#Ninive
Explore tagged Tumblr posts
Text
I will cast abominable filth upon thee, and make thee vile, and make thee a sight. Bible word, Nope , Jordan Peele (Foreword)
Hearing this, the people of Nineveh began to pray and supplicate and were converted. They asked for forgiveness for their sins. God forgave .Because .The essence of love is to 'get tired' of something, so a love and effort are inseparable. A man loves what he labors for and he works for what or whom he loves... Love is active concern for the life and development of the person or thing we love." (Erich Froom: The Art of Love, excerpt)
#God#bible word#nahum 3:6#nope#movie#jordan peele#quote#bible quote#Judgment Against Nineveh#be good till death.#without dedication#ninive
2 notes
·
View notes
Text
La poesia d'amore più antica del mondo: La canzone d'amore di Shu-Sin
La poesia d’amore più antica del mondo è The Love Song for Shu-Sin (2000 aC circa) composta nell’antica Mesopotamia per l’uso in parte dei sacri riti della fertilità. Prima della sua scoperta nel 19° secolo e della sua traduzione nel 20°, si pensava che il biblico Cantico dei Cantici fosse il più antico poema d’amore esistente. Nel 19° secolo d.C., gli archeologi scesero nella regione della…
View On WordPress
#Bibbia#Arte#Artista#Assurbanipal#Babilonia#Cantico dei Cantici#Convivio#Costume#cultura#Diario#Donna#femminilità#Filosofia#Istanbul#La canzone d&039;amore di Shu-Sin#Linguaggio#Ninive#Noè#Opera#Sociologia#Storia
6 notes
·
View notes
Photo
Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes). Plus trop loin du présent….
2016. Au Louvre-Lens, il y eut une expo : “L’Histoire commence en Mésopotamie”
- alabastre en calcite - Suse, époque Néo-Babylonienne, sous Nabuchodonosor, 580av.J-C.
- les 2 suivantes: scène de guerre en albâtre - Ninive, époque Néo-Assyrienne, sous le règne d’Assurbanipal, 650 av.J-C.
- obélisque royal - Nimrud-Kalhu, époque Néo-Assyrienne, sous le règne de Salmanazar III, 840 av.J-C.
- autel du roi en albâtre - Assur, sous le règne de Tukulti-Ninurta I, 1220 av.J-C.
- les 2 dernières : les jardins
#souvenirs#louvre-lens#archéologie#l'histoire commence en mésopotamie#mésopotamie#alabastre#calcite#suse#néo-babylonien#nabuchodonosor#guerrier#albâtre#ninive#néo-assyrien#assurbanipal#obélisque#chameau#nimrud-kalhu#salmanazar#autel#assur#jardin
4 notes
·
View notes
Photo
Assurbanipal
Assurbanipal (r. de 668 à 627 av. J.-C., également connu sous le nom d'Assourbanipal) fut le dernier des grands rois d'Assyrie. Son nom signifie "le dieu Assur est créateur d'un héritier" et il était le fils du roi Assarhaddon de l'empire néo-assyrien. Dans le Tanakh hébreu (l'Ancien Testament chrétien), il est appelé As(e)nappar (Esdras 4:10).
Lire la suite...
2 notes
·
View notes
Text
LA NUOVA PRIMAVERA DELL'ARCHEOLOGIA ASSIRA IN IRAQ
LA NUOVA PRIMAVERA DELL'ARCHEOLOGIA ASSIRA IN IRAQ Gli archeologi hanno sentore di un rinvenimento eccezionale solo quando sotto i loro strumenti, ad esempio, compaiono i resti di una scultura assira di 2.700 anni fa e se il manufatto sia stato rinvenuto, per l'ultima volta, decenni prima. Documentata la sua presenza già nel corso del XIX secolo e portata alla luce nei...
#Dur-Sharrukin#Impero neo-assiro#Iraq Museum#Lamassu#Michael Danti#Ninive#Pascal Butterlin#Sargon II#Sennacherib#Università della Pennsylvania#Università Paris 1 Panthéon-Sorbonne
0 notes
Text
"Arise, and go to Ninive the great city, and preach in it"
Jonas 1:1 Douay-Rheims Bible
"Arise, and go to Ninive the great city: and preach in it"
Jonas 3:2 Douay-Rheims Bible
Artwork: Pieter Lastman (Dutch, 1583-1633) Jonah and the Whale (1621).
