#Pour Moi Fleur
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nunuche-empress-chore · 2 months ago
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Fleur
She/Her | Aware but refuse to disclose sexuality | 20+++
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nunuche_empress_chore - Works | Archive of Our Own
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lilias42 · 26 days ago
Note
Des bonbons ou un sort ? (comme j'ai pas d'idée tu a carte blanche pour le sujet ✌️)
Coucou ! Bonbons pour tout le monde alors ! 🍫🍬🍭🍪
Alors, vu que c'est carte blanche (et que tu as l'air d'aimer Annette), un petit dessin d'elle et Ashe dans une histoire... qui ressemble plus à un serpent de mer d'Halloween à ce stade ^^'
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Cela vient d'une histoire où après de Delagarde ait gagné dans CF et que Byleth soit morte après avoir tué littéralement tout le monde, y a pas un rescapé dans les persos du jeu à part les alliés de Delagarde (Hubert, Doro, Jéritza, le comte Bergliez...), une Sothis furieuse arrivait à rassembler suffisamment de pouvoir pour ramener tous les morts à la vie pendant le solstice d'hiver afin qu'une chasse fantastique ait lieu afin de traquer et éliminer tous les responsables afin qu'ils payent pour leur crime, Delagarde étant notamment tué comme un sanglier lors d'une partie de chasse avec une lance par Dimitri (qu'elle a assassiné à Fhirdiad en lui coupant la tête), Marianne (qu'elle a aussi assassiné en lui ouvrant le ventre afin d'être sûre qu'elle n'était pas enceinte de Dimitri) et Ferdinand (tué à coups de lance sur son ordre car, il était un chef de la résistance à Adrestia contre son règne tyrannique) avec toute la création de Sothis qui se retourne contre elle. Ce serait vraiment une histoire très axé sur le fantastique où le monde se tord vraiment pour se venger et récupérer ce qui est sous leur protection.
Ashe et Annette font partie des ressuscités, Ashe étant un feu follet menant une patrouille adrestienne jusqu'au lieu de rassemblement de son groupe (et à leur mort au passage) et Annette est une sorte de nymphe mais, dont la peau tombe en morceaux pour découvrir ses os de bois (pour rappeler le pouvoir de Laeta qui est aussi revenu et a les crocs), qui danse autour d'un feu où elle fera danser la patrouille jusqu'à ce que mort s'en suive. J'ai essayé de donner aux cheveux d'Ashe une texture plus de flammes et de faire comme si son manteau se finissait en cendres car, son corps a été laissé à brûler dans les flammes par les impériaux, il n'a pas eu de tombe. Quant à Annette, si son habit est inspiré d'images de polka, la fleur sur son haut est une acanthe, "amour de l'art, lien éternel" pour faire référence aux faits que c'est toujours une bonne danseuse qui aime chanter, mais aussi et surtout que ces liens avec ses compagnons ont même survécu à la mort vu qu'elle est venue les retrouver à la chasse, surtout ceux avec Ashe vu qu'ils étaient en couple de leur vivant et ils peuvent de nouveau danser ensemble.
Un jour, je finirais bien cette histoire pour vous la montrer ^^'
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mellosdrawings · 5 months ago
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When you need to declare your love to your wife but it is so strong you can't help but revert back to french.
You know the perk of being french ? I can write Rook rambling haha !
(Though I am incapable of writing poetry, so here is the poem I used and its approximate translation:
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
(I breathe where you throb, you know ;
What for, alas! stay here if you leave me, and live if you go away?)
A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
(What good is living, being the shadow of this fleeing angel?
What for, under the dark sky, being from the night only?)
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
(I am the flower of your walls for which April is the only good.
You only need to leave for me to be left with nothing.)
Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.
(You surround me with Halos;
I care only about seeing you.
You need only to take flight for me to fly too.)
Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche
Tu tiens ce sauvage oiseau.
(Should you leave, my front/forehead shall lean ;
My soul in the sky, its cradle, will flee,
In your white hand you hold this wild bird.)
Que veux-tu que je devienne
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne
Qui s'en va ? Je ne sais pas.
(What would I become, should I not hear your steps anymore?
Is it your life or mine that is fleeing ?
I cannot tell?)
Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe
Qui vient boire au lac d'azur.
