#Route du Rhum
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Route du Rhum yacht race between Saint-Malo, Brittany, France and Pointe-à-Pitre, Guadeloupe
French vintage postcard, mailed in 1983
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Ouais ouais
Mais le chemin est semé d'embûches
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Poster Route du Rhum
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Route du Rhum 2022
part 1
SVR Lazartigue
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J'ouvre les yeux à 8 heures pétantes. Je ne sais pas ce qui me prend, je tends mon bras et je saisis mon téléphone. Ça faisait quelques jours que je ne l'avais pas allumé. 8 appels en absence. Le même numéro. Un 03. Je rappelle sans écouter les messages. Je n'ai parlé à personne depuis que j'ai ouvert les yeux, alors pendant la tonalité, je teste ma voix :
-Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! -Allô ? -Oui, bonjour ! Euh… je… c'est pour… c'est parce que vous m'appelez… vous m'avez appelée, je crois. -D'accord, vous êtes Madame... ?
L'échéance du garde-meuble tombe aujourd'hui. Le jeune gars qui gère ça m'avait appelée pour savoir si je voulais renouveler. Je voulais renouveler, mais je n'ai plus de quoi payer. Enfin, j'ai de quoi payer, mais je préfère manger.
Je me mets en chemin. J'y vais à pied. Je crois que je n'en ai plus rien à foutre. Ni de marcher 1h45, ni de mes affaires, ni de rien. Je me dis que les personnes qui fréquentent les garde-meubles sont dans le même état d'esprit que moi. Comme celles qui fréquentent les cyber-cafés.
Je traverse un petit vide-grenier de quartier. Il est encore tôt. Les stands sont en place, mais la fréquentation est éparse. L'idée me vient donc. Je demande à un des gars de lui emprunter sa camionnette en échange du plein. Je laisse ma pièce d'identité. S'il savait à quel point je tiens à mon identité, il n'aurait pas accepté.
Je finis donc le trajet en Peugeot Partner. J'embarque mes affaires. Je signe le papier que me tend le gars sorti d'école de commerce de seconde zone. Je passe faire le plein. Je décharge au vide-grenier, je rends les clés, et je pars. Je laisse derrière moi toutes mes affaires, et ma carte d'identité.
Je marche tout droit, donc à un moment, j'ai faim. Je m'arrête pour acheter des panini. Je n'aime pas déformer l'italien et utiliser le pluriel de sandwich (panini) pour commander un panino. Donc, je les commande par deux et je mange l'autre plus tard. Un homme étranger dit "bon appétit" quand le chef lui apporte son assiette de frites. Le chef ne relève pas. C'est très mignon. La vie est belle.
En sortant, je remarque dans le caniveau une souris d'ordinateur éventrée. Là où j'ai grandi, ce sont des hérissons qui sont aplatis sur la route. La ville est si artificielle que même ce qu'on trouve écrasé contre le bitume n'est pas organique.
Je marche encore tout droit. On est maintenant au cœur de l'été. J'essaie de parier qui dans cette ville est d'ici, et qui est touriste. J'arrête vite car c'est trop facile. J'arrive au parc. Des vélos sont posés. Pas attachés. Je reconnais le logo du magasin de location Dingo Vélos. Je n'ai pas réfléchi et je suis maintenant sur le vélo. Je suis en train de le voler et l'adrénaline me pousse à pédaler de plus en plus vite. Je retrouve le chemin de Dingo Vélos et vais le rendre. Je récupère 50€ de caution et la carte d'identité d'une certaine Clothilde. Elle ne me ressemble pas vraiment. Elle doit avoir 10 ans de moins que moi. Mais elle a les mêmes cheveux. Pour une personne polie, ça peut faire illusion.
Le soleil se couche enfin. Je suis déjà dans mon lit. Cet appartement est une chance pour moi. Une chance que ma mère l'ai laissé libre avant de ne plus m'adresser la parole. Je n'ai bientôt plus d'argent. Aujourd'hui, je n'ai pas été au jardin botanique et je ressens un manque. Aujourd'hui, d'autres gens ont été au jardin botanique, on parlé de leurs soucis de couple devant la bambouseraie. Aujourd'hui, des gens ont mangé un baba au rhum, d'autres ont acheté un chihuahua, commencé des balnéothérapies, pris des actions dans une start-up, acheté des fleurs, loué une Porsche, pris l'avion pour le weekend, se sont marié·es.
Aujourd'hui, j'ai changé d'identité. Demain, je mangerai un panino froid.
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En mer
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 18 août
Thème : sieste/oui mon capitaine
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Partout, une mer d’azur s’étale à perte de vue. Le bateau est le seul point dépassant sur l’horizon. En dehors d’une petite brise, à peine suffisante pour avancer, c’est ce qu’on pourrait appeler le calme plat.
Perché dans le nid-de-pie, je succombe à la tentation d’une petite sieste. Après tout, qu’est-ce qui pourrait arriver ?