#catholicism#douay rheims bible#bible quotes#book of jonas#God`s orders#Ninive#niniveh#old testament#sacred art#paintings#preaching#pieter lastman#dutch paintings
0 notes
Text
1er avril : le nouvel an assyrien, la plus ancienne fête du monde
Le Nouvel An assyrien (Kha b-Nisan ou Akitu) est célébré chaque année le 1er avril dans tous les pays où résident les Assyro-Chaldéens, tel qu’on les appelle en France.
Des habitants de la Mésopotamie se sont distingués de leurs voisins zoroastriens ou juifs, le jour où ils ont adopté le christianisme. Ils ont toujours formé une minorité opprimée, surtout depuis que la région a embrassé très majoritairement l’islam comme religion dominante et officielle. Pendant la Première Guerre mondiale, comme les Arméniens, ils ont subi un génocide qui aurait pu les faire disparaître si la diaspora n’avait pas pris le relais de la préservation de leurs particularismes. Ils ont presque disparu de Turquie, seules subsistent des communautés notables de chrétiens d’Orient dans le nord de l’Irak et de la Syrie ainsi qu’en Iran. Mais, on les retrouve aussi au Liban, en Jordanie, en Arménie, aux États-Unis, au Canada, en France, en Allemagne…
Pour cette nation sans État, la célébration du nouvel an est un élément identitaire fort. La date du nouvel an assyrien repose sur le fait que cette fête du printemps, à l’instar de Nowrouz, était fixée le 21 mars selon le calendrier julien. Dans l’Antiquité, le solstice du printemps était l’occasion de célébrer Tammouz, dieu de l’agriculture et Isthar, déesse nourricière, incarnation de la fertilité et de la fécondité. L’adoption du calendrier grégorien, l’a fait glisser au 1er avril. Les Assyriens, dont les racines sont très anciennes possèdent leur propre calendrier qui commence en l’an 4750 av. J.-C. De notre calendrier. De fait, ce 1er avril, les Assyro-Chaldéens entrent dans leur 6774e année. Ce qui fait de cette fête, la plus ancienne au monde.
Dans l'impossibilité de se regrouper, en raison de l'insécurité, dans leurs anciennes capitales de Babylone ou Ninive, les Assyriens parviennent à célébrer leur fête au Kurdistan, en Arménie ou surtout en diaspora. Cette fête est marquée par des défilés en costume traditionnels et des pique-niques, si le temps le permet. Cette fête d’origine païenne, appelée Akitu, durait autrefois 12 jours, du 20 mars au 1er avril du calendrier grégorien. C’est un marqueur identitaire des chrétiens d’Orient.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 31 mars 2024
0 notes
Text
Quel prophète feras-tu?
Prédication par Andrew Rossiter à Bergerac le 24 septembre 2023
Quel prophète feras-tu? Jonas 3.10-4.11 (Lectionnaire alternatif international) Matthieu 20.1-16
Quelle histoire, celle de Jonas!
A peine croyable: un prophète qui file à l’anglaise dès qu’il reçoit sa fiche de mission, une tempête organisée par Dieu, le plongeon et puis un gros poisson qui le sauve… Un succès dans la ville de Ninive - tout le monde se convertit du roi jusqu’au bétail. Et toujours et encore Jonas n’est pas content. Il boude comme un gamin.
Une deuxième fois Dieu est obligé de sauver sa vie… et toujours Jonas n’est pas content. Les vains efforts de Jonas pour refuser cette mission et son amertume devant son succès lui ont valu les moqueries des commentateurs et des prédicateurs qui le traitent de pétulant et d'étroit d'esprit, comme s'il détestait l'idée que Dieu puisse se préoccuper des gens qui n’étaient pas de chez lui.
Mais rester là est de voir qu’une partie de cette histoire incroyable. Les lecteurs au temps de Jonas comprenaient bien les références à Ninive. Ninive n'était pas n'importe quelle ville maléfique. C'était la capitale de l'empire impitoyable qui allait anéantir le royaume d'Israël quelques décennies après la mission salvatrice de Jonas. Jonas savait que la miséricorde de Dieu emporte toujours sur la justice de Dieu. Et la miséricorde pour Ninive signifierait un jour la destruction, la mort et la déportation pour la maison et le peuple de Jonas. Jonas devait sauver une ville et un régime qui allaient détruire son propre peuple. C’est comme s’il priait pour le salut de l’âme d’Hitler en étant juif juste avant la seconde guerre mondiale.
