#Mots magiques
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maraboutdjemey · 8 months ago
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RITUEL POUR AVOIR LA CHANCE DE GAGNE AU JEU DE HASARD
Découvrez les Secrets des Jeux de Hasard : Les Mots Magiques du Grand Professeur Djemey Sur la toile, on trouve de nombreuses promesses de pouvoir prédire les numéros gagnants au jeu, mais la vérité est souvent plus nuancée. Certains prétendent pouvoir voir les numéros dans leurs rêves, mais il est rare que ces visions se réalisent au réveil. Cependant, il existe une autre voie : les mots…
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meilleur-voyant-marabout · 27 days ago
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PARFUM MAGIQUE D'ATTIRANCE, CHANCE AUX JEUX DE HASARD, MAITRE SIKILI MOUSSA
Le Parfum Magique d’Attirance et la Chance aux Jeux de Hasard : L’Héritage de Maître Sikili Moussa L’univers fascinant du parfum, tout comme celui des jeux de hasard, est empreint de mystère et de symbolisme. À travers les âges, différentes cultures ont attribué des propriétés extraordinaires à certains arômes et rituels, souvent perçus comme des moyens d’attirer la chance ou de séduire autrui.…
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maitreahokpe · 7 months ago
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POUR AVOIR DE LA CHANCE ET GAGNER AUX JEUX DE HASARD OU DE LOTO DU GRAND MAITRE AHOKPE
Cette puissance est particulièrement préparée pour des gens qui veulent voir les nombres du Loto dans leurs rêves, afin qu’ils puissent gagner au loto. Lorsque vous direz les MOTS MYSTIQUES avant d’aller vous coucher, vous verrez les nombres du Loto dans vos rêves et lorsque vous vous réveillerez, vous vous rappellerez chiffres qui vous feront gagner au loto. Vous devez dire les MOTS MYSTIQUES…
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vodoungnon · 1 year ago
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Comment retrouvé un vrai marabout sérieux de retour affectif, comment trouver un vrai marabout pour un envoutement amoureux
Comment retrouvé un vrai marabout sérieux de retour affectif La solution mystique à tous vos problèmes de Retour de l’être aimé, Retrouvé votre AMOUR perdu Le grand puissant voyant MARABOUT VAUDOU Medium Marabout Voyant Vodoungnon Medjo peut intervenir dans les domaines suivants : – AMOUR : retour de l’être aimé, maraboutage d’une femme ou d’un homme, mettre fin à un divorce, attirer…
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portefeuillemagiqueblr · 1 year ago
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La multiplication d'argent rapide - La multiplication d'argent existe. Les danger de Les mots magiques pour attirer l'argent.. WHATSAPP : 00229 61 70 70 82 / Les mots magiques pour attirer l'argent.
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La multiplication d’argent rapide – La multiplication d’argent existe.Les danger de la multiplication d’argent. WHATSAPP : 00229 61 70 70 82 / Les mots magiques pour attirer l’argent. La multiplication d’argent rapide n’as pas de conséquence ni d’inconvénients. Aujourd’hui je vous ai faire une démonstration du portefeuille magique ceux qui ne crois pas, vous pouvez venir chez moi dans mon palais…
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lisaalmeida · 11 days ago
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Encore des souvenirs...
Souvenirs de chauds câlins et de tendres baisers...
Souvenirs de douces caresses et de mots chuchotés.....
Souvenirs de moments magiques et d'instants incomparables...
Encore des souvenirs de nous...
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jeanfrancoisrey · 9 months ago
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Les ruelles d’Oppède-le-Vieux renferment les traces d’un passé bien mystérieux, l’un d’entre eux : le Carré Magique, appelé également Carré Sator. Le carré SATOR est le plus ancien carré de lettres connu. Il est constitué des cinq mots latins SATOR (laboureur), AREPO (charrue), TENET (tenir en son pouvoir), OPERA (travail), et ROTAS (roues, orbite). Ces mots sont entrelacés en forment un palindrome. C’est à dire qu’il peut être lu à l’endroit, à l’envers, de haut-en-bas, et de bas-en-haut.