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Le bateau est désert.
Je ne comprends pas. Je me suis réveillé à peine une heure après avoir fermé les yeux, deux peut-être, trois grand maximum ! Ils ne peuvent pas avoir tous disparus aussi vite ! Et où est-ce qu’ils seraient passés ?
J’arpente le pont comme une âme en peine, en appelant mes camarades. En vain. L’angoisse me tord les tripes. Il n’y a aucune trace de lutte. Toutes leurs affaires sont encore là. Le café est froid dans la tasse du capitaine. Les dés des gars qui n’étaient pas de quart sont encore posés par terre, à coté des piécettes. Ça n’a aucun putain de sens !
Je cours partout, je cherche. Je regarde dans la mer, mais je ne vois aucune trace. Comme il n’y a plus personne à la barre, le bateau s’est mit vent debout et il est resté dans la même zone depuis, je pourrais voir quelque chose – un foulard, un chapeau, n’importe quoi qui flotterait sur les vagues et me dirait une bonne fois pour toute qu’ils sont tombés à l’eau. Mais non, je ne vois rien.
Ne pas paniquer ne pas paniquer ne pas…
Je cours jusqu’à la cuisine. Les réserves d’eau et de nourriture sont intactes. En étant seul, je devrais pouvoir tenir des m…
Mais je ne vais pas rester seul aussi longtemps, bien sûr. Comment je pourrais être seul aussi longtemps ? Quelqu’un va forcément me trouver avant ! On est sur une route commerciale, quelqu’un va voir le navire, et…
Je fouille dans la malle à pavillon et en sort ceux qui indiquent une urgence vitale, et que le bateau se rend sans résister. Peut importe qui me trouvera, ils viendront !
Maintenant, il faut que… il faut que je m’organise. Le bateau est bien gréé, si je reprends la barre je peux avancer. Même si je ne suis pas sûr de la direction. Je ne suis pas capitaine ni officier, moi, je n’ai jamais eut à faire tous ces calculs compliqués, mais je saurais à peu près me repérer au soleil ! Et je ne veux rien de bien extraordinaire, juste me rapprocher de la côte. Oui, oui, plus je serais proche des terres, plus il y a des chances qu’on me voit et qu’on vienne me sauver. Oui. Ce n’est qu’une question de jours. De semaines, tout au plus. Tant que je ne croise pas de tempête, je peux m’en sortir. J’en ai pour des mois de provisions, après tout.
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Je ne sais pas depuis combien de temps nous errons en mer.
Au moins je ne suis plus seul. J’ai fabriqué le coq Brisepâte, pour me tenir compagnie quand je fais l’inventaire des vivres. Le mousse Filedroit, pour les moments où j’ai envie de me lancer dans de grandes explications sur le métier de marin ou de lui raconter mes aventures excitantes. Les matelots Bonnepinte, Grandepinte et Bellechopine, pour les soirs où j’ai envie de boire un petit coup. Bizarrement, j’ai fini le rhum bien avant de finir la farine à biscuits.
Ah, et j’ai aussi fait le capitaine Briselame – aucun lien de parenté avec le coq. Ma fierté, honnêtement. Il est habillé avec les vrais vêtements du capitaine, il a même son monocle, et il a une paire de moustaches en étoupe qui ferait peur à n’importe quel abordeur. Il me rassure quand je me sens perdu. Je lui parle beaucoup. Il me répond parfois. Sans lui, je ne sais pas comment je m’en serais sorti vivant quand j’ai affronté la première tempête. Bon, le bateau est dans un piètre état, c’est plutôt une épave à la dérive maintenant qu’un vrai navire, et mes espoirs d’atteindre une côte fondent comme neige au soleil. Mais je suis vivant. Merci mon capitaine.
J’ai faim. J’ai mangé la viande séchée. J’ai mangé les fruits secs. J’ai mangé les biscuits. J’ai mangé la farine. J’ai mangé les vers qui mangeaient la farine. J’ai mangé les pommes, aussi. Enfin, celles qui n’ont pas fini dans ma tentative de faire de l’alcool maison. C’était atroce, mais ça m’a occupé un moment.
Maintenant, je n’ai plus grand-chose à faire à part regarder l’horizon. Le capitaine tient la barre, aidé de quelques cordages. C’est important de maintenir le cap, même si c’est dur vu le peu de gouvernail qu’il reste.
Je regarde l’eau en rêvassant quand j’entends le chant.
Jamais encore je n’avais entendu un chant aussi beau. Comme si les portes du paradis s’étaient ouvertes pour moi. Je me penche et là, sous les vagues, dans l’eau cristalline, je les vois tous ! Tout l’équipage est là, qui me sourit et me fait des grands gestes pour que je les rejoigne. Des sirènes sont avec eux. Mais c’est bien sûr ! Ce sont elles qui les ont sauvés, il y a si longtemps ! Je n’ai plus qu’à les rejoindre !
