#Philippe le Beau
Explore tagged Tumblr posts
yxxxxxx1 · 10 months ago
Text
Thread about Joanna of Castile: Part : 10 “A Storm of Jealousy: Juana and Philip's Turbulent Reunion"
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
By May 1504, Juana was in Burgundy. Juana’s reunion with Philip and the children was joyful.
But soon afterwards she suspected, or discovered, an affair between Philip and a noblewoman in her entourage:
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
“They say,” writes Martire, “that, her heart full of rage, her face vomiting fames, her teeth clenched, she rained blows on one of her ladies, whom she suspected of being the lover, and ordered that they cut her blond hair, so pleasing to Philip 
”
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Philip’s response was equally furious. He had “thrown himself” on his wife and publicly insulted her.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Sensitive and obstinate, “Juana is heartbroken 
 and unwell 
”. Isabel “suffers much, astonished by the northerner’s violence.
Maximilian’s biographer, Wiesfecker, describes Juana’s response as:
"The symptom of a pathological, passionate, if not unfounded, Haßliebe, fomenting continual strife. "
Juana would have known for years about Philip's visits to the baigneries and his more casual relationships with women. However, this affair seemed to pose a direct challenge to her standing and dignity. Juana knew her faults and had tried to limit them. In 1500, after becoming princess, she had asked Isabel to send her an honest and prudent Spanish lady who:
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
“Knows how to advise her, and where she sees something out of order (‘deshordenado’) in her conduct could say so as servant and adviser but not as an equal because, even if the advice were good, if expressed in a disrespectful way it would create more anger in she to whom it was said than it would allow for correction.”
Sources: Fleming, G. B. (2018). Juana I: Legitimacy and Conflict in Sixteenth-Century Castile (1st ed. 2018 edition). Palgrave Macmillan.
Fox, J. (2012). Sister Queens: The Noble, Tragic Lives of Katherine of Aragon and Juana, Queen of Castile. Ballantine Books.
Gómez, M. A., Juan-Navarro, S., & Zatlin, P. (2008). Juana of Castile: History and Myth of the Mad Queen. Associated University Presse.
20 notes · View notes
livresgay · 2 years ago
Text
La ParenthÚse désenchantée (de ParisDude)
Synopsis Les annĂ©es quatre-vingt. L’ñge d’or du cinĂ©ma, de la musique et de l’économie en France. Mais aussi la fin de l’insouciance sexuelle nĂ©e de la dĂ©cennie prĂ©cĂ©dente. En effet, un nouveau virus fait son apparition avec quatre lettres qui font froid dans le dos : SIDA. C’est dans ce contexte paradoxal oĂč les espoirs du jour se mĂȘlent aux craintes de la nuit que gravite SĂ©bastien. Ce jeune

Tumblr media
View On WordPress
0 notes
mijoux · 6 months ago
Text
Le monde entier voit Philippe Katherine Ă  poil chantĂ© Ă  quel point c'est cool d'ĂȘtre Ă  poil et ça c'est beau
25 notes · View notes
nemosisworld · 3 months ago
Text
Tumblr media
Une Ă©trangĂšre s’est glissĂ©e dans mes paroles, beau masque de dentelle avec, entre les mailles, deux perles, plusieurs perles, larmes ou regards. De la maison des rĂȘves sans doute sortie, elle m’a effleurĂ© de sa robe en passant — ou si cette soie noire Ă©tait dĂ©jĂ  sa peau, sa chevelure? —
Philippe Jaccottet
Ph. Anthony Barboza : Laura
8 notes · View notes
chicinsilk · 11 months ago
Text
Tumblr media
Givenchy Haute Couture Collection Spring/Summer 1956. Jacky Mazel in a sober and elegant ensemble in beautiful white basketweave wool from Laffolay. The straight, collarless jacket barely indicates the body line. An applied pocket adorns the left side. The narrow skirt emphasizes the thinness of the line. A very large knotted stole, in light silk chiffon by G.PĂ©tillault, feminizes the silhouette.
Givenchy Collection Haute Couture Printemps/ÉtĂ© 1956. Jacky Mazel dans un ensemble sobre et Ă©lĂ©gant en beau lainage nattĂ© blanc de Laffolay. La veste droite et sans col indique Ă  peine la ligne du corps. Une poche appliquĂ©e orne le cĂŽtĂ© gauche. La jupe Ă©troite accuse la minceur de la ligne. Une trĂšs grande Ă©tole nouĂ©e, en lĂ©gĂšre mousseline de soie de G.PĂ©tillault, fĂ©minise la silhouette.
Photo Philippe Pottier
27 notes · View notes
claudehenrion · 4 months ago
Text
Mais pourquoi tant de haine ?
Il ne sert à rien de ce cacher derriÚre son petit doigt et de se raconter des bobard en faisant semblant de les croire : la célÚbre histoire de Titin de Martigues et de la sardine qui avait bouché l'entrée du port de Marseille a fait long feu. La derniÚre fois que je l'ai racontée en entier, je devais avoir 7 ou 8 ans ! Osons parler français (un des grands problÚmes du moment !) et reconnaßtre qu'il existe, ici et là (ou, depuis peu, ici ET là !) une véritable haine de la France, par des ''français'' dont la définition approximative explique sans doute bien des choses...
Bref retour sur image : il estune question utile que tout le monde, pourtant, se refuse de poser honnĂȘtement : ''Qu'est-ce qu'un français ?'', ou : ''Qui est français ?''. La rĂ©ponse pourrait sembler multiple, puisqu'elle peut aller de souvenirs honteux timidement avancĂ©s par le cĂŽtĂ© droit de l'Ă©chiquier politique jusqu'aux hurlement d’orfraie poussĂ©s par principe par l'aile gauche du mĂȘme Ă©ventail : quand les premiers murmurent et s'excusant des notions de culture, de maĂźtrise d'une langue, d'impression ''d'appartenir'' et d'identification avec un mode de vie... les autres trouvent suffisant d'arborer un bout de papier, fut-il frauduleusement obtenu Ă  coup de mensonges et d'approximations. Il ne faut pas longtemps pour trancher entre qui respecte le sens des mots et qui en ignore le sens.
