#Philippe le Beau
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Thread about Joanna of Castile: Part : 10 “A Storm of Jealousy: Juana and Philip's Turbulent Reunion"
By May 1504, Juana was in Burgundy. Juana’s reunion with Philip and the children was joyful.
But soon afterwards she suspected, or discovered, an affair between Philip and a noblewoman in her entourage:
“They say,” writes Martire, “that, her heart full of rage, her face vomiting fames, her teeth clenched, she rained blows on one of her ladies, whom she suspected of being the lover, and ordered that they cut her blond hair, so pleasing to Philip …”
Philip’s response was equally furious. He had “thrown himself” on his wife and publicly insulted her.
Sensitive and obstinate, “Juana is heartbroken … and unwell …”. Isabel “suffers much, astonished by the northerner’s violence.
Maximilian’s biographer, Wiesfecker, describes Juana’s response as:
"The symptom of a pathological, passionate, if not unfounded, Haßliebe, fomenting continual strife. "
Juana would have known for years about Philip's visits to the baigneries and his more casual relationships with women. However, this affair seemed to pose a direct challenge to her standing and dignity. Juana knew her faults and had tried to limit them. In 1500, after becoming princess, she had asked Isabel to send her an honest and prudent Spanish lady who:
“Knows how to advise her, and where she sees something out of order (‘deshordenado’) in her conduct could say so as servant and adviser but not as an equal because, even if the advice were good, if expressed in a disrespectful way it would create more anger in she to whom it was said than it would allow for correction.”
Sources: Fleming, G. B. (2018). Juana I: Legitimacy and Conflict in Sixteenth-Century Castile (1st ed. 2018 edition). Palgrave Macmillan.
Fox, J. (2012). Sister Queens: The Noble, Tragic Lives of Katherine of Aragon and Juana, Queen of Castile. Ballantine Books.
Gómez, M. A., Juan-Navarro, S., & Zatlin, P. (2008). Juana of Castile: History and Myth of the Mad Queen. Associated University Presse.
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La Parenthèse désenchantée (de ParisDude)
Synopsis Les années quatre-vingt. L’âge d’or du cinéma, de la musique et de l’économie en France. Mais aussi la fin de l’insouciance sexuelle née de la décennie précédente. En effet, un nouveau virus fait son apparition avec quatre lettres qui font froid dans le dos : SIDA. C’est dans ce contexte paradoxal où les espoirs du jour se mêlent aux craintes de la nuit que gravite Sébastien. Ce jeune…
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Le monde entier voit Philippe Katherine à poil chanté à quel point c'est cool d'être à poil et ça c'est beau
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Une étrangère s’est glissée dans mes paroles, beau masque de dentelle avec, entre les mailles, deux perles, plusieurs perles, larmes ou regards. De la maison des rêves sans doute sortie, elle m’a effleuré de sa robe en passant — ou si cette soie noire était déjà sa peau, sa chevelure? —
Philippe Jaccottet
Ph. Anthony Barboza : Laura
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Givenchy Haute Couture Collection Spring/Summer 1956. Jacky Mazel in a sober and elegant ensemble in beautiful white basketweave wool from Laffolay. The straight, collarless jacket barely indicates the body line. An applied pocket adorns the left side. The narrow skirt emphasizes the thinness of the line. A very large knotted stole, in light silk chiffon by G.Pétillault, feminizes the silhouette.
Givenchy Collection Haute Couture Printemps/Ét�� 1956. Jacky Mazel dans un ensemble sobre et élégant en beau lainage natté blanc de Laffolay. La veste droite et sans col indique à peine la ligne du corps. Une poche appliquée orne le côté gauche. La jupe étroite accuse la minceur de la ligne. Une très grande étole nouée, en légère mousseline de soie de G.Pétillault, féminise la silhouette.
Photo Philippe Pottier
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Mais pourquoi tant de haine ?
