#Moyen Age
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yaknook · 11 days ago
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renard-des-marais · 2 months ago
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prosedumonde · 1 year ago
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Je ne sais comment je dure, Car mon triste coeur chavire Et plaindre n’ose, ni dire Ma douloureuse aventure, Ma dolente vie obscure. Rien, hors la mort, ne désire ; Je ne sais comment je dure. Il me faut, par couverture, Chanter que mon coeur soupire  Et faire semblant d’en rire ; Mais Dieu sait ce que j’endure.  Je ne sais comment je dure. 
Christine de Pizan
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d-r-a-c--a-r-y-s · 3 months ago
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Lights in Saint-Denis Basilica. Photos by Arianna Inglesi
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halfabird · 4 months ago
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Konrad Kyeser, Bellifortis, f.001v, première moitié XVe siècle
Besançon, BM 1360
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sir20 · 1 year ago
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Inside the Valentré bridge (2), Cahors by sir20
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raisongardee · 9 months ago
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"Je vous incite donc à examiner très sérieusement le contraste étrange existant entre l’artisan du Moyen Age et le travailleur d’aujourd’hui. L’homme occidental se mettait au travail à sa convenance et dans sa propre maison ; sans doute fabriquait-il lui-même ses outils, ses instruments ou ses machines rudimentaires, avant même de commencer à tisser, à modeler, etc. Quels que fussent l’aspect ornemental ou la destination de son ouvrage, c’était lui qui le concevait et l’exécutait de ses mains. La tradition, c’est-à-dire tout ce qu’avaient imaginé et réalisé les travailleurs des générations précédentes, le guidait et l’aidait concrètement dans les pratiques liées à son métier ; sinon, il était libre. N’oublions pas non plus que même s'il était devenu citadin, les champs et la campagne riante jouxtaient sa maison ; il lui arrivait donc parfois d’y travailler, et plus d'une fois au cours de son existence avait-il décroché du mur l'arc ou la serpe et pris le risque de rencontrer le grand mystère dans les rangs des combattants ; c'était le plus souvent pour soutenir la cause des autres, mais parfois la sienne cependant, et d'ailleurs pas forcément sans succès."
William Morris, L’âge de l’ersatz et autres textes contre la civilisation moderne, trad. Olivier Barancy, 1884.
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grandboute · 2 years ago
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French medieval house in Rouen, Normandy
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toutplacid · 2 years ago
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Porte Saint-Denis, Mortagne-au-Perche — trois crayons sur papier gris, carnet nº 137, 25 mai 2023
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anghjulumariacosta · 1 year ago
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« Diable, Il Donne Sa Rose Au Roi »
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coinbds · 2 years ago
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Johan et Pirlouit de Peyo
Petit, j'ai lu et relu les 3 Johan et Pirlouit que j'avais. C'est avec un plaisir renouvelé que je relis les 13 tomes de Peyo. Découvrir
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renard-des-marais · 2 months ago
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prosedumonde · 1 year ago
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Source de pleur, rivière de tristesse,  Flux de douleur, mer d’amertume pleine,  M’environnent, et noient en grande peine Mon pauvre coeur qui sent trop sa détresse. 
Christine de Pizan
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ltalaynareor · 15 days ago
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Robert de Normandie
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Les murs de Jérusalem se dressaient devant moi, majestueux et imposants, témoins d'une histoire millénaire. En cette année 1099, après tant de mois de combats, de souffrances et de sacrifices, je me tenais enfin dans cette ville sainte, conquise au prix de tant de vies. La chaleur du soleil levant caressait mon visage, mais une ombre persistait dans mon cœur.
Le pèlerinage avait été un voyage tumultueux, un appel à l'aventure qui avait résonné en moi comme un tambour de guerre. En 1096, j'avais quitté la Normandie, emporté par l'enthousiasme et la ferveur religieuse qui animaient mes compagnons. Nous étions des chevaliers, des nobles, mais aussi des hommes de foi, prêts à tout pour libérer les lieux saints des mains des infidèles. Chaque étape de notre périple avait été marquée par des épreuves, des batailles et des alliances inattendues.