En fait, aprĂšs quelque quinze siĂšcles de construction d'une Nation (ce ''cocon'' qui est ou devrait ĂȘtre ''un combat permanent''), on retombe toujours sur Ernest Renan qui, le 11 mars 1882, prononça Ă  la Sorbonne une confĂ©rence sur l’idĂ©e de Nation... Trente pages qui servent toujours de rĂ©fĂ©rence. La France, d'aprĂšs Renan, n'est pas une race, mais c'est une langue, une religion, une culture, une communautĂ© de gĂ©ographie, d'histoire, de souvenirs et d’intĂ©rĂȘts. C'est une Ăąme, un principe spirituel, un consentement, un dĂ©sir de vivre ensemble et –la formule est restĂ©e cĂ©lĂšbre--, ''un plĂ©biscite de tous les jours''.
Il est Ă©vident que les glissements sĂ©mantiques qui servent actuellement de non-arguments Ă  une Gauche qui a elle-mĂȘme perdu son Ăąme (si elle en a eu une, puisque tous ses efforts s'Ă©puisent Ă  refuser d'en avoir une et Ă  faire croire qu'elle n'existe pas), pĂšsent peu de poids devant la lourde dĂ©monstration de Renan, et la cause devrait Ăątre tranchĂ©e : aprĂšs ce chef d’Ɠuvre, nul besoin de perdre sont temps Ă  nommer un ou plusieurs ''ComitĂ©s ThĂ©odule'' pour plancher sur ce sujet. Sans souci de ses origines, un français ''de papier'' (d'ailleurs souvent de trĂšs mauvais grĂ© ou par le hasard d'un lieu de naissance) ne saurait ĂȘtre comparĂ©, sur aucun point, Ă  un ''citoyen français'' dans la pleine richesse de ce que ce terme vĂ©hicule de beau, de grand, mais aussi de complexe. La cause devrait ĂȘtre entendue et les faux arguments, rejetĂ©s.... ce qui rĂ©soudrait ce problĂšme qui taraude et dĂ©truit notre pays.
Contre les mensonges profĂ©rĂ©s Ă  longueur d'annĂ©e par les europhiles bruxellois, l'europĂ©en de ce XXI Ăšme siĂšcle nage en rĂ©alitĂ© dans un dĂ©sespoir permanent, sans cap, sans boussole, et ayant perdu son histoire et ses origines. L'Homo festivus (le mot est de Philippe Murray) des annĂ©es '60 a Ă©tĂ© remplacĂ©, sans vraiment le vouloir, par un ''Homo desperatus'' Ă  qui des faux guides mal intentionnĂ©s font croire qu'il a une chance de trouver une guĂ©rison dans des idĂ©ologies mortifĂšres ou des lois ''sociĂ©tales'', toutes contre nature, dans sa propre dĂ©construction, dans le rejet de ''soi'', dans l'auto-dĂ©nigrement de tout ce qu'il a Ă©tĂ©, dans le rejet et la haine de ce qu'il est, de ce qu'il rĂȘve (encore) d'ĂȘtre, et dans la nĂ©gation de tout ce qu'il a aimĂ©... et aime encore, sans oser le dire. Et et face... Rien ! Le nĂ©ant absolu, le vide glacĂ© d'un monde-Ă -venir sans rĂ©ponses, sans solutions, sans espoir...
En refusant de lui reconnaĂźtre non seulement une existence –comme les autres animaux-- mais aussi une essence –comme un ''animal bien Ă  part'', les idĂ©ologies de la dĂ©construction privent l'homme de toute possibilitĂ© de salut, de rĂ©alisation et, rĂ©pĂ©tons-le, d'espoir, c'est-Ă -dire de redevenir pleinement humain –au sens oĂč notre civilisation dite judĂ©o-chrĂ©tienne avait rĂ©ussi Ă  l'Ă©lever... Le monde actuel ne nous permettra bientĂŽt plus que de rĂȘver Ă  des fausses richesses intermĂ©diaires : les plaisirs Ă©ventĂ©s, les jeux de hasard pipĂ©, des rĂ©ussites matĂ©rielles convenues, ou... des jeux olympiques ! ''Panem et circenses'', en trois mots.
Le libĂ©ralisme, le modernisme et le progressisme ont entraĂźnĂ© un basculement majeur dans la pensĂ©e Ă©thique de notre civilisation, qui s'est ainsi trouvĂ©e dĂ©possĂ©dĂ©e de ses protections. Une des consĂ©quences de ce pas de cĂŽtĂ© est une tentation de dĂ©testation de l'humanitĂ©, ''...puisqu'elle m'a déçu'' ! En rĂ©alitĂ©, nous vivons sur une nouvelle forme d'Ă©thique : une Ă©thique sans ''ethos'', donc sans lien avec nous-mĂȘme ! Une libertĂ© frelatĂ©e et changeante devient seul arbitre du Bien et du Mal, qui n'ont plus de dĂ©finition universelle mais sont ramenĂ©es Ă  ''notre bon vouloir de l'instant'' : l'homme, ''libĂ©rĂ©'' (sic !) de toute morale, deviendrait ainsi la source unique de sa propre vĂ©ritĂ©, rebaptisĂ©e ''LA'' VĂ©ritĂ©, elle aussi libĂ©rĂ©e (tu parles !) de toute influence normative ou de tout hĂ©ritage civilisationnel... ce qui revient Ă  dire : privĂ©e de murs porteurs.
A l'échelon de la Cité, cela a vite fait de devenir la disparition de toute responsabilité du politique envers les citoyens. Nous l'avons enduré avec l'absurde ''Quoi qu'il en coûte'' macronien, qui nous a plongés dans un gouffre dont nous sortons mutilés à jamais, car s'il n'existe plus de ''mÚtre étalon'' des vertus cardinales (Prudence, Tempérance, Force d'ùme, Justice), la Loi perd son ''L'' majuscule. Au nom de cette fausse liberté (assimilée à un devoir d'obéissance aveugle à toutes les injonctions du Pouvoir en place), je peux donc faire ou dire ce qui me plaßt, à chaque instant : je vais m'inventer de ''nouveaux Droits'', fonctions de mon bon plaisir du moment, et tant pis s'ils entrent frontalement en contradiction avec les autres ''Droits'' et les grands principes : je suis libre, non ? (re-''tu parles'', bis !). Et d'ailleurs, si ''tout se vaut'' et si ''tout est construction'', tout peut se transformer, et on peut recréer l'homme... un homme prétendu ''nouveau'' --bien entendu sur le cadavre de son prédécesseur, volontairement détruit pour permettre cette monstruosité !
