#Occupation du Japon
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Chasseur Grumman F6F Hellcat aux couleurs japonaises retrouvé par un marine du Marine Aircraft Group 31 – Base aérienne navale de Yokosuka – Guerre du Pacifique – Japon – 8 septembre 1945
Photographe : Sergent C. R. McDade
©National Museum of the US Navy - 127-GW-1627-134955
Le Marine Air Group 31 a décollé d'Okinawa pour occuper la base aérienne de Yokosuka après la capitulation du Japon.

#WWII#guerre du pacifique#pacific war#occupation du japon#occupation of japan#united states marine corps#us marine corps#marine aircraft group 31#aviation militaire#military aviation#chasseur#avion de chasse#fighter#grumman f6f hellcat#f6f hellcat#hellcat#f6f#yokosuka#japon#japan#08/09/1945#09/1945#1945
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Geisha Une tradition vivante
Kyoko Aihara
Editions Soline, Courbevoie 2001, 128 pages, 24x29cm, ISBN 978-2876774315
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
C'est un privilège rare que de franchir les rideaux armoriés des anciennes maisons de thé japonaises, d'où la méconnaissance du rôle joué par les hôtesses de ces lieux rompues aux arts de divertissement et connues sous le nom de geishas. Historiquement, ces femmes sont associées à Kyoto, l'ancienne capitale du japon, où les exigences traditionnelles de leur formation sont toujours en vigueur aujourd'hui. Geisha explore tous les aspects de la vie, souvent pénible, de ces femmes remarquables leur costume, leur coiffure et leur maquillage élaborés, les cérémonies et les rituels auxquels elles participent, leur excellence dans la pratique des arts traditionnels et les relations qu'elles entretiennent avec les hommes et le monde extérieur. Les maiko et les geiko de Kyoto occupent une place à part dans la culture japonaise. II y a un siècle encore, on les voyait déambuler dans les rues de la ville, comme d'autres femmes aux activités proches dans d'autres villes du Japon. Aujourd'hui, leur existence se trouve menacée ; peu de femmes choisissent ce métier exigeant. En effet, de nombreuses années d'études leur sont nécessaires pour perfectionner leur connaissance des arts, apprendre à mener une conversation avec brio afin de divertir les hommes dans le respect de la tradition et à participer aux festivals saisonniers. Kyoto est la seule ville à proposer une formation de haut niveau qui garantit que les maiko et les geiko en exercice sont les véritables gardiennes du patrimoine culturel de leur pays. Le livre éclairant de Kyoko Aihara, richement documenté et illustré de photographies originales, dresse un portrait détaillé d'un pan de la société japonaise encore nimbé de mystère.
Kyoko Aihara est née à Yokohama, au Japon. Diplômée en histoire de l'art de l'Université de Tokyo, elle est ensuite allée étudier l'allemand à Cologne. Depuis 1994, elle est journaliste et photographe free-lance au Japon. Elle a publié de nombreux livres (tous illustrés de ses propres photographies) et rédigé pour de multiples journaux et magazines japonais des articles sur un vaste éventail de sujets. Les contacts privilégiés qu'elle a noués avec les maiko et les geiko de Kyoto lui ont permis de pénétrer l'univers des maisons de thé de la ville et d'écrire ce livre remarquable, unique en son genre.
07/12/23
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ma vertu préférée
La compassion. Plus le monde en aura, mieux il se portera
le principal trait de mon caractère
Maladroite ? C'est un trait de caractère d'être gourde ? Parce que si oui, c'est ce qui me représente le mieux
ce que j'apprécie le plus chez mes ami.e.s
J'aime les amis attentionnés, gentil et ouvert
mon principal défaut
Têtue, têtue, têtue
Bordel ce que je peux être têtue
mon occupation préférée
Manger, dormir, me faire câliner
Je suis une amoureuse des câlins
Votre idée du bonheur ?
Je ne demande pas énormément, juste la paix
Que ma tête arrête de penser ; juste profiter du vent, du ciel et des gens
Votre idée du malheur ?
Bah justement, les gens
Autant ils peuvent me rendre heureuse si je me sens à l'aise, Autant la plupart du temps j'ai constamment l'impression de mal faire, d'être jugé, une moins que rien
Et dans ces moments là, j'ai envie de courir tellement loin
Ce que je voudrais être
La meilleure version de moi-même
le pays où je désirerais vivre
Le japon, emmenez moi au japon!
la couleur que je préfère
Le bleu dans toute ses nuances, tout est beau pourvu que ce soit bleu
la fleur que j'aime
La pivoine, une grosse fleur pleine de pétales
L'infini beauté
l'oiseau que je préfère
Le colibri, me demandez pas pourquoi même moi je n'en sais rien
mes auteur.e.s favori.te.s en prose
Aucune idée, la prose ne fait pas partie de ce que je préfère
mes poètes préféré.e.s
Oscar Wilde sans hésiter
mes héros favoris dans la fiction
Le Roi Arthur me passionne, je ne saurai même pas expliquer pourquoi
mes compositeurices préféré.e.s
Yiruma m'emporte par son talent depuis plus de 10 ans ; que je sois triste ou heureuse, sa musique ne m'a jamais lassé
mes peintres favori.te.s
Van Gogh mais je suis sûrement biaisée par l'épisode de Dr Who dans lequel "il" apparaît
le personnage historique qui me déplaît le plus
Tout ceux qui ont déclenché la guerre pour leur idéaux
ma nourriture et ma boisson préférées
Donnez moi du chocolat, un chocolat chaud au lait d'amande ou du jus de banane et vous ferez de moi une femme comblée
mes noms favoris
J'avoue ne pas saisir la question
ce que je déteste par-dessus tout
Ce que j'essaye de fuir en moi
le don de la nature que je voudrais avoir
La beauté, tout doit être plus simple quand on est genre VRAIMENT belle, non?
