#NE VOUS MOQUEZ PAS D'ACCORD
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*prends une profonde inspiration
pour la dernière fois
le crédit, c'est soeurdelune ou lune
pas soeur de lune
pas Soeur De Lune (nioooon pas les majuscules)
c'est soeurdelune, avec ce que ça implique d'inexactitudes orthographiques, en minuscules, tout collé ensemble
voilà, merci
(mais vraiment sinon écrivez lune c'est plus simple, les deux se valent (ou faites un copié-collé, comme c'est écrit sur les billets de mes avatars en plus))
#NE VOUS MOQUEZ PAS D'ACCORD#je sais que ça a l'air ridicule#et oui c'est vrai c'est pas bien grave mais ça me chiffonne ok 😂#on va finir par y arriver ptdr#et sinon merci aux gens qui l'écrivent comme il faut coeur coeur sur vous ♡
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Liberté. Sans doute la valeur que j'affectionne le plus en ce monde. Suis-je pour autant libre ? Sommes-nous libres, nous, tous autant que nous sommes ? Assurément que non. Je ne suis libre de rien. Pas plus que vous. Je ne suis libre ni de mes pensées, ni de mes choix, ni de mon comportement, ni de mes mouvements. Riez. Moquez-vous. Offusquez-vous. Défendez-vous de dire que ceci est faux. Je réitérerai. La liberté est une absence de contraintes. Or, les contraintes sont absolument partout. Combien de fois vous êtes vous battu contre vous-même ? Combien de fois avez-vous laissé faire d'autres ce qu'ils veulent ? Combien de fois avez-vous suivi des règles ? Je me fiche pas mal de savoir que vous étiez en accord ou en désaccord avec ceci. Je me fiche pas mal que ce soit "mieux que rien". Je dis juste que subir, accepter, se résigner, tolérer ou faire des compromis, ce n'est pas être libre. Se soumettre d'une quelconque manière à quelque chose, c'est ne pas être libre. À vrai dire, même être d'accord avec une règle imposée ne signifie pas être libre. Être "libre" jusqu'au moment où ce que vous voulez faire sort du cadre de ce qui est permis, ce n'est pas être libre. Est-ce un mal ? Pas forcément. Certains ne se rendent même pas compte qu'ils ne sont pas libres. C'est que les contraintes sont pernicieuses. Certaines sont tellement ancrées qu'on ne se rend même pas compte qu'elles en sont. Elles agissent sans prévenir. Modelant ainsi notre opinion sans que nous en ayons conscience. Pour autant, ceux qui ne s'en aperçoivent pas n'en sont pas plus malheureux. Parfois, j'en viens même à penser que le premier terme de notre devise n'est en réalité pas tant souhaité. Ni pour les autres. Ni pour nous-mêmes. Certains se complaisent volontiers dans cette liberté illusoire. Il n'y a aucun mal à se satisfaire de ce qu'on a. Aucun mal à ne pas chercher la liberté à tout prix et à préférer d'autres valeurs à celle-ci. La Boétie écrivait au 16èm siècle : "Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libre". Il est incroyable que cette phrase illustre encore de nos jours notre renoncement à la liberté, même quand les contraintes sont délétères. J'en reparlerai.
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Chapitre 56 : Réconciliation
Ces paroles firent naître un sourire sur les lèvres de Mulder, un sourire sincère qui adoucit les traits tendus de son visage. Il se pencha légèrement vers elle, capturant son regard.
L'image que vous en faites reste pour le moins amusante. Merci pour ce moment. Dit-il en riant doucement, ses yeux brillant d'une lueur qu'il ne dissimulait plus. Parker, prise au dépourvu par la douceur de son rire, détourna brièvement le regard, mais l'ombre d'un sourire jouait sur ses lèvres.
Arrêtez vos conneries. Ne m'encouragez pas dans cette voie. Vous n'avez encore rien vu. Bref. Qu'est-ce que je disais déjà ? Ah oui. Pourquoi êtes-vous ici ? Demanda Parker, feignant une distraction, mais incapable d'ignorer la chaleur qui montait en elle.