Je me souviens des nuits passées à camper sous les étoiles, des récits échangés autour du feu, des visages fatigués mais déterminés de mes compagnons. Nous avions traversé des terres inconnues, affronté des ennemis redoutables, et pourtant, notre foi nous avait guidés. La prise de Jérusalem, ce moment tant attendu, avait été à la fois une victoire éclatante et un lourd fardeau. La ville, si belle et si sacrée, était désormais marquée par le sang des assaillants et des défenseurs.
Alors que je déambulais dans les rues de Jérusalem, je ressentais un mélange d'accomplissement et de mélancolie. Les cris de joie des croisés résonnaient encore dans mes oreilles, mais je ne pouvais ignorer la douleur des pertes. Mes amis, mes frères d'armes, avaient laissé leur vie sur ce champ de bataille. Chaque visage que je croisais me rappelait un souvenir, une promesse non tenue.
Le temps passait, et l'idée de retourner en Normandie commençait à germer dans mon esprit. J'avais accompli ma mission, mais je savais que ma place n'était pas ici, dans cette ville où le sang avait coulé à flots. Je devais rentrer, porter le récit de nos exploits, honorer la mémoire de ceux qui étaient tombés. Mais le départ n'était pas simple. Les liens tissés ici, les amitiés forgées dans l'épreuve, me retenaient.
Un matin, alors que le soleil se levait sur la ville, je pris la décision. Je rassemblai mes affaires, saluant mes compagnons qui, pour certains, choisissaient de rester. Je leur promis de raconter nos histoires, de faire vivre notre mémoire. En quittant Jérusalem, je ressentis un poids se lever de mes épaules, mais aussi une tristesse profonde. La Terre Sainte m'avait changé, m'avait forgé.
Le voyage de retour fut long et éprouvant. Les souvenirs des batailles, des rires et des larmes m'accompagnaient à chaque pas. Je savais que je ne serais plus jamais le même. En traversant les terres que nous avions conquises, je réalisai que la croisade n'était pas seulement une quête de foi, mais aussi une quête de soi. Chaque croisé avait trouvé une part de lui-même dans cette aventure.
En arrivant en Normandie, je fus accueilli en héros, mais je portais en moi le poids des âmes perdues. Je racontai nos histoires, mais je n'oubliai jamais ceux qui étaient restés derrière. Le pèlerinage avait été un chapitre de ma vie, mais elle était aussi le début d'une nouvelle quête : celle de la paix et de la réconciliation.
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doubtspirit · 23 days ago
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La bête Rô, créature maléfique
L'océan et ses abîmes insondables pouvaient être perçus, tant par les marins que par les habitants de la côte, comme un lieu maléfique peuplé de créatures surnaturelles et dangereuses. Une idée qui prend corps, au Moyen Age, avec la légende de la bête Rô, réputée dotée d'une intelligence humaine, mais d'un corps de reptile, voire de dragon. La mémoire collective retient que la créature semait la terreur sur le littoral en tendant des pièges aux marins et aux pêcheurs, pour les dévorer, avant de se cacher dans les rochers du côté d'Angoulins. Un jour, sept chevaliers arrivèrent sur un bateau blanc et percèrent de sept flèches l'animal acculé au pont d'Aytré. Les hommes en armure précipitèrent alors la bête Rô dans le gouffre s'ouvrant à ses pieds. Un gouffre dont elle ne revint jamais. Le mal était vaincu.
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klarence4 · 11 months ago
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L'inscription de l'Ivg dans la Constitution est aussi l'occasion de lire, ou relire, Jules Michelet ! Car l'on peut voir, lorsqu'on écoute les discours des défenseurs du projet, combien nombres d'entre nous ne sont toujours pas sortis du Moyen age !
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