comment j'aimerais mourir
En ayant vécu
mon état d'esprit actuel
Déterminée, je vaincrai j'en suis certaine
les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence
Je suis indulgente tant que ta faute n'était pas voulu, je saurais me mettre à ta place pour comprendre ce qui t'a mené à fauter
Je suis indulgente si tu ne savais pas, si tu as été maladroit.e
Mais je ne saurai être indulgente si dans ton acte, il y avait une once de méchanceté, si tu savais que tu blesserai
ma devise favorite
Pas vraiment de devise, mais je m'efforce de suivre les quatres accords toltèques du mieux que je peux
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L'historienne Hélène Carrère d'Encausse est morte à l'âge de de 94 ans, a annoncé sa famille à l'AFP, samedi 5 août. "Elle s'est éteinte paisiblement entourée de sa famille", précise le communiqué rédigé par ses enfants. Elle était, depuis 1999, secrétaire perpétuel de l'Académie française, un poste qu'elle était la première femme à occuper. Russophone et russophile reconnue, celle qui était devenue “Immortel” (elle tenait au masculin) a longtemps été la référence en la matière, incontournable conseillère des politiques et oratrice hors pair des universités les plus prestigieuses.
Spécialiste reconnue de la Russie, elle a notamment écrit L'Empire éclaté (1978), un ouvrage dans lequel elle prédit avec plus d'une décennie d'avance la dissolution de l'URSS, souligne le jury. Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres (1996), Grand-officier de la Légion d'Honneur (2008), Grand Croix de la Légion d’honneur (2011)... Hélène Carrère d'Encausse a aussi revêtu le costume de députée européenne entre 1994 et 1999. Mais certaines de ses prises de position, parfois trop indulgentes à l’égard de Vladimir Poutine, lui ont valu des critiques ces dernières années.
Naturalisée française à 21 ans
Le 6 juillet 1929, Hélène Zourabichvili naît dans une famille cosmopolite, exilée à Paris depuis la révolution bolchevique de 1917. Sa mère Nathalie von Pelken est une aristocrate russo-allemande. Son père, l’économiste et philosophe Georges Zourabichvili, est géorgien. Parmi ses ancêtres, l'historienne compte aussi de grands serviteurs des tsars comme de virulents protestataires de l'Empire, le président de l'Académie des sciences sous l'impératrice Catherine II et pas moins de trois régicides.
Élevée dans la langue russe, la future historienne apprend le français à quatre ans. Poursuit sa scolarité au lycée Molière, dans le cossu XVIe arrondissement. Et obtient la nationalité française à 21 ans. Un “cas d'intégration parfaite”, assure-t-elle à Libération en 2019. “Dans l'identité, je me sens française. Mais j'ai deux cultures.”
Pendant la Seconde Guerre mondiale, son père travaille avec les Allemands grâce à sa maîtrise des langues. Il est assassiné à la Libération, en 1944, “enlevé et probablement tué” par les résistants comme “collaborateur”. Secrets de famille dont le fils de l’historienne, Emmanuel Carrère, tirera son Roman russe, paru en 2007. Une version romancée de la réalité selon elle. Mariée en 1952 à l’assureur Louis Carrère d'Encausse, elle a deux autres filles, Nathalie (avocate) et Marina (médecin et animatrice de télévision).
Spécialiste de la Russie des tsars et de l'URSS
Après de brillantes études à l’Institut d’études politiques de Paris, Hélène Carrère d’Encausse devient professeur d’histoire à l’université Paris-1, et directrice de la Fondation nationale des sciences politiques. Grande spécialiste de la Russie tsariste puis du monde soviétique, elle est invitée aux quatre coins du globe pour donner des conférences et poursuivre ses recherches. Notamment au Japon et en Amérique du Nord, où les universités Laval et de Montréal au Canada lui décernent le titre de docteur honoris causa.
Auteure d’une vingtaine d’ouvrages, récompensés par plusieurs prix, elle bouscule le monde intellectuel avec la sortie d’un essai très remarqué : L'Empire éclaté (1978), en pleine guerre froide. Elle y prédit la chute de l’URSS, conséquence de la montée en puissance des républiques asiatiques de l’Union, incompatible avec le fonctionnement du régime. L’Histoire lui donnera en partie tort. Qu’importe : le best-seller s’écoule à une centaine de milliers d’exemplaires en quelques semaines et l’écrivaine est récompensée des prix Aujourd'hui (1978) et Louise-Weiss (1987). Reconnue pour son œuvre, elle entre à l'Académie française en 1990, devenant ainsi la troisième femme à prendre place sous la coupole, après Marguerite Yourcenar (1980) et Jacqueline de Romilly (1988).
À la fin des années 1980, l’historienne se fait politique. Elle rejoint la Commission des sages pour la réforme du Code de la nationalité en 1986. Huit ans plus tard, elle est élue au Parlement européen sur la liste UDF-RPR. Parallèlement à ses activités de députée européenne, elle occupe la vice-présidence de la Commission des archives diplomatiques françaises, et préside la Commission des sciences de l'homme au Centre national du livre entre 1993 et 1996.
Madame le secrétaire perpétuel
Nouvel hommage de l’Académie : en 1999, l’historienne devient la première femme secrétaire perpétuel de l’institution. Un titre qu’elle refuse de féminiser car “le secrétaire du roi, c'est noble, alors que la secrétaire, c'est une bonne à tout faire”, explique-t-elle à Libération en 2019. Mais l’historienne est fréquemment accusée de ne pas promouvoir la candidature des femmes quai de Conti. En 2023, elles étaient seulement neuf à prendre place sous la coupole, contre 32 hommes… “Je fais ce que je peux, mais je ne peux pas inventer des candidatures. Il y a des femmes de très grande qualité mais qui sont réticentes car elles savent qu'en ce moment on cherche des femmes, et ne veulent pas venir pour cela.”
Mais c’est surtout pour son discours hésitant sur Vladimir Poutine que “Madame Russie” s’est fait épingler. En 2014, l’historienne déclare au JDD à propos de l’annexion de la Crimée : “Certes, le basculement de la Crimée dans le giron russe n’a pas été légal au regard du droit international, mais je ne parlerais pas pour autant d’annexion”. Davantage d’une modification des frontières qui n’a pas été réglée par le biais d’un accord international.” L’invasion russe en Ukraine, moins de dix ans plus tard ? Impensable pour elle, “jusqu’au 24 février au matin”. Longtemps perçue par les politiques et les intellectuels comme “l’académicienne qui parlait avec Vladimir Poutine et qui rapportait le récit du Kremlin en France”, selon la politiste Marie Mendras, Hélène Carrère d’Encausse nageait depuis “en plein brouillard” avouait-elle.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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ELECTIONS EUROPEENNES : SORTIR DE L'EUROPE OU LA REFONDER ? GEOPOLITIQUE ET GEOSTRATEGIE.