Il ne sert à rien de ce cacher derrière son petit doigt et de se raconter des bobard en faisant semblant de les croire : la célèbre histoire de Titin de Martigues et de la sardine qui avait bouché l'entrée du port de Marseille a fait long feu. La dernière fois que je l'ai racontée en entier, je devais avoir 7 ou 8 ans ! Osons parler français (un des grands problèmes du moment !) et reconnaître qu'il existe, ici et là (ou, depuis peu, ici ET là !) une véritable haine de la France, par des ''français'' dont la définition approximative explique sans doute bien des choses...
Bref retour sur image : il estune question utile que tout le monde, pourtant, se refuse de poser honnêtement : ''Qu'est-ce qu'un français ?'', ou : ''Qui est français ?''. La réponse pourrait sembler multiple, puisqu'elle peut aller de souvenirs honteux timidement avancés par le côté droit de l'échiquier politique jusqu'aux hurlement d’orfraie poussés par principe par l'aile gauche du même éventail : quand les premiers murmurent et s'excusant des notions de culture, de maîtrise d'une langue, d'impression ''d'appartenir'' et d'identification avec un mode de vie... les autres trouvent suffisant d'arborer un bout de papier, fut-il frauduleusement obtenu à coup de mensonges et d'approximations. Il ne faut pas longtemps pour trancher entre qui respecte le sens des mots et qui en ignore le sens.
En fait, après quelque quinze siècles de construction d'une Nation (ce ''cocon'' qui est ou devrait être ''un combat permanent''), on retombe toujours sur Ernest Renan qui, le 11 mars 1882, prononça à la Sorbonne une conférence sur l’idée de Nation... Trente pages qui servent toujours de référence. La France, d'après Renan, n'est pas une race, mais c'est une langue, une religion, une culture, une communauté de géographie, d'histoire, de souvenirs et d’intérêts. C'est une âme, un principe spirituel, un consentement, un désir de vivre ensemble et –la formule est restée célèbre--, ''un plébiscite de tous les jours''.
Il est évident que les glissements sémantiques qui servent actuellement de non-arguments à une Gauche qui a elle-même perdu son âme (si elle en a eu une, puisque tous ses efforts s'épuisent à refuser d'en avoir une et à faire croire qu'elle n'existe pas), pèsent peu de poids devant la lourde démonstration de Renan, et la cause devrait âtre tranchée : après ce chef d’œuvre, nul besoin de perdre sont temps à nommer un ou plusieurs ''Comités Théodule'' pour plancher sur ce sujet. Sans souci de ses origines, un français ''de papier'' (d'ailleurs souvent de très mauvais gré ou par le hasard d'un lieu de naissance) ne saurait être comparé, sur aucun point, à un ''citoyen français'' dans la pleine richesse de ce que ce terme véhicule de beau, de grand, mais aussi de complexe. La cause devrait être entendue et les faux arguments, rejetés.... ce qui résoudrait ce problème qui taraude et détruit notre pays.
Contre les mensonges proférés à longueur d'année par les europhiles bruxellois, l'européen de ce XXI ème siècle nage en réalité dans un désespoir permanent, sans cap, sans boussole, et ayant perdu son histoire et ses origines. L'Homo festivus (le mot est de Philippe Murray) des années '60 a été remplacé, sans vraiment le vouloir, par un ''Homo desperatus'' à qui des faux guides mal intentionnés font croire qu'il a une chance de trouver une guérison dans des idéologies mortifères ou des lois ''sociétales'', toutes contre nature, dans sa propre déconstruction, dans le rejet de ''soi'', dans l'auto-dénigrement de tout ce qu'il a été, dans le rejet et la haine de ce qu'il est, de ce qu'il rêve (encore) d'être, et dans la négation de tout ce qu'il a aimé... et aime encore, sans oser le dire. Et et face... Rien ! Le néant absolu, le vide glacé d'un monde-à-venir sans réponses, sans solutions, sans espoir...
En refusant de lui reconnaître non seulement une existence –comme les autres animaux-- mais aussi une essence –comme un ''animal bien à part'', les idéologies de la déconstruction privent l'homme de toute possibilité de salut, de réalisation et, répétons-le, d'espoir, c'est-à-dire de redevenir pleinement humain –au sens où notre civilisation dite judéo-chrétienne avait réussi à l'élever... Le monde actuel ne nous permettra bientôt plus que de rêver à des fausses richesses intermédiaires : les plaisirs éventés, les jeux de hasard pipé, des réussites matérielles convenues, ou... des jeux olympiques ! ''Panem et circenses'', en trois mots.
