#Remus COrbeau
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ganfordknight · 4 months ago
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(Defining) quotes by my favorite characters (1/?)
Remus Corbeau (The Unexpectables)
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chehalemfrog · 1 year ago
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Remy faces off against Garad, a man he would rather call a friend than enemy. He also faces the very real possibility he'll have to kill him in order to save the lives of others.
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sailtheplains · 3 months ago
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[A huge orcish trukk, drawn by two massive bears, rattled to a stop. Borky remembered the leader of the Iron Claws as Lubso. When this orc lumbered out of the covered wagon, the wheels actually tilted, sinking into dirt when he shifted his incredible girth. He was absolutely enormous, maybe even as big as Slasha but he was a bit lacking in much brainpower, except to hit things. Plenty of dakka but no gears in the clocka, Borky recalled.]
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basuracake · 2 years ago
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Prince Division Remus Corbeau and Curse Artist Greckles
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silversongmonster · 4 years ago
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This show will never stop fucking KILLING ME
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kaiju-z · 4 years ago
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Fan art of The Unexpectables from episode 131. The scene where Remy tries to get in Darkus’ head really got to me. Was it improvised? Was it prepared in advance? I don’t know and I don’t care to find out. Just hearing Edward Bosco go off on Darkus without raising his tone? That was hecking awesome!
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caz66 · 2 years ago
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Corbeau noir
“It’s quite something,” Fleamont said, stepping out of the driver's side, “and that view is second to none.” He motioned for Sirius to turn around, a silent gasp escaped his mouth, billowing out an icy breath into the air as he looked over the rolling labyrinth of snow-covered mountains before them. Sirius took a deep inhale of the fresh mountain air. 
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pontsalin · 5 years ago
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Im sorry, but sanders sides fursonas?? What. Where. When.
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I did this awhile ago but I still like these
Also no I do not regret not making Deceit, Remus or Patton their obvious fursonas.
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flourish-and-firebolts · 3 years ago
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L'hésitation de Patmol, Deuxième Partie. Avec Sirius Black x Female OC (le club des Maraudeurs, Harry Potter) 🐾
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❀ Première Partie
❀ Cette mini fanfiction raconte l'idylle entre Sirius Black et mon OC, Lysandra Lufkin.
❀ A part Lysandra Lufkin, tous les personnages cités sont issus de l'univers Harry Potter, créé par le génie de J.K Rowling
❀ Les maraudeurs entament leur cinquième année à Poudlard et le béguin de Sirius pour la belle Lysandra Lufkin n'échappe pas aux yeux observateurs de James. Celui-ci pense qu'en rapprochant les deux tourtereaux, il obtiendrait l'attention de Lily.Une histoire d'amour singulière naît alors entre les deux jeunes sorciers. Sirius pensait tout savoir d'elle mais se rend très vite compte qu'il ne pouvait pas plus se tromper à son sujet.
❀ "J'ai toujours pensé que tu étais le soleil et que moi j'étais la tornade qui te balaierais. J'avais tort. Tu n'es pas lumineuse. Tu as une part d'ombre toi aussi, que tu dissimules derrière des sourires et ton altruisme. " - Sirius Black à Lysandra Lufkin
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Un peu plus tard dans la salle commune, une fois ses devoirs terminés, James s'enfonça dans le fauteuil près de la cheminée. Il avait transformé un bout de parchemin en corbeau et pour l'heure l'oiseau de papier voltigeait à travers la pièce. Il le regardait s'écraser dans le feu quand le portrait de la Grosse Dame pivota, laissant le passage à Lily qui s'engouffra dans le trou, suivie de Mary MacDonald et...Lysandra Lufkin. Celle-ci aperçut Sirius dans un coin de la salle, animant une partie d'échecs entre Peter et Remus et eut un étrange sourire. L'intéressé s'arrêta soudain de parler, réalisant que Lysandra venait de faire son entrée ; il la dévorait de ses yeux gris. Peter et Remus ne parurent pas s'en rendre compte mais James se demanda s'il avait l'air aussi niais quand Lily était dans les parages.
Les trois filles s'assirent dans un coin, près du feu. Remus avait quitté le jeu, accusant Peter d'avoir truqué les pièces. Une dispute à voix basse éclata entre les deux camarades et Sirius qui avait horreur des conflits au sein du groupe, prit le relais. Fatigué, Remus prit place devant James.
- Je ne sais même pas pourquoi je suis si surpris, ce n'est pas la première fois qu'il me fait le coup.
Il jeta un regard assassin à Peter qui se ratatina dans son fauteuil.
- Comme on dit, le champignon vénéneux ne devient jamais comestible, pas vrai Peter ! Rat perfide !
- Calme toi, chuchota James. Ne gâche pas sa victoire, surtout que c'est assez rare pour lui.
Remus était sur le point de rétorquer mais se contenta d'un soupir devant le visage serein de James.
- Pour une fois que tu prodigues de bons conseils…
- Laisse tes pensées raisonnables de préfet de côté et regarde un peu ça.
Du menton, il montra Lysandra puis Sirius, qui avait glissé une œillade vers elle en catimini. Remus fronça les sourcils puis son visage s'éclaira.
