#Rockyrama
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entre-image-blog · 3 months ago
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Revue RockyRama, Hors-série AKIRA, Katsuhiro Otomo, Romain Dubois & Ludovic Gottigny, Ynnis éditions, revue broché, 196 pages, très complet, pour tout connaître du chef-d'oeuvre de Otomo! Rare à la vente, épuisé!
disponible sur entre-image.com!
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gzup-blog · 8 months ago
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Rockyrama x Justice
Hyperdrama - Official Visual Companion
2500 tirages
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leodanbrock · 7 months ago
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JUSTICE ⊹ Criterion film posters Hyperdrama
(in/sp) (credits)
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coralloid · 1 year ago
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i hate how accurate instagram's recommendation algorithm is 😠😠😠
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nicoprat · 1 year ago
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enrevues · 4 years ago
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elementofmovie · 6 years ago
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BUKOWSKI DANS LES CHIOTTES D’HOLLYWOOD
« C’était la première des nombreuses réunions qui devaient se noyer dans l’alcool (…). J’avais besoin de ce soutien car, de fait, je ne m’intéressais qu’à la poésie et aux nouvelles. Écrire un scénario me paraissait le comble de la stupidité. »
                                                                   Charles Bukowski
Au début des années 80, Barbet Schroeder, réalisateur-culte de More et La Vallée, débarque à Los Angeles et convainc Buk de lui écrire un scénario. L’écrivain, qui jouit depuis quelques années d’une reconnaissance bienvenue lui permettant d’écrire pénard des poèmes et de consacrer son temps et son argent aux paris hippiques, sa grande passion - avec les femmes et l’alcool -, accepte. Bukowski, qui n’a  pourtant jamais aimé les films, commence illico à griffonner quelques idées pour ce sympathique et frappé cinéaste européen. Quelques années plus tard, cela donnera Barfly, avec Mickey Rourke et Faye Dunaway. Et cela donnera aussi Hollywood, un roman jubilatoire - récemment réédité - sur les aventures d’un vieux dégueulasse repenti dans l’univers (im)pitoyable du cinématographe. Welcome in hell, development hell !!!
Quand Schroeder, ancien homme à tout faire de la Nouvelle Vague, commande à Buk ce fameux scénario original, ce dernier, rangé des voitures et savourant une sorte de pré-retraite aux côtés de sa nouvelle femme, se replonge dans sa jeunesse. Lorsque le succès ne l’avait pas encore frappé en pleine gueule. Lorsqu’il écumait les bars des quartiers les plus cradingues de L.A. avec les poches vides et les poings prêts à cogner quiconque se sentait le courage de se battre dans une arrière-cour avec un ivrogne au sommet de son art - en général, un autre ivrogne ou un serveur trop consciencieux. Bukowski, la soixantaine bien entamée, se replonge donc dans sa jeunesse et trouve ainsi la force de pondre ce maudit script qu’il a accepté d’écrire sans trop savoir pourquoi. Pour voir Hollywood, probablement. Pour voir si le vin est meilleur chez les nantis du coin, ceux qui « bossent » dans le cinéma. Presque toute la ville, en fait. La curiosité de l’écrivain. Rien d’autre.
Il y a donc les premières réunions où, très vite, Buk comprend que tout ceci n’est qu’une grande escroquerie. Un prétexte pour se goinfrer et picoler des cocktails aux couleurs non référencées, même dans le manuel du parfait jongleur de bar. Alors, il l’écrit, son script, après tout il a été payé pour ça, mais il s’amuse surtout à errer de réunions interminables en fêtes épuisantes, toujours accompagné de sa femme, qui aime le bon pif autant que lui. A ces occasions, il croise de faux génies et de vrais excentriques. Et parfois même des légendes vivantes comme « Jon-Luc Modard » ou « Wenner Zergog ». Mais au fond il reste sceptique sur les chances que les mots qu’il tape sur sa fidèle machine à écrire IBM finissent par intéresser quelqu’un ici, à Hollywood. Dans la première partie du roman, on sent une réelle fascination pour la figure du réalisateur, Jon Pinchot (Schroeder, donc, auquel le livre est d’ailleurs dédié), qui porte le projet à bout de bras et qui vit une vie palpitante l’ayant déjà amené à filmer un dictateur africain fou furieux ou à convoiter une riche et vieille russe édentée pour financer son prochain film. Car si l’écrivain se bat seul derrière son bureau - quand il en a un -, le cinéaste lui se bat partout ailleurs, et avec tout le monde. Son ring à lui, c’est la rue, pour paraphraser un célèbre boxeur italo-américain.