Je commence à enjamber le bastingage quand j’entends le capitaine Briselame qui crie, de sa voix de tonnerre :
« Dégage-moi tout ça et remonte sur le pont !
— Mais… ce sont des sirènes !
— Justement, espèce d’imbécile ! Elles viennent pour te noyer et te dévorer, comme tous les autres ! Remonte tout de suite et va te mettre de la cire dans les oreilles jusqu’à ce qu’elles se lassent !
Je suis déchiré. Je n’en peux plus de vivre comme ça. Je ne veux plus !
Mais dans ce monde de folie, j’ai reçu un ordre, et c’est la seule chose qui a encore du sens, alors qu’est-ce que je pourrais répondre d’autre que :
— Oui mon capitaine ! »
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#18 août#sieste#oui mon capitaine#le début est venu tout seul#après j’ai essayé de montrer sa folie avec ses amis imaginaires#ça reste très classique#mais être sauvé par son hallucination c’est beau#french#french writer#écriture
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#30 jours pour écrire / Avis de tempête
Ce jour, je partais d'un bond par dessus la montagne dans ma féline noire ramassée sur son arrière train refaire mon stock de livres. Mon plus jeune fils, cette fois a bien voulu m'accompagner. Ravie j'étais et nous avons chantonné dans la voiture, sous un ciel clair, dégagé, bleu profond.
Arrivés au "palais de la littérature" nous avons rempli le coffre, tranquilles, joyeux et boucanés lentement par le soleil comme deux pirates sur le pont de leur barque tout occupés à l'inventaire de leur trésor. Et j'ai entendu le premier coup de semonce du ciel; je ne m'étais même pas aperçue que le fond de l'air était maintenant poisseux et lourd, que de grands nuages ventrus gris noirs coiffaient les pics des falaises de calcaire.
Nous avons abrégé le réapprovisionnement et mon fils et moi avons aussitôt repris la route du retour. Celle-la même qui serpente ses lacets à flanc de pentes qui lâchent en grondant et fumant de poussière des blocs de pierre jusque dans les vignes.
A l'esplanade de terre juste après le col, j'ai voulu m'arrêter, tant la terre, le ciel, étaient époustouflants de beauté. Ma manie de vouloir tout photographier. Mon fils en rit, son père s'est résigné, moi je veux enturbanner ma tête de chaque instant, de chaque image, de chaque mot, de chaque mélodie de la splendeur.
Puis, j'ai vu mon fils. Tandis que je mitraillais, il était monté jusqu'à l'énorme rocher qui surplombe toute la vallée. Il se penchait au dessus du précipice et scrutait le vide en écoutant les pompiers, les ambulances, les véhicules de l'urgence qui envoyaient des messages stridents à travers toute la plaine. Les éclairs, le tonnerre, étaient eux aussi maintenant de la partie et rejoignaient la fanfare méli-mélo dramatique. J'ai été saisie par la concordance de l'instant.
En vie, en vis à vis, avis de tempête... J'ai posé mon appareil et j'ai regardé mon fils, dans son élément, sans rien dire, presque exaltée, secouée par la proximité des grands arcs électriques. Je le vois, je le vis et je le voyais; trois dimensions de lui, bientôt, déjà l'adolescence, une grande bourrasque de plus. Elle viendra sans que je donne mon avis...
La pluie, soudain, de plus en plus soutenue. Il est revenu de lui-même vers la voiture, en rigolant comme un beignet, trempé comme un baba au rhum.
Arrivés devant la porte du garage, la grêle. Drue. Nous avons tenu le pare brise de l'intérieur à quatre mains pour ne pas que le ciel nous tombe sur la tête, en riant des tours de vis de la tempête.
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Chez nous. Mouans-Sartoux. Aout 2023
Aujourd'hui était une soirée de fête ! J'ai dépassé mon anxiété sociale pour inviter mes amis à mon anniversaire (en vrai, ils avaient déjà prévu la date depuis le Nouvel An) et ils étaient tous là, même celle que je n'attendais pas qui a fait plus de 6 heures de route pour passer le week-end avec moi. La plupart sont des amis de 30 ans maintenant, ce qui ne nous rajeunit pas...
Ma soeur, mon beau-frère et mes enfants ont tout organisé : déco, gâteau, sono, cadeau, etc. et c'était absolument bouleversifiant !!!
Il y a eu des surprises de taille, des larmes de joie, des rires, des cris, des câlins d'amitié, des chants de ralliement, des danses de canicule, des confidences d'ivresse, des transes de sorcières, des applaudissements de star, des chorégraphies de Just Dance, des photos floues et ratées, des accidents de sandales, des pubs dans la playlist, des sms des voisins pour demander le silence, des cocktails de rhum et des jus de fruits, des confettis de couleurs et des bouquets de fleurs, des souvenirs pour les années à venir, des messages d'amour, des rêves sans sommeil et des regrets pour déjà, avant des sommeils sans rêve.