(When my thunder dies down, I take some from your pure heart ;
I am like the dove that just drank in the azur lake.)
L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini
(Love makes the soul understand the universe, healthful and blessed ;
And this lonely little flame shines upon the endless)
Sans toi, toute la nature
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.
(Without you, all of nature is only a closed cell where I go on an adventure,
Pale and no longer beloved.)
Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.
(Without you, everything falls apart ;
Shadows fill my dark eyebrow ;
A feast/party is a tomb,
The homeland is an exile.)
Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
O fauvette de mon âme
Qui chantes dans mes rameaux !
(I beg and demand ;
Do not flee any longer from my pain,
O warbler of my soul who sings in my twigs!)
De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie
Si tu n'es plus près de moi ?
(What could I want?
What could I be afraid of?
What would I do of life without you by my side?)
Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.
(You carry in the light,
You carry in the bushes,
On a wing my prayers,
On the other my songs.)
Que dirai-je aux champs que voile
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?
(What will I tell to the fields that hide my inconsolable pain?
What would I do of the star?
What would I do of the flower?)
Que dirai-je au bois morose
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose
Disant : " Où donc est ma soeur ?"
(What will I tell to the morose forest that illuminated your softness?
What will I answer at the rose asking "Where is my sister?")
J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses
Qu'elle ne regarde plus ?
(I would die ;
Flee if you dare.
What is the point, days gone! of looking at all those she no longer looks at?)
Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?
(What would I do of the lyre, of virtue, of destiny?
Alas! And, without your smile,
What would I do of the morning?)
Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !
(What would I do, alone, wild, without you, of days and heavens,
Of my kisses without your lips,
And of my tears without your eyes!)
Il suffit que tu t'envoles pour que je m'envoles aussi - Victor Hugo
(You need only take flight for me to fly too))
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interludebloom · 2 years ago
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quand je dis famille de merde vraiment je le pense.
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blue-eyed-beastie · 15 days ago
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A Closer Look at Belle's Book: Part II
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In Part I, I went into some detail about the illustration inside Belle's book, but now I want to turn the page, so to speak.
Thanks to the magic of 4K, I was able to zoom in on some details in Beauty and the Beast that I had never noticed before, and this time I wanted to see what story Belle was reading. I've seen theories that it was either foreshadowing Aladdin or referencing Sleeping Beauty, and I myself noticed that it bears some artistic resemblance to Snow White... but it turns out that it has nothing to do with Disney, or its fairy tales.
It's something else entirely, and it's in French!
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After zooming in and studying each frame, I managed to make out the following text:
une languissante sirene! Enfin, il sera bientôt heureux, si c'est là ce qui doit causer son bonheur. Je sais que je suis agréable à regarder, puisque j'y ai du plaisir moi-même, et de ce plaisir je ne priverai pas mon mari, au contraire. Je ne sais si je l'aimerai, je l'espère; mais je veux qu'il m'aime lui, et je ferai pour lui plaire tout ce qui lui plaira. Ah! chère Adélaïde, je suis pleine de rêves absurdes et de pensées contradictoires! Je songe à des choses qui me semblent à la fois douces et vilaines, et j'ai des imaginations qui me font rougir en même temps que pleurer! Au moins, je ne m'ennuie pas. Je vis plus en une heure de ces journées que l'an passé je ne vécus en toute l'année. Chaque heure me renouvelle, me grandit et m'épanouit. Je me semble un rosier qui fleur rirait à vue d’œil, je suis fraîche et parfumée; je suis légère et forte: j'attends le bonheur. Paul est plus beau que je ne l'avais encore jamais tu. Il est pâle avec de grands yeux pleins de fièvre et d'amour. Je le trouve sublime quand il s'agenouille près de moi pour me regarder comme en prière. J'ai envie de le prière aussi, parfois, et de coucher ma joue sur ses genoux, mais quand j'ai cette envie-la, je me fâché contre moi-meme et je boude Paul.