La potion est dure Ă  avaler : un immense dispositif dĂ©vastateur a Ă©tĂ© mis en place (NDLR : Par qui ? C'est une autre question qu'il faudra bien regarder en face, un jour) pour crĂ©er une alternative-leurre Ă  la VĂ©ritĂ© –qui est et ne peut ĂȘtre qu'une, non nĂ©gociable, intangible et indiscutable--, et le piĂšge a failli se refermer. Il semble cependant que, partout, d'immenses vagues se dressent et qu'apparaĂźt enfin une premiĂšre chance de balayer l'affreux Ă©difice de mensonges que nous avons laissĂ© Ă©riger entre nous... et nous ! Au fond, cette crise de haine contre nous-mĂȘmes pourrait n'ĂȘtre qu'une mode qui ira se noyer dans l'ocĂ©an des mauvaises idĂ©es Ă  oublier au plus vite !
H-Cl.
7 notes · View notes
latlasmnemosyne · 18 days ago
Text
Natures mortes théùtrales du maßtre absolu Jean Baptiste Siméon Chardin (II/III)
Tumblr media
Raisins et grenades, 1763, h/t, Paris, Louvre.
Pendant de La Brioche, composition plus chargée, fruits symboliques. Le couteau vise la carafe, traverse le muscat, vise encore au-delà les grenades.
Tumblr media
Un bol de prunes, ca. 1728, h/t, Washington, The Phillips Collection.
DĂ©jĂ  trente ans plus tĂŽt une semblable carafe.
Tumblr media
Le Gobelet d'argent [Trois pommes d'api, deux chĂątaignes, une Ă©cuelle et un gobelet d'argent], ca. 1768, h/t, Paris, Louvre.
L'un des plus beaux, un repas d'automne. Soupe, pommes, chĂątaignes et verre de vin dans le ravissant gobelet d'argent qui revient sans cesse.
Tumblr media
Les apprĂȘts d'un dĂ©jeuner [Le gobelet d'argent], ca. 1730, h/t, Lille, MusĂ©e des Beaux-arts.
Quelques miettes sur la margelle, un beau reflet dans l'argent du gobelet, plusieurs repentirs pour simplifier la composition.
Tumblr media
Le Gobelet d'argent, ca. 1728, h/t, Saint-Louis (Missouri), musée d'Art.
Avant d'atterrir aux États-Unis, celles-ci est passĂ©e par les mains du peintre Philippe Rousseau qui lui doit beaucoup.
Tumblr media
Panier de raisins, gobelet d'argent et bouteille, av. 1728, h/t, Paris, Louvre.
Le revoilĂ  encore, avec la bouteille en verre.
Tumblr media
Nature morte avec flacon en verre et fruits, ca. 1728, h/t, Staatliche Kunsthalle Karlsruhe.
Ici encore avec un cédrat.
Tumblr media
Marmite de cuivre, Ă©cumoire, cruche et tranche de saumon, 1750/1760, h/t, Paris, Louvre (MNR).
Ce n'est pas mon préféré mais j'aimerais pourtant pouvoir le réclamer.
Tumblr media
Menu de maigre et ustensiles de cuisine, 1731, h/t, Paris, Louvre.
DĂźner venusal. ƒufs reflĂ©tĂ©s dans une terre vernissĂ©e, cebettes malingres, maquereaux pendus Ă  un crochet et Ă©grugeoir Ă  sel. Un gril sur lequel on posera les poissons cuits sur les braises.
"Ce tableau est un des premiers essais de l'artiste et un des plus réussis" (Pierre Rosenberg)
Tumblr media
Menu de gras et ustensiles de cuisine, 1731, h/t, Paris, Louvre.
Son pendant.
2 notes · View notes
auboutdespages · 1 year ago
Text
AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mĂ©lancolique. Katherine PANCOL cĂ©lĂšbre romanciĂšre française, est une Ă©crivaine dont le style se caractĂ©rise Ă  l’amĂ©ricaine marquĂ© par de nombreux dialogues et ses rĂ©cits qui dĂ©crivent souvent des destins chaotiques de femmes indĂ©pendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, cachĂ© sous un ticket de mĂ©tro ou le tombĂ© d’un rideau. EmbusquĂ© dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sÚment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrĂȘte le temps, on dĂ©couvre des diamants dans une main tendue

Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi

Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantÎt de miel, tantÎt de pùte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problĂšme cette Ă©ternelle histoire d'amour manquĂ©e entre Philippe et JosĂ©phine (mais oĂč va-t-elle chercher les prĂ©noms de ses hĂ©roĂŻnes ??), mais on l'attend au dĂ©tour des traits de cet Ă©tonnant Junior, surdouĂ© improbable qui casse quelque peu la vĂ©racitĂ© des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succĂšs de l'opus prĂ©cĂ©dent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-ĂȘtre entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (dĂ©cidĂ©ment, les prĂ©noms sont un mystĂšre pour Madame Pancol... ) et les pĂ©rĂ©grinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un pÚre fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financiÚre" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pùture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisiÚme opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatriÚme volet.
Bref, un Ă©crin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, mĂȘme s'il souffre de quelques incongruitĂ©s.