The streets of Oppède-le-Vieux contain traces of a very mysterious past, one of them: the Carré Magique, also called Carré Sator. The SATOR square is the oldest known square of letters. It consists of the five Latin words SATOR (plower), AREPO (plough), TENET (hold in its power), OPERA (work), and ROTAS (wheels, orbit). These words are intertwined and form a palindrome. That is, it can be read upside down, upside down, and down.
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mrsines · 2 months ago
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet événement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
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En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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abridurif · 2 days ago
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Dire, se défaire
Je n’ai pas fait ce que j’avais dit ; je n’ai pas fait de confettis – pas vraiment, pas vraiment en grand nombre, pas comme je l’avais imaginé au départ : atteindre mon poids en confettis. Je n’ai pas fait ce que je m’étais promis. Je n’ai pas fait ce que je leur avais dit, aux membres du jury : détruire une partie de mes archives à l’aide d’un emporte-pièce, afin de les transformer en confettis. Je n’ai peut-être pas choisi le meilleur outil. Une table pour écrire, une autre pour désécrire. Assez vite, je me suis rendu compte que cela me prenait plus de temps de détruire une page manuscrite que de l’écrire. Un côté tâcheron que je revendiquais pourtant à cette occasion. Dans le même élan, je ne pouvais pas ne pas m’intéresser à l’histoire du confetti : fendre le mot, fendre la chose, me fendre de quelque chose que je ne connaissais pas encore, m’ouvrir à l’inconnu en me tenant au choix du plus petit. Une fois installé à la Villa Médicis, comme un coq en pâte, je devais faire comme si… là était ma place, mû par une mission plus grande que moi. Je m’étais alors imaginé convaincre les autres pensionnaires d’organiser un carnaval au printemps suivant, renouant ainsi avec cette tradition du carnaval à la Villa. Un bal masqué, avec une taxe à payer à l’entrée, j’ai assez vite abandonné l’idée, n’étant pas la bonne personne pour fédérer autour de ce projet qui me déportait là où je ne voulais pas aller. Et puis, comme je le redoutais, j’ai tellement été amené à parler de ce projet-confetti qu’à un moment je n’ai plus du tout eu envie de le réaliser. En en parlant à tout va, j’ai tué le désir. Comme antidote, je me suis tourné vers le grand frère Filliou et sa devise : Quoi que tu fasses, fais autre chose. De même, quand on écrit, il ne s’agit pas de devenir écrivain ou de se prendre pour tel, mais plutôt de concentrer ses efforts pour devenir autre chose, et ainsi s’adonner à sa propre métamorphose. Tout le monde, dans le microcosme de la Villa, s’était imaginé que l’ex-croque-mort, durant son séjour, se tiendrait à cette activité monomaniaque : celle de poinçonner ses archives, se délestant d’un monticule de papiers qu’il avait pris soin de glisser dans ses bagages. Au fil des jours, je me dédoublais, ou plutôt, je me désolidarisais de ce candidat-confettiste que j’avais tenté d’incarner au seuil du Palais. La tournure des événements m’a de toute façon obligé à bifurquer. Je n’ai pas fait ce que j’avais dit. Au fond, ce n’est pas très grave, je me suis débrouillé autrement. Mes deux parents étant morts à quatre mois d’intervalle, alors que je séjournais à Rome, je ne pouvais poursuivre mon travail de déblaiement, comme si de rien n’était. Dans les jours qui ont suivi la mort de ma mère, en février, j’ai écrit, sans me regarder écrire, cela m’a aidé à réaliser ce qui se passait en moi à cet instant ; de même, lors de l’agonie de mon père, l’écriture a été d’un réel secours. Façon d’être présent, en se dépouillant de tout artifice, de tout semblant, de tout faux-semblant. Fils assis à côté de son père, veillant sur lui. Père donnant le change jusqu’à la veille de sa mort. C’est dans les mois qui ont suivi qu’il m’a fallu leur faire de la place au-dedans. Cela ne se fait pas d’un coup de baguette magique.
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fieriframes · 10 months ago
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[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.
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Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.
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C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:
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Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité. 
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
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ltalaynareor · 2 months ago
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Le mariage secret
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Dans les jardins du palais de Jérusalem, une lumière dorée filtrait à travers les feuillages des arbres, enveloppant Baudouin IV et Alix de Tripoli d'une aura magique.