- Et si on mettait un peu de piment dans tout ça ?
Remus pouffa et comme un seul homme, ils se levèrent et se dirigèrent vers le trio de filles. Quand elles les aperçurent, elles cessèrent aussitôt de parler. James prit grand soin de ne pas croiser le regard de Lily.
- Salut les filles, s'exclama Remus. Avec James, on parlait du cours de Botanique et on se demandait si on était les seuls à être complètement perdus en cours ? Le niveau semble être élevé cette année.
- Sérieusement ?
Lily dégagea son épaule de ses cheveux et leva le menton avec un air de défi.
- Écoute Potter, si c'est encore une ruse pour…
James leva brusquement la main pour l'interrompre et s'installa sur l'accoudoir du siège de Lysandra.
- Cette année est sans nul doute la plus difficile de toutes, continua-t-il. Dans notre acharnement à faire régner le désordre dans l'école, nous avons peut-être eu tendance à oublier nos priorités.
- Avec les BUSE qui approchent, je crains bien que nous ne soyons un peu à la traîne.
Lily ricana :
- Et bien entendu vous avez besoin de notre aide pour vous aider ?
James se pencha vers elle. Surprise, Lily écarquilla les yeux. Son regard s'attarda sur ses lèvres. Elle recula jusqu'au fond de son siège, écarlate. James ébouriffa ses cheveux, un air moqueur sur le visage et se tourna vers Lysandra.
- En fait, on pensait à Lysandra, minauda-t-il. Ne le prends pas mal Evans.
- Moi ? fit la jeune fille aux cheveux blancs.
Les paupières de Lysandra papillonnèrent entre James et Lily dont elle guettait la réaction. James s'en voulut de l'utiliser de cette façon mais il n'avait pas le choix, il devait l'amener à créer des liens avec Sirius. C'était son ticket d'entrée dans l'intimité de Lily. Si Lysandra et Sirius se fréquentaient, leurs groupes d'amis respectifs finiraient par se mélanger tôt ou tard. James y voyait là l'opportunité de se rapprocher de Lily. Il pensait que si elle passait plus de temps avec lui, elle verrait qu'il n'était pas bourré que de défauts. Elle verrait à quel point il était drôle et loyal.
Lysandra et Lily se concertaient du regard. James comprit le lien qui unissait les deux filles, un lien semblable à celui qu'il entretenait lui-même avec Sirius. Nulle doute que ce ne serait pas une mince affaire d'acoquiner son ami avec Lysandra, surtout si Lily exerçait tant d'influence sur elle. Elle détestait la bande d'amis au plus au point et, James en était sûr, elle en serait malade de laisser sa meilleure amie sortir avec l'un d'entre eux. Il aurait plus de chance en la casant avec Remus que Lily appréciait un peu plus que les autres mais c'était à Sirius qu'elle plaisait.
James considéra Lysandra comme s'il la voyait pour la première fois et se demanda ce qui attirait tant Sirius chez elle. Depuis qu'il avait rencontré Lily Evans, tous les autre visages lui paraissaient fades et sans intérêt mais il fut forcé d'admettre que la beauté de Lysandra pouvait très bien rivaliser avec celle de Lily. Son visage en forme de cœur étaient complétés par des cheveux argentés, presque blancs qui lui donnaient une apparence éthérée. Ses yeux bruns mouchetés d'or portaient sur leurs paupières de longs cils noirs, lui faisant ressembler à une biche apeurée. Son nez mutin frétillait dans l'attente d'un signe de la part de Lily. Elle mordit farouchement dans sa lèvre inférieure qu'elle avait charnue. Un grain de beauté parfaisait le tout juste en dessous de son œil gauche. James voyait enfin ce qui poussait Sirius vers elle et l'espace d'un instant, il soupçonna Lysandra d'être la descendante d'une vélane au vu de la façon dont elle accrochait son regard.
Il fut soudain ramené à la réalité par la voix sonore de Remus.
- Oui toi, disait-il en regardant Sirius de biais, qui s'était raidi en entendant le nom de Lysandra. Tu es l'une des meilleures élèves de cinquième année. Et je crois même que tu as obtenu les meilleurs scores en Sortilèges et Métamorphoses aux derniers examens.
James rit sous cape. Remus semblait prendre un malin plaisir à torturer l'esprit de Sirius et il admira secrètement son vice naturel.
- Justement, les matières avec lesquelles nous avons du mal, commenta James avec un clin d'oeil.
Lysandra, coinça une mèche de cheveux derrière son oreille, visiblement gênée. A côte d'elle, Mary MacDonald demeurait silencieuse se plongeant dans la contemplation du feu.
-Tu n'es pas si mauvais élève Remus, je suis sûre que tu pourrais te débrouiller seul et aider James.
Elle se tourna vers ses amies, espérant couper court à la discussion.
- Oh non, nous avons vraiment besoin de toi, tu es la seule qui puisse nous aider. Avec toi comme professeur, nous aurions toutes les chances de notre côté.
Lysandra hésita, les regardant à tour de rôle. Elle jeta un énième coup d'œil à Lily qui hocha imperceptiblement la tête.