Tumblr media
10 notes · View notes
learabeau · 1 month ago
Text
2024 – Liste Culturelle
JANVIER
LIVRES
L'art et la psychanalyse de Freud Ă  Lacan par Anita Izcovich
RĂȘves de paysage par Claudine Bertrand
Flipette & VĂ©nĂšre de LucrĂšce Andreae
Lettres Ă  une jeune PoĂ©tesse. Correspondance avec Anita Forrer (1920 – 1926) de Rainer Maria Rilke
Le joueur d'Ă©checs de Stefan Zweig
Lettres Ă  un jeune poĂšte de Rainer Maria Rilke
Aurore, Ulysse 
 Les Centaures N°1 La porte du nĂ©ant par Seron
FILMS
Diane Wellington d'Arnaud des PalliĂšres
Rythmasspoetry de Jeremy Deller et Cecilia Bengolea
Les Yeux carrés de Louison Assié et Laure Massiet du Biest
What happened, Miss Simone ? de Liz Garbus
Patinoire de Gilles Carle
10 minutes de vie d'Herz Frank
Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'Anneau de Peter Jackson
Bedtime Stories : Trains de Harun Farocki
Bedtime Stories : Bateaux de Harun Farocki
What Men Want d'Adam Shankman
Bedtime Stories : Ponts de Harun Farocki
Le Passage du col de Marie Bottois
Ballerina de Lee Chung-hyeon
I Don't Feel at Home Anywhere Anymore de Viv Li
Mon beau-pĂšre et moi de Jay Roach
They Do Not Exist de Mustafa Abu Ali
FEVRIER
LIVRES
La Magie de la Nature. Se relier au pouvoir des éléments, de la Lune et des plantes par Lindsay Squire
Éditeurs de notre temps. Entretiens rĂ©alisĂ©s par Nicolas Querci
Mafalda 1 de Quino
Je suis un poltron de Johann Guyot
Mama Elefante es genial de Gabriela Keselman et illustré par Claudia Bielinsky
FILMS
Angle mort de Lotfi Achour
All Inclusive de Corina Schwingruber Ilic
Somme des choses de Mohammadreza Farzad
Indes Galantes de Philippe BĂ©ziat
Retour Ă  SĂ©oul de Davy Chou
Afrique 50 de René Vautier
Love, Dad de Diana Cam Van Nguyen
Sans toit ni loi d'AgnĂšs Varda
La Vie sexuelle de mamie de Urska Djukic et Émilie Pigeard
Et les chiens se taisaient de Sarah Maldoror
O saisons, ĂŽ chĂąteaux d'AgnĂšs Varda
Plaisir d'amour en Iran d'AgnĂšs Varda
Du cÎté de la cÎte d'AgnÚs Varda
RĂ©ponse de femmes d'AgnĂšs Varda
Boy de Yalda Alsah et Ginan Seidl
MARS
LIVRES
Le style dans le cinéma documentaire entretiens recueillis par l'association ADDOC
Réensauvagez-vous ! D'Andreas Weber et Hildegard Kurt
De la tyrannie du cartel de Philippe Comar
FILMS
Un espagnol à Paris, Paco Ibañez de Bernard Bouthier
Hercules de Ron Clements et John Musker
The Silence of The Banana Trees d'Eneos Carka
In Flow of Words d'Eliane Esther Bots
I Don't Feel at Home Anywhere Anymore de Viv Li
Behemoth : or the name of God de Lemohang Jeremiah Mosese
L'indomptable feu du printemps de Lemohang Jeremiah Mosese
Mon beau-pĂšre et nous de Paul Weitz
Mobiliser de Caroline Monnet
Cinzas e nuvens de Margaux Dauby
REW-FFWD de Denis Villeneuve
Vampire humaniste cherche suicidaire consentant d'Ariane Louis-Seize
Nos plus belles années de Sydney Pollack
Immaculée de Michael Mohan
AVRIL
LIVRES
Azimut T.1 Les aventuriers du temps perdu par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.2 Que la belle meure par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.3 Les anthropotames du Nihil par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Sous les Arbres. L'automne de Monsieur Grumpf de Dav
Jade sauve la forĂȘt fabuleuse d'Alexandre Jardin, Fred Multier et StĂ©phanie Ronzon
Azimut T.4 Nuées noires, voile blanc par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.5 Derniers frimas de l'hiver par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Le Dialogue de Simon Johannin
Hallow T.1 La derniĂšre nuit d'Halloween de Cazenove et Ood SerriĂšre
500 affiches de Mai 68 par Vasco Gasquet
Ce monde-lĂ . Voyage aux frontiĂšres du photojournalisme des Ă©ditions Loco / Emi
MĂ©lusine T.1 SortilĂšges de Clarke et Gilson
Intranqu'ßllités N°5 Eros par auteurs multiples (magazine)
FILMS
Malcolm X de Spike Lee
Nosferatu, fantĂŽme de la nuit de Werner Herzog
La Demoiselle et le Dragon de Juan Carlos Fresnadillo
Un taxi pour Reykjavik de Damien Peyret
La BM du Seigneur de Jean-Charles Hue
Dune de Denis Villeneuve
Fabbricante di lacrime d'Alessandro Genovesi
8 Mile de Curtis Hanson
Lil' Buck Real Swan de Louis Wallecan
LOL (Laughing Out Loud) de Lisa Azuelos
Pretty Woman de Garry Marshall
L'arrestation de C. d'Arthur Jaquier
Mon voisin Abdi de Douwe Djikstra
Five d'Igor Gotesman
Her Job de Nikos LabĂŽt
Le Barrage d'Ali Cherri
La Grande Vadrouille de GĂ©rard Oury
PODCAST
Dingue. Dépendance affective : attachement et réciprocité du journaliste Adrien Zerbini
MAI
LIVRES
Verdad de Lorena Canottiere
Une vie de Simone Veil
La légende de SaigyÎ traduit du japonais et présenté par René Sieffert
FILMS
Disneyland, mon vieux pays natal d'Arnaud des PalliĂšres
Sound of metal de Darius Marder
Godzilla d'Ishiro Honda
Brisby et le secret de NIMH de Don Bluth
Madame Lulu de Morgane Lincy-Fercot
JUIN
LIVRES
Laura, Lizzie & les Hommes-Gobelins de Christina Rosseti, Clémentine Beauvais et Digiee
Mes merveilles d'Else Lasker-SchĂŒler traduit par Guillaume Deswarte
C'est comme ça qu'on fait un film de Tim Grierson
La conjecture de Karinthy de Michel Viegnes
FILMS
Grùce à Dieu de François Ozon
Average Happiness de Maja Gehrig
Claire, faire corps d'Arnaud Le Hesran
Mars Express de Jérémie Périn
Nathan, juste lĂ  d'Elya Serres
Supervision de Primitivi
JUILLET
LIVRES
Auguste Rodin de Rainer Maria Rilke
Un drĂŽle de truc pas drĂŽle de Giula Sagramola
Une certaine tendance du cinéma documentaire par Jean-Louis Comolli
La MĂ©lodie de l'amour et de la mort du cornette Christoph Rilke par Rainer Maria Rilke
FILMS
Sainte Marie du Mont : kilomÚtre zéro zéro par Claude Goretta et Gilles Perrault
Non de Didier Nion
Backflip de Nikita Diakur
Letter to a pig de Tal Kantor
Kingdom of the Planet of the Apes de Wes Ball
Dune. Part Two de Denis Villeneuve
Pirates des Caraïbes : la légende du Black Pearl par Gore Verbinski
AOUT
LIVRES