Le libéralisme, le modernisme et le progressisme ont entraîné un basculement majeur dans la pensée éthique de notre civilisation, qui s'est ainsi trouvée dépossédée de ses protections. Une des conséquences de ce pas de côté est une tentation de détestation de l'humanité, ''...puisqu'elle m'a déçu'' ! En réalité, nous vivons sur une nouvelle forme d'éthique : une éthique sans ''ethos'', donc sans lien avec nous-même ! Une liberté frelatée et changeante devient seul arbitre du Bien et du Mal, qui n'ont plus de définition universelle mais sont ramenées à ''notre bon vouloir de l'instant'' : l'homme, ''libéré'' (sic !) de toute morale, deviendrait ainsi la source unique de sa propre vérité, rebaptisée ''LA'' Vérité, elle aussi libérée (tu parles !) de toute influence normative ou de tout héritage civilisationnel... ce qui revient à dire : privée de murs porteurs.
A l'échelon de la Cité, cela a vite fait de devenir la disparition de toute responsabilité du politique envers les citoyens. Nous l'avons enduré avec l'absurde ''Quoi qu'il en coûte'' macronien, qui nous a plongés dans un gouffre dont nous sortons mutilés à jamais, car s'il n'existe plus de ''mètre étalon'' des vertus cardinales (Prudence, Tempérance, Force d'âme, Justice), la Loi perd son ''L'' majuscule. Au nom de cette fausse liberté (assimilée à un devoir d'obéissance aveugle à toutes les injonctions du Pouvoir en place), je peux donc faire ou dire ce qui me plaît, à chaque instant : je vais m'inventer de ''nouveaux Droits'', fonctions de mon bon plaisir du moment, et tant pis s'ils entrent frontalement en contradiction avec les autres ''Droits'' et les grands principes : je suis libre, non ? (re-''tu parles'', bis !). Et d'ailleurs, si ''tout se vaut'' et si ''tout est construction'', tout peut se transformer, et on peut recréer l'homme... un homme prétendu ''nouveau'' --bien entendu sur le cadavre de son prédécesseur, volontairement détruit pour permettre cette monstruosité !
La potion est dure à avaler : un immense dispositif dévastateur a été mis en place (NDLR : Par qui ? C'est une autre question qu'il faudra bien regarder en face, un jour) pour créer une alternative-leurre à la Vérité –qui est et ne peut être qu'une, non négociable, intangible et indiscutable--, et le piège a failli se refermer. Il semble cependant que, partout, d'immenses vagues se dressent et qu'apparaît enfin une première chance de balayer l'affreux édifice de mensonges que nous avons laissé ériger entre nous... et nous ! Au fond, cette crise de haine contre nous-mêmes pourrait n'être qu'une mode qui ira se noyer dans l'océan des mauvaises idées à oublier au plus vite !
H-Cl.
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AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mélancolique. Katherine PANCOL célèbre romancière française, est une écrivaine dont le style se caractérise à l’américaine marqué par de nombreux dialogues et ses récits qui décrivent souvent des destins chaotiques de femmes indépendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantôt de miel, tantôt de pâte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problème cette éternelle histoire d'amour manquée entre Philippe et Joséphine (mais où va-t-elle chercher les prénoms de ses héroïnes ??), mais on l'attend au détour des traits de cet étonnant Junior, surdoué improbable qui casse quelque peu la véracité des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succès de l'opus précédent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-être entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (décidément, les prénoms sont un mystère pour Madame Pancol... ) et les pérégrinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un père fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financière" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pâture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisième opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatrième volet.
Bref, un écrin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, même s'il souffre de quelques incongruités.
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Vendredi mon meilleur ami est venu chez moi. On a bu et fait de la coke.