Je me suis couchée vers 6 heures du matin, épuisée mais heureuse. Je me suis levée, moins de 4 heures plus tard, toujours heureuse mais épuisée, toujours émerveillée et tellement reconnaissante. Merci la vie qui passe si vite qu'elle nous donne à vivre des moments aussi intenses ! Je m'accrocherai désormais aux accoudoirs de mon nouveau fauteuil jaune, bien calée contre son large dossier pour garder l'équilibre en me souvenant de ce tourbillon de vie et de joie.
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Whisky
(Le musicien fantôme, épisode 5 – parce que l’occasion fait le larron)
Ca, c’est ce qui s’appelle une gueule de bois.
La lumière qui se faufile par le hublot est proprement insupportable et ma tête se joint à mon estomac pour maudire l’imbécile qui a trouvé judicieux de leur infliger trois (quatre ?) verres de whisky après une demi-bouteille de rhum, c’est-à-dire moi.
La couchette tangue un peu et pas seulement à cause de mon état. Manifestement, le vent s’est enfin levé et nous nous sommes remis en route, après trois jours de calme plat. Je devrais m’en réjouir mais, moi qui n’ai pas eu à me plaindre du mal de mer jusqu’à présent, je redoute le moment où je devrai me mettre debout.
Il est donc plutôt opportun que je ne puisse bouger, du moins sans réveiller l’homme à moitié couché sur moi. Je dois dire que le capitaine Álvarez – Esteban – est nettement moins intimidant endormi. J’irais presque jusqu’à le déclarer adorable, avec ses longs cils sombres et ses cheveux libérés de son habituel catogan, si l’effet n’était quelque peu gâché par ses ronflements.
Un long grognement les remplace lorsqu’il ouvre un œil. Il pousse un juron monumental en me voyant et bondit presque hors de sa couchette. Ce n’est pas exactement la réaction que j’espérais.
Mais alors…Oh, mon Dieu ! Je croyais que… Enfin, il m’avait semblé…
Je passe en revue mes souvenirs de la nuit précédente, pour comprendre comment j’ai pu commettre une telle erreur de jugement. La fête pour tromper l’ennui et la nervosité des marins, que l’absence de vent mettait à cran. Le succès – escompté – de mon nouveau répertoire festif auprès de l’équipage, qui m’a tapé dans le dos et abreuvé de rhum. L’étonnement non dissimulé du capitaine. Je ne me rappelle pas ses mots exacts, parce que j’étais déjà un peu ivre, et lui aussi, mais si je résume ses propos : j’étais un homme plein de surprises, toutefois il était plus intéressé par mes compositions personnelles et il m’invitait à lui en jouer quelques-unes dans sa cabine où il me promettait une bouteille d’excellent whisky. Je ne prétends pas être coutumier du fait mais, tout de même, quelques invitations de gentlemen à venir « admirer leur collection d’art » m’ont appris à reconnaitre un sous-entendu !
Du moins je le pensais. A la façon hâtive dont Álvarez se rhabille en évitant soigneusement mon regard, il est évident que je me suis trompé. Et que j’ai vu dans nos longues conversations de ces derniers jours un attrait pour ma personne là où il n’y avait qu’un intérêt sincère pour la musique.
Après le deuxième verre de whisky, mes souvenirs sont flous, bien que plaisants – ce dont j’ai honte à présent que je comprends qu’il était trop saoul pour savoir ce qu’il faisait.
« Je ne savais pas… ça n’aurait pas dû arriver… ». A ma tentative d’explication, ses doigts se crispent encore davantage sur le ceinturon qu’il est en train de boucler. La plus élémentaire décence me semble de ne pas lui imposer ma présence plus longtemps. Je me rhabille le plus vite possible, luttant contre une nausée qui n’est pas due qu’à l’excès d’alcool.
Il ne me reste plus qu’à me terrer dans ma cabine jusqu’à la fin du voyage, si toutefois il accepte de le mener à terme.
La main sur la poignée de la porte, je murmure : « Je suis désolé ».
« Quoi ? »
Je me retourne et il me regarde enfin, l’air abasourdi. « Comment ça, tu es désolé ? C’est moi qui ai abusé de la situation. Tu avais clairement trop bu et… »
Nul doute que, plus tard, je trouverai le quiproquo amusant. Pour l’instant, je ressens surtout un immense soulagement.