Jonas n’était pas étroit d’esprit, il voyait bien «the big picture» (l’image d’ensemble) que le salut de 120 000 personnes d’un côté ne pouvait pas se faire au coût de la destruction de son peuple de l’autre.
Après le succès de la prédication de Jonas et la remarquable repentance des Ninivites, Dieu renonce au mal qu'il avait prévu de leur faire. Dieu change d’avis - c’est remarquable, un Dieu qui écoute les prières d’un peuple étranger, un Dieu qui prend en compte le changement de comportement d’un régime violent et guerrier, un Dieu qui se laisse persuader que son plan devait être revu. Dieu échange la justice contre la miséricorde. Ce que Jonas ne peut pas accepter. Il déclare «C'était un mal pour lui, un grand mal» (4:1). Jonas s'est mis en colère et a prié Dieu, lui demandant de le laisser mourir. Au lieu de cela, Dieu répond par une question : «Est-ce bon pour toi d'être en colère?».
Jonas ne peut pas répondre, son silence nous invite à approfondir nos notions de la lutte entre la justice et la miséricorde, le salut et la mort, la différence entre un prophète et Dieu.
Jonas a terminé sa mission, mais il veut savoir ce qui va se passer, donc il s’installe à l’Est de Ninive sur une colline. Il fabrique un abri et il attend. L’histoire de Jonas, avec ses aller-retours, les rebondissements de ses rencontres avec les marins et le poisson sont l’introduction de ce passage qui est le cœur du message de ce petit livre.
Dieu essaie avec une patience infini de révéler à Jonas le sens de miséricorde. Dieu commence avec une plante, qui pousse pour donner de l’ombre à son prophète. Le nom de la plante en hébreu est un jeu de mots avec le verbe «vomir» et le nom de Jonas.
Vomis par le poisson, délivré de la mort, Jonas a accompli le salut de Ninive, la sauvant de son mal tout comme la plante allait «sauver » Jonas de son mal. Dieu avait besoin de Jonas, car il connaissait la nature miséricordieuse de Dieu, Jonas déclare, «Je savais que tu es un Dieu de miséricorde». Il devait enseigner à un peuple qui non seulement ne connaissait pas la nature de Dieu mais qui ne savait pas «distinguer sa main droite de sa main gauche» c’est-à-dire un peuple qui ne savait pas faire la différence entre le bien et le mal. Jonas donc devient la plante d'ombrage qui protège Ninive.
L’histoire ne s’arrête pas là, car Jonas ne sait pas encore qu’il est l’instrument de la bienveillance et la bonté de Dieu. Il pensait qu’il était le prophète de Dieu pour être l’instrument de sa justice, de sa vengeance et de sa condamnation. Le ver fait mourir la plante et Jonas n’a plus de protection contre le vent et le soleil. Il n’attend qu’une chose - mourir lui-même. Mais Dieu n’a pas fini avec son ami. C’est un Dieu qui ne lâche pas le morceau, même quand nous le refusons de toute notre force.
Jonas a perdu une grande joie qui est représentée par la protection de cette plante, et parce qu’il a tout perdu il n’envisage qu’une possibilité, de mourir.
Jonas était content de la plante que Dieu a créée et est triste à mourir lorsqu'il l'a perdue. Il n'a pas travaillé pour elle, il ne l'a pas élevée. Elle est apparue une nuit et a disparu le lendemain. Que dire alors de Ninive ? Que devrait penser Dieu de Ninive? Une ville de 120 000 habitants qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche. Une ville qui erre sans direction et sans sens des priorités de la vie. Sans la prédication de Jonas, ils ne savent pas dans quelle direction aller et ne savent pas ce qui est juste. Ce sont toutes des créatures de Dieu et si elles sont vraiment comme la plante de Jonas, alors leur conversion a apporté à Dieu une très grande joie.
Dieu doit-il aussi se préoccuper de Ninive ? Pour Jonas, la question est la suivante : Dieu doit-il se soucier des tueurs cruels qui vont bientôt tuer son propre peuple et détruire sa patrie ? Méritent-ils la miséricorde ? Méritent-ils d'être sauvés ? Où est la justice dans la grâce de Dieu ?