- Dans ce cas, si vous n'êtes que tous les deux...
- Nous pensions en faire profiter à Sirius et Peter aussi.
Les deux intéressés firent volteface.
- Quoi ?
Peter paniqua. Sirius, lui, resta interdit, suspendu aux lèvres pulpeuses de Lysandra. Celle-ci surprit enfin le regard de Sirius sur elle. L'échange fut long, comme si chacun essayait de déterminer ce que l'un attendait de l'autre.
- C'est d'accord.
James et Remus sautèrent de joie, le premier allant même jusque l'embrasser. Lily s'emporta, accusant James de vouloir profiter de la situation.
- Trop cool ! On se retrouve vendredi à 17h30, dans la cour du clocher. Je crois savoir que tu seras libre à ce moment-là.
Lysandra acquiesça et les deux amis se précipitèrent dans les escaliers en colimaçon qui menaient aux dortoirs, hilares. Ils furent bientôt rejoints par Sirius et Peter. Le premier fulminait. Il claqua la porte derrière lui, sans doute peu désireux de se faire entendre par toute la salle commune.
- A quoi vous jouez tous les deux ? Des cours particuliers de Métamorphose et de Sortilèges ? Et vous osez nous inclure Peter et moi là-dedans ? On n'en a même pas besoin !
- Moi si, releva Peter.
Et il sembla très vite le regretter en voyant l'expression féroce sur le visage de Sirius. Celui de Peter se décomposa et il ravala un hoquet d'effroi. Il se mit à triturer nerveusement les pans de sa robe. Remus prit la situation en main.
- Ça ne nous fera pas de mal de réviser un peu. Nous avons pris beaucoup de retard l'année dernière à cause de tu-sais-quoi.
- Oui et ça ne nous a pas empêché de réussir nos examens avec brio.
- Nous parlons de nos BUSE Sirius, soit l'examen le plus important de notre scolarité.
- Tu veux dire l'un d'eux !
- Ce qui est fait est fait. Tu as entendu Peter ! Au moins, nous serons là pour le soutenir.
Sirius contracta sa mâchoire.
- Pourquoi il a fallu que ce soit Lysandra ? Evans aurait très bien pu faire l'affaire. De plus, poursuivit-il, ça aurait été l'excuse parfaite pour te rapprocher d'elle, James.
- Non, Lysandra est celle qui nous faut. Elle est douée.
James croisa les bras sur sa poitrine. Un éclat de satisfaction passa dans son regard. Sirius voulut répliquer mais le regard sévère que lui adressa Remus lui fit perdre sa constance.
- Je...vous...elle
Il ne termina pas sa phrase et se rua vers la porte en grognant. Ils entendirent ses pas furieux résonner dans les escaliers avant qu'elle ne se referme. Assis sur son lit, Peter leva la main.
- Quoi ?
- Pourquoi vous avez demandé à cette fille de vous donner des cours ?
- Sirius a le béguin pour elle, expliqua Remus. On s'est dit qu'on pouvait lui donner un coup de main.
-Mais comment faire pour les rapprocher si on est tous les trois dans leurs pattes ?
- Bien observé p'tit génie, lança James, ce qui fit rougir Peter. Sirius sera le seul à se présenter au cours de mercredi, seulement il ne le sait pas encore.
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Sirius se sentait encore trahi quand il remonta au dortoir. James et Remus dormaient déjà mais Peter, lui, était encore éveillé et semblait l'avoir attendu. Sirius ne lui adressa pas la parole. Il se déshabilla et sauta sur son lit. Peter ouvrit la bouche comme pour amorcer une conversation. Sirius tira les rideaux de son lit avec une telle force qu'il faillit les arracher de leur tringle. Il venait de couper court à une discussion qui n'avait pas même pas encore commencé. Il pouvait presque entendre la détresse dans les pas lourds de Peter.
Une fois dans le noir, complet – il entendit Peter éteindre les lumières – il repensa aux évènements de la journée. Il revit le regard agréablement surpris de Lysandra quand le professeur Garlic avait annoncé qu'ils travailleraient ensemble. Il revit leurs mains se frôler au-dessus du chou mordeur. Il se souvint de la chaleur de sa peau contre la sienne, de ses cheveux ondulés et argentés inondés de lumière. Ses yeux d'ambre posés sur lui. Son parfum...
Sirius se retourna dans son lit et étouffa un grognement dans son oreiller. Il essaya de diriger ses pensées vers autre chose. Mais il avait beau s'efforcer de s'arracher à ses rêveries, l'image de Lysandra revenait en force dans son esprit. Le rire de Lysandra. Le sourire de Lysandra. Les yeux de Lysandra. Il resta ainsi allongé dans le noir, la face pressée contre la taie de son oreiller.
Sirius ne s'était jamais demandé depuis quand il ressentait ce qu'il ressentait pour Lysandra. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il ne pouvait pas se le permettre. Elle était lumineuse et pure. Ils venaient de deux mondes complètements éloignés, élevés dans des familles aux valeurs différentes. Et même s'il ne ressemblait pas aux membres de sa famille, songea Sirius, il n'était pas non plus le petit ami rêvé. Comme sa mère, il avait également sa part de noirceur. C'était un être brisé. Il ne savait pas ce qu'était l'amour. Il commençait tout juste à s'habituer à l'amitié. Dans sa vie, sa seule source de lumière c'étaient ses amis.
