#NUMERIQUE
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Carmilla carmine
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Chara / Ibis Paint
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MILL3
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La 5G au Sénégal : les consommateurs en pure perte du signal
Dans un paysage où l'attente est palpable, l'annonce par certains opérateurs de télécommunications de la disponibilité ainsi que la commercialisation de la 5G au Sénégal suscite un mélange d'enthousiasme et d'interrogations légitimes si on se réfère aux prérequis obligatoires impliqués dans son déploiement. En effet, il est crucial de rappeler que la technologie 5G se déploie à pas mesurés, entre complexités techniques et impératifs de performance. Décortiquons ensemble les nuances de cette avancée.
D'un côté, la 5G NSA (Non-Standalone) s'appuie sur les infrastructures existantes pour offrir une connectivité améliorée, mais ses performances pourraient être en deçà de la 5G SA (Standalone) qui exige une infrastructure dédiée, offrant des performances optimales et de nouvelles fonctionnalités. C'est là un choix crucial pour les opérateurs, entre rapidité de déploiement et potentiel accru.
Comparativement, la 4G offre un débit de 1 Gbit/s par cellule, partagé entre les habitants couverts par cette cellule, ce qui équivaut à environ 30 Mbit/s par utilisateur. Ainsi, la 5G NSA ou SA propose une vitesse environ 100 fois supérieure à celle de la 4G, avec une latence réduite d'environ 10 fois et une densité pouvant accueillir environ 100 fois plus d'appareils connectés simultanément. De plus, la consommation d'énergie de la 5G est estimée à 90 % inférieure à celle de la 4G, ce qui la rend plus efficace sur le plan énergétique.
En somme, l’argumentation technique précédente explique pourquoi la 5G est souvent comparée à la fibre optique sans fil, car elle apporte des changements significatifs. En effet, elle offre un débit théorique estimé à 1 Tbit/s par km2, bien que ce chiffre puisse varier selon différents facteurs tels que la densité de la population et la congestion du réseau. Typiquement, la 5G assure un débit d'environ 100 Mbit/s par utilisateur, mais ce chiffre peut fluctuer en fonction des conditions du réseau.
En outre, quel que soit le type de technologie 5G choisi, le déploiement nécessite plusieurs prérequis obligatoires. En premier lieu, l’obtention d’un spectre de fréquences adapté. Ainsi, les opérateurs doivent d’abord installer des antennes dans des bandes de fréquences spécifiques, telles que la bande des 3,5 GHz (3,4 - 3,8 GHz), cœur de la 5G, pour assurer une meilleure couverture et une bonne pénétration à l'intérieur des bâtiments. Cette bande de fréquences permet d'avoir les meilleurs débits en 5G mais à faible latence tout en ayant une bonne longueur d'ondes qui permet des transferts de données très rapides. Cependant, elles ont une portée moyenne de 400 mètres en zone urbaine et 1,2 km en zone rurale.
En second lieu, ils doivent installer d’autres antennes (ou upgrader leurs antennes 4G) dans la bande de fréquences basses des 700 MHz (694 - 790 MHz) qui est également cruciale et octroie une grande portée de 2 km en zone urbaine et 8 km en zone rurale. En revanche, la bande des 700 MHz n'est pas celle qui permet de délivrer les meilleurs débits, d’où l’intérêt d’être dans ces deux tranches de fréquence qui sont nécessaires à la 5G et qui offrent le très haut débit, la grande portée. Cependant, il est recommandé de déployer environ 70 % d'antennes à basse fréquence et 30 % à moyenne fréquence pour la 5G NSA, et environ 80 % d'antennes à basse fréquence et 20 % à moyenne fréquence pour la 5G SA.
Enfin, pour répondre à l'explosion de la consommation de data, les opérateurs doivent également installer des antennes dans la bande des 26 GHz (24,25 - 27,5 GHz), qui offre un très large spectre mais aussi des débits comparables à ceux de la fibre Optique. Cependant, elle offre une portée limitée, de l'ordre de 150 mètres en zone urbaine, ce qui nécessitera le déploiement d'un grand nombre d'antennes.
Par conséquent, malgré cette perspective prometteuse des opérateurs, des zones d'ombres persistent. En effet, le choix de la technologie NSA par les opérateurs de la place nécessite une mise à niveau du cœur de leurs réseaux et équipements actifs ainsi que des antennes 4G en sus du déploiement de nouvelles antennes de relais spécifiques à la 5G. Cependant, il est préoccupant de constater l'absence remarquée d'antennes de relais dans les bandes des 3,5 GHz et 26 GHz dans les villes et sur les toits des bâtiments. Alors que, ces antennes sont essentielles pour garantir une couverture optimale en 5G, quelle que soit la technologie choisie (NSA ou SA). Ces interrogations suscitent des inquiétudes légitimes quant à la qualité et à la fiabilité du déploiement de la 5G, surtout dans les zones urbaines.