Which, roughly translated into English, means:
a languid siren! Finally, he will soon be happy, if that is what will make him happy. I know that I am pleasant to look at, since I take pleasure in it myself, and of this pleasure I will not deprive my husband, on the contrary. I do not know if I will love him, I hope so; but I want him to love me, and I will do whatever he pleases to please him. Ah! dear Adelaide, I am full of absurd dreams and contradictory thoughts! I think of things that seem to me both sweet and ugly, and I have fantasies that make me blush and cry at the same time! At least, I am not bored. I live more in one hour of these days than I lived in the whole year last year. Each hour renews me, makes me grow and blossom. I seem to myself a rosebush that blooms laughing before my eyes, I am fresh and fragrant; I am light and strong: I await happiness. Paul is more handsome than I have ever seen him before. He is pale with big eyes full of fever and love. I find him sublime when he kneels down next to me to look at me as if in prayer. I want to pray to him too, sometimes, and to lay my cheek on his knees, but when I have this desire, I get angry with myself and I sulk at Paul.
By the way, there is one more sentence (maybe even two) at the bottom of the page that is partially obscured by Belle's shoulder and right hand. It may or may not be important to the rest of the excerpt, but for completion's sake, I'll share it here:
Il est ... maintenir un homme dans les ...
Which translates to:
He is ... to keep a man in the ...
Intriguing, isn't it? What was she trying to say?
Overall, the author appears to be an unwed woman dreaming of her future marriage to a man named Paul. Her confidante is someone named Adelaide, but I suspect she is actually writing to herself. Regardless, she is either betrothed to Paul or she longs to be, since she calls him her husband. Perhaps it is an arranged marriage? She goes on to dwell upon his handsomeness, and how she longs to be close to him, but then she gets angry at herself for feeling this way. The last line of the passage is incomplete, but my best guess is that the author is saying that Paul is not to blame for her sulking, so it is not right to keep a man in the dark, i.e. ignorant. I could be wrong, though. In any case, she is conflicted about her feelings on the matter. You could even say that her feelings are "new, and a bit alarming".
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I can see why the filmmakers chose this passage for Belle's book.
It may not be a fairy tale, but it certainly has elements from the film. There are references to beauty, roses, imagination, and eyes filled with love, and passion.
Belle:
"Oh, isn't this amazing? It's my favorite part because—you’ll see Here's where she meets Prince Charming But she won't discover that it's him 'til Chapter Three!"
Do the lyrics match the story hinted at on the page itself? No, but I really respect the filmmakers for going out of their way to include this kind of detail in the film. They could have taken the easy way out, by writing out something like "Once upon a time" to echo the opening narration, or used "Lorem ipsem" Latin filler, or even meaningless brush strokes just to fill the page... but they didn't. They chose something in French that Belle herself might have liked to read. And I think that's really cool.
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guns-n-rosier · 29 days ago
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I've got you, @all-bart-and-bite
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'Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.'
That one's Victor Hugo, actually. Not bad, huh?
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sabinerondissime · 5 months ago
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Que dire ! La ménopause me rend dingue. Hier je me suis posée la question de savoir si je n'étais pas en dépression, tant mon humeur est maussade depuis quelques temps. Je pleure pour un rien, je suis à fleur de peau. J'ai du mal à m'endormir parce que j'ai des angoisses débiles, sans oublier ces foutus bouffées de chaleurs ! Mais bien consciente que tout ceci est probablement dû à la ménopause, je prend sur moi. De toute façon, personne n'est là pour écouter mes p'tits problèmes. Sauf vous qui avez la malchance de lire cette publication jusqu'au bout !
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coovieilledentelle · 23 days ago
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J'adore les fleurs, elles sont un élément décoratif qui donne immédiatement une autre âme à la maison et, pour moi, un élément auquel j'arrive rarement à renoncer. Elles donnent de la couleur , marquent le passage du temps à travers la saisonnalité des fleurs, meublent et nous permettent de satisfaire notre envie de changement quand nous le souhaitons.
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au-jardin-de-mon-coeur · 8 months ago
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Tout me touche, m'atteint, m'émeut, me submerge. J'ai mal pour moi, pour l'autre. Je ressens, je pleure, je ris. Je sens les odeurs, les âmes, la tristesse. Je suis à fleur de mots, de peaux, de beaux. Je suis une hypersensible remplie de poésie. J'ai un orage qui gronde et un arc-en-ciel qui brille. Quelque chose danse en moi...la Vie !