Sans faire de géopolitique profonde, évoquons la notion de territoire (puissance et atouts) et consultons une carte géographique.
Qu'observons-nous ?
Un monde multipolaires d'Etats-Continents : USA, EUROPE, FEDERATION DE RUSSIE, EURASIE, CHINE, sans oublier l'INDE et l'INDONESIE. Les, USA , puissance impérialiste hégémonique ne peuvent plus s imposer et soumettre les nations à leur domination. Nous entrons, par ailleurs, dans une phase de dédollarisation et d'extension des BRICS.
Constatons que la Russie occupe une place centrale avec une partie européenne et une majeure partie eurasienne, et, s'étend jusqu'à Vladivostok (mer du Japon). Depuis le conflit ukrainien et l'extension de l'Otan jusqu' à ses frontières, la Russie regarde et se tourne désormais vers l'Eurasie (pièce maîtresse de l'économie mondiale dans les années à venir) et l'Asie, en renforçant ses liens et sa coopération avec la Chine, l'Inde, l'Indonésie et les autres pays qui ont rejoint récemment les Brics (qui ont pour objectif à très court terme de ne plus utiliser le dollar dans leurs transactions).
Le Général de Gaulle avait raison : aucune Europe digne de ce nom, ne peut se construire durablement sans prendre en compte la Russie.
Notre communauté européenne constituée de pays aux intérêts très divergents qui s'alignent constamment et systématiquement sur les USA et l'Otan, s'avère impuissante face aux nouveaux défis et se contente de subir.
Pourtant, nous avons besoin d'une Europe souveraine, forte et unie.
La France, seule et isolée, ne peut peser.
Faut-il donc sortir de l'Europe ?
Ne faudrait-il pas et ne vaudrait-il pas mieux la refonder, la rebâtir avec de nouveaux traités et un autre mode de gouvernance ?
A titre personnel, je ne voterai pas pour un parti ou un mouvement prônant le Frexit comme solution miracle.
Notre mouvement politique "Force Citoyenne Unie" devra se positionner clairement sur cette question.
Le débat est ouvert.
Article rédigé par Guy Decoupigny, président-fondateur de FCU le 15 octobre 2023.
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DVDvision - La Collection Épisode 9
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 9 de la série, quand HK intègre DVDvision, et le magazine devient mensuel !

Numéro 9 - Mars 2001 -
132 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Gael Golhen.
Sommaire : Kubrick, X-Men, Les Rivières Pourpres, Versions Longues.
DVD : Kubrick, Les Rivières Pourpres, Bandes-Annonces.

Notes : Un numéro très solide, le dernier bimestriel, et réalisé dans une ambiance cool à mon retour du Japon, où j'ai pu voir au cinéma "Bruce Lee in G.O.D." après un périple épique dans les rues de Shibuya raconté dans les pages du supplément HK.
Cette arrivée du cahier HK, dirigé par David Martinez (déjà rédacteur en chef du magazine culte de Christophe Gans), est la grande nouveauté de ce numéro. Il est vrai que la disparition de HK, juste au moment ou le cinéma asiatique explosait dans le "mainstream", avait laissé un grand vide, vide que Gans a proposé à l'éditeur de combler, en lui suggérant son intégration dans DVDvision, au cours d'une réunion concernant le lancement des premiers DVD HK.
Gans déboule quelque temps plus tard dans mon bureau les mains dans les poches, très embêté d'avoir proposé quand même un gros changement pour le magazine à notre éditeur en mon absence. J'accueille bien entendu sa proposition à bras ouverts. Ce fut même un honneur de continuer HK dans DVDvision.
On nous a parfois accusé de copinage avec Christophe, mais si il fut la personne qui a permis à ce magazine d'exister, en me faisant rencontrer l'éditeur, il nous a ensuite laissé dans l'arène, sans jamais intervenir, et cette instance fut la seule où il influa sur un élément important du mag. Le reste du temps, ses interventions se résumaient à des discussions de geeks, autour de la machine à café. Son regard sur le magazine, dans lequel il ne pouvait forcément pas intervenir en profondeur au vu de ses occupations de cinéaste, était très acéré, souvent je pense affuté par le fait qu'il n'était que le spectateur de sa fabrication, et surtout qu'il était un fan absolu du format DVD. Malgré son passage "de l'autre côté", il est clair que le journalisme continuait toujours à le fasciner.
Avec HK intégrant DVDvision donc, nous solidifions la structure de la rédaction. David Martinez est seul responsable du cahier HK, tandis que Leonard Haddad devient provisoirement rédacteur en chef adjoint, le temps de faire la transition, puisque nous passons mensuel à partir de ce numéro.

Couverture alternative par Joel Casano.
Je pensais à l'époque, et encore aujourd'hui, que le passage au mensuel était une erreur. En l'espace de 3 numéros, nous sommes passés de 100 à 116 pages, puis ici, 132 pages. Nous nous sommes retrouvés à la merci de l'actualité du mois en cours, alors que le rythme bimestriel nous permettait de choisir les sujets à traiter, en faisant l'impasse sur les DVD ratés, et de maintenir un très haut niveau de qualité éditoriale. A partir de ce numéro, pour maintenir le niveau, il a fallu travailler double. C'était d'autant plus compliqué qu'il fallait en plus produire un DVD et ses bonus dans chaque numéro, chaque mois. On s'est retrouvé à être obligé de traiter les DVD ratés, ce qui a déclenché de nombreuses frictions avec les éditeurs puisque nous étions très critiques. En même temps, le DVD prenait son envol, et nous sommes devenus avec Les Années Laser les magazines de référence, les deux étant complémentaires.
