Joseph (personnage historique, par ailleurs), il mène son enquête, tantôt en cavalcades effrénés, et, comme à son accoutumée, tantôt en position… horizontale – et encore, dire « à l’horizontale » serait ne point faire honneur aux diverses positions parfois acrobatiques auxquelles notre protagoniste s’essaie.
Eh oui, Louison enquête, et Louison baise. Beaucoup. Voyez-vous, il aime ça, depuis le premier tome d’ailleurs. Tout ce qui est mâle et un tant soit peu consentant l’attire : jeunes, vieux, gentilshommes, paysans, pages, ecclésiastiques, hommes glabres, hommes généreusement toisonnés – Louison n’est pas bégueule pour un Louis d’Or. Les descriptions de l’acte charnel à répétition, pourrait-on croire, deviennent lassantes à la longue, mais que nenni ! Oncques – ô, quel superbe mot signifiant « jamais », malheureusement tombé en désuétude et qu’il serait urgent de ressusciter pour un usage courant – oncques, donc, Philippe Gimet ne se répète, renouvelant sans cesse participants, actions, ambiances, odeurs, et… mots. Car oui, cet opus est encore un festival de mots, dont beaucoup exquisément surannés, superbement graphiques, d’une sonorité parfaite et utilisés de façon tout à fait jouissive. Je répète l’adjectif employé au début de cette critique pour dire que lire Philippe Gimet est un exercice jubilatoire quand on aime les mots. Ce monsieur s’éclate en écrivant ; nous, on s’éclate en lisant. Le rythme nous tient en haleine, comme toujours ; le dénouement est peut-être un peu attendu, mais amené de main de maître. Vivement que le Dioscure ne prenne jamais sa retraite et que M. Gimet nous livre encore moult nouvelle aventure.
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Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 1
Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 2
Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 3
La conspiration des scorpions (de ParisDude) Titre : La conspiration des scorpions (Le Dioscure, tome 3) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O…
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Couverture de “L’affaire de Luynes”
Titre : L’affaire de Luynes (Le Dioscure, tome 2) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O Publié le : 13 mars 2017 Genre(s): Polar historique Pages : 207 Lu par : ParisDude Sensualité : 5 flammes sur 5 Note : 5 étoiles sur 5
Synopsis
Décembre 1621, sud du royaume de France : en campagne contre les huguenots, le connétable de Luynes, favori et amant de Louis XIII, meurt brutalement dans sa chambre. La version officielle parle de fièvre pourprée mais le grand nombre d’ennemis que s’est attiré le Connétable durant sa fulgurante carrière fait soupçonner un empoisonnement. Louis de Bourbon-Verneuil, alias le Dioscure, demi-frère du Roi, est chargé d’enquêter en secret. Ses investigations, aussi dangereuses que luxurieuses, le conduiront de riches salons en bas-fonds sordides où amitiés et inimitiés se brouillent : il lui faudra déployer tous ses talents pour échapper aux pièges parfois mortels et percer le mystère !
Après la lecture du premier tome de cette série de polars historiques, j’espérais que le deuxième serait tout aussi réussi. Et que puis-je dire – point ne fus déçu ! Le livre commence par la mort du favori du roi Louis XIII, le connétable (c’est-à-dire, chef des armées et de la guerre, juste derrière le roi, bien sûr) Charles d’Albert, duc de Luynes, pendant une campagne militaire contre les Huguenots, menée dans le sud du pays. La raison officielle évoquée est la fièvre pourprée, mais le demi-frère du roi, Louis « Louison » de Bourbon-Vernueil, suspecte tout de suite un empoisonnement – la mort a été trop fulgurante, après tout. Ses soupçons se portent aussitôt sur la Reine mère Marie de Médicis. À peine réconciliée avec son fils et réadmise à la cour après un long exil à Blois, celle-ci a toujours détesté l’influence du connétable sur le roi, et le décès d’icelui pourrait lui permettre de revenir au pouvoir. Puis, franchement : du poison d’un côté, une Médicis de l’autre – point ne faut être doué en criminologie pour faire le rapprochement.