Dans ce contexte, le besoin de transparence et de surveillance accru se fait sentir. Les consommateurs aspirent à une assurance quant à la qualité des services et au respect des normes établies. C'est là que l'intervention des autorités de régulation devient primordiale, avec des audits réguliers pour garantir un déploiement transparent et conforme de la 5G. Par ailleurs, la 5G représente bien plus qu'une simple évolution technologique. Elle incarne l'avenir connecté du pays, avec des promesses de débits vertigineux et de latences réduites. Mais pour que ces promesses deviennent réalité, il est essentiel que les opérateurs répondent aux attentes des clients et que les autorités veillent au respect des normes et à la qualité des services. Ainsi, nous pourrons tous embrasser pleinement les opportunités offertes par cette révolution numérique.
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A drawing on paper, oil pencil... a prompt, an AI, some small corrections on Lightroom and I love the result ☺️ what do you think?
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“Je suis orthophoniste, depuis de nombreuses années je me suis documentée sur la surexposition aux écrans. Les études sérieuses et indépendantes relatent des difficultés de développement chez les enfants et les jeunes. Ce que je vis quotidiennement dans mon cabinet, c’est qu’un enfant ne peut se développer et comprendre le monde qu’en expérimentant avec tous ses sens et son corps dans son environnement : cela nécessite de l’espace, des objets, des interactions et du temps ! Aucun écran ne peut proposer ceci. Les enfants ont des difficultés de langage, de logique, mais aussi une moindre résistance à l’effort, à l’échec, ils sont également bien moins attentifs. En réponse à cela, l’Education nationale propose des écrans censés "motiver" et "développer les capacités d’attention". On propose donc de résoudre des difficultés d’attention en proposant justement l’objet qui épuise leurs ressources attentionnelles… Concernant mes enfants, il est évident, et ils l’admettent eux-mêmes, qu’en cas d’utilisation prolongée (ce que nous essayons de faire le plus rarement possible), ils deviennent nerveux, impatients, rien ne fait sens : quand un travail est à faire sur ordinateur, ils peuvent cliquer frénétiquement, fermer intempestivement une fenêtre, si la solution n’arrive pas immédiatement… et finir par se décourager, la concentration est difficile par ils "zappent" d’une chose à l’autre.”
Julie Pérel, « L’école à l’écran : un "abrutissement des masses" », in La Décroissance, n° 197, mars 2023.
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Figure défigurés
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Arya & Killian 🥰
La Passeuse de mots, une merveilleuse et belle découverte ! ✨
Vivement le tome 4, les personnages me manquent beaucoup 😫🥰
Vous connaissez ⁉️
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Bangkok en glitchs futuristes par Retoka
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/bangkok-en-glitchs-futuristes-par-retoka/
Bangkok en glitchs futuristes par Retoka
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Exposition : Odyssée 2.0 d'Alexa Brunet
Odyssée 2.0 est un parcours photographique librement inspiré du mythe d’Homère qui suit les pérégrinations d’Ulysse au sein de la Technopolis, une « Smart City » fictive et dystopique. À travers une série de mises en scène reprenant les étapes-clés de l’Odyssée d’Homère, ce travail aborde les problématiques inhérentes à la prolifération des technologies numériques. Le récit associe plusieurs niveaux de lecture, alternant clichés mythologiques, cinéma de science-fiction et de nombreux fragments textuels. Ces textes allient conte, données statistiques, citations philosophiques et notes de carnets, et viennent enrichir la série photographique, par exemple en confrontant les mises en garde de nos aïeux aux promesses mirobolantes des futurologues contemporains.
Une exposition photographique d'Alexa Brunet présentée dans le cadre de Festhi'Sciences à la galerie du Centre "Le Lierre".
Alexa Brunet est née en 1977, est diplômée de l’Art College de Belfast en 1998 et de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2001. Elle fait partie du collectif de photographes Transit depuis 2004. Elle travaille principalement pour la presse, les collectivités et des organismes indépendants et mène par ailleurs des projets personnels en collaboration avec des rédacteurs et des artistes.
Son travail a reçu de nombreux prix et elle est régulièrement invitée à exposer et à participer à des résidences de photographes en France et à l’étranger (Rencontres d’Arles, L’été photographique de Niort, Diaphane, Bourse documentaire du CNAP). Depuis 2009, elle encadre des ateliers autour de l’image en milieu scolaire. Elle a publié les ouvrages POST, ex-Yougoslavie, Dystopia et Abrégé des secrets aux éditions Le Bec en l’air, Habitants Atypiques aux éditions Images en Manœuvres et En Somme aux éditions Diaphane.