Cyrille Soares
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lisaalmeida · 2 months ago
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" Je t'attends parce que pour moi d'autres mains, d'autres yeux, d'autres voix, d'autres soupirs, n'auraient aucun sens.
Je t'attends car je préfère l’absence à n'importe quelle autre présence...."
Fleur des mots.
Via monde de Quasimodo
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orageusealizarine · 2 months ago
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très haut amour - qui passez la mémoire - je reste tant affamée de vous ! - je reste agenouillée, entre vos bras courbée - fleurs impromptues - éclosions de paresse - et vos désirs ignés ! pour moi, tout offrande - de vos dents à ma bouche, de vos mains à mes seins, de l'aurore au grand jour... je suis ! je suis voulue - tordue - émancipée, visée - vos rêves sont plus forts, vos rêves sont plus fous... et j'ai le corps solide pour accueillir vos fièvres et encenser ma peau de toutes vos effluves de toutes vos zébrures - au ciel élancés ! tant d'éclairs entre nous que je reste incomprise... de nos écarts - de tant vouloir vos pensées mûres qui ont passé mon âge - pourtant ! vous êtes l'accord - de mes désirs et mes rivages - intelligible amour que vos bras dans mes bras - et que font donc les fleuves jetés dans les mers oublieuses - sinon se plaire d'être l'un avec l'autre - comme vous avec moi - de n'être point perdus entre deux solitudes - que vos regards ! ont flatté mes bordures et déjeté la nue - toutes mes prédictions ont perdu leurs ramures et vous êtes l'Indicible - entre tout homme, c'est vous ! à l'étoile courroucée j'ai rendu mes faiblesses et décliné mon sort car vous avez tout lu dans les veines sur mon corps - et mon destin, c'est vous ! et ma nuit qui s'achève n'est qu'un don répété à votre adoration - imprimée sur mes doigts à l'aide de vos lèvres - et vous m'avez marquée - libérée, révélée...
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univers-simsette · 2 months ago
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🌺 FLEURIE SET🌺 Tenue 1 : Cheveux ; Haut ; Jupe ; Chaussure ; Collier ; Bague ; Bracelet Tenue 2 : Cheveux ; Haut ; Gilet ; Jupe ; Chaussure ; Collier ; Bague ; Boucle d'oreille Tenue 3 : Cheveux ; Robe ; Chaussure ; Collier ; Bracelet ; Bague ; Boucle d'oreille Tenue 4 : Cheveux : Robe ; Chaussure ; Chaîne de corps ; Boucle d'oreille ; Fleur ; Bague Big thanks to @jius-sims ; @simstrouble ; @arethabee ; @pitted0live ; @sunberry-sims4 ; @diosasims ; @twisted-cat ; @bradfordsims ; @backtrack-cc ; @oakiyo ; @dallasgirl79 ; @miikocc ; @serenity-cc ; @platinumeleganceuniverse ; @madlensims ; @joliebean J'espère que vous aimez mes looks, j'essaye d'améliorer mes posts alors n'h��sitez pas à liker et à partager ! XOXO ❤️ PS : pour les simsettes françaises qui viennent de commencer TUMBLR comme moi, envoyez moi des messages pour se donner de la force 💎
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e642 · 2 months ago
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Je ne saurais pas trop expliquer mais il y a des moments où le décalage entre la réalité et ce qu'on pensait est tellement fort que c'est paralysant. Ça induit deux choses: continuer de faire comme si on n'avait pas vu la brèche qu'a créé la désillusion, ou agir mais en anéantissant cette partie d'espoir. Ça me fait dissocier quand ça arrive. Je dissocie souvent en ce moment. Ça me fait peur. J'ai l'impression de ne jamais être dans l'instant présent mais bloquée dans une temporalité indéfinie hors de mon corps. Je suis dans l'air. Je sens juste mes tempes battre. C'est par protection que ma tête me fait ça, pour m'empêcher de vraiment voir comme le quotidien m'échappe. J'en suis reconnaissante car je ne suis pas fréquemment moi mais quand j'ai ces instants de lucidité je ressens une peine écrasante. Elle m'alourdit. Puis ça repart. La peine finie par s'éliminer en se fondant dans la chair. Toute ma peau absorbe mes émotions. Je pue l'angoisse, la haine et la honte. Mais je suis aussi à fleur de peau, chaque infime chose qui me frôle m'embrase. Réveille. Propage.