Mulder se passa une main dans les cheveux, cherchant ses mots, son regard toujours fixé sur elle.
Vous me manquiez terriblement. Non, plus sérieusement. Je suis venu m'excuser pour la dernière fois. C'est un peu tard pour le faire, mais ça me travaillait. Vous savez, malgré nos différents, je tiens à vous dire que je vous respecte. Vous êtes une belle personne et vous ne méritez pas ce qu'il vous arrive. Déclara-t-il avec sérieux.
Le sérieux de ses paroles la déstabilisa, et Parker cligna des yeux, prise de court par l'authenticité de sa déclaration. Son cœur s'accéléra malgré elle.
Waouh. Ça a l'air sérieux. Vous vous sentez bien ? Demanda-t-elle d'un air railleur, feignant de lui toucher le front pour vérifier sa température, mais son geste dissimulait une envie de combler la distance entre eux.
Ne vous moquez pas, je le pense sérieusement, Parker. Ajouta-t-il avec gravité, son regard planté dans le sien, un regard qui semblait la transpercer.
Elle baissa les yeux un instant, troublée par l'intensité de ce qu'elle ressentait, puis sourit doucement.
D'accord. Si vous le dites. Je vous crois. Vous êtes quelqu'un de bien, Fox Mulder. Dit-elle en lui infligeant une petite tape amicale sur l'épaule, se sentant soudainement plus légère.
Il hocha la tête, appréciant le compliment, un sourire sincère se dessinant sur ses lèvres.
Vous savez quoi ? Vous tombez bien. J'ai encore de vieux dossiers du Centre dans un placard. Ça vous intéresserait d'y jeter un œil ? Proposa la jeune femme brune soudainement, son esprit reprenant le dessus sur les émotions qui la submergeaient.
C'est une très bonne idée, en effet. Dit-il, intrigué par cette proposition inattendue, mais aussi par l'étincelle de complicité qui s'était allumée entre eux.
Il la suivit jusqu'au salon, où elle se dirigea vers un placard rempli de dossiers poussiéreux.
Attendez-moi là, je reviens vous chercher tout ça. Dit-elle en disparaissant dans une autre pièce.
Le fait de se retrouver ainsi chez elle paraissait presque irréel pour Mulder. D'autant plus qu'elle ne l'avait pas rejeté cette fois. Ils semblaient même s'être réconciliés. Que s'était-il passé ? Parker avait brusquement changé, et il avait encore du mal à le croire.
Elle revenu, les bras chargés de dossiers, et l'invita à s’asseoir sur le canapé du salon. Elle commença à éplucher délicatement chacun des documents, l’air concentré.
Vous savez, vous n'êtes pas obligé de me montrer ça maintenant. On peut remettre ça à un autre jour si vous voulez. Déclara Mulder, un peu gêné par son empressement.
Non, pourquoi ? Vous êtes mal à l'aise ? Vous avez l'impression d'abuser de mon temps, c'est ça ? Profitez-en avant que je ne change d'avis. Dit-elle d'un air avisé, un léger sourire en coin.
Si ça vous convient, entendu. Dépondit-il, se saisissant d'un document au hasard, un peu nerveux.
Ils passèrent presque deux bonnes heures à chercher le moindre indice qui pourrait les faire avancer dans leur quête de vérité. Malheureusement, leurs efforts finirent par s’amenuiser. Contre toute attente, ils ne trouvèrent rien de probant. Parker était désemparée :
Je ne comprends pas ! Ça ne peut pas être les véritables dossiers, c'est impossible ! S’exclama-t-elle, la frustration teintant sa voix.
Mulder examina les documents, les sourcils froncés.
Je reconnais que tout ça est plutôt mince comme éléments. C'est presque comme si quelqu'un avait manipulé les preuves. Je pense que ce sont des faux, Parker. On vous a bernée. Comment les avez-vous obtenus ? S'interrogea-t-il, essayant de rester rationnel.