Boytoy #2 est venu nous rejoindre, c’était la première fois qu’il rencontrait un de mes amis
Mon bff est parti. Boytoy s’est installé dans mon lit. On a fait des câlins. Il voulait que je le suce, ça ne me tentait pas.
Hier je suis allée au club social. JH n’était pas là, mais Philippe oui. C’était la première fois qu’il voyait le patron depuis qu’on a couché ensemble.
Je trouvais ça beau de les voir se parler comme dans le bon vieux temps. Le patron ne sait rien de cette histoire.
J’ai tenté de convaincre tous mes boys d’aller au strip karaoke après la soirée, personne n’avait d’énergie.
Je suis rentrée et j’ai appelé boytoy #2. Il m’a dit qu’il m’avait baisée la veille. Je n’ai aucun souvenir. Mais je comprends pourquoi j’étais si creamy au réveil.
Morale de cette histoire, la drogue c’est mal.
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Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
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Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
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La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
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Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
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Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
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Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
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Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
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J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
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Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
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Socialiste, juif, comme Attal, même engeance! Quel beau regard pour définir le terme "fourbe" ?
Objectif probable de Dov Alfon, Dircteur de la publication de Libé, ex-agent du Mossad https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Dov_Alfon
1-empêcher Mélenchon de dépasser le 1er tour
2-mobiliser les castors au 2nd tour contre Le Pen
3-pour élire Edouard Philippe,choisi par l'oligarchie
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On subit, on encaisse. Chaque jour, on est un peu plus fissuré mais on ne dit rien. On se tait. On se répète en boucle que ça ira, que ça passera. Mais à force de prendre sur soi, un beau jour tout explose. On explose à la gueule des gens et personne n'y comprend rien. On avait l'air tellement heureux à sourire tout le temps. Mais on savait juste trop bien faire semblant.
Jean-Philippe Charbonnier
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Thread about Joanna of Castile: Part 8: “The Tragic Departure: Philip's Refusal and Juana's Suffering
Philips' refusal to stay longer shocked both monarchs and procurators. Castilian procurators warned that if he crossed France during wartime, he would be considered a traitor, exposing himself to the mercy of his enemies and endangering Juana's life. This would not only undermine the monarchs, but also the interests and honour of all Spain, and would cause great agitation. The Aragonese procurators appealed to Philip in the same way. Although the monarchs persuaded Juana to remain for the birth of their fourth child, Philip left Madrid on 19 December.
Martire was dismissive of Juana, who showed no sign of 'royalty or courage'. Burton, perhaps familiar with Martire’s letters, later summarised the situation in his opus on melancholy.
Juana was:
“So impatient and melancholy upon [Philip’s] departure, that she would scarce eat her meat, or converse with any man; and though she were with child, the season of the year terrible, the wind against her, in all haste would to sea after him.”
Historians have also attributed this distressing episode to Juana's personal obsession with Philip, underestimating the broader political aspect. As with all female royals, Juana was born into a highly political setting. Even though she wasn't power-hungry, honour and reputation mattered to her. She was not only affected by her separation from her husband, but also by his conduct towards her. As a result, Juana, who wore violet for her reunion with Isabel in May, bid Philip farewells in December.
Almost certainly, this signalled more than personal grief. She was heir to the many realms of Castile and Aragon and beyond personal grief and dishonour, her mourning signalled a political calamity.
The idea that Philip had run from his commitments as soon as the oath-taking was over made people doubt the succession, which made it very unlikely that the Spanish kingdoms could be ruled by princes who were also archdukes of Austria and dukes of Burgundy. This left Juana with a difficult decision, although not necessarily a resolute one:
To abandon her husband and children and remain in Castile to confront an uncertain future; or, in the event of Isabel's demise, to allow Fernando to continue to lead until Charles reached adulthood.
Considering the magnitude of negative remarks regarding Juana's conduct, it is noteworthy to recall that throughout the spring, she remained faithful to her royal duties. She made various acts of religious patronage, including visits that January to the Clarisan monastery of Rejas. Another sign that she supported the Franciscan order comes from a note written by a man named Francisco Segarra, who was hired by the kings to inspect monasteries in Aragon in 1493. Segarra thanks Juana for an act of charity and for her letters, in which she told him not to hesitate to ask her for more help. He hopes to be able to visit her soon.