Buk, lui, préfère se réfugier sur les champs de courses. Quand soudain « Tom Pell », jeune coqueluche d’Hollywood fraîchement marié avec la pop star « Ramona », se dit intéressé par le script, à condition de mêler un autre réalisateur à l’affaire. La machine s’emballe. Mais Pinchot veille sur Son film. Exit Pell/Penn, welcome Jack Bledsoe, autre tête brûlée et ennemi juré de Pell. Bledsoe vient de cartonner au box-office dans une romance sulfureuse avec une ancienne James Bond girl, du pain bénit pour Pinchot. Le projet est lancé, finies les années de galères. Et tant pis si aucun studio ne veut financer un film racontant la vie d’un pochtron (Henry Chinaski, l’alter ego de Bukowski) tombant amoureux d’une belle… pochtronne. Firepower, société de production dirigée par deux hurluberlus du nom de Friedman et Fishman, accepte de financer à minima le film de Pinchot. Derrière ces deux noms aux consonances proches se cachent bien sûr Golan et Globus, les deux cousins israéliens de la Cannon, qui n’hésitent jamais à produire de petits films d’auteur sensés leur apporter prestige et reconnaissance entre deux bourrinades patriotiques.
Mais l’alliance improbable entre un ancien critique des Cahiers du cinéma (Schroeder, toujours lui), l’auteur du Journal d’un vieux dégueulasse et le père spirituel de Jean-Claude Van Damme ne sera pas de tout repos. Car si Buk et Schroeder ont visiblement de la sympathie pour ces deux outsiders amateurs de bonne chère qui jurent sacrément dans le paysage lisse et froid des grands studios hollywoodiens, les deux cousins, eux, sont déjà proches de la sortie. Le cash commence à manquer et Pinchot/Schroeder devra menacer de se couper un doigt avec une scie électrique pour forcer Friedman/Golan à tenir ses engagements. Et quand le tournage sera enfin lancé, ce sont les deux vedettes (Bledsoe et Francine Bowers, ancienne égérie du Nouvel Hollywood en quête de come-back) qui feront des siennes. L’un en se comportant comme une rock star décadente, l’autre en exigeant une scène lui permettant de montrer qu’elle a toujours de belles jambes - c’est pour cette raison qu’il y a cette scène dans Barfly où le spectateur découvre amusé que la poivrote interprétée par Faye Dunaway a, malgré son air négligé et son tailleur fatigué, de somptueuses jambes, parfaitement épilées, qui plus est.
Un Bukowski incrédule  regarde tout ce manège lors de sa traditionnelle visite hebdomadaire sur le plateau. Pas partisan du choix de Bledsoe/Rourke au départ - il lui préférait largement « Tom Pell » -, il l’observe comme une réminiscence personnifiée de lui-même trente ans plus tôt. Désormais convaincu du talent de l’acteur, il s’investie dans la réécriture occasionnelle de certaines scènes, conseille Pinchot et fraternise avec les acteurs. Tourné en partie dans les lieux où le jeune Buk avait vécu les événements ayant inspiré son scénario, le film est fidèle à l’esprit de l’écrivain, qui vit cette expérience comme une visite dans son propre passé. Plusieurs arrêts de tournage interviendront, toujours à cause des déboires des deux producteurs. Mais le film finira par trouver le chemin des écrans, après un passage infructueux - sans Bukowski - par Cannes. Pas un chef-d’œuvre, mais « mieux qu’un film moyen », comme dira Buk à un journaliste le soir de la première.
Et plus tard, donc, il écrira Hollywood, ce livre « Making of », ce roman drôle et féroce qui constitue sans doute l’un des témoignages les plus honnêtes sur la vacuité d’une ville où les rêves de spectateurs du monde entier sont fabriqués entre une caravane suréquipée et un amas de projecteurs surchauffant. Seulement parfois il arrive que les rêves virent au cauchemar et qu’ils aient un goût de gueule de bois pour les quelques courageux n’ayant pas quitté la salle, écoeurés par les dernières punchlines d’alcoolo imaginées par un vieux dégueulasse ayant passé sa jeunesse à voler de bar en bar. Une mise en abîme dans une chope de bière, en quelque sorte. Mais pour que la boucle soit véritablement bouclée, il faudrait qu’un de ces jours quelqu’un d’assez tordu soutire quelques millions à une compagnie spécialisée dans la série B vérolée et adapte ce roman. Et dans le rôle du vieil écrivain cramé amateur de canassons Rourke serait parfait. A moins que ce satané Sean Penn soit encore sur le coup. Eh, après tout, que le meilleur gagne !