Jésus semble poser la même question dans sa parabole des ouvriers qui sont tous payés le même salaire peu importe les heures qu’ils ont travaillé. Cette histoire s’achève, tout comme l’histoire de Jonas, avec une question dont la Bible ne nous fournit pas la réponse. Ou en tout cas, pas une réponse directe. Dans la parabole Jésus place la question de la bonté ou de la grâce dans la bouche du propriétaire: «M’est-il pas permis de faire de mes biens ce que je veux?» ici, mes biens ne sont pas seulement mes possessions, mais aussi ma bonté, ma bienveillance, ma charité. Nos sociétés répondent à cette question par un arsenal de lois qui visent à limiter la générosité dont nous pourrions être capables. Nous constatons alors que la loi des humains ne nous autorisent pas à faire tout le bien que nous pourrions faire et donc à mettre en pratique la bonté de Dieu. A partir de là nous comprenons que ce n’est pas Dieu qui gouverne notre monde. En nous-mêmes et chez nos dirigeants nous nous autorisons à canaliser la grâce divine dans les limites des possibilités que nous autorisons pour nous-mêmes. Et quand la grâce dispensée n’est pas notre idée de la justice ou de la rétribution nous sommes prêts à tout lâcher et partir loin de Dieu.
Nous sommes aux prises avec la bonté et la grâce de Dieu, une bonté qui ne fait aucune acception ni de personnes, ni d’animaux. Notre réaction est de fuir notre vocation d’annoncer la bonté de Dieu. Une vocation qui exige que nous soyons la grâce de Dieu pour nos ennemis et pour les innocents au milieu d'eux. Cette bonté nous poursuit. Elle nous poursuit dans le ventre du bateau et de la bête, dans tous les endroits où nous essayons d'échapper à cet appel. Dieu nous appelle à dire la vérité d’un message de repentance et de miséricorde pour toutes les créatures de Dieu.
Jonas nous montre que quand nous répondons à son appel nous nous trouvons dans des situations les plus incroyables, devant les personnes que nous n’aurions jamais imaginer rencontrées, et en cueillant les fruits abondants de vies transformées.
0 notes
Text
NAHÚM 3;6
"Echaré sobre ti inmundicias, te haré despreciable, y haré de ti un espectáculo".
0 notes
Audio
Ninive - Escort by DistrictBass https://ift.tt/zBXg6UE
1 note
·
View note
Text
there is something so very delicious about the crumbled ruins, the last vestiges of a once mighty empire in a historical setting that seem to come from time immemorial even to the people of that historical period. the earth is littered with ruins of empires that believed they were eternal ect ect. it's about the unending forward march of time. about the rise and fall of civilisations. of living in the shadow of history!!!!!!
#the winter king#📚#oh xenophon passing by the ruins of ninive not even knowing what he was seeing....... we really in it now.......#arthuriana
12 notes
·
View notes
Text
Jonah expalining to the people of Ninive his delay
20 notes
·
View notes
Note
🥊 & 🍩 !!!! for Myr
Hello dear here I am again 🩵 let's see how much I can answer today
TW for mention of dead animals
🥊- What does [Myr] love to do? What does [Myr] hate to do?
Myr tends to like activities that challenge her and make her spend time outside. She fondly remembers the days when during winter she'd go ice skating on the iced surface of the Cavalieri City of Dite Base's private lake (and by ice skating I mean she'd either "skate" on her bare feet, or just let herself slide around the surface while laying down).
She's also a huge animal lover, and learnt to recognize the cries of the various animals that live around the estate. With a little knowledge borrowed from Anemone's books, she would climb trees to do some subtle birdwatching and she'd enjoy that very much. She gets all excited when she recognises a bird all by herself! Now that she's in Namimori though, the fauna is all different...
As for what she hates, basically anything that has to do with putting things in order. She likes her hair but considers brushing them a chore, she's never cleaned a room in her life, and so on. Something she hates with all her heart though is getting her check-ups done by Anemone, who'd force her to submit to that at least once every 3 months.
🍩 - Who is [Myr]'s arch-nemesis or rival?
That'd be another OC I haven't introduced before but I'll take the occasion and throw her name out in the wild: her cousin, Leda Ysoude Cavalieri, second-in-command of the Defense and Strategy branch and daughter of Ninive Cavalieri, the Eighth Cavalieri's younger sister.