160000 enfants. Violences sexuelles et dĂ©ni social d’Édouard Durand
« On ne peut pas accueillir toute la misÚre du monde » En finir avec une sentence de mort de Pierre Tevanian et Jean-Charles Stevens
Désobéissance climatique de Sandra Laugier et Albert Ogien
Les Ă©cofĂ©minismes d’Élise ThiĂ©baut
FILMS
Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit par Gore Verbinski
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde par Gore Verbinski
Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence par Rob Marshall
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar par Jooachim Ronning et Espen Sandberg
Super par James Gunn
Furiosa : A Mad Max Saga par George Miller
Doomsday de Neil Marshall
Shrek par Andrew Adamson et Vicky Jenson
Shrek 2 par Andrew Adamson, Kelly Asbury et Conrad Vernon
Pauvres Créatures de Yorgos Lanthimos
ÉlĂ©mentaire de Peter Sohn
Cowboy Bebop : Knockin' on Heaven's Door de Shin'ichiro Watanabe
Discours de bienvenue de Norman McLaren par Norman McLaren
Promising Young Woman par Emerald Fennell
Saltburn par Emerald Fennell
Zoom cosmique d'Eva Szasz
Memories of Murder par Bong Joon-ho
Venom : Let There Be Carnage par Andy Serkis
NDDJ (Notre-Dame-du-Jambon) par Grace D. Singh et Sita Singh
Aquaman et le Royaume perdu par James Wan
Vice-Versa 2 par Kelsey Mann
X par Ti West
MaXXXine par Ti West
Erin Brockovich, seule contre tous par Steven Soderbergh
SEPTEMBRE
LIVRES
L'Ăąge d'or Volume 1 de Curil Pedrosa et Roxanne Moreil
Le féminisme ou la mort de Françoise d'Eaubonne
FILMS
Deadpool et Wolverine par Shawn Levy
Pearl par Ti West
The Witch par Robert Eggers
The Northman par Robert Eggers
Star Wars, épisode V : L'Empire contre-attaque par Irvin Kershner
Sortir de l'amour romantique comme seul modÚle de société par la journaliste Salomé Saqué
Star Wars, épisode III : La Revanche des Sith de George Lucas
Harry Potter and the Philosopher's Stone par Chris Colombus
Una volta ancora par Giulia Di Maggio
White power, au cƓur de l’extrĂȘme droite europĂ©enne par Christophe Cotteret
Barbare par Zach Cregger
Jeanne du Barry par MaĂŻwenn
La Terre est habitée !, par Kaj Pindal et Les Drew
The Game par David Fincher
The Crow par Rupert Sanders
Petite Leçon de cinéma : le documentaire par Jean-Stéphane Bron
A Girl Walks Home Alone at Night par Ana Lily Amirpour
Under the Silver Lake par David Robert Mitchell
Strangers par Tony Dean Smith
Blink Twice par Zoë Kravitz
Histoire de mon pays d'enfance par Marine Mabila
L’illusionniste par Alain Cavalier
Outlaw King : Le roi hors-la-loi par David Mackenzie
Under The Lake par Thanasis Trouboukis
God Bless America par Bobcat Goldthwait
King of Thieves par James Marsh
Beetlejuice par Tim Burton
Astartes par Syama Pederson
Lady Bird par Greta Gerwig
The Killer par David Fincher
Finestkind par Brian Helgeland
Wolfs par Jon Watts
Trap par Night Shyamalan
Apartment 7A par Natalie Erika James
SERIE
Godless par Scott Franck
OCTOBRE
LIVRES
Lettres autour d'un jardin par Rainer Maria Rilke
Pour le droit de vote dÚs la naissance de Clémentine Beauvais
FILMS
Depuis, je vole par Aylin Gökmen
Speak No Evil par Christian Tafdrup
The Wasp par Guillem de Morales d'aprĂšs une piĂšce de Morgan Lloyd Malcolm
The Green Knight par David Lowery
Reptile par Grant Singer
Just Mercy par Destin Daniel Cretton
Le Collectionneur par Gary Fleder
Essai de reconstitution des 46 jours qui précédÚrent la mort de Françoise Guiniou par Christian Boltanski
Julie and Julia par Nora Ephron
Mindscape par Jorge Dorado
Bloodshot par Dave Wilson
Hellboy : The Crooked Man par Brian Taylor
Fair Play par Chloe Domont
The Highwayman par John Lee Hancock
The Final Girls par Todd Strauss-Schulson
Come to Daddy par Ant Timpson
Spree par Eugene Kotlyarenko
Car Wash de LaĂŻs Decaster
Beetlejuice Beetejuice par Tim Burton
Alien : Romulus par Fede Alvarez
Bad Genius par J.C. Lee
La Famille Addams par Barry Sonnenfeld
Carrie au bal du diable par Brian de Palma
Jennifer's body par Karyn Kusama
I Came By parBabak Anvari
Le Mangeur d'Ăąmes par Alexandre Bustillo et Julien Maury
Addams Family Values par Barry Sonnenfeld
Une affaire de détails par John Lee Hancock
Scream par Wes Craven
Scream 2 par Wes Craven
Halloween : La Nuit des masques par John Carpenter
Massacre à la tronçonneuse par Tobe Hooper
A Nightmare on Elm Street par Wes Craven
La colline a des yeux par Wes Craven
Evil Dead par Sam Raimi
SERIE
Mercredi par Tim Burton, James Marshall et Gandja Monteiro
NOVEMBRE
LIVRES
Les idendités meurtriÚres d'Amin Maalouf
La haine du poil par Juliette Mancini, Sara Piazza et Alexia handon-Piazza
In Humus par Lina Sterte
Errance par Raymond Depardon
FILMS
The Irishman par Martin Scorsese
Don't Move par Adam Schinfler et Brian Netto
Vole, vole tristesse par Miryam Charles
I Care a Lot par J Blakeson
Halloween par David Gordon Green
Nocturnal Animals par Tom Ford
The Pale Blue Eyes par Scott Cooper
Zombie de George Andrew Romero
Le Comte de Monte-Cristo par Alexandre de La PatelliĂšre et Matthieu Delaporte
Vendredi 13 par Sean S.Cunningham
La colline a des yeux par Alexandre Aja
La MĂ©canique de l'ombre par Thomas Kruithof
EphémÚres par Yuki Kawamura
In the Shadow of the Moon par Jim Mickle
Assassination Nation par Sam Levinson
The Substance par Coralie Fargeat
Harry Potter et la Chambre des secrets par Chris Colombus
Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban par Alfonso Cuaron
Harry Potter et la Coupe de feu par Mike Newell
Harry Potter et l'Ordre du Phénix par David Yates
Project X par Laura Poitras et Henri Moltke
Harry Potter et le Prince de sang-mĂȘlĂ© par David Yates
Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 1 par David Yates
Les cow-boys sont noirs de Serge Moati
Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 2 par David Yates
The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring par Peter Jackson
The Lord of the Rings : The Two Towers par Peter Jackson