Hollywood (Les cahiers rouges/Grasset)
[Cet article fut initialement publié sur la première version du site rockyrama.com en 2014]
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kravicfree · 4 years ago
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Week-end pluvieux, week-end curieux 😍 Rockyrama, le meilleur magazine de cinéma de l’univers (numéro de septembre spécial Coppola) 💪🤘 @rockyramacrue #bookface #bookfacechallenge #rockyrama #coppola #cinemalover #thegodfather #leparrain #apocalypsenow #outsiders #tucker #dracula #conversationsecrète (à Côtes d'Armor) https://www.instagram.com/p/CF7Vd1Ll8FK/?igshid=xonwt4w5pr7d
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mylearningself · 5 years ago
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Sunday morning reading break before the afternoon study session. Alessandro Mercuri's book about some Hollywood forgotten and unknown mythologies is amazing and RockyRama still talks to the strange movies fangirl in me.
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2016
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sebg1977 · 8 years ago
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Dragon Knight #shiryu #dragon #saintseiya #seintoseiya #leschevaliersduzodiaque #followthewinner #streetart #urbanart #geekart #popart #stencilism #stencilart #graffitiart #mtn94 #mtncolors #montanacolors #montanacans #laplacehiphop #konbini #rockyrama #japan #clubdorothee #mouloudachour @stuartmagofficiel @graffitiartmagazine @konbini @rockyramacrue @galeriesakura @galerie_itinerrance @laplacehiphop @galeriewallworks @galerieopenspace @montanashopmontpellier @streetartglobe @streetartfiles @streetart_official @artistikrezo @artinthegame_gallery
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je-suis-tombee-sur · 2 years ago
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Rockyrama and the rock’n Roll typographer
Take Rockyrama issue No. 26, published in March 2020. Open it.
  Just here, on the page 5, tell me what you see? I know, there are a lot of things to analyse but try to sum it up. I see old school Japanese advertisements stuck over a yellow pattern of Japanese calligraphy. It’s simple but original. Have you ever seen it inside a magazine published in 2020s ? Rockyrama is punk. I mean it looks like a fanzine from the 70s, without rules, very expressive and popular. A fanzine is a magazine designed by fans. They create a handmade layout which is dynamic and personal. Rockyrama is edited by cinema fans to be read by other fans but it is not a fanzine. It’s a real professional magazine published each trimester for 12 euros 50 and edited by Romain Fravalo. We may wonder why this magazine seems to be both a professional magazine and a fanzine ? 
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  One layer of paper, and another and another. Did you count the layers of paper on the page 8 ? There are 3. One green background, the Japanese pattern and finally, a picture of the director Bong Joon-ho. This collage reminds me of the scrapbooks I did when I was a child. The use of a pattern or a background which is never white is a way to say « I’m not conventional ». But it’s also under control. There are a lot of elements superimposed on page 8, whereas page 9 is more spacious with a one text column and big margins. This typographic choice harmonises the double page. The only problem is the legibility of the folio due to this collage. Over the pattern, numbers are difficult to read because the black of the type isn’t contrasted enough with the thickness of the Japanese calligraphy. 
  I’m talking about typefaces. Did you see the contrast between them ? The typeface used for standfirsts and subheadings is geometric, sans serif and the type size is quite big. The tone of this type is friendly and represents the style of a fanzine. This style is simple and naive due to the size. The other typeface, used for the main text, is contrasted with serif and the type size is very little. The tone is more quiet here. There’s a big contrast between the two typefaces, as two voices inside one article. It illustrates well the idea of a mix between a fanzine and a serious magazine. 
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  The final point I want to highlight is about spaces. Look at the variation of marges and leading. All the informations written near the margins (folios, the title of the magazine, the title of the article) are close to the margins. This detail is important because it’s clumsy. It gives the impression of an error as if they didn’t cut the paper correctly. However the leading is spaced too much. Lines float because they keep the same leading for the both typefaces. The leading of the smaller one seems very big due to this choice. I admire this kind of harmony in the page because some elements balance others. That looks uncontrolled but it is, there is a serious typographic choice. The only thing that shocks me is the line length. The space between each word is changing. The wide spaces in the same line are incompatible with the narrower ones. This detail slows the reading that’s why this typographic and aesthetic choice isn’t professional. A layout can be original but respect for the reader is essential. 