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alicedusstuff · 4 months ago
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English version here ^^
envie d'écrire un peu aujourd'hui, donc...un peu d'écriture.
Lost soul au.(french)
« Laissez-moi une minute…»
Macaque posa doucement ses yeux sur la fourrure rousse ternie de Wukong. Elle avait perdu de son éclat après qu’il a terminé son voyage et soit rentré à la montagne de fleur et de fruit. Macaque avait pensé que ce changement de couleur passerait au lavage ; mais cela n’a jamais été le cas. La fourrure gardait cette teinte de soleil sur le point de s’éteindre. Macaque éloigna son regard de la fourrure pour porter son attention sur l’ensemble du singe de pierre, assis dans l’herbe. Il laissait les petits singes le toiletter sans faire le moindre geste. Parfois, un petit demandait pour de l’attention, et Wukong le prenait dans ses bras avec un petit sourire. Les petits singes à la fourrure sombre avait appris à rester loin du roi, car les voir faisait pleurer le roi à chaque fois. Et avec la tristesse du roi, venait la mélancolie du peuple de la montagne de fleur et de fruit.
– Toujours en train de te lamenter ?
Demande Macaque, en sachant parfaitement que Wukong ne l’entendrait pas. Il ne l’a jamais entendu. Plus depuis qu’il était mort. Macaque reste perdu dans ses pensées au souvenir de sa propre mort. Il ne lui restait plus rien que des bribes de ce qui constituait son ultime dispute avec le roi singe. Il était courant pour Macaque et Wukong de se battre. C’était une habitude qui avait souvent été teinté de colère et de rancœur depuis que Wukong était parti en voyage avec ses amis pèlerins. Macaque ne supportait tout simplement pas cette distance. Et aucun d’eux n’était réellement bon avec les mots ; où avec le fait de parler de leurs sentiments. Alors l’éloignement a tout simplement rempli de colère le cœur de chacun. Tout ce dont Macaque se souvient était grâce au souvenir des sons du futur qu’il avait entendu lorsqu’il avait rencontré Wukong. Ses oreilles l’avaient prévenu qu’il mourrait de la main de Wukong. Et il l’a ignoré.
Macaque se souvient encore de ses propres cris comme si son assassinat s’était passé la veille. Il se souvient de combien il était devenu difficile de crier, mais qu’il avait forcé sur sa gorge meurtrie, car il était terrifié, et qu’il pensait que si Wukong entendait à quel point il avait peur, peut-être que cela mettrait fin à leur énième combat. Wukong et Macaque s’arrêtaient toujours quand ils se rendaient compte ; non ; quand ils savaient, que leur ami n’était plus capable de tenir leurs petites guéguerres. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’une petite dispute normale. Macaque le savait parfaitement. Mais il a espéré. Et c’est cela qui l’a tué. Tout comme c’était cela qui l’avait fait rester aux côtés du jeune roi imprudent.
Macaque ne mentirait pas en disant qu’il était désolé pour ce qu’il avait fait. Si on lui avait donné une seconde chance ; il aurait fait exactement la même chose. Il n’était pas désolé pour ce qu’il avait fait. Il aurait agi différemment à la fin, peut-être, il aurait essayé de mettre fin à cette dispute plus tôt, peut-être. Mais il n’aurait rien changé aux choix qu’il avait fait. Les six oreilles de Macaque se déployèrent une seconde fois aujourd’hui, et il écouta sa propre voix dire ses adieux à Wukong. Le roi ne l’entendrait certainement pas. Il était impossible que ce soit le cas dans cette situation. Cela voulait sans doute dire que les envoyés des dieux des enfers viendraient bientôt récupérer Macaque.
-Il semblerait que l’on va bientôt se quitter Wukong.
Le singe de pierre resta imperturbable à cette nouvelle. Macaque avait pris l’habitude de parler dans le vide. Alors il ne s’en soucia pas.
-Je ne sais pas quand est-ce qu’ils viendront me prendre. Mais je suppose que ce sera dans peu de temps. De ce que j’entends, cela n’a pas l’air si loin dans le futur.
Toujours aucune réponse.