Ce poids qu'il portait sur ses épaules, Lysandra pourrait-t-elle le comprendre ? L'en décharger ? Et même si c'était le cas, est-ce que lui, Sirius, serait prêt à lui laisser ce fardeau ? Elle était fragile, Sirius s'en était aperçu. Il lui assurerait protection et fidélité mais pour le reste ?
Il se mordit la lèvre inférieure. Et s'il leur laissait une chance ? Et s'il cessait d'empêcher son cœur de battre pour quelqu'un ?
De rage, Sirius balança son oreiller contre le plafond de son baldaquin. Il retomba mollement contre son flanc.
- Sirius ? appela Peter dans le noir.
Il se redressa. Peter se tenait à côté de lui et tira légèrement le rideau pour laisser apparaître son visage pale.
- T'es toujours furieux ?
Sirius força un sourire.
- Pas contre toi Peter.
Il se rallongea et cala ses mains sous sa tête.
- Je suis désolé d'avoir été si désagréable avec toi. Je te soutiendrai, si tu en as besoin.
- Quoi ?
- Je viendrais avec toi en cours avec...Lysandra.
Le visage de Peter s'illumina.
- T'es le meilleur.
Sur ce, il referma le rideau et se hissa sur son propre lit. Sirius écouta la respiration de Peter devenir de plus en plus forte pendant qu'il sombrait dans un sommeil profond et bientôt, sans s'en rendre compte il l'imita.
Ce soir-là il rêva. Il rêva de lui et Lysandra. Ils se trouvaient tous les deux dans la serre de botanique. Ils étaient seuls au milieu des plantes. Sirius ne voyait rien d'autre. Elle était la seule à bénéficier de son attention. Elle était tellement belle qu'il en avait le souffle coupé. Elle se pencha vers lui, en fermant les yeux. Sirius éternua et elle disparut, laissant sa place à un chou mordeur à perruque particulièrement entreprenant. Alors qu'il essayait de s'en débarrasser, James, Remus et Lupin firent leur apparition dans la serre. Tous trois griffonnaient à vive allure sur un bloc notes et Sirius comprit qu'ils notaient ses aptitudes à se libérer du chou mordeur. A l'issu de sa bataille, le chou mordeur lui arracha un bras et lui annonça qu'il était trop mauvais pour passer ses BUSE et qu'il devait quitter Poudlard au plus vite.
Sirius se réveilla en sursaut et ne dormit pas de la nuit. Ressassant son rêve dans sa tête, il se promit de devenir plus sérieux en cours.
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editions-nous · 5 years ago
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Tridents, de Jacques Roubaud, par Jacques Demarcq
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L’écriture au trident
Il est rare qu’un poète invente une forme fixe, aux règles suffisamment claires pour être transgressées. L’Oulipo n’a pas cherché à créer des formes poétiques ou romanesques ; il a expérimenté des techniques de (ré)écriture, ce qui est d’un autre ordre. Les œuvres limites que sont Cent mille milliards de poèmes de Queneau ou La Disparition de Pérec sont d’ailleurs restées sans suite notable. Pour qu’une forme s’impose en tant que telle, il faut que le laboratoire débouche sur une production. Le sonnet est un bon exemple : initié vers 1235 par des rimeurs de la cour de Frédéric II en Sicile, il ne s’est répandu qu’après avoir été repris par Dante dans Vita Nova, puis Pétrarque dans le Canzoniere, tous deux magnifiant la forme en lui attachant un sujet idéalisé : Béatrice, puis Laure. On connaît la suite : la Pléiade, Shakespeare, etc. Jacques Roubaud a de la chance : curieux de tout, il a beaucoup lu et traduit. Il a des savoirs, de l’imagination, des doutes, de la profondeur, de l’humour, de la persévérance dans ses projets et de l’expérience comme expérimentateur. En 2000, « sortie de millénaire », à 69 ans, il imagine « le premier trident », qui s’autodéfinit : « vers un : cinq syllabes / vers deux : trois / vers trois : cinq syllabes » (p. 7, n°1 ; les références suivantes à l’identique). Tout de suite, s’impose un thème : le temps qui érode le corps et l’esprit. Poème 2, « eau » est le titre en gras, et les vers : « sable sable sa / ble sous / sable sape sable ». Le vers 2 est bientôt défini « le pivot / sur lequel tournera le trident » (22, 66), qui peut se lire à l’envers : « sable sape sable / ble sous / sable sable sa » en un bégaiement inachevé qui est celui de la mémoire. Les mots se cherchent parfois jusque dans la contemplation qu’ils rendent dynamique : « peurpillent, parpillent / s’éparpillent / s’ébarbillent nuages » (74, 265). Les e muets, certes : « mais je compte comme / si j’étais / sous Hugo encore (112, 420). Autre définition, celle du sujet qu’inspire la forme : « l’instant parenthèse / qui s’entr’ouvre / déployant le mètre (11, 18). Illustration : « ce poème // aurai-je eu le temps / de le dire / avant de le taire ? » (64, 226). Le trident est dérivé de la tradition poétique japonaise qui a déjà beaucoup inspiré Roubaud ; du tanka plus précisément, composé d’un hokku de 5 + 7 + 5 syllabes, parfois détaché en haïku, et