« Tu n’étais pas exactement sobre non plus. »
« Jusqu’au whisky, ça allait. Je veux dire : je savais ce que je faisais quand je t’ai invité dans ma cabine. »
« Et je savais ce que je faisais quand j’ai accepté. »
« Oh. Bon. Bon. Je… Tant mieux. J’ai cru que, peut-être… »
Il est encore plus adorable embarrassé qu’endormi. Je ne résiste pas à l’envie de le taquiner :
« Que j’étais aussi naïf que j’en ai l’air ? Tu n’étais pas particulièrement subtil. »
Il hausse les épaules. « Je ne savais pas trop comment m’y prendre. Je ne fais pas dans le gentilhomme, d’habitude. »
Un peu cavalier, mais je ne peux décidément pas en tenir rigueur à un homme qui parvient à rester séduisant malgré les signes d’une gueule de bois qui doit valoir la mienne.
« Et tu comptes réitérer l’expérience ? » Puisque la subtilité est depuis longtemps passée par-dessus bord, autant y aller franchement.
Il a un sourire en coin. « De ce que je me souviens, ça mériterait une deuxième audition, à jeun. »
Et il se croit spirituel, en plus.
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18 août :
Journée transport pour rejoindre Lillehammer, une petite ville au Nord d'Oslo. J'y arrive après 6 heures et 3 bus. 1er hostel et lit après 9 jours, pour fêter ça c'est pizza et bière. J'ai des larmes aux yeux. Pourquoi il faut se faire du mal pour apprendre à apprécier le peu ?
19 août :
Visite du musée à ne pas rater de Norvège, le Maihaugen. Édifié par un dentiste de la ville début XXe qui, en allant visiter des patients dans des fermes, s'est rendu compte que le mode de vie et d'habitations risquait de disparaître avec l'industrialisation. Il a décidé donc de déplacer (et non de reproduire) des villages/fermes qui sombraient dans l'abandon dans son musée. Son entreprise se poursuivant jusqu'à aujourd'hui, on trouve dans ce musée des habitations du XVIe jusqu'à des maisons high-tech, toute richement décorées. Le tout en plein air et on visite le parc en se promenant. J'y passerai 4 heures sans voir le temps passer.
Puis train jusqu'à Oslo où je logerai 2 nuits chez un hôte trouvé sur couchsurfing, première expérience pour moi avec ce système.
Je fais donc connaissance de Abu, ingénieur software indien venu à Oslo pour le travail il y à 7 ans et qui s'y ait plu. On s'entend très bien, il nous fera a dîner les 2 soirs des lentilles (excellentes!), j'aurais ma chambre et je peux même faire ma lessive. Du luxe.
20 août :
Visite de Oslo. A part quelques bâtiments comme le palais royale ou la cathédrale, la ville est très moderne avec des quartiers sortis du futur. Ballade agréable mais c'est la première fois que je visite une capitale européenne sans y apercevoir son histoire et son passé via son urbanisme, pas de "vieux quartier" dit autrement. Abu me rejoint en début d'aprèm pour me montrer des coins à visiter et pour une bière.
21 août:
Micha me rejoins à Oslo en voiture et mon périple européen en solo s'achève ici. Ca me fait plaisir car mon ami imaginaire dans ma tête commençait à être inintéressant. Il fait beau et on prend direct la route vers l'ouest, avec une pause à l'église xx pour manger. Je découvre à cette occasion la cargaison de fromage, charcuterie, vin, rhum, etc que Micha a ramené. Je retiens mes larmes.
Arrivés au parking du Kjeragbolten à 18h00 (30 € de vol) on court vers le fameux caillou suspendu en haut d'une faille. On y monte pour les photos, 800m au dessus vide qui finis dans le fjord. Puis on se trouve un coin pour la tente avec vue panoramique sur ce même fjord. Il fait beau et on est sublimés par la beauté du paysage.
22 août:
Réveil dans les nuages qui offrent une autre vue. Retour à la voiture et direction le Preikestolen. 25 € de parking et 1,5h plus tard on arrive à cette plateforme carré qui chute direct avec des parois lisses à 600m dans le fjord. Incroyable cette nature. Par contre c'est Eurodisney niveau affluence. On part donc faire une ballade sur les falaises à coté où, comme par hasard, on y croise personne. Puis le temps de poser la tente, tout le monde est partit de la plateforme et on est enfin seul. C'était en tout cas l'idée. Mais un groupe de 40 jeunes en sorte de "colo" foutait un bordel pas possible. Je n'aurais réussit à en balancer que 3 par dessus le rebord, trop nombreux pour tous les achever. Bref, ils ont finis pas partir et laisser la nature tranquille, et nous avec.