Les murmures des feuilles dans le vent semblaient accompagner ces deux jeunes êtres qui se tenaient debout devant un petit autel, éclairé par des chandelles. La solitude de ce jardin secret offrait à Baudouin et Alix la quiétude nécessaire pour sceller leur amour d'une manière plus intime.
La main de Baudouin tremblait légèrement alors qu'il caressait doucement celle d'Alix. Son visage, marqué par la lèpre, affichait une détermination et une tendresse infinies à l'égard de sa bien-aimée. Alix, quant à elle, rayonnait d'une beauté pure et sincère, ses yeux pétillants fixés sur Baudouin.
Sans témoins autres que la nature qui les entourait, Baudouin prononça d'une voix émue les mots de l'échange des vœux avec Alix. Leurs promesses d'amour éternel résonnaient dans l'air calme du jardin, et chaque syllabe était chargée de passion et de sincérité.
Lorsque le dernier mot fut prononcé, Baudouin et Alix échangèrent un regard complice, le souffle court et le cœur empli de bonheur. Dans un geste empreint de délicatesse, Baudouin prit le visage d'Alix entre ses mains, scellant leur union par un baiser tendre et passionné.
Le moment était à la fois fugace et éternel, un instant suspendu dans le temps où se mêlaient l'amour, la douceur et la résignation face à l'inéluctable.
Alors qu'ils s'éloignaient lentement de l'autel, mains toujours entrelacées, Baudouin et Alix savaient que quoi qu'il advienne, leur amour demeurerait indomptable, vibrant d'une intensité qui défiait les limites de la maladie et du temps.
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ekman · 7 months ago
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Mais quelle marrade ! La gauche ne s’est pas aussi joliment embrenée depuis longtemps ! Les voyous Kanaks, plus ultra-violents encore que nos vaillants Tchétchènes, nos indomptables Blédars ou nos Blackos machetteurs, bordélisent leur bout de jungle insulaire au nom du pillage consumériste, du crétinisme endémique et de leur incapacité notoire à sauvegarder une identité minée par l’alcool et le RSA. Et pourtant c’est bien au nom de “l’identité des peuples autochtones” que les plus zélés imbéciles de gauche métropolitaine klaxonnent ça et là, d’éditos en plateaux. Au nom de la justice républicaine, le poids du nombre de sales Blancs en Nouvelle-Calédonie ne saurait supplanter la légitime prévalence indigène, fut-elle irrémédiablement minoritaire, fut-elle donc condamnée à être défaite lors de n’importe quel scrutin. Que l’on vienne leur faire remarquer que leur raisonnement s’applique au cas d’une France submergée par le tsunami africain que non, alors là pas du tout, mais non, vous jouez avec les mots, vous comparez l’incomparable. Ah bon ?  Dix poids, cent mesures, voilà leur universalisme de branquignole, pourriture intellectuelle qui chasse sans qu’ils le voient leur sacro-sainte croyance égalitaire, leur rousseauisme de fond de cuvette ! Fatals crétins qu’ils sont ! Oser dire que “les Blancs�� – pas des Français, mais des Blancs – ont organisé l’étouffement numéraire des Kanaks par le choix d’un collège électoral favorable ! Mais faut-il être bête pour ne pas immédiatement comprendre qu’ils vendent ici-même la preuve du Grand Remplacement, concept qu’ils vômissent, réalité dénoncée sans cesse et encore par le diable camusien ! La pensée racialiste de la gauche issue de la Révolution, renforcée par un colonialisme civilisateur revendiqué Blanc, assumé raciste cette fois, a toujours été porté par la fleur des grands esprits humanistes – nos grands amis du Triangle magique ! On voit maintenant leurs héritiers patauger dans une mélasse confuse, une posture indéfendable, le preuve de facto de leur incapacité à comprendre le monde et à considérer l’humain dans ses vérités premières. Les pieds pris dans leur propre tapis sale, décoré de vieilles lunes, chamaré de conneries absurdes autant qu’indéfendables, les chantres (mous) du “décolonialisme” et de l’indigénisme tentent de faire oublier leur vieux slogan anti-afrikaaner : “un homme, un vote” ! Ce que c’est drôle, quand on a soi-même, en des temps reculés, défendu contre vents et marées le droit des Africains blancs d’Afrique du Sud à vivre et à cultiver leur identité sur une terre que personne d’autre qu’eux ne pouvait revendiquer !