Je les ai volés dans la réserve avant de quitter le Centre. Ça ne peut pas être les originaux, agent Mulder. Dit-elle avec assurance, son regard brillant de détermination.
Mulder secoua la tête, réalisant l’ampleur de la situation.
Dans ce cas, quelqu'un les a habilement échangés par des copies falsifiées. Dit-il, son ton grave.
Krycek ! Oui, bien sûr ! Qui s'est introduit chez moi par effraction ? Vous avez vu juste. Sale petit enfoiré ! S'écria-t-elle dans un élan de colère et de frustration, sa voix résonnant dans la pièce.
Mulder sentit son cœur se serrer en voyant Parker dans cet état.
Je suis désolé, Parker, sincèrement. Dit-il d'un air confus, l’aidant à ramasser les fausses copies du Centre éparpillées un peu partout. Après avoir tout remis en ordre, Parker se rassit lourdement sur le canapé à ses côtés, la mine éreintée.
J'ai été imprudente. J'aurais dû prendre des précautions avec ces dossiers sensibles. Comment ai-je pu être aussi stupide ? S'écria-t-elle au bord des larmes, sa voix brisée par le désespoir.
Voyant sa profonde détresse, Mulder s'approcha timidement d'elle pour tenter de la réconforter.
Ne vous en faites pas, Parker. Rien n'est encore perdu. Ne perdez pas espoir. En ce qui me concerne, je n'abandonnerai pas. Bien au contraire, il faut se battre pour ça. Dit-il en lui dégageant doucement une mèche de cheveux qui lui tombait sur le visage, ce simple contact électrisa Parker.
Dans un élan de surprise, elle releva la tête, une étincelle de gratitude et de confusion dans les yeux.
Vous êtes habile avec les femmes. Vous me surprendrez toujours, agent Mulder. Dit-elle, un sourire se dessinant au coin de ses lèvres. Sans trop savoir pourquoi, Parker ressentit une envie irrésistible de se blottir contre lui. Elle avait besoin de se sentir réconfortée, plus que jamais. Elle hésitant un instant puis se ravisa finalement, son esprit luttant contre cette impulsion.
Ça va aller ? Vous voulez peut-être que je m'en aille ? Dit-il, un peu gauche, incertain de ses propres sentiments.
Non ! Je… Je veux dire, vous pouvez partir si vous préférez. Répondit-elle, un peu déçue par sa propre réaction.
Ça a l'air de vous contrarier. Observa-t-il, la curiosité piquée.
Je me sens seule, j'ai besoin de compagnie en ce moment. Voilà. Vous êtes content ? Avoua t-elle enfin, baissant les yeux, incapable de soutenir son regard.
Mulder, touché par sa vulnérabilité, la serra doucement contre lui. Ce geste tendre la bouleversa, un tourbillon d'émotions contradictoires la submergeant. Elle se détestait de ressentir cela, mais la chaleur de son étreinte lui apportait un réconfort qu'elle n'avait pas osé espérer. Elle ne se reconnaissait plus. Que lui arrivait-il ? Avait-elle totalement perdu la raison ? Ces problèmes de santé y étaient peut-être pour quelque chose. Finalement, Parker se dégagea de son étreinte, troublée.
Pardon, je ne voulais pas vous incommoder. C'était simplement amical, rien de plus. Dit-il d'une mine troublée, respectant sa distance.
Ça va, je vous dis. C'est juste que je ne suis pas habituée à ce genre de chose. Surtout avec vous. Dit-elle dans un rire narquois, tentant de retrouver son cynisme habituel. derrière son embarras.
Oui, je vous l'accorde, c'est un peu inhabituel. Concéda-t-il, un sourire complice sur les lèvres, mais son cœur battait plus fort.
J'ai l'impression de perdre la boule en ce moment. Je crois que la solitude ne me réussit pas. Je n'ai même pas la force d'aller voir mon propre père en prison. Avoua Parker, sa voix tremblante.
Mulder la regarda avec compassion.