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Laboratoire de vaccins à ARN messager au Sénégal : un futur prometteur ou une boîte de Pandore ? 🧬
Les récentes avancées scientifiques autour des vaccins à ARN messager soulèvent autant d’admiration que de craintes (Cf. https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/12/03/une-enquete-us-attribue-lepidemie-du-covid-a-un-accident-de-laboratoire-en-chine-par-isabelle-hock/).
Si ces innovations promettent une réponse rapide et efficace face à des pandémies comme la COVID-19, elles suscitent également des interrogations troublantes, éveillant des peurs à la fois rationnelles et irrationnelles.
En effet, nos cellules, ces unités microscopiques essentielles à la vie, fonctionnent selon des instructions codées dans l’ADN, soigneusement protégé dans le noyau.
Traditionnellement, le corps utilise l’ARN messager (ARNm), une molécule fragile et éphémère, pour transmettre ces instructions aux organites cellulaires spécialisés responsables de la fabrication des protéines.
Avec les vaccins à ARNm, ce processus naturel est fondamentalement redéfini, transformant nos cellules en laboratoires vivants.
L’ARN messager injecté Pfizer,Moderna, Johnson & Johnson, Sputnik V…, n'est pas une simple copie issue de notre propre ADN, mais un plan génétique étranger, élaboré artificiellement en laboratoire.
Ce messager synthétique s’introduit dans nos cellules, prenant le contrôle de nos mécanismes biologiques pour leur ordonner de fabriquer des protéines spécifiques, comme la protéine SPIKE du SARS-CoV-2.
Ce qui rend ce processus encore plus troublant, c'est que nos cellules, conçues pour suivre les instructions naturelles de notre ADN, sont ici programmées pour obéir à des directives exogènes.
En d'autres termes, nos corps deviennent les agents involontaires d’une production biologique prédéterminée, construisant des éléments étrangers au sein même de nos tissus.
Ce saut technologique pose une question fondamentale : jusqu’où peut-on reprogrammer nos cellules sans compromettre leur équilibre naturel ?
En transformant nos organismes en usines de fabrication de protéines spécifiques, cette technologie, si elle est mal encadrée ou mal utilisée, pourrait ouvrir la voie à des manipulations génétiques plus profondes, avec des conséquences potentiellement irréversibles sur la santé humaine et sur la définition même de ce qui constitue notre intégrité biologique
Que se passe-t-il si ce messager étranger s’introduit dans le noyau, altérant notre ADN ?
Bien que les experts affirment que ce scénario est hautement improbable, certains voient déjà les prémices d’une humanité transgénique, où les gènes modifiés pourraient engendrer des pathologies dévastatrices comme des cancers (Cf. https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/12/02/moratoire-sur-linjection-arn-de-pfizer-une-nouvelle-etude-alerte-sur-la-dangerosite-du-produit/).
À cela s’ajoutent les inquiétudes autour des nanotechnologies, au cœur des vaccins modernes.
Les nanoparticules lipidiques utilisées pour transporter l’ARN messager dans nos cellules, ouvrent la porte à des innovations spectaculaires mais potentiellement dangereuses.
Imaginez un monde où des machines microscopiques, invisibles à l'œil nu, se déplacent silencieusement dans votre corps.
Ces nanorobots, capables de réparer nos organes endommagés, de réécrire notre ADN, ou de se connecter à notre cerveau pour interagir avec des appareils numériques, semblent issus d’un rêve futuriste.
Pourtant, cette vision est de plus en plus proche de la réalité.
À l’échelle nanométrique, où tout se mesure en milliardièmes de mètre, ces robots combinent électronique et mécanique pour manipuler les processus biologiques.
Les possibilités paraissent sans limites : guérison rapide de maladies graves, implants bioniques augmentant les capacités humaines, ou intégration avec des objets connectés pour optimiser la santé et la productivité.
Ces merveilles technologiques pourraient se transformer en outils de contrôle effrayants. Imaginez que ces nanorobots, implantés dans votre corps à des fins médicales ou soient détournés.
Une fois connectés à des réseaux comme la 5G, ils pourraient être utilisés pour nous espionner en collectant des données sensibles : pensées, mouvements, conversations.
Pire encore, ils pourraient manipuler nos comportements, géolocaliser nos déplacements en permanence ou interférer directement avec notre cerveau.