Louison s’attelle donc à l’investigation de l’affaire. Il part pour Bordeaux, où il enquête dans les bas-fonds de la Cour des miracles, où règne le coësre local. S’ensuivent des attaques par d’illustres et inquiétants agents presque fantomatiques, des fuites, des infiltrations, de folles chevauchées, des séjours d’étape dans des châteaux, des manoirs, des abbayes ; et, Louison étant Louison, des joutes sensuelles à qui mieux-mieux. Le tout sur fond d’intrigues politiques et de luttes de pouvoir entre nobles du royaume. Bien entendu, notre Dioscure, assassin mais grande fleur bleue devant l’Éternel, tombe aussi amoureux. Il réussit in extremis à résoudre l’énigme et même d’en faire une grande victoire politique pour son roi bien-aimé.
J’ai retrouvé dans ce livre la même verve, la même pétillance, le même amour et le même appétit de l’auteur pour croquer cette belle langue qu’est le français. D’un rythme soutenu, il même sa barque jusqu’à bon port en nous offrant de savoureux dialogues, des situations coquines, des intrigues et complots dans tous les sens (sans être complètement déroutants), et le tout dans le format d’un polar bien ficelé. Pour qui suit les pistes, le coupable peut être trouvé aisément, mais avec des retournements de situation et les allégeances trompeuses des uns et des autres, on ne sait jamais vraiment si l’on a bien visé. Le tout est moult fois entrecoupé et allégé par les galipettes de notre Louison. Ce gars-là aime le mâle sous toutes ses formes, jeune ou vieux, musclé ou adipeux, poilu ou glabre, parfumé ou exhalant une virilité épicée, et n’est pas sectaire quant à ses origines sociales, non plus. Il explore muges et oursins, pectoraux et entre-jambes avec un enthousiasme communicatif. Puis, ses aventures de couche sont narrées dans ce langage qui se veut d’époque et qui ajoute à la croustillance, pour ne pas dire qui rend tous ses actes sexuels joyeux, parfois drolatiques, mais toujours jouissifs (sans jeu de mot).
D’aucuns ont argué qu’il fallait être un féru d’Histoire pour suivre les péripéties de notre beau Dioscure. Je ne suis pas de cet avis. Il suffit de s’y connaître un tant soit peu (genre, on passe cinq minutes sur Wikipédia, et le tour est joué) pour savoir que, derrière le sobriquet de « grosse banquière » se cache, bien sûr, la Reine mère Marie de Médicis (les Médicis étaient à l’origine une famille de banquiers à Florence), que le connétable, c’est de Luynes, qu’il s’agit du frère jumeau de Louison, Henri, quand il est question d’évêque de Metz, etc. Je dirais même plus : quand on aime l’Histoire (même sans en être un grand expert) et quand, en outre, on aime les romans gay avec un côté ancien régime et une grosse pincée d’olé-olé, eh bien, on est bien servi par cette série. J’ai hâte de poursuivre les aventures de Louison dans le tome 3.
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Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 1
Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 2
Philippe Gimet, Le Dioscure, t. 3
L’affaire de Luynes (de ParisDude) Titre : L'affaire de Luynes (Le Dioscure, tome 2) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O…
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Les deux visages de la mort (de ParisDude)
Les deux visages de la mort (de ParisDude)
Couverture de “Les deux visages de la mort”
Titre : Les deux visages de la mort (Le Dioscure, tome 1) Auteur : Philippe Gimet Publié par : H&O Publié le : 12 mars 2017 Genre(s): Polar historique Pages : 213 Lu par : ParisDude Sensualité : 5 flammes sur 5 Note : 5 étoiles sur 5
Synopsis
Paris, mai 1617. Le jeune Louis XIII prend le pouvoir grâce à son favori le duc de Luynes, en faisant le vide dans…
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