d’un distique de 7 + 7 : « par condensation / un trident / confine un tanka » (85, 312) ; « renverse un tanka / et de trente / et un livre treize » (179, 686). C’est l’occasion de méditer à nouveau sur des classiques : Bashô, qui a joué de son nom signifiant « bananier » et continue d’étonner : « feuilles trempées d’encre / fruit étrange / pour un bananier » (256, 989) ; ou un célèbre haïku de Ryokan, qui dit à peu près « le rossignol, son chant m’a sorti d’un rêve, le riz du matin », et griffe plus vif traduit en trident : « ougouissou no / grains, issues / hérissant harasse » (111, 415) ; ou Sanekata Shû : « je ne connais pas / ton chant, ô / toi, coucou, passons » (168, 643). Roubaud aussi est attentif aux zozios, observant leur disparition : « la fenêtre ouverte / dix fois moins / d’oiseaux qu’autrefois » (236, 908), ou se souvenant de Queneau : « zairs, zeaux, zondes, zherbes / et zétés, / zautomnes, zOiseaux » (513, 2035) – ce bref zézaiement, la probable amorce d’une kyrielle en z parue récemment dans la revue Po&sie. La forme restreinte, que Mallarmé nommait action, n’est pas un carcan. Paradoxalement, « la difficulté / du bref : c’est / si dur de l’emplir » (320, 1246). La restriction coupe court aux complaisances du discours : « qui sait trop bien dire / ne sait plus / comment ne plus dire » (169, 647) ; « poésie // s’opposer au monde / bavard d’un / arrêt de volée » (48, 163). Le Japon est également présent par des notes de voyages, où la trivialité peut croiser la tradition : « vieil ainu gelé / ice cream cone ! / rêve fuji-forme » (237, 912 ; les Ainu, un peuple du nord du Japon). S’y rencontre aussi l’inscape de Hopkins, cette singularité de chaque chose-être que saisit l’instress poétique : « la Fumée-Fuji / à la fois / inscape et instress » (248, 957). Nombre de poèmes se réfèrent à la littérature anglaise, comme ce vers final de Milton dans sa pastoraleLycidas : « to morrow to fresh / woods and past / ures new. voilà. dit. » (57, 198), où la coupe du vers pointe le passé, « past », dans le lendemain verdoyant annoncé. Une série « Shaking Zuk » taquine Zukofsky, dont Roubaud traduit en 2003 un poème fait de notes numérotées (inTraduire, journal, Nous, 2018) et lit la traduction de 80 Flowers par Abigail Lang (80 Fleurs, Nous, 2018). Zuk est confronté à Lewis Carroll : « ‘no smiling mouth with / out a face’ / except in Cheshire » (353, 1377), ou à Edgar Poe : « corbeau ‘exquisite’ / beau-noirceur / braillant‘nevermore’ » (355, 1384). Reviennent en mémoire des poèmes brefs de William Carlos Williams : ses bruants fouillant les feuilles sèches (46, 156) ou sa brouette rouge (138, 522). Le trident apprécie moins certains poèmes trop longs : « Olson, pompous ass / projecting / Maximal ennui » (416, 1631). Aux lectures, se mêlent là aussi des souvenirs de séjours en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Un troisième domaine non-étranger à Roubaud est la langue du « trobar// chante, rossinhol / chante, toi / qu’on ne ‘trouve’ plus » (60, 212). Les souvenirs retrouvés du sud de la France, où il a passé son enfance, sont parmi les plus nombreux avec les choses vues à Paris. Une fois vérifiée, la forme fixe peut bouger. Le nombre des syllabes n’est pas plus rigide que pour le haïku, le tanka, voire le sonnet pétrarquien. Le titre donne en général le contexte ou la référence du poème, mais il peut s’ajouter au poème qu’il commence : « ce dont on se souvient // dépendra des modes / de narra / tion dont on dispose » (581, 2298). Il peut être plus long que le texte, comme les 22 (ou 24) syllabes de « “Et dieu créa la femme” Athènes, juillet 1959, cinéma en plein air » préparant « oh ! – frémissement / de la toile / et des spectateurs » (593, 2341). Il existe des tridents doubles, triples, en miroir, avec coda, et même un centuple, « L’Approximatum » (pp. 643-660). Forme dérivée, le pentacle rejoint le tanka, ajoutant deux vers de 6 et 5 syllabes, ou 4 et 5, au tercet. Exemple, extrait d’une série « en train» : « de st raphaël / à paris / seul arrêt Les Arcs- / Draguignan. Le bar dans / la voiture 4 » (38, 121). Au compte des syllabes peut se substituer celui des lettres, générant des mantras rivalisant de vitesse avec Ungaretti : « CIEL D / OUB / LÉ D’OR » (114, 426) ; ou jouant d’une anagramme : « AMÈRE / MER / RAMÉE » (528, 2093). Assoupli ou pas, le trident peut frôler, égratigner, embrocher tous les sujets : citer Tino Rossi (242, 934) au même titre que Mallarmé (963, 232), vibrer d’une enseigne de bar (666, 20-22) ou d’une « lllibellullle » (540, 2136), se moquer d’Apollinaire, « entre sublime an / cien et mir / liton patriote » (429, 1721) comme du slam où « le besoin de rime / a produit / sa caricature » (841, 663). Le trident n’est qu’un instantané sans autre prétention que de retenir l’instant, face au tempus fugit : « je me veux restanque / retenant / les terrains