La bonne relation que j'entretiens alors avec Gaumont nous permet de scooper Les Rivières Pourpres, premier DVD agréé THX en France, et j'interviewe Richard Dean, contrôleur en chef. Je vais cependant créer la sensation dans les locaux d'authoring, en découvrant 2 images pixelisées sur le master définitif du film, pourtant validé par THX, lors d'une projection test du produit final, après leur départ ! Un incident que je vais passer sous silence sur demande du dirigeant de la société (mais aujourd'hui, il y a prescription), qui montre que le sceau qualité du label commençait déjà à craqueler. Je me souviendrais toujours du silence de mort, quand j'ai demandé à faire repasser la scène de l'avalanche, devant l'équipe entière du studio, puis ralentir le master jusque au moment où mon œil avait décelé quelque chose de furtif, mais anormal. Et de l'étonnement dans la salle, quand le technicien en charge de la compression s'est aperçu que la pixelisation n'était que sur deux images ("comment tu as fais pour voir ça ?!"). Il est reparti tout penaud, pour refaire la compression du bloc en entier. Il faut dire que travailler sur le DVD de Crying Freeman m'avais mis dans une forme olympique sur le sujet.
Avec son point signé David Martinez sur les DVD Kubrick (nous sommes en 2001), le superbe article de Leonard Haddad sur les versions longues de films, le dossier sur le DVD de Terminator par Sandy Gillet, le DVD X-Men chroniqué par Yannick Dahan, la section HK et les news de Williams Fiovarenti, je pense que le mag prend vraiment à ce moment là sa vitesse de croisière.
La couverture en haut de ce billet est tirée de l'image originale signée Joel Casano, celle en dessous est une version que nous avons mise de côté, parce-que les tons ressemblaient trop à la couverture Gladiator, et que nous ne voulions pas que les acheteurs croient qu'il s'agit du même numéro, perdu au milieu des autres magazines dans les kiosques. C'est dommage, elle était très réussie.
La citation de ce numéro : "Tu me colles une sale réputation, en disant dans ton édito que tous les DVD X disparaissent dans mon sac !" (Benjamin Rozovas - mars 2001)
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Les différentes visites au Japon liées à l’univers des ninjas
Le Japon, riche d’une histoire captivante et de légendes fascinantes, est un pays où le mystère et l’aventure se rencontrent. Parmi ses figures emblématiques, les ninjas occupent une place particulière, à mi-chemin entre la réalité historique et l’imaginaire populaire. Ces maîtres de l’infiltration, de l’espionnage et du combat ont marqué les siècles et continuent de séduire les voyageurs. Si…
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Guerre froide
Wow, je viens de capter un truc : la Corée est vraiment terrifiante.
Le pari millénaire m'a même révélé qu'elle sera la clé de voûte du cauchemar qui va envelopper l'humanité !
(Corée du Nord ou Corée du Sud ? Oui.)
Au fait : la guerre froide n'a pas pris fin en 1991. C'est juste que le communisme s'est retranché en Chine et en Asie, et s'est converti à la realpolitik. Mais le stalinisme existe toujours. La Corée du Nord en est le parfait exemple !
Ne t'en fais pas, la guerre froide va bientôt finir, pour de bon cette fois. Tu vois, les États-Unis et la Russie se sont presque réconciliés...
~ It's a clown show... ... Always was, always will be... ~
« Du 25 juin 1950 au 27 juillet 1953, la guerre de Corée oppose la république de Corée (actuelle Corée du Sud), soutenue par les Nations unies (dont la république de Chine (Taïwan) à cette époque), à la république populaire démocratique de Corée (Corée du Nord), soutenue par la république populaire de Chine et l'Union des républiques socialistes soviétiques. Elle résulte de la partition de la Corée à la suite d'un accord entre les Soviétiques, ayant libéré la Mandchourie et le nord de la Corée de l'emprise du Japon, et les Alliés victorieux de la guerre du Pacifique contre le Japon également, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. C'est un des premiers conflits de la guerre froide. »
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Quels sont les différents types de foulards ?
Les foulards sont des accessoires de mode incontournables qui allient élégance, praticité et tradition. Disponibles dans une variété de matériaux, formes et styles, ils sont portés à travers le monde pour des raisons aussi bien esthétiques que fonctionnelles. Cet article explore en détail les différents types de foulards, leurs matières, leurs styles, ainsi que leur importance culturelle.

Les matières utilisées pour les foulards
Le choix du matériau d’un foulard joue un rôle déterminant dans son aspect, sa texture et son confort. Voici les principales catégories de matières utilisées :
Les foulards en fibres naturelles
Foulards en soie : Reconnus pour leur douceur et leur brillance, ils sont parfaits pour des occasions chics et raffinées. La soie, issue des cocons de vers à soie, est légère et respirante, convenant ainsi aux climats variés.
Foulards en laine : La laine est un excellent isolant thermique, idéale pour affronter l’hiver. Issue de moutons, d’alpagas ou de cachemire, elle garantit chaleur et confort.
Foulards en coton : Légers et respirants, les foulards en coton sont parfaits pour une utilisation quotidienne et décontractée.
Foulards en cachemire : Dérivé d’une laine fine et précieuse, le cachemire offre une chaleur exceptionnelle avec une texture ultra-douce.
Les foulards en fibres synthétiques
Foulards en polyester : Très résistants et faciles d’entretien, ils imitent souvent l’apparence de la soie tout en étant plus accessibles.
Foulards en acrylique : Une alternative économique à la laine, l’acrylique est léger, chaud et décliné en une multitude de couleurs.
Les foulards en fibres mélangées
Les tissus mélangés combinent les avantages des fibres naturelles et synthétiques pour optimiser la durabilité, l’élasticité et le confort.
Les styles et formes de foulards
Il existe plusieurs types de coupes et de styles adaptés à divers usages :
Les foulards rectangulaires
C’est la forme la plus courante, idéale pour être enroulée autour du cou ou portée en châle. Ils sont polyvalents et adaptés à toutes les saisons.