J.-M. M.
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maitreahokpe · 1 year ago
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Grace au medium AHOKPE j’ai pu avoir la multiplication d’argent de 50.000euros.
Grace au medium AHOKPE j’ai pu avoir la multiplication d’argent de 50.000euros. Je m’appelle Christian Guignard j’ai fais la découverte du Grand Medium AHOKPE quand j’avais perdu mon boulot et la santé de ma fille ,tout s’écoulait autour de moi et j’avais même des loyers impayés. C’est ainsi j’ais rencontrer un ami qui m’a parler des service du medium AHOKPE et j’ai pris contact avec le maitre…
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kistels · 10 months ago
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Dans la vie, pour vivre des beaux moments... des moments forts, magiques... tu n'as pas toujours besoin de faire des choses compliquées...
tu n'as pas besoin d'être dans un resto étoilé, sur une montgolfière ou en soirée VIP
. Un beau moment, c'est une discussion sincère, , où les mots justes sont prononcés... c'est un fou rire, un rire... partagés, dans la rue, devant ta télé... c'est un bon repas que vous avez pris le soin de préparer ensemble et le plaisir de déguster...
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Où que tu sois, quoi que tu fasses, un beau moment, c'est être avec les bonnes personnes, bien entouré... c'est te sentir aimé, en paix, heureux et en sécurité
Je t aime
mon bonheur, c’est toi ❤️
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anticbrvtalist · 1 year ago
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La mort de John Balance
« Le pouvoir occulte et magnétique de l’Angleterre » ! Où donc ai-je lu ces mots ? » (Léon Bloy)[1]
Nous ne croyons pas à la mort accidentelle de John Balance ; nous pensons seulement qu’il sut prendre congé à temps. Sans doute était-il fatigué de tituber dans un monde qui meurt. Dès la fin du siècle dernier, Londres n’était plus la capitale du Royaume-Uni, mais un cratère foré par l’économie monde, plongeant à pic dans le tiède enfer du non-lieu global. Même Ian Sinclair se lassera – certes, quinze ans plus tard – de longer la M25, le London Overground, d’invoquer les esprits de son occulte psycho géographie, d’exposer aux non-initiés ses cartes imaginaires dont la topographie n’évoquera bientôt plus rien à personne. Nous fûmes victimes d’une illusion d’optique : le capitalisme ne sévit pas à l’état liquide mais gazeux : tout ce dont il a épuisé la valeur d’échange s’évapore, disparaît. Même les ruines.
            John Balance le savait : ce Londres occulte, dont il partageait la fascination avec quelques grand initiés, Allan Moore par exemple, le Londres de Jacques l’éventreur, d’Austin Osman Spare, de William Blake, d’Arthur Machen, de la Golden Dawn, de Thomas de Quincey et sa chère Ann, ce Londres s’était tout entier évanoui ; et bientôt, ferait défaut jusqu’à l’humanité encore accessible à de tels souvenirs. Il aura vu le dôme du « Millenium » émerger, les quais de la Tamise se border de buildings en verre, leur enfilade de docks, de hangars désaffectés, se muer en malls, en galeries polaires, en lofts pour yuppies. Sans doute s’effrayait-il d’y voir son avenir, d’imaginer Coil diffusé dans une quelconque annexe de la Tate Gallery, distraitement écouté par des hordes de touristes asiatiques ou de jeunes cadres apatrides de la City, sujets au burn-out, rompus au binge drinking, tous d’une désespérante tolérance. Il le devinait : jamais plus Londres ne serait « la cité des résurrections »[2]. Cette ville lui était à ce point devenue étrangère qu’il ne pouvait plus suivre à l’instinct les affluents de la Tamise, ces méandres aux propriétés magiques jadis cartographiées par John Dee : la Fleet, la Tyburn, les rivières de Stamford brook et de Walbrook. Désormais incapable de soulever les strates de l’histoire immédiate, mais toujours possédé par son Londres mythique et souterrain, John Balance se sera, à quarante ans, enterré vivant. 