On 10 April, she brought comfort to her parents with the birth, at Alcalá de Henares, of a second son, Ferdinand, whom she agreed to leave in Castile. Sandoval describes Juana’s pleasure at the birth and the (fattering) sermon about her that Villaescusa preached at the baptism. Zurita refers to the:
“Great respect that the princess always had for the queen.
Sources: Fleming, G. B. (2018). Juana I: Legitimacy and Conflict in Sixteenth-Century Castile (1st ed. 2018 edition). Palgrave Macmillan.
Fox, J. (2012). Sister Queens: The Noble, Tragic Lives of Katherine of Aragon and Juana, Queen of Castile. Ballantine Books.
Gómez, M. A., Juan-Navarro, S., & Zatlin, P. (2008). Juana of Castile: History and Myth of the Mad Queen. Associated University Presse.
#joanna of castile#juana i of castile#philip the handsome#juana la loca#isabel#irene escolar#Raúl Mérida#Philippe le Beau#Felipe I de Castilla#Felipe el Hermoso#Philipp I. von Kastilien#Filips I van Castilië#Johanna van Castilië#Jeanne la Folle#european history#johanna van castilie#catherine of aragon
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La Nature ne pense qu’à ça ! – Concours littéraire
Félicitations à tous les participants !
La 12e édition du concours de nouvelles du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse a connu un beau succès ! Le Muséum a, en effet, enregistré à la clôture des participations, le mardi 2 janvier 2024, près de 150 contributions en provenance de la France métropolitaine, mais pas seulement. Une sélection de jolie facture qui continue de s’ouvrir à l’international en transitant par des pays tels que la Belgique, le Cameroun, l’Italie, le Québec ou la Suisse !
Un grand bravo aux lauréats !
Le jury s’est réuni le jeudi 11 avril 2024 afin de tenir sa délibération désignant les 6 lauréats auxquels s’ajoute un Prix spécial du jury. La sélection a été âpre et les débats animés !
Mais c’est sans compter sur le professionnalisme du jury, heureux d’annoncer les résultats suivants, dans les 2 catégories adulte et jeunesse :
1. Palmarès dans la catégorie auteurs adultes :
1er prix : « À l’abordage» de Gérard BASTIDE (81240)
2e prix : « Un si bel endroit » de Pierre-André MARTIN (14000)
3e prix : « Le goût du blanc » de Philippe FRÉMONT (31400)
Les 19 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie adultes étaient : “L'été sans cigale" de Zoé AUBRY (24000), "Ah ! Le bonheur" de Chloé BAHUAUD (44000), "Transes-positions" de Jean-Pierre BEAUFILS (30250), "Romance anti-cafard" de Marlène BERTRANINE (92600), "Beaux et fragiles" de Sébastien BOULADE (31400), "L'échappée belle" d'Emmanuel BROC (32600), "L'homme d'en face" de Marie-Christine DELAUCHE (75005), "Je suis la Vouivre et je le resterai" de Sabine GENTY (11420), "Mille millions de Figaro" de Thomas GHIBAUDO (13580), "La Trompette des anges" de Jocelyn HÉRITIER (07400), "Ondine" de Jacques LAGNEAUX (Belgique), "De rerum natura" de Raphaël LE MAUVE (17000), "L'Homme de la montagne d'en haut" de Jean-Luc MERCIER (66160), "Jean-Calude Gasoil ne pense qu'à ça" de Monique NICQUE (34110), "Prendre son pied par les cornes" de Pierre POISSON (81000), "Tchechihila" de Nathalie QUQUE (31140), "Sex machine" de Chantal REY (82000), "Thisbé et Pyrame, les amants légendaires" d'Anne-Marie RICHOU (31770), "Les escarpins" d'Anne RODES (93100).