passés » (124, 466 ; restanque : le muret d’une terrasse cultivée dans le Midi), car « composer un poème / n’est rien d’autre / que du jardinage » (259, 1002 ; trident : une bêche à trois pointes). En 2014, atteint d’ostéoporose, Roubaud se venge par le rire de ses souffrances : « dos en porcelaine // pas besoin d’un é / léphant, juste / un pied qui trébuche » (679, 31) ; « je m’éveille // moins de 5 secondes / après je / sais que j’ai eu tort » (683, 49). Approchant de la fin d’un troisième mille et, craint-il, d’« une vie », il avoue, « j’aurais voulu que / les tridents / m’autobiographisent » (900, 992). Autobiographie peut-être pas, mais assurément l’autoportrait du poète en action, délibérément restreinte par sa forme, d’écrire. Il en ressort une esthétique nourrie d’incertitude, de questionnements qui invitent à poursuivre : « composer un po / ème c’est / s’avouer perplexe » (484, 1926). Les tridents sont des cailloux de pensée semés par qui sait qu’il n’y a pas de retour : « être vivant je / suis, ici, / encore, mais / [coda] en ‘fin de droits’ » (560, 2213). Qu’espérer alors sinon qu’un ou plusieurs autres trouvent ces tridents sur leur chemin ? Inventer une forme, c’est l’offrir, dès le début : « don du poème // vous voulez écrire / un poème / en voilà un » (48, 161). Parvenu au 1 800e trident : « beaucoup, dirait-on / mais Issa : / 20 000 haïkus » (458, 1800). À la fin, le doute subsiste : « je ne sais pas si / cette forme / après moi vivra » (802, 511). Il est trop tôt pour répondre à cela. Mais le livre, 1 000 pages, quelque 4 000 poèmes, résiste à une vingtaine d’heures de lectures. Ce ne sont pas de beaux fragments de pensée gravés dans le marbre. Ce sont des poèmes, en équilibre instable sur le papier, des choses-mots qui éveillent la curiosité par leur vitesse, leur vacillement, leur mobilité. Si le lecteur, leur partenaire, remue avec eux, il ouvrira des milliers de boîtes à surprises d’où jailliront une plage de sable, un nuage, des tankas, un bananier, un rossignol, un coucou, une fenêtre, des cônes glacés, des pâtures, un chat du Cheshire, des bruants, une brouette, un cul pompeux, B. B, le TGV, le ciel et la mer, des bars tokyoïtes, une libellule, des restanques, un éléphant et j’en passe, il reste quantité de tridents à saisir et lancer. Jacques Demarcq
Source : Poezibao
https://poezibao.typepad.com/poezibao/2019/12/note-de-lecture-tridents-de-jacques-roubaud-par-jacques-demarcq.html
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ganfordknight · 2 years ago
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Remus “Remy” Corbeau (The Unexpectables)
the character belongs to and is played by Edward Bosco (EdBoscoVA on Twitter)
[note in case fanart gets picked up from twitter: I originally posted this art on twitter a while ago.  It has already been part of the fanart gallery/showcase. Please feel free to ignore.]
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chehalemfrog · 1 year ago
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Remy makes the final assault on Vincenzo's villa and discovers that there is something sinister about its defense.
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sailtheplains · 9 months ago
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[Borky being a Warboss always threw a wrench in things, the rogue pondered. Orcs, like kobolds, followed strength. And honestly, among his own kin, Borky lacked the raw power that some of them had. But he made up for it in cunning. Though, Greckles had never really seen him in full Warboss mode. It was quieter than he’d expected, sort of reminded him of Gruul Hellhorn, now that he thought about it.]
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distributhor-of-happiness · 8 years ago
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Titre : La dernière des Stanfield Auteur : Marc Levy Editeur : Versilio / Robert Laffon / France Loisirs Parution : 2017 Nombre de pages : 464 pages Genre : Contemporain / Historique
CHRONIQUE #277
Avril 2017
Eleanor-Rigby est journaliste au magazine National Geographic, elle vit à Londres. Un matin, en rentrant de voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui apprenant que sa mère a eu un passé criminel. George-Harrison est ébéniste, il vit dans les Cantons-de-l’Est au Québec. Un matin, il reçoit une lettre anonyme accusant sa mère des mêmes faits. Eleanor-Rigby et George-Harrison ne se connaissent pas. L’auteur des lettres leur donne à chacun rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore. Quel est le lien qui les unit ? Quel crime leurs mères ont-elles commis ? Qui est le corbeau et quelles sont ses intentions ? Au c ur d’un mystère qui hante trois générations, La Dernière des Stanfield nous entraîne de la France occupée à l’été 44, à Baltimore dans la liberté des années 80, jusqu’à Londres et Montréal de nos jours.