Les foulards carrés
Généralement en soie ou en coton, ils se déclinent en tailles variées comme 90x90 cm ou 120x120 cm et peuvent être portés en bandeau, ceinture ou autour du cou.
Les écharpes et pashminas
Les pashminas, souvent en cachemire, sont appréciés pour leur élégance et leur chaleur. Ils peuvent être portés de manière décontractée ou habillée.
Les foulards infinis
Ces foulards circulaires permettent une mise en place rapide et garantissent une allure moderne et sophistiquée.
Les twillys
Petits et élégants, ces foulards étroits sont souvent utilisés comme accessoires pour sacs à main, bandeaux ou ceintures.
Les bandanas et foulards triangulaires
Le bandana, d’origine cowboy et rock’n’roll, est souvent en coton et se porte autour du cou, du poignet ou de la tête.
Les foulards selon les saisons
Foulards d’hiver
Fabriqués en matières chaudes comme la laine, le cachemire et l’acrylique, ils sont conçus pour protéger du froid.
Foulards d’été
Les matières légères comme la soie, le coton et le lin sont privilégiées pour leur fraîcheur et leur confort.
Foulards pour mi-saison
Les mélanges coton-laine ou soie-cachemire sont parfaits pour un équilibre entre chaleur et légèreté.
La signification culturelle des foulards
Les foulards occupent une place importante dans différentes cultures à travers le monde :
Moyen-Orient : Le hijab et le keffieh sont des symboles de tradition et d’identité culturelle.
Asie du Sud : Le dupatta, porté par les femmes en Inde et au Pakistan, ajoute une touche de grâce aux tenues traditionnelles.
Japon et Chine : Les foulards en soie symbolisent le raffinement et le prestige.
Europe : Le cravate-foulard, inspiré des soldats croates, a évolué en un accessoire de mode sophistiqué.
Afrique : Le gele nigérian et le duku ghanéen sont des éléments forts de l’habillement féminin lors de cérémonies et événements culturels.
Conclusion
Les foulards sont des accessoires polyvalents et intemporels, adaptés à toutes les saisons et styles vestimentaires. Qu’il s’agisse d’un pashmina luxueux, d’un twilly élégant ou d’une écharpe en laine chaude, il existe un modèle pour chaque occasion et besoin.
Woolgold : un leader dans la fabrication de foulards en France
Chez Woolgold, nous sommes fiers de proposer une large gamme de foulards, châles, couvertures, tissus, vêtements pour femmes et hommes. Découvrez notre collection sur Woolgold.com.
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Les Bornes d'Arcade Astro City : Une Icône Intemporelle du Jeu Vidéo
Dans l’univers des salles d’arcade, certaines bornes ont marqué l’histoire par leur design, leur fonctionnalité et leur capacité à captiver les joueurs. Parmi elles, les bornes Astro City occupent une place particulière, incarnant l’essence même de l’âge d’or des jeux d’arcade. Leur silhouette distinctive, leur ergonomie soignée et leur polyvalence en ont fait un symbole indétrônable pour les amateurs de jeux vidéo.
Conçues au Japon, les bornes Astro City se distinguent par leur esthétique épurée et futuriste. Leur structure, à la fois robuste et élégante, reflète une attention minutieuse portée aux détails. Le moniteur, incliné à un angle optimal, offre une immersion visuelle sans pareille, tandis que les commandes, disposées de manière intuitive, permettent une prise en main immédiate. Ces caractéristiques en font un outil parfait pour les joueurs, qu’ils soient novices ou expérimentés.
Ce qui rend les Astro City véritablement uniques, c’est leur modularité. Conçues pour accueillir une multitude de jeux, ces bornes permettent aux propriétaires de salles d’arcade de changer facilement les cartouches, offrant ainsi une variété infinie de divertissements. Que ce soit pour des combats épiques, des courses effrénées ou des défis de réflexion, les Astro City s’adaptent à tous les genres, devenant ainsi un véritable chameleon du monde de l’arcade.
Au-delà de leur aspect technique, les Astro City ont également joué un rôle culturel majeur. Elles ont été le témoin privilégié de moments mémorables : des parties endiablées entre amis, des records battus dans l’effervescence des salles d’arcade, et des découvertes de jeux devenus cultes par la suite. Pour beaucoup, elles représentent une époque révolue mais inoubliable, où le jeu vidéo était avant tout une expérience sociale et collective.
Aujourd’hui, bien que les salles d’arcade traditionnelles se fassent plus rares, les bornes Astro City continuent de fasciner. Collectionneurs et passionnés recherchent ces machines avec ferveur, cherchant à préserver un pan de l’histoire du jeu vidéo. Leur design intemporel et leur fonctionnalité sans faille en font des pièces de collection prisées, mais aussi des objets de décoration qui rappellent une époque où le jeu vidéo était roi.
En somme, les bornes Astro City ne sont pas de simples machines à jouer. Elles sont le reflet d’une culture, d’une passion et d’un héritage qui continue d’inspirer les générations actuelles et futures. Leur présence, même discrète, rappelle que le jeu vidéo est bien plus qu’un divertissement : c’est une aventure humaine, partagée et inoubliable.
#aiartcommunity#aiartworks#aiartist#aiinart#algorithmicart#artandtechnology#artofthefuture#artwithai#creativeai#digitalart#article#texte#france#astro city
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Cordonniers japonais – Tokyo – Japon – 24 octobre 1945
Photographe : Official U.S. Navy photograph of USS Chenango (CVE-28)
©National Museum of the United States Navy - 80-G-264837
#WWII#Après-guerre#After war#Occupation du Japon#Occupation of Japan#La vie après la guerre#Life after war#Vie quotidienne#Daily Life#Scène de rue#Street scene#Cordonniers#Cobblers#Tokyo#Japon#Japan#24/10/1945#10/1945#1945
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Avec son appli à 5 millions de dollars, la Chine vaporise entièrement le secteur technologique US en 24 heures.
Ce n'est que le début d'une très longue et douloureuse humiliation.
Précédemment : Trump promet 500 milliards de dollars à la judéocrature de la Silicon Valley pour privatiser l’espérance de vie des goyim
Les juifs de la Silicon Valley sont en pleine déroute.