2. Palmarès dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans :
1er prix : « Dead Flowers » de Louise CONFAIS (31560)
2e prix : « Marrante l’amante » de Marius SANTRAN (33800)
3e prix : « Un amoureux transi » d’Abel PAPAIX (31410)
Les 3 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans étaient : "Les Pasiphaés" de Juliette GORIAUD (31460), " Au fil des fourmis" de Maïa HELFER (Suisse) et "Félin pour l'autre" de Margaux POQUET-BELLELE (31130).
3. Le Prix spécial du jury :
« Romance anti-cafard » de Marlène BERTRANINE (92600)
Retrouvez le billet d’annonce des résultats sur le Facebook du Muséum : Facebook du Muséum de Toulouse
Le muséum va très bientôt e-publier le recueil des nouvelles lauréates. Les premiers prix des 2 catégories (Gérard Bastide et Louise Confais) seront lus à voix haute le samedi 8 juin 2024, dans l’auditorium du Muséum, lors de la rencontre littéraire et de la remise des prix aux 6 lauréats et au Prix spécial du jury.
Un grand merci au jury !
Jessica Arduin (Psychologue clinicienne), Laëtitia Bartholome (Service Expositions, Muséum), Audrey Bonniot (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Caroline Chevalier-Galant (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Évelyne Cocault (Comédienne de Théâtre amateur), Astrid Conan (Relation Visiteurs-Billetterie support qualité, Muséum), Christel Dubois (Professeure d'anglais, auteure), Lucie Ferlet (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Nelly Faria (Service Offre Commerciale, Muséum de Toulouse), Caroline Goursat (Étudiante, libraire), Marie-Noëlle Jornat (Philosophe, lectrice), Florence Lamotte (Directrice commerciale chez Piktos), Lolita Lorenzon (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Gaëlle Mahé (Lectrice et auteure), Sylvie Marquez (Association Toulouse Polars du Sud), Bernard Meyer (Docteur en Philosophie, enseignant, comédien), Serge Nicolo (Écrivain, Régisseur des Collections, Musée Paul Dupuy), Cristina Noacco (Auteure, maître de conférence en littérature médiévale), Cédric Pignat (Écrivain, enseignant, lecteur), Julien Philippe (Professeur-documentaliste) et Emmanuelle Viguié (Graphiste, dessinatrice, lectrice).
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous samedi 8 juin, au Muséum de Toulouse !
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Vendredi 5 juillet 2024.
Rencontres d'Arles. La tour.
En Arles en touriste. Pas d'expo MYOP cette année. Je n'ai pas eu le temps de voir toutes les expos. Je n'ai jamais été invité pour des vernissages, sauf pour un pot de mon camarade Philippe Guionie, ancien photographe de MYOP et récemment nommé à la tête de la villa Pérochon, le centre d'art contemporain et photographique de Niort. Bon vent Philippe !
Arles est partagé en deux : les visiteurs non-initiés et les organisateurs ou l'entre soi est de rigueur. J'ai beau être photographe depuis cinquante ans, je suis inconnu au bataillon, n'existant qu'au travers du collectif MYOP. Vous me direz, c'est déjà pas mal !
Retour à Paris ce samedi pour aller voter. Le pays est en danger.
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🖤MARQUIS DE SADE (AUSSI) EN UNE DU NOUVEAU MOOK🖤
Il y a une semaine nous vous présentions la Une de notre trimestriel du printemps. Baignée de lumière dorée, auréolée du retour miraculeux de Beth Gibbons avec "Lives Outgrown», la couv’ du Magic n°231 annonce un dossier de 16 pages qui raconte, commente, et chronique « l’art de l’esquive » de la voix de Portishead, présence aussi discrète qu’inoubliable dans la pop de ces trente dernières années.
Mais ce n’est pas tout...
En retournant votre nouveau mook (désormais en route vers la boîte aux lettres de nos abonnés), surprise : Magic s’habille aussi de noir avec une deuxième Une qui rend hommage à l’un des piliers du panthéon rock de chez nous : Marquis de Sade.