L’un des derniers albums de Coil, Times machines, fut la première tentative musicale de dissoudre le cours du temps. Peut-être Balance avait-il le pressentiment d’une prochaine catastrophe dont il désirait, de toutes ses forces, différer l’avènement. Peut-être devinait-il que Londres, puis l’Angleterre tout entière, allait devenir telle qu’elle figure dans la série Black mirror : le cadre d’un nouveau cauchemar dystopique sur le point d’envahir le globe. D’instinct, en bon britannique, et donc un peu chauvin, il savait que l’Angleterre, depuis le XVIIè, énonce l’ordre du monde, Rule the world. La mission historique d’Albion s’achève, mais reste son imagination, suffisamment fertile pour nourrir les cauchemars du monde entier : « England has a black earth ».[3]
             « Les poètes sont toujours les premiers à s’en aller » remarquait Ian Sinclair. John Balance fut un précurseur : aujourd’hui, c’est le peuple britannique tout entier qui tâtonne vers la sortie, cherche machinalement son âme comme on s’assure de la présence d’un membre fantôme. Le Brexit, bien sûr, ne résoudra rien. Le Royaume-Uni, hier galion corsaire cinglant à l’avant-garde, aujourd’hui vieux rafiot à la remorque des États-Unis, tourné vers l’ailleurs, le grand large, l’Océan Pacifique peut-être, pour une dernière aventure.   
NO SOCIETY 
             John Balance, c’est avant tout l’homme en marge. Il n’eut pas assez de sa courte vie pour apprendre à se défaire du monde. Très jeune, il comprit qu’il est vain de pester contre le « système », de fantasmer un grand soir, aussi n’ayons pas le ridicule d’en faire un nouveau « suicidé de la société » : cette dernière, il sut la tenir à distance, cultivant l’art de la clandestinité, luttant constamment contre toute forme imposée ; et cette lutte lui fut source de bonheur – « Disobediance is the key of joy ». Dans la lignée d’un Pasolini ou d’un Genet, Balance vécut son homosexualité comme une malédiction, un défi, trop orgueilleux qu’il était pour quémander la reconnaissance des foules, de l’État. Pourquoi briguer une impossible normalisation, source certaine d’un supplément de souffrances ? Inutile de se rassembler, d’exiger de nouveaux droits : aujourd’hui comme hier, toute singularité draine la vindicte. Le seul acte militant de Coil, la reprise de Tainted Love assortie d’un clip horrifique, suffit, dès 1984, à écarter tout malentendu : les niais partisans de la cause arc-en-ciel, glacés, passèrent leur chemin.
                  Bien plus qu’un simple pas de côté, la vie de John Balance fut esquive, dérobade radicale. De la société, il se retrancha, mais de biais, faisant sien l’enseignement d’Austin Osman Spare : le monde ne se comprend qu’appréhendé latéralement, surtout les êtres humains, dont on ne peut saisir quelques parcelles d’âme que lorsqu’ils ne vous voient plus, vous ont oublié. Cette approche oblique strictement observée, la politique et le social ne survivent qu’à l’état de souvenir, de vague rumeur ; une rumeur, c’est-à-dire un bruit, un son, que l’on peut prélever, domestiquer, puis torturer à loisir avant de le restituer, méconnaissable, à la société épouvantée.
À force de pratiquer « l’usage agressif de la fantaisie »[4], Coil avait acquis dans certains milieux londoniens une étrange réputation qu’ils cultivaient avec malice. Christopherson, alias « Sleazy », faisait parade d’un sadisme bonhomme et discret, évoquant à mots couverts auprès d’un auditoire choisi certaines chambres de sa maison de Chipswick, une notamment, entièrement peinte en noir, les murs tapissés d’images des 120 jours de Sodome, une autre encore, où il enfermait de jeunes hommes pour les piquer d’aiguilles. Ces étranges inclinations vinrent aux oreilles du cinéaste Clive Barker qui leur offrit de composer la bande-son de son film Hellraiser avant de se rétracter, effrayé. Pourtant, à les voir, rien ne laissait deviner de telles dispositions : quelques photos nous les présentent de noir vêtus, cheveux ras, encapuchonnés dans d’informes sweat shirts, soit la défroque ordinaire de la tourbe des « teufeurs » de l’époque. C’est qu’ils étaient passés maîtres dans l’art de l’infiltration, pour preuve, dès 1991, ils avaient déjà, par les albums Love is a secret domain et The snow, corrompu la techno. Le dancefloor, par eux investi, devint expérience claustrophobique, se changea en caisse à stridences psychiatriques, infernale chambre d’échos balayée de part en part d’un souffle d’outre-tombe.