Cette année, pour Musso et Levy, l’art est au centre de leur intrigue. Je ne vous dévoile pas les détails pour ce récit-ci mais si l’envie vous prend d’aller jeter un œil au nouveau Musso, voici ma chronique :) Pour moi, ces deux auteurs sont indissociables. Je suis fan des deux, sans distinction ! Ils publient au même rythme et aux mêmes moments de l’année, une période que j’adore vous vous en doutez certainement.
La dernière des Stanfield est, comme je l’ai beaucoup lu dans les médias, « une grande saga familiale ». Il se distingue des précédents Levy par la période qu’il couvre c’est-à-dire 3 générations. Oui : 3 ! Levy nous ramène loin en arrière lorsqu’il nous raconte l’histoire de son héroïne, Eleanor-Rigby, et de ses ancêtres. Une histoire qui a de la gueule et qui se penche sur un secret de famille bien enfoui. Un mystère que beaucoup de personnes ont masqué ou négligé et qui revient à la lumière du jour suite à l’envoi de lettres anonymes à deux protagonistes qui vont se retrouver… mais pas par le plus grand des hasards. Un organisateur secret se cache derrière tout cela et nos héros ont bien envie de découvrir la source de tout ce remue-ménage dans leur vie !
Le livre se lit, comme les précédents Levy, presque d’une traite (si j’avais le temps, je le ferais) et les pages se tournent à toute vitesse. La galerie de personnages présentée est impressionnante tout comme les différents lieux et époques que les personnages traversent. Il nous parle à la fois de la seconde guerre mondiale et de ses atrocités, des années 80 et de ses groupes de rock iconiques (Les Beatles notamment) et puis de maintenant… 2017, année où Eleanor lève le voile sur son passé.
Ce n’est pas mon Levy préféré (pour les curieux, c’est le « pack » Le premier jour, La première nuit qui m’a laissé une marque indélébile et que j’aimerais terriblement relire) mais c’est un excellent roman. Comme d’habitude, il se lit beaucoup trop vite. Malgré les 400 pages et quelques, on aimerait qu’il y en ait quelques-unes en plus, histoire de profiter encore un peu de cette famille et de cette atmosphère particulière.
Il est très différent de celui paru l’année dernière (L’horizon à l’envers) donc pour ceux qui sont encore réticents, n’hésitez plus à aller faire la connaissance de la dernière des Stanfield !
Du même auteur :   
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Lecture approuvée par #atouchofbluemarine
et KILI KOBALT, le koala qui lit !
La dernière des Stanfield • Marc Levy Titre : La dernière des Stanfield Auteur : Marc Levy Editeur : Versilio / Robert Laffon / France Loisirs…
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honhonhonomelette-blog · 8 years ago
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RECHERCHE INFORMATION 3
Après une réflexion personnelle face au sujet que je souhaite exploiter, je me suis questionnée sur l'influence des couleurs sur la perception que l'on peut avoir d'une oeuvre d'art. C'est pourquoi j'ai choisi de faire une petite recherche sur la signification de celles-ci, afin d'évaluer l'importance qu'elle peuvent avoir sur l'oeuvre que je souhaite produire. Étant donné que je souhaiterais ultimement combiner de la peinture au dessin, en considérant plus que les points esthétiques de la couleur; autrement dit, sa symbolique.
La signification des couleurs
Signification du noir
Tout comme le blanc, le noir n'est pas au sens strict du terme une couleur, cependant on l’y associe d'un point de vue psychologique, le noir véhiculant tout comme une couleur une symbolique. Scientifiquement, le noir renvoie aux trous noirs et au néant. En optique, le noir absorbe toutes les longueurs d'onde et se caractérise donc par son absence apparente de couleur, à l'inverse du blanc qui s'obtient en renvoyant toutes les longueurs d'onde qu'il absorbe à parts égales. En Occident, le noir est associé au deuil, à la tristesse et au désespoir, à la peur et à la mort. Représenté par les tenues des prêtres et des religieuses, il fait également échos à l'autorité, à l'austérité et à la rigueur. Derrière ce côté sombre, le noir offre également un autre visage, associé à l'élégance et à la simplicité. Peut-être justement, car le noir se veut dans un second temps une couleur neutre, qui n'exprime pas à proprement parler de sentiments passionnés. Il est vrai que le noir est la couleur sombre par excellence. Il se marie avec quasiment toutes les couleurs, et ne choquera que très peu, même lorsqu'il est employé à outrance. Comme avec le blanc, il faut cependant éviter de l'employer trop souvent seul. Le noir peut vite faire écho au vide et à la tristesse. Il est recommandé de toujours l'accompagner d'une couleur chaude ou d'une couleur pâle pour rehausser son style.