– Hey… Je sais que cela fait un moment que je ne t’ai plus demandé de trouver un moyen de me ramener à la vie. Mais je pense que si tu dois avoir une illumination vis-à-vis du fait de ramener les morts, c’est maintenant.
Le roi singe regarda au loin, les yeux perdus dans le vide. Il joua un peu avec la fourrure d’un des petits singes avant de sursauter légèrement lorsque le petit lui fila entre les doigts, pour rejoindre ses parents. Wukong regarda la scène du couple qui tenait fermement leur petit. Le roi détourna le regard. Macaque pouvait entendre leur cœur se mettre à battre plus vite. Il jeta un œil à ce qu’avait pu voir Wukong, et sentit son propre cœur se briser. Il aurait aimé pouvoir faire un câlin à Wukong lui aussi. Depuis quand n’ont-ils plus eu de câlin ? De vrais câlins. Il se souvient qu’il avait souvent repoussé le singe par mesquineries, lorsque ce dernier revenait occasionnellement à la montagne. Oh ; comme il regrettait cela. S’il avait su que son dernier câlin lui serait donné juste avant sa mort ; il aurait mis sa colère de côté, et aurait laissé Wukong le câliner autant que le roi le souhaitait.
– Tu es un véritable idiot Wukong…
Le singe de pierre sembla réagir à son nom, et regarda un peu autour de lui. Macaque ignora le geste. Il ne se faisait plus de faux espoirs. Il y avait des moments comme ça où il pensait que Wukong l’entendait. Mais il avait compris depuis longtemps qu’il ne s’agissait que de brefs instants étranges où Wukong semblait avoir un sixième sens concernant Macaque.
– Si tu arrêtais de te plaindre un instant, et réfléchissait, tu pourrais peut-être me ramener !
Toujours pas de réponses de Wukong. Le singe de pierre cessa de regarder autour de lui. Il semblerait qu’il n’a pas trouvé ce qui l’avait premièrement sorti de son était végétatif.
– Tu as toujours été si obsédé par le fait de mourir. Tu as cherché par tous les moyens à vaincre la mort. Tu peux bien… je ne sais pas, venir me chercher n’est-ce pas ?
L’absence de réponse pousse Macaque à baisser les bras. Cette fois encore, Wukong n’allait pas sortir de son état étrange. Serait ce le regret ? Où le deuil ? Macaque n’était pas sûr. À vrai dire, il se serait juré que Wukong l’oublierait au bout d’une semaine grand maximum avant de passer à une autre aventure palpitante, où, peut importe ce qui l’attirait de l’autre côté de la montagne de fleurs et de fruits qu’ils considéraient tous les deux comme leur maison.
– Peu importe…
Macaque décida de prendre place aux côtés de Wukong. Il fit mine de poser son épaule contre celle de Wukong. Il savait parfaitement que s’il se laissait vraiment s’accouder contre Wukong, il passerait à travers lui. Alors, il resta stable, et posa sa main contre celle de Wukong. Comme prévu, sa main passa au travers de cette de Wukong. Macaque ne s’en préoccupa pas. Il fit de son mieux pour imaginer qu’il était physique. Il essaya de se rappeler la chaleur de la peau de Wukong contre la sienne.
Babum…
Il essaya de se souvenir combien il était bon de se laisser se reposer sur l’épaule de son ami sans penser à rien.
Babum…
Il enfonça sa tête contre son écharpe. Unique souvenir qu’il lui restait de Wukong dans sa mort. La seule chose qui gardait encore cette impression qu’une part de Wukong était avec lui. Macaque laissa ses oreilles siffler en entendant son propre cœur battre à mille à l’heure. Cela faisait tellement mal. Il avait envie de pleurer. Il n’avait pas envie de faire semblant d’être contre Wukong. Il le voulait. Il le voulait si avidement. Il voulait ressentir sa chaleur, poser son oreille contre sa poitrine, et entendre le cœur de son ami se mettre à battre follement au contact peu familier qu’initierait Macaque. Il avait envie que Wukong le serre contre lui de toutes ses forces ; et il avait envie de dormir à ses côtés en sachant que Wukong allait encore l’écraser dans son sommeil, parce que Wukong finissait toujours par trop bouger dans son sommeil.