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Le bateau prêt à repartir : nouvel étai largable, nouvelle gazinière qui s'est décrochée de ses cardans dans les violentes secousses de la traversée après 32 ans de bons et loyaux services, nouveau foc 1 qui donnait des signes de faiblesse et que j'ai toujours connu sur le Romarin depuis 1986 ! Nouvelle bande anti-UV pour le gênois, nouveau système efficace pour éviter que les lattes s'envolent de la grand voile en pleine navigation, réparation du bimini déchiré lors de la tentative de sauvetage en hélicoptère, bandes antidérapantes sur le plancher du bateau, il nous reste à recevoir 8 nouvelles cellules au lithium pour la propulsion. Mais nous ne serons pas au bout de nos peines. De nouvelles difficultés nous attendent : le passage du détroit de Gibraltar avec ses courants, ses vents forts, son trafic intense et les attaques d'orques toujours plus nombreuses entre Cadix et Gibraltar. Certains défenseurs des orques trouvent plus juste de parler d'interactions avec les orques plutôt que d'attaques. Les orques s'attaquent uniquement au safran, partie du gouvernail immergé, des voiliers, jamais aux hommes envers lesquels elles ne montrent aucun comportement agressif. Les attaques sont presque quotidiennes aux mois de mai et juin au large du cap Trafalgar, Elles semblent liées au passage des thons rouges qui remontent dans le détroit à cette période. Une autre hypothèse consiste à dire qu'une orque blessée par un bateau enseignerait à ses jeunes d'attaquer les safrans par vengeance. Ou encore, les voiliers apparaissent comme des concurrents dans la chasse au thon dont le nombre a beaucoup baissé avec la surpêche. Les orques sont des animaux intelligents et protégés qui communiquent entre eux. On en dénombre à peu près une soixantaine dans le détroit. Les équipages des voiliers qui ont subi ces interactions en sont quittes pour une bonne frayeur. Certains voiliers ont dû faire appel aux secouristes n'étant plus manoeuvrant. D'autres ont eu des voies d'eau importantes et ont coulé. Nous avons rencontré Sébastien Destremeau, skipper du Vendée Globe et deuxième à la Route du Rhum dans la catégorie Rhum Mono en 2018, en escale forcée à Puerto America à Cadix qui a eu son safran détruit, voici le récit de son interaction avec les orques : Alors qu'il convoyait un bateau et naviguait au large du cap Trafalgar, une dizaine d'orques se sont attaquées à son safran. « on les a vu arriver d'assez loin, j'ai cru que le vent se levait et on a compris que, cette fois, c'était pour nous. » Selon son récit, 20 orques ont nagé vers son bateau. Le groupe s'est ensuite scindé en deux et au moins 8 animaux ont commencé à viser le navire et notamment son safran. Comme le recommande la procédure en cas d'attaque du GTOA protocole, Sébastien met alors à l'arrêt le voilier et affale les voiles. Après cette expérience, je ne suis pas du tout convaincu qu'arrêter le navire soit la bonne stratégie, confie t'il à posteriori. Alors que le bateau de 15 tonnes est arrêté, les orques continuent à le viser jusqu'à endommager le safran. «Une heure sous les coups de boutoir, c'était très impressionnant et on avait très peur. C'est terrifiant de sentir un bateau de 15 tonnes se faire secouer comme une coquille de noix. On en menait pas large à bord. J'avais vraiment peur que le bateau coule. A bord de ces bateaux, il n'y a pas de cloison étanche, comme sur un bateau du Vendée Globe» Le navigateur raconte qu'il a finalement remis le moteur au bout de 20 minutes, avançant et reculant en fonction des orques pour les empêcher d'approcher le gouvernail. «Comme les orques n'en démordaient pas, j'ai commencé à faire des ronds très serrés avec la barre à fond et au bout de quelques minutes, ils sont partis.Mais j'ignore si c'est cette manœuvre qui a été utile ou s'ils seraient partis de toute façon. » a détaillé le double participant au Vendée Globe. «Ce qui est sûr, c'est qu'on est sur leur territoire » estimait-il, alors que de plus en plus d'attaques d'orques sont justement rapportées entre Gibraltar et les côtes portugaises et espagnoles. Durant l'incident, les services de secours ont été prévenus et se tenaient prêts à intervenir si la situation empirait. Finalement, les mammifères sont partis au bout d'une heure, laissant l'équipage secoué mais sain et sauf. Le skipper s'est néanmoins retourné un doigt pendant une manœuvre et une escale est prévu à Cadix en Espagne afin de réparer le safran endommagé. Sébastien précise que les orques ne semblent pas agressives envers l'homme et qu'elles tentent de nous transmettre un message, mais lequel ? On rencontre désormais beaucoup d'appréhension chez les marins qui doivent aborder ce parcours. Des stratégies se développent, plus ou moins efficaces : naviguer de jour, près des côtes pas au-delà de 20 m de profondeur, émettre des ondes répulsives à l'aide d'un pinger : inefficace et interdit : les orques sont en voie de disparition et sont protégées. Naviguer en convoi, à plusieurs bateaux pour se secourir mutuellement en cas d'attaques, d'autres envisagent même des mesures plus radicales inavouables, ...
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Quels sont les différents voiliers de course au large?