The Lord of the Rings : The Return of the King par Peter Jackson
La Chapelle du Diable par Evan Spiliotopoulos
The Wonder par Sebastian Lelio
Le Roi Arthur : La légende d'Excalibur par Guy Ritchie
Le Dernier Voyage du Demeter par André Ovredal
Yannick par Quentin Dupieux
The Hunt par Craig Zobel
Elizabeth : L'Âge d'or par Shekhar Kapur
Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés par Rian Johnson
Largo Winch : Le Prix de l'argent par Olivier Masset-Depasse
The Gray Man par Anthony et Joe Russo
DECEMBRE
LIVRES
Werner Bischof par Claude Roy
Elégie de Marienbad par Goethe
Le Doudou méchant par Claude Ponti
Histoires pragoises par Rainer Maria Rilke
FILMS
Le dernier des Mohicans par Michael Mann
Time Cut par Hannah Macpherson
SOS FantÎmes : La Menace de Glace par Gil Kenan
Venom : The Last Dance par Kelly Marcel
Marie par D. J. Caruso
Sans identité par Jaume Collet-Serra
Heretic par Scott Beck et Bryan Woods
Reminiscence par Lisa Joy
An American Pickle par Brandon Trost
Renfield par Chris McKay
Carry-On par Jaume Collet-Serra
Céline (En français dans le texte) par Louis Pauwels et Yann Jouannet
Cold Blood Legacy : La Mémoire du sang par Frédéric Petitjean
Loups-garous par François Uzan
Le Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim par Kenji Kamiyama
Oppenheimer par Christopher Nolan
SERIE
Stranger Things par Matt et Ross Duffer
2 notes · View notes
wittylittle · 10 months ago
Text
Vendredi mon meilleur ami est venu chez moi. On a bu et fait de la coke.
Boytoy #2 est venu nous rejoindre, c’était la premiĂšre fois qu’il rencontrait un de mes amis
Mon bff est parti. Boytoy s’est installĂ© dans mon lit. On a fait des cĂąlins. Il voulait que je le suce, ça ne me tentait pas.
Hier je suis allĂ©e au club social. JH n’était pas lĂ , mais Philippe oui. C’était la premiĂšre fois qu’il voyait le patron depuis qu’on a couchĂ© ensemble.
Je trouvais ça beau de les voir se parler comme dans le bon vieux temps. Le patron ne sait rien de cette histoire.
J’ai tentĂ© de convaincre tous mes boys d’aller au strip karaoke aprĂšs la soirĂ©e, personne n’avait d’énergie.
Je suis rentrĂ©e et j’ai appelĂ© boytoy #2. Il m’a dit qu’il m’avait baisĂ©e la veille. Je n’ai aucun souvenir. Mais je comprends pourquoi j’étais si creamy au rĂ©veil.
Morale de cette histoire, la drogue c’est mal.
7 notes · View notes
ascle · 11 months ago
Text
Tumblr media
Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe Ă  l’histoire, volontairement ou non, grĂące Ă  une vidĂ©o virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la rÚgle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancĂ© par un QuĂ©bĂ©cois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau Ă  partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une Ă©mission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas dĂ©jĂ  un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invitĂ© un chef afin d’apprendre Ă  apprĂȘter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problĂšme c’est que
 les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrĂŽlable et aucun des deux n’arrive Ă  reprendre son sĂ©rieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degrĂ©.
youtube
Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidĂ©o qui s’est transformĂ©e en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugĂ© pour inceste. Le problĂšme c’est qu’à la sortie du palais de justice aprĂšs avoir clamĂ© son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une dĂ©claration aux journalistes dont son avocat se serait bien passĂ©. « J’ai jamais touchĂ© Ă  mes filles
 sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanĂ©ment passĂ©e Ă  la postĂ©ritĂ© et est maintenant portĂ©e Ă  toutes les sauces pour avouer Ă  demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensĂ© kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
youtube
La grosse dinde noire
A premiĂšre vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la mĂȘme dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prĂȘt Ă  tout pour tuer la une et on se retrouve avec une piĂšce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mĂ©saventure avec une dinde sauvage qui a dĂ©foncĂ© une fenĂȘtre de son salon et, paniquĂ©e, s’est soulagĂ©e intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
youtube
Update! En fĂ©vrier dernier, une autre dinde sauvage a fait la une aprĂšs avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherchĂ© relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi
 elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
youtube
Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le dĂ©sarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux ĂȘtre Brad Pitt, le PrĂ©sident ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes
 ben tu t’es chiĂ© dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est restĂ© comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisĂ©e pour Ă©voquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un trùs mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
youtube
Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice quĂ©bĂ©cois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend Ă  son procĂšs. Son crime? Des jeunes l’auraient coupĂ©e en voiture et elle a dĂ©cidĂ© de les Ă©duquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delĂ  du fait qu’on ne se fait pas justice soi-mĂȘme, notre chĂšre Yollande se pointe au tribunal complĂ©ment bourrĂ©e et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
youtube
Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un Ă©vĂ©nement est organisĂ© dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fĂȘter. Elle n’a pas Ă©tĂ© déçue! Elle tombe sur un mec complĂštement bourrĂ© qui dĂ©clare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en mĂȘme temps, j’ai pas de temps Ă  perdre ».