Brutal.
La Presse :
Nvidia a perdu 589 milliards de dollars de capitalisation boursière, l’une des pires pertes de l’histoire selon la presse américaine, les investisseurs digérant la possibilité d’une solution plus rentable que celle des groupes américains en matière d’IA. Le champion américain des puces a également perdu sa place de première capitalisation mondiale, derrière Apple et Microsoft. L’action de Nvidia a dégringolé de 16,97 % à 118,42 dollars. La sortie de R1, le dernier modèle de la jeune pousse chinoise DeepSeek, a initialement reçu une attention limitée aux États-Unis, éclipsée par l’investiture de Donald Trump. Mais ce week-end, DeepSeek est devenue l’application gratuite la plus téléchargée sur la boutique en ligne d’Apple aux États-Unis, supplantant ChatGPT, le robot conversationnel d’OpenAI qui a lancé la course à l’IA générative fin 2022. Selon un article détaillant son développement, le modèle de DeepSeek n’a été entraîné qu’avec une fraction des puces utilisées par ses concurrents occidentaux, alors que ses capacités sont équivalentes à celles des leaders américains du secteur. DeepSeek a déclaré n’avoir dépensé que 5,6 millions de dollars pour développer son modèle, une somme dérisoire comparée aux milliards investis par les géants américains. Dans le sillage de Nvidia, une large partie du secteur des semi-conducteurs a également été plombée par ces informations : Broadcom a dévissé de 17,40 %, AMD a perdu 6,37 %, Micron a décroché de 11,71 % et Marvell Technology a sombré de 19,10 %. D’autres géants du secteur technologique, qui ont réalisé d’immenses investissements pour trouver leur place dans le secteur de l’IA, ont également terminé en berne, à l’image d’Alphabet (Google) qui a abandonné 4,03 %.
L’Amérique juive n’a pas d’économie. Elle dispose seulement d’un groupe armé qui pratique le terrorisme à l’échelle internationale depuis 1941 et qui occupe les deux grands pôles de production internationaux : le Japon et l’Europe. Toute cette fausse économie est basée sur la monnaie fictive en expansion constante de cette organisation. On ne peut pas sortir de cette pyramide de Ponzi sans être menacé physiquement.
Avec l’émergence de la Chine comme économie développée, un pôle de production majeur leur échappe et leur monopole s’effondre aussi rapidement qu’il a été mis en place.
Contrairement aux Américains obèses, les Chinois produisent des choses tangibles et utiles. C’est comme ça que fonctionne une économie qui n’est pas soumise au Talmud.
Zone Bourse :
Cette séance du 27 janvier restera gravée dans les mémoires parce qu’elle a eu un côté un peu ‘cygne noir’ pour le secteur des ‘technos’, mais aussi et surtout parce que la chute de -17% de Nvidia a occasionné la plus gigantesque destruction de valeur (-600Mds$) de l’histoire jamais observée sur une seule valeur du S&P500 ou du Dow Jones. L’indices PHLX des semiconducteur a dévissé de -9% (sans précédent depuis mars 2020) dans le sillage d’Arista Network -22,3%, Marvell techno -19%, Broadcom -17,4%, TSMC -13,3%, ARM -10,2%, Cadence Design -9,5%, Micron -9%… et de Nvidia -17% déjà mentionné. Ce séisme boursier a provoqué par la montée en puissance incroyablement rapide de DeepSeek, un moteur de recherche bourré d’Intelligence artificielle, plus performant que Cat-GPT, et développé pour un coût 100 fois moindre (estimation raisonnable) ou 1.000 fois moindre (selon le narratif chinois) que son rival américain qui a nécessité des dizaines de milliards pour voir le jour. Deepseek en revanche aurait été développé par quelques dizaines de jeunes informaticiens, en utilisant des serveurs de technologie ‘basique’, ou très éloignée des GPU dernier cri produits par Nvidia (à 40.000 ou 72.000$ pièce pour les ‘Blackwell’). Tout cela reste à vérifier mais il est incontestable que les chinois sont parvenus en un temps record et sans matériel ultra haut de gamme à rivaliser avec les US… et pour coût certainement très inférieur.
Les Chinois n’ont pas lancé ce produit à une date aléatoire. C’est une campagne de destruction économique qui se déploie en plusieurs phases dont l’objectif est de pulvériser en quelques années tout le secteur technologique américain. Elle intervient après que Trump se soit cru en position de force au point de menacer la Chine d’une guerre économique de grande ampleur.
Il la voulait, il l’a.
Sa riposte consiste à déclarer la guerre économique à Taïwan, un allié théorique, pour qu’elle consente à livrer ses usines et son savoir-faire à ces bandits juifs.
BREAKING : Le président Trump annonce que les États-Unis vont très prochainement imposer des droits de douane sur tous les semi-conducteurs et les produits pharmaceutiques importés de Taïwan.

Cette mesure va ravager encore davantage le secteur technologique américain en faisant exploser les coûts de production.
Si les Taiwanais ont trois sous de bon sens, ils devraient immédiatement négocier un accord global avec la Chine. S’ils suivent aveuglément ZOG dans ses projets comme l’ont fait les Ukrainiens, leur secteur technologique sera pillé et détruit au terme d’une guerre inutile contre la Chine et les Chinois les remplaceront sur le marché international.
Pour Trump, « allié » veut dire victime.
Quand cette campagne chinoise sera terminée, il ne restera plus rien ou presque des USA sur la carte du monde de l’innovation. Il est tout simplement impossible d’empêcher les technologies chinoises de conquérir le monde. Reste aux uns et aux autres de choisir ce qu’ils voudront utiliser, des produits obsolètes et hors de prix bricolés par des Indiens pour le compte de quelques oligarques juifs californiens, ou les produits chinois quasiment gratuits.
L’hubris des juifs les a encore une fois perdus.
DeepSeek et Xiaohongshu aimeraient discuter avec Alex Karp, le PDG de Palantir.
« Il n’y a pas de scène technologique en Chine. Il n’y a pas d’entreprises de logiciels !