Vous n'y êtes pas allée ? Je peux comprendre que ce soit difficile. Voir quelqu'un que l'on aime en prison, c'est… C'est presque inhumain. Je suis navré, Parker. Dit-il, le regard triste.
Elle soupira profondément, la fatigue pesant sur ses épaules.
Bon, allez, il est tard. Je suis fatiguée. Merci d'être venu me voir. Dit-elle en se levant du canapé pour aller le raccompagner, sentant le poids de la journée sur ses épaules.
Il la suivit jusqu'à la porte d'entrée puis répliqua :
Merci de ne pas m'avoir jeté à la porte. Dit-il d'un air taquin, espérant alléger l'atmosphère.
Elle se mordit les lèvres nerveusement, puis renchérit :
Partez, ou je vous colle une belle droite sur votre joli minois. Plaisanta-t-elle, un sourire espiègle aux lèvres.
Elle referma la porte derrière Mulder et s'adossa contre celle-ci, un soupir de soulagement échappant de ses lèvres. Son cœur battait violemment, les sensations étranges qui la traversaient étaient inexplicables et troublantes. Des frissons parcouraient son corps, tandis qu’une confusion profonde envahissait son esprit. Parker avait toujours été maître de ses émotions, mais cette fois, elle se sentait désemparée, presque révoltée par l'intensité des sentiments qu'elle éprouvait pour Mulder. Elle se dégoûtait à l'idée d'admettre que ces sentiments pouvaient être liés à cet homme, trouvant cela inconcevable. Elle devait se ressaisir, se concentrer sur ses objectifs et éviter de se laisser distraire par ces émotions perturbantes. Parker se redressa, déterminée à garder son esprit clair face aux défis à venir.
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Etape 11 : Boullay-Thierry
Préliminaire : Je repense à la maison de retraite traditionnaliste d'hier.
Ôtons tout de suite de mon propos les malades mentaux, néo-nazis, black-blocks, islamistes et autres dangereux abrutis qui, au nom de je ne sais quelle idée, croient pertinent de pourrir la vie (au sens littéral) de ceux qui ne la partagent pas (l'idée). Sans compter que généralement, l'idée en question, elle est juste du niveau ... Allez, soyons généreux, 1ère année de fac dans le meilleur des cas.
Non, je parle ici des gens qui ont des façons de voir la vie différentes des miennes. Les fachos, les gauchos ... tous ces attributs qui se balancent avec une facilité déconcertante et qui réduisent une personne à un mot de deux syllabes.
On n'est jamais que le produit de son environnement, mixé avec son éducation, ses relations, et un peu de particularité individuelle. Je suis de droite, de gauche ou d'ailleurs parce que tous ces éléments mélangés m'ont construit ainsi.
Moi, j'ai une dent contre la Fraternité Saint Pie X à cause du schisme de 88. Je trouve qu'ils ont quitté le bateau au moment où il tanguait le plus, et j'aime pas (je ne développe pas, ca va embêter tout le monde)
Mais il faut accepter une dichotomie entre le général et le particulier. Je n'aime pas la Fraternité Saint Pie X en général, mais je peux aimer chacune des personnes qui la composent. Je peux détester tel ou telle option politique et être très copain avec l'un de ses militants. Je comprends que Mme Le Pen puisse être vent debout contre l'immigration et que, en même temps, elle se soit fait une spécialité, en tant qu'avocate, de la défense des étrangers en situation irrégulière. Je peux détester les greffiers et adorer Thérèse (ma chatte)
Je vous invite, à ce propos, à (ré)écouter une chanson de Georges Brassens qui s'appelle "la messe au pendu"
Pour dire vrai, j'ai fait mienne cette phrase de Victor Hugo : "la bonté est la forme supérieure de l'intelligence". Plus j'avance en âge, et plus je me dis qu'il n'y a que ça de vrai ! Bon, j'arrête, je serais à votre place, ça me gonflerait aussi.
Ca attaque le cortex, la marche solitaire, non ?
Pas trop grand'chose à raconter aujourd'hui. 27,8 kms dans le même décor qu'hier, champs à perte de vue, plat absolu.