La vidĂ©o est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire quĂ©bĂ©coise en version longue ou courte.
youtube
J’ai l’doua!
Alors dĂ©jĂ  je commence par un avertissement: mĂȘme nous, QuĂ©bĂ©cois, faut s’accrocher pour comprendre le mec đŸ€Ł.
Contexte: un homme a dĂ©cide de faire un remblai (illĂ©gal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on dĂ©tecte quand mĂȘme rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il dĂ©clare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se dĂ©fendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! ArrĂȘte de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
youtube
Bonne fĂȘte Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool

Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidĂ©o pour lui offrir nos vƓux, mais on dirait que personne ne connaĂźt Kevin đŸ€ŁđŸ€Šâ€â™€ïž.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idĂ©alement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fĂȘte Kevin ».
youtube
11 notes · View notes
yxxxxxx1 · 10 months ago
Text
Thread about Joanna of Castile: Part 8: “The Tragic Departure: Philip's Refusal and Juana's Suffering
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Philips' refusal to stay longer shocked both monarchs and procurators. Castilian procurators warned that if he crossed France during wartime, he would be considered a traitor, exposing himself to the mercy of his enemies and endangering Juana's life. This would not only undermine the monarchs, but also the interests and honour of all Spain, and would cause great agitation. The Aragonese procurators appealed to Philip in the same way. Although the monarchs persuaded Juana to remain for the birth of their fourth child, Philip left Madrid on 19 December.
Martire was dismissive of Juana, who showed no sign of 'royalty or courage'. Burton, perhaps familiar with Martire’s letters, later summarised the situation in his opus on melancholy.
Tumblr media Tumblr media
Juana was:
“So impatient and melancholy upon [Philip’s] departure, that she would scarce eat her meat, or converse with any man; and though she were with child, the season of the year terrible, the wind against her, in all haste would to sea after him.”
Historians have also attributed this distressing episode to Juana's personal obsession with Philip, underestimating the broader political aspect. As with all female royals, Juana was born into a highly political setting. Even though she wasn't power-hungry, honour and reputation mattered to her. She was not only affected by her separation from her husband, but also by his conduct towards her. As a result, Juana, who wore violet for her reunion with Isabel in May, bid Philip farewells in December.
Almost certainly, this signalled more than personal grief.  She was heir to the many realms of Castile and Aragon and beyond personal grief and dishonour, her mourning signalled a political calamity.
The idea that Philip had run from his commitments as soon as the oath-taking was over made people doubt the succession, which made it very unlikely that the Spanish kingdoms could be ruled by princes who were also archdukes of Austria and dukes of Burgundy. This left Juana with a difficult decision, although not necessarily a resolute one:
To abandon her husband and children and remain in Castile to confront an uncertain future; or, in the event of Isabel's demise, to allow Fernando to continue to lead until Charles reached adulthood.
Considering the magnitude of negative remarks regarding Juana's conduct, it is noteworthy to recall that throughout the spring, she remained faithful to her royal duties. She made various acts of religious patronage, including visits that January to the Clarisan monastery of Rejas. Another sign that she supported the Franciscan order comes from a note written by a man named Francisco Segarra, who was hired by the kings to inspect monasteries in Aragon in 1493. Segarra thanks Juana for an act of charity and for her letters, in which she told him not to hesitate to ask her for more help. He hopes to be able to visit her soon.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
On 10 April, she brought comfort to her parents with the birth, at Alcalá de Henares, of a second son, Ferdinand, whom she agreed to leave in Castile. Sandoval describes Juana’s pleasure at the birth and the (fattering) sermon about her that Villaescusa preached at the baptism. Zurita refers to the:
“Great respect that the princess always had for the queen.
Sources: Fleming, G. B. (2018). Juana I: Legitimacy and Conflict in Sixteenth-Century Castile (1st ed. 2018 edition). Palgrave Macmillan.
Fox, J. (2012). Sister Queens: The Noble, Tragic Lives of Katherine of Aragon and Juana, Queen of Castile. Ballantine Books.
Gómez, M. A., Juan-Navarro, S., & Zatlin, P. (2008). Juana of Castile: History and Myth of the Mad Queen. Associated University Presse.
10 notes · View notes
francaistoutsimplement · 4 months ago
Text
Tumblr media
Socialiste, juif, comme Attal, mĂȘme engeance! Quel beau regard pour dĂ©finir le terme "fourbe" ?
Objectif probable de Dov Alfon, Dircteur de la publication de Libé, ex-agent du Mossad https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Dov_Alfon
1-empĂȘcher MĂ©lenchon de dĂ©passer le 1er tour
2-mobiliser les castors au 2nd tour contre Le Pen
3-pour Ă©lire Edouard Philippe,choisi par l'oligarchie
5 notes · View notes
jeanchrisosme · 5 months ago
Text
On subit, on encaisse. Chaque jour, on est un peu plus fissuré mais on ne dit rien. On se tait. On se répÚte en boucle que ça ira, que ça passera. Mais à force de prendre sur soi, un beau jour tout explose. On explose à la gueule des gens et personne n'y comprend rien. On avait l'air tellement heureux à sourire tout le temps. Mais on savait juste trop bien faire semblant.
Jean-Philippe Charbonnier
5 notes · View notes
concoursmuseumtoulouse · 9 months ago
Text
La Nature ne pense qu’à ça ! – Concours littĂ©raire
Tumblr media
FĂ©licitations Ă  tous les participants !
La 12e Ă©dition du concours de nouvelles du MusĂ©um d’histoire naturelle de Toulouse a connu un beau succĂšs ! Le MusĂ©um a, en effet, enregistrĂ© Ă  la clĂŽture des participations, le mardi 2 janvier 2024, prĂšs de 150 contributions en provenance de la France mĂ©tropolitaine, mais pas seulement. Une sĂ©lection de jolie facture qui continue de s’ouvrir Ă  l’international en transitant par des pays tels que la Belgique, le Cameroun, l’Italie, le QuĂ©bec ou la Suisse !
Tumblr media Tumblr media
Un grand bravo aux lauréats !
Le jury s’est rĂ©uni le jeudi 11 avril 2024 afin de tenir sa dĂ©libĂ©ration dĂ©signant les 6 laurĂ©ats auxquels s’ajoute un Prix spĂ©cial du jury. La sĂ©lection a Ă©tĂ© Ăąpre et les dĂ©bats animĂ©s !