C’est d’autant plus hilarant que les Chinois réalisent tout cela eux-mêmes, avec des ingénieurs chinois. Il n’y a pas d’Indiens magiques à l’horizon en Chine, pas de « migrants » indispensables, uniquement des gens d’une même race qui travaillent nuit et jour pour gagner.
Bien sûr, les Chinois ont recours à l’espionnage industriel à grande échelle, mais même ça, en soi, n’est plus vraiment un argument. L’espionnage est important quand on est en retard technologiquement, beaucoup moins lorsque l’on est à l’avant-garde d’un secteur. Et les Chinois seront bientôt à l’avant-garde dans tous les secteurs, sans exception.
En Europe, nous regardons tout cela comme le regardent les Africains, c’est-à-dire en spectateurs. Notre système archaïque d’endettement dédié au bien-être des boomers et des crépus appartient à une autre galaxie. Peu importe ce que les Blancs motivés et compétents essaient d’entreprendre, une nuée de parasites de toutes sortes surgissent pour les harceler fiscalement et réglementairement jusqu’à la soumission totale.
C’est hilarant malgré tout de voir cette masse de graisse abusive qu’est la Silicon Valley fondre comme neige au soleil, et la domination de ZOG avec elle.
Le démantèlement actuel de la propagande woke par ZOG lui-même ne signifie pas du tout un revirement sincère au plan idéologique, encore moins au plan moral, mais un repli stratégique pour ne pas être complètement discrédité sur les marchés mondiaux face à la Chine. Personne ne veut commercer avec un pays de transexuels qui impose comme pré-condition de la signature de n’importe quel contrat le harcèlement homosexuel des enfants à l’école.
Mais personne n’est dupe, l’Amérique demeure le quartier général de la juiverie internationale et à ce titre une entité extraordinairement toxique à laquelle tout le monde veut échapper.
Par sa brutalité, Trump va détruire ce qu’il reste de l’empire talmudique et je dois dire que c’est divertissant.
En définitive, il n’aurait pas dû menacer les dieux aryens qui vivent à Hyperborée en prétendant poser ses mains graisseuses dessus. Les dieux sont en colère et rien n’est plus terrible que la colère des dieux blancs.
MIGA!
Démocratie Participative
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L'Arrondissement Spécial de Shibuya ayant été fondé en lui-même en 1932. Shibuya est connu pour son croisement appelé le "Carrefour Hachiko" ou "Shibuya Crossing". C'est aussi le quartier des affaires avec de nombreux sièges sociaux d'entreprise présents. Mais Shibuya, le site en lui-même serait habité depuis la période Jōmon (13 000 à 400 ans av. J.-C.) suite à la révélation de plusieurs sites archéologiques établis sur son territoire actuel. Occupant les parties élevées du plateau de Musashino, ses restes se composent de Kofun (monuments funéraires), des objets faits d’argiles ainsi que des os humains découverts et sortis de terre. Son histoire est assez floue durant les périodes de Nara (710-794) et celle de Heian (794-1185) malheureusement. C’est en 1092 qu’un clan de samouraï donne son nom à une fortification militaire présent sur ses lieux, mais aussi à un lieu de culte du Shinto, le Château de Shibuya détruit en 1524 par les Go-Hojo et le sanctuaire de Shibuya Hachiman, aussi appeler “Konno Hachiman-Gul”, qui lui est au début du XXIe le seul édifice de ce clan à avoir été préservé. Ce n’est que durant l’époque de Kamakura (1185-1333) que commence à s’écrire l’histoire de Shibuya, et cela, provenant de la province de Musashi, alors sous l’impulsion du clan du même nom. Jusqu’à l’époque Edo (1603-1868), les villages se développent, on peut y retrouver Harajuku, Sendagaya, Hatagaya ou encore Shimoshibuya. Ce n’est que durant le shogunat Tokugawa (1603-1868) que la région prospère comme extension du domaine lié au pouvoir central qui siège à cette époque à Edo. Le nouveau gouvernement installé à Tokyo lors de la restauration de Meiji (1868-1889), le pouvoir remodèle l’organisation administrative du pays et le district de Shibuya est officiellement créer en 1869 et sera rattaché à la préfecture de Musashi. En 1889, le village de Shibuya est fondé en tant que telle. Comprenant 8954 habitation pour une population de 35191 habitant en 1904, ça ne sera que le 1er octobre 1932 que le village de Shibuya devient l’un des 35 arrondissement de Tokyo, incluant la vallée du cours supérieur du fleuve Shibuya, le quartier résidentiel Yoyogi et celui de Harajuku. Après la Seconde Guerre mondiale, en 1947, Shibuya est maintenant comme un des 23 arrondissements spéciaux de la capitale japonaise et ça ne sera qu'à partir de 1955 que les premiers gratte-ciel de l’arrondissement seront construits. S’établissant comme centre d'affaires, centre administratif et centre commercial tout en étant desservi par de nombreuses lignes de chemin de fer (dont la ligne Yamanote), son développement augmentera drastiquement en 1964 suite à la tenue des Jeux olympiques d’été cette année-là. C’est par la suite l'arrivée de nombreuses boutiques de mode qui permettra à Shibuya de devenir un lieu de rendez-vous de la jeunesse tokyoïte, mais aussi un grand lieu commercial. Shibuya possède de nombreuses université telle que l’Université des Nations Unies qui est le centre de recherche de l’ONU ; l’Université pour femme de Jissen qui diplôma la première femme à obtenir un doctorat en agronomie du Japon. Cette femme est Michiyo Tsujimura, reconnu pour ses recherches sur le Thé Vert, notamment grâce à l’isolation de la Catéchine Flavonoïde en 1929. De nos jours, Shibuya est habité par 229 553 habitants (Octobre 2022) pour une densité de 15192 habitants au kilomètre². En 1988, l’Astéroïde 4634 est découvert à Kobuchizawa par Masaru Inoue et Osamu Muramatsu qui décident de le nommer d’après l’arrondissement de Shibuya.