Ysoude is a very skilled Pallid Flame user, and she knows it. She's an arrogant, boastful, toxic little tyrant that only values two things: power and money. If her and Myr lock eyes, it's a fight: Ysoude bullies Myr ever since early childhood and her methods are quite... concerning (TW DEAD ANIMALS one of her favourite ways is putting dead rats in her food or throwing them at Myr directly)
Ysoude (she prefers demands people to address her with her second name) is nothing less than a walking time bomb whose timer is ...random at best. I have yet to flesh her out in detail since it's a character that appears later in KW, but do know that she hates Myr's guts with a passion, and she never misses the chance to remind her of that. Such hatred comes from the fact that Myr "threw away" her rights as daughter of the boss by being disobedient, while Ysoude, who thinks herself the most worthy candidate as future Ninth, will never have the chance to achieve that being the daughter of the boss's sister.
Ask game
12 notes
·
View notes
Text
''Nous autres, civilisations, savons que nous sommes mortelles... ''
L'atroce guerre de 1914-18'', dite ''La Grande Guerre'', qui fut la première guerre ''moderne'' dans ses tenants et aboutissants comme dans son déroulé et sa fin, venait de s'arrêter. Dès la paix revenue, Paul Valéry (1871-1945) lance dans ''La Crise de l’Esprit'' (nrf 1919) ce cri d’alarme qui fait écho aujourd’hui encore : ''L’Europe deviendra-t-elle ce qu’elle est en réalité, c’est-à-dire : un petit cap du continent asiatique, ou bien l’Europe restera-t-elle ce qu’elle paraît, c’est-à-dire : la partie précieuse de l’univers terrestre, la perle de la sphère, le cerveau d’un vaste corps ?''. Hélas, nous découvrons chaque jour la triste réponse à cette question : l'Europe se meurt, l'Europe est morte !
Dans une suite qui me paraît logique aux textes des éditoriaux de ces derniers jours, et tenu compte de la situation du monde, j'ai pense qu'il n'était ni inutile ni superflu de rappeler ce magnifique morceau de clairvoyance. Hélas, la longueur du texte initial ramenée à la définition de ce ''blog'' me contraint à manier les ciseaux plus que je n'aurais voulu. Pardon à vous, Amis-lecteurs, et pardon à Paul Valéry, surtout, d'avoir osé taillader dans ce bloc d'intelligence pure, si joliment écrit... et tellement d'actualité.
Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
''Nous avions entendu parler de mondes disparus, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins, descendus au fond inexplorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs acad��mies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, et nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même, mais France, Angleterre, Russie... seraient aussi de beaux noms. Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans tous les journaux (NDLR - … et sont en cours !).
Ce n’est pas tout. La brûlante leçon est plus complète encore. Il n’a pas suffi à notre génération d’apprendre par sa propre expérience comment les plus belles choses et les plus antiques, et les plus formidables et les mieux ordonnées, sont périssables par accident ; elle a vu, dans l’ordre de la pensée, du sens commun, et du sentiment, se produire des phénomènes extraordinaires, des réalisations brusques de paradoxes, des déceptions brutales de l’évidence.
Je n’en citerai qu’un exemple : les grandes vertus des peuples allemands ont engendré plus de maux que l’oisiveté jamais n’a créé de vices. Nous avons vu, de nos yeux vu, le travail consciencieux, l’instruction la plus solide, la discipline et l’application les plus sérieuses, adaptés à d’épouvantables desseins. Or tant d’horreurs n’auraient pas été possibles sans tant de vertus. Il a fallu, sans doute, beaucoup de science pour tuer tant d’hommes, dissiper tant de biens, anéantir tant de villes en si peu de temps ; mais il a fallu non moins de qualités morales. Savoir et Devoir, vous êtes donc suspects ? Tout ne s’est pas perdu, mais tout s’est senti périr : tout peut périr.