La course au large a grandement participé à la popularité de la voile sportive et la démocratisation de la pratiques de la voile. Les grandes transatlantiques, et courses autour du monde, ont fait rêver de nombreux amoureux de la mer, et/ou de l'aventure. Aujourd'hui, le monde de la course à la voile s'est structurée et les différents bateaux de courses se sont sont structurés en classes ou en jauges. Alors quels sont les différents voiliers de course au large? Il est loin le temps des premières courses à la voile, souvent organisées par nos amis anglais. La transat Anglaise ou le Golden Globe Challenge étaient des courses qui réunissaient plus des aventuriers que des sportifs professionnels. Aujourd'hui, les choses ont bien changé. La Route du Rhum ou le Vendée Globe accueillent de nombreux voiliers de courses qui se sont structurés en classes et jauges. Voyons ensemble ces différentes classes et jauges.
Les voiliers de la classe Imoca
photo. C. Chardon Les voiliers de la classe Imoca sont sans doute les voiliers de course au large les plus connus du grand public. Et pour cause, il s’agit, tout simplement, des voiliers utilisés par les skippers du Vendée Globe, entre autres. L'International Monohull Open Class Association ( IMOCA) a été créée en 1991. Ces voiliers de 18 mètres, généralement appelés 60 pieds IMOCA, sont devenus, au fil des éditions, des bateaux de plus en plus techniques et performants. Les Imoca les plus récents, équipés de foils, sont d’un inconfort absolu pour leurs skippers. Les grands noms de cette classe sont des cabinets d’architecture comme Finot-Conq, FARR Yacht Design, VPLP/Verdier ou encore l’architecte Marc Lombard. Ces architectes ont participé à révolutionner le monde la plaisance, par leurs avancées technologiques. Les skippers qui ont marqué leur passage, en classe IMOCA, sont des sportifs comme Titouan Lamazou, qui a gagné la première édition du Vendée Globe, Alain Gautier, Catherine Chabaud, Isabelle Autissier, Michel Desjoyaux, 3 fois vainqueurs de la course, Ellen MacArthur, Jean Le Cam, Roland Jourdain, Jean Pierre Dick, Yann Elies, Armel Le Cleac’h, Jeremy Beyou, Samantha Davies, Clarisse Crémer. Les principales courses du circuit Imoca : - Vendée Globe - Defi Azimut - Route du Rhum - Transat Jacques Vabre - The Ocean Race - Rolex Fastnet
Les voiliers de la class40
La class40 est souvent vue comme la petite sœur de la classe Imoca. Je n’ai jamais aimé ce raccourci. En effet, si les voiliers des cette classe ressemble à des petits IMOCA, la comparaison s’arrête là. Le circuit est beaucoup plus ouvert et dynamique que la première. Le nombre de courses est très important et les types de parcours très variés. Des courses comme la Normandy Chanel Race sont, par exemple, très techniques et réunissent les meilleurs skippers. Aujourd’hui, les grands noms de cette classe sont ceux des architectes que l'on retrouve aussi en IMOCA. Les skippers qui ont marqué la Class40 sont Maxime Sorel, Ian Lipinski, Miranda Merron, Phil Sharp, Louis Duc, Les principales courses du circuit Class40 : - Route du Rhum - Transat Jacques Vabre - Normandy Channel Race - Drheam Cup - Corsica Med
Les multicoques de course, Ultim Ocean-Fifty
© Alexis COURCOUX #RDR2018 Les multicoques de course sont des bateaux qui ont fait rêver de très nombreux plaisanciers. Ces voiliers, souvent mythiques, sont de véritables machines de courses. Les premiers multicoques de courses sont apparus dans les années 70, avec Pen Duick, d’Eric Tabarly. Ces multicoques sont indissociables des grandes transatlantiques comme la Route du Rhum ou la transat Jacques Vabre, par exemple. Les multicoques les plus connus sont : - Acapella est une série de 5 trimarans construits entre 1978 et 1982. Le plus connu est Olympus Photo, qui gagnera la première Route du Rhum, en 1978, avec Mike Birch. - Jet Service, un catamaran construit en 1987. Ce plan Gilles Ollier sera skippé par Serge Madec puis Bruno Peyron. C’est un peu le premier géant des mers. Il sera le premier bateau à remporter le Trophée Jules Verne, en 1993, avec Bruno Peyron. - Geronimo, un trimaran de 21m, construite en 2001. Il remportera le Trophée Jules Verne en 2004, avec Olivier de Kersauzon, puis battra le record du Tour du Monde à la Voile en Solitaire, en2016, avant de gagner la Transat Jacques Vabre, en 2017. - IDEC Sport. Ce bateau, construit en 2006, s’appellera d’abord Groupama, skippé par Franck Cammas. Il prendra ensuite le nom de Banque Populaire, skippé par Armel Le Cleac’h, avant d’être racheté, en 2015, par Francis Joyon. Le palmarès de ce bateau est impressionnant : 2 trophées Jules Verne et 3 Route du Rhum plus de nombreux records. Aujourd’hui, on retrouve trois grandes classes de multicoques. Les Ultim's, ces immenses trimarans de de 23 à 32 mètres. La classe, créée en 2015 réuni des skippers comme François Gabart, Sébastien Josse, Thomas Coville, Armel Le Cléac’h ou Francis Joyon. La Class Ocean-Fifty, anciennement Multi50, représente plusieurs trimarans de 15 mètres. Les kippers les plus connus de cette classe sont Armel Tripon, Erwan Leroux, Gilles Lamiré ou encore Lalou Roucayrol.