Un député tory, bien sous tous rapports, les traita de « naufrageurs de la civilisation ». « Les gens comme il faut » sont tels car inaptes à l’introspection ; n’examinant jamais leurs pensées, ils sont bien incapables d’identifier la racine d’une dé-civilisation dont ils déplorent incessamment les effets : cette passion maniaque de l’homogénéité qu’ils possèdent tous en propre. Les membres du Temple of the psychic youth, en dépit d’un mode de vie suicidaire, jalonné d’expérimentations sordides et dangereuses, eurent d’emblée le pressentiment de l’avènement d’un monde unidimensionnel, hostile à toute intériorité. « Nos ennemis sont plats » scandait P-Orridge, faisant inconsciemment écho aux paroles d’un Barrès, qui, à l’apogée de son « culte du moi », au début du XXè  siècle, déclarait : « Les barbares veulent nous fondre en série ».
MAGICK
          Coil, en anglais, signifie rouleau, spirale, nom à la fois banal et le plus occulte qui soit : la spirale est lieu de réversion, premier point d’attache des cycles qui se fondent un instant pour nier le temps ; son centre est aussi point d’infini qui abolit l’espace. Coil fut la quête de ce vide qui est puissance absolue mais aussi sens premier, originel. Effet du hasard ? le symbole de la spirale ornait déjà les couvertures de la revue Le Grand jeu, soixante-dix ans plus tôt. L’histoire révèle à périodes régulières quelques jeunes gens suffisamment mécontents pour oser, par leurs propres moyens, forcer le monde invisible à rendre son secret. John Balance s’identifiait à René Crevel mais ce serait plutôt à Roger Gilbert Lecomte qu’il faudrait le comparer, Gilbert Lecomte, comme lui poète égaré dans son inlassable quête d’« états de stupeur fixe ». (...)
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megaverserpg · 7 months ago
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Megaverse tient ses inspirations majeures d'univers comme Harry Potter ou Sense8. Il aborde par ailleurs quelques topos de littérature potentiellement sensibles , notamment de type dystopiques. S'il s'agit de genres ou d'œuvres qui te sont difficilement tolérables, nous t'invitons à privilégier ton bien-être en ne consommant pas de contenu qui ne te convient pas.
Là où les étoiles se mêlent aux rêves et où les frontières entre les mondes s'estompent, se cache un secret ancestral, un murmure dans le vent, écho de l'infini. Dans cet éther mystique, le destin se joue du monde sorcier dans un ballet envoûtant, danse sinueuse à l'orée entre lumière et ténèbres.
2000. Une catastrophe écomagique sur l'île d'Elysium crée une brèche entre deux mondes, deux versions de la Terre supposées ne jamais se rencontrer. L'explosion n'épargne pas les moldu·e·s : elle fragilise la barrière magique et sème sur leur territoire des particules de pouvoir, s’immisçant aléatoirement dans l'organisme de quelqu'un·e·s d'entre elleux.
Dans ce tourbillon d'ombres et de lumières, les âmes se cherchent, se perdent, se trouvent, dans une quête éternelle de vérité et de pouvoir. Les alliances se forgent et se brisent, les complots s'échafaudent et s'effondrent, dans une danse incessante où chaque geste, chaque mot peut sceller le destin de tout un univers.
Oserez-vous plonger sur ces Terres où la magie est tantôt reine, tantôt opprimée, parfois respectée, d'autres fois, méprisée, non pas un, mais des mondes où les passions sont déchaînées, entre moldus, sorciers, humains comme faes, observant le chaos depuis leur dimension tierce. C'est une nouvelle page de l'histoire de l'humanité qui s'écrit, chargée de mystères et semblable à nulle autre.
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