Un frisson extraordinaire a couru la moelle de l’Europe. Elle a senti qu’elle ne se reconnaissait plus, qu’elle cessait de se ressembler, qu’elle allait perdre conscience — une conscience acquise par des siècles de malheurs supportables, par des milliers d’hommes du premier ordre, par des chances géographiques, ethniques, historiques innombrables. Alors, comme pour une défense désespérée de son être et de son avoir physiologiques, la mémoire lui est revenue confusément. Ses grands hommes et ses grands livres lui sont remontés pêle-mêle.(...) et on a évoqué tous les sauveurs, les fondateurs, les protecteurs, les martyrs, les héros, les pères des patries, les saintes héroïnes, les poètes nationaux, les dogmes, les philosophies, les idéaux hétérogènes, les trois cents manières d’expliquer le Monde, les mille et une nuances du christianisme, les deux douzaines de positivismes : tout le spectre de la lumière intellectuelle a étalé ses couleurs incompatibles, éclairant d’une étrange lueur contradictoire l’agonie de l’âme européenne (…).
La crise militaire est peut-être finie. La crise économique est visible dans toute sa force. Mais la crise intellectuelle, plus subtile, et qui, par sa nature même, prend les apparences les plus trompeuses (puisqu’elle se passe dans le royaume même de la dissimulation), cette crise laisse difficilement saisir où elle se trouve. Personne ne sait ce qui, demain, sera mort ou vivant (...).
L’espoir, certes, demeure et chante à demi-voix. Mais l’espoir n’est que la méfiance de l’être à l’égard des prévisions précises de son esprit. Il suggère que toute conclusion défavorable à l’être doit être une erreur de son esprit. Les faits, pourtant, sont clairs et impitoyables, avec cette illusion perdue d’une culture européenne et la démonstration de l’impuissance de la connaissance à sauver quoi que ce soit. Il y a la science, aussi, atteinte mortellement dans ses ambitions morales, et comme déshonorée par la cruauté de ses applications (…), les croyances confondues dans les camps, croix contre croix, croissant contre croissant.(…). Les sceptiques perdent leurs doutes, les retrouvent, les reperdent, et ne savent plus se servir des mouvements de leur esprit (…).
Je n’ai besoin maintenant que du souvenir vague et général de ce qui se pensait à la veille de la guerre, des recherches qui se poursuivaient, des œuvres qui se publiaient. Si donc je fais abstraction de tout détail et si je me borne à l’impression rapide, et à ce total naturel que donne une perception instantanée, je ne vois... rien ! Rien, quoique ce fût un rien infiniment riche (...). Car de quoi était fait ce désordre de notre Europe mentale ? De la libre coexistence dans tous les esprits cultivés des idées les plus dissemblables, des principes de vie et de connaissance les plus opposés. C’est là ce qui caractérise une époque moderne.
Je ne déteste pas généraliser la notion de moderne et donner ce nom à certain mode d’existence, au lieu d’en faire un synonyme de contemporain. Il y a dans l’histoire des moments et des lieux où nous pourrions nous introduire, nous, modernes, sans troubler excessivement l’harmonie de ces temps-là (…) et où notre entrée ferait peu de sensation, où nous serions presque chez nous. Ipar exemple, la Rome de Trajan, et l’Alexandrie des Ptolémées nous intégreraient plus facilement que bien des localités moins reculées dans le temps, mais plus spécialisées dans un seul type de mœurs et entièrement consacrées à une seule race, à une seule culture et à un seul système de vie (…).
Aujourd'hui, un Hamlet pourrait méditer sur la vie et la mort des vérités. Il aurait pour fantômes tous les objets de nos controverses, pour remords tous les titres de notre gloire. Accablé sous le poids des découvertes, des connaissances, incapable de répondre à cette activité illimitée, il songerait à l’ennui de recommencer le passé, à la folie de vouloir innover toujours. Il chancellerait entre les deux abîmes, ces deux dangers qui ne cessent de menacer le monde : l’ordre et le désordre (…). Adieu, fantômes ! Le monde n’a plus besoin de vous. Ni de moi. Le monde, qui baptise du nom de progrès sa tendance à une précision fatale, cherche à unir aux bienfaits de la vie les avantages de la mort. Une certaine confusion règne encore, mais tout va s’éclaircir, et nous verrons enfin apparaître le miracle d’une société animale, une parfaite et définitive fourmilière''. (Fin de la citation).
Chaque mot ou presque est adaptable à un aujourd'hui que Valéry décrit avec une cruauté d'une précision étonnante. Son immense talent nous fait découvrir ce dont certain se doutaient : notre chute a commencé il y a bien longtemps, et semble se poursuivre sans dévier de sa trajectoire. L'Histoire, au fond, ne serait-elle que l'éternel recommencement qu'y voyait Thucydide ? (à suivre).