Ah si, j'ai traversé Dreux. Pas glop. Je sors de 10 kms en pleine nature et je tombe, dans la continuité du chemin, sur la cité "Prod'homme". Des bidonvilles. Puis des maisonnettes délabrées, les "jardins" débordant de cochonneries de toutes sortes (carcasses de bagnoles, vieux meubles, ferrailles ...). Ca sur au moins 1 km. Allez jeter un œil sur Gogole, ça vaut le coup. Je n'ai pas pris de photos, j'ai trouvé ça indécent.
Puis on passe derrière Brico-dépôt, où on traverse un camp de manouches. Des fils électriques venant de nulle part, courent sur la chaussée pour alimenter les caravanes; des chaussures d'adultes, d'enfants sont posées sur la route ... je n'ai vu personne. Et pourtant, je suis sûr qu'il y a de la vie ... Là encore, je n'ai pas voulu prendre de photos.
On avance, et on se trouve dans ce qu'on pourrait appeler une "cité ouvrière". Des petites maisons, accolées, mais pimpantes, identiques, mais avec chacune son originalité, des jardins entretenus, fleuris, avec parfois une figurine où un accessoire ... Rien à voir avec ce que j'ai vu plus haut.
Puis on descend vers le centre-ville ... Je n'ai pas vraiment vu grand'chose, avec 27 kms à faire, j'ai préféré tracer.
Quittant la ville en passant sous la voie ferrée, un monsieur m'interpelle :
- "Compostelle ?"
- "oui, comment vous savez ?"
- "c'est par là, viens avec moi".
Le monsieur est Espagnol, il vit en France depuis une quarantaine d'années et il me fait doctement une conférence de géopolitique sur le mode "la France, ça veut rien dire, moi, je suis un humain du monde". Je suis pas d'accord, je tente la controverse, mais il sait. Donc, je l'écoute sagement, je lance une vanne de temps en temps ... En fait, lui et moi avons fait deux bornes en montée sans sentir le temps passer.
Bon, en termes philosophiques, je suis pas sûr d'avoir avancé, mais on a bien rigolé et on se quitte bons copains.
Je disais : 27,8 kms dans le même décor qu'hier, champs à perte de vue, plat absolu.
Il commence à s'installer une forme de monotonie qui ne conduit pas à l'ennui. Les étapes sont moins dures, et je ne ressens toujours pas le besoin de me "distraire". Ca me coûte même un peu de m'arrêter pour manger. J'ai trouvé un système avec ma gourde pour boire en marchant, j'ai donc marché de 7h15 à 11h sans m'arrêter.
Bon, sans mentir, au bout d'un moment, on n'en peut plus et il faut recharger un peu les batteries. Je m'arrête, j'enlève le sac à dos, pipi, deux Balisto, je me rhabille et en route.
13h, repas au bord du chemin, 14h30, arrivée à Boullay-Thierry.
Agnès avait téléphoné à mes hôtes hier, qui ont l'habitude de recevoir des pèlerins, mais qui enterrent un de leurs très bons amis aujourd'hui à Dreux, et ne seraient pas là de l'après-midi. Ils ont - et je comprends ça - des scrupules à laisser un étranger seul dans leur maison pendant quasi une demi-journée ... Mais en définitive, ils prennent le risque et acceptent de me recevoir.
Comme d'habitude, et comme un rite, je salue mes hôtes, puis douche, puis lessive, puis balade, ou sieste, ou blog.
Ils reviendront vers 20h - 20h30. Pour l'instant, je les ai juste croisés, je sais qu'ils ont fait leur possible pour que je sois bien. Sans compter qu'en ce moment, c'est sur leur ordi que je tape ce billet. Ils ne peuvent donc pas être complètement mauvais ...
Cadeau : Jackye et Yvon sont rentrés, Yvon m’a emmené dans l’église. Nous sommes montés dans le clocher et voici le résultat. sur la dernière photo, le chemin que j’emprunte demain (vous vous en moquez, mais comme je l’ai, par générosité, je vous la partage)
Prochaine étape, Chartres : le Camino, le vrai ! C'est bien, non ?