Signification positive : élégance, simplicité, sobriété, rigueur, mystère Signification négative : mort, deuil, tristesse, vide, obscurité Représentation : ténèbres (nuit), certains animaux (merle, corbeau, chats)
Signification du blanc
Bien que le blanc n'est pas à proprement parler une couleur, le grand public la classe dans cette catégorie. Peut-être justement, car le blanc est d'un point de vue optique la synthèse chromatique de toutes les longueurs d'onde visibles (couleurs). Ce qui explique sans doute le sens qu'on lui accorde en Occident : celui de l'unité, de l'équilibre parfait. Depuis des générations, le blanc est lié au mariage, à la pureté, à la virginité et quelque part à la perfection et au divin (vêtement papal). On trouve très peu de blancs “ naturels ” dans la nature. Le blanc se prête à merveille à tous les contextes : il se marie à la perfection avec toutes les couleurs, et il est difficile de s'en lasser. Il faut cependant éviter de trop en user, en graphisme, il peut se révéler “ vide ” et fade lorsqu'il est trop présent. On le préfère donc accompagné d'autres couleurs ; d'ailleurs, il n'y a aucune restriction le concernant il est assorti à toute la palette chromatique !
Signification positive : pureté, innocence, virginité, mariage Signification négative : aucune Représentation : neige, lumière, lait, robe de marié
Signification du rouge
Le rouge est sûrement la couleur la plus fascinante et ambiguë qui soit. Elle joue sur les paradoxes, anime des sentiments passionnels en complète contradiction : amour / colère, sensualité / sexualité, courage / danger, ardeur / interdiction… Cette couleur remue les sentiments sans aucun doute. Elle s'impose comme une couleur chaleureuse, énergique, pénétrante et d'une certaine manière rassurante et enveloppante. D'un autre côté, on l'associe au sang, à l'enfer et à la luxure. Cette couleur chaude ne laisse donc pas indifférent et c'est là toute sa force : elle remue les passions, qu'elles soient positives ou négatives. Le rouge est particulièrement bien assorti aux marrons. Il se marie également très bien avec le blanc et le noir.
Signification positive : amour, passion, chaleur, sexualité, ardeur, triomphe Signification négative : colère, interdiction, danger Représentation : sang, feu, lave, végétaux (tomate, coquelicot, fraise)
Signification du bleu
Comme le ciel bleu ou la mer qui ouvre les horizons, le bleu et ses nuances (turquoise, cyan…) est une couleur étroitement liée au rêve, à la sagesse et à la sérénité. C'est l'une des couleurs préférées des Occidentaux : en effet, elle est omniprésente autour de nous. Le bleu est l'écho de la vie, du voyage et des découvertes au sens propre et figuré (introspection personnelle). Comme l'eau qui désaltère, le bleu a un petit côté rafraîchissant et pur qui permet de retrouver un certain calme intérieur lié aux choses profondes. Le bleu est symbole de vérité, comme l'eau limpide qui ne peut rien cacher. Cette couleur plaît généralement à toutes les générations, il faut tout de même ne pas en abuser. Elle peut vite devenir étouffante si elle est trop présente. Il est conseillé de trancher du bleu foncé avec des teintes plus claires comme le blanc ou le beige. Le turquoise et les bleus clairs se marient à la perfection avec les nuances de marrons.
Signification positive : rêve, sagesse, sérénité, vérité, loyauté, fraîcheur Signification négative : mélancolie Représentation : océan, ciel, fleurs (bleuet)
Signification du jaune
Nulle couleur n'est plus joyeuse que le jaune. Couleur du soleil, de la fête et de la joie, elle permet d'égayer un univers et de le faire rayonner. Il est vrai que le jaune est une couleur chaleureuse et stimulante. Tout comme le soleil qui diffuse ses rassurants rayons porteurs de vie sur terre, le jaune est la couleur de la vie et du mouvement. Pourtant, derrière cet aspect joyeux, le jaune peut parfois se révéler négatif. Associé aux traîtres, à l'adultère et au mensonge, le jaune est une couleur qui mêle les contrastes. Le jaune pâle contrairement au jaune vif s'écarte de ce chemin régénérateur pour plutôt pointer la maladie, la morosité et la tristesse. Le jaune est également associé à la puissance, au pouvoir et à l'ego (c'était la couleur de l'Empereur de Chine). On retiendra avant tout que le jaune est la couleur de l'ouverture et du contact social : on l'associe à l'amitié et la fraternité ainsi qu'au savoir. Le jaune est le parfait compagnon des marrons, du blanc, du noir et du crème.
Signification positive : fête, joie, chaleur, ego, puissance, connaissance, amitié Signification négative : traîtrise, mensonge, tromperie Représentation : boîtes aux lettres, sable, soleil, œuf, fleurs (marguerite)
Source :CODE COULEUR.“Signification des couleurs”, Code Couleur, http://www.code-couleur.com/signification/, (consulté le 14 février 2017).
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caz66 · 2 years ago
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Corbeau noir
“What are you talking about?” Sirius looked away from Harry to see James carrying in the bubbling lasagna.
“Nothing,” Sirius replied, trying not to snap, wanting the conversation to end. 
“Just Uncle Sirius’ being completely oblivious to the fact Irvine was flirting with him.” 
“Who’s Irvine?” Questioned James, raising an eyebrow at him, Sirius groaned inwardly, looking up at the cast iron chandelier.
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