Avec son très beau portrait signé de notre photographe Julien Bourgeois, la quatrième de couverture de ce numéro loue "la race des seigneur » du quatuor rennais. Si Philippe Pascal, son chanteur disparu en 2019 quelques mois après la reformation du groupe, en était l’incarnation torturée, alors Frank Darcel, son guitariste et confondateur, en était le moteur qui s’emballe. Il nous a quittés à son tour le 14 mars dernier et Magic ne se voyait pas composer un sommaire qui n’aurait pas fait une place à "ce menhir en mouvement perpétuel".
Pour l’occasion, notre cahier Rembobinages renferme un dossier spécial de 34 pages qui raconte l’histoire collective, la réunion de 2017 débattue à l’oral, le temps des projets d’avenir (à travers un entretien posthume inédit) et la trajectoire singulière (entre New York, la Bretagne et le Portugal) de Frank Darcel.
Ce dossier exceptionnel, nos abonnés auront la chance de le découvrir dans une poignée de jours (arrivée prévue autour du vendredi 7 juin dans leur boîte aux lettres). Si vous n’en faites pas (encore) partie, pas de panique, vous pouvez commander ce numéro dès maintenant en suivant le lien en bio 🔗
À très bientôt pour le sommaire complet du numéro !
Photo © @julienbpics pour Magic | Design © David Guibaud
#marquisdesade #frankdarcel @marquis_rennes
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Dans le film “La Crise” de Coline Serreau sorti en 1992, l’actrice Maria Pacôme se rebelle contre ses enfants, joués par Vincent Lindon et Zabou
Maria Pacôme est morte le 1er décembre 2018 à l’âge de 94 ans
ainsi que l’a annoncé son fils François. Si les plus jeunes ne connaissent pas forcément le nom ou le visage de cette comédienne qui fit les belles heures du théâtre de boulevard, beaucoup se souviennent de sa bonne humeur et de ses rôles dans « Les Tribulations d’un Chinois en Chine », de Philippe de Broca, « Les Sous-doués », de Claude Zidi ou « Le Gendarme de Saint-Tropez ». Mais c’est la réalisatrice Coline Serreau qui offrit son plus beau rôles à Maria Pacôme qui, en quelques répliques et une apparition furtive, aura marqué pour toujours de son empreinte ce film dans lequel, en mère de Vincent Lindon, elle crève l'écran, et qui qui lui valu sa nomination aux César 1993 comme meilleure actrice dans un second rôle. « J'ai repassé vos chemises, lavé vos slips, surveillé vos études. Je me suis fait des monceaux de bile, je n'ai vécu que pour vous, qu'à travers vous. »
« Tes problèmes de boulot, tes problèmes avec ta femme, tes problèmes de fric, tes problèmes en général et en particulier, moi ta mère, je m'en fous comme de l'an quarante, tu m'entends ? Je m'en fous, mais alors je m'en fous, je peux pas te dire à quel point je m'en fous. Je n'en ai vraiment rien, rien, rien à foutre. » Dans ce films aux dialogues brillants, Maria Pacôme, sexagénaire fraîchement séparée après des années de charge mentale familiale, fait elle-même sa crise. Pour la première fois, elle balance à ses enfants son ras le bol de mère au foyer à laquelle on ne confie que ses problèmes sans se soucier des siens. Les courses, le foyer, son mari..., la senior nouvelle génération envoie tout valser pour vivre, enfin, sa propre existence. En 1993, la tirade fait mouche, et restera culte tant elle choque les uns en même temps qu’elle libère bien des frustrations enfouies chez les femmes en pleine émancipation.
« Pendant trente ans je vous ai torchés, nourris, couchés, levés, consolés, tous les trois. J'ai repassé vos chemises, lavé vos slips, surveillé vos études. Je me suis fait des monceaux de bile, je n'ai vécu que pour vous, qu'à travers vous. J'ai écouté toutes vos histoires, vos problèmes et vos chagrins, sans jamais vous emmerder avec les miens. Alors maintenant, je prends ma retraite. Toi, il te reste une longue vie devant toi pour résoudre ta crise ; moi il me reste très peu de temps pour résoudre la mienne. Alors tu permettras que pour une fois je m'occupe de mes affaires avant les tiennes
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