– Putain, Wukong…
­-Désolé Macaque…
Et cette fois encore, Macaque l’ignora. Car il savait que ces excuses n’étaient pas vraiment pour lui. Après tout. Wukong ne savait pas qu’il était là. Le singe de pierre se parlait juste à lui-même pour essayer de calmer sa conscience pour l’erreur qu’il avait faite.
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« Tu es un véritable idiot Wukong. »
Le singe de pierre sursaute et sort de ses pensées pour regarder autour de lui. Il avait entendu la voix de Macaque. Il cherche un moment autour de lui avant de se rendre compte qu’il s’agissait seulement d’une voix dans sa tête. C’était arrivé souvent ces derniers temps. Quand il était perdu si fort dans ses pensées qu’il avait l’impression de ne plus exister ; il y avait la voix de Macaque qui le sortait du néant pour le gronder ou lui dire quoi faire. C’était une torture douloureuse que Wukong n’avait pas encore complètement assimilé. Petit à petit Wukong se calme, et retourne à ses pensées. Il rejoua en boucle la scène de la mort de Macaque dans sa tête. Il ne voulait pas l’oublier. Il ne voulait rien oublier de Macaque. C’était encore horriblement trop frais dans son esprit. Son cœur qui s’emballait sous la colère, la douleur de la couronne contre son crâne, qui semblait attiser les flammes de sa rage, puis, sa perte de contrôle. Macaque et lui se sont battus, comme très souvent récemment. Et Wukong ne s’expliquerait pas pourquoi il avait réagi aussi violemment. C’était stupide. Complètement insensé. Peut-être était-ce à cause des mots cinglants de Macaque ; où en avait-il eu tout simplement marre de leurs disputes constantes, et cela l’avait fait péter un câble. Mais tel était que cela l’avait mené à sortir de son état, complètement essoufflé, la colère disparaissant petit à petit ; et le corps de Macaque devant lui. Wukong se rappelle trop douloureusement ne pas avoir immédiatement paniqué. Il a regardé l’œil de Macaque se vider de vie pendant de longues secondes avant de comprendre ce qu’il se passait et prier pour que Macaque ne parte pas. Wukong jura. Il avait perdu de si précieuses secondes. Si seulement il avait agi plus vite. Il aurait pu emmener Macaque à son maître plus tôt, et ce dernier aurait certainement pu le sauver. S’il avait…s’il…
Il fit soudainement plus froid sur sa gauche. C’était certainement une impression. Cela faisait longtemps qu’il était au soleil, immobile. Peut-être que cela jouait ? Il ne savait pas. Il savait juste que soudainement, il se sentit mieux. Il ressentit quelque chose de familier. Il repensa à Macaque. S’il était là. Il serait certainement en train de lui raconter une histoire ; où quelque chose qu’il ne comprenait pas complètement. Peut-être qu’il lui lancerait des piques ? Wukong resta pensif. Il imagina quelque chose de plus simple. Quelque chose qu’il aimerait. Il aimerait que Macaque soit encore à ses côtés. Lui et le singe de l’ombre assis sur l’herbe, au soleil. Ce serait bien. Vraiment bien.
Le cœur de Wukong était douloureux à cette pensée. Mais qu’importe. C’était mieux que lorsqu’il était vide. Il préférait savoir qu’il ressentait encore quelque chose à la pensée de Macaque plutôt que de rester douloureusement vide comme il le faisait si souvent ces derniers temps. Si seulement il n’avait pas été aussi stupide… Si seulement il avait été moins impulsif. Il…
­-Désolé Macaque.
Murmura Wukong en espérant que Macaque lui pardonne. Mais c’était impossible. Macaque lui en voulait certainement. Wukong ne lui en voudrait même pas. Pourquoi pardonnerait-il l’ami qui l’avait tué ? Pouvait-il même encore être considéré comme un ami ? Les amis ne se tuent pas n’est-ce pas ? Il était certainement le pire ami du monde. Nous vivrons heureux pour toujours mon cul ! Wukong n’avait pas été capable de tenir la seule promesse qu’il voulait vraiment réaliser avec lui. Le singe de pierre serra le poing sur l’herbe sous ses doigts. S’il avait rendu Macaque immortel et l’avait fait officiellement roi de la montagne à ses côtés, Macaque n’aurait peut-être pas été si en colère. Le singe de l’ombre était quelqu’un qui s’inquiétait vraiment pour la montagne. Nul doute que si Wukong l’avait fait roi, il se serrait préoccupé de leur peuple comme personne. Peut-être alors qu’il aurait été trop occupé pour penser à ce pathétique ami qu’était Wukong, et qu’ils auraient échappé à ce scénario lamentable. Il y a tant de suppositions ; et si peu de réponses. Wukong ferma les yeux dans un soupir. Macaque lui manquait tellement.