Les monotypes Figaro Bénéteau
photo: Jean Baptiste d'Enquin Les Figaro Bénéteau sont moins connus du public mais indissociables de monde de la voile, surtout en France. Ces voiliers ont leur propre circuit de courses au large et régates. L’histoire de ce voilier est étroitement liée aux half Toners. Dans les années 90, l’idée de créer un monotype pour remplacer les half-toners se concrétise, avec le groupe Finot, puis Jean Berret qui vont dessiner un voilier qui sera construit par le chantier Bénéteau. En 1991, le Bénéteau Figaro devient le monotype de la Solitaire du même nom. En 2003, Marc Lombard dessine la deuxième version. En 2017, le monotype est redessiné par e cabinet d'architecture Van Peteghem Lauriot-Prévost et s’équipe de foils. Les skippers qui ont marqué l’histoire de ce monotype sont Guy Cornou, Eugene Riguidel, Gilles Gahinet, Philippe Poupon, Jean Le Cam, Michel Desjoyaux, Yann Eliès, Yoann Richomme ou encore Nicolas Lunven. Les principales courses du circuit Figaro : - Solitaire du Figaro - Solo Maître Coq - Solo Guy Cotten - Transat en Double - Tour de Bretagne - Sardinha Cup
La classe Mini 6.50
La Mini-transat est une transatlantique qui fait rêver de très nombreux voileux, jeunes et moins jeunes. Cette course est synonyme de petits budgets, de camaraderie, d’aventure et d’innovations techniques. Ces petits voiliers de 6.50 ont apporté un vent de fraîcheur et de simplicité à la course au large. Le début de l’histoire de ces petits voiliers débute en 1977. Une course, au départ du Royaume Uni, réuni une vingtaine de voiliers de 6.50, pour une transat en solo. Les premiers voiliers sont des Muscadets et des Serpentaires. Parmi les kippers qui prennent le départ, de grands noms comme Halvard Mabire, Bruno Peyron et Jean-Luc Van Den Heede. Les plus petits voiliers de la course hauturière sont nés et leur course favorite aussi : la Mini-Transat. Aujourd’hui, la Mini-transat est devenue française et fait partie de l’histoire de la course au large. Des voiliers, et des architectes ont marqué cette course. Je pense au Serpentaire, de Bernard Veys, au Muscadet et au Coco de Philippe Harlé, au Pogo de Pierre Rolland ou au Maxi 6.50 de David Raison. Les skippers qui ont marqué l’histoire de la classe 6.50 sont Daniel Gilard, le premier vainqueur e la mini transat, Yves Parlier, Yvan Bourgnon, Sébastien Magnen, Ian Lipinski et bien d’autres. Les principales courses de la classe mini 6.50: - Mini Transat - Mini Golfe - Mini Fastnet - Mini en Mai
Les voiliers de série IRC
Mais il n’y a pas que les grandes classes de voiliers qui peuvent courir sur les océans. Plusieurs courses sont ouvertes aux voiliers de série. Ces voiliers, souvent pensés pour la course au large, s’avèrent très recherchés par les amateurs pour participer à des courses comme la transquadra ou la CeltikCup, par exemple. Ces voiliers doivent respecter certaines normes et règles, notamment être inscrit à la jauge IRC. Les voiliers de série, de courses au large qui ont le plus marqué l’histoire de la voile sportive sont des voiliers comme le Romanée, les half-toners, le Contessa 32, le Dufour 34, les Pogo,et plus récemment les Sun Fast 3200, la gamme JPK, Les principales courses en IRC - La Transquadra - Duo Max - Celtikup - Transat Cap - Yacht Cup - Armen Race Read the full article
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Jardin des tuileries, Paris
27 juillet 2024
Quand on y réfléchit la France a juste inventé les Jeux Olympiques modernes en 1894 par Pierre de Coubertin - Le Tour de France en 1903 par Henri Desgrange et Géo Lefèvre - Roland-Garros en 1925 par la Fédération Française de Tennis - La Coupe du Monde en 1928 par Jules Rimet - L’Euro en 1960 par Henri Delaunay (mais aussi la LDC et le ballon d’or) - La route du Rhum en 1978 par Michel Etevenon Hier soir était encore - quoi qu’en disent les polémiques - la preuve du génie créatif français. Quel pays.
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Poster Route du Rhum
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Route du Rhum
part 2
Maxi Edmond de Rothschild
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