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  We can now close Rockyrama, issue No. 26, to conclude what we see. The identity of the magazine is based on the duality in the graphic choices. Comparing Rockyrama with a fanzine is a kind of trap because this awkward layout is the work of a typographer. Whether if you like it or not, rationally it’s readable. But this original layout is complex. The typographer has to be attentive to all the details that can slow or stop our reading. You are now see and judge this kind of layout for yourself  and I hope you will open again a Rockyrama. 
3000 types 22/12/04
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dunesf · 4 years ago
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Les projets autour de #Dune fleurissent en ce moment : place aujourd'hui au livre "Dune, Voyage Galactique" de Rockyrama ! "À la marge de nos publications et de notre magazine, Voyage Galactique est un objet exceptionnel qui sortira exclusivement en librairie fin novembre 2020 (publication hors abonnement). (...) Véritable objet graphique, Voyage Galactique se présente sous la forme d’un grand livre souple de 24 par 34 cm et de 64 pages. Un format singulier qui permettra d’apprécier à sa juste valeur le travail saisissant de l’illustratrice Alex Jay Brady, dont les oeuvres donnent vie à l’univers de Frank Herbert. (...) Entre les 64 pages de ce livre, nous vous invitons donc à découvrir le superbe travail d’Alex Jay Brady, mais aussi les différents articles et thématiques abordées par nos auteur(e)s : Nico Prat, Rafik Djoumi, Thibaud Gomès-Léal, Aubry Salmon, Pierre-William Fregonese, Romain Dubois et Julie Le Baron. Au sommaire, nous vous invitons à replonger dans l’héritage immense de l’oeuvre d’Herbert, à redécouvrir ses grandes thématiques, ses incursions cinématographiques, mais aussi à partir à la rencontre d’Alex Jay Brady et de l’illustrateur Chris Foss, l’un des “guerriers spirituels” d’Alejandro Jodorowsky. (...)" La campagne participative est lancée : il vous reste 32 jours pour vous y rallier ! Source du texte : https://ift.tt/2HXAZ8d #Dune
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leodanbrock · 7 months ago
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there were too many to post in a read more under the post, so here's all the credits for my hyperdrama criterion posters set - fonts list & photoshoot sources included
photoshoot sources: - neverender, dear alan, explorer, afterimage: julia & vincent from their instagram & featured in mixmag - moonlight rendezvous: photo by andré chémétoff (alt) - one night/all night, incognito: boby for liberation - mannequin love, the end: joel barhammond for billboard - generator: benoît peverelli for télérama - saturnine: jessica pons for nyt - muscle memory: justice rockyrama issue, scanned by @/lesreptiles! - harpy dream: australian financial review textures/overlays - paper texture master folder - i don't remember who compiled this unfortunately but i've been using it for ages! - saturnine bg - pikisuperstar on freepik - additional textures & layers from @/colour-source - everything else handmade by me! inspo - 'one night/all night' inspired by the band static dress & their advertisement for rouge carpet disaster - @/spikes-jonze's franz ferdinand criterion edits - @/hidekomoon's paramovies fonts list - criterion: gotham - neverender: heavitas, kiona - generator: semplicitia, ting tong - afterimage: modernline, balgon serif - one night/all night: gotham, AXIS - dear alan: the artisan, modernline - incognito: century schoolbook, feeling passionate - mannequin love: romance, losta masta - midnight rendezvous: cezanne, betty noir - explorer: kiona, powerlord - muscle memory: minecraft, arcade - harpy dream: aesthetic, ting tong - saturnine: losta masta, cezanne - the end: lemon milk, tondu
special thanks to eva and lydia for their support & feedback during the entire editing process :) and of course justice community for all your support <3 x
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moonkeypro · 6 years ago
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Je prépare la prochaine émission. @parlons_manga_fr @cointault @glenatmanga @ynnis_editions #tintarun #rockyrama #AKIRA https://www.instagram.com/p/Bt0tVrcBMSD/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1lq6cdgrstkkg
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banhxeo · 7 years ago
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First stop on the book hunt: @canal_bd_tribulles #chiisakobe #lezardnoir @lezardnoir #rockyrama @rockyramacrue #guillermodeltoro #pacificrim #strikereureka #jpnishi #anosamours @editions_kana_officiel #vinlandsaga #makotoyukimura #kurokawa #comicbookart
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