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petit-atelier-de-poesie · 5 months ago
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Des sensations et des mystères
Je pose mon stylo où mes doigts et mon esprit sont engourdis.  Je reviens à moi.  L’espace rétréci de la page blanche s’ouvre à nouveau.  Ma nuque est douloureuse.  Je m’étire, les coudes en arrière.  Je quitte ma feuille pour aller vers d’autres feuilles.  Je me lève et me dirige vers l’extérieur. 
Il y a le jardin, là devant moi. Tout est là.  La porte se referme et j’avance dans la lumière et la chaleur.  Là me parviennent immédiatement les odeurs florales, le bruissement des insectes affairés et le doux balancement des plantes.  Je pose mon regard à l’ombre.  Un papillon reste immobile sur une feuille étalée, elle-même sur une tige élancée. Il y a quelque chose qui attire plus haut, plus loin encore. Quelque chose de la vie.  Je pose mon doigt sur une hampe vert tendre pour découvrir une coccinelle à l’abri. 
Tout est dit de l’harmonie et de la magie.   Dans le silence, les noms savants des fleurs me reviennent eux aussi.  Podranea rocasoliana. Isotoma axillaris. Cistus albidus.  Et je suis à ma place.  Juste là, avant de revenir à l’écriture.  Encore et encore. Puisque c’est ma nature. 
/ Fabienne PASSAMENT. 2024 Atelier d'écriture d'après Monique Wittig
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insociablementcompliquee · 3 months ago
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Tout a commencé avec un papillon noir et un cauchemar. Il s’est envolé devant moi, hors de ma portée, et alors j’ai réalisé que rien de tout cela n’était la réalité. Et pourtant je jurais de l’avoir vu, il était sombre, hypnotisant, mal venu. En un battement d’ailes je revoyais tes prunelles. Je t’ai couru après, dans un rêve bien trop réel. Et il s’est volatilisé, comme s’il n’avait jamais existé, fruit d’un fantasme refoulé. Il a disparu et le goût amer de l’échec m’ait apparu. Comme notre union, c’était un fantasme, un peu fantasque, une pauvre idée saugrenue.
Les sourcils froncés, le cœur lourd et l’esprit préoccupé, je suis retournée d’un pas ferme dans le jardin. Le cauchemar m’avait eu, mais ce n’était pas un signe du destin, une simple coïncidence d’un cauchemar et d’un papillon noir. Les abeilles butinaient, les oiseaux s’envolaient, les fleurs fleurissaient. Tout était normal, je n’étais pas folle, pas plus que cette nature frivole. Et le revoilà. D’un coup d’œil, je l’ai aperçu, posé sur le muret. D’un noir profond, comme un mauvais présage.
Il ne volait pas, comme pour m’apprendre une leçon, attendant toute mon attention. Puis d’un battement d’ailes, il s’est envolé, et j’en suis restée hébétée. Un sourire idiot a fendu mon visage : ses ailes étaient d’un noir sans espoir à l’extérieur, et resplendissantes de couleurs à l’intérieur.
Comme une métaphore, j’ai compris que l’amour ne pouvait être compris des autres. Qu’ils ne voyaient pas ce que je te trouvais. Mais que nos cœurs s’étaient envolés, et que pour moi, tu les avaient déployés. Ces ailes multicolores, ces humeurs, ces douleurs. J’ai vu la complexité de tes ailes, sous la pluie et sous le soleil. J’ai eu accès à ton intimité, à ton rire et à ton toucher. Et j’espère de tout mon cœur que malgré les ailes sombres que tu me montres désormais, tu caches quelques part des ailes bien plus élaborées, et que tu les montres à celles et ceux qui sauront les respecter.
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