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L’investissement dans un Head Spa Japonais
Le marché du bien-être et de la relaxation connaît une croissance fulgurante à l’échelle mondiale, et parmi les tendances qui séduisent de plus en plus, le Head Spa japonais occupe une place de choix. Alliant des techniques de massage capillaire traditionnelles et des technologies modernes, cet espace de relaxation dédié au cuir chevelu attire une clientèle variée à la recherche d’un moment d’évasion. Mais pourquoi investir dans un Head Spa japonais, et comment cette idée peut-elle se transformer en un projet rentable ? Explorons ensemble les opportunités de cet investissement.
Qu’est-ce qu’un Head Spa Japonais ?
Originaire du Japon, le Head Spa est une pratique unique qui cible la santé et la relaxation du cuir chevelu. Mélangeant des techniques de shiatsu, des soins capillaires nourrissants et des équipements modernes comme les vaporisateurs à micro-bulles, ce soin vise à :
Améliorer la circulation sanguine du cuir chevelu,
Favoriser la pousse des cheveux,
Réduire le stress et les tensions accumulées,
Proposer un moment de relaxation intense.
Le concept s’étend souvent pour inclure une ambiance zen, des rituels inspirés de la culture japonaise, et l’utilisation de produits naturels.
Pourquoi investir dans un Head Spa Japonais ?
Un marché en forte croissance Avec l’augmentation de la demande pour des expériences de bien-être personnalisées, les spas spécialisés gagnent en popularité. Les consommateurs, fatigués par les rythmes de vie effrénés, cherchent des solutions pour réduire le stress. Un Head Spa répond parfaitement à ce besoin tout en offrant des bienfaits esthétiques et thérapeutiques.
Différenciation sur le marché Le concept de Head Spa japonais est encore peu développé dans de nombreux pays, notamment dans les régions comme le Maghreb et l’Afrique francophone. Cela représente une opportunité de se positionner comme pionnier dans un marché peu saturé.
Rentabilité élevée Les Head Spas requièrent un investissement initial modéré comparé à d’autres types de spas. L’utilisation de produits naturels et de techniques manuelles permet de réduire les coûts d’exploitation tout en offrant une expérience haut de gamme. De plus, les clients sont prêts à payer un prix premium pour une telle expérience.
Adaptabilité du concept Un Head Spa peut être proposé comme une prestation autonome ou intégré dans un salon de coiffure, un institut de beauté ou un centre de bien-être déjà existant, élargissant ainsi votre offre de services.
Comment réussir son investissement ?
Étude de marché approfondie Analysez la demande locale pour des services de bien-être haut de gamme. Identifiez votre cible : jeunes actifs, personnes stressées, amateurs de soins capillaires, etc.
Formation et expertise Les techniques de Head Spa japonais nécessitent une maîtrise spécifique. Assurez-vous de former votre personnel ou recrutez des experts dans ce domaine.
Créer une expérience immersive L’ambiance joue un rôle crucial dans le succès de ce type d’établissement. Optez pour une décoration minimaliste et zen, des arômes apaisants, et une musique relaxante pour transporter vos clients dans un univers unique.
Communication et marketing Misez sur des campagnes qui valorisent le côté unique et relaxant de l’expérience. Utilisez les réseaux sociaux pour partager des témoignages clients, des photos avant/après ou encore des vidéos des soins.
Investir dans un Head Spa japonais n’est pas seulement une décision économique, c’est aussi une manière de promouvoir un art de vivre axé sur le bien-être et l’harmonie. Ce concept novateur attire une clientèle en quête d’évasion et de soins de qualité, tout en offrant des perspectives de rentabilité intéressantes. Avec une bonne planification et une exécution soignée, cet investissement peut devenir une réussite éclatante dans l’univers du bien-être.
Si vous êtes prêt à plonger dans cet univers de sérénité, n’hésitez pas à explorer cette opportunité unique !
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Les différents points,
Le Jardin Botanique accueille t il un espace de jeux pour les plus jeunes, non il n'a pas cette vocation, il accueille des visites guidées d'écoliers
Doit il se placer dans une logique de développement durable, définitivement, le fait qu'il remonte aux années 30 n'exclue pas qu'il se dote d'une infrastructure dans ce sens
Est il souhaitable de déplacer complètement l'Institut de Recherches Agronomique ailleurs, tout en sachant qu'il occupe le Jardin Botanique depuis plus de 50 ans, non, il faut le doter de nouveaux locaux sur place
Est il souhaitable de changer les habitudes de travail du jardin, avec une journée ouvrable le Lundi, non le jardin doit rester fermé le Lundi, cependant le jardin principal situé en amont de Av De la Victoire peut rester ouvert jusqu’à 22h avec un éclairage de nuit
Le tout doit il se faire sans empiéter sur la superficie verte du jardin, absolument, raison pour laquelle nous avons également déplacé la serre principale vers l'avenue adjacente ainsi que le jardin de cactus qui prenait sur L'Allée aux Bambous
C'est un quartier ce n'est pas un immeuble, ce n'est pas faux, et donc il abrite le volet études supérieures en agronomie, l'autre composant étant la ferme modèle, que nous souhaitions implémenter, ainsi que des vérandas, et possiblement une serre intérieure pour la surface vitrée la plus importante
C'est d'ailleurs un projet de serre intérieure intéressant, puisque informatisée, dans le but de contrôler automatiquement l'ouverture des volets de la toiture afin de conserver une température, ventilation, et humidité optimales
Nous apercevons finalement les bambous autour des plans d'eau du Café Ozen, qui font prés de 25m de haut et qui reprennent le thème de l'Allée aux Bambous du jardin secondaire
Et donc ainsi sont les choses, une erreur dans un copier coller viens de doter le Jardin Botanique d'un Café aux Cactus, qui a tout son sens, ambiance bambous, ou ambiance cactus
Nous avions souligné l'importance pour le Jardin Botanique vis a vis de la ville de Rabat d'être autre qu'un poste de dépenses
Derniers projets et non des moindres, celui de continuer L'Allée aux Bambous jusqu’à l'avenue adjacente, et de positionner des parkings adjacents aux deux cafés
Ainsi qu'une touche personnelle, un jardin d'hiver avec des cerisiers Sakura du Japon dont certaines variétés fleurissent en Décembre
Merci pour votre attention
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