Bonne nuit à tout le monde
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Mercredi 22 Décembre
Sainte Françoise-Xavière
Petite parenthèse catho du jour pour Sainte Françoise Xavière. En français ça sonne pas terrible on est d'accord. C'est en fait une sainte italienne du XXeme, Francesca Saverio Cabrini. Elle vient d'une riche famille de Lombardie, elle est la treizième de la fratrie et elle veut être missionnaire en Chine. Mais en attendant faut bien manger donc elle devient prof pour gagner sa vie. Elle fait le tour des monastère mais aucun ne veut d'elle parce qu'elle a la santé trop fragile. La charité chrétienne c'est bien mais les bonne soeurs ne font pas que prier, elles taf aussi, et faudrait pas qu'elles soient un boulet pour le couvent non plus.
Tant pis pour Francesca qui ne se laisse pas démonter et avec son petit groupe de copines cathos elles créent leur propre congrégation: les soeurs missionnaires du Sacré Cœur ! (Vous moquez pas, on a bien fait les spies girls, les Winx et les totally spies après tout ! )Avec ça elles font les yeux doux au Pape en espérant qu'il les laisse aller évangéliser la Chine !
Il leur dit "super, si vous voulez voyager j'ai une bonne communauté italienne qui s'en va au states vous avez qu'à partir avec eux il y aura bien de quoi faire pour qu'ils ne perdent pas la foi là-bas !". Adieu la Chine, bonjour New York et Chicago ! Francesca et ses copines créent des écoles, des communautés religieuses, des dispensaires, des hôpitaux ! (Qui a dit qu'elle ne pourrait rien faire avec sa santé fragile hein ?)
Elle se fait naturaliser américaine en 1909 et meurt de la malaria et d'épuisement en 1917. Son corps est à New York dans la 196ème rue ce qui fait d'elle l'une des premières saintes sur le sol américain et la sainte patronne des immigrés.
Plusieurs hôpitaux au Canada et aux États-unis unis portent son nom, et aussi un orphelinat devenu école à Noisy le grand ! En 47 ans de vie elle n'a pas chômé !
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-Jean-Luc, tu te sert du communisme comme d'une arme. Ça n'est vraiment pas juste. Il hausse les sourcils, étonné, puis il semble réfléchir à ce que je viens de dire en caressant son menton. -Tu as raison. Dans la vie, on tire partit de ces talents, Benoit. Ça ne change rien au faite que j'ai envie de toi. Ici. Maintenant. [...] -Je n'ai pas fini mon poisson. -Entre moi et le poisson, c'est le poisson que tu préfères ? Je relève la tête brusquement ; ses prunelles brûlent comme de l'argent en fusion. Mais je ne flanche pas : -Je croyais que tu tenais à ce que je finisse tout ce qu'il y a dans mon assiette ? Le fruit du dur labeur de nos camarades prolétaires ! -En ce moment, monsieur Hamon, je me fou de votre assiette. -Jean-Luc, tu ne te bats pas à la loyale. -Je sais. J'ai toujours été comme ça. Mon Lénine intérieur m'encourage : tu peux y arriver. Tu peux le combattre avec ses propres armes. Je peux ? D'accord. Comment ? Mon inexpérience me pèse comme un boulet. Prenant l'asperge, je regarde Jean-Luc en me mordillant ma lèvre. Puis, très lentement, j'insère la pointe de l'asperge entre mes lèvres pour le sucer. Les yeux de Jean-Luc s'écarquillent de façon infinitésimale, mais perceptible. -Benoit, tu fais quoi, là ? Je croque la pointe. -Je mange une asperge. Tu savais qu’il ne fallait qu’un mois pour les cultiver ? D’un point de vue écologique ça peut être intéressant. Jean-Luc change de position. -Je crois que vous vous moquez de moi, monsieur Hamon. Je feins l'innocence. -Je ne fais que terminer mon repas, monsieur Melenchon.
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