La perspective que des acteurs malveillants exploitent ces nanorobots à des fins de domination est alarmante. Des scénarios dystopiques émergent : la transformation de ces technologies en outils de surveillance massive, l’élimination de la vie privée, ou l’apparition d'une nouvelle forme de cybercriminalité où les attaques ne ciblent plus seulement vos données, mais notre propre biologie.
Des tests menés au Kenya et au Malawi, financés par la Fondation Gates, explorent déjà des nanoparticules injectables capables d’émettre une lumière fluorescente détectable par smartphone, potentiellement pour confirmer la vaccination.
Cette fusion entre biologie et technologie soulève une question troublante : sommes-nous prêts à sacrifier notre vie privée et notre autonomie corporelle sur l’autel de la modernité ?
Le projet de laboratoire à ARN messager que Gilles Gates envisage d’implanter au Sénégal s’inscrit donc dans une dynamique mondiale où certaines technologies avancées, portées par des figures comme Gilles Gates, Elon Musk, redéfinissent les frontières entre éthique, science et contrôle sociétal.
Bien que prometteuses à bien des égards, ces innovations pourraient devenir des outils d’une intrusion sans précédent dans nos vies.
Starlink, l’un des projets emblématiques d’Elon Musk, promet une connectivité Internet mondiale via un réseau de satellites en orbite basse, réduisant la fracture numérique mais soulevant des inquiétudes.
En synergie avec des nanorobots ou des nanoparticules alimentaires, cette technologie pourrait transmettre en temps réel des données biologiques ou comportementales, peu importe l'emplacement.
Ces dispositifs, de taille microscopique, seraient capables de se synchroniser avec les satellites, instaurant une surveillance continue.
En outre, OpenAI d’Elon Musk ajoute une autre dimension en exploitant des données sensibles, potentiellement issues des vaccins à ARN messager, via des algorithmes avancés.
Cela pose des questions éthiques sur l’usage de ces informations, notamment dans des contextes de contrôle ou de manipulation.
Par ailleurs, Neuralink, d’Elon Musk, avec ses implants cérébraux, vise à connecter le cerveau humain aux interfaces numériques.
Imaginez des nanoparticules biotechnologiques interagissant avec ces implants, permettant un accès direct aux pensées ou la manipulation des émotions, ouvrant la voie à un contrôle comportemental inédit.
En somme, l’interaction entre Starlink, OpenAI, Neuralink d’Elon Musk, et les biotechnologies comme les vaccins à ARN messager pourrait marquer le début d’une ère de contrôle total sous prétexte de progrès, compromettant souveraineté et autonomie des individus.
Par conséquent, si ces technologies ne sont pas rigoureusement encadrées et régulées, elles pourraient ouvrir une boîte de Pandore.
La promesse d'une médecine révolutionnaire pourrait rapidement basculer vers une société où chaque individu devient un maillon d'un réseau de surveillance global.
Ainsi, la science-fiction devient réalité, et l’enjeu est désormais de savoir si nous saurons maîtriser ces avancées avant qu'elles ne nous échappent.
Un futur où les nanorobots deviennent des gardiens silencieux de notre santé, ou des agents oppressifs de contrôle total ? La frontière entre utopie et cauchemar n’a jamais été aussi mince.
Face à de telles perspectives, il devient impératif que les autorités sénégalaises fassent preuve de la plus grande vigilance.
Adopter des projets technologiques dont les conséquences échappent à notre compréhension profonde, c’est risquer de compromettre notre souveraineté nationale et la sécurité de nos citoyens.
Le pays ne doit pas se laisser emporter par les sirènes du progrès sans s'assurer que les solutions proposées sont véritablement éthiques et maîtrisées.
Il est essentiel que ces technologies s’intègrent harmonieusement dans nos réalités socioculturelles, tout en respectant nos valeurs humaines fondamentales.
Le progrès technologique, aussi prometteur soit-il, ne doit jamais se faire au détriment de l’humanité et des libertés individuelles.
Les vaccins à ARN messager et les technologies qui y sont liées représentent une rupture radicale dans l’histoire de l’humanité.
Bien que leur potentiel semble infini, les risques qu’elles engendrent, tant sur le plan éthique que sanitaire, sont considérables et doivent être pris en compte avec la plus grande prudence.
Les promesses de guérison et de progrès ne doivent pas occulter les dérives possibles, qui pourraient transformer ces innovations en instruments de surveillance et de contrôle.
Un équilibre fragile doit absolument être trouvé entre ces deux forces opposées, et ce, avant que la technologie ne devienne incontrôlable.
L’avenir est encore incertain et s’accompagne de peurs légitimes face à une science qui semble parfois échapper à tout contrôle.
Alors, cette question demeure : jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour embrasser cette nouvelle ère technologique sans sacrifier notre liberté et notre dignité ?
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