Paul Valéry – 1919. pcc H-Cl - 2024.
2 notes
·
View notes
Text
... forse non tutti sanno che ...
L'imperatore romano-bizantino Eraclio fu colui che scacciò definitivamente dall'Asia Minore l'eterno nemico dell'Impero Romano, il potente Impero Persiano. Lo sconfisse definitivamente nella battaglia di Ninive nel 627 DC. Avrebbe potuto essere una data storica ma non durò: fu l'inizio del declino, la sconfitta lasciò la Persia senza difese ma lasciò anche esaurito l'esercito bizantino.
Proprio in quel periodo gli Arabi, unificati dalla predicazione di Maometto, iniziarono la loro espansione a nord. Trovarono Mesopotamia e Persia pressoché indifese, entrarono a Damasco nell'estate del 634 (Maometto era morto solo da un paio d'anni). Nel 636 gli arabi attirarono i Bizantini in un'imboscata presso il fiume Yarmuk in Siria e vinsero la battaglia decisiva.
Quel che accadde di lì in poi era già chiaro allo storico del tempo Giovanni Zonara: " [dopo la caduta della Siria] la razza degli Ismaeliti [gli Arabi] non cessò d'invadere e saccheggiare l'intero territorio dei Romani". Nel 717 iniziava la conquista della Spagna, nel 827 sbarcavano in Sicilia.
Ora sarò io, saranno le mie fisime storiche e il mio "mai nulla di nuovo sotto il sole", ma questo antico clamoroso "tra i due litiganti il terzo gode", mi ricorda tanto l'Occidente unito contro la Russia in Ucraina, con la Cina pronta a far Maometto a tutti quanti.
27 notes
·
View notes
Text
Tovább
Miyaneh előtt, az alagutakból épp csak kigurulva, már meg is kellet állnom, valami agysebész kolléga nem tudott egyből befordulni az 500 méterre lévő TIR-parkolóba. Rögtön éreztem, hogy ebből gáz lesz. Vagyis tudtam. Lett is. Kb 15 méterre voltam az alagút vége után. A mögöttem jövő arabáknak esélyük sem volt megállni. Névleg 7,5-15 tonna teherbírású legalább 15-20 éves kisteherautók közlekedtek akkor (de szerintem most is, DeSoto, Chrysler, Bedford, BMC, csőrös MAN-ok, Dodge) egész keleten, megrakva az égig, 30-40, sőt 50 tonnával, láttam ilyet. Ahogy kiértek a napfényre, már hallottam és éreztem, hogy bing-bang-csitt-csatt-bumm. Az első belémjött, az összes többi belénk. A 25ezer literes zöld tankert beletolták az előttem álló tankerbe, a Merci elejéből rögtön gőz tört fel, és azonnal hiányozni kezdett az orrából párezer deutschmark. Rövidítsünk. Természetesen, mint külföldit, bevittek Miyanehbe, a böribe. Miyaneh egy koszos szarfészek volt akkor, zömmel agyag és bádog, bezzeg a kóter! Barna klinkertégla, 3 helységgel, egy a séfnek íróasztallal, 2 kisebb rácsos a vendégeknek. Egyet aludtam, kaja nem volt. Reggel megérkezett a helyi mullah, a vallási vezető, akihez minden IS tartozott. Tiszta volt és ápolt, jószagú, hófehér turbánban és kávészínű köpenyben. Mindenki vigyázban állt a közelében. Na, gondoltam, itt a vége. Rengeteg akasztást láttunk már addig is, az Iszlám Forradalom csúcsformáját futotta épp. Nagy meglepetésemre meghallgatott, beszélt angolul (én akkor még csak döcögve), és úgy döntött, hogy nem vagyok hibás. Megítélt valami százcsillió Riált a káromért. Hú bazmeg. Szerencsétlen koszos öregnek, aki közvetlenül belémszállt, 3 órát adott, hogy szedje össze a lóvét. Mi addig teáztunk. Jött a kisöreg, szegény, egy hatalmas szatyornyi Riallal, majd folytatom, hogy kerültem fel Teheránba, kb 500 km-re.
Folyt köv De még nem Mosul (Ninive) és Bagdad, mert közben eszembe jutott, hogy mi volt Urfában, ahol kórházba kerültem, és mindenki meg akart operálni
13 notes
·
View notes