Mais c’est sans compter sur le professionnalisme du jury, heureux d’annoncer les rĂ©sultats suivants, dans les 2 catĂ©gories adulte et jeunesse :
1. PalmarÚs dans la catégorie auteurs adultes :
1er prix : « À l’abordage» de GĂ©rard BASTIDE (81240)
2e prix : « Un si bel endroit » de Pierre-André MARTIN (14000)
3e prix : « Le goĂ»t du blanc » de Philippe FRÉMONT (31400)
Les 19 autres nouvelles prĂ©-sĂ©lectionnĂ©es dans la catĂ©gorie adultes Ă©taient : “L'Ă©tĂ© sans cigale" de ZoĂ© AUBRY (24000), "Ah ! Le bonheur" de ChloĂ© BAHUAUD (44000), "Transes-positions" de Jean-Pierre BEAUFILS (30250), "Romance anti-cafard" de MarlĂšne BERTRANINE (92600), "Beaux et fragiles" de SĂ©bastien BOULADE (31400), "L'Ă©chappĂ©e belle" d'Emmanuel BROC (32600), "L'homme d'en face" de Marie-Christine DELAUCHE (75005), "Je suis la Vouivre et je le resterai" de Sabine GENTY (11420), "Mille millions de Figaro" de Thomas GHIBAUDO (13580), "La Trompette des anges" de Jocelyn HÉRITIER (07400), "Ondine" de Jacques LAGNEAUX (Belgique), "De rerum natura" de RaphaĂ«l LE MAUVE (17000), "L'Homme de la montagne d'en haut" de Jean-Luc MERCIER (66160), "Jean-Calude Gasoil ne pense qu'Ă  ça" de Monique NICQUE (34110), "Prendre son pied par les cornes" de Pierre POISSON (81000), "Tchechihila" de Nathalie QUQUE (31140), "Sex machine" de Chantal REY (82000), "ThisbĂ© et Pyrame, les amants lĂ©gendaires" d'Anne-Marie RICHOU (31770), "Les escarpins" d'Anne RODES (93100).
2. PalmarÚs dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans :
1er prix : « Dead Flowers » de Louise CONFAIS (31560)
2e prix : « Marrante l’amante » de Marius SANTRAN (33800)
3e prix : « Un amoureux transi » d’Abel PAPAIX (31410)
Les 3 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans étaient : "Les Pasiphaés" de Juliette GORIAUD (31460), " Au fil des fourmis" de Maïa HELFER (Suisse) et "Félin pour l'autre" de Margaux POQUET-BELLELE (31130).
3. Le Prix spécial du jury :
« Romance anti-cafard » de MarlÚne BERTRANINE (92600)
Retrouvez le billet d’annonce des rĂ©sultats sur le Facebook du MusĂ©um : Facebook du MusĂ©um de Toulouse
Le musĂ©um va trĂšs bientĂŽt e-publier le recueil des nouvelles laurĂ©ates. Les premiers prix des 2 catĂ©gories (GĂ©rard Bastide et Louise Confais) seront lus Ă  voix haute le samedi 8 juin 2024, dans l’auditorium du MusĂ©um, lors de la rencontre littĂ©raire et de la remise des prix aux 6 laurĂ©ats et au Prix spĂ©cial du jury.
Un grand merci au jury !
Jessica Arduin (Psychologue clinicienne), LaĂ«titia Bartholome (Service Expositions, MusĂ©um), Audrey Bonniot (Service BibliothĂšque & Documentation, MusĂ©um), Caroline Chevalier-Galant (Service BibliothĂšque & Documentation, MusĂ©um), Évelyne Cocault (ComĂ©dienne de ThĂ©Ăątre amateur), Astrid Conan (Relation Visiteurs-Billetterie support qualitĂ©, MusĂ©um), Christel Dubois (Professeure d'anglais, auteure), Lucie Ferlet (PĂŽle jeunesse, MĂ©diathĂšque JosĂ© Cabanis), Nelly Faria (Service Offre Commerciale, MusĂ©um de Toulouse), Caroline Poincheval (Étudiante et ouvreuse, thĂ©Ăątre national de Bordeaux en Aquitaine), Marie-NoĂ«lle Jornat (Philosophe, lectrice), Florence Lamotte (Directrice commerciale chez Piktos), Lolita Lorenzon (PĂŽle jeunesse, MĂ©diathĂšque JosĂ© Cabanis), GaĂ«lle MahĂ© (Lectrice et auteure), Sylvie Marquez (Association Toulouse Polars du Sud), Bernard Meyer (Docteur en Philosophie, enseignant, comĂ©dien), Serge Nicolo (Écrivain, RĂ©gisseur des Collections, MusĂ©e Paul Dupuy), Cristina Noacco (Auteure, maĂźtre de confĂ©rence en littĂ©rature mĂ©diĂ©vale), CĂ©dric Pignat (Écrivain, enseignant, lecteur), Julien Philippe (Professeur-documentaliste) et Emmanuelle ViguiĂ© (Graphiste, dessinatrice, lectrice).
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous samedi 8 juin, au MusĂ©um de Toulouse !
3 notes · View notes
alain-keler · 7 months ago
Text
Tumblr media
Vendredi 5 juillet 2024. 
Rencontres d'Arles. La tour.
En Arles en touriste. Pas d'expo MYOP cette annĂ©e. Je n'ai pas eu le temps de voir toutes les expos. Je n'ai jamais Ă©tĂ© invitĂ© pour des vernissages, sauf pour un pot de mon camarade Philippe Guionie, ancien photographe de MYOP et rĂ©cemment nommĂ© Ă  la tĂȘte de la villa PĂ©rochon, le centre d'art contemporain et photographique de Niort. Bon vent Philippe !
 Arles est partagĂ© en deux : les visiteurs non-initiĂ©s et les organisateurs ou l'entre soi est de rigueur. J'ai beau ĂȘtre photographe depuis cinquante ans, je suis inconnu au bataillon, n'existant qu'au travers du collectif MYOP. Vous me direz, c'est dĂ©jĂ  pas mal !
 Retour à Paris ce samedi pour aller voter. Le pays est en danger.
5 notes · View notes